jeudi 6 octobre 2022

Cinquième Punition

Depuis quelques jours, il y avait des rumeurs comme quoi quelque chose de grave avait été fait et qu'il y aurait surement une punitions collective, mais personne n'arrivait à en savoir plus. Autant sur ce qui a été fait que sur les personnes concernées ni quelle punition serait donnée. Mais la semaine suivante, en arrivant le lundi matin les élèves découvrent trois filles alignées sous le préau. A genoux, les mains sur la tête face au mur. L'une d'elle, à la jupe relevée et tenue dans son dos par une épingle et sa culotte est descendue à la moitié de ses cuisses. Vu a couleur de ses fesses, il ne fait aucun doute, qu'elle vient de recevoir une fessée, et on peut imaginer que les deux autres ont subi le même sort même si on ne peut constater la couleur de leurs fesses. Les élèves se regroupent derrière elles avant de monter en cours. Celle qui est déculottée, pleure à chaudes larmes, les deux autres regardent fixement le mur sans tourner la tête. Personne ne sait encore pour quoi elles sont punies, et tout le monde souhaite comprendre mais le corps enseignant ne dit rien de la journée. Dans l'après midi le directeur débarque dans la classe en plein cours et à peine entré, il demande à deux élèves de se lever et de venir le rejoindre sur l'estrade. Deux filles du fond pose leurs stylos en se regardant et se levent timidement pour traverser la salle à petits pas. Le directeur les attrappe par les poignets pour qu'elles montent sur l'estrade et les aligne face à la classe. - Mains dans le dos ! Toutes les deux ! Le directeur ne précise rien de plus, les filles obéissent peu rassurées. La blonde pousse un cri de surprise quand le directeur vient lui déboutonner son pantalon et le laisse tomber à ses chevilles. La blonde lève les yeux au plafonds quand le directeur vient porter se mains à son chemisier pour le défaire de son pantalon. Il lui remonte sur son ventre et comme à la première, il défait les bontons et aide le pantalon, plus serré à descendre jusqu'en bas. Les deux filles se retrouvent en culotte sur l'estrade, complètement paniquée, alors que le directeur sort un papier de sa poche et le lit. - Laquelle de vous deux est Jessica ? La brune lève timidement la mains, alors que le directeur s'approche d'elle sans nul autre explication et baisse sa culotte jusqu'à ses chevilles. Jessica pousse un cri et se met aussitôt à pleurer alors que le directeur lui remet les mains dans le dos. Jessica baisse la tête tandis que le directeur retourne l'autre fille et lui appuie sur le dos pour qu'elle se penche en avant. Il se place sur son côté et commence à lui claquer les fesses par desus sa culotte. Jessica n'ose pas regarder, le honte se lit sur son visage. Même si sa copine reçoit la fessée, ce qui interesse la classe, c'est son triangle abondament poilu qu'elle est obligée d'exhiber. Quand le directeur a terminé la fessée, il remonte lui-même de pantalon de la jeune fille et la retourne pour qu'elle le referme. - Vous pouvez retourner à votre place ! En traversant la classe, elle essuie ses joues et baisse la tête. Jessica frisonne quand le directeur lui attrappe le bras. Elle doit aussi se retourner et se pencher en avant. Dans cette position ses poils ne peuvent tout cacher et les élèves découvrent malgré ses cuisses serrées les lèvres de son sexe. Une déferlante tombe sur ses fesses, après seulement quelques claques, ses fesses sont toute rouge. Elle bouge dans tous les sens mais est maintenue fermement par le directeur. Ses jambes s'écartent et laisse voir d'avantage son sexe mais elle semble ne plus s'en soucier. Quand le directeur arrête, elle frotte ses fesses sans retenue. Le directeur la retourne et lui plaque le dos contre le tableau. - Mains sur la tête ! Jessica semble faire un effort surhumain pour faire ça. Le directeur repart et la laisse ainsi sans autre explication. Avant de fermer la porte il ajoute au prof : - Elle reste comme ça jusqu'à la fin du cours ! Culotte baissée... Personne ne comprend ce qui se passe. Les explications sont arrivées le lendemain après une autre punition à l'heure du déjeuner. Cette fois-ci c'est un garçon qui est agenouillé dans la salle de restaurant, complètement nu, et lui aussi les fesses rougies. Après, le déjeuner, sous le préau, une affiche a été mise, contenant douze noms et photos des personnes concernées par la punition collective. On retrouve les trois filles qui ont été punie sous le préau, les deux en classe, mais déjà tout l'établissement savait qu'elles avaient été punies et le garçon de la cantine. Ce que les élèves découvrent ce sont les six autres filles concernées. Il y a ausi les raisons de la punitions : Depuis plusieurs années, l'établissement Saint Joseph, l'autre école privée de la ville, exclusivement masculin, entretien une relation tendue avec l'école. Les élèves arrogants se croyant supérieurs écrassent dans leur propos mais aussi dans leurs résultats scolaire l'école. Cela avait entrainé des rivalités croissantes. Sauf qu'au dernier examen, les notes de Saint Joseph ont été bien inférieures à celles de l'école. Les responsables ont trouvé ça louche et ont mené leur enquête. Il en est ressorti, que les élèves aidés par par un ancien de Saint-Joseph, celui qui a été puni à la cantine, se sont oraganisés chacun à leur niveau pour entrer dans Saint Joseph et modifier les copies avant la correction de l'examen. L'affaire a pris des proportions énormes, les responsables des écoles et les parents d'élèves s'en sont melés, et aujourd'hui, tout le monde prend conscience de la gravité des choses. Les élèves qui découvrent leurs propres noms sur l'affiche paniquent. Certaines sont obligées d'aller s'assoir à l'écart pour reprendre leurs esprits. Mais cela n'empêche pas que les regards convergent vers elles. Le directeur approche de l'attroupement et semble chercher au milieu des élèves, puis se dirige vers Emilie qui le regarde approcher, d'un air apeuré. Il l'attrappe par les vêtements au niveau de son épaule et l'écarte du groupe. - Où est votre copine Marion ? Les regards convergent vers Marion dont le rouge envahit les joues immédiatement. - Venez ici ! Marion s'approche et le directeur l'empoigne de la même façon, mettant une fille de chaque côté. - Voici les deux personnes qui ont fait le guet pendant que leurs complices sont entrées par effraction dans Saint Joseph. Elles étaient pleinement conscientes de ce qui se faisait et vont immédiatement être punie à la hauteur de la gravité de leurs agissements. - Emilie ! Baissez votre pantalon ! Emilie devient blème, tandis que Marion cache son visage dans ses mains pour pleurer. emilie ne peut se résoudre à faire ça : - S'il vous plait Monsieur, pas devant tout le monde. On ne va pas montrer nos culottes... - J'en ai rien à faire qu'on voit votre culotte. Mettez votre pantalon sur vos chevilles et immédiatement ! Le directeur a haussé le ton, si bien que plus personne ne parle. Emilie tremble comme une feuille, se retenant de pleurer. Le directeur attend les bras croisé tandis qu'Emilie le supplie du regard, puis se met à crier et à pleurer quand le directeur se dirige vers elle. Emilie se débat mais le directeur lui emprisonne les poignets et défait les boutons de son pantalon. Emilie est en larme quand il commence à descendre son pantalon en tirant de chaque côté jusqu'à ses pieds. Il ne lui lache pas les poignets et Emilie ecarquille les yeux quand il se saisit de l'elastique de sa culotte et lui baisse d'un coup jusqu'aux genoux. En lui lachant les poignets, le directeur l'avertit avec sévérité de ne pas remonter sa culotte, puis se dirige vers Marion. Emilie cache son visage avec ses mains, tandis que c'est au tour de Marion de blêmir. - Il faut que j'agisse comme avec votre copine, ou vous allez descendre votre jupe sur vos chaussures sans discuter ? Marion comprend aussitôt et se hâte de dégrapher sa jupe malgré ses mains qui tremblent, et la laisse tomber à ses pieds tandis que le rouge envahit maintenant ses joues. - Retournez vous et penchez vous en avant, les mains aux chevilles ! Marion obéit et se force à se mettre dans la position demandée. Elle sent le regard des autres sur ses fesses et ses yeux s'embrument. L'approche du directeur la fait tressaillir. Et la première claque la fait sursauter. Le directeur doit lui dire de se remettre en position et lui en donne une autre. Puis il lui emprisonne les hanches de sa main gauche et lui donne une grosse fessée avec la droite. Il s'arrête quand Marion commence à gesticuler dans tous les sens et la redresse. Avant même que Marion n'ait le temps d'y penser, il lui dit de laisser sa jupe à ses pieds puis revient vers Emilie. Il a retourne et la penche en avant et commence la fessée. Les fesses blanche d'Emilie rougissent en un rien de temps. Les claques sont appuyées et la font crier, mais ceci n'apitoye pas le directeur qui continue en la tenant fermement. Quand il s'arrête ses fesses sont totalement rouge; il attrappe Emiile par l'oreille et la conduit vers le mur en traversant les élèves qui s'écartent sur leur passage. Emilie avance en pleurs à petits pas enchevêtrée dans son pantalon et sa culotte. Il lui colle le nez au mur et lui met les mains au dessus de la tête puis appelle Marion. Marion doit remonter un peu sa jupe pour pouvoir marcher jusqu'à lui. Il l'a met au piquet face au mur comme Emilie et quand elle est installée, il baisse complètement ses collants et sa culotte, pour que ses fesses rouge apparaissent aux yeux de tous. Face au mur, Marion ne peut retenir ses larmes quand elle entends qu'elle et sa copine vont restées ainsi une bonne partie de l'après-midi. Avant de repartir laissant les filles ainsi, le directeur ajoute : - Pour les quatres dernières qui n'ont pas encore été punies, je veux vous voir dans mon bureau demain matin à 8 heure ! Le lendemain les quatre filles arrivent à l'heure, la mine deconfite. Elles entrent dans son bureau quand le directeur les autorise. Allignées devant, elles attendent silencieuses et anxieuses. - Le directeur de Saint-Joseph et moi-même souhaitons savoir qui de vous quatre à eu l'idée de cette mascarade ? J'attends de vous que celle-ci se dénonce... Le directeur attend, aucune de dit rien même si des regards s'échangent. - Bon si personne ne se dénonce, je vais vous envoyée toutes les quatres vous expliquer à Saint-Joseph... Les filles levent la tête et se regardent entre-elles. - A moins que celles qui n'ont pas eu cette idées dénonce la ou les coupables ! A ce moment les filles paniquent et s'accusent mutuellement. Le directeur les laisse faire. Mais dans le brouhaha, il comprend facilement que c'est Delphine seule qui a eu l'idée de tout ça. Il frappe du poing sur son bureau pour stopper net les conversations : - Delphine, est-ce bien vous qui êtes l'instigatrice de cela ? Delphine baisse la tête et ne peut répondre qu'avec un hochement. - Bon ! Demain vous venez à l'établissement avec votre uniforme complet, je viendrai vous voir. Vous pouvez retourner en cours, alle-y sortez... Delphine lève la tête, et semble vouloir demander quelque chose, mais ne dis rien finalement et sort du bureau. Les trois autres filles restent allignées devant le bureau, se demandant pourquoi elle a été libérée alors qu'elles sont encore là. - Bon alors toutes les trois, vous avez eu un rôle prépondérant dans cette histoire puisque vous avez pénétrés dans Saint-Joseph.... Vous allez donc être punies et fessées en même temps aujourd'hui ! Votre professeur d'histoire, votre professeur principal et moi-même vous punition tout à l'heure au refectoire... Les filles restent silencieuses en accusant le coup, elle se regardent, cetains yeux s'embrument et les lèvres tremblent sachant ce qui s'est passé la veille. - ça c'est concernant votre fessée, maintenant mettez-vous toutes les trois en culotte ! Les filles se ragardent, Amandine éclate en sanglot. - J'ai dit en culotte ! Dépechez-vous sinon je n'hésiterai pas à la baisser si vous n'obéissez pas ! Céline est la première à déboutonner son pantalon, le directeur lui dit d'enlever ses chaussures pour ôter complètement son pantalon et regarde sévèrement les deux autres. Quand Céline finit d'enlever son pantalon Aurelie, complètement dépitée se décide à enlever sa jupe. Amandine se cache dans ses mains incapable de bouger. Elle crie quand le directeur font sur elle. Il relève la bas de robe et lui passe au dessus de la tête, il fait de même pour son maillot. Amandine continue de crier, son visage est baigné de larmes. Sans ménagement il lui fait faire une demi-tour et lui dégraphe son soutien-gorge puis la remet à l'endroit pour lui arracher. Et il la force a avancer vers son bureau pour qu'elle se penche dessus. Il baisse d'un coup sa culotte en même temps que son collant et lui assène une dizaine de claque bien sonores. Une fois terminé il remonte sa culotte et la lâche. Céline et Aurélie regarde la scène interloquées : - Dépêchez vous si vous ne voulez pas la même chose !!! - céline remettez vos chaussures ! Aurélie termine d'enlever sa jupe et elles restent toutes les deux ainsi. - J'ai dit en culotte ! Enlevez le haut ! Seins nus comme votre copine ! Une nouvelle fois c'est Céline qui se décide, elle enlève son pull et retire son soutien-gorge, puis cache ses seins avec ses deux mains. Aurélie la regarde faire, horrifiée. Puis commence à déboutonner son chemisier. Des larmes coulent sur ses joues lorsqu'elle l'enlève. Elle cache sa poitrine avec son bras avant de dégrapher son soutien-gorge, puis l'enlève en évitant d'en montrer plus. Voyant ses deux copines Amandine, elle aussi à couvrire sa poitrine de ses bras. Le directeur recupère tous les vêtements que les filles ont posé par terre. - Voilà votre tenue pour aujourd'hui, ainsi tout le monde saura que vous êtes punies ! Amandine continue de pleurer et c'est au tour de Aurélie d'éclater en sanglot, Céline essaie de rester digne, même si le tremblement de ses lèvres la trahisse. Le directeur fait le tour des trois filles et leur ordonne de poser leurs mains au dessus de leurs têtes, puis repasse devant. Aurélie rougit quand le directeur lui dit que son sous-vêtement n'est pas très conventionnel et elle regrettre d'avoir mis un string. Les trois filles sont alignées, têtes baissées, Amandine et Aurélie essaient de se calmer et d'arrêter de pleurer. Aurélie, une grande brune porte des bottes et des bas noir ainsi que son string noir. Celine est plus petite, blonde sportive a une culotte sage en coton blanc et des chaussures plate et Amandine est plus trapue, blonde taille moyenne, les cheveux attachés, sa poitrine est de loin la plus généreuse, tout comme ses fesses. Elle a des chaussures à talons et une culotte en dentelle rouge qui contraste avec ses collants beige transparent. Le directeur va ouvrir la porte et les invite à sortir : - Vous pouvez ragagner votre cours habituel. Les filles sortent en essayant d'être les moins visible possible. Elle n'arrivent pas à ce décider à se rendre dans leurs classes. Aurélie et Amandine, sont dans la même classe et après quelques minutes se décident en cachant leurs poitrine de retourner en cours. Estimant qu'il vallait mieux obéir. Céline, se retrouve seule et n'arrive pas à entrer dans la salle de classe. Elle fait finalement demi-tour avant d'entrer et s'enfuis. Le directeur est averti à la pause de l'absence de Céline. Il ordonne aussitôt de la retrouver et de la conduire dans son bureau. Les surveillant ne tardent pas à la retrouver enfermée dans les toilettes et la voilà à nouveau au milieu du bureau du directeur. Elle attend tremblante qu'il arrive. La porte claque derrière elle ce qui l'a fait sursauter. Le directeur va s'assoir à son bureau. - A la fin de la pause, je vais vous conduire moi même dans votre classe, ainsi je serai sûr que vous y êtes. Céline attend, debout, toujours tremblante, les bras croisés, les mains sur ses épaules pour que ses bras cachent ses seins. Le directeur se lève et vient attrapper Céline par le bras, il la conduit à travers les couloirs jusqu'à sa salle de cours. Les élèves sont déjà entrés et les couloirs sont vides. Il la lache devant la porte, le coeur de Céline accélère encore, et il la pousse face à la porte restant derrière elle : - Allez-y frappez à la porte... Céline doit le faire, elle frappe timidement en laissant échapper quelques larmes quand on demande d'entrer. Puis elle pousse un cri quand elle sent d'un coup sa culotte tomber sur ses chevilles. Dans le même temps, le directeur enclanche et l'ouvre puis pousse Céline à l'intérieur. Elle manque de tomber en se prenant les pieds dans sa culotte et éclate en sanglots lorsqu'elle se retrouve face à tout le monde. Le directeur libère sa culotte de ses chevilles et lui demande d'aller à sa place, puis repars avec sa culotte dans ses mains. Peu de temps avant de manger, les sureveillants viennent chercher les troise filles dans leurs classe pour les emmener au refectoire. Elle doivent à nouveau se lever et traverser la salle, l'exercice est encore plus difficile pour Céline qui est toute nue. Chacune se prépare à recevoir sa fessée. La salle leur parait impressionnante même si elle est encore vide pour le moement. Chacune est conduite vers un coin de la salle. Une table a été installée et elle doivent s'agenouiller dessus les mains sur la tête, le nez collé au mur. Les tables ont été volontairement un peu espacée du mur pour que les filles se penchent et que la position les fesses en arrière soit inconfortable pour elles. Leurs coeurs se met à battre à tout rompre quand les premiers élèves arrivent. Elles ne doivent pas bouger, elle entendent derrière elles les commentaires sur leurs tenues et leur punition. Le temps leur parait durer une éternité, leurs bras sont lourds, leurs genoux les font souffrir. Les surveillants viennent les libérer quand tout le monde à terminer son repas. Elles sont conduites au milieu du refectoire où les attends le directeur et les deux profs. Le directeur choisi Céline, le prof principal attrappe Amandine, et le prof d'histoire Aurélie. Chacun allonge sa punie sur ses genoux et les place. Les filles ont toutes les trois les mains posées à plat par terre et les jambes en l'air. - Mesdemoiselles, nous avons décidé que votre fessée sera particulièrement sévère. Vous allez chacune recevoir 80 claques particulièrement appuyées. Amandine se rappelle des 10 claques qu'elle a reçu le matin et se demande comment elle pourra en supporter autan. - Pour moi, c'est déjà fait, mais vous messieur, vous pouvez déculotter vos punie. Amandine et Aurélie relève la tête en même temps, mais emprisonnée sous les bras de leurs profs, elles ne peuvent éviter ça. Aurélie sent son string descendre sur ses mollets. C'est plus compliqué pour le prof d'histoire qui décide de relever Amandine. Une fois debout à côté de lui, il baisse son collant et le descend jusqu'aux chevilles et baisse sa culotte aussi. Il n'en faut pas plus pour qu'Amandine éclate en. Il la replace sur ses genoux. Les claques tombent en même temps, lentement. Très appuyées sur chacune des fesses. Les rougeurs apparaissent vite. Les gemissements suivent peu de temps après, mais la fessée continue. Les trois pleurent, les jambes commencent a s'agiter. Petit à petit les cris remplacent les pleurs à chaque claque. Nous en sommes à la moitié de la punition, quand Aurélie essaye de se protéger les fesses. Le directeur est obligé d'arrêter pour rappeller les rêgles: les mains ne doivent pas quitter le sol... Chacune profite de se répit pour souffler, mais la fessée reprend plus intensement encore. Leurs fesses sont recouvertes de rouge à la fin de la fessée. Les trois filles restent prostrées sur les genoux en larmes. Le string d'Aurélie est tombé par terre pendant la punition. quand son prof la relève, elle est aussi nue que sa copine Céline mais ne semble pas s'en préoccupper. Elle frotte ses fesses en pleurant. Seule Amandine pense à remettre sa culotte à peine relevée epuis se cache le visege, laissant ses collants à ses pieds, Le directeur recupère le string d'Aurélie et va demande à Amandine d'enlever sa culotte. Devant l'insistance du directeur, elle obligée d'enlever ses collants et de se mettre toute nue elle aussi. Le refectoire se vide et les filles sont conduites dans leurs classes respectives ou elle devront passer l'après-midi toute nue. Vu le sort des filles Delphine n'arrive pas à dormir cette nuit là. sans arret reveillée par des cauchemards ou elle est punie. Elle arrive à l'établissement avec un peu d'avance, le directeur est déjà là. Elle frappa timidement à la porte et entre quand elle y est invitée. Le directement l'attend avec un autre homme qu'elle ne connait pas. - Delphine ! Voici M. Firmin, directeur de Saint-Joseph ! Delphine blêmit. Bien qu'elle ne le connaisse pas, sa réputation stricte et sévère le précède. Il lui adresse un poignée de main qui ne la rassure pas. Il semble la détailler de la tête au pieds ce qui la gêne énormément. Comme convenu, elle porte son uniforme de l'école, celui qui est normalement reservé aux représenation de l'établissement. - Avec M. Firmin, nous avons encore à échanger sur les détails de votre punition. En attendant vous allez pouvoir suivre vos cours habituels. Nous irons vous chercher lorsque nous serons prêts. Delphine a la gorge sèche, elle n'ose rien dire et s'apprête se retirer sans poser de questions. Avant qu'elle ne ferme la porte le directeur la retiens : - Tout à l'heure M. Firmin vous emmenera à Saint-joseph, c'est la bas que vous serez punie. Quand à votre punition ici, ce sera pour demain... Delphine referme la porte et s'écroule derrière. ça dépasse tout ce qu'elle avait imaginer. Aller à Saint Joseph... Seule... dans l'établissement qu'elle ne supporte pas et composé uniquement des garçons. Elle doit reprendre ses esrprits et retourner en cours. Elle sèche ses larmes et sent tous les regards posés sur elle à cause de son uniforme. Elle n'écoute rien au cours trop préoccuppée de ce qui va suivre. L'entrée des directeurs la rammène à la réalité. Elle doit rassembler ses affaires pour les suivre. Le directeur prend rapidement congès, et Delphine se retrouve seule avec M. Firmin. Son attitude change radicalement en sortant de l'établissement, il l'attrape par sa veste au niveau de son épaule comme pour la soulever : - Alors comme ça, c'est vous qui avait manigancer tout cela... Je peux vous dire que vous allez amèrement le regretter ! Je vais m'occuper de vous croyez moi ! Il la lache et la pousse dans le dos pour qu'elle avance. Saint Joseph est à quelques rues et ils y vont à pieds. Arrivés dans la rue M. Firmin lui ordonne de mettre ses mains sur sa tête. Delphine panique et regarde autours d'elle, il y a des gens un peu plus loin. Une claque lui arrive sur les fesses sans qu'elle ne s'y attende. Son premier reflexe est de regarder si quelqu'un a vu - Vous allez apprendre que quand je demande quelque chose, il faut le faire de suite sinon je vous jure que ce sera pire pour vous. Comme maintenant, ça vous servira de leçon... Vous allez remonter votre jupe immédiatement que je vous claque les fesses et je vous previens d'ores et déjà, si vous hésitez je baisse votre culotte dans la rue... Allez-y ! Delphine regarde à peine autours d'elle et remonte rapidement l'arrière de sa jupe. Deux violentes claques lui sont données. Elle baisse aussitôt sa jupe et baisse la tête persuadée que tout le monde l'a vue. - Continuez, les mains sur la tête. Elle obeit cette fois-ci et entre dans saint Joseph ainsi. Tout le monde est dehors et son entrée est fortement remarquée. Une fille dans l'établissement c'est extrêmement rare quant au fait d'être punie, ce n'est jamais arrivé. Le directeur la conduit dans son bureau. Delphine n'ose pas retirer les mains de sa tête, et le directeur ne lui dit rien. Elle reste ainsi un moment. - On va faire la liste de ce que vous portez... Je vous écoute... Delphine ne comprend pas. - Dites moi ce que vous avez sur vous ?? Delphine ne comprends toujours pas pourquoi il veut noter ça, mais énumère timidement ses vêtements : - J'ai... une jupe et ma veste de l'établissement... Euh un chemisier... Et un débardeur... - Oui je vois que vous avez des bottinnes aussi, je note pour être sûr que vous n'oubliez rien quand vous allez repartir d'ici. Vos sous-vêtements ? Delphine rougit et coninue : - J'ai une culotte et un soutien-gorge... et des collants aussi. Le directeur termine de noter. - Votre chemisier et votre débardeur ne seront pas utiles, enlevez-les ! Delphine se souvient aussitôt de ce qui s'est passé à l'extérieur et rouge de honte elle enlève veste et deboutonne son chemisier puis le pose avec son débardeur sur une chaise. - Vous n'allez pas les remettre, pliez les correctement et donnez les moi. Delphine reste en soutien-gorge pour faire ça. Elle fait tout pour éviter les regards du directeur et s'applique pour plier correctement ses vêtements. Elle a les joues en feu, sa poitrine assez forte par rapport à sa taille moyenne la complexe déjà beaucoup et d'être comme ça devant un homme la gêne énormément. Elle baisse les yeux quand les donne ses vêtements au directeur qui va les ranger directement dans un placard. Quand il revient, Delphine est en train de remettre sa veste. une grosse classe lui arrive par dessus sa jupe, elle doit se retenir au bureau pour ne pas tomber. - A aucun moment vous ne devez remetre un vêtement sans que vous en ayez l'autorisation. Et sa vaut pour tous vos vêtements y compris votre culotte quand elle vous sera retirée !!! C'est bien compris ? Delphine hôche de la tête en se retenant de pleurer et retire sa veste. Puis est envoyée au coin le temps que le directeur termine un dossier. Losqu'il a fini, il l'autorise à remettre sa veste. Delphine la ferme mais remarque que son déculotté est assez plongeant sans rien dessous. - Vous allez me suivre, nous allons faire le tour des classes pour vous présenter et expliquer ce que vous avez fait, suivez-moi... Delphine est rouge de honte en entrant dans chaque salle. Elle se sent bien seule au milieu de tous ces garçons. Les directeur explique à chaque fois en détails ce qu'elle a fait. Delphine baisse la tête et ne dis rien, mais les rares fois ou elle lève le regard, elle a l'impression que tous les garçons ont le nez plongé dans son décoletté. Elle peut soufler quand la dernière classe est faite. C'est l'heure de la pause, et les élèves commercent à sortir des salles. Dans les couloirs, elles doit marcher derrière le directeurqui lui a imposser de mettre ses mains sur la tête. Elle ne regarde que ses pieds et se retient de crier ou de gifler les élèves qui passe beaucoup trop près d'elle, laissant volontairement trainer leurs mains. Le directeur la conduit jusqu'à la salle des professeurs et explique également à ses collègues pourquoi Delphine est là. Certains professeurs sont outrés surtout le prof de Maths qui précise que si c'était un élève de l'établissement, il serait dans la cour le slip baissé. Le directeur lui répond aussitôt : - Ne vous inquiètez pas. Nous n'avons jamais était laxiste ici, et ce n'est pas parce-que Delphine ne fait pas parti de nos élèves que ça va changer. Elle va être sanctionnée à la hauteur de ces actes et sans clémence de notre part même si c'est une fille. L'échange entre le directeur et le prof de Maths inquiète Delphine au plus haut point. Elle doit à nouveau le suivre toujours les mains sur la tête jusqu'à son bureau. En chemin le directeur lui dit qu'il va la mettre au coin jusqu'à midi pour qu'elle ait le temps de refléchir à sa bétise. Delphine sait que 10 heures vient juste de passer et se demande comment elle va pouvoir rester presque deux heures au coin. En arrivant dans le bureau, le directeur conduit Delphine jusqu'au mur face à lui. Il pose par terre une rêgle en lui disant que ses genoux ne devront pas la dépasser et il l'écarte du mur de 50cm. Delphine s'agenouille derrière et doit mettre ses mains sur sa tête. Il lui impose ensuite de toucher le mur avec son nez. En équilibre sur ses genoux la posture est loin d'être confortable. Elle manque de tomber lorsqu'elle sent le directeur lui remonter sa jupe, il la retourne complètement sur son dos et va s'installer à son bureau. Le temps passe, et Delphine bouge de plus en plus. Elle a mal aux bras et aux genoux, mais ce qui la fait le plus souffrir c'est son dos, dans cette position cambrée. Au bout d'une heure le directeur l'autorise à se lever une minute pour se dégourdir, puis doit retourner dans la même position. Lorsqu'il la libère peu avant midi, elle ne sent plus ses bras, ses genoux lui font très mal. Elle a du mal à se lever et doit faire un effort pour aller jusqu'au bureau où il l'attend pour lui remettre sa jupe. Il la conduit ensuite à la cantine, sur le trajet, elle apprend qu'elle doit rester ici jusqu'au lendemain matin et que le directeur la rammenera à son école pour qu'elle subisse sa punition la-bas. Delphine est dépitée d'être obligée de rester ici toute la nuit. Quand il arrive à la cantine, quelques élèves sont déjà à table. Le directeur l'installe seule à une table au milieu du refectoire. Delphine mange tandis que la salle se remplit petit à petit. Elle nose pas lever le nez de son assiette et sent tous les regard braqués sur elle. Quand elle a fini, le directeur lui dit de débarasser sa table et de revenir. Elle traverse la cantine sous les golibets des élèves, puis revient à sa place. - Montrez sur la table ! Delphine regarde le directeur d'un air interrogateur. - Allez-y montez, débout sur la table ! Elle doit s'aider de la chaise et faire attention de ne pas montrer sa culotte en montant. Une fois debout il lui ordonne de mettre ses mains sur sa tête. Les joues cramoisies, elle comprend qu'elle va rester ainsi le temps du repas sous les regard de l'emsemble des élèves de l'établissement. Après le déjeuner elle est conduite dans une salle où les élèves ont une épreuve à passer. Le directeur l'assoit à un bureau qui a été placé expressement sur l'estrade face aux élèves. Delphine ne s'habitue pas à être le centre d'intéret, elle croise les jambes, mais elle sait que celles-ci attirent tous les regards des garçons en face d'elle, ce qui la met dans une situation de gêne. Le directeur lui apporte une copie : - Voici l'épreuve de Maths que nos élèves ont passé et dont vous avez modifier les résultats. On verra si vous êtes capable de réussir cet examen... Vous avez deux heures ! A l'issue, notre professeur de Mathématiques vous corrigera. Delphine commence à travailler et comprends la dificultés de l'épreuve. Son niveau de Maths est visiblement inférieur. Elle essaie malgré tout, de résoudre quelques équations mais sait pertinament que le résultat sera très médiocre. A la fin de l'épreuve, elle élèves sortent. Elle doit rester dans la salletandis que le prof de Maths prend sa copie pour la corriger. Les ratures qu'il fait dessus et la tête dépitée qu'il exprime ne la rassure pas. Le directeur arrive et demande comment ça s'est passé. Le prof de Maths lui tend la copie corrigée... - Eh bien, Mademoiselle... Il n'y a pas de surprise, nous nous attendions à ce résultat ! Votre niveau est bien médiocre... Il retourne la copie face à Delphine, et elle lis un 3 sur 20 noté en rouge. - Levez vous et penchez vous sur le bureau ! Sachant à quoi s'attendre, Delphine se lève timidement et se penche sur le bureau. - Ici toutes notes inférieures à 5 sur 20 est sanctionnée par une fessée donnée par le professeur de la matière. Delphine aggrippe la table lorsque le professeur de Maths attrappe le bas de sa jupe pour lui remonter, elle ferme les yeux quand celui-ci fait descendre ses collants et serre les dents tandis que les claques arrivent sur ses fesses. Elle seprépare au pire, mais au baut d'une dizaine de claques, elle constate qu'il remonte son collant. Elle peut se relever et machinalement descend sa jupe. Puis se rappellant les avertissements du directeur, la remonte immédiatement ce qui fait sourire le prof de Maths. Après la pause, Delphine est emmennée dans une classe pour assister à un cours d'Histoire clôturant la journée. Les élèves se dirigent ensuite vers une grande salle où tous les élèves sont réunis pour une heure d'étude. C'est là qu'ils font leurs leçons pour le lendemain. Delphine les suit en essayant de ne pas faire attention et ne pas réagir aux moqueries qu'elle subit sur le trajet. Le rythme de son coeur s'accélère lorsqu'elle voit le directeur attendre à l'entrée. Il lui dit d'attendre dans le couloir, tout le monde passe devant eux pour entrer dans la salle. Ils s'installent en silence, le directeur ferme la porte et reste dans le couloir avec Delphine - Vu que vous n'avez pas de leçon à faire, vous allez passer cette heure-ci au piquet. Vous irez vous mettre à genoux face au tableau sur le bureau du surveillant. Et les mains sur la tête... Dephine est dégoutée de passer encore une heure au coin à la vue de tous mais doit se résoudre à obéir, elle s'apprête à y aller mais le directeur la retient : - Laissez-moi votre jupe avant ! Delphine ecarquille les yeux et reste figée. Le directeur fronce les surcils : - Faut-il que j'enlève votre culotte pour que vous vous decidiez à bouger ? Delphine sort de sa torpeur d'un coup, elle defait sa jupe et l'enlève. Le directeur ouvre la porte, et la pousse à l'intérieur, en lui donnant une claque aux fesses. Elle avance rouge de honte jusqu'au bureau et ne tarde pas à se mettre à genoux pour tourner le dos aux garçons. Derrière elle, elle entend les rires et les moqueries et sent une larme couler sur sa joue. L'heure lui parait durer une éternité. Elle peut souffler lorsqu'elle entend derrière elle les élèves ranger leurs affaires signifiant la fin de l'étude. Elle n'ose pas bouger quand les élèves sortent. Le directeur vient quand la salle est vide. Il s'approche de Delphine et sans rien dire, lui déboutonne sa veste. Elle baisse les yeux quand il lui enlève. Delphine est obligée de le suivre ainsi quand ils sortent de la salle. Ele prie pour ne croiser personne. Ils passent par le bureau du directeur mais celui-ci ne fait que déposer sa veste et repartent aussitôt. Delphine commence à paniquer quand elle reconnait le chemin menant vers le refectoire. Incapable d'avancer plus, elle s'arrête au milieu du couloir quand elle entend les bruit venant de la cantine. Le directeur fait demi-tour pour venir la chercher. Il la pousse dans le dos, mais Delphine n'avance pas et se met à pleurer. Delphine pouss eun cri qui est entendu jusqu'à la cantine quand sa culotte est baissée en même temps que son collant. Elle n'a pas le temps de réagir qu'elle est déjà pliée en deux et le directeur lui donne des claques bien sonores. Puis il l'attrappe pour repartir. Delphine marche en remontant comme elle peut sa culotte. Elle arrive à la remettre correctement avant d'entrer dans la salle mais le directeur la fais traverser en la tenant fermement et elle doit marcher avec son collants descendu aux genoux. Lorsqu'il la lache elle s'empresse de le remonter. Comme au repas du midi, elle mange seule à sa table et après le diner, elle doit monter sur la table, les mains sur la tête. Sa tenue ajoute à sa punition et elle ne peut arrêter de pleurer quand elle voit tout le monde la regarder ainsi. A la fin du repas, le directeur vient la libérer, en lui disant de descendre, et l'invite à s'assoir en face de lui. - Nous arrivons au terme de la journée. Après le diner, avant d'aller nous coucher, nous nous réunissons tous pour la veuillée. Je vais à présent vous y conduire... C'est le moment que j'ai choisi pour vous punir ! Delphine devient blanche mais le directeur ne lui laisse pas de répis : - Je vais vous donner une fessée devant tout le monde. Delphine met son visage dans ses mains pour pleurer tandis que le directeur se lève et vient la chercher en la tirant par le bras. Delphine se lève doucement et suit péniblement le directeur. Tout va très vite quand elle entre dans la salle. Le directeur demande l'attention de tout le monde et explique qu'il va fesser Delphine. Tous arrêtent leurs activités, Delphine ne peut relever la tête et continue de pleurer. Le directeur s'assois sur une chaise et bascule Delphine en tavers de ses genoux, et commence directement la fessée. Sa main s'abat sur les pauvres fesses de Delphine avec lourdeur. Seul le bruit des claques resonne dans la pièce, aucun mot n'est échangé entre les élèves qui regardent médusés la punition. Delphine pose ses mains par terre pour ne pas basculer en avant, ses jambes s'agitent à mesure que la fessée avance. Malgré son collant tout le monde peut remarquer que ses fesses prennent de la couleur. Lorsqu'il arrête, Delphine se relève d'un bond et frotte ses fesses en pleurant et en sautant d'un pied sur l'autre. Le directeur la rapproche de lui en la prenant par les hanches et lui baisse sèchement son collant alors que Delphine pousse un cri en voyant ça. Il lui donne une claque sur les mains quand elle veut le retenir et termine de lui baisser jusqu'aux chevilles puis il la bascule à nouveau sur ses genoux. La fessée recommence sur le même rythme que la première fois. Le directeur frappe sur les parties qui ne sont pas protégées par sa culotte. Ses fesses rougissent encore et Delphine ne controle plus rien, elle crie, se débat, pleure.... mais rien n'y fait. Le directeur continue d'abattre sa main à un rythme régulier sur ses fesses. Il s'arrête d'un coup et relève Delphine qui se laisse manipuler comme un pantin. Il l'emmêne jusqu'à l'angle de la pièce et la force à se mettre à genoux. Il la redresse puisqu'elle s'est affalée sur ses talons et pose lui même chacune de ses mains sur sa tête, puis la rapproche du mur en la prenant par la nuque. - Veuillez à ce que votre nez ne se décolle pas du mur, vous allez patientez ici une demi-heure ! Avant de partir, il descend sa culotte à mi-cuisses pour exposer ses fesses rougies. Delphine se décalle et baisse ses bras en un réflexe mais une grosse claque la dissuade de se rebeller plus que ça. Elle se contente de pleurer, le nez colé au mur. Tout le monde se remet à ses occupations, mais Delphine sait que les regards s'orientent souvent vers ses fesses nues. Elle se calme à mesure que le temps passe. De temps en temps elle baisse un bras pour essuyer ses larmes ou frotter ses fesses. Le temps lui parait durer une éternité. Les élèves quittent peu à peu la salle, quand le directeur revient et la libère il n'y a presque plus personne. Delphine se relève et remonte sa culotte et son collant. - Je vais vous conduire à votre chambre. Votre journée de punition est terminée. Demain matin vous recevrez une fessée et vous serez libérée après... Suivez-moi ! Delphine est rassurée que la journée soit enfin finie, mais est déjà terrifiée à l'idée d'être encore fessée demain. Le directeur lui indique une salle de bain et lui donne une chemise en guise de pyjama. - Vous pouvez aller vous doucher... Delphine ressort 15 mns plus tard en chemise largement trop grande pour elle mais très courte, elle lui arrive juste sous les fesses. Le directeur lui prends ses vêtements des mains et lui demande où est sa culotte. Delphine répond timidement qu'elle l'a gardée car la chemise est trop courte. Le direteur lui dit aussitôt de l'enlever. Elle doit passer ses mains sous sa chemise pour lui donner sa culotte honteuse. Il la conduit après jusqu'à sa chambre où Delphine à du mal à trouver le sommeil. Elle est reveillée le lendemain en sursaut. Le directeur entre brusquement en criant debout et ouvre les volets, il la sort du lit sans ménagement. Elle n'a pas le temps de réagir, qu'elle est déjà poussée dans le couloir en direction du petit déjeuner. Elle croise des élèves qui sont déjà prêts, habillés pour aller en cours. Elle émerge et tire doucement sur sa chemise pour la faire descendre au maximum. Le directeur lui dit de retourner à sa chambre après son déjeuner. De retour dans sa chambre elle attend assise sur son lit. Le directeur entre sans frapper, il lui jête ses vêtements sur son lit et lui dit d'aller se préparer dans la salle de bain. Delphine prend ses vêtements et lève la tête vers le directeur d'un air interrogateur... - Oui c'est comme hier, vous resterez en sous-vêtements... quant à votre culotte, c'est normal, vous n'alliez pas la remettre deux jours de suite. Delphine commence à se plaindre et à paniquer, mais le directeur l'attrappe par la chemise et la dirige vers la salle de bain. Le directeur attend devant la porte tandis que Delphine se prépare. Au bout de quelques minutes il n'entend plus rien et commence à s'impatienter. Il frappe à la porte en lui disant de se dépêcher. Sans réponse de sa part, il se décide à entrer et découvre Delphine assise sur le bord de la baignoire encore en chemise avec ces collant dans les mains. Elle se mets à pleurer en voyant le directeur fondre sur elle, et le supllie : - Non ! S'il vous plait je ne veux pas rester en collant... s'il vous plait... Mais le directeur la ramène dans la chambre et s'assoit sur le lit en basculant Delphine sur ses genoux : - Encore une fois vous ne voulez pas obéir... Et il relève le bas de sa chemise, pour découvrir ses fesses et commence à claquer ses fesses nues. Delphine se débat et crie. Quand elle relève la tête elle s'apperçoit que des élèves passent dans le couloir et regardent par la porte restée ouverte. Elle baisse la tête pour ne plus voir ses regards ravis et moqueurs. Puis elle se sent soulevée et le directeur l'allonge sur le dos sur le lit. Il rammase ses collant tombé par terre et lui attrappe une jambe pour commencer à lui enfiler. Delphine n'ose plus bouger, elle regarde rapidement vers la porte et constate qu'il n'y a plus personne... - Il faut que je vous les enfile entièrement, ou vous vous décidez à le faire ? Delphine fait non de la tête et commence à remonter son collant. Pendant ce temps le directeur lui déboutonne sa chemise. Il lui dit de se lever avant même qu'elle ait terminé et lui enlève sa chemise puis termine de remonter son collant. Delphine sa cache du mieux qu'elle peut. - Allez chercher vos chaussures et votre soutien-gorge ! Delphine doit sortir en collant et traverser le couloir. Elle se dépêche et remet son soutien-gorge dans la salle de bain. Le directeur l'attend dans le couloir. Delphine ressort en cachant son sexe de ses deux mains. Elle traverse le hall rempli d'élève tête baissée, tous les regards se tournent sur son passage et elle doit encaisser les commentaires. Le "Elle n'a plus de culotte", lui fait prendre encore plus consience que ses fesses sont totalement exposées. Le directeur la conduit dans une salle encore vide : - Vous rester ici pour assister au cour et à la pause, vous venez me rejoindre dans mon bureau. Nous irons dans le hal pour vous fesser pendant la pose... Delphine choisit une place au fond de la salle et croise ses jambes et ses bras. Les premiers élèves qui rentrent sont surpris de la voir ici, mais le prof fait assoir tout le monde et commence sont cours sans se préoccuper d'elle. A la fin du cour, elle attend que les élèvent sortent pour se lever et marche rapidement pour éviter de croiser trop de gens. Son coeur s'accélère lorsqu'elle frappe à la porte. Le directeur vient lui ouvrir et la fait entrer - Donnez moi votre soutien-gorge ! Delphine le regarde froncer les surcils et se décide à dégrapher son soutien-gorge. Elle l'enlève et lui donne et croise ses bras sur sa poitrine. Le directeur le pose sur son bureau. - Posez vos mains au dessus de votre tête ! Delphine doit se dévoiler alors que le directeur s'approche d'elle. Elle essaie de ne pas pleurer. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration rapide. Elle resiste à l'envie de cacher ses seins quand le directeur la regarde. - Après la fessée, j'irai vous conduire à votre établissement... Elle ferme les yeux et lève la tête au plafond quand le directeur saisit l'elastique de ses collants et commence à les descendre. Il les mets sous ses fesses. - Je ne vais pas vous les baisser complètement tout de suite. Ce sera plus pratique pour marcher jusqu'au hall... Delphine baisse la tête et éclate en sanglots. Elle n'ose pas imaginer marcher ainsi jusqu'à la-bas. Pourtant le directeur sort du bureau et lui dit de venir. Elle est incapable de bouger. Elle regarde sa poitrine nue et plus bas son sexe à peine caché par son collant mais elle sait que ses poils se voient à travers. Le directeur s'impatiente et élève le ton pour qu'elle vienne. Delphine n'écoute pas, elle ne sait pas quoi faire, elle enlève se mains de sa tête pour le mettre sur son visage. Elle crie quand le direteur baisse encore son collant, cette fois-ci pratiquement jusqu'aux genoux. - Continuez ainsi et je vous emmène avec les collants autours des chevilles ! vous serez ridicule... Le directeur la prend par le bras et la fait sortir. Delphine suit péniblement, elle pleure et le supplie de ne pas faire ça. Tout en marchant elle essaie de se cacher le visage de honte. Quand ils entrent dans le hall, elle est au comble de la honte, et ne controle plus ses pleurs. Le silence se fait petit à petit. Ils vont jusqu'au milieu et dès qu'il s'arrête le directeur baisse ses collants jusqu'à ses chevilles. Dans le hall, tout autours d'eux les élèves restent médusés, silencieux, on entend plus que Delphine pleurer. Le directeur la retourne et la courbe sous son bras, en l'emprisonnant par la taille. Puis il commence à lui claquer les fesses. Il frappe sur chacune, l'une après l'autre rapidement. Delphine continue de pleurer et commence à bouger. Plus la fessée avance, plus les pleurs se transforment en cris. Ses fesses rougissent sans que le directeur n'abaisse le rythme. Il continue en alternant une fesse et l'autre. Delphine bouge cette fois-ci dans tous les sens, elle essaye d'interposer ses mains sans y parvenir. A la fin, elle ne controle plus rien sautant d'un pied sur l'autre, et écartant les jambes. Ceux qui sont derrière elle peuvent voir son entrejambe mais dans l'état ou est Delphine, elle ne doit pas s'en douter. Quand le directeur la lache elle oublie toute pudeur et danse d'un pied sur l'autre, le visage baigné de larmes et se frotte les fesses. Le diretceur remonte lui même ses collants et repart en la tirant par le bras. Delphine emerge enfin, quand ils reviennent dans son bureau. Le directeur lui tend son débardeur qu'elle met en quatrième vitesse. - Le reste de vos vêtements ne sont pas encore secs, je vous les ferai parevenir ultérieurement... Allons-y ! Delphine commence à le suivre, et comprends lorsqu'ils se dirigent vers la sortie qu'elle va devoir rentrer comme ça à son école. Elle tire sur le bas de son débardeur, mais celui-ci est beaucoup trop court pour cacher ses fesses. Elle avance tête baissée, les mains plaquées sur son sexe et prie pour croiser le moins de monde possible. Elle sent les gens se retourner sur son passage et la regarder de loin. Elle est rassurée quand ils passe le portail de son établissement. Ils vont directeur dans le bureau du directeur. Delphine se cache du mieux qu'elle peut en entrant dans le bureau. - Bonjour, je vous ramène votre déliquante ! Tout en tirant Delphine à lui, il lui fait faire un demi-tour, remonte légèrement son débardeur et passe ses collants sous ses fesses pour faire constater leur rougeur. - Elle vient d'être punie, comme vous pouvez le constater... Le directeur de Delphine s'approche : - Oui je vois ça, tant mieux pour elle, elle l'a bien méritée... Mais maintenant elle doit être punie ici ! IL remonte son collant et fait retourner Delphine. Tous les deux constatent qu'elle est rouge de honte. Elle n'ose pas les regarder. - L'avez vous fessée toute nue ? Delphine est encore plus mal à l'aise face à cette question. - Je l'ai emmenée en collant dans le hall et je lui ai donnée collant baissé devant tout le monde... Delphine ne sait plus ou se mettre. les deux directeurs échangent entre eux sans se préoccuper d'elle. - Ici je vais la mettre toute nue ! Son directeur s'approche et passe son débardeur au dessus de sa tête. Puis il baisse son collant à ses genoux. Delphine se laisse porter quand il la soulève pour l'assoir sur le bureau. Il lui enlève ses chaussures et termine de descendre son collant. Delphine cache ses seins quand le directeur la redescent. - Remettez vos chaussures... Delphine s'accroupis pour les remettre, tandis que le directeur de Saint Joseph s'apprêtre à prendre congé mais le directeur le retiens : - Attendez ! J'ai réuni le conseil de discipline pour statuer sur le cas de cette demoiselle. Et outre le fait qu'elle va recevoir une fessée ce midi à la cantine. Nous avons décider de lui infliger une semaine complète de punition. Tous les matins, pendant une semaine, elle viendra ici dans mon bureau me remettre ses vêtements. Rester nue tout ce temps lui rapellera son statut de punie. Et cela vaut, pour les activités scolaires, sportives et aussi extra-scolaires. Avec votre accord, comme nos deux établissements ont été impactés par ses méfaits, j'aimerais que son temps de punition soit partagé entre nos deux écoles. Qu'en pensez vous ? Delphine écoute sans se relever. - Je viendrai la chercher, un jour sur deux ? Delphine se relève complètement dépitée pendant que les directeurs continuent de discuter les modalités de sa punition...

mardi 24 mai 2022

Quatrième punition

Comme tous les autres élèves Emilie avait pris connaissance du nouveau rêglement. Quand elle en parlait avec ses copines, elle disait comme elles et paraissait outrée des punitions qui pouvaient être infligées. Mais seule, une certaine curiosité l'envahissait, elle s'était surprise à relire plusieurs fois le rêglement avec un mélange de dégoût et d'envie. Alors qu'elle était en cours d'anglais, la pire matière pour elle, Melle Vriehot lui rend sa copie en lui disant : "comme d'habitude aucun travail pour vous, une vraie fénéante !" Emilie regarde sa note et en chuchottant lance un "connasse" entendu par ses voisins et la prof qui ne dit rien. A la fin du cours, Melle Vriehot, demande à Emilie de rester ainsi qu'au délégué de classe en ajoutant : "La connasse, veut que nous allions discuter de votre comportement chez M. le directeur !" Emilie blémit, mais ne repond rien. Elle suit son délégué et sa prof tout en sachant qu'elle va passer un sale moment. Le directeur les acceuille et écoute Melle Vriehot. En résumé elle lui dit : - Non seulement Emilie ne travaille pas du tout en anglais, mais aujourd'hui elle s'est permise de m'insulter devant tout le monde. Le directeur demande à Emilie ce qu'elle a dire, mais celle-ci se contente de baisser la tête. - Votre attitude Mademoiselle fait comprendre que vous n'avez rien à ajouter pour votre défense... C'est la première fois que vous allez être punie, je crois ? Emilie résignée fait oui de la tête. - Melle Vriehot quelle sanction voulez vous appliquer ? Le coeur d'Emilie s'emballe. - J'aimerai que l'attitude d'Emilie change, peut-être qu'un rappel à l'ordre suffira... Le directeur ne semble pas convaincu du laccisme de la professeur d'anglais. - Pour le travail dans votre matière j'espère bien que cette épisode fera prendre consience à Emilie de changer d'attitude, mais pour les insultes, je ne peux pas laisser passer ça... Emilie levez-vous et enlever votre jupe ! Emilie relève la tête en même temps que son délégué qui depuis le début est resté silencieux. Après un moment de surprise Emilie se lève et defait le bouton et la fermeture de sa jupe. Elle la laisse tombe et l'enjambe pour la poser sur sa chaise. Elle reste ainsi tête baissée, les mains jointes devant elle, face au directeur alors que sa prof et son délégué sont juste derrière. - Volià ce qui va se passer Medemoiselle ! A partir de maintenant et jusqu'à ce soir vous êtes punie pour avoir insulté votre professeur. Votre jupe restera ici toute la journée. Mettez vos mains sur votre tête. Emilie s'exécute laissant remonter son chemisier et son pull au dessus de l'elastique de ses collants. - Vous resterez ainsi les mains sur la tête jusqu'à la fin de votre prochain cour. Je crois que vous avez cours de Maths... Votre délégué va vous accompagner jusqu'à votre classe, en trversant la cour, ainsi tout l'etablisement saura que vous êtes punie. Et il vous mettra à côté du tableau à genoux le nez collé au mur. Emilie comprend que ce qu'elle redoutait avec un mélange d'envie aller lui arriver. - Avec Mademoiselle Vriehot, nous viendrons à la fin du cours pour vous punir... Sans en ajouter plus, il demande à tout le monde de sortir. Guillaume le délégué prend son rôle très au sérieux et attrappe Emilie par le bras pour l'inviter a sortir. Avant d'arriver dans la cour il la prévient : - Tu gardes bien tes mains sur la tête ! Si tu n'obéis pas, je dirais tout au directeur... A mon avis tu es déjà assez mal comme ça ! Je pense que tu ne vas pas garder ta culotte longtemps... Emilie voit les premiers élèves arriver en face d'elle. En plus de ce que vient de lui dire Guillaume, elle n'a plus du tout envie de cette punition, les larmes coulent sur ses joues mais elle essaie de rester digne. Ils traversent la cours sous les golibets des autres élèves et montent dans la classe. Emilie lui demande cinq minutes de repis alors qu'il allait la mettre au coin. Guillaume accepte en s'assayant sur le bors d'une table. Emilie redescent ses bras et sèche ses larmes. - Je ne pensais pas que ce serait aussi dur... je dois être ridicule comme ça ?? Guillaume lui souris pour la rassurer, et lui dit qu'elle a quand même exagéré et qu'elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même. Emilie baisse la tête et semble hésiter, puis se lance : - Tu... tu crois vraiment qu'ils vont me déculotter ? - Sincèrement, je suis pratiquement sur que oui. Tu as quand même insulté une prof !! Tu as même de la chance que ça se passe ici? Tu aurais pu avoir une niveau 4 ou même 5. Les larmes recommencent à couler, tandis que Guillaume se lève. - Bon il va falloir que tu ailles au coin maintenant... Emilie se rend d'elle même au coin, elle s'agenouille et remet ses mains sur sa tête, tandis que Guillaume va à sa place en attendant les autres élèves. - Il faut que ton nez touche le mur... Emilie avance ses genoux et approche sa tête du mur jusqu'à ce que son nez le touche, puis elle attend la boule au ventre. Après son passage dans la cour, ses camrades ne sont pas surpris de la trouver là, en entrant dans la salle. Le prof visiblement au courant de sa punition ne lui prête pas attention. Le cours lui parait durer une éternité, de temps en temps en entend des gloussements derrières elle signe que l'on parle de sa punition. Quans le directeur entre dans la classe, tout le monde se lève d'un coup. Emilie ne sachant pas quoi faire reste à genoux, mais elle sent son coeur s'emballer. - Emilie venez nous rejoindre ! Elle se lève... - Non, non ! Gardez vos mains sur votre tête ! Elle se retourne ainsi rouge de honte, d'être face à ses propres camarades de classe. - Enlevez votre pull et votre chemisier ! Et remettez les mains sur la tête ! Un grondement se fait entendre dans la salle, Emilie reste interloquée un moment puis passe son pull au dessus de sa tête. Elle essaie de reste digne, en enlevant les bouton de son chemisier, puis elle defait ses manches. Il semble qu'elle porte un débardeur moulant dessous. Ce qui est confirmer lorsqu'elle retire son chemisier. Celui-ci laisse deviner sa poitrine généreuse et remonte largement au dessus de son nombril laissant la vue de sa culotte. - Votre débardeur aussi ! Emilie rougit encore plus... - Mais... Je n'ai rien en desous... - Tans pis pour vous enlevez le ! Une nouveau grondement se fait entendre. Emilie hésite encore plus, mais n'a pas le choix, elle passe son débardeur au dessu de sa tête. Le directeur lui prend des mains et recupère son chemisier et son pull. - Voilà Mademoiselle votre tenue pour la journée.. Aussi bien pour assister au cours, que pour les pause, que vous passerez sous le préau au coin ! Il faut comprendre qu'insuslter un professeur est quelque chose de très grave et que l'on s'expose à une punition exemplaire ! Emilie n'arrive pas à contenir ses larmes qui coulent maintenant sur ses joues, les sentiments qu'elle ressentait à la lecture du rêglement ont totalement disparu et sont remplacé par la honte qu'elle éprouve en ce moment. Tout le monde a les yeux rivés sur elle, c'est une jolie fille, blonde les cheveux tombants sur ses épaules, assez fine, mais une poitrine assez imposante. Sa mine déconfite contraste avec ce qu'elle a dit précedement à la prof. Personne n'a compris sa réaction, elle qui est d'habitude très sage et très discrète. - Mademoiselle Vriehot va punir Emilie et je lui donnerai aussi une fessée ensuite... Guillaume apportez nous une chaise sur l'estrade... Guillaume esquisse un sourire rassurant à Emilie en déposant la chaise, mais celle-ci détourne le regard. Complètement paniquée elle voit sa prof d'anglais s'assoir sur la chaise et l'inciter à s'approcher. Elle s'allonge sur les genoux de sa prof, qui ne semble pas à l'aise non plus. Elle abat aussitôt sa main sur ses fesses maladroitement. Visiblement, c'est la première fois qu'elle donne une fessée. Ses claques ressemble plus a des tapettes et Emilie protégée par sa culotte et son collant ne doit pas sentir beaucoup la mains de sa prof. Elle lui donne ainsi une vingtaine de claques et l'invite à se relever. Le directeur prend la place de Mademoiselle Vriehot et bascule aussitôt Emilie sur ses genoux, elle a à peine le temps de s'installer que la fessée débute aussitôt. Rien a voir avec la fessée précédente. Les claques sont très appuyées, malgré la protection de sa culotte et ses collants Emilie gigote dans tous les sens. Après quelques claques Emilie sanglote et demande d'arrêter mais il lui emprisonne le bras et continue sans se préoccuper des cris d'Emilie. Quand il la relève Emilie se frotte frenetiquement les fesses. le directeur la place face au tableau et met ses mains au dessus de sa tête, puis baisse ses collant et sa culotte en même temps sous ses fesses et s'écarte laissant découvrir à toute la classe ses fesses rouge. - Je vous laisse une minute pour vous reprendre, ensuite vous aurez le droit à une deuxième série identique mais déculottée... Mademoiselle Vriehot a été bien trop gentille avec vous, je vais vous punir comme vous devez l'être. On entend plus un bruit dans la salle, il y a juste des échanges de ragrds, parfois graves, parfois complices entre les élèves. Juste les reniflements d'Emilie viennent perturber le silence? - Enlevez vos chaussures Emilie ! Emilie se déchausse, et laisse ses chaussures à côté d'elle, tandis que le directeur vient la chercher et la ramene à la chaise. Dans un reflèxe bien que le devant ne soit pas baissé, elle remonte l'avant de sa culotte et ses collants. - Enlevez vos collants Emilie ! Bien que cette mince protection ne soit pas très efficasse, Emilie est dépitée d'enlever ce nouveau vêtement. Elle remonte complètement sa culotte sur ses fesses et la tient pour dégager ses collants de sa taille puis les roule sur ses jambes pour finir de les enlever et en formant une boule. Le directeur lui fait remettre proprement pour les poser sur le dossier de la chaise. Puis il bascule Emilie sur ses genoux, et la remonte pour que ses pieds ne touchent plus le sol. Il l'avance encore pour que sa tête frole le sol, Emilie est obligé de poser ses mains à plat par terre pour ne pas basculer en avant. Le directeur l'emprisonne par la taille de son bras gauche et commencer à lui asséner une fessée avec la même vigeur que précédement par dessus sa culotte. Emilie pleure, crie et bat des jambes dès les premières claques. Sa position ne lui permet pas de sa protéger au risque de tomber en avant. Quand le directeur arrête elle continue de pleurer, ses cheveux trainent par terre et son collé à son visage. Elle s'agite encore plus lorsque le directeur tire sur sa culotte. il la descend le long de ses jambes jusqu'à ses pieds et finalement l'enlève complètement pour la lancer sur l'estrade. Malgré les protestations d'Emilie, la fessée reprend aussitôt avec encore plus de force. Ses fesses qui ne sont plus protégées rougissent encore plus. Emilie ne retiens plus ses cris, ses jambes battent en l'air. Elle essaie de se sortir de l'emprise du directeur mais celui-ci l'empoigne fermement. Au bout d'un eminute de fessée intense, elle arrive à mettre à un pied par terre et se lever, le directeur arrête la fessée et la relache. Emilie se frotte les fesses en pleurant toutes les larmes de son corps. Le directeur se lève et va ranger la chaise. - Mains sur la tête ! Emilie qui ne l'a surement pas entendu continue de se frotter les fesses. A son retour deux énormes claques sur ses fesses la fait à nouveau crier. - J'ai dis : mains sur la tête !! Emilie renifle et finis pas oébir - Allez au coin ! Emilie s'avance vers le mur à côté du tableau et colle son nez sur la mur. Le bout de ses seins effleurent le mur froid et un frisson lui parcoure tout le corps. Le directeur libère les élèves pour qu'ils sortent. Le temps que le classe vide, Emilie reste au coin sans bouger. Restez au coin, ça vous fera réfléchir, je viendrai vous chercher tout à l'heure... Au bout d'un moment Emilie se retourne pour être sûre qu'il n'a ait plus personne. En effet, les profs et le directeur sont sortis. Elle en profite pour descendre ses mains et se reculer du mur et analyser ce qui venait de ce passer. Elle n'avait jamais eu autant honte. Elle ne s'était jamais imaginée être toute nue devant sa classe. Cela lui fait prendre conscience qu'elle est encore nue, et cheche ses vêtements. Elle trouve sur le bureau du prof uniquement son débardeur ses collants et ses chaussures. Elle remet tout de même son débardeur, et attend d'avoir sa culotte pour remettre le reste. Elle va s'assoir à une place pensante et croise ses jambes. Une chaleur lui envahit le ventre malgré le fait qu'elle ait envie de pleurer. Elle hésite à glisser sa main entre ses cuisses mais du bruit dans le couloir lui fait renoncer. Quand le directeur entre, elle est assise à la place. - Qui vous a autorisée à sortir du coin et surtout à remettre votre débardeur ??!! Emilie baisse la tête et rougis. - Venez ici ! Elle se lève tout en plaquant ses mains à plat devant son sexe et s'avance vers le directeur. Il la fait approcher tout prêt de lui et la prend de chaque côté des épaule pour lui faire faire un demi-tour afin de constater l'état de ses fesses. - Vos fesses sont bien marquées, c'est ce que je souhaitais... Emilie sent encore la chaleur irradier l'ensembre de ses fesses. Une grosse claque sur chaque fesse n'arrange rien pour la douleur, elle sert les dents pour ne pas crier. Puis lève michinalement les bras, quand le directeur remonte son débardeur pour lui enlever. A nouveau toute nue, elle cache ses seins et son sexe. - Allez remettre vos collants ! Emilie s'écarte du directeur et prend ses collants sur le bureau et hésite sans oser demander... - Oui, oui... Je sais... Il n'y a pas votre culotte ! C'est fait exprès ! Avec vos collants clairs, vos fesses rouge continueront de se voir... mettez les ! Emilie obéis bien que la sensation du nylon directement sur ses fesses endolories ne lui plaise aucunement. - Mettez vos chaussures ! - Et puisque vous avez pris la liberté de remettre votre débardeur sans autorisation, je vais vous le confisquer un moment ! Lorsqu'elle se relève Emilie semble comprendre, elle met son visage dans ses mains et éclate en sanglots. - Vous allez m'emmener comme ça... c'est ça ? - Oui au refectoire, que tout le monde comprenne que je corrige sévèrement celui ou celle qui manque de respect aux enseignants ! Il vient attrapper Emilie par le bras et la serre sévèrement pour l'emmener dehors. - Et inutile de vous cacher, vos bras restent le long de votre corps ! Si je dois vous le rappeler une autre fois, vous resterez les mains sur la tête et je vous donnerai une fessée dans le refectoire avec les collants baissés ! Emilie baisse la tête et ne peut s'arrêter de pleurer. Sa respiration s'accèlere lorsqu'ils approchent de la cantine. Elle resiste pour ne pas mettre ses mains quand le directeur la pousse dans le refectoire. Tout le monde s'arrête de parler et regarde dans sa direction. Emilie ne bouge plus complètement tétanisée, presque défaillante. Sa poitrine monte et descend au rythme de son soufle court. Ses poings serrés le long de ses hanches resistent toujours à venir caché sa toison brune aucunement cachée par son collant. Elle a les jambes serrées mais chacun peut voir que la situation lui fait perdre le controle de sa vessie. Une petite marre se forme autours de ses chaussures ajoutant encore plus à sa honte. Le directeur la fait retourner pour que chacun puisse constater la rougeur de ses fesses. Puis il lui fait traverser la salle au milieu des tables pour la mettre au coin. Emilie est un peu rassurée de ne plus être face à ses camarades, mais elle sait que le reste de la journée encore être compliqué.

mardi 22 février 2022

3ième Punition

Le cours de Maths se termine, tout le monde range ses affaires et commence à sortir. M. Briard se met à la porte pour saluer les élèves, quand Julie s'apprêtte à sortir, il l'interpelle : - Julie, restez ici cinq minutes s'il vous plait... Julie attend près de la porte se demandant ce qu'il lui veut. Une fois que tous les élèves sont sortis, il referme la porte. - Bon Julie... Asseyez-vous ! - Je ne vais pas y aller par quatre chemins ! J'ai fait ma petite enquête sur les lettres d'insultes redigées l'année dernière... M. Briard laisse volontairement un petit silence pour observer la réaction de Julie et sa mine déconfite ne laisse aucun doute sur sa culpabilité. - Vous avez sans doute des choses à me dire sur cela ? Incapable de parler, Julie fait non de la tête - Nous savons tous les deux que c'est vous qui avez écris ces lettres... - D'après quelle doit être la sanction pour ces faits ? Julie baisse la tête comprenant le piège se refermer sur elle... Elle sursaute et se met à pleurer quand M. Briard tape ses deux mains sur le bureau juste devant elle. - Répondez ! Quelle punition vous sera ingligée si j'en parle au directeur ? - La 5 !!! Julie répond dans un sanglot, alors que M. Briard se calme. - Bon, j'imagine que vous ne voulez pas que j'en parle au directeur, donc on va s'arranger entre nous ! Je vais vous punir moi-même... Sans laisser le temps à Julie de répondre, il continue : - Je vais vous donner une fessée immédiatement pour commencer. Et dans le courant de l'année, quand vous m'en donnerez l'occasion et je suis sûr que vous m'en donnerez l'occasion... je vous infligerai une fessée en classe, culotte baissée et devant tout le monde ! - Levez-vous ! - J'espère que vous vous rendez compte que je vous fais une fleur en ne vous dénonçant pas ? Julie est perdue, elle ne sait plus quoi penser, elle se lève doucement sans vraiment se rendre compte de ce qui se passe. Elle reste les bras ballants quand M. briard s'approche d'elle et déboutonne son jeans. Il lui baisse et la plaque sur le bureau en lui tenant les mains dans le dos. Elle doit mettre son buste sur la table alors que M. Briard descend sa culotte au niveau de son jeans. Julie réalise qu'elle va être punie pour la première fois de sa vie. La honte l'envahit et elle éclate en sanglot tandis que le main de son profs s'abat violement sur ses fesses nues. La marque des doigts se dessine sur les fesses de Julie, une deuxième arrive aussitôt marquant l'autre fesse. M Briard ne lui lâche pas les mains et lui appuis sur son dos en même temps pour l'empêcher de bouger. Il continue la fessée alors que Julie ne retient plus ses cris. Il les claque sans retenue et sans s'arrêter jusqu'à ce qu'elles soient complètement rouge. Quand il la lache Julie reste allongée sur la table en sanglotant. Elle ne bouge pas quand il descend son jean et sa culotte à ses chevilles. Il est obligé de la relever lui-même, tandis qu'elle continue de pleurer et vient porter ses mains à ses fesses brulantes. Envahie par la douleur, Julie ne se rend pas compte que son pull est trop court pour cacher sa toison et M. Briard en profite. - Il faudra peut-être montrer un peu plus de dignité quand je vais vous fesser devant vos camarades... Julie comprend aussitôt en voyant le regard de M. Briard se porter sur le bas de son ventre et mets ses deux mains devant elle... - Venez ici... M. Briard la prend par le bras et l'entraine jusqu'à l'estrade.. - Allez montez, c'est là que vous serez punie, et je veux que vous en preniez conscience... Regardez la classe, quand ça arrivera toutes les chaises seront prises... Et vous, vous serez là... comme ça ! Avec votre culotte aux chevilles ! Julie se remet à sangloter en imaginant ça. - Remontez votre culotte et sortez ! Julie ne se fait pas prier, elle remonte rapidement sa culotte et son jean et sort de la classe sans demander son reste. Elle doit maintenant arriver à chaque cours la boule au ventre, en espérant que le punition ne soit pas donnée ce journ là...

mercredi 2 février 2022

2ieme Punition

Mademoiselle Vriehot est une jeune professeur de d'anglais fraichement diplômée. Elle est arrivée dans l'etablissement cette année et découvre avec horreur la discipline d'un tel institut. Elle qui est toujours allée dans le public, elle ne pouvait pas s'imaginer autant de sévèrité. Son entrée dans la vie active est assez difficile, ses études lui ont couté très cher, et cet emploi lui permet de ne pas sombrer. Cependant avec son nouveau logement et les différentes dépenses c'est très compliqué financièrement. La fin du premier mois approche et il va falloir payer le loyer alors qu'elle n'a plus un sous. Etant professeur principale de remplacement elle a la charge de la caisse de la coopérative de la classe. En voyant que le montant de la somme équivaut à son loyer, elle avait imaginer l'emprunter et la restitué quelques jours plus tard lorsqu'elle aurait sa paye. Mais elle s'est ravisée en essayant de trouver une autre solution. Le propriétaire de son logement l'appela le jour même du paiement du loyer et le lendemain, la manaçant de l'expulser, si déjà le premier mois, elle ne pouvait pas payer. N'ayant plus choix et se disant que ça faisait déjà quelques semaines que l'argent était là sans que personne ne s'en préoccupe, elle décide de prendre l'argent pour payer son loyer. Ce que qu'elle n'avait pas prévu, c'est qu'une sortie scolaire serait organisée quelques jours plus tard et que la caisse allait être démandée. Elle ne dit rien au début espérant trouver l'argent rapidement, mais sa paye n'allait arriver que dans dix jours, plus les jours passaient moins elle pouvait tenir, on allait lui demander des comptes. Elle décida de dire au directeur que la caisse a été volée. Le directeur est entré dans une colère noire, en prometant de trouver l'élève coupable et d'être intransigeant concernant la punition. Plusieurs jours sont passés sans qu'elle n'entande parler de cette histoire, elle se dit qu'elle s'en sortait bien, et que bientôt, elle allait pouvoir rembourser et trouver une excuse pour expliquer que l'argent avait été retrouvée. Mais un matin avant sa première heure de cours, le directeur l'interpella : - Mademoiselle Vriehot, à quelle heure finissez votre journée aujourd'hui ? - Euhh... je termine à 16H30 Monsieur. - D'accord, j'ai a vous parler, pouvez-vous me rejoindre à mon bureau à 16H30 ? Mademoiselle Vriehot, s'inquiétait, bien que le directeur est resté très courtois, elle n'aimait pas être convoquée ainsi. Elle se dit que ça arrivait que le directeur demande une concertation avec certains profs sur divers sujets, et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Cependant, toute la journée, une boule au ventre ne la lacha pas. Quand elle est entrée dans le bureau, elle constata aussitôt que l'attitude du directeur avait radicalement changé depuis le matin. L'air beaucoup plus sévère et sérieux prenant de la distance avec elle. - Asseyez-vous Mademoiselle Vriehot ! - Alors, avez-vous résolu ce mystère concernant la caisse de la coopérative de votre classe ? Sidonie devint blème, mais ne se décourageat pas : - Euhh, non Monsieur pas encore, aucun élève ne se dénonce pour le moment malgré mon insistance... - Ah... c'est un problème ça... Mais n'avez vous pas envisagé que ça puisse être une personne qui ne soit pas élève ? Sidonie est surprise mais elle continue dans son mensonge : - Non Monsieur... Mais ça m'étonnerait que le personnel puisse faire une telle chose. - Vous avez sans doute raison. Il faut qu'on trouve très rapidement qui a fait ça! Si il y une chose qui me fait horreur ce sont les vols !! Et en plus il va bientôt falloir payer le voyage... Trouvez le coupable rapidement ! Et concernant la punition, ce sera une sanction de niveau 5 ! Sidonie quitte le bureau partiellement rassurée, en se disant qu'il était maintenant très urgent de trouver une solution Le lendemain le directeur l'interpelle de nouveau en lui disant qu'il avait de nouvelles informations concernant le vol et lui redemande si elle avait trouver le coupable. Pretextant un rendez-vous, le directeur lui propose de la retrouver dans une heure en salle informatique. Lorsqu'elle entre dans la salle, le directeur est installé à un ordinateur : - Venez ici Mademoiselle Vriehot ! Bonne nouvelle nous avons retrouvé le coupable... Ou plutôt la coupable ! Sidonie s'approche en se demandant comment s'était possible alors que le directeur lance une vidéo. Elle doit se tenir à la chaise tellement ses jambes tremblent. On la voit très clairement déverouiller le placard et ouvrir la caisse. Puis compter les billets et mettre une somme dans son sac. Et après hésitation prendre le reste de la caisse et tout refermer correctement. Elle ne dit rien, laissant son regard fixé sur l'écran bien que la vidéo soit arrêtée. Le directeur la laisse ainsi, silencieux un moment. - Je vous ai laissé plusieurs occasions de dire la vérité ! Depuis le début, je sais que c'est vous... mais vous avez continué à nier, tout en prenant le risque qu'un élève soit inculpé et eventuellement puni à tord !!! - Vous ne dites rien... ? De toutes façons aucune excuse n'est recevable... Sidonie reste figée sur l'écran, elle sent une larme couler sur sa joue de honte. - Quand rendez-vous l'argent ? - Je... je ne sais pas... quand j'aurais ma paye. - Très bien, je la retiendrai directement sur votre salaire ! - Et vous renvoyer serait trop simple... Pour le moment, je suis le seul à savoir que vous êtes une petite voleuse, ça ne va pas durer évidement, mais je préfère pour votre dignité et surtout votre légitimité que les élèves n'en sachent rien... - Pour ce qui est de vos collègues c'est différent ! Je vous ai parlé d'une punition de niveau 5... Sidonie n'a aucune réaction, elle reste sans bouger, les yeux toujours rivé sur cette image arrêtée ou on la voit. - Déshabillez-vous ! Le directeur est resté très calme, même en annonçant cela, de la manière la plus naturelle possible. - Déshabillez-vous ou je vous emmène de suite à la gendarmerie... Les larmes tombent sur le clavier tandis que Sidonie déboutonne sa veste Sans se retourner, elle l'enlève ainsi que son débardeur. Puis fait glisser la fermeture de sa jupe et l'emjambe. Le directeur est toujours derrière elle, elle n'a pas dit un mot, lui non plus. Elle range ses vêtements et semble vouloir attendre ainsi. - Vos sous-vêtements aussi ! Sidonie lève la tête vers le plafond de dépit, on l'entend renifler. Elle dégraphe son soutien-gorge et fait glisser sa culotte qu'elle emjambe à son tour. Bien que dos au directeur, elle cache ses seins en croisant ses bras devant sa poitrine. Le directeur s'approche d'elle en se disant qu'il avait finalement de la chance de pouvoir punir une aussi belle jeune femme et compte bien en profitait jusqu'au bout. - Vous comprenez qu'une punition de niveau 5 est impossible pour vous dans l'état où elle est notifiée dans le rêglement. Cependant, je vais d'ores et déjà vous infliger une fessée immédiatement. Et comme ce soir nous avons le conseil avec le corps enseignant, j'en profiterai pour les prévenir de vos méfaits. Le directeur ne précise rien de plus et abat sa main fortement sur ses fesses lui déclanchant un cri de douleur. Elle n'a pas le temps de réaliser ce qui va lui être infligé. La douleur inonde la surface de ses fesses, elle reste debout, et maintient fermement le bord de la table en serrant les dents pour ne pas trop crier. Le directeur lui inflige une vingtaine de claques et s'arrête aussi brutalement qu'il a commencé. Sidonie ne bouge pas, elle est tentée d'aller frotter ses fesses mais ne veut pas lui donner ce plaisir. Elle le voit prendre sa culotte qu'elle avait poser près du clavier. - Je viendrais vous chercher tout à l'heure, restez ici en attendant ! ça vous permettra de réfléchir à votre comportement et à ce qui va vous arriver... Et je garde vos vêtements ! Si toutefois vous n'assumiez pas et que vous décidiez de partir, vous irez toute nue ! Sidonie se retoure lorsqu'il referme la porte. Elle s'assure que la salle est bien vide, va fermer les rideaux, verouille la porte et éclate en sanglots en s'assayant sur une chaise. Elle reste ainsi pendant près de deux heures en se retournant tous les scénarios dans sa tête. Elle sursaute quand elle entend la porte s'enclencher. Son coeur s'affole, les yeux rivés sur la porte. Quand elle entend la clé s'inserer dans la serrure, elle comprend que c'est le directeur qui vient la chercher. Elle s'assoit sur une chaise et recroqueville sur elle-même en croisant ses jambes. Le directeur entre avec ses vêtements à la main, et lui jette à ses pieds. - Vous avez une minute pour vous habiller ! C'est l'heure d'y aller, je vous attends dans la couloir... Sidonie s'habille rapidement, rassurée de pouvoir remettre ses vêtements et sort. - Il n'y a plus d'élève à cette heure là. Donc, vous allez adopter une position de punie... Vos mains posées au dessus de votre tête ! - Très bien, laissez les ici sans les redescendre avant que je ne vous le dise... Sidonie avance, poussée par le directeur avec les mains au dessus de la tête. Mais quand elle sent l'arrière de sa jupe se lever, elle a le reflêxe de porter ses mains à ses fesses la retenir. En un instant elle se retrouve sous le bras du directeur, penchée en avant avec la jupe sur le dos. - Il va falloir que vous appreniez à obéir Mademoiselle Vriehot !!! Tout en lui interdissant le moindre mouvement, le directeur passe sa culotte sous ses fesses... - où des fessées vous n'avez pas fini d'en recevoir... et il lui claque les fesses nues à trois reprises, puis la libère sans lui remettre sa culotte. - Mains sur la tête et avancez ! Il la guide ainsi jusqu'à la salle de réunion et lui fait traverser la pièce pour l'emmener jusqu'au mur. - Collez votre nez sur le mur, et ne bougez plus ! Sidonie obéit bien qu'elle se sente ridicule dans cette position, elle espère juste qu'il va la libérer avant que ses collègues n'arrivent. Il lui replace les mains et lui écarte les coudes puis il passe ses mains sous sa jupe et descend sa culotte jusqu'à ses chevilles. Sidonie n'ose pas bouger mais comprend que sa culotte va rester là. Le directeur s'en va et il n'y a plus un bruit dans la pièce. Elle n'ose pas se retourner pour voir si elle est seule. Puis quelques minutes plus tard elle entend les discutions de ses collègues qui s'apporchent de la salle. Son coeur s'affolent, sa gorge se noue, mais elle ne peut rien faire. Elle comprend qu'ils sont entrés dans la salle quand les conversations s'arrêtent nettes. Le direteur qui n'avait sans doute pas bougé depuis la début les invite à s'intaller. Tout le monde s'assoit en silence en s'échangeant des regards interrogateurs. - Mademoiselle Vriehot ! Venez au centre des tables Sidonie prend une grande inspiration et se donne du courage pour affronter les regards de ses collègues. Elle descend ses mains et se baisse pour remonter sa culotte. Mais le directeur l'arrête juste avant qu'elle ne la saisisse. - Laissez votre culotte là où elle est ! Et remmettez tout de suite vos mains sur votre tête ! Je ne crois pas vous avoir autorisée à quitter cette position ! Sidonie sursaute et se retourne en replaçant ses mains. Livide, au bord des larmes, elle vient se mettre au milieu de ses collègues entre les tables. Enchevêtrée dans sa culotte elle avance à petits pas ce qui ne manque pas de faire sourire certains de ses collègues. - Madames et Messieurs vous avez devant vous la coupable du vol de la copératives de la classe ! La honte fini d'envahir Sidonie et elle se met à pleurer en baissant la tête. Ses collègues sont sidirés en apprenant cela et en entendant le directeur expliquer comment elle a fait et comment elle a menti jsuqu'au bout. - Nous verrons cela à la fin de la séance... Mademoiselle Vriehot ! Remontez votre culotte et allez vous assoir à votre place. Sidonie se baisse aussitôt et remonte sa culotte. Elle est obligée de remonter un peu sa jupe en la remettant, laissant entrevoir ses bas. Puis va s'assoir sans regarder personne ? Elle reste discrète durant toute la réunion, n'ayant pas l'envie ni le courage d'apporter son avis. Quand ça se termine, ses collègues rangent leurs affaires et commencent à se lever, mais le directuer intervient : - Veuillez nous accorder encore quelques instants s'il vous plait... Mademoiselle Vriehot veuillez retourner au milieu ! Sidonie comprend tout de suite et implore le directeur : - S'il vous plait Monsieur... - Allez au milieu sans discuter ! Comme Sidonie continue à l'implorer, il se lève d'un bon et vient jusqu'à elle pour l'attrapper par le bras et la faire se lever puis la courbe sur la table en lui emprisonnant les mains dans le dos. Sidonie est incapable de bouger, elle ferme les yeux tandis qu'elle sent sa jupe remonter et ne peut retenir ses larmes. Elle s'attend à avoir la culotte descendue mais au lieu de ça, une claque lui arrive par dessus. Elle reçoit une fessée ainsi devant ses collègues avant qu'il ne la libère. Elle recouvre aussitôt ses fesses et se relève en essuyant ses joues. Le directeur la reprend vigoureusement par le bras et l'emmêne jusqu'au coin. - A genoux, les mains sur la tête ! Sidonie se met dans la position demandée alors que ses collègues quittent la pièce, il ne reste plus que le directeur, son adjoint, la secrétaire et l'agent comptable. Les membres de la direction font toujours un débreifing après la réunion. Sidonie a l'impression que c'est interminable, elle a mal aux genoux et ses bras sont lourds. Elle peine à maintenir ses mains au dessus de sa tête, mais elle fait des efforts pour ne pas bouger. Elle entend enfin que les discutions prennent fin, l'agent comptable et la secrétaire saluent le directeur et son adjoint et sortent. Le directeur continue à discuter avec son adjoint sans se préoccuper de Sidonie, mais au bout d'un moment l'adjoint en vient à son sujet : - Que va-t-on faire d'elle ? Sidonie sent la chaleur lui envahir le visage, elle fixe le mur en écoutant tout ce qu'ils disent d'elle. Le directeur dit qu'il a déjà commencé à la punir avant la réunion, qu'il ne dira rien aux élèves et qu'il veillera à ce qu'elle rembourse intégralement la somme qu'elle a volé. Il ajoute qu'il est très remonté contre elle et qu'il ne la lachera pas... - Est-ce qu'elle a été assez punie ? Le directeur n'hésite pas une seconde à répondre - Bien sur que non, je l'ai punie rapidement, sur le coup, mais j'attendais la fin de la réunion pour la sanction... Mademoiselle Vriehot, venez ici ! Sidonie se lève deconfite et vient tête baissée vers le directeur et son adjoint. A peine arrivée, le directeur l'allonge sur la table et lui relève sa jupe sur son dos. Et cette fois-ci, il baisse sa culotte. Sidonie s'aggrippe au bord de la table tandis qu'une claque retentissante arrive sur ses fesses. Une deuxième lui arrache un cri, suivie d'une troisième qui la fait sursauter. Une déferlante s'abat sur ses fesses tandis qu'elle mort la manche de sa veste pour éviter de crier trop fort, mais elle ne peut s'empêcher de sangloter. Un brasier innonde ses fesses et s'arrête d'un cou. - Debout ! Sidonie se leve chancelante en reniflant. Le directeur baisse sa jupe qui s'enroule autours de ses chevilles, il en profite pour descendre aussi sa culotte. Sidonie se cache avec ses mains. Mais le directeur lui enlève sa veste et attrappe le bas de son débardeur. - Levez les bras ! Il passe son débardeur au dessus de sa tête et le jète par terre. Puis il la prend par les épaules pour le faire se retourner et dégraphe son soutien-gorge et la remet face à lui comme un pantin. Il descend ses bretelles pour libérer ses seins et jète le soutien avec son débardeur. Sidonie cache cette fois-ci sa poitrine alors que le directeur s'accroupie pour libérer ses chevilles de sa jupe et de sa culotte. Elle se retrouve devant le directeur et son adjoint avec pour seuls vêtements ses bas et ses chaussures. Il lui fait faire de nouveau un demi-tour pour contempler ses fesses. - Pour ce qu'elle a fait ses fesses ne sont pas encore assez rouge. L'adjoint acquiesse alors que le directeur s'assoit sur une chaise en entrainant Sidonie sur ses genoux. Elle reçoit une nouvelle fessée mais cette fois-ci impossible de se retenir de crier pour elle. Elle tombe à genoux au sol lorsqu'il la libère. - On va la laisser reprendre un peu ses esprits, voulez-un café dans mon bureau, je continuerai la fessée après... L'adjoint accepte volontier trop content d'assister à la punition de sa jeune collègue. - Vous, prennez vos vêtements à la main, inutile de vous rabhiller pour le moment. Sidonie en larmes regroupe ses vêtements et doit suivre les deux hommes dans les couloirs de l'établissement, toute nue. Elle prie pour qu'il n'y a plus personne, mais à cette heure là, il y a peu de chance. Arrivés dans le bureau, le directeur lui arrache ses vêtements des mains et les jête sur une chaise. Comme il l'aurait fait à une élève, il lui attrappe l'oreille et la guide ainsi jusqu'au coin. Sidonie grimace et lui tient la main pour éviter qu'il ne tire trop fort. Il lui fait baisser la tête en la maintenant toujours pour qu'elle se mette à genoux. - La fessée, c'est dans dix minutes !!! Sidonie se demande comment elle va pouvoir supporter une nouvelle fessée. Ses fesses sont déjà tellement endolories qu'elle se dit qu'elle ne pourra plus s'assoir. Pendant le temps qu'elle est au coin, les deux hommes boivent leur café en échangeant des banalités. Au bout de dix minutes, le directeur va chercher Sidonie pour la ramener à son bureau de la même façon qu'il a été la porter au coin. Quand il la lâche, elle reprend conscience qu'elle est nue, et cache son sexe et sa poitrine à l'adjoint qui est face à elle. Voyant cela, le directeur, lui attrappe les pognets et lui écarte les bras du corps. - Ne vous cachez pas ! Si je vous ai mise nue, c'est pour vous punir, alors respectez votre punition !! Sidonie reste prostrée en montrant tout. - D'ailleurs, vous n'avez besoins d'aucun vêtements ! Déchaussez vous et enlever vos bas... Je vous veux sans rien du tout pour cette fessée ! Sidonie enlève ses talons et se baisse pour enlever ses bas, elle ne pleure plus, mais n'arrive pas à regarder le directeur et son adjoint. Elle est tellement gênée d'être ainsi devant eux. Elle aimerait pouvoir se cacher mais resiste à mettre ses mains. C'est le regard insistant de l'adjoint qui la gêne le plus allant de ses seins à sa toison soigneusement entretenue, mais laissant voir la naissance de ses lèvres. - Allongez-vous sur le bureau... Sur le dos ! Sidonie s'assoit sur le bord et bascule en arrière en comprenant que le directeur veut l'humilier au maximum. A peine allonger il passe ses mains derrière ses genoux et remonte ses jambes à angle droit. Il la fait glisser pour que ses fesses soient dans le vide. - tenez vos jambes derrière vos genoux ! Sidonie le fait en fixant le plafond, pleinement consciente de la vue qu'elle offre et appréhendant la suite. Le directeur écarte ses genoux et force pour qu'elle replie encore plus ses jambes. Toute son intimité est ainsi exposés aux yeux du directeur et son adjoint. Non seulement son sexe largement ouvert, mais aussi son anus. Il prend sa longue rêgle plate posée sur son bureau et l'abat sur ses cuisses déclanchant un cri de douleur de Sidonie. Il se concentre sur le milieu de ses cuisses. Sidonie bouge dans tous les sens tellement la douleur est vive. Mais il la maintient fermement pour ne pas qu'elle s'échappe. Elle crie, elle pleure et supplie d'arrêter. Le directeur ne retiens pas ses coups, ses cuisses passent rapidement du rouge et bleu, il s'arrête uniquement quand sa rêgle casse en deux. Il lache les jambes de Sidonie qui retombent d'un coup. Elle pleure dans ses mains en restant prostrée allongée sur le bureau, les jambes légèrement ouvertes. Le directeur lui tire sur le bras pour la remmetre debout, mais elle ne réagit toujours pas. Il regroupe ses vêtements et lui met dans le bras puis la pousse vers la sortie, la laisssant nue dans le couloir. - Peu importe l'état de vos cuisses, demain je veux vous voir en jupe !! Il referme la porte derrière lui, Sidonie tombe à genoux et continue de pleurer un long moment. Ce n'est que quand elle entend que l'adjoint va bientôt prendre congès du directeur qu'elle se relève pour aller s'habiller plus loin et quitte discrètement l'établissement.

lundi 17 janvier 2022

Première Punition

ça fait déjà une demi heure que Delphine et assise dans le couloir près de la porte du bureau du directeur. Elle attend qu'il la reçoive. Depuis le début de l'année tout le monde parle du nouveau rêglement, tant redouté. Caroline se remet doucement de cette terrible journée. Les délégués sont finalement assez concilliants avec elle. Ils restent discrets et évitent de lui en parler. Mais entres délégués, ils échangent souvent sur les punitions qu'elle a reçu. Deux jours plus tôt, Delphine s'était mélée à une conversation sur la sévérité du rêglement. Elle trouvait les punitions injustes, dénonçant la perversité du directeur. Elle était très vindicative, depuis la réunion des délégués, elle était très remontée contre ce nouveau rêglement. Dans la conversation, elle prétent que Caroline n'avait surement pas été volontaire et qu'en tant que nouvelle elle n'avait pas eu le choix, le directeur lui avait surement imposé ! Tout le monde s'est tut quand Delphine a dit ça. Elle s'arrête elle même de parler, voyant le malaise. Elle ne comprend pas tout de suite... Puis réagit en regardant deux garçons qu'elle connaissait mal, elle devient livide : - Vous êtes bien délégués de première année ??? Les deux garçons font non de la tête, mais la rassure en soutenant qu'ils ne connaisaient pas cette Caroline. A moitié rassurée, Delphine était repartie, en se promettant d'être moins étourdie et d'éviter de parler de ce sujet. Malheuresement pour elle la rumeur s'était emplifiée, même si les garçons ne connaissaient pas Caroline, il n'avaient pas pu s'empêcher d'en parler à d'autres. Caroline se sentait de plus en plus visée. Tout le monde avait compris en deux jours que s'était elle. Le directeur intransigeant la dessus, puisqu'il avait largement insisté sur ce secret lors de la réunion, a mené son enquête pour connaitre d'où était parti la fuite. Les délégués qui avait parlé entres eux de la bourde de Delphine n'ont pas été long à en parler au directeur. Ce matin, Delphine a été convoqué dans le bureau, voilà pourquoi elle attend dans le couloir. Elle repasse s'est deux derniers jours dans sa tête, et fond en larmes en s'en voulant à elle même, quand la porte s'ouvre. - Entrez, c'est trop tard pour pleurer !!! Delphine entre en séchant ses joues et en tentant aussitôt de se justifier : - Je n'ai pas fait exprès, Monsieur !!! Je n'avais pas vu qu'il y avait du monde, sinon je n'aurais rien dit... Je vous jure que c'est vrai... J'ai juste était maladroite !!! Le directeur s'assoit derrière son bureau laissant Delphine debout face à lui : - Etourderie ou pas, ça ne change rien ! Les conséquences sont là ! Votre Camarade se fiche bien de savoir si vous l'avez fait exprès ou pas... Delphine se tait et baisse la tête devant l'intransigeance du directeur. - Ce type de comportement est sanctionné d'un punition de niveau 4 ! Le larmes coulent à nouveau sur les joues de Delphine, tout s'embrouille dans son esprit. A quoi correspond cette punition ? Elle ne le sait plus, mais elle sait que la pire c'est la 5... Et comprend que la 4 c'est toute nue. Le directeur laisse quelques secondes pour qu'elle en prenne conscience : - Heuresement vous allez pouvoir réparer ça en parti ! Déjà vous allez tout dire à vos camarades délégues... Et vous avez la même corpulence que Caroline. Vous allez vous arranger pour que tout l'établissement comprenne que c'était vous le modèle !! Delphine relève la tête en comprenant ce que le directeur attend d'elle... - Je vais vous laisser une semaine pour que cette contre vérité face le tour de l'établissement. Si ce n'est pas le cas, vous aurez votre punition du niveau 4. Est-ce bien clair ?? Delphine n'a pas le choix que d'accepter, même si cette solution ne l'enchante guerre vu les conséquences futures, mais elle préfère ça que de se retrouver toute nue devant tout le monde. Et accepte la sentence. - Bon il ne tient qu'à vous d'éviter cette punition et de rétablir la dignité de Caroline, je compte sur vous... Delphine dit qu'elle fera tout son possible et s'apprête à prendre congé, mais le directeur l'arrête : - Attendez, Attendez... ça c'est la réparation de votre erreur, mais maintenant vous allez passez à la sanction. Je vous ai dit tout à l'heure que votre comportement necessitait un punition de niveau 4. Pour des raisons évidentes, vu notre arrangement, je ne peux pas vous la donner dans les conditions du rêglement, mais ici même dans mon bureau c'est possible... Delphine blémit. - Faite ce qu'il faut aujourd'hui, et revenez ce soir à après vos cours !! Delphine ne peut plus dire un mot et sort du bureau. Le soir venu, elle revient, le directeur l'attend, la porte de son bureau est ouverte, elle entre. Le directeur commence par la féliciter pour son obéissance, et pour la rumeur qui commence à venir comme quoi c'est bien elle qui était le modèle le jour de la réunion et non Caroline. ça bouillonne dans la tête de Delphine, comme si elle avait le choix. - Vous avez refermé la porte derrière vous, allez la rouvrir. Pour des raisons évidentes, quand je punie une élève je ne peux pas rester seule avec elle. Le directeur se remet au travail, dans ses dossiers tandis que Delphine reste un moment sans bouger, puis quand elle se retourne, le directeur lui dit : - Et mettez vous en sous-vêtements ! Delphine va ouvrir la porte, le directeur n'a pas relevé le nez de ses dossiers. Elle enlève son pull et déboutonne son chemisier puis l'enlève et retire aussi sa jupe. Elle frissonne de peur de et froid ainsi uniquement vêtue de son soutien-gorge et sa culotte. Elle cache sa poitrine de ses bras croisés, mais pour le moment le directeur ne la regarde pas. Elle reste ainsi de longues minutes sans parler ni bouger, en priant pour que personne ne passe dans le couloir. Au bout d'un moment, le directeur ferme son dossier et se lève. Delphine prend une grande inspiration. - Dans quelle tenue est donnée la punition de niveau 4 Delphine ? Le directeur s'apporche d'elle, elle tremble comme une feuille incapable de répondre. Le directeur lui prend les poignets et lui décroise les bras pour lui mettre le long de son corps. Delphine ferme les yeux mais cela n'empêche pas les larmes de couler sur ses joues. - La punition de niveau 4, Delphine est donnée toute nue !! retounez vous ! Delphine fait demi-tour et sent le directeur dégrapher son soutien-gorge et lui enlever. Elle ouvre les yeux pour regarder affolée dans le couloir qui reste heureusement vide. Le téléphone sonne et le directeur retourne à son bureau, un instant de repis pour Delphine qui ne peut s'empêcher de cacher ses seins en espérant que personne n'arrive. Le directeur parle et dans le milieu de la conversation il s'arrête : - Delphine baissait votre culotte... Puis reprend sa conversation comme si de rien n'était. Delphine n'en crois pas ses oreilles, avec qui peut-il bien parler pour dire ça comme ça... Doucement, elle baisse sa culotte et serre ses jambes l'une contre l'autre ne pas qu'elle tombe à ses pieds, mais elle est déjà à mi-cuisses. Elle se cache du mieux qu'elle peut en espérant tout en redoutant la fin de la conservation téléphonique. Quand le directeur raccroche, il vient aussitôt vers elle et finit de baisser sa culotte d'un coup et lui fait comprendre qu'il faut qu'elle lève ses pieds pour la retirer. Il la fait pencher en avant et une première claque lui arrive sur les fesses sans qu'elle s'y attende. Une douleur envahit ses fesses. Elle découvre la fessée. Une dexième arrive, ça lui fait terriblement mal, elle se retient de crier. Au bout de 5 c'est presque insupportable pour elle. Elle se demande comment Caroline a pu tenir. A la sixième elle éclate en sanglots. Oubliant qu'elle est toute nue, qu'il peut y avoir du monde dans le couloir... Elle en reçoit dix comme ça. Le directeur voulait marquer le coup. Elle se relève en se frottant les fesses, le visage baigné de larmes. Quand elle reprend un peu ses esprits, elle se rend compte qu'elle est face au bureau du directeur. Elle sèche ses joues consciente qu'elle n'a plus rien a cacher. - Vous n'avez plus qu'à continuer à oeuvrer pour ne pas vous retrouver dans la même situation devant tout l'établissement la semaine prochaine... Rabillez-vous ! Delphine se hâte de remettre ses vêtements en se promettant de tout faire pour éviter cette punition...

samedi 4 décembre 2021

Rêglement disciplinaire

Caroline et sa mère entre dans le bureau du Directeur, un peu gênées. Comme elles sont toutes les deux plutôt timides, et que par ailleurs, le Directeur lui est quelqu’un qui a beaucoup de prestance et de charisme, dès qu’elles ont passé la porte, elles ne se sentent pas à leur aise. Et il faut bien le dire, en voyant leur gêne, le Directeur a tendance à en rajouter, ça l’amuse. - Bien, si je vous ai demandé de venir, c’est que j’ai un gros souci avec l’inscription de Caroline La mère de Caroline tente de clarifier la situation. - Oui, je comprends. Nous avons rempli le dossier dans les temps, comme il faut. Mais visiblement, nous nous sommes trompés dans l’adresse, la poste vient de nous le retourner. Je suis confuse. - Je comprends, répond le Directeur. Mais maintenant, tous nos effectifs sont complets, je ne peux rien faire. Il laisse planer un long silence. Puis il enchaine, comme s’il venait de penser à quelque chose. - Bon, il y aurait peut-être une solution, mais je ne sais pas trop si cela va vous convenir. - Si si, tout nous conviendra, répond rapidement la mère de Caroline. Cette inscription est vraiment essentielle pour Caroline. Votre établissement a une si bonne réputation. Avec son père, nous voulons vraiment la meilleure éducation pour elle. Le Directeur semble hésiter. Puis il se lance. - En fait, nous avons une élève qui ne viendra finalement pas car elle déménage dans le sud, ce qui laisse une place libre. - Oh, c’est parfait alors ! S’exclame la mère de Caroline. - Oui, mais c’est un peu particulier. En fait, cette jeune fille, Cécile, était dans notre établissement depuis longtemps, elle était déléguée de classe. Il faudrait que Caroline reprenne ce rôle de délégué. - Bien sûr oui, sans problème. N’est-ce pas Caroline. Caroline parle pour la première fois, avec une petite voix hésitante. - Heu … oui, tout à fait. - Tout à fait qui ? réagit le Directeur. - Heu .. Oui … Tout à fait, monsieur le Directeur. La timidité de Caroline est un délice pour le Directeur. Il continue : - Bon, je vois que Caroline réagit bien. Je ne doute pas qu’elle pourra remplacer Cécile à son poste de délégué. Mais je voudrais qu’elle prenne sa place dès le début. Et vis-à-vis des autres élèves délégués, elle devra montrer tout de suite sa détermination à ce poste, son investissement pour notre établissement. - Oui, bien sûr, répond la mère de Caroline. - Je vous explique. Les délégués de toutes les classes entrent une semaine plus tôt que les autres élèves pour préparer et organiser l’année. Il faudra que Caroline soit là. - Bien sûr. - Et cette année, durant la semaine de préparation, nous allons revoir tout le système de sanction et des punitions associées. En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du legislateur, et il faut que nous réécrivons entièrement le règlement intérieur. - Oui … La mère de Caroline semble comprendre que le Directeur a encore des choses à demander à Caroline, mais elle ne voit pas vraiment où il veut en venir. - Comme je fais une exception, poursuit-il en appuyant sur le mot exception, en admettant Caroline malgré un dossier rendu hors délai, et bien qu’elle n’ait aucune expérience en tant que délégué, je vais lui demander de me monter que son investissement sera entier. Aussi, Caroline sera volontaire, durant la semaine de préparation entre délégués pour les différents tests de punition que nous allons réaliser. Caroline et sa mère reste silencieuse, elles ne comprennent pas vraiment ce que cela implique. - C’est-à-dire ? ose la mère de Caroline. - Hé bien, c’est très simple. Pour chaque punition que nous inclurons dans le nouveau règlement intérieur, il faudra la tester, pour en vérifier les effets. Il serait totalement irresponsable de notre part d’inclure dans le règlement des punitions dont nous n’aurions pas mesuré tous aspects. Nous avons donc besoin d’un élève volontaire, qui subira chacun de ces châtiments, les uns après les autres, pour que nous en mesurons toute la portée. Il dit cette dernière phrase en regardant Caroline dans les yeux, qui détourne le regard aussitôt. Puis il poursuit : - Il y a 6 ans, lors du dernier changement, nous n’avons pas eu de volontaire. J’ai été contraint de désigner un élève, au hasard, et l’injustice du tirage au sort a été très mal perçu. C’est pourquoi, un élève volontaire serait bénéfique et pour moi, et bien sûr pour Caroline qui montrera ainsi à tous sa force mentale et son engagement pour l’établissement. Elle sera ainsi très vite intégrée dans le groupe des élèves délégués, qui sont tous très investis et profondément respectueux des valeurs de notre établissement. Caroline regarde maintenant sa mère affolée. Celle-ci regarde le Directeur, elle veut réagir, dire que c’est exagéré comme demande, mais les mots ne lui viennent pas. Le Directeur montre un visage très fermé, qui semble montrer qu’il n’y a aucune négociation possible. Elle tente tout de même : - Heu, mais … Le Directeur la coupe immédiatement : - Bon, écoutez, je comprends que cela ne puisse pas vous convenir, mais c’est soit ça, soit nous ne prenons pas Caroline. Alors maintenant veuillez vous décider et partir, j’ai énormément de travail pour préparer la rentrée. Disant cela, il prend un dossier sur son bureau et semble se mettre à travailler, faisant mine de ne plus les voir. - Bon, finit par dire la mère de Caroline, c’est d’accord. Caroline est tétanisée, elle n’ose pas y croire. Le Directeur les raccompagne rapidement, en prenant le temps de sourire à Caroline en la regardant dans les yeux. Caroline passe ses deux dernières semaines de vacances à se demander ce qui va se passer pour elle. Elle a bien compris le principe, mais n’a aucune idée des punitions qui seront testées. Dans son ancien lycée, les punitions les plus graves étaient des jours de renvoie, mais ça ne se teste pas. Elle a bien entendu des lycées qui pratiquaient des punitions corporelles, mais elle pensait que ces punitions étaient interdites, alors cela ne peut pas être ça. D’un autre côté, elle ne peut s’empêcher de penser que le Directeur a évoqué de « nouvelles directives » et qu’il a aussi parlé de « châtiment », et à chaque fois qu’elle y pense, son sang se fige dans ses veines. Qu’entendait-il par « châtiment » ? Caroline est particulièrement timide, et surtout très pudique. Elle panique totalement à l’idée qu’elle va peut-être devoir se mettre dans des positions humiliantes devant les autres élèves, comme avec les mains sur la tête. Peut-être même qu’elle devra se mettre de dos et que le Directeur lui donnera des coups de règle sur les fesses. Elle panique complétement et ne dort presque plus. La semaine de préparation avec les délégués finit malgré tout par arriver. Le début de la semaine se passe plutôt bien, et Caroline s’intégre bien. Ils sont plus nombreux que ce que pensant Caroline. En effet, il y a 2 délégués par classe et l’établissement, qui est très grand, compte environ une trentaine de classe. Par ailleurs, en plus des délégués, tous les professeurs sont présents, ainsi que le personnel encadrant et administratif. Elle fait donc connaissance avec de nombreux élèves de toutes les classes, et en particulier avec Julien, qui est l’autre délégué de sa classe. Elle ne l’aime pas beaucoup parce qu’il la drague lourdement et qu’il fait régulièrement des commentaires graveleux, mais il est sérieux lorsqu’il s’agit de travailler. Les premiers jours sont consacrés à l’organisation de la cantine scolaire, les horaires des inter-court ou encore la répartition des espaces dans la cour, et finalement, personne ne parle du règlement intérieur. Lorsque le vendredi arrive, Caroline commence à penser que le Directeur a peut-être changé d’idée. Mais son espoir s’envole très vite en arrivant au lycée ce matin-là. Le Directeur accueille tout le monde dans la grande salle, comme tous les matins depuis de début de la semaine : - Bien, nous arrivons au dernier jour de notre semaine de préparation. Les autres jours, après une courte présentation, nous nous sommes répartis en groupes de travail, dans les différentes salles de classe de l’établissement, avant de nous retrouver en fin de journée tous ensemble ici. Comme les groupes ont été différents chaque jour, cela vous a permis de faire connaissance et de créer des liens entre vous. Aujourd’hui sera un peu différent, nous allons rester ensemble dans cette grande salle toute la journée. Notre mission du jour est de réécrire le règlement intérieur. Dès qu’elle entend cela, Caroline se fige sur place. Le Directeur poursuit : - En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du législateur. Les punitions corporelles ont été validées, et elles sont maintenant même recommandées pour assurer un meilleur respect des consignes et du règlement par les élèves. Il y a de nombreux murmurent dans la salle, chacun se demandant ce que l’on entend vraiment par « punitions corporelles ». Caroline n’ose pas croire ce qu’elle entend. Elle se met à trembler, elle voudrait disparaitre. Le Directeur continue : - Nous avons donc une grosse journée de travail qui nous attend, et pour commencer je voudrais remercier une élève parmi vous qui n’a pas hésité à se porter volontaire pour nous faciliter ce travail. Cette élève c’est Caroline. Alors Caroline, venez me rejoindre sur l’estrade. Caroline ne bouge pas, elle ne peut pas. Tous les regards finissent par se tourner vers elle, le Directeur insiste, elle finit par avancer, comme un robot. Arrivée sur l’estrade, le Directeur lui demande de se placer face au groupe, et il reprend la parole : - C’est grâce au courage de Caroline qui s’est portée volontaire, que nous allons pouvoir tester chaque punition avant de l’inscrire dans le nouveau règlement. Vous allez tous devoir être très reconnaissant avec elle, pour son engagement pour l’établissement, car au nom de cette engagement, Caroline va passer une terrible journée devant vous. Car en effet, même si elle est volontaire, Caroline va subir des châtiments douloureux et particulièrement humiliants. Le Directeur marque un long silence pour que chacun prenne la mesure de ce qu’il vient de dire. Au début, la salle reste silencieuse et tout d’un coup, un brouhaha traverse la salle. Le Directeur reprend d’un ton très ferme : - Oui, humiliant. En effet, les châtiments corporels sont faits pour être à la fois douloureux et humiliants, s’attaquant à la pudeur de l’élève puni. Et pour la réalité du test, nous ne pourrons absolument rien épargner à Caroline. Nous allons pouvoir ainsi ajuster les châtiments, en fonction de ce qu’elle nous dira ressentir à chaque fois, tant sur le niveau de douleur ressenti, que sur le niveau de honte. Aussi, même si elle est volontaire pour subir tout cela devant vous, devant nous tous, je compte sur vous pour ne pas lui en reparler après cette journée. Caroline est horrifiée à chaque fois que le Directeur insiste sur le fait qu’elle est volontaire. Que doivent-il tous penser d’elle ? Ils pensent peut-être qu’elle aime être le centre de l’attention, qu’elle aime qu’on la regarde, que c’est une perverse qui aime être humiliée. Elle a envie de pleurer. Elle s’en veut terriblement de na pas avoir la force de caractère de répondre au Directeur, de dire à tout le monde que c’est faux, qu’elle n’est pas volontaire, que c’est le Directeur qui l’a forcé et de partir en courant. Mais elle ne peut pas. Elle se sent faible. Elle sait que ce qui va se passer va être terrible, et en même temps, le plus terrible pour elle c’est qu’elle sait qu’elle va docilement faire tout ce que le Directeur va lui demander de faire, parce qu’elle n’a pas le courage de se rebeller. Le Directeur continue : - D’ailleurs, pour être sûr que tout ce qui va se passer ici aujourd’hui reste ici, vous allez tous signer un contrat de confidentialité. Vous ne pourrez parler de cette journée à personne. Bien sûr, vous pourrez expliquer les changements du règlement intérieur, en revanche, vous ne pourrez pas dire que c’est Caroline qui était volontaire pour les tests. Ces contrats sont très importants, car comme ces punitions ont un but dissuasif, pour faire peur aux élèves, nous allons faire des photos de chaque punition. Chaque punition du règlement sera ainsi illustrée d’une photo explicite, ce qui donnera envie, je l’espère, à chaque élève de l’établissement de respecter scrupuleusement le règlement. Bien évidemment, les photos ne montreront pas le visage de Caroline, et il vous est interdit à tous, de divulguer à quiconque n’est pas dans cette salle aujourd’hui qu’il s’agit de Caroline sur les photos. Vous serez les seuls au courant. Le Directeur laisse un long silence, puis fait passer les contrats à chacun, rendant le moment bien solennel. Le Directeur désigne Daniel, le responsable du club photo comme photographe de la journée. - Daniel, je sais bien qu’il va être difficile de faire des photos sans le visage de Caroline. Ce que je vous propose, c’est de faire toutes les photos sans vous préoccuper de cela, et ensuite vous vous occuperez de faire des recadrages. N’hésitez pas à faire de très nombreuses photos, avec des angles et des zooms différents, avec le numérique cela ne coute rien, et ainsi nous pourrons choisir facilement les meilleurs clichés. Daniel ne dit rien, mais il est ravi de cette proposition. Il sait très bien qu’il va pouvoir discrètement garder les clichés d’origine, avec le visage de Caroline. Il ne pourra s’en vanter auprès de personne, car il est conscient d’avoir signer le fameux contrat de confidentialité, mais il les aura pour lui, et c’est déjà une idée qui lui plait beaucoup. Caroline est toujours plantée sur l’estrade, les yeux dans le vide. Elle a mille pensées qui lui traversent l’esprit et sent une énorme boule dans son ventre. Elle montre un grand calme à l’extérieur, mais bouillonne à l’intérieur. Le Directeur reprend la parole : - Bien, je vous explique comment nous allons procéder. En fait, pour chaque manquement au règlement intérieur, nous allons associer une punition niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Et avant cela, nous allons ensemble définir ce que sera la punition de niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Nous allons donc commencer par la punition niveau 1. Je vais vous faire une ou deux propositions à chaque fois, et nous voterons. Les votes seront anonymes, et réalisés sur vos tablettes. Vous allez à chaque fois pouvoir aussi ajouter des commentaires, ou répondre à mes questions pour que nous puissions tenir compte de l’avis de tous. Déjà, pour chaque punition, l’élève puni devra se présenter sur l’estrade devant sa classe, un peu comme aujourd’hui donc, même si aujourd’hui nous avons aussi la présence de tout le corps enseignant. Donc, l’élève devra se présenter sur l’estrade, les mains sur la tête, la tête droite et les jambes écartées. Le Directeur regarde Caroline fixement, et elle comprend qu’elle doit s’exécuter. Elle place alors ses mains sur la tête et écarte légèrement les jambes, elle se sent complétement sous la coupe du Directeur. Caroline est déjà mal à l’aise dans l’uniforme de l’établissement depuis le début de la semaine, là c’est pire que tout. Comme elle est très réservée, Caroline se sent à l’aise lorsqu’elle porte un jean ample et un gros pull, des vêtements qui ne montrent pas vraiment les formes de son corps. L’uniforme de l’établissement n’est pas du tout à son gout. En effet, elle porte une jupe qui arrive au-dessus des genoux, un chemisier blanc et un petit blaser. Le Directeur reprend : - Bien, pour la punition niveau 1, ce sera forcément assez soft. Sans prévenir, le Directeur saisit d’un coup Caroline par le bras et la retourne dos à la salle. Il appuie sur son dos, pour qu’elle se penche en avant dos à plat. Il donne des coups avec ses pieds sur l’intérieur de ses chevilles pour lui faire écarter les jambes en grand. Dans cette posture Caroline a les fesses bien en arrière, bien en évidence. Caroline se sent terriblement gênée. Elle sent bien que sa jupe remonte sur ses cuisses, et elle se demande jusqu’où. En plus, elle sent bien que dans cette posture sa jupe moule complétement ses fesses que tous les yeux de la salle doivent fixées. Sans prévenir, le Directeur abat violement sa main sur la fesse droite de Caroline et la claque. Il donne 5 claques assez fortes du plat de la main. Lorsqu’il a fini, il se tourne vers la salle en laissant Caroline dans cette posture. - Voilà ce que nous pouvons faire de plus soft pour le niveau 1. Maintenant, je voudrais vous proposer une variante. Nous pourrions en effet aller plus loin et relever la jupe de Caroline dès le niveau 1. Caroline n’ose pas y croire. Déjà, elle n’imagine pas la honte qu’elle va ressentir lorsque le Directeur va lever sa jupe, car il apparait maintenant évidement qu’elle n’y coupera pas et que tous les élèves et les professeurs de la salle vont voir sa culotte. Mais surtout, son cerveau tourne à mille à l’heure sans parvenir à comprendre, si elle montre sa culotte pour la punition niveau 1, il va se passer quoi ensuite ? Et que va être le niveau 5 ? Elle n’avait jamais envisagé qu’elle devrait montrer ses fesses nues, mais comment en serait-il autrement ? Et elle n’y croit toujours pas, elle ne veut pas y croire. Caroline est dans ses pensées lorsqu’elle sent les mains du Directeur attraper le pan de sa jupe et la soulever très lentement. Il s’est mis sur le côté pour que toute la salle profite du spectacle. Lentement, le Directeur remonte sa jupe et toute la salle découvre les fesses de Caroline moulées dans une culotte blanche très sobre. Le Directeur fait alors le tour de Caroline pour se mettre de l’autre côté et lui donne à nouveau 5 fortes claques du plat de la main, sur l’autre fesse. Il demande alors à la salle de voter pour la première ou la deuxième version, tout en laissant Caroline dans cette posture, la jupe relevée. - Attention, précise-t-il, je vous rappelle que nous sommes au niveau 1, il ne faudrait pas commencer trop haut, et en même temps il faut vous demander si de simples claques par-dessus la jupe constitue réellement une punition. Quand tout le monde a voté, il demande à Caroline de se placer face à la salle, les mains sur la tête et les jambes écartées. - Caroline, je sais qu’il va commencer à être difficile de regarder vos camarades, sachant qu’ils ont tous vu votre culotte et que vous aviez vos fesses bien en évidence tournées vers eux. Bien évidemment, c’est humiliant pour vous. Mais cela fait partie du test. Caroline, vous allez maintenant nous dire si vous avez ressenti de la douleur et de l’humiliation. Et à chaque fois que nous monterons de niveau vous allez pouvoir nous dire si le niveau de douleur et d’humiliation augmente. Caroline ne répond rien. Le Directeur insiste : - Alors Caroline, avez-vous ressenti de la douleur et de l’humiliation ? Elle finit par dire, très timidement : - Oui, les deux. - Les deux quoi ? - Heu, j’ai ressenti de la douleur et de la honte. - Parfait. Qu’est-ce qui vous a fait ressentir de la honte exactement ? - Heu … le fait d’avoir montré ma culotte, mais aussi la … position. - Très bien, et avez-vous senti que les claques sur la culotte faisaient plus mal que celles sur la jupe, du fait que moins de vêtement vous protégeaient ? - Heu, pas vraiment. C’est surtout que j’avais vraiment honte que ma jupe soit … relevée. - Hummm … Je comprends, donc, entre les deux la douleur est à peu près équivalente, mais le niveau d’humiliation est plus important, c’est noté. Bien, concernant les votes, je suis bien embêté, nous avons quasiment moitié-moitié dans les votes, ce n’est pas très tranchant. Quelqu’un aurait une suggestion ? Le professeur d’Allemand prend alors la parole : - Nous pourrions envisager quelque chose d’un peu intermédiaire entre les deux. Si Caroline se retourne dos à la salle, les jambes écartées comme elle était, mais qu’elle se penche beaucoup plus, jusqu’à mettre ses mains sur ses chevilles, cela fera remonter sa jupe et laissera un peu voir sa culotte mais pas complétement. - Cela me semble une bonne suggestion, répond le Directeur. Essayons. Le Directeur lance à Caroline son regard qui lui dit de s’exécuter. Caroline continue à faire tout ce que lui dit le Directeur, sans se révolter, alors que dans sa tête elle hurle que tout cela n’est pas juste, qu’elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle se tourne donc, se penche, attrape se chevilles, et en effet, sa jupe remonte tellement que l’on voit le bas de sa culotte. En fait, cette posture est tellement suggestive qu’elle est encore plus excitante pour tous les garçons de la salle. - Bon, reprend le Directeur, je ne vais pas à nouveau claque les fesses de Caroline, la douleur sera la même que tout à l’heure et comme il y aura d’autres claques, nous allons préserver un peu le fessier de notre volontaire. Le Directeur lance alors un nouveau vote, puis s’ensuit une discussion d’environ 10 minutes pour finaliser le choix de la punition niveau 1. Et durant ces 10 minutes, le Directeur laisse Caroline dans la posture dos à la salle et mains sur les chevilles. Caroline veut se manifester, dire qu’elle peut peut-être se relever, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle se sent tellement gourde d’obéir comme ça. Et elle continue d’être terrifiée à l’idée que tous les garçons de la salle pense qu’elle a demandé à être là, qu’ils pensent qu’elle montre sa culotte de son plein gré. Cette position est vraiment très humiliante pour Caroline. Elle commence à avoir envie de pleurer, et elle se dit qu’elle ne tiendra pas la journée. Le Directeur annonce alors que le test de la punition niveau 2 va démarrer. Et ajoute : - Caroline, comme vous nous avez dit qu’il n’y a pas de différence au niveau douleur entre les claques sur la jupe et sur la culotte, pour le niveau 2, si nous voulons passer un cran dans la douleur, il va falloir que je claque vos fesses nues. Un murmure d’excitation parcoure la salle. Les garçons comprennent que cette fois, ils vont voir les fesses de Caroline totalement déculottée. Ils n’osent pas y croire. Et plus la journée avance plus ils se disent qu’ils vont franchement passer un bon moment. Non seulement ils vont voir les fesses de Caroline, mais en plus ils vont pouvoir faire des commentaires, peut-être même proposer de tester les positions les plus humiliantes. Certains commencent déjà à imaginer les punitions de niveau 4 et 5. Le Directeur demande le silence, puis d’une voix forte demande à Caroline de retirer sa jupe. Tout le monde redevient attentif et fixe son regard sur Caroline, debout sur l’estrade. Caroline ne bouge pas tout de suite, ses mains tremblent. Le regard insistant du Directeur la pousse à se mettre en mouvement. Elle dégrafe les deux boutons sur le côté de sa jupe, puis la laisse glisser à ses pieds. Elle place alors ses mains devant sa culotte, terriblement gênée. - Caroline, mettez-vous en position de punie. Caroline s’exécute et place alors lentement ses mains sur sa tête. Le Directeur ne la laisse pas longtemps dans cette position. Il la retourne rapidement dos à la salle et appuie sur son dos pour qu’elle se penche à l’horizontale. - Bien alors maintenant, je vous propose 3 différentes options pour le déculottage de Caroline. La première option, c’est Caroline qui se déculotte elle-même. Allez Caroline, baissez votre culotte et montrez à tous vos fesses nues. Entendre les mots fesses nues tétanise Caroline. Elle a l’impression d’être deux personnes différentes. Une personne qui veut résister et qui hurle dans sa tête, et une autre qui contrôle le mouvement de ses mains et qui les obligent à faire des choses qu’elle ne veut pas faire. Ainsi, ses mains se dirigent lentement vers sa culotte, ses doigts glissent dans l’élastique de son sous-vêtement, tout doucement elle découvre ses fesses en baissant sa culotte. Elle place le sous vêtement juste sous ses fesses. Sans attendre, le Directeur arrive sur le côté et lui claque violement les fesses du plat de la main à 5 reprises. Laissant Caroline les fesses à l’air, le Directeur explique : - Voilà pour la première version. Maintenant, il peut y avoir des variantes. Déjà, en tant que Directeur, je peux aussi baisser moi-même la culotte de Caroline. Evidemment, si un professeur punit un élève, le professeur pourra faire de même. Alors Caroline, remontez-donc cette culotte pour que je la baisse à nouveau. Vous pourrez ensuite nous dire ce qui est le plus humiliant pour l’élève puni. Caroline s’exécute et remonte sa culotte. Ensuite, le Directeur s’approche, et place ses doigts dans l’élastique de la culotte de Caroline. Puis, il explique : - La grosse différence ici, c’est que l’élève puni ne maitrise pas le timing. En effet, Caroline ne sait pas du tout à quel moment ses fesses seront offertes à tous. Le Directeur a toujours les doigts glissés dans le sous vêtement. Caroline sent la peau de ses doigts contre la peau de ses fesses. Cette sensation est terriblement gênante. Et elle comprend vraiment ce que dit le Directeur, son cœur bat à tout rompre. Elle sait que sa culotte va être baissée, elle est partagée entre l’idée qu’elle ne veut pas que ce moment arrive et en même temps elle voudrait que ce soit fini vite. Ce moment où elle sait que cela va venir et que ça ne vient pas est terriblement stressant. Le Directeur le sait, et il continue à parler durant presque 10 minutes. Il explique le principe des punitions, insiste à nouveau sur le fait que Caroline est volontaire pour ces tests, puis ajoute que le courage de Caroline est exemplaire car tout ceci n’est que le début de son humiliation et qu’un niveau sera franchi à chaque punition. Et d’un coup, au milieu d’une phrase il baisse brutalement la culotte. Caroline ne peut pas s’empêcher de lancer un cri de surprise et de honte. Comme l’avait fait Caroline, il place sa culotte roulée juste en bas de ses fesses. - Bon, comme tout à l’heure, je ne vais pas re-claquer les fesses de votre camarade, elle a déjà subi cela. Et comme vous pouvez voir, les marques rouges sont encore là. En revanche, je voulais aussi vous proposer une troisième option. Si ce n’est ni Caroline, ni moi, qui baissions sa culotte, cela pourrait être quelqu’un d’autre. J’ai pensé à un camarade de classe, c’est très humiliant bien sûr, pour un élève d’être déculotté par un autre élève, qui plus est si pour une fille, nous faisons appel à un garçon. Tous les garçons de la salle s’imaginent en train de déculotter Caroline, et un frisson d’excitation envahi la salle. Le Directeur reprend : - Dans la réalité, il s’agira d’un camarade de classe, puisque les punitions se passent devant la classe. C’est pourquoi, j’ai pensé au binôme de Caroline, Julien, qui est également délégué de sa classe. Julien n’en croit pas ses oreilles, son excitation est à son comble. Caroline quant à elle ne veut pas y croire, cela ne pouvait pas être pire. Elle sait pertinemment, que quelque soit ce qu’il y a d’écrit dans le contrat, Julien lui fera durant toute l’année des réflexions sur cet épisode lorsqu’ils seront tous les deux, et elle sait aussi qu’elle n’aura pas le courage de s’en plaindre. Le Directeur enchaine : - Caroline, remonter votre culotte et replacez-vous en position de punie face à la salle. Une fois votre jupe retirer, la punition de niveau 1 pourrait donc consister à demander à l’un de vos camarades de vous mettre en position et en tenue pour recevoir votre fessée. Julien, venez donc nous rejoindre. Julien ne se fait pas prier, et monte rapidement sur l’estrade. Le Directeur reprend : - Caroline, vous allez maintenant demander à votre camarade d’avoir la gentillesse de vous préparer pour la punition. Caroline n’arrive pas à prononcer un son. Sans prévenir, le Directeur passe dans le dos de Caroline et lui claque les fesses violement. - Allez mademoiselle !! On vous écoute ! Caroline, complétement matée dis d’une toute petite voix : - Heu … Julien, veux-tu me préparer pour la punition. - Plus fort ! Demande le Directeur. Caroline reprend la même phrase, plus forte. Le Directeur intervient : - Caroline, dites à votre camarade en quoi consiste exactement cette préparation. Après plusieurs essais, Caroline finit par dire : - Julien, j’aimerais que tu me baisse ma culotte pour que je reçoive une fessée sur mes fesses nues devant tout le monde, et que tu me places en position, les fesses nues bien tournées vers la salle. C’est un vrai supplice pour Caroline. Julien, lui, n’en perd pas une miette. Le moment tant attendu pour lui arrive enfin, le Directeur lui dit qu’il peut donc déculotter sa camarade. Julien pratique comme le Directeur, en tournant Caroline dos à la salle, et en appliquant sa main dans son dos pour qu’elle se penche à l’horizontal. Il se met ensuite bien sur le côté pour que toute la salle en profite puis glisse ses doigts dans l’élastique de la culotte et la baisse. Il fait glisser le vêtement jusqu’au milieu des cuisses, mais le Directeur le reprend très vite et lui demande de remonter la culotte juste sous ses fesses. Julien est déçu, mais au moins lui a pu bien profiter du spectacle de l’entre-jambe Caroline si offerte dans cette position, car en effet, avec les jambes écartées, sa vulve est très visible, et Julien n’était qu’à quelques centimètres de l’intimité de Caroline. Une fois la culotte placée juste sous les fesses, la position est bien plus pudique, même si bien sûr tout le monde voit à nouveau les fesses de Caroline, encore rouge des claques données par le Directeur tout à l’heure. Le Directeur fait redescendre Julien, qui est bien déçu de ne pas rester, puis s’ensuit le protocole du vote. Encore une fois, durant les 15 minutes de vote et de débat, le Directeur laisse Caroline dos à la salle, les fesses bien en évidence, et cette fois-ci même, les fesses nues. Le Directeur finit par demander à Caroline de remettre sa culotte de de se tourner, en position de punie face à la salle. - Alors Caroline, demande le Directeur, la douleur et l’humiliation sont elles plus fortes que pour la punition de niveau 1 ? - Heu … oui en effet. - C’est-à-dire ? Caroline répond comme un robot, elle n’est plus du tout maitre de ce qu’elle fait ou de ce qu’elle dit. Elle ne présente aucune once de rébellion. - Et bien, les claques sur la peau nues sont plus douloureuses. Pour l’humiliation, je me suis sentie terriblement honteuse de monter mes fesses à tout le monde. - Et qu’est ce qui est le plus humiliant ? Lorsque c’est vous, moi ou Julien qui a baissé votre culotte ? - C’était très difficile lorsque c’était vous, car je ne savais pas quand ça allait arriver et j’ai été surprise. Avec Julien, le plus humiliant a été de lui demander, avec précision, de me déculotter. Et puis aussi, de savoir que c’est un garçon que je vais voir tous les jours, parce qu’à chaque fois que je vais le voir en classe, je ne pourrais pas m’empêcher de repenser à ce moment. Le Directeur est plus que satisfait de ses réponses. Caroline reste en position de punie, les mains sur la tête, face à la salle, les jambes écartées durant tous les échanges. Elle n’a pas récupéré sa jupe et elle est toujours en culotte. Il est voté que le niveau 2 serait une fessée déculottée, et que le déculottage serait demandé à un camarade de classe. Il est bien précisé que la punie devrait demander à son camarade de la déculotter. Caroline s’en veux d’avoir dit que c’était le plus humiliant, car elle se dit que sinon cela n’aurait peut-être pas été retenue. En plus, elle se dit que maintenant, le Directeur va peut-être redemander à Julien de participer aux autres niveaux et cela l’angoisse. Le Directeur annonce d’une voix ferme : - Bien, passons au niveau 3. Caroline a un violent pincement au cœur. Encore 3 niveaux de plus, elle se dit qu’elle ne pourra vraiment pas le supporter. Que va-t-il se passer ? Elle va surement devoir retirer sa culotte, elle le sait, mais ce qu’elle redoute le plus maintenant c’est de se retrouver face à la salle sans culotte. Monter son sexe à tout le monde serait tellement humiliant, elle ne peut pas l’envisager. Le Directeur reprend : - Pour la punition de niveau 3, je vais vous faire une proposition, et nous échangerons ensuite sur les possibilités de variantes. Sans se retourner vers Caroline, il poursuit : - Caroline, veuillez aller chercher votre camarade julien dans la salle. Ce que Caroline redoutait se produit donc, Julien va dons à nouveau participer à sa punition. Comme un robot, elle descend de l’estrade et traverse la grande salle, Julien étant installé au fond. Chacun peut alors profiter le voir Caroline de plus près, sans sa jupe. Caroline arrive devant Julien et lui demande distinctement de bien vouloir la rejoindre sur l’estrade pour la préparer pour sa punition, et Julien la suit. De retour sur l’estrade, Caroline se place en position face à la salle. Le Directeur reprend : - Caroline, vous allez demander à Julien de vous retirer votre veste et votre chemisier, pour que vous soyez en culotte et en soutien-gorge devant tout le monde. Caroline ne s’attendait pas du tout à cela. Elle pensait que Julien allait lui retirer sa culotte. A aucun moment elle n’a envisagé de perdre d’autres vêtements. Une terrible honte l’envahie. Serait-il possible que le Directeur finisse par la mettre totalement nue devant tout le monde ? Non, elle ne veut pas y penser, pourtant elle ne peut pas s’en empêcher. - Caroline on vous attend, insiste le Directeur. Caroline s’exécute, des sanglots dans la voix : - Julien, j’aimerais que tu me retires ma veste et mon chemisier pour que je me retrouve en soutien-gorge et en culotte devant tout le monde, pour ma punition. Julien est aux anges. Il prend un plaisir fou à déshabiller très lentement Caroline. Après lui avoir retirer sa veste, il se place devant elle pour déboutonner son chemisier, lentement, bouton après bouton. Au début Caroline est plutôt contente que Julien se place devant elle, comme ça il fait un peu rempart, la salle ne peut pas la voir et elle ne les voit plus non plus. Mais son répit ne dure pas, car à la place elle sent le souffle chaud de Julien qu’elle sent haletant d’excitation. En plus il la regarde bien dans les yeux et arbore un sourire de satisfaction qui la dégoute complétement. Après avoir dégrafé tous les bouton, Julien passe derrière Caroline. Il est plutôt à l’aise et veut montrer au Directeur qu’il a bien compris qu’il devait mettre Caroline mal à l’aise. Il espère ainsi qu’il pourra continuer à être actif pour les autres niveaux. Une fois derrière Caroline, il l’entoure de ses mains et attrape les deux pans de son chemisier, qui pour le moment la couvre bien. Il reste ainsi quelques secondes, sentant la respiration de Caroline s’accélérer. Julien sait que cette attente est un supplice pour Caroline. Et puis, sans prévenir, il ouvre violement les 2 pans du chemisier, offrant à toute la salle la poitrine de Caroline moulée dans un délicieux soutien-gorge blanc. Il entreprend alors de faire glisser le vêtement sur ses bras et de le retire complétement. Il replace les mains de Caroline sur sa tête, et se place de côté pour profiter à son tour de ce magnifique spectacle. Comment aurait-il pu imaginer ce matin qu’il allait déshabiller une élève pour qu’elle se retrouve en sous-vêtement devant une soixantaine d’élèves, des professeurs et tout le personnel de l’école, debout, les mains sur la tête ? Il sent que son jean cache difficile sa terrible érection, mais comment pourrait-il en être autrement ? Le Directeur félicite Julien pour ce déshabillage et se lance dans un petit discours sur l’importance du positionnement de l’élève qui déshabille. Il y a quelques échanges avec des professeurs qui racontent différentes situations qu’ils ont rencontrés lors d’autres punitions, et tous ses échanges durent de longues minutes, laissant Caroline en sous-vêtement à la vue de tous. Puis le Directeur intervient : - Bien, continuons. Caroline retourner-vous pour votre fessée. Caroline se retourne et d’elle-même se penche en avant, le dos à l’horizontal. Elle garde les jambes serrées, et pense qu’elle ne va pas échapper à nouveau au fait de montrer ses fesses. Le Directeur va chercher une chaise et la place devant Caroline, puis il ajoute : - Caroline, posez-donc vos mains sur l’assise de cette chaise. Les claques vont bien sûr être plus fortes que tout à l’heure, puisque la douleur doit monter d’un niveau, et il est important que vous restiez stable. Je vous demande donc de bien tenir l’assise de cette chaise avec vos mains. Sans prévenir, il passe alors derrière Caroline et lui baisse complétement sa culotte. Il lui donne une petite tape sur chaque cheville pour qu’elle lève le pied et lui retire complétement le vêtement. Il tend alors la culotte à Julien en disant : - Veuillez poser ce vêtement avec les autres. Caroline est horrifiée à l’idée que Julien tienne sa culotte entre ses mains. Le Directeur reprend : - Allez Caroline, mettez-vous en position. Vous ne serez jamais assez stable comme ça, vous devez écarter les jambes. Caroline s’exécute. - Plus que ça, allez. Caroline finit par écarter les jambes de presque 1 m. Dans cette position, toute la salle a une vue imprenable sur son intimité. Julien, qui est toujours sur l’estrade, n’en crois pas ses yeux. Tout à l’heure il a entraperçu cette intimité. Là, il voit très clairement sa vulve et les lèvres qui s’écartent. Caroline a une toison plutôt fine, et Julien distingue très clairement la chaire rose à l’intérieur de ses lèvres. Il est si près qu’il pourrait y glisser ses doigts juste en tendant la main. La bosse dans son jean, présente depuis presque qu’une heure devient presque douloureuse. Il aimerait pouvoir faire « pause », que le temps s’arrête et sortir son sexe dure pour se caresser et se soulager. Il voudrait tellement pouvoir jouir en regardant le sexe de sa camarade si offert. Les claques que le Directeur abat sur les fesses de Caroline le sortent de sa rêverie. La violence des coups est nettement plus forte que tout à l’heure et Caroline ne peut retenir des cris. Après 5 coups très forts, le Directeur demande à Julien de retourner à sa place, puis ajoute : - Bien, cette fois, il n’y a pas de vote car je ne vous ai proposé qu’une variante. A vous de faire des commentaires et des propositions, si vous avez des idées pour optimiser cette punition. Comme à chaque fois, le Directeur laisse Caroline dans la position de sa punition, position de plus en plus impudique. Après 15 minutes, il demande à Caroline de se relever et de se placer face à la salle. Caroline redoutait se moment. Bien sûr, les fesses exposées ainsi, elle était déjà très honteuse. Mais là, il va falloir à nouveau regarder tout le monde, et surtout si elle met les mains sur la tête, elle va devoir montrer son sexe. Elle n’est plus vêtue que de son soutien-gorge, et elle se sent si honteuse. Pourtant, comme depuis le début, elle obéit, docile. Elle se retourne, pose les mains sur sa tête, écarte les jambes et regarde bien droit devant elle, mais elle ne peut retenir des larmes. Le Directeur ne lui laisse pas le temps de souffler qu’il lui pose tout de suite des questions : - Bien Caroline, nous avons besoin de savoir comment vous évaluez le niveau de douleur et d’humiliation de cette punition. - Heu .. et bien, les claques étaient bien plus douloureuses. En fait, j’ai encore mal. Pour l’humiliation, c’est toujours très difficile de demander à un camarade de me déshabiller. Et puis, là, être presque nue devant tout le monde c’est vraiment terrible. Caroline a des larmes qui coulent sur ses joues lorsqu’elle parle. Le Directeur reprend : - Je comprends. Merci Caroline. J’incite à nouveau pour vous remercier. Vous saviez, en vous portant volontaire que ce serait une épreuve. Vous vous doutiez que vous seriez durement humiliée, j’imagine que vous saviez que vous seriez mise nue devant tout le monde, devant des camarades avec qui vous allez passer toute l’année, devant les professeurs qui vont vous faire cours, et pourtant vous n’avez pas hésité. Vous le savez tous, la discipline doit être exemplaire dans notre établissement. Aussi, le fait de mettre en place un système de punition dissuasif est essentiel. Si le système est suffisamment dissuasif, personne ne dérogera aux règles et Caroline sera peut-être la seule à subir tous ces châtiments. Alors encore une fois je remercie le courage de Caroline. Je vois à travers les larmes de votre camarade, que maintenant que nous y sommes, vous regrettez peut-être. C’est normal. Mais je sais que votre détermination était forte, et je ne vous laisserai pas abandonner. Vous subirez les punitions jusqu’au niveau 5, et s’il faut, je vous bousculerai, comme j’ai fait tout à l’heure pour que vous fassiez ce que l’on vous demande. Il est très important que vous nous décriviez précisément ce que vous ressentez, à chaque étape. Alors Caroline, vous disiez que demander à votre camarade de vous déshabiller est humiliant, et que vous présenter face à vos camarades uniquement vêtue d’un soutien-gorge est humiliant. Qu’en est-t-il de la fessée, sur vos fesses nue ? - Et bien oui, répond Caroline, bien sûr, c’est humiliant. Mais il est vrai que la douleur prend le dessus et surtout, tout à l’heure j’avais déjà les fesses nues, il n’y avait pas vraiment de changement. Un brouhaha se fait dans la salle, Caroline ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Encore une fois, elle s’en veut de répondre si précisément et honnêtement aux questions du Directeur, mais elle ne contrôle pas ses réponses. Elle a l’impression que le Directeur l’hypnotise et la fait parler sans qu’elle ne puisse choisir de ne pas le faire. Le Directeur reprend : - Si je comprends bien, Caroline, vous avec ressenti la même honte avec la culotte baissée juste dessous vos fesses et la culotte complétement retirée ? Caroline répond doucement : - Heu … oui, en quelque sorte. Ce qui est honteux c’est de montrer ses fesses. Le Directeur semble pensif. Puis se dirige vers Daniel, qui depuis le début prend des photos de la séance. Personne ne comprend ce qui se passe, mais le Directeur et Daniel s’affaire autour de l’appareil photos et de l’ordinateur du Directeur, puis le vidéoprojecteur s’allume et une photo de Caroline, les fesses à l’air, les jambes écartées, son entrejambe totalement visible apparait sur l’écran géant qui recouvre le mur derrière Caroline. Face à la salle, elle ne voit rien, et entend des murmures, des rire, et voit des sourires sur les visages de ses camarades. Le Directeur intervient : - Caroline, retournez-vous. Caroline se retourne et découvre la photo. Elle pousse un cri de terreur et porte sa main à sa bouche. Elle est si pudique, qu’elle n’a jamais imaginé ce qu’elle pouvait montrer dans cette position. En plus, tout à l’heure la douleur était si forte qu’elle ne pensait pas du tout à sa pudeur. Elle découvre avec horreur tout ce que ces camarades ont vu. Elle se sent bien ridicule d’avoir honte d’être vue debout de face, alors que tout le monde a eu une vue tellement plus intime il y a à peine quelques minutes. La photo semble zoomée de très près et l’écran et si grand que tout le monde peut voir tous les détails. Ses poils, ses lèvres … Son sexe est totalement offert à tous. Au comble de la honte, elle voit que tout le monde peut aussi voir son anus. Elle réalise que c’est la première quelle voit son propre anus et elle trouve cela particulièrement gênant. Caroline est totalement sous le choc. Le Directeur laisse Caroline devant sa photo un long moment, laissant à toute la salle le plaisir de revoir l’entrejambe de Caroline si bien offerte, puis intervient : - Bien. J’imagine Caroline que vous voyez maintenant la différence entre une fessée culotte baissée et une fessée sans culotte. Nous allons pouvoir reprendre, et finalisé la punition niveau 3. Des échanges ont lieu durant près d’une demi-heure, le Directeur lisant tous les commentaires que chacun a pu faire sur sa tablette. Certain commentaire n’apporte rien, mais le Directeur prend un malin plaisir à les lire quand même, et même à les commenter : - Quelqu’un a écrit « C’est tellement excitant de voir Caroline les fesses nues, les jambes écartées et la chatte à l’air, que je vais me branler tous les soir en y pensant ». Alors non, je vous demande d’éviter ce genre de commentaires. Déjà, cela ne nous aide pas à avancer. En plus, je vous ai demandé explicitement d’être respectueux avec votre camarade. Vous pensez vraiment que c’est respectueux de rajouter à la honte de Caroline en lui disant que tous les garçons de cette salle vont garder des souvenirs, des images en tête, et qu’ils vont penser à elle pour assouvir leurs plus vils instincts. Au final, après un débat animé, il est décidé que pour chaque punition, la séance sera filmée et diffusée en directement sur l’écran de la classe, pour que l’élève puni se rende bien compte de ce qu’il montre, et ajouter à sa honte. Il est question un moment de mettre des photos, mais c’est techniquement trop compliqué, l’avantage du film, c’est le côté « en direct ». Daniel est donc chargé de prendre tout en film à partir de maintenant, et de le diffuser sur l’écran derrière. Sophie, qui est aussi au club photo, va quand à elle prendre le relai de Daniel pour les photos. Par ailleurs, comme tout le monde a pu voir qu’il était humiliant pour Caroline de décrire son ressenti après chaque punition, il est décidé qu’à partir du niveau 3, il sera demandé à l’élève puni de décrire précisément la honte qu’il a ressenti. La photo est toujours affichée en gros plan, Caroline a envie de vomir, mais elle sait que son épreuve n’est pas terminée. Le Directeur fait taire tout le monde et reprend : - Bien, nous en sommes déjà au niveau 4. Bien évidemment, pour ce niveau, Caroline ne va pas garder son soutien-gorge, elle sera mise totalement nue. Le déshabillage fait partie intégrante de la punition. On peut demander à la punie de le faire elle-même, ou, comme vous avez pu le voir de demander à un camarade de le faire, ou encore de laisser faire le professeur qui punit. Caroline, allez vous rhabiller. Caroline n’en croit pas ses oreilles. Tout serait-il fini ? La Directrice veut-il finir de discuter les derniers niveaux juste en échangeant ? Tout à ses réflexions elle va vers ses vêtements de se rhabille. Cette petite jupe et ce chemisier qu’elle trouvait si indécent en début de semaine lui font l’effet d’une énorme couverture la protégeant des regards. Elle reste sur l’estrade, ne sachant pas trop si elle peut retourner à sa place, mais se dit qu’enfin, son calvaire est terminé. Elle est complétement dans sa bulle et n’écoute pas su tous les échanges qui ont lieu. La voix du Directeur finit par la sortir de sa torpeur : - Caroline, nous en sommes donc au niveau 4. Venez vous remettre en position de punie. Je vous ai demandé de vous rhabiller, car pour ce niveau, nous avons voté pour un déshabillage particulier, et il fallait donc que vous remettiez vos vêtements pour que nous puissions tester le déshabillage. Caroline est dépitée. Tous ses espoirs s’évanouissent. Elle va donc tout subir, jusqu’au niveau 5. Le Directeur reprend : - Avez-vous entendu ce que l’on attend de vous pour ce déshabillage ? - Heu … non, je suis désolée, j’étais concentrée sur le fait de remettre mes vêtements, répond doucement Caroline. Le Directeur reprend : - Bien, alors, je vous explique. Vous allez choisir 5 camarades et chacun d’entre eux va vous retirer un vêtement. C’est vous qui devez choisir qui va venir et quel vêtement il va retirer. Ce qui a été décidé, c’est que comme vous êtes une fille, vous devez choisir 5 garçons. Caroline en a mal au ventre. Elle a l’impression que se retrouver nue va être encore plus difficile maintenant qu’elle a pu remettre ses vêtements. Elle se sent encore plus honteuse que tout à l’heure. Comme si savoir ce qui allait se passait augmentait encore plus sa honte. En plus choisir elle-même qui va venir la terrifie. Que vont penser les garçons qu’elle va choisir ? Qu’elle les préfèrent aux autres ? Qu’elle a envie qu’ils la voient de près ? En plus elle n’est plus vraiment sûr de tous les prénoms. Au comble de la honte, Caroline doit appeler chaque élève, puis lui demander distinctement « Karim, je voudrais que tu me retire ma veste pour ma punition », « Olivier, je voudrais que tu enlèves mon chemisier pour ma punition, et que tu me mette en soutien-gorge », « Maxime, je t’ai choisi, pour que tu m’enlèves ma jupe et que tu me mettes en sous-vêtement devant tout le monde » … Ainsi, Caroline se retrouve à nouveau en sous-vêtement devant toute la salle. Le moment redouté arrive, elle va devoir demander à un garçon de lui retirer son soutien-gorge. Elle a déjà été beaucoup humiliée, mais montrer ses seins lui parait être une nouvelle étape bien difficile. Elle ne sait pas qui choisir. Elle finit par se décider à appeler un camarade, mais elle se mélange dans les prénoms : - Laurent, je voudrais … Le Directeur l’interrompt brutalement. - Laurent ? Vous appelez Laurent ? - Heu … Oui, bredouille Caroline. Le Directeur reprend : - Alors mademoiselle, il n’y a qu’un seul Laurent dans cette salle, et c’est Monsieur Giron, votre professeur de mathématiques. Caroline est rouge de honte. Elle veut intervenir pour dire qu’elle s’est trompée de prénom, mais le Directeur ne la laisse pas parler : - Alors sachez qu’il vous est interdit d’appeler vos professeures par leur prénom, bien évidement. Maintenant si vous tenez absolument à ce que ce soit Monsieur Giron qui vous mette nue, je n’y vois pas d’inconvénient. C’est un choix surprenant, d’autant que vous avez choisi l’option mathématiques est que vous aurez cours avec ce professeur presque 8h par semaine, mais si c’est votre choix. Je vous demande juste de reformuler en appelant Monsieur Giron, et non Laurent bien évidement. Caroline cherche ses mots pour s’expliquer, mais elle ne trouve pas. Docile comme toujours, elle finit par s’entendre dire : - Monsieur Giron, s’il vous plait, je voudrais que vous me retirer mon soutien-gorge, pour me préparer à ma punition et ainsi me laisser les seins nus, devant tout le monde. Le professeur de mathématiques est un jeune professeur plutôt bel homme. Il monte rapidement sur l’estrade. Il tourne Caroline dos à la salle, puis passe ses mains dans son dos et dégrafe le sous-vêtement. Il fait glisser très délicatement les bretelles du vêtement sur ses épaules. Il est très près de Caroline. Caché par la jeune fille, la salle ne voit pas le visage du professeur. Il en profite pour regarder Caroline droit dans les yeux et lui murmure « je suis ravie que vous m’ayez choisi mademoiselle ». En faisant glisser le vêtement et découvrant la poitrine généreuse de Caroline il ajoute « C’est un délice de vous mettre nue et d’être si près » ; Il prononce cette phrase en regardant avec insistance les seins de Caroline. Caroline sent ses joues devenir cramoisies. Elle ne sait plus où se mettre. Son professeur de mathématiques va-t-il vraiment croire toute l’année qu’elle a voulu que ce soit lui qui la mette nue ? Et que vont penser les autres élèves en sachant qu’elle a choisi son professeur ? Ses joues la brulent. Son professeur ajoute alors « je suis aussi ravie de voir que tout cela vous fait de l’effet ». Et puis sans prévenir, il la retourne vivement, offrant sa poitrine à la vue de tous. Le Directeur intervient : - Caroline, vous avez insisté pour que votre propre professeur vous déshabille, alors allons jusqu’au bout, demandez lui la suite. Caroline pleure à nouveau, mais s’exécute : - Monsieur Giron, j’aimerai que vous me retiriez ma culotte, pour me mettre entièrement nue devant tout le monde. Monsieur Giron se met alors à genou devant Caroline qui reste debout. Puis il glisse ses doigts dans l’élastique de sa culotte et fais glisser le tissu tout doucement. Ce déshabillage est très érotique. Caroline sent le visage de son professeur pile à la hauteur de son sexe nu. Elle se sent terriblement gênée. Par ailleurs, elle sent une drôle de chaleur au niveau de son entrejambe. Elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe, mais il y a une certaine forme d’excitation qui s’ajoute à son gène. Monsieur Giron retire complétement la culotte de Caroline qui est priée de se placer dans la position de punie les mains sur la tête, les jambes écartées, le corps bien droit et le regard bien haut. Tout le monde regarde ses deux gros seins qui montent et qui descendent au rythme de sa respiration saccadée. Le Directeur reprend : - Nous allons tester 3 positions différentes pour cette punition niveau 4. La fessée ne sera donnée qu’une seule fois, car nous allons utiliser la badine, pour augmenter la douleur. Pour la première position, nous allons profiter que Monsieur Giron est là, Caroline sera fessée sur vos genoux. Le Directeur porte une chaise au milieu de l’estrade et demande à Monsieur Giron de s’y assoir. Puis, il attrape Caroline par le bras et la couche sur les genoux du professeur. Puis il reprend : - Dans cette position, sur les genoux de son fesseur, il y aura 3 séries de 10 claques. Comme je le disais, nous n’allons pas utiliser la badine à chaque fois, vos fesses ne supporteraient pas. Pour que le test soit tout de même réaliste, Monsieur Giron va vous fesser avec ses mains. Caroline se demande si elle n’aurait pas préféré la badine. Sentir les mains de ce jeune professeur sur la peau nue, après ce qu’il lui a dit, après son regard insistant, elle se sent si honteuse. Le Directeur commence par placer la chaise pour que Caroline soit de profil à la salle. Personne ne voit ses fesses, mais à chaque claque, tout le monde peut voir ses seins balloter dans le vide. Après 10 claques, le Directeur tourne la chaise, cette fois Caroline est face à la salle et le professeur de profil. Il soulève largement son buste pour bien monter sa poitrine et là encore tout le monde profite de cette grosse poitrine qui se tortille à chaque claque. Enfin, ce sont les fesses de Caroline qui sont tournées vers la salle. Et dans cette position, Caroline peut voir la scène sur le grand écran. Daniel ne se gêne pas pour faire des zooms et ses fesses apparaissent en très gros plans à la vue de tous. Le professeur fait bien attention à ce que Caroline tienne bien sa tête et lui demande de ne pas baisser les yeux, lui expliquant que regarder cet écran fait partie de la punition. Disant cela il attrape une des cuisses de Caroline pour écarter ses jambes et faire profiter à tous de la vue de son intimité. Avant de reprendre les claques, il laisse tout le monde profiter de cette vue. Se tournant vers l’écran, il se rend compte qu’avec ce zoom, il est même possible de voir que Caroline mouille. On distingue clairement le brillant de ses sécrétions. Il écarte encore plus les jambes de Caroline pour être sûr que tout le monde a vu et fini par donner les 10 claques que les fesses de Caroline. Caroline est horrifiée de ce qu’elle montre. A-t-elle bien vu de la mouille ? Les autres ont-ils vu ? Elle se remet à pleurer en pensant que tout le monde va penser que Monsieur Giron l’excite et qu’elle a pris plaisir à être mise nue par lui devant tout le monde. Après cela, le professeur aide Caroline à se relever. La deuxième position pose quelques soucis. On teste une position où Caroline est présentée dos à la salle, les mains à plat sur l’assise d’une chaise et les jambes bien écartée autour du dossier de la chaise. L’indécence de cette position ne fait pas débat, en revanche, cette position ne permet pas de voir sa poitrine nue et elle est finalement abandonnée. Pourtant, durant tous les échanges pour savoir si oui ou non ce serait une position pertinente et comment faire pour que l’on puisse voir sa poitrine, Caroline reste en position, la vulve bien offerte et bien ouverte. Comme elle est face à l’écran, son regard reste hypnotisé par ce qu’elle voit et elle se dit qu’elle ne pourra jamais regarder qui que ce soit dans cette salle dans les yeux après cela. Son sang se glace d’un coup lorsqu’elle voit une goutte de mouille apparaitre au bas de son sexe, grandir petit à petit et menaçant de tomber. Jusque-là, elle se disait que peut-être ses camarades n’avaient pas remarqué que son sexe était bien brillant. Mais si cette goutte grossit et finit par tomber, comme si elle dégoulinait d’excitation, tout le monde va s’en apercevoir. Elle prie le ciel que le Directeur la change de position rapidement, mais pour le moment les discussions continuent. Son cœur bat à mille à l’heure lorsqu’elle voit que Daniel se permet de zoomer encore, plaçant la fameuse goutte au centre de l’image. En entendant le Directeur mettre fin à la discussion, il dezoome rapidement, se demandant s’il n’a pas été trop loin. Le Directeur reste visiblement concentré, annonçant qu’ils allaient maintenant tester la dernière position. Il place alors une table sur l’estrade et demande à Caroline de s’assoir sur la table face à la salle. Ensuite il place derrière Caroline une structure en mousse qu’il a trouvé dans la salle de gymnastique pour que Caroline puisse s’adosser et maintenir son buste droit, offrant à toute la salle une belle vue sur sa poitrine. Enfin, le Directeur attrape les jambes de Carlone, les remonte en les pliant et demande à Caroline de les tenir en l’air pour laisser accès à ses fesses. Cette position est encore plus indécente que la précédente. Ainsi positionné, son sexe est totalement ouvert, on voit absolument tout. Le Directeur, intervient : - Bien, je vais donc infliger 10 coups de badine à Caroline. Mais la badine peut blesser Caroline, si je ne vise pas correctement ses fesses. Aussi, il est important de préserver son intimité. Bien sûr, la mettre nue dans cette position fait partie de l’humiliation. Pour autant, une fois qu’elle sera montrée ainsi, nous allons recouvrir son intimité pour éviter tout accident. Monsieur Giron, venez, puisque vous êtes là. Placez-vous derrière Caroline, et passez votre main entre ses jambes. Voilà, vous allez recouvrir avec votre main le sexe de Caroline, pour éviter que je ne la blesse. Monsieur Giron ne se le fait pas dire deux fois. Il place sa main sur le sexe de Caroline. Il pourrait la placer en simple protection comme lui a demandé le Directeur, mais il ne peut s’empêcher d’y exercer une pression. Il sent la chaleur de Caroline, il sent aussi son humidité. Caroline se met à trembler de gène. Le Directeur revient avec une badine, et sans prévenir donne un premier coup très violent. Caroline hurle. Le Directeur ne s’émeut pas et continue à donner des coups, chacun aussi fort que le précédent. Caroline cri et pleure en même temps. Monsieur Giron reste concentré sur le sexe de Caroline. Sa main exerce des pressions successives sur le sexe de Caroline. Il voudrait plonger son doigt à l’intérieur de son intimité, mais il sait que c’est impossible. Le dixième coup d’abat sur les fesses de Caroline, puis le Directeur pose la badine. Il demande alors à monsieur Giron de retirer sa main. Celui-ci, après l’avoir retiré, sort un kleenex de sa poche et s’essuie la main ostensiblement, comme pour mettre en évidence devant tout le monde que Caroline a le sexe bien humide. Le Directeur insiste : - Comme le sexe de Caroline a été caché durant la punition et que l’humiliation d’une position indécente fait partie de la punition, pour cette punition, l’élève punie devra rester dans cette position durant au moins 20 minutes après la fessée. Tandis que Caroline est laissée à son sort, les votes, les commentaires, les débats reprennent pour choisir la façon de faire pour finaliser la punition niveau 4. Finalement, les deux positions sont retenues, la première sur les genoux du fesseur et la deuxième sur la table. C’est le puni qui choisira la position de sa punition, certain ayant commenté que comme cela, le professeur qui punit peut ajouter de l’humiliation en spécifiant que c’est l’élève qui a choisi. On pourra ainsi dire à une élève : « C’est toi qui a choisi de venir t’allonger sur les genoux de ton professeur » ou « C’est toi qui a choisi de te tenir les jambes bien écartée assise sur une table face à toute ta classe ». Par ailleurs, il a été retenu que c’est l’élève puni qui devra choisir le camarade qui protégera son sexe de la badine, un garçon si c’est une fille qui est puni, et vis versa. Finalement, il est demandé à Caroline de revenir debout, face à la salle. Caroline, n’est presque plus gênée d’être nue. Elle a l’impression d’être en dehors de son corps, de ne plus être elle-même, de ne plus rien ressentir. Toute la salle se demande comment il peut y avoir un niveau 5. La douleur et l’humiliation peuvent-elles encore être monté d’un cran ? Le Directeur éclaire tout le monde rapidement : - Pour le niveau 5, ce qui va changer, c’est que la punition se fera à la cantine, devant tout le lycée, et non pas juste devant la classe. Ce sera donc, exactement comme la punition niveau 4, mais à la cantine. Chaque élève se sent un peu frustré, on comprend bien que cela fait monter la honte d’un cran bien sûr, mais on comprend aussi que le supplice de Caroline est fini. Tout le monde s’attendant à une apothéose, et tout retombe d’un coup. Le Directeur reprend : - Comme il s’agit du niveau 5, ce sera un peu plus que juste comme le niveau 4. Déjà, je propose une punition chaque jour durant une semaine, devant tout le lycée. Le lundi, comme pour le niveau 1, mais à la cantine et comme nous devons aussi augmenter la douleur, tout sera fait à la badine. Donc, pour mémoire, le lundi, l’élève puni recevra une fessée à la badine. Le mardi, la fessée, culotte baissée devant tout le lycée. Le mercredi sans culotte, les jambes bien écartées et avec la diffusion de la vidéo prise en direct, le jeudi, l’élève sera mis nu devant tout le lycée puis fessé. C’est l’élève qui choisira qui le déshabille et dans quelle position il recevra sa fessée, toujours avec diffusion de la vidéo. Pour le vendredi, ce que je propose, c’est que l’élève puni passe la journée entière complétement nu. Il suivra ses cours normalement, mais complétement nu et chaque cours commencera par 3 coups de badine. Et enfin, en fin de journée, l’élève puni sera placé à la sortie du lycée, toujours entièrement nu. Chaque élève quittant l’établissement lui demandera de se mettre dans la position qu’il souhaite et lui donnera 1 claque sur les fesses. Ainsi, l’élève puni aura reçu 1 claque de chacun de ses camarades et chacun de ses camarades aura pu profiter de sa nudité de très près. Les discussions ne sont pas très longues autour de cette proposition qui semble convenir à tous. Il est juste décidé en complément que les vidéos des punitions seront diffusée sur le site du lycée durant 1 mois avant d’être détruite, avec la possibilité pour chaque élève de l’établissement d’y poster des commentaire anonyme, pour renforcer la honte de l’élève puni. Le Directeur conclut : - Bien, nous avons bien travaillé. Nous avons réussi à valider les 5 punitions. Caroline je vous invite à retourner à votre place. Caroline se dirige alors vers ses vêtements, mais le Directeur l’interrompt : - Non Caroline, nous devons finir le test. Au niveau 5, l’élève puni passe la dernière journée totalement nue, nous devons vérifier qu’il n’y a pas d’impossibilité. Vous resterez donc totalement nue parmi nous tous jusqu’à ce soir. Pour commencer, nous allons nous rendre au réfectoire pour déjeuner, et cette après-midi nous avons différents groupes de travail. Caroline est sous le choc, elle va rester entièrement nue au milieu d’élève habillé. Être mise nue sur l’estrade a été terriblement humiliant, mais elle se sentait loin des autres. Là, s’assoir à côté d’eux, être contrainte de leur parler de près, Caroline se remet à pleurer, mais docile, va rejoindre ses camarades, s’asseyant à côté de Julien qui lui sourit largement. Comme prévu, Caroline passe un après-midi épouvantable au milieu de ses camarades. Le Directeur ne lui laisse pas de répit, lui demandant de distribuer des documents à chaque table, de venir écrire des choses sur le tableau, ou tout ce qui lui permet de la mettre à la vue de tous. Vient le moment où le Directeur annonce qu’il va falloir choisir les photos pour l’illustration de chaque punition. Ainsi, les 215 photos prises dans la matinée sont projetées sur l’écran géant, décortiquées et commentées par tous pour finaliser le choix. A 18h, tout le monde est épuisé, le Directeur annonce la fin de la journée, puis ajoute : - Caroline allez donc vous placer devant la sortie s’il vous plait. Caroline y va, sans se demander ce qui va suivre, elle n’en est plus capable : Le Directeur reprend : - Bien nous arrivons à la toute fin du test, chacun d’entre nous en sortant va demander à Caroline de se mettre dans la position de son choix et va lui donner une claque, ainsi, elle recevra une claque de chacun, comme il est prévu pour la fin de la punition niveau 5. Le sang de Caroline se fige, de nouvelles larmes coulent sur ses joues. Un par un, les élèves passent devant Caroline. Beaucoup lui demande de se pencher, les fesses bien en arrière et profite d’être tout près pour profiter du spectacle avec de lui claquer les fesses et d’avancer. Les filles ne sont pas en reste, elle s’amuse aussi de la situation. Pour se faire bien voir des garçons, elle demande même à Caroline des positions extrême puis elle s’écarte pour que le garçon derrière elle dans la file en profite. Ainsi, Sophie demande à Caroline de se pencher, d’attraper ses chevilles avec ses mains et de bien écarter ses jambes. D’autres vont même jusqu’à lui demander de s’assoir sur la table et de lever les jambes, mais ils sont peu à oser. Julien choisit une position qui lui trotte dans la tête depuis le début de l’après-midi, il demande à Caroline de monter sur la table et de se mettre à 4 pattes. Cette position nouvelle semble plaire et les élèves derrières Julien lui demande pareil. Les professeurs et le personnel administratif jouent aussi avec les positions et les fesses de Caroline. Certains en profitent pour assoir la jeune fille sur leurs genoux. Monsieur Giron passe en avant dernier, seul le Directeur est derrière lui. Il se permet de faire remarquer à Caroline qu’il avait bien senti que la fessée qu’il lui avant mise sur l’estrade avait semblée l’avoir beaucoup perturbée. Puis il ajoute que ses fesses ayant déjà été bien trop claquée, il se contentera d’une caresse. Il lui demande alors de bien se pencher en avant puis, tout en douceur il lui caresse les fesses. Il se retourne pour voir si le Directeur approuve et c’est le cas. N’y tenant plus, après avoir doucement palpé les fesses de Caroline sa main glisse vers son intimité et il enfonce un doigt dans son vagin. Caroline pousse un cri. Monsieur Giron retire sa main et s’en va en laissant Caroline les fesses en l’air. C’est le Directeur qui donne alors la dernière claque, puis il demande à Caroline de se relever. Il lui rend ses vêtements, et la remercie. Il insiste sur le fait que plus personne ne lui parlera jamais de cette journée, et qu’il sera intraitable avec ceux qui oseraient ne pas respecter le contrat de confidentialité.