Le lendemain matin, Caroline arrive un peu plus tôt pour se rendre dans le bureau du directeur. Comme prévu, il lui fait retirer son haut et sa jupe. Caroline le fait, tandis que le directeur rougit de colère.
Sous son haut elle a mis une brassière en coton et sous sa jupe un collant opaque qui ressemble plus à un leggings. Elle ressemble plus à quelqu'un qui va faire du sport qu'à une élève punie en sous-vêtements.
- Vous vous moquez de moi Caroline ?
Le directeur se rue sur Caroline, sans qu'elle n'ait le temps de bouger.
- ça c'est pour vous apprendre à vous vous manquer de moi...
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le directeur s'assoit sur une chaise et bascule Caroline sur ses genoux. Sa culotte et son collant lui sont descendu d'un coup, ensemble. Et les claques arrivent sur ses fesses avec une cadence infernale. Cette fessée n'a rien à voir avec celle que le directeur lui a donné précédemment. Les claques sont plus dures, elles lui arrachent les larmes dès le début. En à peine une minute, Caroline doit encaisser une centaine de claques. Ses fesses et la haut de ses cuisses sont bien rouge, elle se les frotte en se relevant tout en sautant d'un pied sur l'autre, sans se soucier de sa culotte baissée.
Le directeur ne lui laisse pas le temps de s'en remettre, il lui attrape l'oreille et la dirige vers la sortie alors qu'elle est encore secouée par les sanglots. Caroline suit le directeur qui l'emmène d'un pas décidé. Tout en marchant, elle essaie de se libérer du bras du directeur qui lui tient toujours l'oreille, et remonte tant bien que mal sa culotte. Il l'emmène ainsi jusqu'au préau, quelques élèves sont déjà là, mais la majorité va arriver dans quelques minutes.
- Mettez vous face au mur jusqu'à la sonnerie !
Cette fois-ci, Caroline n'a pas le choix d'être beaucoup plus visible que le coin qu'elle avait choisi la veille. Le directeur lui prend les poignets et lui plaque ses deux mains au dessus de sa tête.
- Non... non pas ça s'il vous plait !!!
Le cri de désespoir de Caroline alerte les élèves qui ne l'avaient pas encore vu, mais n'attendris pas le directeur. Il baisse dans un premier ses collants puis sa culotte. Il s'applique pour que les deux soient complètement descendus sur ses chevilles.
- Voilà ! Fesses à l'air devant tout le monde ! Se sera votre position et votre tenue pendant les pauses aujourd'hui. Je veux que vous veniez ici et que vous baissiez votre culotte à chaque fois ainsi, c'est bien compris ??
Alors que le directeur s'éloigne, certains élèves se rapprochent de Caroline. Elle se rapproche du mur et essaye de faire abstraction des gens qui sont derrière elle.
Dès que la sonnerie retentit, elle remonte à la hâte sa culotte et se dirige vers son cours.
A la pause, elle n'est pas pressée de retourner sous le préau, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle s'y rend péniblement, et en arrivant elle se dit que finalement, elle aurait du se dépêcher vu le monde déjà présent. Elle retourne jusqu'à sa place en se demandant si elle sera capable de se déculotter devant tout le monde. Mais à peine arrivée, elle descend ses collants et sa culotte sous ses fesses et pose ses mains au dessus de sa tête, en priant pour que les vingt minutes passent le plus vote possible.
Certains constatent que ses fesses sont beaucoup moins rouge que le matin, ce qui lui vaut des commentaires du style : il lui faudrait une autre fessée, pour que ses fesses retrouvent leur couleur...
Le midi alors qu'elle est seule à sa table, le directeur vient la voir :
- Lorsque vous aurez terminé votre repas, vous viendrez me voir...
Caroline se demande ce qu'il lui veut encore, mais doit se résoudre à le retrouver à sa table après son dessert.
Il se lève quand il la voit arriver, et prend un tabouret, qu'il met au bord de l'estrade qui surplombe la salle de restaurant des élèves.
Mettez-vous à genoux dessus ! Les fesses tournées vers vos camarades.
Caroline s'agenouille sur le tabouret, ses pieds étant dans le vide, elle sait que cette position sera très inconfortable pour elle. Et elle sait aussi qu'elle devra y rester jusqu'à la reprise des cours dans presque une heure. Sans que le directeur ne lui dise, elle pose toute seule ses mains au dessus de sa tête, comme si cette position était maintenant naturelle. Face à elle, il y a la table des professeurs. Elle baisse les yeux après avoir croisé le regard de son prof de Maths.
Le directeur ajuste sa position, pour qu'elle soit bien droite en appuyant sur son dos et en tirant en arrière ses épaules.
Caroline ferme les yeux ce qui n'empêche pas ses larmes de s'échapper, quand elle sent les pouces du directeur s'insérer sous l'élastique de son collant. Il lui baisse jusqu'en bas des cuisses, sa culotte suis le même chemin aussitôt, et elle se retrouve le bas du ventre nu face aux professeurs.
Elle doit rester ainsi sans bouger, le temps lui parait interminable, elle n'a de réconfort que de sa prof de sport, qui lui souhaite bon courage en passant à côté d'elle après avoir quitter la table. Les autres ont l'air satisfait de sa punition.
A la fin de la journée, elle retrouve le directeur dans son bureau pour remettre ses vêtements.
- Vu votre tenue d'aujourd'hui, vous aurez une journée supplémentaire de punition demain. J'attends de vous une tenue plus adaptée à votre punition ! Une tenue qui me fera prendre conscience que vous avez compris pourquoi vous êtes punie et que vous l'acceptez...
A demain, 8H !
Caroline quitte le bureau tout en sachant qu'une autre longue journée l'attend le lendemain.
Voici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...
vendredi 18 octobre 2019
jeudi 10 octobre 2019
La gazette 5
Dès que la première claques s'abat sur ses fesses Caroline et les élèves comprennent que le professeur ne va pas retenir sa main. Le bruit résonne dans la classe. Au bout de la troisième claque Caroline crie, elle a du mal à tenir en place. Elle plie les genoux entre chaque claque, puis essaye tant bien que mal de se remettre en position pour la prochaine. Le professeur prend son temps pour appliquer les claques. Ses fesses sont bien rouge autours de sa culotte.
Lorsqu'il arrête Caroline est en sanglots. Elle se redresse doucement, alors que le prof autorise les élèves à sortir de la classe. Personne n'est pressé de partir, la classe met du temps à se vider. Caroline renifle, ses mains cachent son visage. Le prof referme la porte après le dernier élève et revient vers la chaise pour s'assoir dessus.
- Tu as de la chance que je ne t'ai pas baissé ta culotte devant tout le monde ! Tu le méritais amplement !
Il attrape Caroline par le bras et la force à se mettre sur ses genoux. Il lui donne une claque par dessus sa culotte ce qui la fait sursauter. Puis il glisse l'élastique sous ses fesses, il y a une différence de couleur entre la partie protégée par sa culotte et le reste de ses fesses.
Le prof s'applique à uniformiser sur toute la surface, il lui bloque les mains dans le dos et lui donne la fessée. Beaucoup plus rapide que précédemment, mais avec autant de vigueur. Caroline crie, se débat sans pouvoir s'échapper, ses fesses lui brulent mais elle ne peut éviter la déferlante. Elle reçoit une cinquantaine de claques en peu de temps. Ses jambes la tiennent à peine lorsque le professeur la relève. Il lui fait demi tour pour constater la rougeur, Caroline ne peut s'arrêter de pleurer. Il descend sa culotte plus bas à mi cuisses.
- Va au coin, mains sur la tête pour te reprendre !
Elle reste au coin quelques minutes, le temps de s'arrêter de pleurer, elle a l'interdiction de se frotter les fesses malgré les picotements.
- Remonte ta culotte, mais laisse tes collants comme ça ! Je vais te conduire à la cantine et je ne veux pas que ton collant cache tes fesses rouge. Tout le monde doit voir que tu as reçu une bonne fessée.
Le prof l'emmène jusqu'à la cantine, avant d'entrer, il réajuste son collant. Il l'enroule juste sous sa culotte. Caroline ne peut contenir ses larmes en entrant. Elle sait que toute la journée, elle devra affronter les regards sur elle comme ceux qu'elle a en ce moment...
Lorsqu'il arrête Caroline est en sanglots. Elle se redresse doucement, alors que le prof autorise les élèves à sortir de la classe. Personne n'est pressé de partir, la classe met du temps à se vider. Caroline renifle, ses mains cachent son visage. Le prof referme la porte après le dernier élève et revient vers la chaise pour s'assoir dessus.
- Tu as de la chance que je ne t'ai pas baissé ta culotte devant tout le monde ! Tu le méritais amplement !
Il attrape Caroline par le bras et la force à se mettre sur ses genoux. Il lui donne une claque par dessus sa culotte ce qui la fait sursauter. Puis il glisse l'élastique sous ses fesses, il y a une différence de couleur entre la partie protégée par sa culotte et le reste de ses fesses.
Le prof s'applique à uniformiser sur toute la surface, il lui bloque les mains dans le dos et lui donne la fessée. Beaucoup plus rapide que précédemment, mais avec autant de vigueur. Caroline crie, se débat sans pouvoir s'échapper, ses fesses lui brulent mais elle ne peut éviter la déferlante. Elle reçoit une cinquantaine de claques en peu de temps. Ses jambes la tiennent à peine lorsque le professeur la relève. Il lui fait demi tour pour constater la rougeur, Caroline ne peut s'arrêter de pleurer. Il descend sa culotte plus bas à mi cuisses.
- Va au coin, mains sur la tête pour te reprendre !
Elle reste au coin quelques minutes, le temps de s'arrêter de pleurer, elle a l'interdiction de se frotter les fesses malgré les picotements.
- Remonte ta culotte, mais laisse tes collants comme ça ! Je vais te conduire à la cantine et je ne veux pas que ton collant cache tes fesses rouge. Tout le monde doit voir que tu as reçu une bonne fessée.
Le prof l'emmène jusqu'à la cantine, avant d'entrer, il réajuste son collant. Il l'enroule juste sous sa culotte. Caroline ne peut contenir ses larmes en entrant. Elle sait que toute la journée, elle devra affronter les regards sur elle comme ceux qu'elle a en ce moment...
mardi 8 octobre 2019
La gazette 4
A chaque passage de porte, Caroline appréhende. Quelqu'un pourrait se trouvait derrière. Plus ils s'approchent de sa salle de classe, plus son coeur s'affole. Arrivés devant la porte Caroline le retient d'ouvrir.
- S'il vous plait, je vous en prie... Ne me faites pas entrer !!
- Mais je n'ai pas le choix Caroline... Et puis il faut assumer vos actes. Et rappelez vous de ce que vous a dit le directeur. A votre place je ferais ce qu'on me demande sans discuter, sinon ce sera pire pour vous.
Le surveillant s'apprête à enclencher la porte.
- Souvenez-vous de ce que le directeur vous a dit. J'imagine que vous ne souhaitez pas vous promener les fesses à l'air...
Il ouvre la porte, tout le monde se lève lorsqu'il entre.
- Caroline, allez vous assoir à votre place.
Caroline entre rouge de honte, elle ne peut retenir ses larmes en passant dans les rangs. Tous sont surpris de la voir ainsi. Quelques sourires s'affichent sur les lèvres des garçons, certaines filles paraissent choquées. Caroline se cache le visage après s'être assise à sa place. le surveillant échange quelques mots avec la prof et sort de la classe. Le cours reprend presque normalement, même si les regards se dirigent souvent vers Caroline.
A la fin du cours, Caroline n'est pas pressée de sortir, elle rassemble ses affaires et sort quand la classe est vide. Mais dans le couloir il y a du monde, certains sont même restés à attendre. Elle passe en regardant le sol, sans prêter attention aux commentaires et en essayant de ne pas avoir de réaction lorsque qu'une mains effleure ses fesses. Elle croise le surveillant qui lui rappelle d'aller sous le préau. Comme si elle aurait pu oublier. Elle s'y rend en priant pour que la pause passe le plus vite possible.
Elle choisit le coin le plus à l'abris des regards, entre deux armoires de casiers et s'y installe comme le directeur lui a dit.
A la sonnerie elle se lève, pour retourner en cours, ses yeux sont embuées par ce qu'elle a entendu derrière elle.
Elle sait qu'elle va devoir affronter le prof de Maths, pendant deux heures. Elle se demande comment il va réagir maintenant qu'il sait que c'est elle qui a écrit ça. Elle a honte d'elle même. En montant les escalier, elle constate que le prof de Maths est accompagné du directeur et il se dirigent vers la classe.
Caroline entre et commence à se diriger vers sa place.
- Caroline ! Venez ici !
Elle se retourne le coeur battant et va les rejoindre sur l'estrade. le directeur attend patiemment que tout le monde s'installe et que le silence se face. Puis sans rien dire, il ouvre le tableau. Caroline le regarde et ses joues s'empourprent quand elle voit ce qu'il y a d'écris dessus.
- Voilà ce que votre chère camarade a écrit sur votre professeur de Mathématiques...
- Caroline, lisez votre ouvre à haute voix !
Caroline commence à lire timidement.
- Plus fort !!
Elle hausse la voix, et au fur et à mesure de sa lecture, elle a de plus en plus de mal à lire. Elle finit son récit en larmes.
- Oui, vous pouvez être fière de vous Mademoiselle... Effacez vos cochonneries !!!
Tandis qu'elle s'empresse de passer l'éponge sur le tableau, le directeur va chercher une chaise qu'il installe au centre de l'estrade face au tableau.
C'est ici que vous suivrez le cours ! Votre professeur s'occupera de vous à la fin du cours pour l'avoir offensé...
Le prof accompagne le directeur et referme la porte sèchement derrière lui.
- Asseyez-vous, Caroline !
Le ton est sans appel, Caroline s'assoit sur sa chaise. Tout le monde comprend que le prof n'est pas d'humeur.
- Bien droite !
Caroline se redresse visiblement assez impressionnée par l'attitude du prof.
- Pose tes deux mains au dessus de ta tête !!
Caroline hésite un cours instant et fait ce que le prof lui impose. Elle se sent rougir d'être ainsi devant tout le monde, heureusement personne ne la voit de face et elle ne peut voir personne ce qui lui va bien.
- Je te préviens que si tu bouges d'un millimètre, tu auras affaire à moi !!!
Le ton est sans appel, pendant tout le cours Caroline reste bien droite et ne bouge pas. Le cours lui parait interminable, ses bras la font souffrir, elle a mal au dos mais elle résiste le plus possible. Le prof termine la correction d'un exercice et arrête son cours dix minutes avant la fin.
- Vous pouvez tous ranger vos affaires, le cours est terminé pour aujourd'hui, mais restez à vos places. Toi Caroline debout ! Et garde tes mains sur ta tête.
Caroline se lève sans se retourner.
-Vu ton attitude à mon égard, le directeur m'a laissé le soin de te punir !! Passe derrière la chaise...
Tandis que Caroline recule à petits pas pour se mettre derrière le dossier de la chaise, le prof continue :
- Le directeur m'a dit que tu as déjà reçu une fessée ce matin, c'est bien ça Caroline ?
Au comble de la honte Caroline doit avouer qu'elle a bien été punie ainsi.
- J'ai trouvé que c'était une excellente punition et je vais t'en donner une autre maintenant ! Voilà ce qui va se passer, la première sera sur ta culotte devant tes camarades et quand tout le monde sera sorti, je vais t'en donner une deuxième sur tes fesses nues, pour que tu la sentes bien passer !
Caroline fond en larmes alors que la classe réalise petit à petit ce qui va se passer. Des chuchotement s'élèvent, des sourires s'échangent, certains élèves restent perplexe ne réalisant pas complètement.
- Baisse tes collants Caroline !
Sans réfléchir d'avantage, elle passe l'élastique de ses collants sous ses fesses alors que le prof s'approche d'elle. Il lui baisse d'avantage pour qu'il arrive au niveau de ses genoux.
- S'il vous plait, je vous en prie... Ne me faites pas entrer !!
- Mais je n'ai pas le choix Caroline... Et puis il faut assumer vos actes. Et rappelez vous de ce que vous a dit le directeur. A votre place je ferais ce qu'on me demande sans discuter, sinon ce sera pire pour vous.
Le surveillant s'apprête à enclencher la porte.
- Souvenez-vous de ce que le directeur vous a dit. J'imagine que vous ne souhaitez pas vous promener les fesses à l'air...
Il ouvre la porte, tout le monde se lève lorsqu'il entre.
- Caroline, allez vous assoir à votre place.
Caroline entre rouge de honte, elle ne peut retenir ses larmes en passant dans les rangs. Tous sont surpris de la voir ainsi. Quelques sourires s'affichent sur les lèvres des garçons, certaines filles paraissent choquées. Caroline se cache le visage après s'être assise à sa place. le surveillant échange quelques mots avec la prof et sort de la classe. Le cours reprend presque normalement, même si les regards se dirigent souvent vers Caroline.
A la fin du cours, Caroline n'est pas pressée de sortir, elle rassemble ses affaires et sort quand la classe est vide. Mais dans le couloir il y a du monde, certains sont même restés à attendre. Elle passe en regardant le sol, sans prêter attention aux commentaires et en essayant de ne pas avoir de réaction lorsque qu'une mains effleure ses fesses. Elle croise le surveillant qui lui rappelle d'aller sous le préau. Comme si elle aurait pu oublier. Elle s'y rend en priant pour que la pause passe le plus vite possible.
Elle choisit le coin le plus à l'abris des regards, entre deux armoires de casiers et s'y installe comme le directeur lui a dit.
A la sonnerie elle se lève, pour retourner en cours, ses yeux sont embuées par ce qu'elle a entendu derrière elle.
Elle sait qu'elle va devoir affronter le prof de Maths, pendant deux heures. Elle se demande comment il va réagir maintenant qu'il sait que c'est elle qui a écrit ça. Elle a honte d'elle même. En montant les escalier, elle constate que le prof de Maths est accompagné du directeur et il se dirigent vers la classe.
Caroline entre et commence à se diriger vers sa place.
- Caroline ! Venez ici !
Elle se retourne le coeur battant et va les rejoindre sur l'estrade. le directeur attend patiemment que tout le monde s'installe et que le silence se face. Puis sans rien dire, il ouvre le tableau. Caroline le regarde et ses joues s'empourprent quand elle voit ce qu'il y a d'écris dessus.
- Voilà ce que votre chère camarade a écrit sur votre professeur de Mathématiques...
- Caroline, lisez votre ouvre à haute voix !
Caroline commence à lire timidement.
- Plus fort !!
Elle hausse la voix, et au fur et à mesure de sa lecture, elle a de plus en plus de mal à lire. Elle finit son récit en larmes.
- Oui, vous pouvez être fière de vous Mademoiselle... Effacez vos cochonneries !!!
Tandis qu'elle s'empresse de passer l'éponge sur le tableau, le directeur va chercher une chaise qu'il installe au centre de l'estrade face au tableau.
C'est ici que vous suivrez le cours ! Votre professeur s'occupera de vous à la fin du cours pour l'avoir offensé...
Le prof accompagne le directeur et referme la porte sèchement derrière lui.
- Asseyez-vous, Caroline !
Le ton est sans appel, Caroline s'assoit sur sa chaise. Tout le monde comprend que le prof n'est pas d'humeur.
- Bien droite !
Caroline se redresse visiblement assez impressionnée par l'attitude du prof.
- Pose tes deux mains au dessus de ta tête !!
Caroline hésite un cours instant et fait ce que le prof lui impose. Elle se sent rougir d'être ainsi devant tout le monde, heureusement personne ne la voit de face et elle ne peut voir personne ce qui lui va bien.
- Je te préviens que si tu bouges d'un millimètre, tu auras affaire à moi !!!
Le ton est sans appel, pendant tout le cours Caroline reste bien droite et ne bouge pas. Le cours lui parait interminable, ses bras la font souffrir, elle a mal au dos mais elle résiste le plus possible. Le prof termine la correction d'un exercice et arrête son cours dix minutes avant la fin.
- Vous pouvez tous ranger vos affaires, le cours est terminé pour aujourd'hui, mais restez à vos places. Toi Caroline debout ! Et garde tes mains sur ta tête.
Caroline se lève sans se retourner.
-Vu ton attitude à mon égard, le directeur m'a laissé le soin de te punir !! Passe derrière la chaise...
Tandis que Caroline recule à petits pas pour se mettre derrière le dossier de la chaise, le prof continue :
- Le directeur m'a dit que tu as déjà reçu une fessée ce matin, c'est bien ça Caroline ?
Au comble de la honte Caroline doit avouer qu'elle a bien été punie ainsi.
- J'ai trouvé que c'était une excellente punition et je vais t'en donner une autre maintenant ! Voilà ce qui va se passer, la première sera sur ta culotte devant tes camarades et quand tout le monde sera sorti, je vais t'en donner une deuxième sur tes fesses nues, pour que tu la sentes bien passer !
Caroline fond en larmes alors que la classe réalise petit à petit ce qui va se passer. Des chuchotement s'élèvent, des sourires s'échangent, certains élèves restent perplexe ne réalisant pas complètement.
- Baisse tes collants Caroline !
Sans réfléchir d'avantage, elle passe l'élastique de ses collants sous ses fesses alors que le prof s'approche d'elle. Il lui baisse d'avantage pour qu'il arrive au niveau de ses genoux.
lundi 23 septembre 2019
La gazette 3
Un frisson parcours le corps de Caroline lorsqu'elle sort dehors. Le froid lui rappelle que sa tenue n'est pas adaptée. Les élèves ne sont pas encore arrivés, mais ils ne devraient pas tarder. Elle court jusqu'à l'entrée du bâtiment en espérant ne croiser personne, et se réfugie dans les toilettes. Elle ferme la porte et se recroqueville sur elle-même, en pleurant toute les larmes de son corps.
Peu à peu, elle entend la cour se remplir, puis la cloche signifiant le début des cours retentir. Mais elle est incapable de sortir, elle sait qu'elle ne pourra pas rester là indéfiniment, cependant elle n'a pas le courage de passer la porte pour le moment. Elle hésite à retourner voir le proviseur pour le supplier. Par trois fois elle sort des toilettes et revient finalement s'enfermer sachant qu'il ne voudra rien savoir.
La première heure de cours se passe et la cloche sonne à nouveau sans que Caroline n'est bougé.
De son côté, le proviseur est informé de l'absence de Caroline par le surveillant :
- Elle est forcément dans l'établissement ! En sous-vêtements elle ne va pas aller bien loin ! Je dois m'absenter un moment, mais trouvez là et faites la venir ici. Je m'occuperez d'elle à mon retour...
Les surveillant quitte son bureau et commence immédiatement ses recherches. Il ouvre toutes les réserves, les placards et termine par les toilettes.
Caroline sursaute quand la clanche de la porte s'abaisse d'un coup, ça frappe à la porte, elle reconnait la voix du surveillant :
- Qui est là ?
Caroline n'ose répondre.
- Caroline, je sais que c'est vous. Ouvrez ! Vous ne pourrez pas rester cachée toute la journée... Et Monsieur le proviseur est déjà assez remonté comme ça à cause de votre absence en cours de ce matin !
N'ayant d'autre choix, Caroline déverrouille la porte et l'ouvre. Son regards ne croise pas celui du surveillant.
- Vous vous êtes mis dans de beaux draps, et vous n'arrangez pas votre cas... Venez je vais vous conduire dans le bureau du directeur.
Caroline ne sait pas depuis combien de temps elle est là, mais ça lui parait une éternité. Ses genoux lui font mal. Le surveillant l'a mise ici, face au mur, à genoux, les mains au dessus de la tête. Il lui a dit de ne pas bouger jusqu'à ce que le directeur revienne. A plusieurs reprise, elle se lève et détend ses bras, puis elle se remet rapidement en position de peur que le directeur ne rentre d'un coup.
Finalement elle entend le directeur parler avec le surveillant avant qu'ils n'entrent. Les battements de son coeur s'accélèrent quand la porte s'ouvre brusquement.
- Je vous préviens Caroline, si je dois une nouvelle fois vous reprocher quoi que ce soit durant votre période de punition, c'est sans votre culotte que vous assisterez aux cours !!!!
Le directeur ne laisse pas le temps à Caroline de digérer ce qu'il vient de lui annoncer.
- Levez-vous et venez ici ! Avez-vous déjà reçu une fessée Caroline ?
Caroline se lève accusant le coup, elle se retourne toujours aussi gênée.
- Je vous ai posé une question Caroline ?
Elle secoue la tête incapable de prononcer le moindre mot.
- Très bien, nous allons remédier à ça tout de suite. Je pense que vous auriez du en recevoir plus tôt !
Le directeur vient la chercher et la tire par le bras pour lui faire faire les deux derniers mètres qui la sépare de son bureau.
- Courbez-vous sur mon bureau bras tendus !
Puis il s'adresse au surveillant :
- Allez lui tenir les mains qu'elle ne bouge pas !
Le surveillant fait le tour du bureau et maintient Caroline par les poignets. Il lit la panique dans ces yeux et voit des larmes couler sur ses joues. Elle ferme les yeux quand la première claque arrive. Elle serre les dents pour ne pas crier, le surveillant comprend à ses grimaces que le directeur ne retient pas ses claques. Elle pleure, le surveillant ne lui tient plus les poignets car c'est maintenant Caroline qui s'agrippe sans s'en rendre compte à ses bras.
Le directeur claque la partie de ses fesses qui n'est recouverte uniquement de son collant. Elles deviennent bien rouge à travers. Lorsqu'il s'arrête Caroline s'effondre sur le bureau et éclate en sanglots.
- Conduisez la jusqu'à son cours !
Le surveillant aide Caroline à se lever, alors qu'elle tente de se calmer et de recouvrer ses esprits.
- Souvenez-vous Caroline de ce que je vous ai promis si je dois encore vous reprendre...
Caroline et le surveillant sortent du bureau, en direction de sa salle de classe.
Peu à peu, elle entend la cour se remplir, puis la cloche signifiant le début des cours retentir. Mais elle est incapable de sortir, elle sait qu'elle ne pourra pas rester là indéfiniment, cependant elle n'a pas le courage de passer la porte pour le moment. Elle hésite à retourner voir le proviseur pour le supplier. Par trois fois elle sort des toilettes et revient finalement s'enfermer sachant qu'il ne voudra rien savoir.
La première heure de cours se passe et la cloche sonne à nouveau sans que Caroline n'est bougé.
De son côté, le proviseur est informé de l'absence de Caroline par le surveillant :
- Elle est forcément dans l'établissement ! En sous-vêtements elle ne va pas aller bien loin ! Je dois m'absenter un moment, mais trouvez là et faites la venir ici. Je m'occuperez d'elle à mon retour...
Les surveillant quitte son bureau et commence immédiatement ses recherches. Il ouvre toutes les réserves, les placards et termine par les toilettes.
Caroline sursaute quand la clanche de la porte s'abaisse d'un coup, ça frappe à la porte, elle reconnait la voix du surveillant :
- Qui est là ?
Caroline n'ose répondre.
- Caroline, je sais que c'est vous. Ouvrez ! Vous ne pourrez pas rester cachée toute la journée... Et Monsieur le proviseur est déjà assez remonté comme ça à cause de votre absence en cours de ce matin !
N'ayant d'autre choix, Caroline déverrouille la porte et l'ouvre. Son regards ne croise pas celui du surveillant.
- Vous vous êtes mis dans de beaux draps, et vous n'arrangez pas votre cas... Venez je vais vous conduire dans le bureau du directeur.
Caroline ne sait pas depuis combien de temps elle est là, mais ça lui parait une éternité. Ses genoux lui font mal. Le surveillant l'a mise ici, face au mur, à genoux, les mains au dessus de la tête. Il lui a dit de ne pas bouger jusqu'à ce que le directeur revienne. A plusieurs reprise, elle se lève et détend ses bras, puis elle se remet rapidement en position de peur que le directeur ne rentre d'un coup.
Finalement elle entend le directeur parler avec le surveillant avant qu'ils n'entrent. Les battements de son coeur s'accélèrent quand la porte s'ouvre brusquement.
- Je vous préviens Caroline, si je dois une nouvelle fois vous reprocher quoi que ce soit durant votre période de punition, c'est sans votre culotte que vous assisterez aux cours !!!!
Le directeur ne laisse pas le temps à Caroline de digérer ce qu'il vient de lui annoncer.
- Levez-vous et venez ici ! Avez-vous déjà reçu une fessée Caroline ?
Caroline se lève accusant le coup, elle se retourne toujours aussi gênée.
- Je vous ai posé une question Caroline ?
Elle secoue la tête incapable de prononcer le moindre mot.
- Très bien, nous allons remédier à ça tout de suite. Je pense que vous auriez du en recevoir plus tôt !
Le directeur vient la chercher et la tire par le bras pour lui faire faire les deux derniers mètres qui la sépare de son bureau.
- Courbez-vous sur mon bureau bras tendus !
Puis il s'adresse au surveillant :
- Allez lui tenir les mains qu'elle ne bouge pas !
Le surveillant fait le tour du bureau et maintient Caroline par les poignets. Il lit la panique dans ces yeux et voit des larmes couler sur ses joues. Elle ferme les yeux quand la première claque arrive. Elle serre les dents pour ne pas crier, le surveillant comprend à ses grimaces que le directeur ne retient pas ses claques. Elle pleure, le surveillant ne lui tient plus les poignets car c'est maintenant Caroline qui s'agrippe sans s'en rendre compte à ses bras.
Le directeur claque la partie de ses fesses qui n'est recouverte uniquement de son collant. Elles deviennent bien rouge à travers. Lorsqu'il s'arrête Caroline s'effondre sur le bureau et éclate en sanglots.
- Conduisez la jusqu'à son cours !
Le surveillant aide Caroline à se lever, alors qu'elle tente de se calmer et de recouvrer ses esprits.
- Souvenez-vous Caroline de ce que je vous ai promis si je dois encore vous reprendre...
Caroline et le surveillant sortent du bureau, en direction de sa salle de classe.
mardi 3 septembre 2019
La gazette 2
La nuit de Caroline fut particulièrement agitée. Elle s'en voulait d'avoir été aussi odieuse avec son professeur de Mathématiques. Bien que celui-ci soit aussi sévère et antipathique, elle n'aurait jamais du parler de lui ainsi. Elle se dit qu'elle mérite bien ce qui lui arrive. Pourtant en passant les portes de l'établissement, elle a la boule au ventre. Le lycée est encore vide, seul le directeur est arrivé, elle voit que la lumière de son bureau est allumée. La porte est ouverte, elle s'approche à petits pas pour signifier sa présence. L'accueil est glacial, ce qui ne la rassure pas.
Le proviseur s'approche d'elle d'un pas décidé, elle croit un instant qu'elle va recevoir un gifle, mais il la prend par la veste au niveau de l'épaule pour l'emmener jusque devant son bureau.
Décontenancée, Caroline remet sa veste correctement, ses jambes tremblent elle s'assoit sur la chaise.
- Restez debout ! Et enlevez-moi cette veste !
Caroline se lève aussitôt, elle retire sa veste sans comprendre, le proviseur lui arrache des mains et pointe du doigt l'écusson de l'établissement brodé dessus.
- Vous n'êtes pas digne de porter cette veste !
- A partir de maintenant et jusqu'à ce que je le décide, vous êtes punie. Le soir après les cours, vous aurez 2 heures de colle, ici dans mon bureau. Vous en profiterez pour travailler sur vos leçons et faire un exposé sur la tolérance que vous présenterez vous-même à l'ensemble des élèves.
Caroline savait qu'elle allait être sanctionnée et accepte la punition le plus poliment possible.
- Ce n'est pas tout, dans la journée vous profiterez de vos temps libres pour méditer sur vos actes et les conséquences que cela implique. Pendant les pauses, vous resterez sous le préau, le midi, vous mangerez seule à une table et les heures ou vous n'aurez pas de cours, vous irez dans la salle de permanence.
Elle se demande combien de temps va durer cette punition. Le fait de manger seule à une table à la cantine et rester isolée pendant les pauses l'inquiète par rapport à ce que vont penser les autres. Caroline est assez discrète et le fait d'être mise en avant ainsi ne lui plait pas. Le proviseur continue :
- Lorsque vous serez sous le préau, ainsi que dans la salle de permanence, vous irez vous placer face au mur. Vous vous y mettrez à genoux et poserez vos mains au dessus de votre tête. Et ce du début à la fin de la séance.
Caroline relève la tête en se demandant si le proviseur est sérieux. Vu son visage remplit de colère, elle comprend rapidement qu'il ne plaisante pas. Elle ne s'imagine pas rester ainsi :
- Monsieur... Je ne vais pas me mettre à genoux devant tout le monde !!!
Le proviseur reste impassible.
- Bien sur que si. Je tiens à ce que vous vous souveniez de cette punition. Et le fait que tout le monde vous voit punie fait intégralement parti de cette punition. Elle n'en sera que plus sévère pour vous et pour les autres cela servira d'exemple.
Caroline se sent mal, elle sait que le proviseur ne reviendra pas sur sa punition.
- Il y a un écusson sur votre jupe et sur votre polo ?
Sans s'en rendre compte, Caroline passe la main sur l'écusson de son polo sans répondre.
- ça vaut aussi pour ses vêtements Enlevez-les !
Après un moment de stupéfaction, Caroline refuse. La gifle qu'elle croyait recevoir en entrant arrive sur sa joue sans qu'elle ne la voit venir. Elle se tient la joue et lève ses yeux embués vers le proviseur. Sa main est levée comme pour lui en donner une deuxième.
- Enlevez votre jupe et votre polo !
Caroline pleure cette fois-ci, elle n'arrive pas à le faire. La main du proviseur s'abat sur la même joue. Son visage est rouge, et ça lui chauffe.
- Vous en voulez une troisième ? Dépêchez-vous !
Caroline défait la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pied et déboutonne son polo. Pendant qu'elle l'enlève le proviseur ramasse sa jupe et lui prend ensuite son polo. Elle croise ses bras sur ses épaules et baisse la tête.
- Voilà votre tenue pour la durée de votre punition ! Vous viendrez me donner vos vêtements tous les matins et les reprendrez avant de partir le soir.
Caroline fond en sanglots, tandis que le proviseur va ouvrir la porte.
- Allez en cours maintenant !
Caroline sort du bureau à petits pas, ses bras cachent toujours sa poitrine. Elle s'apprête à devoir sortir avec juste cet ensemble soutif et culotte blanche simplement recouverte de son collant transparent.
Le proviseur s'approche d'elle d'un pas décidé, elle croit un instant qu'elle va recevoir un gifle, mais il la prend par la veste au niveau de l'épaule pour l'emmener jusque devant son bureau.
Décontenancée, Caroline remet sa veste correctement, ses jambes tremblent elle s'assoit sur la chaise.
- Restez debout ! Et enlevez-moi cette veste !
Caroline se lève aussitôt, elle retire sa veste sans comprendre, le proviseur lui arrache des mains et pointe du doigt l'écusson de l'établissement brodé dessus.
- Vous n'êtes pas digne de porter cette veste !
- A partir de maintenant et jusqu'à ce que je le décide, vous êtes punie. Le soir après les cours, vous aurez 2 heures de colle, ici dans mon bureau. Vous en profiterez pour travailler sur vos leçons et faire un exposé sur la tolérance que vous présenterez vous-même à l'ensemble des élèves.
Caroline savait qu'elle allait être sanctionnée et accepte la punition le plus poliment possible.
- Ce n'est pas tout, dans la journée vous profiterez de vos temps libres pour méditer sur vos actes et les conséquences que cela implique. Pendant les pauses, vous resterez sous le préau, le midi, vous mangerez seule à une table et les heures ou vous n'aurez pas de cours, vous irez dans la salle de permanence.
Elle se demande combien de temps va durer cette punition. Le fait de manger seule à une table à la cantine et rester isolée pendant les pauses l'inquiète par rapport à ce que vont penser les autres. Caroline est assez discrète et le fait d'être mise en avant ainsi ne lui plait pas. Le proviseur continue :
- Lorsque vous serez sous le préau, ainsi que dans la salle de permanence, vous irez vous placer face au mur. Vous vous y mettrez à genoux et poserez vos mains au dessus de votre tête. Et ce du début à la fin de la séance.
Caroline relève la tête en se demandant si le proviseur est sérieux. Vu son visage remplit de colère, elle comprend rapidement qu'il ne plaisante pas. Elle ne s'imagine pas rester ainsi :
- Monsieur... Je ne vais pas me mettre à genoux devant tout le monde !!!
Le proviseur reste impassible.
- Bien sur que si. Je tiens à ce que vous vous souveniez de cette punition. Et le fait que tout le monde vous voit punie fait intégralement parti de cette punition. Elle n'en sera que plus sévère pour vous et pour les autres cela servira d'exemple.
Caroline se sent mal, elle sait que le proviseur ne reviendra pas sur sa punition.
- Il y a un écusson sur votre jupe et sur votre polo ?
Sans s'en rendre compte, Caroline passe la main sur l'écusson de son polo sans répondre.
- ça vaut aussi pour ses vêtements Enlevez-les !
Après un moment de stupéfaction, Caroline refuse. La gifle qu'elle croyait recevoir en entrant arrive sur sa joue sans qu'elle ne la voit venir. Elle se tient la joue et lève ses yeux embués vers le proviseur. Sa main est levée comme pour lui en donner une deuxième.
- Enlevez votre jupe et votre polo !
Caroline pleure cette fois-ci, elle n'arrive pas à le faire. La main du proviseur s'abat sur la même joue. Son visage est rouge, et ça lui chauffe.
- Vous en voulez une troisième ? Dépêchez-vous !
Caroline défait la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pied et déboutonne son polo. Pendant qu'elle l'enlève le proviseur ramasse sa jupe et lui prend ensuite son polo. Elle croise ses bras sur ses épaules et baisse la tête.
- Voilà votre tenue pour la durée de votre punition ! Vous viendrez me donner vos vêtements tous les matins et les reprendrez avant de partir le soir.
Caroline fond en sanglots, tandis que le proviseur va ouvrir la porte.
- Allez en cours maintenant !
Caroline sort du bureau à petits pas, ses bras cachent toujours sa poitrine. Elle s'apprête à devoir sortir avec juste cet ensemble soutif et culotte blanche simplement recouverte de son collant transparent.
lundi 2 septembre 2019
La gazette
Caroline est arrivée dans cette nouvelle école privée suite au déménagement de ses parents. Elle ne connaissait personne et ses débuts ont été compliqué. D'autant plus qu'elle n'était pas habituée à la discipline qui règne dans cet établissement ainsi qu'à son caractère austère. Rien ne ressemblait à son ancien lycée public dans lequel elle était avant. Et la vie à la campagne était bien différente que dans une grande ville.
Pour s'occuper et aussi pour remplir une action en vue de son examen de littérature, elle avait eu la possibilité de reprendre la gestion et l'écriture de la petite gazette de l'école. Un journal, dans lequel il y avait l'actualité de l'école et aussi quelques pages d'expression des élèves et des professeurs.
Elle prenait plaisir à effectuer ce travail, tout se passa bien jusqu'à ce jour de janvier où le proviseur lui demande de le suivre dans son bureau. Elle s'installe face à lui, alors qu'il sort la gazette à la page des expressions, dont une était entourée en rouge.
- Caroline, vous êtes une bonne élève, intelligente... votre gestion du journal était jusqu'à présent irréprochable ! Mais là... Comment avez-vous pu relayer de tels propos ?
Caroline lit l'article en rougissant. Il s'agit d'un article anonyme relayant des propos irrespectueux et injurieux envers un prof de Mathématiques clairement cité. Celui-ci est d'origine étrangère, et l'article fait de plus état de propos raciste à son égard.
Ce genre de propos est fortement combattus dans l'établissement, surtout durant cette année sous le signe de la tolérance. Caroline essaie de faire bonne figure :
- Oui c'est intolérable. Je n'avais pas pris la mesure de cette article, j'aurais du le relire avec plus de concentration avant de le publier. Je tiens à vous présenter mes excuses et j'irai demander des excuses au professeur de Maths.
Caroline est tellement convaincante que le proviseur lui pardonne son erreur.
- Bon ! Veillez à bien tout vérifier dorénavant. Pouvez-vous me dire qui a écrit cet horreur ?
Caroline croyez pouvoir s'en sortir avec des excuses, mais maintenant voilà qu'il cherche à en savoir plus.
- Je... je ne sais plus du tout.
- Je vous laisse retrouver, je veux absolument savoir qui est-ce ! Cherchez dans vos papiers, je veux voir l'écriture ou dans vos mail et redites moi ça demain. Vous pouvez retourner en cours.
Caroline cherche une solution pour satisfaire la demande du proviseur, mais elle ne sait pas comment s'y prendre. Le lendemain matin, le proviseur l'interpelle dans la cours pour lui demander qui est-ce.
Caroline lui répond un peu penaude :
- J'ai chercher partout, je n'ai aucune trace de ce texte... Je pense qu'il était anonyme, et sans doute sur papier... parfois je garde des textes que je publie plus tard, si ça se trouve c'est assez vieux, je ne l'ai pas gardé quand je lai publié...
Le proviseur parait déçu de la réponse de Caroline et repars en lui disant qu'elle vienne le voir si elle a du nouveau.
Une semaine se passe et Caroline n'entend plus parler de cette histoire. Elle est rassurée que cet article soit enfin oublié, bien qu'il ait fait grand bruit dans l'établissement les deux premiers jours.
Mais au détours d'un couloir le proviseur vient l'interpeller :
- Caroline, j'imagine que vous n'avez pas avancé sur l'identité de cette personne, sinon vous seriez venue me voir ?
- Non Monsieur, je suis désolée.
- Ce n'est pas très grave, j'ai de fort soupçon sur cette personne, je pense même l'avoir trouvé.
- Ah bon, vous savez qui c'est...
- Oui mais je ne peux pas vous le dire tout de suite.
- Le principal, c'est d'avoir trouvé le fautif afin que ça ne se reproduise plus...
- Ne vous inquiétez pas pour ça, ça ne se produira plus ! Je le convoquerai bientôt, je veux juste lui laisser une dernière chance de venir me voir avec des explications cohérentes. S'il ne le fait pas, je serai intransigeant.
Le proviseur continue en laissant Caroline à ses interrogations. Elle se demande qui il peut bien avoir en vu ? Que veut-il dire par dernière chance ? Elle se dit qu'il a l'air sur de lui quand il dit savoir qui sait... Ses questions se baladent toute la journée dans sa tête, si bien que le soir au lieu de sortir de l'établissement, elle se dirige vers le bureau du proviseur et frappe à sa porte :
- Caroline !! Entrez, asseyez-vous...
Caroline entre et s'assoit. Elle reste silencieuse, les yeux un peu embués. le proviseur vient s'appuyer sur son bureau face à elle, Caroline ne lève pas la tête.
- Vous êtes venue me dire que vous n'avez jamais eu de texte de la part d'aucun élève...
- Et que c'est vous même qui avez écrit ses propos ?
Son silence ne contredit pas le proviseur, elle prend sa tête dans ses mains, des larmes coulent sur ses genoux.
- Avez-vous quelque chose à dire pour vous justifier ?
Incapable de parler, Caroline secoue la tête.
- Bon, j'en déduis que c'était simplement pour insulter et dégrader l'image de votre professeur !
- Sortez maintenant ! Et revenez ici demain matin à 8 H !!
Pour s'occuper et aussi pour remplir une action en vue de son examen de littérature, elle avait eu la possibilité de reprendre la gestion et l'écriture de la petite gazette de l'école. Un journal, dans lequel il y avait l'actualité de l'école et aussi quelques pages d'expression des élèves et des professeurs.
Elle prenait plaisir à effectuer ce travail, tout se passa bien jusqu'à ce jour de janvier où le proviseur lui demande de le suivre dans son bureau. Elle s'installe face à lui, alors qu'il sort la gazette à la page des expressions, dont une était entourée en rouge.
- Caroline, vous êtes une bonne élève, intelligente... votre gestion du journal était jusqu'à présent irréprochable ! Mais là... Comment avez-vous pu relayer de tels propos ?
Caroline lit l'article en rougissant. Il s'agit d'un article anonyme relayant des propos irrespectueux et injurieux envers un prof de Mathématiques clairement cité. Celui-ci est d'origine étrangère, et l'article fait de plus état de propos raciste à son égard.
Ce genre de propos est fortement combattus dans l'établissement, surtout durant cette année sous le signe de la tolérance. Caroline essaie de faire bonne figure :
- Oui c'est intolérable. Je n'avais pas pris la mesure de cette article, j'aurais du le relire avec plus de concentration avant de le publier. Je tiens à vous présenter mes excuses et j'irai demander des excuses au professeur de Maths.
Caroline est tellement convaincante que le proviseur lui pardonne son erreur.
- Bon ! Veillez à bien tout vérifier dorénavant. Pouvez-vous me dire qui a écrit cet horreur ?
Caroline croyez pouvoir s'en sortir avec des excuses, mais maintenant voilà qu'il cherche à en savoir plus.
- Je... je ne sais plus du tout.
- Je vous laisse retrouver, je veux absolument savoir qui est-ce ! Cherchez dans vos papiers, je veux voir l'écriture ou dans vos mail et redites moi ça demain. Vous pouvez retourner en cours.
Caroline cherche une solution pour satisfaire la demande du proviseur, mais elle ne sait pas comment s'y prendre. Le lendemain matin, le proviseur l'interpelle dans la cours pour lui demander qui est-ce.
Caroline lui répond un peu penaude :
- J'ai chercher partout, je n'ai aucune trace de ce texte... Je pense qu'il était anonyme, et sans doute sur papier... parfois je garde des textes que je publie plus tard, si ça se trouve c'est assez vieux, je ne l'ai pas gardé quand je lai publié...
Le proviseur parait déçu de la réponse de Caroline et repars en lui disant qu'elle vienne le voir si elle a du nouveau.
Une semaine se passe et Caroline n'entend plus parler de cette histoire. Elle est rassurée que cet article soit enfin oublié, bien qu'il ait fait grand bruit dans l'établissement les deux premiers jours.
Mais au détours d'un couloir le proviseur vient l'interpeller :
- Caroline, j'imagine que vous n'avez pas avancé sur l'identité de cette personne, sinon vous seriez venue me voir ?
- Non Monsieur, je suis désolée.
- Ce n'est pas très grave, j'ai de fort soupçon sur cette personne, je pense même l'avoir trouvé.
- Ah bon, vous savez qui c'est...
- Oui mais je ne peux pas vous le dire tout de suite.
- Le principal, c'est d'avoir trouvé le fautif afin que ça ne se reproduise plus...
- Ne vous inquiétez pas pour ça, ça ne se produira plus ! Je le convoquerai bientôt, je veux juste lui laisser une dernière chance de venir me voir avec des explications cohérentes. S'il ne le fait pas, je serai intransigeant.
Le proviseur continue en laissant Caroline à ses interrogations. Elle se demande qui il peut bien avoir en vu ? Que veut-il dire par dernière chance ? Elle se dit qu'il a l'air sur de lui quand il dit savoir qui sait... Ses questions se baladent toute la journée dans sa tête, si bien que le soir au lieu de sortir de l'établissement, elle se dirige vers le bureau du proviseur et frappe à sa porte :
- Caroline !! Entrez, asseyez-vous...
Caroline entre et s'assoit. Elle reste silencieuse, les yeux un peu embués. le proviseur vient s'appuyer sur son bureau face à elle, Caroline ne lève pas la tête.
- Vous êtes venue me dire que vous n'avez jamais eu de texte de la part d'aucun élève...
- Et que c'est vous même qui avez écrit ses propos ?
Son silence ne contredit pas le proviseur, elle prend sa tête dans ses mains, des larmes coulent sur ses genoux.
- Avez-vous quelque chose à dire pour vous justifier ?
Incapable de parler, Caroline secoue la tête.
- Bon, j'en déduis que c'était simplement pour insulter et dégrader l'image de votre professeur !
- Sortez maintenant ! Et revenez ici demain matin à 8 H !!
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