vendredi 21 octobre 2016

Mutation en Syldavie

Depuis un certains temps le responsable de l'agence où travaille Caroline avait des doutes sur les opérations financières qu'elle faisait. Malgré toute l'attention qu'il lui portait et les différents pièges qu'il lui avait tendu, il n'arrivait pas à la coincer.

Une de ses amies, directrice d'une agence en Syldavie, lui a parlé d'un poste de remplacement de trois mois dans son agence. Il savait que la-bas les contrôles étaient moins strictes et que si elle agissait comme il le craignait, elle ne tarderait pas à être prise.
Après en avoir parlé à son amie, en lui disant tout ce qu'il craignait, il convoque Caroline pour lui proposer sa mutation.

Il lui explique que son salaire sera doublé, que tout les frais seront pris en charge sur place et que cette période de trois mois pourrait largement lui servir pour son évolution de carrière.
Caroline hésita quelques jours, l'offre lui plaisait beaucoup même si elle ne connaissait pas la Syldavie, mais laisser sa famille pendant trois mois lui paraissait impossible.
Avec l'accord de sa direction, son responsable obtient que des allers-retours réguliers lui soit accordé et entièrement financer. Ce qui fit accepter l'offre à Caroline et deux semaines plus tard, elle prend un vol pour la Syldavie.

Les deux premières semaines se passent bien, elle rentre chez elle en se disant que finalement, ça passera assez vite. Sa nouvelle directrice appelle son ancien responsable pour lui dire que pour le moment, elle n'a rien remarqué d'anormal et que tout se passe bien avec Caroline.
Son responsable en conclut qu'il a du se faire des idées et que finalement le fait que Caroline soit très hautaine envers lui avait du lui monter à la tête.

Mais une semaine plus tard, il reçoit un texto de son amie : "J'ai des doutes sur certains virements de Caroline". Puis quelques jours plus tard : "Je suis sûre maintenant qu'elle fraude, j'attends encore un peu, les montants ne sont pas trop importants".
Son responsable jubile de ne pas s'être trompé, il sait maintenant que cette pimbêche qui voulait prendre sa place va se retrouver licenciée sur le champ. Cela se confirme quelques jours plus tard avec un nouveau texto : "Les montants deviennent trop conséquents, je suis obligée d'en référer à la direction". Puis quelques heures plus tard : "Ils prennent le dossier en main, mais ne peuvent rien faire tout de suite, elle rentre en France, ils verront à son retour. La direction est très remontée, elle va prendre très cher !!"
Un peu inquiet, son responsable lui répond aussitôt : "Comment ça très cher, ils vont la licencier, c'est tout ?". "Non, ici on ne rigole pas avec le vol, en plus je ne peux rien te dire de plus, mais les montants sont assez exorbitants ! ça va aller au pénal". "Que risque-t-elle ?". "La prison, au minimum... Ne lui dit rien, si tu la croises, car elle ne reviendrait pas et ce serait moi qui serait mal !!"

Pendant tout le week-end, le responsable de Caroline ne savait pas quoi faire, il ne voulait arriver à des extrémité pareille. Il hésita à appeler Caroline, mais ne pouvez pas faire ça à son amie...
Un nouveau texto, tôt le lundi matin met fin à ses hésitations : "Ils l'ont arrêtée à l'aéroport, dès la sotie de son avion. Elle passe en comparution immédiate dans quelques heures je te tiens au courant".

Caroline arrive au tribunal sans comprendre ce qui lui arrive, elle a à peine parler à son avocat commis d'office. Tout lui est arrivé en pleine face, et elle n'a rien eu pour se défendre. Tout était si bien préparé, qu'elle a du avouer tout ses méfaits. On lui a expliqué que son jugement dans ce tribunal  concernera la sanction punitive au regard de la loi dans ce pays. La sanction prendra effet immédiatement. A l'appelle de son nom, elle doit entrer dans le tribunal et s'avancer devant le juge. Sans aucune forme de politesse, il annonce son jugement après délibération : "Madame, vous êtes condamnée à trois ans de prison ferme, sans remise de peine. Votre avocat viendra vous expliquer à la prison du conté, quels seront vos recours".

Caroline se serait évanouie, si deux agents ne l'avaient pas attrapée chacun de leur côté pour l'emmener hors de la salle. Elle est ensuite menottée et conduite dans un fourgon. Deux hommes assis  à l'intérieur, attendent attachés à leurs sièges. Elle subit le même sort et s'effondre en pleurs lorsque  le camion démarre.
Arrivés à la prison, ils sont tous les trois conduits dans un bureau ou une femme va leur faire remplir des papiers et prendre leurs affaires personnelles. Puis elle sort trois uniformes enveloppés dans du film transparent. Elle appelle un des deux hommes et l'invite à aller se changer derrière le paravant. Caroline baisse la tête tandis qu'elle lui tend son uniforme. Lorsqu'il ressort, c'est à son tour de passer derrière. Elle se sent mal à l'aise dans ce petit bureau, à peine protégée part le paravant de paille, à peine stable qui lui arrive juste en dessous des épaules. Pour ne rien arranger, la femme lui dit de retirer aussi son slip et son soutien-gorge et précise qu'ici, elle n'a le droit de porter que sa robe.
Caroline passe sa robe blanche. Elle est serrée en haut et assez évasée en bas, le tissu est très fin, ce qui met en valeur sa poitrine et ne peut cacher ses tétons qui se dressent. Avec ses fines brettelles, elle ressemble plus à une nuisette qu'à une robe. Caroline croise ses bras pour sortir et n'ose pas affronter le regard de deux autres détenus.

Elle est ensuite conduite jusqu'à sa cellule. Sur le trajet, elle comprend en jetant un regard rapide dans les cellules que le quartier n'est pas exclusivement réservé aux femmes. Une majorité d'hommes sont derrière les barreaux, mais elle croise aussi quelques femmes habillées comme elle. La grille d'une cellule est ouverte et le gardien qui lui tient les mains dans le dos la pousse à l'intérieur. La grille se referme derrière elle, la laissant seule dans sa cellule. Elle doit faire à peine 2m sur 3 et le mobilier se résume à un lit, un casier qui doit servir d'armoire et une table te une chaise. La fenêtre est si étroite qu'elle laisse à peine passé la lumière et est si haute qu'elle ne permet pas à Caroline de pouvoir voir dehors. Un minuscule évier avec un robinet d'eau froide complète le décor.

Caroline ne peut pas croire qu'elle va devoir passer les trois prochaines années dans cette cellule. Tout tourne autours d'elle. Elle s'effondre sur son lit et ne cesse de pleurer jusqu'au soir.

Son responsable apprend la terrible sanction par SMS, il est partagé entre deux sentiments, d'un côté il se dit que c'est bien fait pour elle depuis le temps qu'elle jouait avec le feu. Mais de l'autre la savoir éloignée de sa famille pendant si longtemps à cause de lui, l'attriste. Il appelle aussitôt son amie pour en savoir plus.
Lorsqu'il raccroche, il est un peu rassuré. Il sait qu'il y a une chance pour que sa peine de prison soit annulée si Caroline fait le bon choix. Son amie n'a pas été très explicite, mais si Caroline choisit de se mettre au service d'un généreux donateur pour la justice, elle peut être libre dans quelques semaines. Il en saura plus le lendemain.


Dans la matinée suivante, un gardien vient chercher Caroline dans sa cellule et la conduit jusque dans un bureau. Elle reconnait l'avocat qu'elle avait eu la veille au tribunal et son coeur fait un bon en espérant qu'il des bonnes nouvelles pour elle.
Après quelques banals échanges, il en vient au fait :
- Vous avez un seul et unique recours pour annuler votre peine de prison ! Si vous le souhaitez, j'ai réussit à obtenir une place au tribunal aujourd'hui, il faut prendre une décision rapidement... Ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a une chance que notre demande soit refusée. Dans ce cas, vous reviendrez dans cette prison dès ce soir et pour trois ans. Mais si le tribunal décide de redéfinir la peine, vous n'aurez pas le choix, vous devrez exécuter la peine sans aucun recours... Vous avez à y gagner en temps. Dans des cas similaires au votre, la peine est réduite à quelques semaines, voir quelques mois.

Sans réfléchir d'avantage Caroline répond qu'elle est d'accord pour tenter ce recours, obnubilée par le fait qu'elle puisse bientôt rentrer rejoindre sa famille. Son avocat pose un sac sur la table.

- Alors, il ne faut pas perdre de temps ! Nous allons rejoindre le tribunal. Je vous ai emmené des vêtements pour que vous soyez présentable...

L'avocat sort un ensemble culotte soutien-gorge et des bas. Cela rappelle à Caroline qu'elle ne porte rien de tout ça et n'a qu'un seul vêtement sur elle. Elle se sent soudain mal à l'aise et sent ses seins qui pointent à travers sa fine robe.

- J'ai choisit ses vêtements pour vous, j'espère qu'ils vous iront...

Il lui présente une jupe classique, mais bien plus courte que Caroline aurait osé acheter et une veste. Puis il ouvre une boite ou Caroline découvre des escarpins à hauts talons.

- Il faut que je me change tout de suite ?

- Oui, nous devons y aller... Souhaitez-vous que je me retourne ?

Caroline ne répond pas, mais son regard en dit long sur la stupidité de sa question. En s'excusant, il fait demi-tour. Caroline jète un oeil vers la porte vitrée et profite que le gardien est occupé à autre chose pour déballer la culotte et l'enfiler à la hâte. Elle se dépêche de déballer le soutien-gorge et les bas, puis enfile la jupe sous sa robe. Elle remarque une caméra, mais ne peut pas faire autrement, elles retourne pour retirer sa robe et s'empresse de se saisir du soutien-gorge. Lorsqu'elle met l'agrafe devant elle, elle s'aperçoit qu'elle est face au gardien. Celui-ci n'en perd pas une miette, les yeux rivés sur ses seins nus. Elle emprisonne ses seins dans le soutien et enfile la veste en résistant à l'envie d'adresser un doigt d'honneur au gardien.
L'avocat se retourne lorsqu'elle commence à enfiler ses bas. Perchée sur ses hauts talons et mal à l'aise avec cette jupe si courte, elle retrouve toute de même un peu dignité à être habillée. Elle essaye de tirer sur sa jupe pour la faire descendre un peu et ainsi couvrir la lisière de ses bas. Elle sait que dès qu'elle sera assise ou si elle doit se pencher, ils seront visibles, mais fait bon gré mal gré. Elle ne pas reprocher à son avocat d'essayer de trouver une solution, même s'il aurait pu choisir une tenue où elle serait plus à l'aise.

A l'arrière du fourgon les conduisant au tribunal, Caroline a les mains menottée dans son dos, attachée au siège, elle ne peut à peine bouger. Son avocat l'accompagne assit face à elle, essayant maladroitement de détourner le regard de ses cuisses dénudées par sa jupe qui a remonté lorsque les gardiens l'ont attachée. Caroline s'en aperçoit, mais ne dit rien et détourne le regard vers la route.
Passé le moment d'euphorie, où elle ne voyait que la possibilité d'être acquittée de sa peine de prison, elle commence à s'inquiété de son sort :

- Si ils revoient la peine, je risque quoi ?

L'avocat ne sait pas vraiment par où commencer, il hésite et parle de peine d'intérêt général, mais Caroline lui ordonne d'être plus clair. Après un long silence, il décide de lui livrer un partie de la réalité :

- Le droit prévoit des peines de substitution chez nous. Il se peut que vous soyez condamnée à une durée de servitude. Dans ce cas, vous serez vendue pour cette durée limitée au plus offrant, pour être à son service. Les fonds sont directement versé au ministère de la justice. Les sommes atteignant parfois des sommets, il y a une forte chance que le tribunal choisisse cette option...

Voyant Caroline pâlir, il essaye de la rassurer :

- Ne vous inquiétez, ce sont des gens richissimes, il ne vous feront aucun mal.

L'avocat préfère ne pas évoquer le risque de punition corporelle, heureux que Caroline ne demande pas à en savoir plus.

Ils sont conduits dans une salle, où deux autre femmes attendent accompagnés de leur avocat. Caroline apprend qu'elle sera jugée en dernier. Une jeune blonde qui attend son tour est appelée en premier. Elle ressort une demi-heure plus tard en pleur, ce qui inquiète encore plus Caroline. Elle comprend qu'elle a été condamnée à être vendue pour une période de servitude de deux semaines.
La deuxième ressort peu de temps après être rentrée, et prend son avocat dans ses bras en le remerciant, elle a été libérée.

Le coeur de Caroline bat plus fort lorsqu'elle entend son nom. Un gardien vient la chercher, son avocat la suit, pour entrer dans le tribunal. Les juges sont assis face à l'assemblée. Caroline doit traverser la salle plongée dans un silence de plomb, toujours menottée. Elle ne s'attendait pas à ce que la séance se tienne en public, elle croyait avoir à faire au juge en intimité comme la première fois.
Pendant plus de vingt minutes, son avocat se démène pour obtenir une peine de substitution. Pendant ce temps, elle doit rester debout, seule au milieu de la salle sans que personne ne lui adresse la parole.
A la fin de son réquisitoire, le juste annonce que le tribunal prend dix minutes pour délibérer.

Caroline attend toujours aussi seule au milieu de la salle. Son avocat a disparu, elle le cherche dans la salle, et espère un peu de réconfort de sa part, sans succès. Les discussions derrière elle cessent d'un coup lorsque les juges reviennent. La femme du milieu se lève et pour la première fois s'adresse à Caroline :

- Le tribunal a décidé de redéfinir votre peine de prison. Vous êtes condamnée à une peine de servitude d'une durée de trois mois. Vous allez être vendue aux enchères ici même dans quelques instants. Vous serez sous la responsabilité du plus offrant pendant toute cette période 24H sur 24 et cinq jours sur sept. Vous lui devrez respect et obéissance sous peine de voir cette sanction de substitution annulée. Les deux jours et deux nuits restants, vous les passerez dans la prison dans laquelle vous avez passé la nuit et servirez celle-ci.
En outre, vous êtes condamnée à subir deux punitions corporelles, la première immédiatement et la deuxième en fin de condamnation.

Il y a une exclamation dans la salle, le fait que Caroline soit une ressortissante étrangère à jouer plutôt en ça défaveur. Bien que la peine soit beaucoup plus courte que la prison, elle en reste non moins conséquente. Mais ce qui étonne, c'est qu'elle soit cumulée à deux jours de prison hebdomadaire, plus des punitions corporelles.

La juge annonce la vente de la première condamnée. Celui-ci est conduite sur une estrade face à l'assemblée et les enchères commencent. La jeune blonde, qui contrairement à Caroline sait à quel sauce elle va être mangée, est toujours dans un état de désarroi profond. Tandis qu'elle manipulée comme un patin par un gardien, elle ne peut cesser de pleurer. Les enchères commencent à s'affoler, Caroline ne pouvait pas croire que cela atteignait des sommes aussi considérables. Deux hommes la voulait à tous prix et se battaient entre eux. Caroline étouffe un cri, lorsque le gardien, pour faire monter encore les enchères remonte l'arrière de sa jupe et baisse les collants et la culotte de la pauvre jeune fille incapable de se défendre à cause de ses mains menottées dans le dos. Un des hommes propose un prix que le deuxième ne peut suivre, et la juge lui accorde la vente.
Le gardien lui apporte la fille, sans même prendre la peine de lui baisser la jupe et lui confie les clés des menottes sous les applaudissements de l'assemblée. Le sourire jusqu'aux oreilles, il reçoit son cadeau et déboutonne son corsage puis fait sortir ses deux seins de son soutien-gorge. Caroline est médusée, elle ne comprend pas que personne ne réagisse. Prise de panique, elle n'entend pas la juge l'appeler plusieurs fois. Perdant patience, elle envoie deux gardiens la chercher. Ils l'emmènent sans sans ménagement sur l'estrade et pendant que le premier lui tient les bras, le deuxième déboutonne sa veste. Les cris de Caroline interpelle l'assemblée qui se tourne vers l'estrade et voit sa veste lui être retirée et ses main menottées dans son dos.

- Sa jupe aussi !!!

Caroline regarde la juge dans les yeux ne croyant pas ce qu'elle venait de dire, tandis qu'un des gardien s'attache à descendre la fermeture. Sa jupe tombe autours de ses chevilles la laissant en sous-vêtements devant l'assemblée.













































mardi 21 juin 2016

Excès de vitesse

Caroline prend ses fonctions dans sa nouvelle agence ce matin. Comme d'habitude, elle est en retard. Sur le trajet, elle accélère un peu plus. Elle ne peut pas se permettre d'être en retard dès le premier jour. Ses collègues et son chef avaient auparavant l'habitude, mais là elle en connait personne.
Son sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle voit un gendarme dans le milieu de la route. Elle sait qu'elle roulait trop vite. Quelques kilomètres heure au dessus, mais en agglomération ça ne pardonne pas. Une amende et encore deux points de moins. Elle fait rapidement le calcule et se reproche de ne plus en avoir que quatre. Mais ce qui l'inquiète le plus, c'est que vingt minutes se sont passées, et maintenant, elle est largement en retard. Elle a entendu son téléphone sonner plusieurs fois, mais n' pas osé répondre.

En sortant de la voiture, elle court vers l'agence en écoutant ses deux messages. C'est son nouveau directeur qui lui demande des explications sur son retard. Le deuxième message est beaucoup moins courtois, elle se fait incendier de reproches. Elle coupe son portable, entre dans l'agence et découvre ses deux nouveaux collègues :
- Vous êtes Caroline ? Le directeur vous attend dans son bureau...

En plus de dix ans de carrière, elle n'a jamais pris un soufflante comme celle-là. Elle n'avait pas le temps d'en placer une. Elle avait du faire des efforts considérables pour ne pas se mettre à pleurer devant lui.
Lorsqu'elle ressort du bureau ses collègues baissent la tête. Elle s'enferme dans le sien, et tente de ses mettre au travail et d'oublier ce mauvais moment. Elle aurait préféré une meilleure entrée en matière pour son nouveau poste.

A midi, elle quitte le bureau pour rentrer chez elle. Comme à chaque fois, elle a un tas de choses à faire et lorsqu'elle regarde la pendule, il est déjà 13h10. Elle reprend à 13h30. Elle se fait chauffer un plat et mange sur le pouce pour repartir au travail. Dix minutes plus tard, elle prend ses clefs et son portable et constate avec horreur que l'heure affichée dessus annonce 13h40. La pendule s'est arrêtée, et elle ne s'en est pas rendu compte.

Elle démarre en trombe pour arriver le plus rapidement possible au bureau. Au même endroit que ce matin, un gendarme l'interpelle.
Elle est dépitée en ouvrant la fenêtre.
- Vous faites fort vous ! Deux fois dans la même journée...
Au bord des larmes, Caroline lui explique qu'elle est encore très en retard, que c'est sa première journée dans son nouveau travaille et que déjà ce matin, son chef l'a réprimandée fortement.
Le gendarme lui prend son permis et lui explique qu'il y a un retrait immédiat ainsi que 4 points de retirés. Caroline comprend que son permis est tout simplement annulé. Tout s'écroule, elle en a vraiment besoin pour travailler et dit au gendarme que ce n'est pas possible. Le gendarme lui dit de sortir de la voiture et part vérifier son permis. Caroline en profite pour appeler l'agence. Son collègue lui répond et lui dit que le chef n'est pas encore rentré. A moitié rassurée, elle raccroche et voit le gendarme revenir.
- Vous avez commis un délit de grand excès de vitesse en agglomération, j'imagine que vous connaissez les conséquences !
- De plus, j'ai vu que vous n'aviez plus de point sur votre permis...
Caroline s'appuie sur sa voiture pour ne pas défaillir et demande timidement si il peut oublier l'incident.
Le gendarme hausse le ton et demande si elle ne cherche pas à le corrompre. Caroline répond "non" de la tête et baisse les yeux sachant qu'elle n'obtiendra pas sa clémence.
- Vous finissez à quelle heure votre travail ?
- 18 heure !
- Bon, alors, j'ai quelque chose à vous proposez ! Je garde votre permis, et vous laisse repartir. Et après votre travail, vous vous présentez à la gendarmerie. Vous aurez quelques papiers à signer, puis en échange d'une bonne punition et quelques remontrances, je vous laisserez repartir avec votre permis et cet incident sera oublier.
Sans réfléchir d'avantage, Caroline accepte sans condition. Elle repart et lorsqu'elle arrive à son travail, elle constate avec soulagement que son chef n'est pas rentré. Elle se met vite au travail comme si de rien n'était.

A la fin de la journée, elle se rend à la gendarmerie avec une certaine appréhension. Quand elle se présente, une femme gendarme l'accueille dans un bureau et lui demande quelques signatures. Pressée par la gendarme, Caroline ne lit pas tout et signe. Elle lui demande son sac et lui dit d'éteindre son portable. Caroline pense à son mari et demande à l'appeler pour ne pas qu'il s'inquiète de son retard.
- ça ne sera pas très long, si vous faites tout ce qu'on vous dit !
La gendarme lui prend son portable des mains, elle range son sac et lui demande d'enlever sa veste.
Sans comprendre Caroline la retire et se laisse manipuler alors que la gendarme lui fait une palpation rapide. Ses mains lui sont tirées derrières le dos et elle sent le métal froid des menottes sur ses poignets. Caroline a un mouvement de protestation, mais déjà ses mains sont attachées.
- Désolée, c'est la procédure pour les garde à vue !
Caroline n'en croit pas ses oreilles, elle demande des explications mais n'obtient pas de réponses. La gendarme lui tient le bras et la conduit hors du bureau, elles traversent l'accueil tandis que Caroline baisse la tête, subjuguée par la honte. Lorsqu'elles s'arrêtent, elle relève la tête et constate que la gendarme ouvre une cellule à barreaux dans laquelle elle va être enfermée. Les menottes lui sont enlevées, la porte se referme derrière elle et la gendarme s'éloignent sans autres explications.
Caroline marche dans la petite cellule, il y a juste une petite banquette accolée au mur, les autres côtés sont fait de barreaux. Une autre cellule est accolée, juste séparées de barreaux, dans laquelle un homme, visiblement en état d'ébriété est enfermé. Dans le fond, c'est l'accueil de la gendarmerie où l'activité bat son plein.
Caroline s'assoit sur la banquette et prend sa tête dans ses mains. Elle reste de longues minutes ainsi n'osant croire ce qu'il lui arrive. Quand elle relève la tête, elle constate que l'homme à côté a soudainement pris conscience de sa présence, il est au barreaux en train de la regarder, ne comprenant visiblement pas pourquoi une jeune femme bcbg, peut être enfermée dans cette cellule.
Caroline détourne le regard, elle ne souhaite pas engager la conversation avec cet individu et ne répond pas quand il lui demande pourquoi elle est là. Après plusieurs tentatives, elle lui demande sèchement de la fermer et de l'oublier, ce à quoi il lui répond par des insultes.

Quand la gendarme revient vers elle, Caroline se lève d'un bond. Elle lui tend une lettre pliée en deux et lui dit de lire et de signer. Caroline s'empresse de la lire, elle pâlit en lisant chaque ligne. Le premier paragraphes est consacrés aux faits et à la sanction qui est normalement prévues. Le deuxième indique que tous les faits seront annulés et remplacés par l'acceptation et l'application immédiate de la  sanction citée en troisième partie.

La sanction prévoit un rappel des risques de la conduite dangereuse et un cours donné par un gendarme sur la conduite à adopter. Cette sanction sera appliquée immédiatement après la sanction principale.
Caroline n'en croit ses yeux, tout est clairement indiqué, si elle signe, elle accepte de recevoir une fessée par dessus ses sous vêtements, suivies de dix coups de strappe sur ses fesses nues. Il est aussi précisé que pour des raisons de pérennité des bienfaits de la sanction dans le temps, la fin de la punition sera donnée quand la contrevenante sera toute nue.

Prise de colère, elle déchire la lettre et profère des insultes en criant. Lorsqu'elle est calmée, elle s'assoit sur la banquette. la gendarme revient avec une nouvelle lettre.
- Je vous l'ai réimprimée ! C'est la dernière fois ! Si vous recommencez, on vous garde la nuit pour insulte à agent...
La gendarme la dépose sur le sol et tourne le dos. Caroline se lève d'un bond pour retenir la gendarme et espérer sa clémence.
- Je ne peux pas signer ça ! Vous avez lu ce qu'il y a dedans...
Sans se retourner, la gendarme lui répond :
- C'est moi qui l'ai écrit ! Vous faites ce que vous voulez, mais après ce que vous avez fait et dit, je vous conseille de signer...

Caroline relit la lettre une nouvelle fois et hésite un long moment. Dans le fond, elle constate que la gendarmerie ferme, quelques gendarmes se saluent et sortent, l'homme à côté s'est allongé sur la banquette. La gendarme qui l'a prise en charge s'apprête à sortir à son tour, Caroline l'interpelle pour la retenir.
- Dites-moi ce qu'il va se passer ?
- Tout est écrit dans la lettre, je peux rien vous dire de plus...
- Si je signe, c'est vous qui...
Caroline n'ose pas aller plus loin, mais la gendarme comprend.
- Non, mais si vous signez, je reste pour vous accompagner !

Caroline hésite encore et prend son courage à deux mains pour signer la papier. La gendarme emporte la lettre puis revient avec une chaise. Elle ouvre la cellule et la dépose au milieu. Caroline demande des explication, mais elle reste toujours aussi énigmatique et ressort de la cellule en silence.

Deux minutes plus tard, la gendarme revient accompagnée par les deux gendarmes qui l'ont arrêtée. Le premier se dirige vers la cellule d'à côté et frappe au barreau avec sa matraque pour le réveiller.
- La jeune femme à côté va être punie, vous préférez être transférer ou rester dans cette cellule ?
L'homme se relève sans comprendre totalement ce qui arrive et répond qu'il veut rester couché.
Caroline ne réalise pas tout de suite, ce n'est que quand les trois gendarmes entrent dans la cellule et referme la porte derrière eux qu'elle réalise.
- On ne va pas dans un bureau ?
- Non, vous ne sortez pas de la cellule avant la fin de votre punition !
- Ok, j'ai signé et j'accepte ce qu'il y a de notifié. Mademoiselle peut rester, je serai plus rassurée. Mais il n'y aura qu'un de vous deux pour la sanction, et pas ici et surtout pas de vent lui.
Caroline est surprise par tant d'autorité, tout est sorti d'un coup sans qu'elle en ait conscience. Mais son engouement est de courte durée.
- C'est ici, et en présence de nous quatre ! Sachez que si on vous punit ainsi, c'est justement pour que vous ayez honte...
Tout en finissant sa phrase, il frappe au barreaux pour s'adresser à l'homme à côté :
- Et vous, levez-vous et venez par ici c'est votre jour de chance...
Caroline voit l'homme arriver aux barreaux, tandis que le gendarme s'assoit sur la chaise et l'attrape par le bras.
- On va commencer doucement, par la fessée jupe relevée !
Caroline doit s'allonger en travers de ses genoux. Elle ferme les yeux lorsqu'elle sent sa jupe remonter le long de ses jambes. Le gendarme la retourne sur son dos en prenant tout son temps et en admirant ses fesses moulées dans une culotte en satin noir. il la replace sur ses genoux de façon à ce que ses pieds ne touchent plus le sol et que ses fesses soient remontées. Elle est obligée de poser ses mains par terre pour ne pas tomber en avant. Un frisson la traverse quand elle sent la main du gendarme se poser sur sa peau nue, entre sa culotte et la lisière de ses bas.
Puis la main se lève et vient s'écraser sur ses fesses. Le gendarme donne une claque sur chacune tour à tour. Les fesses sont protégées en parties par la culotte mais la zone mise à nue rougit très vite. Le gendarme s'applique justement à donner la fessée au niveau de l'élastique de sa culotte.
Caroline n'a pas rouvert les yeux, et reçoit sa fessée sans protestez, subjuguée par la honte d'être punie et par la fait d'avoir la jupe relevée devant tout ses gens.
- Je vais baisser votre culotte !
Caroline se prépare psychologiquement, tandis que le gendarme passe ses pouces sous l'élastique de chaque côté de sa taille. Il dénude ses fesses, Caroline a du mal à avaler sa salive. Il descend sa culotte, et tire plus sèchement dessus, car le devant reste coincé entre Caroline et ses cuisses. La gêne ne dure pas longtemps et il descend sa culotte au niveau de ses genoux.
La fessée reprend sur ses fesses nues, mais pas pour longtemps. Le gendarme relève Caroline, sa jupe retombe et sa culotte glisse jusqu'à ses chevilles.
- Débarrassez-vous de votre culotte et enlevez votre tee-shirt !
L'ordre et sans appel, Caroline lève un pied puis l'autre pour laisser sa culotte au sol puis hésite avant de passer son tee-shirt au dessus de sa tête. Elle se retrouve en soutien-gorge noir au milieu de la cellule.
Le gendarme se lève et lui indique la chaise.
- Posez vos coudes sur l'assise, jambes tendues et je ne veux pas vous voir bouger !
Caroline se met dans la position demandée. Aussitôt sa jupe lui est relevée sur le dos découvrant pleinement ses fesses serrées. Puis le gendarme se ravise et la rabat, il décide de lui baisser. Il descend la fermeture et la jupe tombe en corolle autours de ses chevilles.
Il pose sa main au creux de ses reins et lui assène une claque sèche. Tout le corps de Caroline se crispe et elle relève d'un coup la tête. Une autre claque arrive encore plus forte, puis une troisième. Caroline se retient de crier, mais elle ne peut contenir des petits gémissements.




vendredi 17 juin 2016

Vol d'alcool

Caroline est assise dans le couloir depuis déjà une demi-heure. Elle n'ose pas relever la tête, tellement elle a honte. Le vigile ne la quitte pas des yeux depuis qu'il la surprise. Juste à côté d'elle, son copain de lycée, lui semble plus calme, il doit être plus habitué. Elle se demande comment elle a pu se laissé embarquer par ce mec. Tout pour des bouteilles d'alcool, qu'ils avaient transvidées dans des bouteilles d'eau pour passer à la caisse...
Ses parents ont été mis au courant et sa mère ne devrait plus tarder. Elle sait qu'ils seront forcément furieux, mais surtout extrêmement déçus ce qui la fait culpabiliser encore plus. Elle sait aussi qu'elle sera punie très sévèrement.
Quand elle voit sa mère arriver au fond du couloir, elle se lève et veut se diriger vers elle, mais le vigile la retient. Sans aucune explication, elle s'approche d'elle et lui flanque deux gifles qui font monter aux yeux les larmes de Caroline.
Le vigile les prie d'entrer dans le bureau du directeur. Il les suit de près et avant de fermer la porte, il attrape le copain de Caroline et le force à entrer aussi pour le garder à l'oeil.
Aussitôt la mère de Caroline demande des excuses au directeur, elle s'assoit sur la chaise que lui présente le directeur et celui-ci lui relate les faits. Caroline, elle, doit rester debout, à côté et doit subir les regards accusateurs de sa mère pendant toute la durée du récit.
Quand le directeur a finit de lui raconter tout ce qui s'est passé, la mère de Caroline demande à nouveau des excuses au nom de sa fille et prie le directeur de croire qu'elle aura une sévère correction dès son retour à la maison. Le visage de Caroline s'empourpre ce que le directeur remarque aussitôt, et en profite pour demander plus de renseignement sur cette correction. La mère de Caroline hésite un instant, puis annonce clairement ce qu'elle envisage :
- Je crois qu'elle a mérité une bonne fessée ! ça fait quelques années qu'elle n'en a pas reçu, mais vu les faits cela me semble nécessaire...
Caroline met ses mains devant son visage tellement la honte l'envahit. De plus en plus intéressé, le directeur demande des explications :
- Est-ce que vous allez la déculotter ?
Une nouvelle fois, sa mère hésite, mais répond finalement que oui.
Le directeur n'est pas le seul à être intéressé, le vigile et le copain de Caroline s'intéressent de plus en plus à la conversation.
- Pourquoi attendriez-vous d'être rentrées ?
- Je ne pense pas que son attitude mérite d'attendre votre retour...
- J'ai un marché à vous proposer... Je devais appeler la police et porter plainte, mais je ne le fais pas si je suis sûr que votre fille est bien punie et surtout qu'elle ait bien compris le message...
- Mais pour cela, vous la punissez tout de suite !
Caroline regarde sa mère horrifiée et fait non de la tête.
- Nous oublions tout si elle reçoit la fessée de suite ?
Le directeur lui promet qu'il n'y aura pas de suite, tandis que Caroline supplie sa mère de ne pas accepter ce chantage...
Sans se préoccuper d'elle, elle essaie de négocier :
- Comme je vous l'ai dit, cela fait quelques années que Caroline n'a pas été punie ainsi... Les choses ont changé, c'est une jeune femme maintenant, donc pour sa pudeur je vais la fesser par dessus sa culotte.
- J'imagine qu'elle allait au coin après la fessée ?
- Oui bien sûr.
- Et elle y allait les fesses nues ?
La mère de Caroline acquiesça une nouvelle fois, tandis que Caroline ne supportait plus qu'on évoque ses punitions ainsi.
- Vous avez raison, votre fille est devenue une jeune femme, ses courbes sont magnifiques et devraient rester cachées en temps normal. Cependant je ne vois pas pourquoi la punition devrait être modifiée. Vous avez dit vous-même que si vous l'aviez punie chez vous, vous l'auriez déculottée. Elle ne mérite pas tant de considération, si vous la punissez ici c'est avec la culotte baissée.
- Je suis même certain, que d'exposer ses fesses sera un plus pour la punition. Et je vais même aller plus loin, nous allons profiter de son âge avancé pour lui donner une bonne leçon. En plus de la douleur sur ses fesses et la honte d'être punie ainsi devant tout le monde, elle va devoir assumer la honte de montrer ses charmes. Non seulement ses fesses nues puisque vous allez la déculotter, mais aussi sa toison qu'elle ne devra pas cacher.
- Ensuite, je la garderai l'après midi au coin, culotte baissée mais aussi avec les seins à l'air. Elle ne devra rien cacher, j'y veillerai personnellement. Quand à mes visiteurs, je me charge de leur expliquer pourquoi ses fesses sont si rouge !
Après un long moment d'hésitation, la mère de Caroline défait le ceinturon de son jeans...

Préparation de la boom

L'année scolaire était bientôt terminée. Les cours se faisaient plus rares, et les élèves avaient organisés une petite fête. Chacun apporterait quelque-chose pour la petite soirée qui devait se faire dans la parc voisin. Personne ne voulait s'occuper le l'alcool, car celui-ci était rigoureusement interdit dans l'établissement. C'est par tirage au sort que Manon, Cécile et Caroline ont été désignées.
Elles avait pris des sacs pour aller acheter ce qu'il faut sur leur heure libre. Avant de revenir au lycée, elles s'étaient arrêtées pour gouter quelques verres.
Elle n'en menaient pas large en entrant dans l'établissement. Il fallait pourtant juste aller les cacher dans un endroit sûr jusqu'au soir. Le coeur des filles fait un bond quand au bas d'un escalier, elles aperçoivent le directeur passer. Manon en loupe la dernière marche et s'étale de tout son long créant un vacarme à cause des bouteilles cassées. Cécile et Caroline deviennent livides, Manon, constate les dégâts. Le liquide coule de son sac et délivre une odeur qui ne laisse aucun doute sur sa nature. Déjà les pas ont redoublé dans le couloir, les filles se regardent sans bouger alors que le directeur arrive dans l'embrasure de la porte. Manon se relève et dit tout bas aux deux filles qu'elle est désolée et tente d'essorer sa robe maculée de whisky. Le directeur ouvre le sac et découvre les bouteilles. Sans rien dire, il prend le sac de Caroline et découvre encore deux autres bouteilles. Des larmes coulent sur les joues de Cécile quand il ouvre son sac. Elle imagine déjà quelle punition elle auront. Le directeur sort des bouteilles déjà entamées. Il rassemble toutes les bouteilles.
- Quand vous aurez nettoyer tout ça, je veux voir dans mon bureau !!!
Il s'en va avec ses bouteilles, puis revient sur ses pas :
- Manon, vous sentez le whisky à plein nez. Donnez-moi votre robe !
Manon cherche de l'aide auprès de ses amies, puis supplie le directeur de regard.
- Ne commencez pas comme ça ! Quand vous recevrez votre fessée vous n'aurez ni votre robe ni votre culotte, alors dépêchez-vous !
Manon essuie sa robe et discute sur le fait qu'elle ne sent rien et qu'elle ne va pas rester en sous-vêtements, mais le directeur excédé s'approche d'elle. Il l'attrape par le bras et commence à relever sa robe. Manon se débat et alors que sa robe est déjà au dessus de sa culotte, elle crie au directeur de la lâcher et qu'elle va l'enlever elle-même.
- Trop tard, je vous l'ai demandé une fois... La prochaine fois, vous obéirez aussitôt !
Il passe sa robe au dessus de sa tête, puis aussitôt baisse sa culotte sous ses fesses et lui donne quelques claques.
- Vous avez un quart d'heure pour tout nettoyer et après je vous veux toutes les trois dans mon bureau !
Dès le départ du directeur les filles s'organisent pour tout nettoyer, sauf Manon qui s'enferme dans les toilettes pour que personne ne la voit ainsi.  Caroline va chercher des serpillères et en dix minutes plus rien n'est visible. Elles attendent que le couloir soit vide pour faire sortir Manon puis se précipite vers le bureau du directeur.
En entrant, elles voient les deux bouteilles entamées posées sur le bureau. La colère du directeur n'est pas redescendue :
- En plus de faire entrer de l'alcool dans l'établissement, vous vous permettez d'en consommer pendant vos heures !
Manon se disculpe aussitôt en disant qu'elle n'a rien bu contrairement aux deux autres et qu'elle ne voulait pas aller dans la réserve de la cantine chercher des verres et du soda.
Le directeur se tourne vers Cécile et Caroline qui ne peuvent pas nier les faits. Elles ne comprennent pas pourquoi Manon a dit tout ça et regrette de l'avoir laissé aller dans les toilettes. Caroline lui jette un regard qui en dit long.
- Caroline ! C'est la deuxième fois que vous entrez par effraction dans une salle... J'en déduis que la première punition ne vous a pas suffit ! Nous réglerons ça plus tard ! Manon, comme vous êtes déjà presque en tenue, venez ici !
Le directeur s'installe sur une chaise et tape sur ses genoux. Manon a très bien compris et s'allonge en travers de ses genoux. Elle sursaute légèrement quand le directeur lui abaisse sa culotte, puis reçoit sa fessée sans protester. Quand celle-ci est terminée elle se relève et remonte sa culotte en quatrième vitesse.
- Vous pouvez regagner votre cours ! Votre robe est confisquée pour la journée ! Vous expliquez à votre prof de Maths pourquoi vous êtes punie et lui direz que Cécile va suivre. En attendant vous attendrez à côté du tableau face au mur, les mains sur la tête. Et vous baissez votre culotte sous vos fesses pour que tout le monde constate leur rougeur !
Le directeur ne lui laisse pas le temps de protester, Manon encaisse le coup alors que le directeur ouvre la porte et l'expédie dehors.
Il revient s'assoir sur sa chaise :
- A votre tour Cécile !
Cécile s'approche timidement, trop lentement pour le directeur qui la tire d'un coup sec par la manche. Une fois collée aux cuisses du directeur, elle reste pétrifiée, tête baissée, ce qui agace encore le directeur  :
- Nous allons considérer que c'est l'alcool qui vous met dans un tel état de béatitude ! Puisque vous incapable de faire quoi que ce soit, poser vos mains sur votre tête !
Le directeur prend les choses en mains. Il lui fait faire un demi-tour sans ménagement et défait rageusement le fermeture de sa jupe. Celle-ci s'enroule autours de ses chevilles alors que le directeur la remet face à lui.
Sachant ce qui va lui arriver Cécile lui dit timidement :
- Je suis en string, ce n'est pas la peine de le baisser !
Le directeur s'occupe de lui enlever sa jupe de ses pieds.
- J'ai bien vu que vous portez un string... Croyez-vous que le fait d'avoir les fesses sans protection suffise à votre punition ?
Il plie sa jupe et la pose sur son bureau.
- Tout comme Manon, votre jupe est confisquée jusqu'à ce soir.
Cécile devient blanche, elle ne se voit pas se promener toute la journée dans l'établissement avec ce minuscule bout de tissu.
- Non, s'il vous plait... Manon, a une culotte qui la couvre largement...
- Oui mais contrairement à vous, Manon n'a pas consommé d'alcool, il est normal qu'elle soit moins punie. Et puisque vous n'avez pas répondu à ma question, je vais le faire à votre place... Le fait que vous soyez en string ne change rien au fait que vous soyez déculottée !
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le string de Cécile est descendu et retiré de ses chevilles.
- Et je vais vous ôter le doute tout de suite : il est confisqué aussi jusqu'à ce soir !
Terrorisée, Cécile cherche à couvrir sa touffe de poils qu'elle n'a pas pris le temps d'épiler, mais déjà le directeur la bascule sur ses genoux. Elle reçoit la première fessée de sa vie, ses fesses rougissent en quelques claques. Caroline se mort la lèvre inférieur sachant que son tour allait arriver très bientôt.
Cécile se tord dans tous les sens pour éviter les claques, mais le directeur la maintien fermement. Chacune de ses fesses est vivement claquée tour à tour. Dès la dernière, Cécile se relève tout en cédant à la panique. Elle frotte ses fesses sans se préoccuper, dans un premier temps de ce qu'elle offre devant.
- Vous n'étiez pas sérieux... Je ne vais pas rester comme ça...
Pour toute réponse, le directeur range soigneusement, sa jupe et son string dans son tiroir.
- Pour commencer, vous allez passer votre fin de matinée de l'autre côté du tableau, les main sur la tête...
Le directeur baisse les yeux vers son triangle bouclé. Cécile rougit et plaque ses deux mains entre ses cuisses.
- ... et pour le reste de la journée, vous pourrez toujours vous cacher comme vous le faite en ce moment !
Cécile vivait son pire cauchemar. Les larmes qu'elle avait réussit à contenir jusqu'à présent jaillir de ses yeux, mais le directeur est sans pitié. Il passe à Caroline qui senti son coeur s'accélérer.
- Quand à vous Caroline, la première punition ne vous a pas suffit ? Vous souvenez-vous de ce que je vous ai dit à la fin de cette dernière, si je devais une nouvelle fois vous punir ?
Caroline n'a pas pu oublier, elle hoche la tête sans lever les yeux.
Le directeur lui pince le menton et la force à relever la tête
- Si vous n'avez pas perdu la parole, répétez-moi ce que je vous ai dit !
Caroline baisse les yeux et lui répond timidement :
- Que vous alliez me donner la fessée... Toute nue.
Tout à fait ! Montrer vos fesses et plus encore une première fois ne vous a pas suffit, nous allons donc renouveler la punition. Mais ce n'est pas tout, n'est-ce pas ?
Caroline n'a pas d'autre choix que de révéler l'intégralité de sa punition, elle relève la tête et veut croire à la clémence du directeur :
- Vous aviez dit que vous alliez me mettre à la cantine, mais...
Le directeur lui coupe la parole avant qu'elle ne se plaigne :
- Pas la peine de chercher des excuses, je vous avez prévenue, et c'est bien ainsi que vous allez être punie. Ce midi, vous m'attendrez à la table des punis, à genoux et les mains sur la tête. Je vous donnerez la fessée pendant le repas, ensuite vous irez en pénitence à la porte de sortie de la cantine !
Caroline accuse le coup, elle sait que tout le monde passe dans ce petit couloir avant la sortie de la cantine. Tous les élèves de l'établissement passeront à quelques centimètres d'elle.
- Maintenant, il est temps que vous regagniez votre cours. Caroline déshabillez-vous !
L'odre est tombé comme un couperet, Caroline ne s'attendait à ça.
- Quoi... pas maintenant...
- Si maintenant ! Et pour le reste de la journée !
Son regard embué croise celui de Cécile qui compatit. Elle commence par enlever son polo, puis défait son jeans. Une fois en sous-vêtements, elle hésite à dégrafer son soutien, mais devant le regard insistant du directeur, elle l'enlève et couvre ses seins et dans un dernier espoir tente de convaincre le directeur :
- Je peux rester en petite culotte, s'il vous plait... Je... Je vous promets que je l'enlèverai pour la fessée ! Mais je ne peux rester toute le journée comme ça ! Je vous en prie !
- J'ai dit toute nue !
Devant l'atitude inflexible du directeur, Caroline fond en larmes. Elle reste prostrée, ses deux mains devant ses seins.
- Faut-il que je vous l'enlève, Caroline !
Incapable de bouger, elle hoche la tête.
Le directeur ne se fait pas prier, il lui enlève sa culotte et range tous ses vêtements.

Pendant le trajet, le directeur tient les deux filles par les bras. Heureusement pour elles tous les élèves sont en cours et elles arrivent devant la porte de leur salle sans croiser quiconque. Quand le directeur frappe à la porte, Cécile tire nerveusement sur le bas de son tee-shirt, mais voyant qu'il sera trop court, elle met ses deux mains devant sa touffe. Caroline l'imite, et lorsque la porte s'ouvre, elle remonte son bras vers sa poitrine. Le directeur est obligé de pousser les deux filles dans le dos pour qu'elles entrent dans la classe. Des chuchotements se font entendre, des sourires s'échangent, les deux filles regardent leurs pieds, incapables de lever la tête. Le directeur constate que Manon est bien à côté du tableau, mais sa culotte couvre parfaitement ses fesses. Lorsqu'elle se tourne la tête pour voir les filles, elle croise le regard du directeur et s'empresse de se remettre face au mur et pose ses mains sur sa tête. Furieux, le directeur s'approche d'elle et lui fait faire un demi-tour :
- Vous non plus, vous ne savez pas obéir ! Je vous avais dit fesses nues !
Manon bredouille des excuses et prétend qu'elle a oublié.
- Et bien, la prochaine fois, vous n'oublierez pas !
Il attrape Manon par le bras et l'entraine dans une rangée au milieu des élèves. Sans lui lâcher le bras, il la courbe et avec sa main libre tire d'un côté puis de l'autre sa culotte. Celle-ci tombe à ses pieds et Manon reçoit une nouvelle fessée.










vendredi 11 mars 2016

L'accrochage

Je circule tranquillement à l'intérieur d'un rond-point quand une voiture vient me percuter sur le côté droit. Je vois surgir une jeune femme paniquée. Je descends aussitôt ma vitre, pour lui conseiller de remonter dans sa voiture et de me suivre jusqu’au prochain parking car il est trop dangereux de rester ici.
Une fois garé, je constate l'état de ma voiture. Pas de quoi en faire un drame. Au point d’impact, elle était déjà abimée et finalement cela ne fait pas une grosse différence avec les dégâts antérieurs, mais je prends garde de ne pas le signaler. La jeune femme se confond en excuses, j’essaye de la calmer, ce n’est après tout que de la tôle froissée, pas une catastrophe et lui fait remarquer que sa voiture s’en sort indemne.
Elle voit les dégâts sur la mienne et m'explique qu'elle a déjà eu deux accidents en tort et que la voiture appartient au compagnon de sa mère... Elle est jeune et jolie et ses yeux au bord des larmes me font pitié. Je tente encore de la rassurer, de lui répéter que ce n'est pas grave, qu'on va faire un constat et que tout ira bien.
Alors que je commence à remplir le constat, elle me dit qu'elle va se faire tuer par ses parents et qu'aucune assurance ne voudra plus l'assurer. Une nouvelle fois, je la réconforte en lui affirmant que son cas n’a rien d’exceptionnel pour un jeune conducteur. Elle devra sans doute reprendre quelques cours de conduite automobile et ce sera tout. Quant à ses parents, je lui sors en guise de boutade, que vu son âge, elle devrait échapper à la fessée. A mon grand étonnement, elle ne semble pas saisir la plaisanterie et me répond très sérieusement qu'elle préfèrerait encore recevoir une fessée que de devoir affronter la colère de son beau-père et les crises de larmes de sa mère.
Voilà qui est singulier ! J'hésite un instant, le stylo suspendu au-dessus du constat. J’ai peur de sa réaction mais la tentation est trop forte et je me lance :
- Ok, si vous voulez, on oublie le constat, mais je vous donne une fessée...
Elle reste bouche bée, ne sachant quoi répondre et finit par lâcher d’une voix étranglée :
- Ici ?
Décidemment je vais de surprise en surprise. Je me retiens d’éclater de rire et j'enchaîne aussitôt en repliant mes papiers :
- Non tout de même ! Mais on en reste là avec ces problèmes d’assurance. Je vous donne mon adresse, vous venez me rejoindre ce soir à neuf heures précise pour vous faire punir comme une gamine. Cul nu !
Voilà, c'est lâché, je n’ai plus qu’à attendre la gifle. Au lieu de ça, elle baisse les yeux et d'une petite voix, elle me dit qu’elle ne peut pas aller chez un inconnu, que c’est trop dangereux.
Je lui présente ma carte de magistrat.
- Pensez-vous que dans ma fonction, je prendrais le risque que vous déposiez plainte pour viol. Vous imaginez le scandale. Je perdrais mon honneur, ma réputation et mon emploi.
Visiblement l’argument l’ébranle. Ma rosette de la légion d’honneur qui garnit la boutonnière de mon veston et mon âge avancé achèvent de la rassurer. Je n’ai pas l’air d’un abuseur de jeune fille.
- Juste une fessée. Vous me promettez que ça n'ira pas plus loin. Vous ne me toucherez pas.
- Bien entendu. Vous avez ma parole d’honneur. Une simple fessée punitive dans les règles de l’art. Vous pouvez vous faire accompagner d’une amie si vous le désirez.
L’idée d’une fessée devant témoin ne lui plaît manifestement pas. Elle répond précipitamment :
- Non, non, ça ira.
Je lui demande de me confier sa carte d’identité à titre de garantie qu’elle tiendra son engagement et on se quitte sur ma recommandation de ne pas être ce soir en retard.
Julie Lamart. Je contemple en rêvant la petite photo qui figure sur sa carte, quand on sonne à ma porte. Neuf heures précise. Elle est ponctuelle. Je la fais entrer, elle apparaît encore moins assurée que lorsque je l'ai quittée. Elle est très jolie avec son minois d'étudiante, ses cheveux blonds coupés au carré plongeant, ses yeux bleus et son sourire timide et crispé. Je regrette qu'elle ait troqué la petite robe d'été qu'elle avait ce matin contre ce jeans et ce débardeur. C’est moins sexy mais je me console en visualisant le côté peu pratique d’un jean pour ce que nous avons à faire. Au fond, la séance en sera d’autant plus excitante. Elle me suit jusqu’au salon et s'assoit dans le canapé sans y être invitée. Je conçois que ce n'est pas de l'impolitesse, mais plutôt que sous le coup de l’émotion, elle a du mal à se tenir sur ses jambes. Je lui propose quelque chose à boire, mais elle refuse d'un signe de tête et me demande d’aller à l'essentiel :
- Plus vite ce sera fait, mieux ce sera. Mais avant de commencer, j’aimerais savoir ce que vous allez me faire ?
Je hausse les sourcils. Elle semble comprendre :
- . . . S’il vous plaît.
- On dit s’il vous plaît, Monsieur.
- Excusez-moi. J’aimerais savoir ce que vous allez me faire, s’il vous plaît, Monsieur.
- Vous n’avez donc jamais reçu de fessée ?
Julie baisse les yeux et murmure en rougissant que si.
- Alors vous savez ce qui va suivre. Pourquoi poser cette question ?
- Parce que c'est la première fois qu'un inconnu me punit, et puis ce n'est pas pareil... Monsieur.
- Je pense que ce ne sera pas différent, je vais tout simplement vous coucher en travers de mes genoux et vous claquer les fesses.
Elle enlève son sac de son épaule et le pose sur la table, puis dans un souffle me dit qu'elle est prête.
Entrant avec conviction dans mon rôle, je la saisis par le dessus du bras pour la lever mais au lieu de la basculer immédiatement sur mes genoux, je lui fais traverser la pièce jusqu'au coin opposé :
- Puisque vous avez l’expérience de la fessée, j'imagine que vous avez aussi connu le coin... A genoux, le nez collé contre le mur et les mains dans le dos.
J’ai adopté le ton sévère de circonstance.
Elle a l’air d’être impressionnée. Sa lèvre tremble un peu comme si elle allait pleurer et elle s'exécute sans rechigner. Je bois du petit lait. Visiblement cette jeune fille perd ses moyens quand elle est confrontée à une ferme autorité. Sans doute, le résultat des fameuses colères de son beau-père. De retour sur le canapé, j’admire ses fesses moulées dans son jeans serré et je trouve instructif la façon dont elle se triture nerveusement les doigts en attendant la suite.
- J'imagine que vous ne pensiez pas un jour vous retrouver dans une situation pareille... Votre dernière fessée doit remonter à plus de quinze ans.
- Heu . . . non, Monsieur.
- Ah bon ! Quand avez-vous donc été fessée la dernière fois ?
Sans cesser de fixer le coin, mais en se trémoussant de gêne, elle me répond timidement que c’était il y a trois ans.
Surpris, je ne peux pas m'empêcher de lui demander son âge. Elle a 22 ans, le calcul est vite fait : recevoir la fessée à dix-neuf ans, voilà qui n’est pas banal et qui pique ma curiosité.
Elle m'avoue que la discipline a toujours été très stricte depuis que sa mère s’est mise en ménage avec cet homme. Elle est enfant unique et il s’est mêlé de son éducation depuis qu’elle l’a connue à dix-sept ans. Elle a été punie physiquement jusqu’à ce qu’elle obtienne son bac après avoir redoublé. J’apprends aussi qu’elle est maintenant étudiante en droit. Faute de ressource, elle est contrainte de vivre sous le toit du concubin de sa mère, ce qui lui est particulièrement pénible car il est odieux et lui fait déjà sans cesse sentir qu’elle lui coûte cher.
Pauvre petit chou ! En voilà une qui aurait intérêt à se trouver un protecteur qui lui financerait ses études en échange de quelques menus services. Un rôle qui me conviendrait parfaitement !
En la faisant parler, je finis par deviner que les punitions qu’elle subissait n’avaient rien de symbolique et que son beau-père n’avait pas l’élégance de ménager sa pudeur. Pour lui, une fessée se donnait nécessairement sur les fesses nues quelques soient les circonstances. Un point commun avec moi mais ce « quelques soient les circonstances » m’intrigue grandement. Je veux en savoir plus.
Quand je lui demande si elle a déjà été punie devant du monde, Julie hésite et finit par me lâcher un tout petit « oui, la dernière fois » puis refuse de m’en dire plus.
Cela ne me convient pas. Ces aveux à petites doses m’intéressent de plus en plus. Mais je regrette de l’avoir placée dans cette position. J’aimerais qu’elle me raconte cette « punition devant témoins » qui lui fait tellement honte tout en captant son regard.
Je lui demande donc de se relever et de me rejoindre.
Je passe mon bras autour d’une de ses cuisses pour l'amener à se coller à mon genou et sans un mot je déboucle son ceinturon. Les bras ballants, elle se laisse faire et regarde droit devant elle.
Je déboutonne son jean, baisse la fermeture éclair et écarte les pans jusqu’à ce que sa petite culotte apparaisse dans l’ouverture.
Elle est merveilleusement érotique ainsi. J’ai décidé de prendre mon temps, de faire durer ces instants inoubliables. Tout en maintenant ma main posée à l’intérieur de sa cuisse, je poursuis mon interrogatoire.
- Alors, vous ne m’avez toujours pas raconté cette dernière fois. J’insiste pour connaître tous les détails, nous ne commencerons qu’après que vous m’aurez tout dit.
Je vois sa poitrine se soulever. Cela la gêne mais elle comprend qu’elle n’a pas le choix. Elle baisse les yeux vers moi, j’accentue ma pression autour de sa cuisse.
- C’était pendant les vacances avant que j’entre à la faculté. On était chez des amis à eux. Toute une bande. Beaucoup d’adultes mais des jeunes de mon âge aussi. Nous, on s’amusait dans la piscine pendant que les parents prenaient l’apéritif. Une de mes copines avait oublié son maillot et privée de baignade, elle plaisantait avec nous au bord de la piscine. Pour blaguer, elle a menacé de jeter dans la piscine les vêtements que j’avais laissés sur la pelouse. J’ai paniqué. Dieu sait ce que mon beau-père était capable d’inventer pour m’humilier si les vêtements avec lesquels j’étais venue se retrouvaient trempés. J’ai paniqué. En cherchant à récupérer mes fringues, il y a eu une bousculade et ma copine est tombée à l’eau toute habillée, en serrant contre elle mes vêtements. Ça a fait du raffut, elle était furieuse et vexée des rires que sa mésaventure provoquait. Et le pire, c’est qu’en trébuchant elle s’était entaillée la cheville à l’échelle du bassin. Les parents sont intervenus. La fille m’a accusée. Moi, je ne l’avais pas fait exprès mais mon beau-père ne m’a pas écouté. Il m’a dit de me préparer pour une fessée dont je me souviendrais. Je savais que si je discutais ce serait pire et j’ai ôté ma tenue de bain. Tout le monde me regardait, c’était horrible. Il m’a fait venir jusqu’à la table où les adultes achevaient leur repas et il a dégagé un espace entre les verres et les assiettes pour que je puisse m’accouder entre les gens. Je ne sais combien de temps a duré la fessée. Il n’y allait pas de main morte et s’interrompait souvent pour m’obliger à me redresser. Je devais alors présenter mes fesses de plus en plus colorées aux personnes attablées dont la plupart était pour moi de parfaits inconnus. J’entendais les commentaires approbateurs ou moqueurs, certains estimaient bien sûr que je n’en avais pas eu assez et je devais reprendre ma position pour me soumettre encore et encore à une nouvelle volée.
Après j’ai dû m’excuser. D’abord auprès de notre hôtesse et puis auprès de la fille que j’avais poussée. Comme elle avait ses vêtements trempés et que les miens étaient dans le même état, on m’a dit de lui prêter mon maillot pendant que l’on mettrait nos fringues à sécher au soleil. Je n’ai pu récupérer mon maillot que le soir avant de partir.
- Un maillot ? Vous voulez dire un maillot une pièce pas une culotte de bikini.
- Oui.
- Il vous a donc fait mettre toute nue devant ces gens pour vous fesser et c’est toute nue que vous êtes restée jusqu’au soir avec eux.
- Oui, Monsieur.
- Pas de serviette de bain pour protéger votre pudeur ?
- Non rien. Il voulait que je reste nue pour que cela me serve de leçon.
Elle est cramoisie. Le souvenir de son humiliation publique est toujours aussi vivace et il lui en a coûté de me la raconter. Je comprends mieux son refus de venir avec une amie qui aurait pourtant pu la rassurer sur mes intentions. Elle n’est pas prête de supporter à nouveau des témoins même compatissants.
- Et bien, ma petite, félicitez-vous que ce soir au moins personne d’autre que moi ne vous verra.
Je surprends son regard qui se porte sur ma fenêtre. Elle a raison, j’oubliais que seul un voilage protégeait de la vue des passants mon salon éclairé.
- Vous avez peur qu’on vous voit de la rue ?
- Oui, Monsieur.
- Vous n’avez pas mérité plus d’intimité. Après tout, mes voisins ont vu les dégâts que vous avez causés à ma voiture, il serait juste qu’ils puissent admirer ceux que je vais causer à votre petit postérieur ! Mais je serai pour cette fois bon prince, vous pouvez fermer les tentures.
Satisfait de ma plaisanterie, j’attends qu’elle ait soigneusement fermé les tentures avant de poursuivre lentement son déshabillage.
Son jean étroit est difficile à baisser. Elle a bien mal choisi sa tenue. Ce lent strip-tease est très agréable pour moi qui ai les yeux à hauteur idéale. Elle a le réflexe de retenir sa culotte. Après quelques efforts de chaque côté, son jean parvient en bas des cuisses. Je découvre une culotte en coton très sage, ornée d'une petite bande de dentelle au-dessus de l'élastique, seule fantaisie de son dessous. Je ne peux m'empêcher d'imaginer qu'elle a choisi cette culotte exprès pour la circonstance.
Je la bascule sur mes genoux, ses fesses sont magnifiques. Je la hisse plus avant, pour ses pieds ne touchent plus le sol. Ses mains sont à plat sur la moquette. Je peux commencer la fessée. Doucement, une fesse après l'autre, dans un rythme régulier. Ses fesses sont intégralement couvertes, je ne peux pas voir si elles rougissent, mais j'attends encore un peu pour la déculotter. Elle commence à gémir lorsque j'intensifie mes claques.
Je profite qu'elle veuille se protéger les fesses après une claque plus appuyée, pour lui attraper le poignet et baisser sa culotte avec ma main libre.
Ces deux globes sont bien rouges, je suis satisfait de la couleur et je contemple ce petit cul avec délectation. Je remarque qu'elle serre les fesses pour en faire voir le moins possible et croise ses chevilles l'une sur l'autre. Sans lui lâcher le bras, je recommence la fessée. Le bruit sec des claques sur la peau nue m'enivre et j'accélère le rythme pour qu'elle gigote, je suis obligé de resserrer mon emprise et je continue jusqu'à ce qu'elle pousse des petits cris à chaque claque. Je n'arrête qu’au moment où je sens qu'elle va se mettre à pleurer.
Elle ravale un sanglot et reprend son souffle, j'en profite sous prétexte d’expertise pour lui caresser délicatement ses fesses encore chaudes. Gênée de cet attouchement, Julie tente de se relever, je l'aide en la tenant par le bras. L'avant de sa culotte est légèrement descendu, mais cache encore l'essentiel de sa féminité. Je me dis qu’il est hors de question de la laisser repartir sans en voir plus. Ce serait trop frustrant !
Elle remonte sa culotte correctement et je lui dis de retourner au coin. Elle y va sans discuter, en remontant son jean sur le trajet. Elle s'apprête à se mettre à genoux, mais je l'en empêche et la rejoint.
- Vous allez cette fois rester debout, pour que j'admire le résultat de mon travail. Je passe mes mains devant elle. Elle n'a pas eu le temps de reboutonner son jean, je le descends doucement jusqu'aux chevilles. Pressentant la suite, elle saisit l'élastique de sa culotte de chaque côté de ses hanches. Une claque au milieu des fesses suffit à la libérer.
- Mettez plutôt vos mains au-dessus de votre tête !
Je baisse sa culotte qui tombe sur ses jambes, puis dans l'élan attrape le bas de son débardeur et lui retire. Elle n'ose pas réagir et replace ses mains comme indiqué. Je la laisse ainsi, en soutien-gorge, jean et culotte baissés, puis je m’empare de mon téléphone pour quelques photos discrètes. Cela me fera de jolis souvenirs. Au bout de dix minutes, je la vois passer sa main sur ses fesses, mais elle la remet sur sa tête. Je décide d'attendre en vacant à mes occupations, pour voir ce que seront ses réactions. Pendant plus d'une demi-heure, elle reste sans bouger et ne dit rien.
Elle finit par me demander si sa punition est finie et si elle peut se rhabiller. Je n'en demandais pas tant. Je m'approche d'elle et passe ma main sur ses fesses, j'en profite pour les écarter légèrement et sent un frisson lui parcourir le corps, ses bras en tombent de sa tête.
- Non votre punition n'est pas finie ! Vos fesses ont retrouvé leur couleur, vous êtes prête pour la suite de votre fessée... Venez me rejoindre !
Je pars m'installer sur le canapé et elle a déjà remonté sa culotte et commence à remonter son jean.
- NON, NON, NON... que faites-vous ? On va continuer fesses nues... Approchez !
Elle lâche son jean, puis se retourne et commence à venir vers moi enchevêtrée dans le vêtement.
- Ne soyez pas ridicule ! Enlevez ce jean !
Quand elle se penche en avant pour se défaire de ses chaussures et de son jean, j'admire son joli décolleté, puis elle vient timidement vers moi, les yeux baissés en slip et soutien-gorge. Ils ne sont pas du tout assortis et cela lui donne encore plus de charme. Son soutien en dentelle noire dénote de sa sage culotte blanche en coton, mais elle n'avait surement pas prévu de se retrouver en soutien-gorge devant moi.
Quand elle arrive face à moi, je passe mes pouces sous l'élastique de sa culotte, elle me retient aussitôt par les poignets. Je lève les yeux pour lui adresser un regard sévère, elle lâche mes poignets et m'implore du regard :
- Pas comme ça, s'il vous plait...
Sans la quitter des yeux, j'abaisse sèchement sa culotte. Celle-ci tombe à ses pieds, elle serre les poings et lève la tête vers le plafond. J'en profite pour lui retirer sa culotte de ses pieds, elle lève docilement un pied puis l'autre. Avant qu'elle ne cache sa toison de ses deux mains, j'ai le temps de constater que ses lèvres sont bien visibles et sont surmontées d'une fine bande de poils châtains épilé court.
Je la bascule sur mes genoux et reprends la fessée sur le même rythme que la fois précédente. Ses fesses rosissent aussitôt. Au bout de quelques claques, elle se débat et me supplie d'arrêter. Je ne vais pas plus loin, faire mal ne m’intéresse pas, je sais que la fessée est déjà largement suffisante. Je la relâche et elle se lève aussitôt en frottant ses fesses. Je profite de son corps uniquement vêtu de son soutien et de son visage grimaçant.
Je lui fais faire demi-tour pour vérifier l'état de ses fesses. Elles sont bien rouges, mais d'ici quelques minutes, elles retrouveront leur couleur initiale.
- Vous allez retourner un moment au coin, et après ce sera fini, vous serez pardonnée...
Après un gros soupir, elle s'écarte, mais je la retiens par la main :
- Ne soyez pas si pressée, vous allez aller au coin, mais vous allez y aller toute nue...
Joignant le geste à la parole, je dégrafe l'attache de son soutien. Encore plus exaspérée, elle se défait de mon emprise et se rend au coin sans que je lui redise. Elle termine d'enlever son soutien et le jette à terre, puis pose ses mains au-dessus de sa tête. Elle est magnifique vue de dos, je sais que je ne vais pas me lasser de la regarder ainsi, même si l'envie de la découvrir de face entièrement nue est grandissante.
Je ramasse ses vêtements éparpillés dans le salon et les pose sur le canapé.
Je la laisse ainsi, en ayant l’air de ne plus m’occuper d’elle mais je circule dans la pièce pour profiter de différents angles de vue. Au bout de dix minutes, je vais m'assoir dans le canapé pour profiter du spectacle qu'elle va m'offrir et surtout cacher mon érection.
- C'est bon, vous pouvez vous rhabiller !
Elle se retourne, les coudes cachant ses seins, et les mains sous le menton, cherchant du regard ses vêtements.
- C’est ceci que vous cherchez ?
Je lui ai montré son soutien entreposé avec ses autres vêtements à ma gauche.  
Sans répondre, elle revient à tout petit pas vers moi. Je lui rends un à un ses fringues dans l’ordre où je souhaite qu’elle se rhabille : soutien, débardeur, culotte, jean et chaussures. Elle doit à chaque fois se baisser vers moi car je ne fais pas l’effort de lui tendre ceux-ci. J’adore sa menue poitrine aux tétons si agressifs !
En la reconduisant à ma porte, je lui demande de faire plus attention sur la route à l'avenir. Bizarrement, elle me remercie et me jure d’être plus prudente, puis ajoute qu’elle a retenu la leçon.
A ce moment une brillante inspiration me vient. J’ai lu récemment un article sur les sugar baby qui financent ainsi leurs études. Je me verrais bien en sugar daddy de cette étudiante :
- Au fait, Julie. Si vous en avez assez de la tyrannie de votre beau-père, je pense que je pourrais vous aider. Vous savez à présent que je n’ai rien d’un abuseur. Je vous avais promis de ne pas vous toucher et de me limiter à une fessée disciplinaire. J’ai tenu mes engagements.
Le second étage de ma maison est aménagé en un petit appartement et il est libre. Je pourrais le mettre à votre disposition en échange de quelques menus services. Je vis seul et mes fonctions me laissent peu de temps pour m’occuper de la maison, faire les courses et préparer les repas. Et puis ma formation de magistrat pourrait vous être utile si vous aviez besoin d’un tuteur.
Elle ouvre de grands yeux étonnés, veut parler mais je l’en empêche :
- Ne me répondez pas maintenant mais songez à cette proposition. On en reparle quand vous voulez.  
Avant qu'elle ne quitte la maison, j'ai enfin droit à un petit sourire de sa part. Je crois que c’est gagné !