samedi 15 septembre 2012

Annonce de la punition 2


Juste après avoir passer la porte du bureau, Caroline se retourne et sans savoir pourquoi, elle annonce au directeur qu'elle n'est pas la seule à avoir commis ces actes. Surpris, le directeur lui demande de revenir et de lui expliquer cela. Caroline regrette déjà ce qu'elle s'apprête à faire, mais elle en a déjà trop dit. Elle s'assoit de nouveau face au bureau, alors que celui-ci lui conseille de tout lui dire.
- C'est avec Sonia, que j'ai fait tout ça !
Après avoir dénoncé son amie, Caroline baisse la tête, honteuse d'elle même.
- Avez-vous conscience de ce que vous dites, Caroline ! Il est important que vous soyez précise !
Caroline fait un signe de tête et explique en détail, comment elles s'organisaient pour voler les objets et comment elles partageaient l'argent ensuite.
Le directeur reste silencieux jusqu'à la fin de l'explication de Caroline, puis se lève sans rien ajouter, et dit à Caroline de retourner en classe et de dire à Sonia de venir dans son bureau.
Caroline revient en classe complètement dépitée, son prof et ses camarades comprennent qu'elle vient juste de sécher ses larmes. En allant s'assoir à sa place, elle dit au prof que le directeur attend Sonia dans son bureau. Le sang de Sonia ne fait qu'un tour. Avant de se lever, elle demande discrêtement à Caroline si elle l'a balancée. Caroline ne peut lui avouer et fait non de la tête.
Quand elle arrive, dans le bureau du directeur, il n'y va pas par quatre chemin.
- Ce qu'à fait Caroline est extrêment grave, et cela va être puni très sévèrement ! Vous pouvez juger par vous même...
Le directeur présente une feuille, sur laquelle figure l'annonce de la punition de Caroline, la date et l'heure, ainsi que les détails.
Le coeur de Sonia s'emballe en lisant la feuille.
- Cette note va être affichée dans les parties communes du lycée...
Sonia devint blanche, ce que remarque aussitôt le directeur, qui n'avait maintenant plus aucun doute sur sa culpabilité.
- Vous êtes la meilleure amie de Caroline, et vu la gravité des choses, je veux que vous me disiez si vous ou certains de vos camarades avaient eu connaissance ou avaient participé au traffic de Caroline ?
Sonia essaye de paraitre la plus honnête possible, et dit qu'elle n'était absoluement pas au courant.
Après l'obtension de ce mensonge, le directeur, lui précise qu'elle a toute la semaine pour lui rapporter de nouvelles informations puis la laisse partir et annonce au surveillant d'afficher la note.
Le soir même les deux filles se retrouvent. Sonia tente de réconforter son amie et la remercie de n'avoir rien dit. Caroline ne peut toujours pas avouer qu'elle l'a trahi, mais ne comprend pas pourquoi le directeur ne l'a pas punie.
Caroline doit surmonter quelques colibets durant les deux jours tandis que Sonia la protège au maximum. Elles s'éloignent du lycée à chaque fin de cours pour être plus tranquille...
Le vendredi après-midi arrive, Caroline ne se sent pas bien, mais elle doit suivre, un peu en retrait les autres élèves dans l'amphi. Sonia la soutient moralement, malgré un sentiment de culpabilité. Elle est heureuse d'échapper à la punition, mais se sent mal à l'aise vis à vis de son amie. Quant à Caroline, elle pense intérieurement être la seule à assumer tout cela.
Juste avant, d'entrer dans l'amphi, le surveillant arrête les deux filles :
- Caroline, vous pouvez aller vous assoir ! Et vous sonia, le directeur veut vous voir !
Caroline va s'assoir seule dans un coin au fond de la salle. Elle baisse la tête, pour éviter les regards insistants des futurs spectateurs de sa punition. Tous les élèves ne sont pas encore installés, alors que le directeur se lève et traverse la salle en direction de Caroline. En passant à côté d'elle, il lui dit d'aller sur l'estrade. Caroline se lève, ses jambes la tienne à peine, elle traverse la salle sous les sifflets de ses camarades et monte sur l'estrade, seule face à tout le monde. Elle attend un long moment, tête baissée, en retenant ses larmes. Puis la porte du fond s'ouvre brusquement. Tout le monde se retourne, Caroline relève la tête surprise par les cris d'exclamations de l'assemblée.
Elle découvre le directeur tenant Sonia par le bras, juste sous l'aisselle. Malgré la réticences de Sonia à entrer dans la pièce, il la tire et l'entraine dans l'allée centrale. Sonia se débat ! En pleur, elle doit traverser la salle, n'ayant pas la force de se défaire du directeur. Avant de faire irruption dans l'amphi, la jupe et le haut de Sonia lui avait été enlevé, et quand elle arrive sur l'estrade face à l'assemblée, elle porte un ensemble string, recouvert d'un collant couleur chair, soutien-gorge blanc assorti et une paire de chaussure.
La panique envahit encore plus Caroline. En voyant son amie punie ainsi, elle comprend que sa punition est maintenant inévitable. Jusqu'à présent, elle essayait de garder l'espoir que le directeur lui fasse juste très peur, mais il lui enlève son dernier espoir :
- Enlevez aussi votre jupe, Caroline !
Elle tremble comme une feuille, de défaisant l'agraphe de sa jupe. En voyant les collants de Sonia remonter au dessus de son string, elle ne regrette pas d'avoir enfiler des bas ce matin. Elle lache sa jupe qui s'enroule autours de ses pieds, et exhibe sa culotte très couvrante contrairement à celle de Sonia.
Sonia n'arrête pas de renifler ce qui agace le directeur :
- Ayez un peu de tenue, Mademoiselle ! Quand on agit de la sorte, il faut assumer jusqu'au bout ! Allez prendre l'air cinq minutes pour vous calmer, le surveillant restera avec vous... Et vous profitez-en pour lui faire enlever ce vulgaire string... et remettez-lui ses collants, elle devra assumer la honte d'être nue sous son collant toute la journée ! Mais n'allez pas croire que ce sera une protection pour vos fesses ! Avant la fessée, vous le baisserez complètement ! Jusqu'à vos chevilles...
Caroline voit le surveillant attrapper vigeureusement le bras de son amie qui reste bouche bée après l'annonce du directeur.
- A nous Caroline ! Vous allez maintenant expliquer à vos camarades pourquoi vous êtes punie. Et ensuite, bien que votre slip soit largement plus decent que celui de Sonia, vous le mettrez aussi bas que votre jupe. Allez-y, on vous écoute...
Caroline est aussi blanche que sa culotte, les élèves attendent impatients qu'elle commence à parler. De longues secondes passent, le silence dans la salle est impressionnant. Caroline s'apprête à avouer ses méfaits tout en restant la plus digne possible. Elle préfère tout dévoiler sans exception et ajoute, tout en tournant le tête vers le directeur, qu'elle a aussi voller quelques objets à des camarades et s'en excuse auprès d'eux. Elle essaye d'être la plus honnête possible pour atténuer sa peine.
Le directeur attend qu'elle ait fini. Caroline semble soulager de ce poid, mais le directeur tiens à ce qu'elle participe pleinement à sa punition :
- Maintenant, dites à vos camarades comment vous allez être punie !
Caroline relève la tête et jête un regard implorant au directeur.
- Allez-y Caroline, dites-le ! Je vous l'ai expliquer l'autre jour...
Elle baisse la tête et d'une voix presque inaudible :
- Je vais recevoir la fessée...
- Parlez plus fort, Caroline ! Tout le monde doit vous entendre... Et ajoutez toutes les précisions que je vous ai donné !
- Je vais recevoir la fessée, culotte baissée devant tout le monde.
Des rires fusent dans la salle. Les élèves se remettent à parler entre eux, tandis que Caroline reste seule sur l'estrade. Ses yeux s'humidifient quand elle voit revenir son amie. Le directeur est parti à sa rencontre, il l'attrappe sous l'aisselle pour qu'elle revienne plus vite sur l'estrade. Les élèves constatent que le surveillant lui a bien fait enlever son string. Ses fesses nues apparaissent sous son collant. Bien que le directeur lui ait enlevé une main, en la tirant par le bras, son autre main reste plaquée par dessus son collant jusqu'à son arrivé sur l'estrade. Dès que le directeur la lâche, Sonia vient immédiatement poser sa main libre par dessus la première.
En voyant son amie, juste à côté d'elle, Caroline adopte machinalement la même position.
- On va passer à la fessée, maintenant ! Chacune votre tour... Il y a en a une qui va se mettre face au mur et attend son tour les mains sur la tête, pendant que l'autre va se courber sur la table. Choisissez...
Sans regarder Caroline, Sonia se retourne vers le mur. Le directeur doit lui ordonner de mettre ses mains sur la tête. Caroline devient le centre d'intéret de toute la salle. D'un regard, le directeur lui indique d'aller vers la table.
- Laissez votre jupe ici ! De toute façon, vous n'êtes pas prête de la remettre !
Caroline laisse sa jupe sur l'estrade et se retourne vers la table. Elle ne peut s'empêcher de jeter un regard vers les fesses nues, moulées dans son collant, que Sonia exhibe. Elle imagine que se fesses vont surement rapidement être mises à la vue de tout le monde.
- Collez-vous à la table et posez vos mains à plat dessus ! Je vais commencer par vous chauffez les fesses de la façon la plus classique et après, vous vous metterez comme je vous ai dit dans mon bureau !
Caroline s'arrête d'un coup devant la table, un frisson lui parcoure le corps. Elle n'a pas oublié un détail de ce que lui a dit le directeur dans son bureau. Et même si personne ne comprend ce que vient d'évoquer le directeur, Caroline elle s'imagine déjà dans cette position si humiliante. Le coeur de Caroline s'emballe quand le directeur s'approche juste derrière elle et passe ses pouces sous l'elastique de sa culotte. Sans nul autre avertissement, il la descent vigoureusement tout en l'accompagnant jusqu'à ses chevilles. Caroline ne supporte pas d'être déculottée et éclate en sanglot.
- Tout comme votre jupe, votre culotte vous sera inutile à présent !
Le directeur dégage la culotte des pieds de Caroline et lui confisque en la mettant dans sa poche. Puis il se met sur le côté pour permettre à tous les spectateurs de voir les fesses de Caroline. La lourde main de directeur s'abat énergiquement. Caroline reçoit la première fessée de sa vie, et ses fesses rougissent à vue d'oeil. Elle résiste pour ne pas s'écarter de la table malgré la doulheur qui envahit tout son fessier. Le directeur prend son temps entre chaque claque pour permettre à Caroline de reprendre son souffle, puis lorsque les fesses sont assez rouge, il arrête la fessée.
- Interdiction de toucher vos fesses ! .... Voilà pour un début ! Allez vous mettre face au mur, nous continuerons après !
- Sonia, à vous maintenant !
Sonia se retourne, tête baissée, les doigts entrelacés devant son sexe, visiblement très nerveuse. Elle vient présenter ses fesses, à la main du directeur sans que celui-ci ne lui dise.
- Attendez sonia ! Caroline a expliquer à ses camarades pourquoi elle est punie ! Avant votre fessée, c'est à vous ! Retournez-vous et expliquez pourquoi votre punition est plus sévère que celle de Caroline !
Rouge de honte, Sonia se retourne, cache son sexe et avoue avoir menti sur sa culpabilité au directeur. Celui-ci ajoute qu'il lui a clairement posé la question et que Sonia a toujours continué à lui mentir, laissant Caroline seule à subir la punition. Puis il lui demande ce qu'elle ressent maintenant. Sans relever la tête, avec un neud dans la gorge, elle dit qu'elle est désolée, d'une voix à peine perceptible.
- Il est trop tard pour être désolée ! Mais vous serez punie comme il se doit et tout rentrera dans l'ordre... Savez-vous Sonia, qu'il a été évoqué de punir Caroline toute nue ? Finalement il en a été décidé autrement, même si avec les nouveaux aveux de Caroline, nous allons peut-être revoir notre position... Mais pour votre cas, je n'ai pas eu d'hésitation...
Le directeur laisse passer un silence pesant, les bras de Caroline en sont tombés de sa tête. Quant à Sonia, elle fixe le directeur en attendant la suite.
- Avant que je vous fesse, enlevez votre soutien-gorge !
Sonia n'a pas bougé, son regard est toujours aussi fixe, tandis que des chuchotement s'élèvent dans la salle. Comme ci le message n'avait pas été assez clair, le directeur continue :
- Restez face à vos camarades pour vous dévoiler complètement ! La punition est ainsi, dépêchez-vous !
Sonia baisse les yeux incapable de faire le moindre mouvement, le directeur attend un moment sans bouger. Les doigts de Sonia s'entrelacent nerveusement, tandis que le directeur passe derrière elle sans dire un mot. Sonia ne peut plus retenir ses larmes quand il enlève l'agraphe de son soutien. Elle n'oppose aucune resistance quand il descent doucement ses bretelles. Son soutien glisse le long de ses bras jusqu'à ses poignets, tandis que le directeur revient devant elle et la prend par le menton pour qu'elle relève la tête.
- Assumez votre punition ! Regardez vos camarades ! Et donnez-moi votre soutien !
Sonia continue de cacher son sexe de ses deux mains et laisse sa poitrine à la vue de tous.
- Voilà votre tenue pour le reste de la journée, Mademoiselle ! Allez prendre la place de caroline pour vous remettre de vos émotions...
Sonia ne tarde pas à se coller face au mur. Les deux filles sont cote à cote les fesses à l'air, tandis que le directeur fait durer l'insoutenable attente.
- Caroline ! Comme ça vous avez voler vos camarades aussi !
Caroline n'ose pas répondre, et ne bouge pas.
- Tout comme Sonia, vous devriez enlever votre chemisier et votre soutien-gorge, pour cela !
Le directeur laisse passer quelques secondes, Caroline n'a toujours aucune réaction.
- Mais vous vous mettrez nue qu'après cette fessée, vous allez déjà en faire voir assez ! Venez ici, maintenant !
Caroline se retourne aussitôt et vient vers le prof. Le regard toujours baissé sur ses chaussures, elle s'avance vers la table, les main collées sous son ventre. Le directeur vient face à elle, et se saisit de ses poignets.
- Vous savez bien, que ce n'est pas la peine de vous cacher, mettez plutôt vos mains dans le dos !
Il écarte ses mains et Caroline les met dans son dos. Une légère toison brune apparait aux yeux de tous les élèves. Le directeur ne fait pas profiter de ce spectacle plus longtemps. Il emmêne Caroline vers la table.
- Vous savez ce qu'il vous reste à faire Caroline... Allongez-vous sur le dos et relevez vos jambes !
Caroline s'allonge sur la table et doucement, elle relève ses jambes reppliées pour présenter ses cuisses. Le directeur attrappe ses cheville et la force à les relever encore plus et déplie ses jambes. Il les maintient finalement, presque à la verticale. Bien que Caroline garde ses cuisses très serrées, ses lèvres ne peuvent plus être cachées. Le directeur appelle Sonia, et lui demande de lui prendre une cheville.
- Vous allez maintenir sa jambe en l'air comme je le fait !
Sonia jête un regard vengeur à Caroline quand elle se met à côté d'elle. Puis elle attrappe sa jambe au niveau de sa cheville, et l'écarte volontairement. Le directeur fait de même de l'autre côté. Le sexe de Caroline est maintenant à la vue de tous les élèves.
- C'est bon Sonia, vous pouvez lacher. Caroline va pouvoir maintenir seule ses jambes en l'air, et garder cette position impudique pendant toute la fessée...
Caroline se cache le visage de honte, et maintient ses jambes en l'air tout en les resserant et en les reppliant.
- Si vos jambes se resserrent de trop ou si elles ne restent pas en l'air, vous finirez votre fessée toute nue !
Caroline écarte un peu plus ses jambes. Ses bas noir qui remontent juste sous ses fesses mettent en valeur ses jambes et souligne son sexe parfaitement épilé. Le directeur s'approche de Sonia et sans avertissement il descend son collant jusqu'à ses chaussures.
- Retirez-les et allez vous assoir toute nue au premier rang pour assistez à la fessée de Caroline !
Sonia enlève ses chaussures et son collant et descend de l'estrade. Une main devant son sexe, elle cherche desespéremment une place libre.
- S'il n'y a plus de place, demandez à un de vos camarades de vous vous asseoir sur ses genoux. Je tiens à ce que vous soyez au premier rang.
Morte de honte, elle demande au premier garçon à côté d'elle et pose ses fesses sur ses genoux. Elle a un mouvement de réticence quand celui-ci, lui entoure la taille et pose sa main sur sa fesse, mais elle préfère ne rien dire. Elle se contente de serrer les cuisses et croiser ses bras sur sa poitrine.
Pendant ce temps Caroline se prépare à la fessée. Elle n'a pas bougé, et le directeur la félicite en lui disant qu'elle assume pleinement sa punition,contrairement à Sonia, même si toute son intimité est portée à la vue de tous.
Le directeur se place sur le côté de Caroline, il maintient sa jambe au niveau de sa cheville et commence à lui claquer les fesses. Il va doucement au début, puis les claques accélèrent d'un coup. Caroline crie d'arrêter mais la fessée continue encore. Sonia ne préfère pas regarder, tandis que le garçon devient plus entreprenant et glisse sa main vers le bas de son ventre. Elle serre les cuisses au maximum, et lui enlève sa main à plusieurs reprises. Le directeur claque qu'une seule cuisse maintenant, car Caroline n'a pas réussit à maintenir seule son autre jambe. Il arrête la fessée juste au moment où le garçon arrive à glisser sa main entre les cuisses de Sonia. il doit enlever précipitemment sa main, avant que le directeur ne le surprenne, tandis que Sonia se lève d'un bond, ce qui n'échappe pas au directeur.
- Sonia, êtes-vous si pressée de prendre la place de Caroline ?
Cette réflexion fait rire les élèves, Sonia rougit sans répondre et reste debout au premier rang.
- Voilà, Caroline ! Vous pouvez vous lever. Vous aussi vous allez aller au premier rang.
Le visage en larmes, Caroline se relève sans prendre la peine de cacher sa touffe brune, et descend l'estrade, alors que que le directeur la rapelle :
- Je vous ai dit qu'après votre fessée, vous enleverez votre chemisier et votre soutien-gorge ! Allez-y faite-le !
Caroline hésite un instant et sans remonter sur l'estrade, elle déboutonne son chemisier puis se retourne pour dégraffer son soutien. L'attitude de Caroline change soudainement, elle sèche se larmes, et vient rapporter ses vêtements au directeur. Elle n'essaie pas cacher ses seins et ose même le défier du regard en lui tendant son soutien-gorge.
- Autant que je me mette complètement à poil, maintenant ! Vous voulez mes bas ?!
Tout en jetant cela à la figure du directeur, Caroline commence à descendre ses bas. Mais le directeur surpris par son attitude soudaine, reprend vite le dessus. Il lui attrappe l'oreille pour la forcer à se relever.
- Vous baissez d'un ton Mademoiselle ! Et surtout, vous restez polie... Et en ce qui concerne vos bas et vos talons, vous allez les garder. Cela soulignera votre nudité ! Remontez vos bas maintenant !
Sans lui lâcher l'oreille, il lui baisse la tête et Caroline remet la lisière de ses bas en place.
- Je vais vous apprendre à jouer les rebelles ! Dans votre posture, vous ne devriez pas ! Surtout quand vous êtes à poil comme vous dites !!!
- Maintenant, mettez vos mains sur votre tête et ne vous avisez pas de les descendre avant d'en avoir mon autorisation !
Le directeur se rend au milieu de l'allée centrale et dépose une chaise.
- Venez ici ! Vous voulez vous faire remarquer ! Et bien, montez sur cette chaise que tout le monde vous voit bien.
Caroline rejoint le directeur les mains sur la tête, en résistant à l'envie de se cacher. Elle essaie de le rejoindre le plus dignement possible et monte sur la chaise sans baisser les mains de sa tête.
Tout en ayant le regard volontairement dirigé vers son sexe, qui est à la hauteur de ses yeux, le directeur ne lui épargne aucun commentaire :
- J'espère que vous avez honte d'exhiber ceci ! Ce n'est pas ce qu'une jeune femme doit montrer !
Caroine ne répond pas et regarde droit devant elle. La tension monte pour Sonia, qui n'a pas bougé. Le directeur revient vers elle.
- Vous serez très bien ici !
Le directeur l'entraine dans l'allée de Caroline, au niveau des élèves de premier rang.
- Courbez-vous en avant !
Sonia se penche et s'aprête à recevoir la fessée à quelques centimètres des élèves.
- Penchez-vous encore un peu ! Vos fesses doivent être pafaitement exposées pour la fessée...
Une fois installée au goût du directeur, celui-ci se rapproche, et ne manque pas de lui rappeler que cette position est pratiquement aussi impudique que celle de Caroline. Sonia sait que malgré tous ses efforts, les lèvres de son sexe, ne peuvent être cachées. Le directeur se place à côté d'elle est prend tout son temps, profitant au maximum du silence avant l'avalanche de claques. Sonia semble avoir du mal à garder ses jambes tendues dans cette position si délicate, elle plie un peu les genoux, mais le directeur la rappelle tout de suite à l'ordre :
- Jambes tendues, Sonia !
Sonia, se relève d'un coup mais dès les premières claques, ses genoux se replient et ses mains viennent s'interposer. Au bout d'une dizaine de claques, elle est pratiquement accroupie, les mains sur chaque fesses. Le directeur stoppe la fessée.
- Faut-il que je vous emmêne vous allonger sur le bureau, pour que vous comprenniez qu'il faut garder les jambes tendues ?
Sonia crie "NON" et se relève d'un coup.
- Très bien, alors ne bougez plus ! Et garder vos mains sur vos chevilles !
La fessée reprend. Sonia serre les dents, pour garder la position, alors que ses fesses rougissent à vue d'oeil.
Dès que le directeur applique la dernière claque, Sonia se relève et frotte vigoureusement ses fesses. Le directeur ne perd pas une seconde, il laisse Sonia dans le milieu de l'allée et demande à tout le monde de rejoindre sa salle de cours.
La salle se vide dans un brouhaha géant. Sonia s'écarte timidement des élèves, tandis que Caroline reste sur sa chaise sans bouger, de peur que le directeur lui reproche. Tout le monde en profite pour passer à côté d'elle et l'éffleurer, ce qui lui procure des frissons partout dans le corps. Les deux filles se retrouvent seules avec le directeur. Caroline est autorisée à descendre de sa chaise et vient rejoindre le directeur tout comme Sonia.
- Pliez vos vêtements soigneusement ! Sonia, vous pouvez mettre vos collants et vos chaussures de côté !
Le directeur demande aux filles de lui donner leurs vêtements, qu'il range dans un sac.
- Vous avez de la chance, il n'y a plus cours dans cette amphi aujourd'hui. Mais puisque ce sont des pièces informatiques que vous avez volées, vous allez rester en salle info cette après-midi !
- Sonia, pour être punie de la même façon que Caroline, vous pouvez remettre vos collants et vos chaussures. mais vous gardez vos collants à mi-cuisses !
Sonia s'apprête à remettre ses collants, puis s'arrête et dit qu'elle préfère ne rien mettre. Le directeur sort de l'amphi, les deux filles le suivent. Sonia remet ses chaussures le temps que le directeur referme la porte à clef.
- Vous savez où est la salle info... Je ne vous y accompagne pas !
Sans rien ajouter de plus, le directeur s'éloigne laissant les deux filles, incapables d'imaginer comment entrer dans cette salle. Sonia lance un regard noir à Caroline est s'éloigne d'elle. Caroline la suit et lui demande où elle va.
- A ton avis ? A couse de toi, ma punition n'est pas encore terminée...
Caroline s'arrête net, et demande à sonia si elle est sérieuse. Sans lui répondre, Sonia part dans le couloir, alors que Caroline est incapable de la suivre. Arrivée seule, devant la porte de la salle informatique, Sonia hésite à frapper. Elle rassemble toutes ses forces pour réussir à entrer dans cette classe. Et au moment où elle se décide, la porte s'ouvre brusquement, et elle se retrouve nez à nez avec le professeur.
- Le directeur m'a signalé votre venue, entrez !
Sonia entre timidement en cachant ses seins et son sexe. Le prof l'emmene au milieu de la pièce et lui perle sêchement.
- Je crois que la punition est assez claire, vous avez été envoyé ici, pour que tous les élèves constate que vos fesses ont été bien rougies vous allez être mises au piquet... Donc, autant vous dire que ces gestes de pudeur devront disparaitre très rapidement. Faites-nous voir vos fesses, maintenant !
Sonia se retourne et expose ses fesses encore rouge à la classe, elle doit aussi expliquer pourquoi Caroline n'est pas là. Le prof n'a pas l'air de se préoccuper du cas de caroline, ce qui la vexe et lui donne des remords quant à être venue jusque là.
- Sonia, vous allez vous mettre dans l'allée maintenant et les mains sur la tête !
Morte de honte, Sonia va se placer là où lui indique le prof, au niveau de la première rangée. Elle doit être face aux élèves, et exhibe son sexe orné de quelques poils chatain qui ne peuvent cacher la naissance de sa fente. Elle se sent rougir quand elle s'aperçoit tous les élèves ont les yeux rivés sur cette partie de son corps et regrette de n'avoir pas accepté ses collants qu'elle aurait pu remonter pour se cacher un minimum. Elle fixe le fond de la classe, en attandant que cet horrible couchemard se termine.
Juste avant la fin de la journée, le directeur vient dans la classe avec les vêtements de Sonia à la main :
- Votre punition est terminée, Sonia ! Vous pouvez vous couvrir...
Sonia commence à se rabiller avec hâte. une fois revêtue, elle dit au directeur que Caroline n'est pas venue. Celui-ci lui répond qu'il est déjà au courant, et que Caroline a fait le très mauvais choix. Avant de quitter la salle, il ajoute qu'elle en subira les conséquences dès lundi matin.
Pendant le week-end, Caroline essaye de joindre plusieurs fois Sonia, mais elle ne veut pas lui répondre. Sachant qu'elle tenait sa revanche, elle se décide à lui envoyer un texto : Tu aurais du venir, avec moi, car j'ai vu le directeur et je n'aimerai pas être à ta place... Après ce texto, Caroline essaye de la joindre encore, et lui envoie plusieurs textos, pour lui demander des explications, mais Sonia ne lui dit rien d'autre. Avant de couper son portable, alors que cela fait plusieurs heures qu'elle n'a pas eu de nouvelles de Caroline, Sonia se décide à lui en envoyer un : A mon avis, tu n'as pas fini de montrer tes petites fesses...
Caroline a du mal à dormir cette nuit là, et c'est le visage fatigué qu'elle arrive au lycée. Elle n'apprécie pas le petit sourire revanchard que lui adresse Sonia. Le surveillant vient la ceuillir avant même qu'elle ne prenne sa place. Elle est emmenée jusqu'à la salle de réunion, ou l'attend le directeur, certains de ses professeurs, des membres de l'administration et quelques élèves. Tous les intervenants du lycée sont representés, en tout un vingtaine de personnes.
Le directeur oublie volontairement les salutations et l'introduction d'usage, il prend un air très sévère :
- Pour commencer, vu que vous n'avez pas été capable de le faire vendredi soir, Vous allez vous déshabiller... entièrement !
- Ensuite, vous me confirez vos vêtements, car autant que le sachier de suite, vous ne mettrez pas la moindre petite culotte avant de sortir de l'établissement ce soir.
- Dépêchez-vous ne faites pas votre mijorée...
Caroline commence timidement à déboutonner son jean, puis passe son pull au dessus de sa tête. Il y a un silence de plomb dans la salle, tout le monde la regarde. Elle elève ses chaussures et ses chaussettes, puis fait glisser son pantalon. Lorsqu'elle est en sous-vêtements, le directeur reprend la parole.
- Vous êtes privée de pause aujourd'hui ! A chaque inter-classe, vous irez en salle de détente et vous choisirez une table au milieu de la salle, sur laquelle vous vous mettrez à genoux, les mains sur la tête jusqu'à la sonnerie... Allez-y continuez !
Caroline ne répond pas, mais son trouble peut se remarquer. Ses mains tremblent en allant cherche l'agrafe de son soutien. Elle devient rouge, quand elle libère ses seins. Nerveusement, elle rassemble ses affaires, pour gagner du temps et quand elle se relève, elle lève les yeux, et adresse un regard de pitié au directeur.
- J'allais oublier ! Cette après-midi, je sais que vous avez une sortie au musée d'organisée, avec toutes les classes de Terminale. Il est hors de question que vous loupiez cette sortie pédagogique. J'ai donc appeler le musée qui m'a confirmé, qu'il n'ouvrait ses portes juste pour les Terminales de notre lycée et ceux des alentours. Cela ne gênera donc personne, votre punition sera appliquée au musée aussi.
Caroline passe du rouge au blanc :
- Mais je ne vais pas visiter le musée toute nue !...
Le directeur affiche un sourire de coin, qui effraye Caroline :
- Non seulement, vous irez toute nue, mais vous repondrait aux nombreuses questions que les élèves des autres établissements ne manqueront pas de vous poser. Je tiens à ce que vous participiez pleinement à cette visite, et si le surveillant constate le moindre écart de votre part, je l'ai chargé de vous fesser aussitôt et devant tout le monde.
Caroline est sous le choque, elle fixe quelques secondes le directeur puis baisse les yeux.
- Maintenant, il est le temps de donner de la couleur à vos fesses ! Je veux que tout le monde constate que vous avez reçu la fessée ce matin... Enlevez votre culotte !
Caroline ne semble plus avoir de réaction, elle fait glisser instantanément sa culotte le long de ses jambes, et la laisse autours de ses chevilles. Elle relève la tête quand elle entend le directeur se lever et s'approcher d'elle. Instinctivement, elle pose ses mains sur ses fesses, mais le directeur est bien décidé.
- Deux fessées en deux jours d'école, vous battez des reccords, Mademoiselle ! Et le rythme n'est pas pret de s'estomper...
Le directeur attrappe Caroline et lui fait faire une demi-tour pour la courber sous son bras afin que ses fesses soient exposées à l'assemblée.
- A partir de demain, pour ne pas m'avoir obéit, vendredi dernier, vous serez régulièrement convoquée par le professeur d'informatique dans sa classe ! Je l'ai chargé de vous donner la fessée dans chacun de ses cours avec les différentes classes de l'établissement. Lorsque vous serez convoquée, vous vous mettrez aussi nue que vous l'êtes en ce moment et vous irez vous allonger sur ses genoux.
Caroline veut se relever et contester, mais le directeur la maintient de plus bel et commence une vigoureuse fessée. Méthodiquement, il claque chaque fesse l'une après l'autre, à une vitesse impressionnante. Le directeur veut réellement qu'elle garde les fesses rouge toute la journée. Caroline se débat comme elle peut, mais elle ne peut presque pas bouger, ses mains n'arrivent même pas à protéger ses fesses. Quand elle se met à pleurer, le directeur arrête la fessée. Déjà, deux grosses marques rouge recouvrent ses fesses.
- Arrêtez de pleurnichez ainsi ! Il faudra vous habituer à la fessée, car le professeur d'informatique à de bien plus grosses mains que moi !
Caroline a à peine le temps de souffler que déjà la fessée reprend. Tout le monde est facsiné par la fessée que reçoit Caroline, personne n'arrive à détourner le regard de ses fesses. Quand le directeur décidé, il lui empoigne le bras, juste sous l'aisselle, pour qu'elle se relève et prend du recul sans la lâcher pour constater la rougeur de ses fesses.
- Voilà ! Les nombreuses personnes qui verront tes fesses aujourd'hui n'auront aucun doute sur la fessée que tu as reçu.
Caroline est ensuite priée de quitter la salle, ce qu'elle fait en larmes et en se massant les fesses.
La fessée est passée, mais une dure journée l'attend. Pour commencer, elle doit revenir en cours et ne pas se préoccuper des regards de ses copains.