vendredi 9 mai 2014

Voyeuses, voyeurs, à chacun son tour . . .

Elle sait parfaitement pourquoi elle est là. Pourtant la secrétaire ne lui a pas donné d’explications quand elle est venue la chercher en classe. Elle l’a simplement fait entrer dans le bureau et lui a dit d’attendre :
– Asseyez-vous, Monsieur le directeur ne va pas tarder. »
Déjà un quart d’heure qu’Amandine se ronge les sangs. Son cœur bondit quand elle entend quelqu'un entrer, mais ce n’est que sa copine Géraldine qui prend place en silence sur la chaise à côté d'elle et se met à fixer obstinément le bout de ses chaussures.
Pour rompre l’atmosphère angoissante, Amandine finit par bêtement demander :
- Toi aussi, on est venu te chercher en classe ? »
Géraldine fait un signe de tête. Elle a l’air stressée à mort. D’une voix au bord des larmes, elle murmure :
- Tu crois qu'il va nous fesser ? »
Son amie se force à sourire et essaye de faire bonne figure pour la réconforter :
- Penses-tu, pas à l'âge qu'on a tout de même ! Mais on va passer un sale quart d'heure... ça c’est certain. »
Le silence revient. Pesant. Chacune est perdue dans ses pensées.
Amandine finit par livrer ses craintes :
- Je ne sais pas comment il va nous punir. C’est spécial comme cas, notre truc. Tout ce que j’espère c’est qu’il ne dira pas à tout le monde ce qu’on a fait. »
Elle se sent terriblement honteuse. Si cela se sait, elle ne pourra plus supporter de rester au lycée. Comment a-t-elle pu ? Elle a cru ne jamais être dépistée, c’était idiot.
Sa cadette se tord les mains. Pauvre Géraldine! Evidemment qu’elles ne couperont pas à la fessée, c’est bien le moins ! Elle n’aurait jamais dû l’entraîner là-dedans. Et puis cela ne lui a pas porté chance, elles ont été repérées à la première participation de Géraldine, alors que elle l’a fait, seule, pendant des semaines sans jamais se faire pincer . . . et ça personne ne le sait . . . du moins, elle l’espère.
Les deux filles sursautent en entendant la porte s’ouvrir.
- Ah Mesdemoiselles, je vois que vous êtes confortablement installées ! Mais je vais vous demander de vous lever pour laisser vos chaises à nos deux invités. »
Elles se retournent et découvrent stupéfaites les deux garçons qu'elles ont espionnés ensemble hier. Amandine se mord la lèvre : zut, le directeur les a sûrement mis au courant et ces gamins vont aller raconter partout ce qu’elles ont fait . . .




- Prenez place, Messieurs. Le comportement de ces jeunes filles est intolérable, nous allons régler immédiatement cette affaire ! 
Mesdemoiselles, non seulement vous espionnez des camarades alors qu’ils pensent se trouver dans l’intimité de leur vestiaire, mais en plus vous choisissez des garçons plus jeunes que vous ... »
Les deux filles baissent la tête, difficile d’expliquer que c’est un concours de circonstances, que ce ne devait pas être des premières années, à cette heure-là.
Les jeunes garçons semblent aussi gênés que les filles.
- Ne soyez pas impressionnés, Messieurs, je comprends qu’il soit troublant d’apprendre que deux grandes de terminales vous ont regardés alors que vous étiez nus et de se retrouver, aussitôt après, en face d’elles. Mais ce sont elles qui seront mal à l’aise devant vous dans très peu de temps, je vous le garantis. »
Les filles se regardent intriguées et inquiètes. Les garçons relèvent la tête moins intimidés d'être en présence de ces deux belles filles et pour la première fois, ils osent les détailler. Ils ne les connaissent pas, ignorent jusqu’à leurs noms mais bien sûr les ont déjà remarquées au lycée.
Elles se tiennent debout, serrées l’une contre l’autre, entre leurs sièges et le bureau. La brune leur présente son dos. Elle est en jean, pull à large col roulé et bottines à lacets. Le jean ultra moulant lui fait un cul du tonnerre à quelques centimètres de leurs yeux.
La blonde elle, se présente de profil. Elle porte une jupe plutôt courte, des bas et des bottes à talons. C’est très sexy. Pour le haut, un élégant chemisier rouge, genre oriental, fermé par une dizaine de petits boutons de nacre qui lui montent jusque sous son menton.
Ils ne savent pas ce qui va se passer mais ils comprennent qu’ils n’ont rien à craindre. Elles vont sûrement se faire enguirlander devant eux et peut-être devront-elles leur demander pardon : trop marrant ! un bon moment à raconter aux copains !
- Il me semble, Mesdemoiselles, que pour un tel outrage, votre punition ne peut débuter que par une bonne fessée. »
Quatre paires d’yeux s’agrandissent, quatre bouches s’arrondissent sur une exclamation muette, on se regarde interloqué, la stupeur est complète, personne ne s’attendait à cela. Même Géraldine s’était un moment rassurée en voyant entrer les garçons, leurs présences lui apparaissant comme une sauvegarde contre la fessée.
Amandine est la première à se reprendre. Elle veut protester mais le directeur lève la main pour signifier qu’il n’a pas fini.
- Et vous savez que dans cet établissement, les fessées ne se donnent que sur les fesses nues. Alors quitte à vous 
dénuder les fesses, j’ai pensé que vos victimes étaient en droit d’en profiter. »
Géraldine ne peut contenir sa panique. Prise d’une véritable logorrhée, elle proteste, jure qu’elle ne le fera plus, demande pardon, supplie pour recevoir une autre sanction, n’importe quoi, une fessée oui mais pas devant des garçons ou alors sans lui baisser sa culotte.
- Je fais cela dans l'intérêt de tout le monde. Vous êtes majeures, Mesdemoiselles, ces jeunes gens sont eux mineurs, vous imaginez très bien les conséquences dramatiques pour votre avenir si cette affaire devait aller en justice. »
Amandine comprend tout de suite ce que le directeur insinue. Il est clair qu'elle ne veut pas avoir d'ennuis, ni que cette affaire soit ébruitée. Elle prend son courage à deux mains et concède :
- D’accord, vous nous fessez devant eux mais alors ils doivent nous jurer qu’ils ne diront rien à personne.
Cette revendication fait sourire Monsieur Germain.
- Ne vous méprenez pas, jeune fille, je n’ai nullement besoin de votre autorisation pour choisir la punition que je trouve la plus appropriée à votre conduite. Quant à la confidentialité, je vais vous décevoir. Quand bien même j’aurais voulu agir dans la discrétion, il me fallait être certain que personne ne déposerait plainte contre vous. J’ai donc dû réunir l’accord de vos parents, du conseil de discipline et de l’association des parents d’élèves : il n’y aura pas d’actions en justice pour autant que vous soyez correctement sanctionnées au sein de l’école. Je peux vous dire que tous mes interlocuteurs se sont déclarés outrés de votre conduite, c’est du jamais vu, on exige que la punition soit à la hauteur de votre comportement scandaleux . . . et vos parents, Amandine, étaient parmi les plus virulents. »
Amandine est catastrophée d’apprendre que tant de monde et surtout ses parents sont au courant de son vice.
- Mais trêve de bavardages. Je vois que ces jeunes gens sont impatients que nous commencions. Comment leur en vouloir ? Je suis certain que vous étiez aussi impatientes qu’eux quand ils se déshabillaient sans savoir que vous les regardiez.
Alors, je commence par qui ? Laquelle des deux est volontaire pour passer en première ? »
Les filles ne répondent pas, Géraldine se dandine en tout sens en arrangeant nerveusement ses mèches de cheveux, Amandine a l’air plus calme et plus concentrée sur ce qui l’attend mais ne parvient pas à se sacrifier.
Le directeur la désigne :
- Personne ne se dévoue ? Alors, Amandine vous serez la première, puisque vous êtes la plus âgée. Retournez-vous vers ces jeunes gens. »
Doucement elle se tourne vers les garçons qui, encore timidement, se mettent à la dévisager. C’est incontestablement une très belle fille, de grands yeux gris-bleus, des traits réguliers, les pommettes un peu saillantes, une chevelure dorée rassemblée en un haut chignon.
Résignée et impatiente d’en finir, elle présente un visage fermé, une mine boudeuse, elle répond à leurs sourires béats par un regard au lance-flamme puis fixe un point imaginaire, loin par-dessus leurs têtes.
Le directeur s'est levé et fait le tour de son bureau. Il passe ses doigts dans la taille de la jupe, défait le bouton sur le côté et fait glisser la fermeture éclair.
Sous le coup de l’émotion, Amandine a porté ses mains à son visage et étouffe une petite plainte : elle ne s’attendait à ce déshabillage, il aurait pu se contenter de lui relever son vêtement. La jupe si droite, il n’y a un instant, s’est abattue informe sur son bassin. Du côté de la glissière ouverte, un sous-vêtement blanc apparait déjà.
– Mains sur la tête, Mademoiselle. »
Elle obéit mais on la sent excédée de devoir prendre cette pose humiliante devant des gamins. Elle en a marre, qu’est-ce qu’il attend, qu’il la fesse et puis c’est tout, fulmine-t-elle.
Un petit coup sec d’un côté puis de l’autre, la jupe passe l’obstacle des hanches, les mains du directeur posées à plat sur le nylon des cuisses l’accompagne jusqu’à ce qu’elle s’abatte sur les chevilles.
Monsieur Germain n’est décidément pas pressé. Il laisse aux jeunes gens, le temps de savourer cette première découverte. Ils n’ont d’yeux que pour la petite culotte blanche que ni le nylon très clair des bas, ni le chemisier court ne dissimulent.
Amandine jette les yeux en l’air avec un grand soupir de rage et d’impatience.
Sans transition, le directeur la saisit par la taille, il la soulève facilement et la retourne, courbée sous son bras. Elle a hurlé et tempête mais il attrape ses poignets pour les emprisonner dans son dos.
Il la force à reculer. Enchevêtrée dans sa jupe, elle manque de tomber mais il la maintient fermement. Il l'arrête à quelques centimètres des deux garçons assis. Ils peuvent ainsi admirer le côté pile de la culotte blanche bordée de dentelles et les rondeurs jumelles que la position courbée met si bien en valeur.
- Vu votre jeune âge, je ne peux vous autoriser à fesser vous-mêmes ces jeunes filles, bien que c’est ce qu’elles mériteraient. Par contre rien ne m’interdit de satisfaire votre soif légitime de vengeance, en vous faisant pleinement participer à leur humiliation. »
Les deux garçons se regardent visiblement pressés de connaitre la suite. Géraldine, qui s’est retournée vers sa copine, sent un nœud énorme lui envahir l’estomac, mais se force à rester calme malgré son envie de s'enfuir du bureau.
- M. Pollet, veuillez abaisser le collant de votre camarade ! »
Amandine a un sursaut de résistance, mais le bras qui encercle sa taille se resserre d’autant.
- Allez-y, M. Pollet ! Baissez ce collant. Vous verrez mieux cette jolie petite culotte. »
Le jeune garçon porte ses doigts gourds à l'élastique des collants. Il est tout rouge et ne s’est pas levé de sa chaise. Amandine s'agite de plus en plus, elle proteste, clame qu’il n’a pas le droit, que c’est indigne et tente de se redresser tandis qu'elle sent l'air frais sur ses cuisses qui commencent à être dénudées. Une claque sèche l’atteint comme un avertissement, le bras vigoureux qui l’enserre ne lui laisse aucun espoir de s’échapper, elle se calme sachant que ce n’est qu’un début et qu’elle ne pourra pas éviter de montrer ses fesses nues.
Le collant est descendu à mi-cuisses.  
Le directeur lisse la culotte de sa main libre, il la tire vers le haut et entre les cuisses graciles, le tissu tendu dessine la fente du sexe.
– Voici un bien joli sous-vêtement. Nous ne voudrions pas risquer de l’abimer, n’est-ce pas, Monsieur Polet ? Pourriez-vous me rendre le service de le baisser afin que je puisse fesser cette impudique jeune personne ? »
Les doigts de Pollet tremblent un peu quand ils se glissent sous l’élastique et commencent à le soulever. La raie des fesses apparait, le slip est à mi-course mais Monsieur Germain pose sa main sur celle du jeune homme pour lui signifier d’attendre. Il vient de remarquer le regard envieux de son copain. Sans lâcher Amandine, il attrape Géraldine par son pull pour la faire avancer jusqu’à ce qu’elle soit en contact avec les genoux du second garçon.
- Quand viendra le tour de celle-ci, Monsieur Lejat, vous aurez vous aussi le plaisir de lui baisser sa culotte... Ne soyez pas impatient.»
Géraldine a un mouvement instinctif de recul et échappe à sa prise.
- Hé là pas de cela, Mademoiselle ! Monsieur Lejat, tenez donc celle-ci en place pendant que je m’occupe de l’autre et veillez à ce qu’elle ne se sauve pas en voyant ce qui va arriver à sa copine et qui lui arrivera ensuite.»
Le gars, tout heureux de l’aubaine, se lève et vient se coller derrière Géraldine. Il la ceinture en passant ses mains sous son pull. Mais à sentir ainsi cette belle fille défiante et craintive, la tentation d’aller plus loin est vive, un fin teeshirt constitue le dernier obstacle, discrètement ses doigts en dégagent un bout hors de la ceinture pour glisser les mains à même la peau nue.
Géraldine grogne à ce contact et donne un brutal coup de coude pour se libérer. Le geste n’a pas échappé au directeur :
- Allez-vous bientôt vous calmer ou voulez-vous prendre immédiatement la place d’Amandine ?
- . . .
- Placez donc vos mains sur votre tête pendant que nous nous occupons de votre complice. »
Elle obéit à contre cœur, obligée de laisser le champ libre à Lejat qui, sans plus de scrupules, croise ses mains sous son teeshirt.
L’attention revient sur Amandine. Elle a abandonné toute résistance, pourtant Pollet semble encore plus embarrassé qu’elle. Timidement, il descend la culotte juste sous les fesses.
Le directeur ajuste les collants plus bas. Il sent bien qu’il doit donner un peu de courage à ce garçon qui est loin de partager l’audace de son copain.
- Descendez sa culotte ! Pour être valablement fessées, ces filles doivent être complètement déculottées. Les fesses, le sexe et les cuisses dénudées... N’oubliez pas qu’elles ne se sont pas gênées pour vous regarder quand vous étiez nus comme des vers. Voilà, mettez son slip au niveau de ses collants ! »
Amandine contracte ses fesses, courbée en deux elle est consciente du spectacle qu'elle offre à quelques centimètres des yeux du garçon. Géraldine a porté ses mains à sa bouche et pousse un cri d’indignation en voyant ce qu’expose son amie. Monsieur Germain l’apostrophe :
- Eh oui, Mademoiselle, voilà ce que vous allez nous montrer vous aussi dans peu de temps. Asseyez-vous donc sur les genoux de votre camarade, assis vous aurez tous les deux une meilleure vue pour la suite. »
Sans attendre, Lejat la bouscule et se rassoit en l’entraînant dans le mouvement. Il lui entoure la taille en passant à nouveau ses mains sous ses vêtements et presse sa tête par-dessus son épaule, joue contre joue pour ne rien perdre lui non plus du spectacle.
Amandine, incapable de bouger, reçoit les premières claques. La fessée commence modérément par des petits coups très espacés et bien ajustés mais ce prélude n’est destiné qu’à lui voir balloter agréablement les fesses. La véritable punition suit quand Monsieur Germain passe à la vitesse supérieure. Sous la vigueur des coups, le fessier ne tarde pas à rougir. Le directeur n’a pas l’intention de se contenter de fessées symboliques, il est convaincu qu’en plus de la sanction mentale que constitue leur déshabillage devant les garçons, ces filles doivent être physiquement très sévèrement punies.
Amandine parvient à maintenir longtemps ses jambes croisées pour éviter d'offrir un spectacle encore plus agréable. Mais quand son fesseur a recouvert de belles marques rouges l'intégralité de son postérieur, il la force à écarter ses jambes pour passer au traitement de ses cuisses. Les claques tombent d’abord sur leurs faces externes avant s’attaquer aux parties plus tendres à quelques millimètres des replis du sexe.
Finalement libérée, elle se relève d'un coup en portant ses mains à ses fesses pour les masser. Conscient de la douleur infligée, le directeur la laisse faire et n’intervient que quand il la voit attraper sa culotte :
- Tss pas de ça, jeune fille ! Laissez bien votre petite culotte, là où elle est. Vous restez nue. Si vous vous avisez de remonter votre culotte sans mon autorisation, je vous promets que je l’offre immédiatement à ces messieurs. Vous n’avez sûrement pas envie, dans les prochaines semaines, de la voir exhibée à tout bout de champ comme un trophée ! »
Il la pousse de côté hors de l’espace confiné de son bureau et des garçons. Elle doit enjamber sa jupe pour ne pas se prendre les pieds dedans.
- C’est une règle sur laquelle je ne transige jamais : personne ne se rhabille tant que les punitions ne sont pas terminées. Et cela vaudra aussi pour vous Géraldine. »
Il contourne Amandine dont les mains quittent précipitamment les fesses pour se plaquer sur sa toison. Pourtant après quelques secondes, une de ses mains vient protéger son cou.
C’est que, sans un mot d’explication, le directeur a entrepris de déboutonner son chemisier. Délicatement, il écarte la main qui le gêne et défait le premier bouton du col. Amandine, tétanisée, se laisse faire. Elle a compris qu’il veut la montrer aux garçons. Ce sera bien plus qu’une simple fessée. Jusqu’où veut-il aller ? Elle sait bien qu’il a déjà mis des filles du lycée toutes nues et pas seulement dans son bureau. Ce serait une punition logique vu ce qu’on leur reproche. A cette idée, elle sent ses mamelons se durcir. Elle a baissé les yeux en signe d’obéissance et se contente de couvrir son sexe. Les garçons la voient de trois quarts. Son vis-à-vis agit calmement. Les petits boutons de nacre se succèdent deux par deux. Lorsque le dernier est ôté, le directeur lui relève le menton pour l’obliger à capter son regard et il écarte les pans du chemisier. Il promène un moment ses yeux sur les jolis seins prisonniers d’un soutien de dentelles et sur le ventre caché par des mains qui se contractent nerveusement. Plus bas, le nylon et la culotte s’emmêlent sous les genoux. Amandine tente de résister quand il lui saisit un poignet. Elle doit céder et ne peut plus se couvrir que d’une main quand il lui élève un bras puis l’autre pour détacher les boutons de ses manches.
Son amie détourne une nouvelle fois l’attention de tous. Géraldine vient de hurler comme une hystérique parce que Lejat a remonté une main sous son pull jusqu’à son soutien.
Le coupable a l’air inquiet : il a sans doute exagéré ?
Décidément voilà un jeune homme qui promet mais qui va trop vite, se dit le dirlo et sans un mot de reproche à l’agresseur, il se contente d’ordonner à Géraldine de se lever et d’attendre son tour mains sur la tête. Lejat la laisse quitter ses genoux, mais le bougre a l’air tellement déçu de devoir la lâcher qu’il fait doucement rire Monsieur Germain.
Il revient vers Amandine mais se ravise. Après tout, pense-t-il, cette petite gourde de Géraldine n’avait pas à crier, il est un peu tard pour jouer les pudiques et les effarouchées quand on s’est cachée pour mater des jeunes gens tous nus. Il est temps qu’elle comprenne qu’elle va maintenant jouer dans un tout autre registre que celui de la petite fille indignée.
Elle a obéit et s’est remise sur pied, mains sur la tête en prenant bien entendu soin de tourner le dos aux garçons. En trois pas, il est derrière elle, il attrape le bas de son pull et de son teeshirt et les lui passe d’un coup par-dessus la tête. Elle ne s’attendait pas à cela mais ne peut qu’obéir quand il lui ordonne de dégager ses bras et de plier ses vêtements sur le bureau.
- Reprenez votre place sur les genoux de votre camarade. Voilà, Monsieur Lejat, ainsi son teeshirt ne vous gênera plus mais veuillez ne plus lui toucher la poitrine. »
Comblé, l’interpellé tapote ses genoux en les présentant à Géraldine. La pauvre s’approche avec une moue de gêne et il l’oriente pour l’asseoir de profil. Il lui met la main sur l’épaule et contemple comme son copain les petits seins qui pointent sous un soutien noir des plus transparents.
Le directeur conduit Amandine vers le mur opposé à la porte. Le haut de ses cuisses vient se coller sur le bord du plateau d’un meuble bas, encombré de dossiers. Elle est un peu rassurée, son chemisier est grand ouvert mais il le lui a laissé. Malheureusement cela ne dure pas et elle gémit quand il fait glisser son chemisier de ses épaules et le lui retire. La perception de nudité est beaucoup plus forte sans ce vêtement. Elle jette un regard en arrière pour s’assurer que la porte est bien fermée. Cette défiance ne plaît pas à Monsieur Germain, il la saisit par la nuque pour la contraindre à approcher son visage du mur. Elle est si cambrée en avant qu’elle est obligée se hisser sur la pointe des pieds. Ses fesses sont merveilleusement bombées vers les spectateurs.
- Vous allez coller le bout de votre nez sur ce mur et je ne veux pas vous voir bouger ! Et mettez vos mains au- 
dessus de votre tête ! »
Le directeur s'éloigne, laissant Amandine dans cette position inconfortable et ô combien humiliante, en soutien-
gorge, le slip et les collants emmêlés au-dessus de ses hautes bottes.





Satisfait de ce premier round, il s’approche d’un pas alerte de Géraldine, qui couvre craintivement sa poitrine en le voyant arriver. Il lui saisit la main et la fait se relever.
- A vous, Mademoiselle. Il est temps de nous faire voir ce que cache si mal ce jean. »
Il s’affaire à déboucler le gros ceinturon, fait sauter la pression du jean et en descend la fermeture. Quand il entreprend de baisser le jean étroit, elle réagit, certaine que de la façon dont il s’y prend sa culotte va être emportée dans le mouvement alors qu’elle est encore face aux garçons. Elle retient son jean de chaque côté et le directeur n’insiste pas :
- Si vous voulez l’enlever vous-même, à votre aise ! Allez-y, nous vous regardons. »
Avec d'infinies précautions, elle tire d’un côté puis de l’autre, de temps en temps, elle remonte sa 
culotte qui descend trop bas. Noir comme son soutien, le petit sous-vêtement est aussi transparent, seule une bande opaque cache sa fente. Aucune trace de toison n’est visible. Lorsque le jean parvient aux genoux, le directeur lui fait faire un demi-tour et l’oblige à reculer vers les deux garçons comme il a procédé avec Amandine.
Le petit derrière rebondi est encore plus appétissant que celui d’Amandine. Deux belles rondeurs pommelées séparées par une fente profonde bien visibles sous le tissu tendu.
- A vous, M. Lejat ! Vous pouvez baisser le slip de cette jeune fille ! »
Moins timide que son copain, le gars saisit le tanga sans hésitation et déculotte en prenant soin de se limiter au fessier. Puis il s'y reprend délicatement en passant ses mains sur le ventre pour le dénuder complètement à son tour. Sa main repousse le tissu en passant entre les cuisses pour lui faire rejoindre le jean. Il pousse même la bonne volonté jusqu'à vouloir descendre le jean aux chevilles, mais le directeur qui a une meilleure idée, l’en empêche.
- Tss, tss. Laissez donc faire Mademoiselle. Elle adore se dévêtir elle-même. Baisser complètement ce pantalon. »
Toujours de dos, consciente de sa nudité, coincée entre le bureau et les genoux de ce Lejat, elle se dandine et se contorsionne, sans trop se courber, pour en faire voir le moins possible.  
Le jean parvenu sur ses bottines, elle se redresse soulagée mais le directeur lui dit que ce jean tirebouchonné qui lui emprisonne les chevilles va le gêner pour sa fessée et qu’elle doit l'enlever complètement. Elle se plaint, essaye de négocier mais il ne change évidemment pas d’avis :
- Pas question, je ne vous fesserai que lorsque votre jean aura rejoint vos autres vêtements sur mon bureau et gare si vous nous faites perdre patience. »
Elle esquisse le geste de se pencher mais se redresse hâtivement quand sa croupe heurte le bras du garçon. Elle préfère encore s'accroupir à ses pieds lui offrant une magnifique vue plongeante sur ses jeunes seins. A moitié nue, elle délace ses bottines et les enlève ainsi que le jean. Sur l’ordre du directeur, elle dégage aussi sa culotte, restée à ses cuisses et doit enlever jusqu’à ses chaussettes. Lorsqu'elle se relève, elle n'a plus que son soutien pour seul vêtement et il lui fait ramasser tout ce qu’elle a ôté pour les plier correctement sur le bureau. Même les bottines doivent être rangées. Visiblement le directeur prend beaucoup de plaisir à faire évoluer presque nue cette fille qu’il pressent particulièrement pudique. Elle s’acquitte tant bien que mal de sa tâche en n’utilisant qu’une main et les regards effarouchés qu’elle lance, à tout bout de champ, aux trois hommes est un ravissement.
Elle frémit quand Monsieur Germain s’empare d’elle pour la courber sous son bras. Par crainte de la fessée ou par pudeur, elle se rebiffe, se débat et proteste encore. Feignant l’exaspération, il la relâche et alors qu’elle se croit libérée, il lui dégrafe habilement son soutien et en fait glisser les bretelles. Elle tente de retenir son dernier vêtement mais il lui envoie une claque sur les fesses qui la fait bondir en avant et il lui arrache des bras le bout de tissu.
- Puisque vous vous rebellez, vous voilà dans la même tenue que ces jeunes gens quand vous les épiez : toute nue ! »
Quelques claques bien appuyées viennent tambouriner sur ses fesses. 
Il s’interrompt, se saisit des sous-vêtements sur le bureau et les lance aux garçons.
- Voilà un souvenir pour vous.
Lejat attrape la culotte, Pollet, le soutien.
- Je vous avais pourtant prévenue. Mes menaces ne sont jamais des paroles en l’air, j’espère que vous en êtes maintenant convaincue. Vous allez rigoureusement faire ce qu’on vous dit. A la moindre rébellion, ce ne sont plus vos sous-vêtements mais vos vêtements que je distribuerai et tant pis pour vous si vous devez aller chercher toute nue votre tenue de gym au vestiaire pour pouvoir rentrer chez vous. »
Cette fois, elle comprend qu’il lui faut obéir et elle se laisse docilement plier sous son bras. Ses fesses sont tendues vers les visages des garçons. Avant de commencer la fessée, il veut tester sa parfaite obéissance et la fait reculer tant, qu’elle sent contre ses jambes celles de Lejat. Il la maintient ainsi un moment en lui palpant le derrière avant de revenir s’appuyer à son bureau et de la hisser sur son genou droit.
La fessée la surprend d’emblée par sa force. Immédiatement elle est emportée dans un tourbillon de sensations douloureuses. Sous le déluge, elle se cambre et bat des jambes. Inconsciemment toute pudeur est abandonnée pour le plus grand plaisir des voyeurs. Elle gigote tant que son fesseur doit parfois la rattraper pour l’empêcher de tomber. Il finit par lui passer un bras en haut d’une cuisse et de lui coincer l’autre avec sa jambe. Ainsi écartelée, elle offre une vue sans pareil sur sa fente bondissante à chacune des claques qui se raréfient et deviennent plus ciblées. Elle sanglote maintenant ouvertement. Le directeur arrête de frapper et lui relève la chevelure pour montrer son visage en larmes. Il la laisse encore exposée un moment sur son genou et les deux adolescents avancent leurs têtes sans même essayer de cacher leur intérêt pour cette petite vulve imberbe qui continue à se contracter et à se relâcher convulsivement.
Monsieur Germain a lâché prise et attend patiemment que sa victime se calme. Quand elle finit par prendre conscience qu’il ne l’emprisonne plus, elle se redresse péniblement. Ses mains sèchent ses joues, jusqu’à ce qu’elle se recroqueville brusquement en se couvrant, en voyant où vagabonde son regard.
- Quand vous avez épiés ces jeunes gens, je ne pense pas qu'ils ont eu la chance de rester seulement de dos ou de se couvrir les parties génitales. Ils ne savaient rien de votre présence et vous regardiez à loisir leurs sexes. C’est ce qui vous intéressait, n’est-ce pas, petite vicieuse et vous ne vous gêniez pas pour bien détailler comment ces jeunes gens étaient faits ? A votre tour, à présent, de leur rendre la pareil. Retournez-vous et faites face à ces garçons, les mains le long du corps. »
Elle le regarde, bouche ouverte, incapable d’obéir.
– Très bien mais vous allez le regretter. »
Il lui attrape les bras au niveau des coudes et les lui serre dans le dos.
Sans lâcher prise, il la fait reculer au plus près des garçons et commence à se retourner.
Elle hurle pour l’empêcher de faire cela mais il la soulève comme une plume pour la mettre face aux garçons. Elle sent tout basculer autour d'elle. La position qu’il lui impose, bras tirés en arrière, fait ressortir sa poitrine, ses seins pointent fièrement vers les deux jeunes qui découvrent, sans doute pour la première fois une fille nue en chair et en os. Son ventre plat se soulève au rythme d’une respiration haletante. Complètement anéantie, elle baisse les yeux. Les garçons ne se gênent pas pour scruter sa fente lisse, exempte de tous poils. Cambrée en arrière, elle est cette fois consciente qu’ils détaillent les replis de son intimité qu’elle ne peut qu’exhiber si impudiquement.
- Puisque vous en voulez encore voilà pour vous apprendre à obéir. »
Le directeur l’a retournée et la courbe sur son bureau. D'une main, il lui entrave les poignets et l’oblige du pied à écarter largement les jambes. Cette fois, domptée par la douleur ou anéantie par la honte, elle se laisse faire et ne bouge plus. Ses fesses écarlates la torturent. Mais malgré ça, il claque encore vigoureusement, lentement, une fesse puis l'autre. Après chaque claque, il empoigne et agite le bas de la fesse frappée. Il lui lâche les mains pour maintenir son buste plaqué sur le bureau, elle agrippe l'autre extrémité du bureau pour résister, ses jambes tremblent et flageolent, ses fesses et son sexe s’agitent sans fin. Elle pleure, crie, supplie pour qu’il arrête. Par pitié, il change de cible et lui colore les cuisses en lui épargnant toutefois les endroits les plus sensibles.
Enfin, il la redresse, et lui fait traverser le bureau, à grands coups de claques sonores.
- Au mur comme votre copine ! Dépêchez-vous ! »
Amandine reçoit, elle aussi, une claque inattendue parce que son nez n'est plus collé au mur. Elle se dépêche de 
reprendre la position, Géraldine se hâte de l’imiter.
-Nous allons déjeuner, je laisse exprès la porte grande ouverte, pour qu’on puisse vous surveiller du couloir. Je vous avertis que je suis susceptible de revenir à tout moment. Si je découvre ou qu’on me rapporte que l’une des deux n'a plus le nez collé au mur et les mains levées, c’est toutes les deux qui en subiront les conséquences. Je vous emmènerai toutes nues sous le préau où vous finirez votre piquet pendant la pause . . . Je mettrai vos vêtements en tas devant vous et vous serez priées de dire à tout le monde que vous les offrez à qui voudra les emporter. »
Le directeur sort accompagné des deux garçons.




Amandine, terrorisée par la menace, ne bronche pas malgré la douleur de ses chevilles tendues. Géraldine elle, ne parvient pas à rester sur la pointe des pieds et elle se passe fréquemment la main sur ses fesses et l’intérieur de ses cuisses.
Ces imprudences affolent Amandine. Elle chuchote à son amie, pour ne pas être entendue par la secrétaire qui travaille toujours dans le bureau voisin :
- Je t’en supplie, arrête de bouger, je n'ai pas envie de me retrouver à poil dans la cour. Tu sais bien qu’il est capable de le faire. Et tu nous vois rentrer en métro à l’heure de pointe, dans nos petits teeshirts et shorts de gym ! »
Le temps paraît très long. De temps à autre, l’on passe dans le couloir. Au bruit des pas ou des voix, elles se raidissent et réajustent leur position. Parfois les pas s’arrêtent, on parle à voix basse ou on rit. A coup sûr, on les regarde, enseignants ou étudiants, elles ne le savent pas. Le directeur ne revient qu'une heure plus tard. Il s’est approché sans bruit et surgit brusquement. 
Heureusement pour elles, elles sont toutes les deux collées au mur, les mains sur la tête. Le directeur les félicite et les autorise à quitter la position. Il recueille les vêtements de Géraldine et lui dit de se rhabiller. Amandine se retourne en se couvrant la vulve et elle est soulagée de constater qu’il est revenu seul. Alors que sa copine se rhabille à côté d’elle, elle attend prudemment que le directeur lui permette de faire de même mais il ne fait pas attention à elle et elle ne voit ni son chemisier, ni sa jupe. Monsieur Germain informe Géraldine que sa punition est terminée et qu’elle pourra rejoindre les cours après la pause. Amandine regarde le directeur, elle ne comprend pas pourquoi, il ne la congédie pas, elle aussi.
- Quand à vous Amandine, vous pouvez remettre en place votre slip et vos bas et allez me chercher vos quatre nouveaux invités, ils attendent à l'accueil... »
Elle remonte sa culotte et ses collants. Quatre nouveaux invités ? Qu’est-ce qui va encore lui tomber dessus ? Ses parents et ceux de Géraldine pour une bonne mise au point peut-être ? Mais pourquoi alors avoir fait sortir sa copine ? Elle cherche à nouveau des yeux son chemisier et sa jupe.
Le directeur les sort de son tiroir et les pose sur le bureau.
- Si c'est ça que vous cherchez, ils sont ici ! Mais n'espérez pas les remettre de sitôt. Et que vous vous promeniez dans l'établissement en petite tenue n'a aucune importance pour moi ! Estimez-vous déjà heureuse de porter un slip et un soutien-gorge . . . Allez sortez d’ici et ramenez-moi ces chanceux qui vous attendent. Vous allez les faire rêver, je vous le promets. »
Cette fois, elle est certaine que sa punition n’est pas finie.





Ouf, se dit-elle en sortant, le couloir est vide. Elle le parcourt d’un pas rapide, tourne à l’angle du bout et se hâte à traverser le grand hall où quelques jeunes gens la montrent du doigt. La salle d’accueil est à sa portée mais quand elle en ouvre la porte, elle tombe nez à nez sur une vingtaine de garçons et quelques filles qui se pressent autour de Géraldine. Lejat et Pollet encadrent de près son amie, ils font passer de mains en mains ses sous-vêtements. Sous leur contrainte, elle termine de raconter au petit groupe ce qu’elle vient de subir. Jusque-là incrédules, ses auditeurs sont soufflés de voir débouler au milieu d’eux une fille en petite tenue.
- Vous voyez bien qu’on ne vous raconte pas d’histoires » triomphe Samuel Lejat.
Amandine est rouge de gêne. Des mains se perdent sur ses fesses. Elle se demande qui parmi tous ces élèves sont ceux qu’elle doit ramener. Comment faire ? En même temps, elle a envie d’échapper à ce groupe au plus vite, même si elle sait que ce qui l’attend ne sera pas moins embarrassant.
- Qui est convoqué par le directeur ? » finit-elle par crier d’une voix mal assurée.
Des mains se lèvent et elle entraîne derrière elle quatre gars de sa terminale que les autres traitent de veinards. 
Ils la suivent dans le long couloir et elle ne peut s’empêcher de penser au balancement de ses fesses.
Elle s’efface devant eux pour les laisser entrer dans le bureau. Le directeur les accueille en cherchant à les mettre à l’aise : 
- Messieurs, je vous ai choisis parce que, parmi toutes les victimes d’Amandine, vous êtes ceux qui la connaissent le mieux puisque vous êtes de sa classe. Eh oui, sachez que cette vicieuse avait trouvé un moyen pour espionner ses camarades masculins dans les vestiaires. Elle vous a vu tous nus, vous déshabillant, allant et sortant des douches, vous épongeant, vous rhabillant.
Alors qu’autour d’eux, on s’indigne et on réclame vengeance, le directeur regarde Amandine droit dans les yeux. Elle comprend maintenant pourquoi elle n'a pas été libérée avec Géraldine, il sait donc qu’elle était loin de son coup d’essai quand elle a convaincu sa copine de l’accompagner.
- Alors Amandine, dites-nous combien de fois, vous vous êtes cachée pour épier vos camarades ? »
Elle rougit et baisse la tête, elle a la gorge si nouée qu’elle ne peut répondre. De toute façon, elle devrait reconnaître qu'elle y est allée si souvent qu’elle n’en connaît pas le décompte.
- Pas de réponse... J'imagine aisément que vous ne les avez pas comptés ! Enlevez votre soutien-gorge ! »
Elle relève la tête, les quatre jeunes sont face à elle. Surprise par la brutalité de l'ordre, elle s'exécute, laisse tomber son soutien par terre et met ses mains en coquille devant chacun de ses seins.
- Vous vous êtes arrangée pour voir passer aux vestiaires des garçons provenant de quasi toutes les classes du lycée... est-ce que je me trompe ? »
C’est la vérité, manifestement le directeur sait beaucoup de choses. Elle ignore comment il les a apprises et jusqu’où va sa connaissance de ce qu’elle a fait depuis des semaines. Prudemment elle se contente d'hocher la tête.
- Vos bottes et vos collants ! »
Il n’a pas à préciser, elle a très bien compris : il va la mettre progressivement nue. Elle se déchausse, descend le nylon le long de ses longues jambes. Elle a l’impression d’être une strip-teaseuse sauf que sa gêne est immense.
- Initialement j’avais envisagé de vous contraindre à faire le tour de l’établissement ainsi vêtue pour expliquer à tous ce que vous avez fait et dans chaque classe, vous auriez dû demander pardon à genoux sur l’estrade, après que le professeur vous ait baissé votre culotte à mi-cuisses. »
Elle se dégage de ses collants et se redresse. Ses mains se croisent à nouveau sur ses épaules, couvrant ses seins magnifiques qu’elle a dû exposer un moment à ses camarades de classe ébahis.
- Et maintenant, si vous voulez éviter cela, vous allez assumer vos actes en expliquant à ces jeunes gens ce que vous faisiez en les regardant. »
Elle devient plus rouge encore. Comment sait-il ? Une caméra ? L’aurait-on vue sans qu’elle s’en rende compte ? Peut-être est-ce Géraldine qui a cafté ? Elle baisse la tête et ne répond rien.
– Alors, nous attendons. Cet aveu, aussi embarrassant soit-il, est indispensable à votre punition. Vous nous le dites ici, maintenant, en regardant vos camarades ou vous le direz, toute nue devant chacune des classes, je vous en fais le serment. »
Elle le regarde hagarde, hésite encore puis se lance d'un coup :
- Je me touchais. »
De petits sourires mi-gênés, mi-excités s'affichent sur les lèvres des garçons.
- Vous vous touchiez ! Bel euphémisme. Cela porte un nom que vous allez prononcer.
– Je . . . je me caressais. »
Une claque sur la joue la surprend. Elle se résigne et dans un souffle, lâche :
- Je me masturbais.
- Enfin ! Et dans quelle tenue, vous masturbiez-vous derrière la cloison ?
- Je . . . je me mettais toute nue.
- Et bien puisque c’est votre tenue favorite, quand vous regardez des garçons, je ne voudrais pas vous priver de ce plaisir. Enlevez votre culotte et regardez à loisir ces garçons. »
Elle avait bien deviné qu’il lui faudrait en arriver là. Vivement elle aspire un grand coup et se débarrasse de son dernier vêtement si vite qu’elle manque de trébucher en le dégageant de ses chevilles et doit se rattraper à une chaise.
– Vous pouvez remettre vos bottes. »
Elle obéit, bizarrement heureuse que cette action occupe un temps son esprit. Mais il lui faut bientôt faire face. Se couvrir ne ferait que retarder son exposition, elle sait qu’il ne le lui permettra pas mais c’est terriblement difficile et ses gestes témoignent du combat qu’elle mène pour maintenir les bras le long du corps. 
« Je suis toute nue devant des garçons de ma classe, je suis toute nue devant des garçons de ma classe », la phrase tourne sans fin dans sa tête.
– Je vous ai demandé de regarder ces garçons, Amandine. Vous n’avez qu’à les imaginer nus si cela peut vous aider. »
Elle relève la tête doucement. L’envie de se couvrir est là, plus impérieuse que jamais, elle ne rencontre aucun regard mais les voir tous converger vers sa fente lui envoie une brulante sensation. Elle réajuste cent fois la même mèche sur son front pour se donner une contenance.
- Très bien. Regardez chacun de vos camarades l’un après l’autre et annoncez le nom de celui que vous êtes en train de fixer. »
Elle a du mal à comprendre ce qu’il veut et doit lui faire répéter.
– Thomas », finit-elle par lâcher en dirigeant sa vue vers un grand brun qui l’a souvent draguée en vain.
En l’entendant prononcer son nom, il relève les yeux et cette fois, elle doit soutenir son regard. Ce qu’elle y lit la pousse à croiser ses mains devant ses seins et il lui faut un effort surhumain pour les remettre le long du corps.
Ses mamelons sont durs, presque douloureux, sa chatte s’humidifie et elle serre les cuisses.
Sa voix tremble quand elle crie presque le nom du suivant. Elle veut abréger le supplice en passant trop vite de l’un à l’autre ce qui ne satisfait pas le directeur.
– Vous êtes trop pressée. Vous l’étiez moins quand vous les matiez en vous croyant à l’abri. Vous pouvez faire mieux que cela. Venez par ici. »
Il sort dans le couloir. Elle hésite un instant mais il reste dans l’entre-porte et lui fait signe qu’il l’attend. En se retrouvant toute nue dans le couloir, elle ne peut cette fois s’empêcher de croiser les bras sur les épaules pour cacher ses seins. Monsieur Germain interpelle les garçons :
- Vous aussi. Vous nous suivez. »
Il prend les poignets d’Amandine pendant que les autres les rejoignent et lui ramène les bras le long du corps.
– Toute nue, c’est toute nue, Mademoiselle. Dans quelqu’endroit du lycée que ce soit : interdiction de vous couvrir. »
Et il s’éloigne dans le couloir. Après un moment d’hésitation, Amandine le suit entourée par ses camarades. Elle se sent moite, l’estomac noué, les jambes flageolantes. Il va sûrement l’exhiber comme il l’a dit dans tout le lycée. Mais au bout du couloir, Monsieur Germain ouvre une porte et leur fait signe d’entrer. C’est une salle assez vaste, entièrement occupée par des tables mises bout à bout pour former un carré. Sans doute la salle de réunion des différents conseils. Le directeur fait s’asseoir les jeunes gens, éloignés les uns des autres, chacun sur un côté du carré. Il fait grimper Amandine sur la table en la soutenant sous l’aisselle.
– Vous allez recommencer l’exercice. Vous vous mettrez à genoux devant chacun de vos camarades et vous lui demanderez pardon. »
Amandine marche sur la table jusqu’au plus proche garçon. Elle se met à genoux et commence immédiatement à s’excuser mais le directeur entend tout d’abord rectifier sa position :
- Tenez-vous bien droite sur vos genoux, cuisses écartées, bras haut croisés dans son dos et parlez en regardant votre interlocuteur dans les yeux. »
Quand elle a fini, elle doit encore embrasser le garçon sur les deux joues. Chaque fois qu’elle se penche vers l’un d’eux, elle est embarrassée par ses seins qui se balancent devant leurs visages.
Finalement le directeur annonce aux garçons qu'il n'a plus besoin d'eux et les remercie. Ils quittent à regret en regardant Monsieur Germain et Amandine revenir vers le bureau.





- Je vais devoir vous laisser, je dois consacrer mon après-midi à une réunion avec l’association des parents, mais avant de vous quitter, j’ai encore quelque chose à vous dire. Asseyez-vous, Mademoiselle ! »
Il lui a désigné un fauteuil de cuir dans le coin salon de son bureau. Très émue, elle s'assied. Bien que son corps n’ait plus de secret pour lui, elle croise les jambes, se recroqueville sur elle-même et finit par croiser ses bras par-dessus ses seins.
- Vous devez vous demander comment vous avez été repérée et comment je suis au courant de tant de choses. »
Il sort une clé USB de sa poche qu’Amandine reconnaît aussitôt : la clé qu’elle pensait avoir égarée chez elle.
- Ce sont vos parents qui m’ont confié ceci. Il y a tout. Les noms de vos victimes, les dates, vos appréciations sur leurs anatomies. Vous mettez même des points. Une vraie manie ! Vous auriez dû crypter cette clé, jeune fille !
Avec ce témoignage, je n’ai plus eu qu’à vous attendre devant la grille d’aération du local technique. »
Elle revit ce terrible moment où elles se sont retrouvées face à face avec lui en sortant par ce passage qu’elles pensaient secret.
- Je me demande encore ce qui a bien pu passer dans la tête d’une fille aussi prude que Géraldine pour se laisser embringuer dans cette aventure. C’est la première fois qu’elle y participait, n’est-ce pas ?
– Oui, Monsieur.
– Et elle, contrairement à vous est restée habillée dans votre poste d’observation.
– Oui, Monsieur.
– Je m’en doutais. Ça vous excitait encore plus de vous mettre toute nue et de vous masturber à côté de la Sainte Nitouche. Le plaisir de pervertir une plus jeune ! Vous devriez avoir d’autant plus honte. Ses parents sont fous de rage contre vous et vous n’avez plus intérêt à paraitre devant eux. »
Il laisse passer un temps et regarde Amandine. Cette fille fera tourner bien des têtes. En attendant, elle est terriblement jolie, toute nue, coincée dans sa gêne. Son esprit flotte un instant autour de la vision de ces deux filles serrées l’une contre l’autre dans leur poste d’espionnage, l’une nue et excitée, l’autre vêtue et effrayée.
- Je vous épargne de faire le tour des classes parce que vous avez été obéissante devant ces quatre jeunes gens mais votre punition ne se terminera que ce soir. Vous êtes en retenue tout l'après-midi. Comme je n’ai plus le temps de m’occuper de vous, je vais demander à Monsieur Verront de vous prendre en charge. Il vous fera nettoyer les vestiaires de la salle des sports. Vous verrez ainsi tout à loisir les installations des garçons. Ne vous inquiétez pas, j’ai demandé à ce que personne ne les utilise aujourd’hui. »
Cette corvée semblerait une punition bien légère à Amandine, s’il n’y avait ce Verront. Elle n'apprécie pas du tout la perspective de devoir passer l'après-midi avec cet infâme personnage, surtout en jupe. L'ouvrier d'entretien est un grossier merle, constamment de mauvaise humeur, qui houspille les élèves sans raison. Et puis il y a sa façon de reluquer les filles, toujours en train de regarder avec insistance leurs jambes nues lorsqu'elles sont en jupe. Elles ont toutes remarqué sa manie de se trouver comme par hasard sur leur chemin quand elles quittent le vestiaire pour la plaine de sport et ses commentaires de vicelards tandis qu’elles défilent devant lui en short font parfois rougir les plus timides. Elle regrette de ne pas avoir passé de jean ce matin mais comment se plaindre d’un voyeur après ce qu’elle a fait ?
- Vous l’attendrez à genoux, dans le couloir les mains sur la tête, venez, il ne devrait plus tarder. »
Il se lève et se dirige vers la porte.
Amandine comprend seulement alors l’horreur de sa punition, veut-il vraiment la faire travailler toute nue sous les ordres de cet infâme individu. Elle se lève et dans son affolement en oublie un instant toute pudeur. Les larmes aux yeux, elle s’accroche à sa manche et le supplie de lui rendre au moins ses sous-vêtements.
Elle croit qu’il va fléchir quand il récupère sa culotte dans le tiroir. A l’instant même où il la lui tend, on frappe à la porte. Il regarde Amandine dans les yeux et, sans lâcher le sous-vêtement, il dit à la personne d’entrer. Monsieur Verront découvre la fille de dos, entièrement nue. Au courant de rien encore, il est surpris mais il n’est pas du genre à refuser une telle aubaine, il avance dans la pièce jusqu’à sa hauteur et la détaille de bas en haut goujatement, tandis qu’elle se recroqueville comme jamais. Le directeur finit rendre à la pauvre Amandine sa petite culotte, elle la lui arrache presque des mains et se retourne pour l’enfiler en quatrième vitesse.
- Cela vous suffira pour faire le trajet jusqu'à la salle de sport... »
Dès que sa culotte est en place, elle plaque ses paumes devant ses seins et écoute atterrée, le directeur décrire ce qu’elle a fait. Il ne tait rien, ni la répétition de ses méfaits, ni sa nudité quand elle se cachait dans le local technique, ni même ses masturbations. Monsieur Verront hoche la tête à chaque révélation en sifflant entre les dents et la détaille d’un air gourmand. Son employeur conclut :
- Monsieur Verront, je vous confie cette dévergondée pour l’après-midi. Je compte sur vous pour vérifier son travail Faites-lui nettoyer les deux vestiaires, les toilettes et les douches en profondeur, je veux que ça reluise... »
M. Verront assure qu'il la surveillera étroitement et prenant son rôle très au sérieux attrape fermement le bras d’Amandine pour la conduire vers la sortie. Avant d'ouvrir la porte, il se retourne vers le directeur :
- J'ai pu remarquer en entrant qu’elle avait les fesses bien rouges... Si besoin, je peux moi aussi lui donner la fessée ? »
Amandine se retourne à son tour, sa mine catastrophée réjouit le directeur.
- Hélas, M. Verront, vous savez bien que je ne peux vous donner ce droit. Mais si vous n’êtes pas entièrement satisfait d’elle, je vous prie de m’en informer lorsque vous me la ramènerez. Je la fesserai et vous aurez tout le loisir de regarder. »
Un peu déçu, M. Verront prend congé et quitte le bureau. Dans le couloir, il fait passer Amandine devant lui, pour reluquer sa culotte.
- Tu es prévenue, petite trainée, si tu ne veux que je voie à nouveau ton petit cul, il va falloir être bien sage et faire tout ce que je te dis... »
Amandine frémit de rage. Malgré le péril de sa situation, elle doit se retenir pour ne pas gifler cet affreux vicieux. Elle sent son regard sur ses fesses et sait qu'il ne va pas la lâcher maintenant qu’elle est à sa merci. Elle resserre ses bras sur sa poitrine tout en pensant qu'elle ne pourra pas la cacher longtemps. Elle frémit lorsqu'elle s'imagine récurer le sol, avec ses seins libres se balançant sous ses yeux...
Avant qu'ils n’arrivent au bout du couloir, le directeur sort de son bureau et interpelle :
- Monsieur Verront ! »
Celui-ci s’arrête et saisit Amandine par l’épaule pour qu’elle se retourne comme lui.
- Monsieur Verront, j'allais oublier. La culotte d’Amandine, ce n'est que pour le trajet ! Vous la lui enlevez dès que vous arrivez au gymnase. Je veux qu’elle travaille dans la tenue de ses exploits. »
Elle croit que le cœur va lui manquer, ses yeux se brouillent rapidement, et une larme coule le long de sa joue. Un sourire ravi aux lèvres, Monsieur Verront lui saisit le menton, la force à le regarder et lui adresse un clin d’œil vicelard.
Il lui prend le bras tout le reste du trajet. Heureusement le gymnase n'est pas trop loin, et la cour est complètement vide. 
Il s’amuse à tirer légèrement sur le bras d’Amandine, mais elle parvient à maintenir sa main bien en place ce qui le fait rire.
- Tu crois que tu vas encore me cacher tes nichons bien longtemps ! Comme tout le reste d’ailleurs ! T’imagines pas comme je bande à l’idée que tu vas me montrer ta chatte. Tu es poilue ou épilée ? Tu ne réponds pas, tu as raison, laisse-moi la surprise, de toute façon, j’aime bien les deux. »

Il ouvre la porte du gymnase et la referme à clef derrière eux. A peine entré dans le hall, il attrape les deux bras d’Amandine et les écarte pour regarder ses seins.
- Voilà, maintenant nous sommes arrivés, tu es punie, tu dois m'écouter et m'obéir. Et surtout, tu vas tout me montrer. Que ce soit tes seins... »
Il fait faire un demi-tour brutal à Amandine qui doit se retenir en plaquant ses deux mains au mur.
- ... tes fesses... »
Il la déculotte d’une seule main, manquant presque d’arracher sa culotte qu’il abaisse d’un coup jusqu'aux chevilles. Il s'accroupit pour la lui enlever.
- ... et même ceci ! »
Ses gros doigts écartent sans précaution ses fesses sur sa chatte et son anus.
- Ta chatte, ton petit trou de cul. »
Son pouce se pose sur sa fragile rosace.
- C’est tout neuf, ça. Je parie que ton copain ne t’a encore jamais défoncé le fion. 
Chaque fois que je te le dirai, tu me montreras tout, ainsi, en te cambrant et en écartant toi-même tes fesses des deux mains, pour me faire bander. Est-ce clair ? »
Elle hoquète un oui en sanglotant. Tout ce qu’il veut pourvu qu’il arrête de lui déchirer le cul.
Il la fait à nouveau se retourner pour laisser apparaitre juste devant ses yeux son mont de vénus et sa légère toison qu’il se met à lisser. Sa main s’en va saisir sa cheville puis il la remonte le long de ses jambes jusqu’entre ses cuisses et il se relève en passant le doigt sur son sexe. Debout, il insiste sur le clitoris, il lui a relevé le menton de son autre main et plonge son regard dans ses yeux qui chavirent malgré elle.
Elle est tellement subjuguée par cette force grossière qu'elle ne proteste pas lorsque la main abandonne son menton pour s’emparer d’un de ses seins. Il le caresse, poigne, triture le mamelon, sans cesser d’aller et venir entre ses cuisses. Tête rejetée en arrière, elle plie les jambes et va au-devant de sa main. En ricanant de sa défaite, il lui met sous les yeux des doigts trempés de sa mouille qu’il écarte lentement pour montrer les fils de secrétions gluants.
Puis d'un coup il arrête son jeu et repousse Amandine.
– D’abord le travail, le plaisir viendra après, Mademoiselle la masturbatrice. Il sera bien temps quand tu m’auras nettoyé tout cela de me montrer ce que tu faisais en regardant les garçons. »
Et il lui assène une grande claque sur les fesses.