mercredi 10 mai 2017

Interpellation

Nous sommes à deux semaines des vacances de Noël et c'est l'effervescence dans le lycée en ce lundi matin. Le directeur est dans tous ses états : ce Week-end les élèves de dernière année sont rentrés d'un voyage en Allemagne et le bus a été contrôlé à la frontière. Des produits illicites ont été retrouvé dans les valises de quatre élève.
Il sait que les autorités ont relâché les quatre filles concernées et a exigé qu'elles soient présentes ce matin. Dès leur arrivée dans l'établissement, elles sont conduites dans le bureau du directeur.
La première heure de cours a été annulée, le directeur a convoqué le staff pour un conseil de discipline extraordinaire.

Les quatre filles discutent entre-elles pour trouvé une solution pour se tirer de ce pétrin. Elles sursautent quand la porte s'ouvre brusquement. Le directeur entre en furie dans le bureau.

- Vous quatre, venez avec moi ! Vous allez apprendre à quoi on s'expose lorsqu'on met la réputation de l'établissement à mal.

Sans pouvoir se défendre, les filles sont conduites dans la salle du conseil de discipline. Les profs découvrent les identités des quatre punies. Par souci d'impartialité, le directeur n'avait pas donné leurs noms. Tous sont surpris, il s'agit de quatre copines studieuses avec lesquelles aucun prof n'a eu de problème. Elles avaient fait toutes leurs études dans l'établissement et elles n'avaient jamais du être punies.
Le directeur demande si le vote concernant leur punition est terminé. Les profs baissent la tête, ils savent que plus rien ne pourra changer le cours de la punition, la décision prise par le conseil de discipline est ferme. Chacun sait que s'il avait su que c'était ces jeunes femmes de dernière année, il aurait été plus clément.
Le directeur demande le rapport du conseil de discipline et en prend connaissance.
Les quatre filles sont silencieuses craignant ce que va annoncer le directeur tout en le redoutant. Chacune cherche un moyen de se sortir de là, mais comment faire ? Même les douaniers ne les ont pas cru quand elles ont dit qu'elles étaient innocentes. Tout va contre elles. Il en est de même pour le directeur qui trouve leur comportement inadmissible.

- Mesdemoiselles, la sanctions sera la même pour vous quatre ! Vous allez être exclues de l'établissement et ne pourrez pas passer votre examen de fin d'année. Cette sanction sera immédiate, dès la fin de la punition qui vous sera infligée !

Le directeur laisse passer un long silence. Les filles se regardent interloquées.

- Autrement dit, vous êtes virées dès cet après-midi, à la fin de votre punition qui a été décidée et qui commence dès maintenant.

Les filles accusent le coup et deviennent pâle.

- Le conseil de discipline a décidé de réunir tous les élèves de l'établissement dans la salle de réunion à 11H30...

Emilie se tient à la table pour ne pas défaillir, le directeur n'a pas besoin d'en rajouter pour qu'elle comprenne. Déjà des larmes coulent sur les joues de Sophie. Quant à Sandra et Magalie, elles restent stoïques pour le moment.

- Une punition de catégorie 3 vous sera infligé à chacune. La sanction maximale a été requise : 20 coups de strappe sur les fesses nues. Pour démontrer votre statut de punie, vous allez d'ores et déjà vous mettre en sous-vêtements. C'est ainsi que vous resterez durant les deux heures qui nous séparent de votre punition ! Allez-y, déshabillez-vous et confiez-nous vos vêtements confisqués.

Sandra et Magali protestent, mais le directeur ne se gêne pas pour rappeler le règlement :

- Bien sûr, si vous ne vous conformez pas au règlement, la punition sera alourdie...

Cette mise en garde à pour effet de décider les filles. Non sans mal, elle commencent à se déshabiller.
Emilie défait sa chemise et enlève son jeans pour se retrouver en sous-vêtement en coton blanc très sage. Sandra enlève sa jupe et son pull pour faire découvrir un ensemble string et soutien noir très sexy et des bas. Magalie fait tomber son short et reste en collant sur une culotte blanche et un soutien dépareillé bleu. Quand à Sophie, qui est sans doute la plus féminine de toute, elle enlève sa robe et se retrouve en body en dentelle assez transparente et en bas maintenus par les attaches de son body. La tenue de Sophie fait son effet, des chuchotements sont entendus dans le bureau.

Le directeur accepte pour les trois filles concernées qu'elles gardent leurs bas ou leur collant.

- C'est dans cette tenue que vous entrerez en salle de réunion. Vous passerez ensuite chacune votre tour pour votre sanction. A l'appel de votre nom, vous baisserez sans discuter votre culotte et viendrez vous placer pour la punition. Pour recevoir la strappe, vous vous courberez en avant en présentant vos fesses a l'assemblée.

Il relève les yeux de sa feuille et s'adresse à Sophie.

- Rien n'est prévu dans le règlement concernant votre tenue affriolante ! Avez-vous au moins des pressions qui permettraient de découvrir vos fesses ?

Sophie sent tous les regards sur elle, elle sait que sa tenue est loin d'être adaptée à la situation. Si elle avait mis ça, c'était simplement pour faire plaisir à son copain. Elle se souvient qu'ils l'avaient acheté ensemble, et il avait choisit ce modèle justement parce-qu'il ne pouvait pas s'ouvrir en bas et ce délecterait de lui enlever.
Le directeur comprend rapidement qu'il ne peut pas s'ouvrir.

- De toutes façons, vu la transparence de votre sous-vêtement, ça ne changera pas grand chose... Vous retirerez votre body pour la fessée !

Sophie enrage d'un coup. Elle n'est pas prête à subir une punition supplémentaire et le fait savoir. Le directeur considère l'argument et semble réfléchir en silence ce qui calme Sophie.

- Vous avez raison, Sophie ! Il n'y a pas de raison de vous soyez punie plus sévèrement ! Vous enlèverez tout de même votre body pour la fessée, quant à vous trois, vous présenterez pour la fessée sans culotte comme prévu et pour avoir la même sanction vous laisserez vos soutiens-gorge aussi sur la table.

Cette fois, personne n'est satisfait, les trois autres filles s'emportent à leur tour, mais le directeur n'est pas long à calmer leurs ardeurs :

- Continuez comme ça et c'est sans culotte que vous ferez vos deux heures avant la punition, chez M. Duval !

Le silence se fait d'un coup. M. Duval est l'ouvrier d'entretien de l'établissement. Les quatre filles le connaissent assez bien pour savoir qu'il profiterait un maximum de la situation. Lors des dernières punitions, il s'était toujours arrangé pour être présent. Il avait souvent des garçons en punition, mais aucune fille n'aurait voulu être punie avec lui, et encore moins sans culotte. C'est pourtant ce que la punition prévoit.

- Vous allez donc être conduite vers l'atelier de M. Duval. Il a prévu de vous faire ranger ses outils pendant les deux heures qui viennent. Vous serez sous sa responsabilité, je vous conseille de garder un comportement irréprochable car pendant ces deux heures, il a les mêmes droit que le personnel encadrant !

Les quatre filles ont très bien compris le message. Elles savent qu'elles n'auront pas le droit à l'erreur. A la moindre occasion, M. Duval n'hésitera pas à distribuer des fessées et connaissant le personnage, elles n'envisagent même pas garder leurs culottes...

- A 11H30, il vous conduira en salle de réunion !
- Si personne n'a de questions, nous allons conduire ces jeunes femmes à l'atelier de M. Duval.

Le surveillant ramasse les vêtements des quatre filles dans un sac, tandis que la salle se vide peu à peu. Il les invite à le suivre.
En entrant dans l'atelier, les filles se cachent les unes derrière les autres. M. Duval ne leurs prête pas attention dans un premier temps. Il remercie le surveillant qui prend congé. Mais un fois seul, il ne se gène pas pour conduire chacune des filles à une tâche bien précise tout en la tenant par le bras et en leur claquant les fesses.
Chaque fille s'applique pour accomplir sa tâche sans faire de bruit. M. Duval est prêt à intervenir dès la première occasion, mais les deux heures se passent sans encombre pour les filles. Un peu déçu de ne pas avoir eu l'occasion d'appliquer une fessée lui-même, M. Duval remercie les filles et leurs demande de la suivre.

Têtes basses, le petit groupe suit M. Duval. Au bout du couloir, les élèves attendent pour entrer dans la salle de réunion, dans un vacarme gigantesque. M. Duval sait qu'il aurait pu les faire entrer par la porte de service, mais il a choisit de les faire passer par la porte principale.
M. Duval demande aux élèves de s'écarter pour laissé passer les punies. Les filles passent au milieu des commentaires crus et de quelques sifflets.
Déjà sur la scène, le directeur demande à ce que l'on s'installe rapidement. Les filles traversent la salle et monte sur l'estrade. Magali, la première arrivée en haut des marches est immédiatement choisie par le directeur.

- Magali, venez ici ! Baissez votre culotte et enlevez votre soutien-gorge !

Magali s'avance à petits pas, tandis que les dernier élèves s'assoient. Recroquevillée et à demi-tournée sur le côté, elle commence à enlever ses bretelles tout en plaquant son bras sur sa poitrine, mais cela ne plait pas au directeur.

- Vous êtes punie, Mademoiselle ! Par une fessée et toute nue ! Alors assumez cela entièrement !

Il l'attrape par les épaules et la pousse juste au bord de la scène.

- Je vais vous montrer, et toutes les trois, je veux vous voir agir ainsi sans aucun geste de pudeur, votre punition est ainsi !

Le directeur baisse en même temps le collant et la culotte de Magali jusqu'aux chevilles et lui tiens les poignets pour qu'elle ne se couvre pas.

- Vous ne méritez pas de pouvoir cacher ceci...

Puis il dégrafe son soutien-gorge.

- Quant à vos seins, ils ne doivent avoir plus aucun secret pour personne !

Le directeur se retourne et d'un geste fait signe à Sandra de venir les rejoindre.

- Nous allons voir si vous avez bien compris la leçon !

Puis, d'un ton menaçant, il ajoute :

- J'espère pour vous...

Sandra s'avance et dégrafe son soutien-gorge, puis dans le même geste, elle l'enlève et baisse sa culotte jusqu'aux chevilles.
Le directeur félicite Sandra et espère bien voir Emilie et Sophie agir de la sorte quand viendra leur tour. Il débarrasse Sandra de son soutien et va le poser avec celui de Magali. Il laisse les deux filles avec leurs culottes aux chevilles.
Le surveillant vient apporter des tabourets derrière les filles.

- Retournez-vous Mesdemoiselles ! Et posez vos coudes sur les tabourets, vos jambes doivent rester tendues tout le temps de la punition !

Alors que les filles s'installent péniblement, le surveillant monte les marches de l'estrade et se dirige vers le directeur pour lui confier un message à l'oreille.
Après avoir pris connaissance du message, il annonce qu'il doit s'absenter d'urgence et que la punition est reportée. Magali et Sandra se jète sur leurs vêtements et partent se rhabiller sur le côté de la scène, les deux autres punies les suivent. Le directeur confie les quatre filles au surveillant et se dirige vers son bureau.

En entrant, il découvre deux policiers déjà installés. Le directeur apprend rapidement que les accusations faites sur les quatre jeunes filles ne sont pas fondées. Il blêmit un instant, puis se dépêche d'appeler le surveillant pour qu'il vienne chercher leurs vêtements afin de mettre un terme le plus rapidement possible à cette punition injuste. Les policiers en profitent pour lui demander qu'il fasse venir une autre élève : Mathilde.

Quand Mathilde entre dans le bureau et découvre les policiers, elle reste un moment interdite, bouche bée, ses yeux s'embrument légèrement. Le directeur comprend à son attitude que c'est bien elle la coupable. Les policiers, eux en étaient déjà sûrs grâce aux empreintes retrouvées sur les quatre valises des filles. Ils ont pu obtenir ses aveux sans même lui poser une question. Mathilde baisse la tête, des larmes coulent sur ses joues :
- Je vous jure que ce n'est pas de ma faute… J'ai fais ça pour un copain… Je…
Un des policier se lève et lui coupe la parole.
- Vous nous expliquerez tout ça ce soir au commissariat, venez dès la fin de vos cours. En attendant, je pense que votre directeur doit s'occuper de vous !
Le directeur raccompagne les policiers tandis que Mathilde doit s'assoir sur un des fauteuil pour ne pas tomber.
Quand le directeur revient, elle tombe à ses genoux et le supplie de ne pas la punir devant tout le monde. Comme seule réponse, elle reçoit une énorme gifle. Elle se tient la joue, puis s'assoit sur le fauteuil en se cachant le visage dans ses mains, les coudes posés sur ses cuisses.
- Comment pouvez-vous me demander ça alors que quatre de vos camarades de classe, parfaitement innocentes, ont faillit être fessées à cause de vous ?
Mathilde ravale ses sanglots et essaye de relever la tête.
- S'il vous plait… J'aurai trop honte ! Je ne veux pas recevoir la fessée culotte baissée…
- A cause de vous ces quatre jeunes filles ont été humiliées devant tout le lycée, deux d'entre elles ont été mise toute nue et vous, vous ne voulez pas recevoir de fessée culotte baissée !!! Mais ma pauvre fille votre culotte ne va pas être baissée, vous allez l'enlever complètement… Comme tout le reste de vos vêtements et croyez-moi, vu dans la situation dans laquelle vous vous êtes mise, vous n'êtes pas prête de remettre le moindre slip dans cette établissement !