lundi 27 mai 2013

Règlement disciplinaire : 1ère punition


Cela faisait déjà quelques mois que le nouveau règlement était entré en vigueur. Les garçons attendaient avec impatience le premier écart d'une de leurs camarades, mais toutes les filles étaient si attentives et si appliquées par peur de la sanction, qu'aucune punition ne leur avait été donnée. Du moins personne n'en avait eu connaissance, car il est possible que certaines avaient déjà reçu la fessée en privé, mais dans ce cas, elles ne s’en seraient évidemment pas vantées.
Finalement, cette partie du règlement qui avait fait grand bruit au début, tombait peu à peu aux oubliettes. Les garçons quant à eux, subissaient durement les rigueurs du nouveau code disciplinaire. Les punitions et les corvées leur étaient distribuées à tour de bras. Il est vrai que les professeurs étaient plus sévères avec eux, ils donnaient facilement deux heures de colle assorties de pénibles travaux à un garçon alors qu'ils n'auraient même pas donné une fessée sur la culotte à une élève pour une faute identique.

Au cours de la première année, un seul évènement mérite d’être relevé.
En cours de Mathématiques, une des filles de première n'arrêtait pas de se retourner pour discuter et rigoler avec ses copines. Non seulement elle ne prêtait aucune attention à l’exposé du professeur mais elle perturbait toute la classe car chacun observait son manège, tant elle était jolie. Le prof agacé, lui dit plusieurs fois de se retourner et d'être plus attentive. Après un énième avertissement, il hausse le ton :
- Mademoiselle, prenez votre règlement intérieur.
La jeune fille se retourne et constate au regard sévère que lui adresse le prof, que c'est bien à elle qu'il en a. Elle bredouille quelques mots d’excuses, et dit qu'elle n'a pas entendu.
- Vous m'avez très bien compris ! Sortez votre règlement intérieur !
Elodie donne le change en fouillant dans son sac mais elle sait pertinemment qu'elle ne l'a pas avec elle.
- Et en plus, elle n'a pas son règlement... Vous savez pourtant bien que tout élève doit constamment l’avoir avec lui. C’est même la première règle à respecter !
Sa voisine vient à son secours en lui tendant son règlement.
- Prenez le chapitre du règlement disciplinaire. Section filles.
Très bien, maintenant debout et lisez-nous à haute voix la page consacrée aux châtiments corporels.
Elodie relève d'un coup la tête et regarde le professeur en se demandant s'il est sérieux. Voyant son air déterminé, elle trouve  la bonne page, se lève et commence à lire timidement :
- Article 18 : Tous les membres...
- Recommencez. Plus haut, que tout le monde vous entende bien !
Elodie lit, cette fois, à voix haute. Plus elle progresse dans le règlement, plus ses joues deviennent rouges. Elle passe en revue les personnes habilitées, la nature des fautes et des sanctions, puis vient les articles consacrés aux temps et lieux des sanctions.
Quand elle lit l’article sur les sanctions publiques ou privées, ses joues sont carrément cramoisies.
- ... Lorsqu'une punition privée doit être infligée sans retard pendant un cours, elle peut être administrée dans le 
couloir de la classe sans qu'elle soit pour autant considérée comme publique
- Stop ! Arrêtez-vous là ! Je pense que nous sommes bien dans le cas de figure envisagé par le règlement. Sortez dans le couloir !
Elodie hésite, alors que le professeur va ouvrir la porte.
- Allons Mademoiselle, dépêchez-vous !
Elle marche timidement dans les rangs et passe la porte devant le prof. Il la suit et esquisse le geste de refermer la porte puis se ravise et au contraire, l’ouvre en grand. Tout le monde se regarde en silence dans la classe. Les élèves ne peuvent voir ce qui se passe et aucun n'oserait prendre le risque de quitter sa place. Mais après un bruit de pas qui s’éloignent, ils entendent vite Elodie se débattre et crier : "Non, pas ça... S'il vous plait, je vous en prie... non pas ici . . . je ne le ferai plus, je vous le jure."  Ses protestations et suppliques sont interrompues par le bruit reconnaissable entre tous, des claques qui s'abattent sur ses fesses. Certains élèves en comptent dix.
Peu après, Elodie revient en ajustant sa jupe. Ses yeux sont brillants, elle se dirige tête basse vers sa place, mais le professeur l’en empêche :
- Non, non, non, pas de cela, Mademoiselle. Au piquet maintenant ! Le nez collé au mur. Ainsi, je crois que vous ne serez plus tentée de vous retourner...
Et si je dois vous y reprendre encore une fois, je ne me contenterai pas de relever cette jupe.
Le prof place Elodie face au mur et pose ses mains au-dessus de sa tête.
- Et estimez-vous heureuse, je pourrais vous relever votre jupe comme je l’ai fait pour vous fesser !
Elodie est d’autant plus mortifiée que chacun sait désormais qu’elle a dû exposer sa culotte au prof. Elle reste ainsi pendant les dix dernières minutes du cours.
A partir de ce jour, toutes les filles ont compris qu'elles pourraient être punies à tout moment.

samedi 25 mai 2013

Extrait du règlement disciplinaire


Concerne : les châtiments corporels applicables aux élèves de sexe féminin des classes de tous niveaux


Personnel habilité à prononcer et à exécuter un châtiment corporel

Article 18 : Tous les membres, qu’ils soient masculins et féminins, du corps professoral, du staff administratif et du personnel d’encadrement sont habilités à décerner un châtiment corporel aux élèves et étudiantes susmentionnées.
Article 20 : La punition est administrée par le membre du personnel qui l’a décernée. Il peut toutefois en déléguer l’exécution à un(e) collègue.
Article 21 : Les membres du personnel auxiliaire (personnel de cantine et d’entretien) ne sont pas autorisés à décider ou à infliger une telle punition. Ils sont cependant instamment invités à dénoncer immédiatement aux autorités visées à l’article 18, toutes infractions qu’ils auraient constatés et particulièrement les manquements aux règles de civilité, de respect et de politesse.

Nature des fautes susceptibles d’être réprimées par un châtiment corporel

Tout cas d’indiscipline grave peut être sanctionné par un châtiment corporel.
Les cas d’indisciplines plus légères mais répétées peuvent également faire l’objet de semblable punition.
En principe, l’échec scolaire ne peut être visé par ce genre de sanction sauf s’il résulte manifestement d’un manque d’étude durable et volontaire. Dans ce cas, le recours à un châtiment corporel peut être décidé, si la situation perdure après un avertissement explicite.  

Nature des sanctions

Article 22 : Les châtiments corporels consistent en des fessées administrées à main nue, exclusivement sur le fessier et le haut des cuisses. L’exécutant choisira parmi les positions suivantes la plus adéquate :
Debout, mains sur la tête ;
Debout, mains aux chevilles ;
Courbée sur une chaise ou un bureau ;
A genoux, courbée sur une table basse ;
Etendue en travers d’un accoudoir ;
Etendue en travers des genoux de l’exécutant.

Temps et lieux d’administration des sanctions

Article 23 : Les punitions sont infligées immédiatement ou peuvent être différées. Elles peuvent être administrées en tous lieux de l’école. Si une punition est décernée à l’extérieur de l’établissement (excursion, activité sportive, visite de musée etc), son exécution sera reportée jusqu’à ce que l’élève ou l’étudiante soit de retour dans l’enceinte de l’établissement. Par dérogation à cette règle, en cas de visite dans un autre établissement scolaire (par exemple lors des matchs inter-écoles), la sanction pourra être administrée en son sein. Toutefois si le règlement disciplinaire de l’établissement visité ne prévoit pas de châtiments corporels, cette exécution est subordonnée à l’accord de son proviseur.

Sanctions privées et sanctions publiques

Article 24 : Les châtiments corporels sont en principe exécutés en privé. Toutefois, en fonction de la gravité de l’infraction et/ou afin de conférer une valeur d’exemple à la sanction, il peut être décidé de donner à son exécution un caractère public.
Une punition est considérée comme publique quand elle est administrée en un lieu accessible aux autres élèves (classe, couloirs, cours, plaine de sport, cantine etc.) indépendamment de la présence effective ou non de témoins.
Elle est par contre considérée comme privée, quand elle est infligée dans un local normalement non accessible aux élèves (bureaux, salle des professeurs etc.)
La circonstance que la porte de la pièce soit ouverte ou que les fenêtres ne soient pas occultées et que dès lors la punition puisse être accidentellement ou occasionnellement visible de l’extérieur n‘ôte pas à une punition son caractère privé. Il en est de même lorsque d’autres personnes visées à l’article 18 sont présentes.
Lorsqu’une punition privée doit être infligée sans retard pendant un cours, elle peut être administrée dans le couloir de la classe sans qu’elle soit pour autant considérée comme publique, à condition qu’elle soit terminée (ou suspendue) avant l’intercours.
Article 25 : Dans les cas visés à l’article 21, une punition administrée en présence du membre du personnel auxiliaire qui a dénoncé l’infraction (ou qui en a été la victime) n’est pas considérée comme publique.

Catégories de sanctions

Article 26 : Les châtiments corporels de catégorie 1, dits ordinaires, sont infligés en fonction de la gravité de la sanction, soit par-dessus l’uniforme, soit à même la culotte. Dans ce dernier cas, la jupe ou la robe sera relevée ou le pantalon abaissé. Toutefois, il peut être également requis d’ôter complètement les vêtements susmentionnés.
Article 27 : Les châtiments corporels de catégorie 2, dits aggravés, sont infligés à même la peau du fessier et des cuisses. En fonction de la gradation du châtiment, outre la préparation prévue à l’article précédent, la culotte sera abaissée ou devra être complètement ôtée.
Article 28 : A l’inverse des châtiments de catégorie 1 et 2 qui sont du ressort de personnes visées  à l’article 18, les châtiments corporels de catégorie 3, dits extraordinaires, ne peuvent être décidés que par le Conseil de discipline. Ils sont exécutés dans la grande salle de réunion en présence de l’ensemble des élèves, du personnel et des représentants de l’association des parents. L’élève punie entrera la dernière, elle se sera préalablement dévêtue dans le hall d’entrée afin de se présenter dans la salle de réunion en sous-vêtements. Cette tenue ne préjudicie cependant pas de celle qui lui sera imposée durant le châtiment lui-même. Les sanctions de catégorie 3 ne comportent pas de limitations à cet égard et peuvent aller jusqu’à requérir la nudité complète de l’élève. La fessée peut être infligée à main nue et/ou au moyen d’une paddle. Pour des raisons de sécurité, la paddle ne peut toutefois être utilisée que sur la peau nue.

Punitions prolongées

Article 29 : Quelle que soit leur catégorie, les châtiments corporels peuvent être prolongés par une durée de deux heures maximum d’exposition, durant laquelle l’élève punie sera tenue de rester immobile debout, à genoux ou dans la position qui lui a été imposée pendant sa punition. Il pourra lui être ordonné durant cette période de poser les mains sur la tête ou de les croiser dans le dos. La tenue vestimentaire dans laquelle cette mise au piquet est effectuée est laissée à la libre appréciation de l’exécutant mais ne peut, en aucun cas, être plus sévère que celle de la punition elle-même.

Punitions complémentaires

Article 30 : Quelle que soit leur catégorie, les châtiments corporels peuvent être assortis d’une peine complémentaire consistant en l’obligation d’effectuer des corvées au service de la communauté scolaire, durant une période continue de maximum 4 heures ou intermittentes de maximum 8 heures. La tenue vestimentaire dans laquelle ces services sont effectués est laissée à la libre appréciation de l’autorité qui a décidé de la punition principale mais ne peut, en aucun cas, être plus sévère que la tenue de celle-ci.  Ces corvées sont placées sous la conduite du responsable des services auxiliaires concernés (chef de cantine ou manager des équipes d’entretien) ou de son délégué.

Mesures générales de protection

Article 31 : Les élèves et étudiants feront preuve de la plus grande courtoisie à l’égard de leurs camarades punies publiquement et ce tout particulièrement lorsqu’un châtiment corporel nécessite un déshabillage plus ou moins conséquent. L’exposition aux regards n’autorise nullement des attitudes de harcèlement, gestes ou propos déplacés. Aucun comportement de ce type ne sera donc toléré, avant, durant ou après les punitions.
Il est rappelé à cet égard que les appareils de téléphone et de photos sont interdits d’utilisation dans l’enceinte de l’établissement. Tout élève surpris à photographier ou à tenter de photographier une élève punie subira immédiatement une sanction à tout le moins équivalente.   

jeudi 2 mai 2013

Pas de Bac = Pension (2ème partie)


Caroline patiente, tête basse, les mains croisées l’une sur l’autre pour protéger son intimité. Monsieur Lefranc, le proviseur et son interlocuteur échangent des banalités sans lui prêter la moindre attention, jusqu’au moment où le directeur du restaurant en vient au but de sa visite :
- Nous avons une réception ce soir. J’aurais besoin d’élèves pour le service. Je suis venu avec ceux qui sont inscrits au rôle ce mois-ci, pour que tu m’en choisisses trois.
- Caroline est collée ce weekend. Elle est toute désignée. Elle sera à ta disposition pour faire la plonge des cuisiniers avant le service.
Il se tourne vers Caroline qui a relevé la tête et en insistant lourdement sur chaque mot :
- Elle sera la responsable du service à table ce soir. Je veux un service impeccable, sans l’ombre d’un reproche.
Monsieur Dutry, le directeur du restaurant renchérit :
-Puisque tu es collée, tu resteras aussi pour le rangement après le service et tu te débrouilleras seule pendant que les autres membres du personnel se restaureront.
- Il te faut donc encore deux autres élèves ?
- Oui j’en ai sept avec moi, tous des garçons mais il faut voir le planning. Je pense qu’il y en a plusieurs qui sont en retard d’heures.
Le proviseur va chercher le planning au secrétariat, en rentrant, il dit à Caroline de remettre sa jupe et il la place derrière son bureau face au mur. Il prend soin de poser ses mains au-dessus de sa tête puis il s’accroupit derrière elle et en lançant un clin d’œil à son collègue, il descend sa culotte et son collant, juste sous l’ourlet de la jupe.
A sa demande, Monsieur Dutry fait entrer les élèves. Caroline se mord les lèvres de dépit. Ses fesses ne sont plus visibles mais sa position de pénitente et ses sous-vêtements enroulés au-dessus de ses genoux sur ses cuisses suffisent à indiquer son statut. Elle voudrait savoir qui est derrière elle. Quand le proviseur demande deux volontaires, personne ne bronche. Il ajoute d’un air entendu que Caroline sera la responsable de l’équipe et aussitôt bizarrement tous les doigts se lèvent.
Les deux enseignants font leur choix et libèrent les cinq malchanceux. Ils interrogent ensuite les retenus sur leurs prestations précédentes. La discussion s’éternise et Caroline qui ne supporte plus sa position humiliante se met à se balancer d’un pied sur l’autre. Quand Monsieur Dutry quitte le bureau en emmenant ses deux camarades, elle n’a pas réussi à deviner leurs noms, impossible de coller un visage à ces voix.
En entendant la porte se refermer, elle se souvient brusquement que le proviseur lui a promis de lui donner la seconde partie de sa fessée lorsqu’ils seraient seuls et elle sent son cœur s’accélérer à cette perceptive aussi embarrassante que douloureuse. Elle n’entend pourtant plus aucun bruit et intriguée, elle finit par oser jeter un coup d’œil derrière elle. Elle est seule dans la pièce. Elle reste plus d’une demi-heure ainsi à attendre sans bouger puis n’y tenant plus, elle rajuste son slip et son collant mais pour faire bonne figure, elle replace tout de même ses mains sur sa tête. Un bon quart d’heure plus tard, elle sursaute en entendant la porte s’ouvrir :
- Eh bien, Caroline ! Il me semble que vous avez bien du mal à rester les fesses à l’air ! Qui vous a autorisée à vous rhabiller ? Je crois que je vais devoir sérieusement m’occuper de vous apprendre l’obéissance et la docilité.
Il s’approche derrière elle et comme il l’a fait précédemment, il déboucle sa ceinture et détache les boutons de sa jupe qui s’affaisse sur ses hanches. Un petit coup  tiré vers le bas et la voilà enroulée une nouvelle fois autour de ses pieds.
- Puisque vous tenez tant à vos sous-vêtements, je vais vous donner l’occasion de les montrer. Vous allez d’abord rester un peu en petite tenue avant que je vous déculotte pour vous fesser.
La saisissant aux épaules, il lui fait faire demi-tour et sans un mot, il entreprend de déboutonner son chemisier en commençant par les manches. Abasourdie, elle se laisse faire et il lui fait glisser délicatement son vêtement sur les épaules. Elle rougit quand le regard du proviseur s’attarde sur sa poitrine que met en évidence un pushing out assez sexy et ne sachant trop quelle contenance prendre, elle replace d’elle-même ses mains sur sa tête.
- Je vous laisse en sous-vêtements pour le moment, mais ce soir pour votre service vos fesses devront être à disposition. Avoir les fesses nues vous aidera à vous rappeler que vous risquez la fessée au moindre faux pas.
J’ai donné carte blanche à  Monsieur Dutry, si nécessaire, il pourra vous punir comme bon lui semblera. Donc ce soir, interdiction de porter un slip ou des collants. Par contre, vous mettrez des bas, vous en avez, n’est-ce pas ? Jupe noire et chemisier blanc de service bien sûr et . . .
Il fixe à nouveau les seins de la jeune fille.
- Et comme petit plus . . . ou plus exactement un petit moins, pour vous apprendre à  ne pas vous rhabiller sans autorisation, je pense que nous dispenserons cette jolie poitrine  de soutien-gorge.
Là, Caroline ne peut s’empêcher d’accuser le coup. Elle se promet bien sûr d’être parfaite pour ne pas donner le moindre prétexte à punition mais par contre elle sait qu’elle ne pourra rien pour éviter que l’on remarque sa nudité sous le fin tissu de son chemisier. Servir en sachant que tout le monde regarde ses tétons va être particulièrement déplaisant.
Le proviseur s’assoit à son bureau pour se remettre au travail, sans plus lui prêter attention. Elle reste debout derrière lui, la jupe toujours entravant ses chevilles, mal à l’aise d’être en soutien, collant et culotte dans ce bureau.
Une heure se passe sans qu’une parole ne soit échangée. Son cœur fait un bond, quand elle voit Monsieur Lefranc se lever et sortir. Il n’a pas refermé la porte. Elle prie pour que personne ne passe par le couloir. L’idée de se décaler pour ne plus être visible lui traverse l’esprit mais elle se dit qu’il veut peut-être mettre son obéissance à l’épreuve en la laissant exprès exposée à ceux qui emprunteraient le couloir et elle reste stoïquement en place.
Soudain, elle entend qu’il l‘appelle de loin. Le cœur battant, elle hésite. Que doit-elle faire ? Son chemisier et sa jupe sont restés sur le dossier d’une chaise. Doit-elle se rhabiller pour sortir dans le couloir ou y aller comme ça ou peut-être les emmener avec elle ?
Un nouvel appel au ton impérieux la convainc de se risquer dehors en petite tenue.
Elle aperçoit le proviseur sur le seuil d’un bureau au bout du couloir, il a l’air très énervé.
- Alors quoi, vous répondez quand on vous appelle ? Venez par ici tout de suite.
Elle parcourt le couloir, un nœud lui serre l’estomac, elle entre dans le bureau sans se rendre compte de suite de la présence de deux garçons.
- Je vous présente vos co-équipiers de ce soir.
Relevant la tête, elle découvre des camarades de sa classe, qui ne se gênent pas pour la détailler de la tête aux pieds. Surprise et choquée, elle recule mais se heurte au proviseur et s’excuse confusément.
- Je ne sais pas si ce soir vous serez punie par Monsieur Dutry. Cela ne dépendra que de vous. Mais si cela devait arriver, je ne tiens pas à ce que vos camarades en soient troublés au point de perturber leur service. Donc pas de chichis, autant briser les tabous tout de suite, ils vont assister à votre fessée. Venez ici.
Dans l’étroit bureau, il saisit Caroline aux épaules et la pousse entre les deux jeunes gens. Il s’assied sur une fesse sur une table et la courbe aussitôt sous son bras. Les claques atterrissent sur son collant, drues et bruyantes et malgré la honte qui la submerge déjà, elle n’a qu’une seule obsession : que son bourreau laisse sa petite culotte en place. Ses jambes flageolent quand il arrête la fessée et que ses doigts crochètent l’arrière de son collant. Mais seul celui-ci glisse entre ses jambes et la fessée reprend sur sa culotte. Après quelques claques, le proviseur la relâche et lui ordonne de retirer son collant :
- Comme je vous l’ai dit, ce soir pas de collant vous porterez des bas.
Tiens à ce propos, informez donc ces jeunes gens de ce que vous n’avez pas le droit non plus de porter ce soir.
Caroline le regarde interloquée puis on la voit respirer un bout coup avant de sortir très vite en rougissant qu’elle n’aura pas de culotte, ni de soutien-gorge. Cela ne suffit pas.
- Exact vous serez nue sous votre jupe et votre chemisier. Mais dites-nous aussi pourquoi je dois vous imposer cette tenue indécente.
- Je . .  je dois pouvoir être facilement fessée si je commets une erreur.
- Tout à fait, Caroline. Vous servirez les fesses nues . . . immédiatement accessibles et à disposition. Et seins nus également sous votre chemisier pour vous apprendre que l’on ne rechigne pas quand un de vos enseignants vous impose une exhibition punitive.
Caroline est penchée sur ses jambes nues, en train de relacer son bottillon, quand elle sent qu’une paume vient lui flatter familièrement la croupe. Elle frémit sous la caresse indiscrète mais ce qu’elle entend lui glace le sang :
- Puisque ce soir, cette mignonne petite culotte vous sera interdite et qu’il en sera de même pour ce soutien si sexy, autant vous y faire tout de suite. Enlevez-moi tout cela. Vous allez rester toute nue jusqu’à ce soir.
Caroline le regarde comme s’il venait de lui parler en serbo-croate, puis ses yeux vont vers l’un et l’autre de ses camarades et elle pique un fard épouvantable en voyant leurs airs attentifs et réjouis.
- Allons Caroline ne faites pas la mijaurée. Vous pouvez nous tourner le dos si cela vous aide. Moi, j’ai déjà contemplé à loisir vos admirables petites fesses et vos copains les ont aussi aperçues du couloir.
Et puis dites-vous bien que vous ne vous présenterez peut-être pas toujours seulement de dos.
Après un moment d’hébètement, Caroline parait reprendre le dessus. Elle sent bien qu’elle ne peut qu’obéir et profiter de l’offre de se montrer de dos, sinon ce sera pire. Les yeux scintillants de larmes, elle se retourne lentement et s’éloigne de quelques pas. Ses mains passent dans son dos et dégrafe son soutien mais aller plus loin semble au-dessus de ses forces et elle retient son soutien d’un bras croisé sur sa poitrine.
- Allons Caroline, soyez raisonnable, nous avons tous autre chose à faire qu’à attendre votre bon vouloir. Pensez à ce qui risque de vous arriver ce soir. Je connais suffisamment Monsieur Dutry pour me douter que s’il est obligé de vous fesser, il n’hésitera pas à remonter toute votre jupe au-dessus de votre ceinture . . . dans le meilleur des cas ! Il pourrait aussi bien décider de vous l’enlever complètement. Alors imaginez-vous en simple chemisier au milieu du restaurant, avec tout ce monde pour vous regarder !
Encore davantage perturbée par ce qu’elle entend et imagine, Caroline fixe le mur face à elle comme paralysée. A bout de patience, le proviseur se rapproche vivement et lui baisse d’un coup son slip sur les genoux Elle a poussé un cri de terreur et tente de rattraper son vêtement mais déjà le proviseur passe devant elle et achève de lui descendre la culotte sur les chevilles. Alors qu’elle tente de se couvrir d’une main, l’autre toujours occupée à retenir son soutien défait, il lui donne une claque sur les doigts et bataille un peu avant de réussir à lui mettre de force les deux bras le long du corps. Il baisse les yeux vers le bas de son ventre et prévient :
- Je compte jusqu’à cinq. Si à cinq, vous ne m’avez pas donné votre slip et votre soutien, je vous promets que ce petit triangle et vos autres trésors n’auront plus aucun secret pour les jeunes gens qui sont derrière vous.
Un . . . deux . . .
Caroline comprend parfaitement la menace et elle se hâte à faire glisser d’un mouvement d’épaules son soutien sur ses bras puis elle récupère sans trop se pencher sa petite culotte et tend le tout à Monsieur Lefranc.
Celui-ci croise les bras plutôt que de s’en emparer immédiatement, jouissant manifestement de la laisser quelques instants encore dans cette attitude d’offrande et de soumission, un bras levé vers lui.
- Vous voyez que ce n’est pas si compliqué de se mettre toute nue. Vous savez, j’en ai vu d’autres, toutes les jeunes filles de votre âge sont faites plus ou moins comme vous.
Il lui prend enfin les sous-vêtements qu’elle lui présente et en lui donnant une grande claque à travers les fesses :
- Allez, filez vous cacher dans mon bureau !
Caroline ne se le fait pas dire deux fois et en se couvrant du mieux qu’elle peut, elle se retourne, traverse la pièce en coup de vent en bousculant les garçons et s’enfuit se réfugier dans l’autre bureau.
Encore tremblante, elle s’adosse au mur près de la porte ouverte et essaye de rassembler ses esprits. C’est à ce moment qu’elle entend Monsieur Lefranc accompagner ses camarades dans le hall et leur donner ses instructions.
- Ramenez ses sous-vêtements dans sa chambre puisqu’elle n’en a plus besoin.
Elle serre les poings de rage en imaginant immédiatement ces deux gars ramenant triomphalement leurs trophées à leurs copains. Ils vont raconter tout ce qu’ils ont vu c’est sûr ! En se penchant prudemment, elle les aperçoit s’éloigner vers l’escalier, ils se poussent joyeusement du coude et l’un d’eux a déjà son long nez enfoui dans sa petite culotte. Mais elle se recule devant le proviseur qui entre en trombe en rappelant les garçons.
- Un instant, Messieurs.
Sans faire attention à Caroline qui se tasse contre une armoire, il va chercher sa jupe et son chemisier.
- Prenez cela aussi. Je préfère la laisser toute nue cet après-midi. Revenez la chercher ici à 18 heures. Vous choisirez dans son armoire une jupe et un chemisier de service. Des bas noirs aussi, elle en a des auto-fixant. Surtout pas des collants.
Il se tourne vers Caroline, invisible pour les garçons restés dans le hall.
- Votre armoire est fermée à clé, Caroline ?
Et comme elle fait non de la tête :
- C’est heureux pour vous, cela vous évitera d’accompagner ces jeunes gens pour leur remettre la clé.
Ni slip, ni soutien. Ah oui, important ! Pour le chemisier, choisissez ce que vous trouverez de plus léger, je me réjouis de voir l’effet de cette jolie poitrine libre sous un fin chemisier. Pour la jupe, pas trop droite de préférence, plutôt ample ce sera plus pratique.
Caroline n’arrive pas à croire qu’il les autorise à fouiller dans ses affaires. Ils vont sûrement s’y mettre toute la bande et vont se régaler à manipuler toutes ses petites culottes. Soudain, elle se sent défaillir. Elle vient de se rappeler du pire. C’est dans la pile de ses sous-vêtements qu’elle cache son petit jouet. Ils vont le trouver, cela ne fait aucun doute. Mais elle n’a pas le temps de s’apitoyer sur son sort, le proviseur a fermé la porte et s’est retourné vers elle qui se recroqueville et se couvre tant qu’elle peut.
- J’ai une folle envie de vous fesser comme je fessais mes élèves du temps où je donnais cours. Il m‘est arrivé quelque fois de devoir sévir durement et pour mater les plus rebelles devaient s’étendre sur mes genoux devant la classe.
Ceci dit, il s’installe à son fauteuil et invite du geste, Caroline à le rejoindre. Une nouvelle fois, il doit lui replacer les bras le long du corps.
- Vous savez que vous avez de la chance que je n’enseigne plus à présent. Vous auriez été l’élève la plus âgée que j’aurais fessée en classe. Au fond, c’est peut-être une idée que je devrais soumettre à vos professeurs. Vous vous voyez fesses nues devant vos camarades. Ou peut-être même entièrement nue comme aujourd’hui. Il m’arrivait aussi souvent d’envoyer les cancres au coin, à côté du tableau, tenant leurs jupes haut relevées et la culotte aux genoux, c’est sûrement ce qu’il vous faudrait.
Caroline visualise la scène. Elle en est horrifiée et machinalement, ses mains reviennent d’elles-mêmes couvrir sa toison.
Une nouvelle fois, avec une infinie patience et sans doute un infini plaisir, il est obligé de les écarter. Mais cette fois il lui maintient familièrement les mains dans les siennes.
- Soyez donc plus naturel devant moi. Vous êtes nue, c’est entendu. Je vous ai regardée et je vous regarderai encore alors inutile de vous couvrir sans cesse.
Il la contemple de bas en haut avec envie et ajoute d’un air gourmand :
- J’ai puni pas mal de jeunes filles tout au long de ma carrière mais je dois reconnaître que vous êtes particulièrement bien faite. Cela devrait vous rendre plus sûre de vous. Essayez donc de vous comporter avec davantage de spontanéité quand on vous met nue.
Vous savez le métier que vous avez choisi est forcément un rôle de représentation. Vous êtes jolie, bien éduquée, vous avez des atouts, Caroline et quand vous travaillerez dans un restaurant chic comme je vous le souhaite, bien de yeux suivront avec envie vos allées et venues. Bien sûr, vous serez moins exposée qu’à présent mais il n’empêche que vous devrez bien accepter d’être constamment en vedette. Alors prenez cette punition comme un exercice de maîtrise de soi qui pourra vous servir plus tard.
Ses yeux se fixent un moment sur son sexe puis remonte sur sa poitrine. Au comble de la gêne, Caroline détourne le regard. Elle fixe un point du mur et essaye de penser à autre chose mais c’est bien sûr impossible et son regard revient s’effaroucher de ce qu’il contemple.
Il lui relâche les mains.
- Croisez vos poignets dans votre dos et tâchez de les garder ainsi maintenant.
Elle obéit tandis que Monsieur Lefranc s’enfonce confortablement dans son fauteuil pour continuer tout à son aise son inspection. Caroline subit stoïquement ce supplice, tout ce qu’elle attend maintenant c’est qu’il la bascule sur ses genoux et qu’il en finisse. Une éternité se passe, le proviseur prend tout son temps pour graver dans sa mémoire ces seins juvéniles qui se soulèvent au rythme d’une respiration troublée, ils sont de la taille qu’il préfère, deux jolies pommes pas trop grosses mais qui doivent ravir la main d’un honnête homme, pense-t-il en s’amusant. Des tétons qui pointent avec arrogance. Un ventre bien plat. De longues jambes musclées. Ses épaules, ses clavicules très visibles, son cou, de fines attaches toutes en délicatesse. Souvent son regard revient sur la mine dépitée de sa victime : la pauvre ! comme elle ne peut cacher son embarras ! . . . et comme cette gêne est excitante !
Tout à son plaisir cruel, il décide de pousser encore un peu plus loin son avantage et se penche en avant vers son ventre. Le fin triangle de poils bruns au-dessus de son sexe ne cache rien de la forme de ses lèvres, sa fente est parfaitement dégagée, bien qu’elle serre frénétiquement les jambes l’une contre l’autre.
Effrayée, Caroline tente un pas en arrière quand il porte sa main à sa toison, mais il a prévu la manœuvre et la ramène à lui de son autre bras passé juste sous ses fesses. Ses doigts peignent négligemment la touffe de poils folâtres comme s’il voulait y mettre bon ordre.
- Je vois que vous vous épilez soigneusement jeune fille et je vous en félicite, c’est une saine habitude.
Elle tressaille de tout son corps, ses ongles viennent d’effleurer son pubis, à travers sa toison.
- Néanmoins je vais demander aux garçons d’apporter aussi votre rasoir.
Il la regarde pour mesurer l’effet de cette annonce sur son visage chaviré.
- Oui, vous comprenez, je ne sais pas si vous devrez être punie ce soir mais il vaut mieux prendre nos précautions. Cette touffe de poils si fins est fort esthétique mais elle n’est pas très hygiénique dans un restaurant ou en cuisine. Il vaut mieux enlever tout cela.
En parlant, il continue à lisser la petite flamme brune, comme s’il s’agissait de la chose la plus normale au monde.
- Ce sera vite fait, vous avez naturellement peu de pilosité. Mais on verra cela plus tard, allez, sur mes genoux à présent !
Et il la manœuvre pour la présenter contre sa cuisse puis lui laisse l’initiative. Sans protester, Caroline se penche, pose un instant une main hésitante à plat sur sa cuisse et s’allonge au travers de ses genoux. Il adore ce qu’il voit et ce qu’il sent : ce corps souple et chaud étalé à disposition de sa vue et de son toucher. Il a envie de resserrer encore le contact et prend soin d’emprisonner les poignets dans le dos, de passer une jambe entre ses cuisses et de la faire reculer, pressée contre cet appui. Sa science est précise, elle est immobilisée tout contre lui, incapable de bouger sans que ses mouvements ne lui procurent des sensations intimes. Il lui reste à stimuler ses soubresauts et pour cela il connait la bonne méthode. Une déferlante de claques s’abat sur le bas de ses fesses et parfois sur la partie tendre de la cuisse qu’elle expose. Le traitement est rapide, violent, sans répit. Très vite elle est en larmes, puis aux larmes succèdent les cris et les supplications, vient enfin le moment qu’il espérait des ruades en tous sens. Un vrai rodéo où il lui faut dompter sa pouliche. Il maintient fermement les poignets comme on tient les rênes d’un cheval sauvage, tantôt il avance son genou entre ses cuisses pour accentuer la pression sur la zone sensible qui s’agite et se frotte involontairement à sa jambe, tantôt il l’abaisse pour jouir d’une meilleure vue. Il ralentit alors le rythme et la force des claques, pour que la douleur n’annihile pas toute sensation. Les frappes deviennent symboliques mais inconsciente de ce qu’elle fait, elle continue pourtant à se débattre et son bassin se soulève à chaque coup. Les cris ont fait place à de petits gémissements. Une scène émouvante pour le regard et l’ouïe, une sensation incomparable au travers de la toile fine qui couvre sa cuisse. Mais il sait qu’il ne peut mener le jeu aussi loin qu’il le voudrait et à regret, il abandonne d’un coup ses assauts.
Quand il cesse et la relâche, elle se redresse épuisée et en sanglots. Elle se met illico à sautiller d’un pied sur l’autre en se tenant les fesses. Il s’amuse à la voir danser et tressauter ainsi sans plus de soucis de pudeur.

Elle reprend peu à peu conscience de sa situation et se calme. Leurs regards se croisent un instant et il la voit une nouvelle fois rougir délicieusement, toutefois elle n’esquisse pas le moindre geste pour se couvrir ou se détourner de lui et reste face à son fauteuil en se massant les fesses.
Il voudrait se lever à son tour mais il craint d’être ridicule tant il se sent dur et tendu.
- Pour l’instant, vous allez rester ici en attendant que les garçons vous apportent vos vêtements. Quand vous aurez fini de vous frotter le derrière, vous pourrez vous asseoir dans un des fauteuils du salon pour vous reposer, vous avez une longue journée devant vous. Profitez-en aussi pour revoir votre cours d’œnologie, vous trouverez un bon manuel sur cette table. Bon du reste, faites comme bon vous semblera mais j’ai du travail et je ne veux rien entendre.
Il fait pivoter son fauteuil pour se remettre à son dossier. Caroline s’est éloignée de quelques pas dans le petit salon mais restée debout, elle se contorsionne et se remonte les fesses pour en examiner les dégâts. De temps à autre, il lève la tête pour regarder ses massages et ses grimaces. Dommage, se dit-il, que je n’ai pas sous la main une crème apaisante, je lui aurais proposé « charitablement » des soins qu’elle n’aurait pas osé refuser. Il faudra que je pense à en acheter . . . pour la prochaine fois. Je l’aurais fait s’agenouiller sur le canapé, penchée sur le dossier et je serais assis à côté pour la soulager. Ou bien étendue, le ventre sur l’accoudoir. Ou peut-être penchée, les deux mains bien à plat sur la table basse. Et il fait l’inventaire des positions qui lui permettraient le massage le plus érotique. Au fond, c’est la première fois que je fesse une étudiante toute nue. En classe je me contentais la plupart du temps de leur relever la jupe ou d’abaisser leur jean. Parfois, il est vrai que je leur ai aussi baissé le slip. Tiens, il y a même eu cette petite Donatienne à qui j’avais imposé de monter sur l’estrade le bas du corps déjà entièrement nu, mais c’était exceptionnel et cette petite peste l’avait bien cherché. Charmante et impérissable vision ! Ces réflexions n’apaisent pas son érection. Il passe ainsi en revue les occasions qu’il a eu de sévir du temps où il était encore prof, se remémorant les visages apeurés, contrits ou choqués, les fessiers rougis, les petites culottes tendues et moulantes, les strings affriolants. Mais aucun de ses souvenirs ne parvient à surpasser les fesses rouges et les tétons durcis dont le voisinage à deux pas de lui l’ensorcèle.
Ce n’est que lorsqu’elle s’assied dans un fauteuil en lui tournant au trois quart le dos et s’empare du traité d’œnologie qu’il peut se remettre utilement à la lecture de son document.