lundi 27 janvier 2020

La gazette 7

Caroline arrive un peu en avance, le bureau n'est pas encore ouvert, elle attend devant la porte.
Lorsque le directeur arrive, elle comprend à son visage qu'il n'est pas d'humeur. Il lui dit sèchement bonjour, et la fait entrer dans le hall, sans prendre la peine de la faire venir jusqu'à son bureau

- J'espère que vous avez enfin compris mon message d'hier... Déshabillez-vous que je vois ça !

Caroline enlève sa veste et son pull. Son soutien-gorge blanc à légère dentelles cachent sa poitrine tout en laissant un décolleté convenable. Quand elle fait glisser sa jupe, le directeur découvrent une culotte assortie, sous un collant totalement transparent.

- Très bien ! Votre tenue correspond plus à mes attentes...

Caroline se sent un peu rassurées, même si maintenant elle va devoir rester ainsi.

- Vous savez qu'en fin de matinée, nous avons la réunion sur la tolérance... Je vous ai désigné pour lire le discours de clôture.

Caroline devient livide

- Dans cette tenue ?

- Evidement dans cette tenue !!! Vous êtes punie !

Caroline passe la matinée à angoisser. Même lorsqu'elle est au coin sous le préau, elle pense au moment où elle sera le point de mire de tous pendant la réunion.

En arrivant dans la salle, elle doit faire un effort surhumain pour aller jusqu'au pupitre pour lire son discours. Elle ne lève pas les yeux de sa feuille. Elle sait que ce qu'elle dit n'intéresse personne, mais que les commentaires vont bon train concernant sa tenue et sa punition.

Caroline termine enfin son discours, et les élèves quittent la salle. Elle est rassurée que ce moment soit passé, surement le plus dur de la journée pense-t-elle. Le directeur l'invite à le suivre dans son bureau avant d'aller déjeuner.

Arrivés dans son bureau, le directeur ferme la porte derrière elle et lui dit de s'assoir.

- Nous arrivons à la fin de votre punition Caroline. J'espère ne plus jamais avoir à vous punir ainsi ! Après le déjeuner vous pourrez récupérer vos vêtements...

Caroline lève la tête avec un léger sourire aux lèvres ce qui ne lui était pas arrivé depuis plusieurs jours.

- J'ai bien compris Monsieur le directeur, vous n'aurez plus à me punir et... je suis vraiment désolée pour ce que j'ai fait.

- C'est bien Caroline, tant mieux. Mais ne vous réjouissez pas trop vite, j'ai dit que votre punition sera terminée après le repas...

Caroline le regarde inquiète de ce qui va suivre.

- Pour clôturer votre punition, vous allez recevoir une fessée ! Levez-vous et baissez votre culotte !

En quelques secondes, sa mine réjouie a disparu. Mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Déjà le directeur est arrivé près d'elle quand elle se lève. Il l'a fait reculer pour l'écarter du bureau, et la force à se pencher en avant. Il passe son bras autours de sa taille et commence à lui claquer les fesses. Il lui donne ainsi une vingtaine de claques bien appuyées que Caroline encaisse en serrant les dents, puis il la relâche.

- Allez-y baissez votre culotte...

Les yeux humides Caroline n'a d'autre choix que de baisser l'arrière des ses collants et de sa culotte en même temps pour dénuder ses fesses.
Le directeur la remet dans la même position que précédemment et continue à la fesser. Les claques sont bien sonores, elles résonnent dans la pièce et marquent de plus en plus les fesses de Caroline.
Quand il arrête, elle se relève et sèche ses larmes d'une main et remonte sa culotte de l'autre.

- Voilà pour le moment, vos fesses sont bien assez rouge pour la suite... Vous allez recevoir la deuxième partie au réfectoire, devant tout le monde.

Caroline réagit tout de suite à ce qu'il a dit :

- Une autre fessée !! Mais pas comme celle que vous m'avez donnée ???

- Comment ? Déculottée ? Nous en parlerons tout à l'heure... En attendant, allez déjeuner. Il y a un plateau dans mon bureau. Nous irons au réfectoire après...

Le directeur la laisse seule. Elle ne peut pas avaler grand chose, mais elle se force à manger un minimum. Elle se demande ce qui va se passer. Elle doit attendre près d'une demi-heure avant que le directeur ne revienne, accompagné de son professeur.

- Bon voilà Caroline, nous arrivons au terme de votre punition. Vous allez nous suivre jusqu'au réfectoire, où vous serez punie. Si j'ai bien compris le sens de votre interrogation, tout à l'heure, vous vouliez savoir si vous alliez être punie sur vos fesses nues... La réponse est oui !

Caroline accuse le coup même si finalement elle s'y attendait.

- Il y aura deux axes dans cette punition : la fessée par elle même bien sur, pour vous punir de votre attitude... Et vous comprenez, maintenant depuis plusieurs jours que je souhaite que votre punition soit marquante... Pour vous bien-sûr, afin que vous ne recommenciez pas. Et aussi pour les autres, pour qu'ils comprennent qu'on ne laisse pas passer ce genre de comportement ! Le fait de vous avoir imposé cette tenue, contribuait à cela. Et nous allons continuer sur cette voie pour cette dernière punition... Donc pour cette fessée, nous allons vous enlever complètement vos collants et votre culotte. Ainsi que votre soutien-gorge, c'est complètement nue que vous allez être punie !

Caroline ne semble pas comprendre ce qui va se passer, ou peut-être n'en prend-t-elle pas conscience. Le regard dans le vide, elle se lève quand elle y est invitée.
Le directeur s'approche d'elle et baisse son collant jusqu'à ses chevilles.

- On va laisser vos collants ici...

Il lui enlève complètement et les laisse sur son bureau.

- Remettez vos chaussures et suivez nous !

Caroline obéit, toujours aussi perdue. Ce n'est que sur le trajet qu'elle s'effondre en sanglots réalisant ce qui va se passer. Lorsqu'ils arrivent dans le réfectoire elle est en larmes, tout le monde s'arrête de parler quand ils entrent. Le directeur la saisit par le bras sous l'aisselle et la mêne jusqu'à une table vide au centre. Il la bascule dessus, ses pieds ne touchent plus le sol, elle est presque allongée sur la table. Il baisse aussitôt sa culotte et finit par lui enlever complètement.
Ses fesses portent encore la rougeur de sa précédente fessée.
La première claque résonne dans le réfectoire, Caroline tend ses jambes sous la douleur et attrape le bord de la table. Le directeur continue la fessée, il claque une fesse puis l'autre, sans s'arrêter. Ses fesses rougissent de plus en plus, Caroline grimace, des larmes tombent au sol, elle sert les dents pour éviter de crier. Le directeur s'arrête d'un coup et tire une chaise de sous la table.

- Debout !

Caroline glisse sur la table, elle fait attention à garder ses jambes serrées. Elle se couvre avec ses deux mains, alors que le directeur l'écarte de la table. Elle ne peux s'empêcher cette fois-ci de crier lorsqu'il lui détache son soutien-gorge et vient lui libérer ses seins.
Le directeur s'assoit sur la chaise et bascule Caroline sur ses genoux. il la positionne pour commencer la fessée, les fesses relevées, sa tête touche presque le sol. La fessée reprend. Les claques arrivent sur ses fesses à un rythmes très rapide. Caroline glisse sur les genoux, la position n'est pas très confortable. Elle doit se tenir pour ne pas tomber au sol. Ses seins se balancent au rythmes des claques. Elle en reçoit une vingtaines ainsi, avant que le directeur n'arrête brusquement. Le silence n'est troublé que par les sanglots de Caroline qui peine à se relever.
Elle se calme peu à peu en se frottant les fesses et retrouve ses esprits. Elle sèche ses larmes, puis cache pudiquement son sexe, mais son attitude démontre qu'elle a compris qu'elle n'a plus rien à cacher.

- Montez sur la table, mettez-vous à genoux dessus !

- Bien droite et les mains posées sur votre tête !

Tête baissée, Caroline s'exécute se dévoilant complètement. Sa poitrine qu'elle trouve trop grosse et qu'elle tente désespérément de cacher d'habitude est maintenant à la vue de tous. Ses fesses, bien marquées, lui chauffent sans qu'elle puisse y toucher. Quant à devant, bien qu'elle soit brune, ses poils parsemés ne suffisent pas à cacher sa fente qui remonte malgré ses jambes serrées.

Elle reste ainsi plus d'une demi heure. Les élèves se lèvent, et portent leurs plateaux, si bien que tous peuvent la voir de tous les côtés.

Le directeur revient lorsque la salle est presque vide. Il ramasse sa culotte et son soutien-gorge qui étaient restés par terre et lui demande de descendre.

- Venez et gardez vos mains sur votre tête !

Caroline le suit en comprenant qu'elle ne pourra pas remettre sa culotte avant de partir. Elle sort dehors avec seulement ses chaussures. Elle frissonne à cause du froid et sent ses tétons se durcir. Elle traverse la cour sous le regard amusés de quelques élèves avant d'entrer dans le bâtiment de l'administration.
Le directeur demande à sa secrétaire si tout le monde est bien arrivés. Caroline ne comprend pas, mais elle lui répond qu'ils attendent dans son bureau.
Lorsqu'il ouvre la porte, Caroline reconnait deux élèves de première année qui s'était battu la veille. Ils étaient accompagné de leurs parents, sans doute convoqués.
Le directeur dit bonjour, et présente aussitôt Caroline qui n'a pas résisté à mettre une main devant son sexe et un bras devant sa poitrine. La honte l'envahit quand elle reconnait le père d'un des deux garçons. C'est un ouvrier de son père qu'elle croise régulièrement.

Le directeur la retourne pour faire constater la rougeur de ses fesses.

- Voilà ce qui arrive lorsque l'ont dépassé les bornes ici. Caroline vient d'être fessée, dans le réfectoire devant tout le monde ! Que cela vous serve de leçon à tout les deux. Caroline va rester là pendant notre entretien pour que vous preniez pleinement conscience de ce que vous risquez.

- Mettez vous là ! A côté du bureau et les mains sur la tête.

Pendant tout l'entretien, Caroline reste ainsi à la vue de tous. Honteuse, en pensant que toute l'entreprise sera au courant que la fille du patron a été punie, et qu'ils auraient les détails de sa punition.

L'entretien se termine enfin pour Caroline. Le directeur accompagne les élèves et leurs parents. Caroline perçoit un léger sourire sur les lèvres de l'ouvrier de son père qui lui rend les yeux humides. Elle n'a pas bougé lorsque le directeur revient. Il lui montre ses vêtements sur son bureau et l'aurores à les remettre. Caroline se précipite dessus et commence à se rhabiller à la hâte.

- Votre punition est maintenant levée, mais je vous garde à l'oeil ! Au moindre écart, il n'y aura pas d'avertissement. Ce sera au réfectoire toute nue et fessée !

Consciente de ce qu'elle risque, Caroline referme sa veste et dit au directeur qu'elle a bien compris la leçon, puis sort du bureau.