tag:blogger.com,1999:blog-40334962352160905752024-03-04T01:25:28.419+01:00la fessée fantasméeVoici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.comBlogger58125truetag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-84734320445793413242022-10-06T11:36:00.000+02:002022-10-06T11:36:14.680+02:00Cinquième PunitionDepuis quelques jours, il y avait des rumeurs comme quoi quelque chose de grave avait été fait et qu'il y aurait surement une punitions collective, mais personne n'arrivait à en savoir plus. Autant sur ce qui a été fait que sur les personnes concernées ni quelle punition serait donnée.
Mais la semaine suivante, en arrivant le lundi matin les élèves découvrent trois filles alignées sous le préau. A genoux, les mains sur la tête face au mur. L'une d'elle, à la jupe relevée et tenue dans son dos par une épingle et sa culotte est descendue à la moitié de ses cuisses. Vu a couleur de ses fesses, il ne fait aucun doute, qu'elle vient de recevoir une fessée, et on peut imaginer que les deux autres ont subi le même sort même si on ne peut constater la couleur de leurs fesses.
Les élèves se regroupent derrière elles avant de monter en cours. Celle qui est déculottée, pleure à chaudes larmes, les deux autres regardent fixement le mur sans tourner la tête.
Personne ne sait encore pour quoi elles sont punies, et tout le monde souhaite comprendre mais le corps enseignant ne dit rien de la journée.
Dans l'après midi le directeur débarque dans la classe en plein cours et à peine entré, il demande à deux élèves de se lever et de venir le rejoindre sur l'estrade.
Deux filles du fond pose leurs stylos en se regardant et se levent timidement pour traverser la salle à petits pas. Le directeur les attrappe par les poignets pour qu'elles montent sur l'estrade et les aligne face à la classe.
- Mains dans le dos ! Toutes les deux !
Le directeur ne précise rien de plus, les filles obéissent peu rassurées. La blonde pousse un cri de surprise quand le directeur vient lui déboutonner son pantalon et le laisse tomber à ses chevilles. La blonde lève les yeux au plafonds quand le directeur vient porter se mains à son chemisier pour le défaire de son pantalon. Il lui remonte sur son ventre et comme à la première, il défait les bontons et aide le pantalon, plus serré à descendre jusqu'en bas. Les deux filles se retrouvent en culotte sur l'estrade, complètement paniquée, alors que le directeur sort un papier de sa poche et le lit.
- Laquelle de vous deux est Jessica ?
La brune lève timidement la mains, alors que le directeur s'approche d'elle sans nul autre explication et baisse sa culotte jusqu'à ses chevilles. Jessica pousse un cri et se met aussitôt à pleurer alors que le directeur lui remet les mains dans le dos. Jessica baisse la tête tandis que le directeur retourne l'autre fille et lui appuie sur le dos pour qu'elle se penche en avant. Il se place sur son côté et commence à lui claquer les fesses par desus sa culotte. Jessica n'ose pas regarder, le honte se lit sur son visage. Même si sa copine reçoit la fessée, ce qui interesse la classe, c'est son triangle abondament poilu qu'elle est obligée d'exhiber.
Quand le directeur a terminé la fessée, il remonte lui-même de pantalon de la jeune fille et la retourne pour qu'elle le referme.
- Vous pouvez retourner à votre place !
En traversant la classe, elle essuie ses joues et baisse la tête.
Jessica frisonne quand le directeur lui attrappe le bras. Elle doit aussi se retourner et se pencher en avant. Dans cette position ses poils ne peuvent tout cacher et les élèves découvrent malgré ses cuisses serrées les lèvres de son sexe. Une déferlante tombe sur ses fesses, après seulement quelques claques, ses fesses sont toute rouge. Elle bouge dans tous les sens mais est maintenue fermement par le directeur. Ses jambes s'écartent et laisse voir d'avantage son sexe mais elle semble ne plus s'en soucier. Quand le directeur arrête, elle frotte ses fesses sans retenue. Le directeur la retourne et lui plaque le dos contre le tableau.
- Mains sur la tête !
Jessica semble faire un effort surhumain pour faire ça.
Le directeur repart et la laisse ainsi sans autre explication. Avant de fermer la porte il ajoute au prof :
- Elle reste comme ça jusqu'à la fin du cours ! Culotte baissée...
Personne ne comprend ce qui se passe. Les explications sont arrivées le lendemain après une autre punition à l'heure du déjeuner. Cette fois-ci c'est un garçon qui est agenouillé dans la salle de restaurant, complètement nu, et lui aussi les fesses rougies.
Après, le déjeuner, sous le préau, une affiche a été mise, contenant douze noms et photos des personnes concernées par la punition collective. On retrouve les trois filles qui ont été punie sous le préau, les deux en classe, mais déjà tout l'établissement savait qu'elles avaient été punies et le garçon de la cantine. Ce que les élèves découvrent ce sont les six autres filles concernées. Il y a ausi les raisons de la punitions : Depuis plusieurs années, l'établissement Saint Joseph, l'autre école privée de la ville, exclusivement masculin, entretien une relation tendue avec l'école. Les élèves arrogants se croyant supérieurs écrassent dans leur propos mais aussi dans leurs résultats scolaire l'école. Cela avait entrainé des rivalités croissantes.
Sauf qu'au dernier examen, les notes de Saint Joseph ont été bien inférieures à celles de l'école. Les responsables ont trouvé ça louche et ont mené leur enquête.
Il en est ressorti, que les élèves aidés par par un ancien de Saint-Joseph, celui qui a été puni à la cantine, se sont oraganisés chacun à leur niveau pour entrer dans Saint Joseph et modifier les copies avant la correction de l'examen.
L'affaire a pris des proportions énormes, les responsables des écoles et les parents d'élèves s'en sont melés, et aujourd'hui, tout le monde prend conscience de la gravité des choses.
Les élèves qui découvrent leurs propres noms sur l'affiche paniquent. Certaines sont obligées d'aller s'assoir à l'écart pour reprendre leurs esprits. Mais cela n'empêche pas que les regards convergent vers elles.
Le directeur approche de l'attroupement et semble chercher au milieu des élèves, puis se dirige vers Emilie qui le regarde approcher, d'un air apeuré. Il l'attrappe par les vêtements au niveau de son épaule et l'écarte du groupe.
- Où est votre copine Marion ?
Les regards convergent vers Marion dont le rouge envahit les joues immédiatement.
- Venez ici !
Marion s'approche et le directeur l'empoigne de la même façon, mettant une fille de chaque côté.
- Voici les deux personnes qui ont fait le guet pendant que leurs complices sont entrées par effraction dans Saint Joseph. Elles étaient pleinement conscientes de ce qui se faisait et vont immédiatement être punie à la hauteur de la gravité de leurs agissements.
- Emilie ! Baissez votre pantalon !
Emilie devient blème, tandis que Marion cache son visage dans ses mains pour pleurer. emilie ne peut se résoudre à faire ça :
- S'il vous plait Monsieur, pas devant tout le monde. On ne va pas montrer nos culottes...
- J'en ai rien à faire qu'on voit votre culotte. Mettez votre pantalon sur vos chevilles et immédiatement !
Le directeur a haussé le ton, si bien que plus personne ne parle. Emilie tremble comme une feuille, se retenant de pleurer. Le directeur attend les bras croisé tandis qu'Emilie le supplie du regard, puis se met à crier et à pleurer quand le directeur se dirige vers elle.
Emilie se débat mais le directeur lui emprisonne les poignets et défait les boutons de son pantalon. Emilie est en larme quand il commence à descendre son pantalon en tirant de chaque côté jusqu'à ses pieds. Il ne lui lache pas les poignets et Emilie ecarquille les yeux quand il se saisit de l'elastique de sa culotte et lui baisse d'un coup jusqu'aux genoux.
En lui lachant les poignets, le directeur l'avertit avec sévérité de ne pas remonter sa culotte, puis se dirige vers Marion.
Emilie cache son visage avec ses mains, tandis que c'est au tour de Marion de blêmir.
- Il faut que j'agisse comme avec votre copine, ou vous allez descendre votre jupe sur vos chaussures sans discuter ?
Marion comprend aussitôt et se hâte de dégrapher sa jupe malgré ses mains qui tremblent, et la laisse tomber à ses pieds tandis que le rouge envahit maintenant ses joues.
- Retournez vous et penchez vous en avant, les mains aux chevilles !
Marion obéit et se force à se mettre dans la position demandée. Elle sent le regard des autres sur ses fesses et ses yeux s'embrument. L'approche du directeur la fait tressaillir. Et la première claque la fait sursauter. Le directeur doit lui dire de se remettre en position et lui en donne une autre. Puis il lui emprisonne les hanches de sa main gauche et lui donne une grosse fessée avec la droite. Il s'arrête quand Marion commence à gesticuler dans tous les sens et la redresse.
Avant même que Marion n'ait le temps d'y penser, il lui dit de laisser sa jupe à ses pieds puis revient vers Emilie. Il a retourne et la penche en avant et commence la fessée. Les fesses blanche d'Emilie rougissent en un rien de temps. Les claques sont appuyées et la font crier, mais ceci n'apitoye pas le directeur qui continue en la tenant fermement. Quand il s'arrête ses fesses sont totalement rouge; il attrappe Emiile par l'oreille et la conduit vers le mur en traversant les élèves qui s'écartent sur leur passage. Emilie avance en pleurs à petits pas enchevêtrée dans son pantalon et sa culotte. Il lui colle le nez au mur et lui met les mains au dessus de la tête puis appelle Marion.
Marion doit remonter un peu sa jupe pour pouvoir marcher jusqu'à lui. Il l'a met au piquet face au mur comme Emilie et quand elle est installée, il baisse complètement ses collants et sa culotte, pour que ses fesses rouge apparaissent aux yeux de tous.
Face au mur, Marion ne peut retenir ses larmes quand elle entends qu'elle et sa copine vont restées ainsi une bonne partie de l'après-midi.
Avant de repartir laissant les filles ainsi, le directeur ajoute :
- Pour les quatres dernières qui n'ont pas encore été punies, je veux vous voir dans mon bureau demain matin à 8 heure !
Le lendemain les quatre filles arrivent à l'heure, la mine deconfite. Elles entrent dans son bureau quand le directeur les autorise. Allignées devant, elles attendent silencieuses et anxieuses.
- Le directeur de Saint-Joseph et moi-même souhaitons savoir qui de vous quatre à eu l'idée de cette mascarade ? J'attends de vous que celle-ci se dénonce...
Le directeur attend, aucune de dit rien même si des regards s'échangent.
- Bon si personne ne se dénonce, je vais vous envoyée toutes les quatres vous expliquer à Saint-Joseph...
Les filles levent la tête et se regardent entre-elles.
- A moins que celles qui n'ont pas eu cette idées dénonce la ou les coupables !
A ce moment les filles paniquent et s'accusent mutuellement. Le directeur les laisse faire. Mais dans le brouhaha, il comprend facilement que c'est Delphine seule qui a eu l'idée de tout ça. Il frappe du poing sur son bureau pour stopper net les conversations :
- Delphine, est-ce bien vous qui êtes l'instigatrice de cela ?
Delphine baisse la tête et ne peut répondre qu'avec un hochement.
- Bon ! Demain vous venez à l'établissement avec votre uniforme complet, je viendrai vous voir. Vous pouvez retourner en cours, alle-y sortez...
Delphine lève la tête, et semble vouloir demander quelque chose, mais ne dis rien finalement et sort du bureau.
Les trois autres filles restent allignées devant le bureau, se demandant pourquoi elle a été libérée alors qu'elles sont encore là.
- Bon alors toutes les trois, vous avez eu un rôle prépondérant dans cette histoire puisque vous avez pénétrés dans Saint-Joseph.... Vous allez donc être punies et fessées en même temps aujourd'hui ! Votre professeur d'histoire, votre professeur principal et moi-même vous punition tout à l'heure au refectoire...
Les filles restent silencieuses en accusant le coup, elle se regardent, cetains yeux s'embrument et les lèvres tremblent sachant ce qui s'est passé la veille.
- ça c'est concernant votre fessée, maintenant mettez-vous toutes les trois en culotte !
Les filles se ragardent, Amandine éclate en sanglot.
- J'ai dit en culotte ! Dépechez-vous sinon je n'hésiterai pas à la baisser si vous n'obéissez pas !
Céline est la première à déboutonner son pantalon, le directeur lui dit d'enlever ses chaussures pour ôter complètement son pantalon et regarde sévèrement les deux autres. Quand Céline finit d'enlever son pantalon Aurelie, complètement dépitée se décide à enlever sa jupe. Amandine se cache dans ses mains incapable de bouger. Elle crie quand le directeur font sur elle. Il relève la bas de robe et lui passe au dessus de la tête, il fait de même pour son maillot. Amandine continue de crier, son visage est baigné de larmes. Sans ménagement il lui fait faire une demi-tour et lui dégraphe son soutien-gorge puis la remet à l'endroit pour lui arracher. Et il la force a avancer vers son bureau pour qu'elle se penche dessus. Il baisse d'un coup sa culotte en même temps que son collant et lui assène une dizaine de claque bien sonores. Une fois terminé il remonte sa culotte et la lâche.
Céline et Aurélie regarde la scène interloquées :
- Dépêchez vous si vous ne voulez pas la même chose !!!
- céline remettez vos chaussures !
Aurélie termine d'enlever sa jupe et elles restent toutes les deux ainsi.
- J'ai dit en culotte ! Enlevez le haut ! Seins nus comme votre copine !
Une nouvelle fois c'est Céline qui se décide, elle enlève son pull et retire son soutien-gorge, puis cache ses seins avec ses deux mains. Aurélie la regarde faire, horrifiée. Puis commence à déboutonner son chemisier. Des larmes coulent sur ses joues lorsqu'elle l'enlève. Elle cache sa poitrine avec son bras avant de dégrapher son soutien-gorge, puis l'enlève en évitant d'en montrer plus.
Voyant ses deux copines Amandine, elle aussi à couvrire sa poitrine de ses bras.
Le directeur recupère tous les vêtements que les filles ont posé par terre.
- Voilà votre tenue pour aujourd'hui, ainsi tout le monde saura que vous êtes punies !
Amandine continue de pleurer et c'est au tour de Aurélie d'éclater en sanglot, Céline essaie de rester digne, même si le tremblement de ses lèvres la trahisse.
Le directeur fait le tour des trois filles et leur ordonne de poser leurs mains au dessus de leurs têtes, puis repasse devant.
Aurélie rougit quand le directeur lui dit que son sous-vêtement n'est pas très conventionnel et elle regrettre d'avoir mis un string.
Les trois filles sont alignées, têtes baissées, Amandine et Aurélie essaient de se calmer et d'arrêter de pleurer. Aurélie, une grande brune porte des bottes et des bas noir ainsi que son string noir. Celine est plus petite, blonde sportive a une culotte sage en coton blanc et des chaussures plate et Amandine est plus trapue, blonde taille moyenne, les cheveux attachés, sa poitrine est de loin la plus généreuse, tout comme ses fesses. Elle a des chaussures à talons et une culotte en dentelle rouge qui contraste avec ses collants beige transparent.
Le directeur va ouvrir la porte et les invite à sortir :
- Vous pouvez ragagner votre cours habituel.
Les filles sortent en essayant d'être les moins visible possible. Elle n'arrivent pas à ce décider à se rendre dans leurs classes. Aurélie et Amandine, sont dans la même classe et après quelques minutes se décident en cachant leurs poitrine de retourner en cours. Estimant qu'il vallait mieux obéir. Céline, se retrouve seule et n'arrive pas à entrer dans la salle de classe. Elle fait finalement demi-tour avant d'entrer et s'enfuis.
Le directeur est averti à la pause de l'absence de Céline. Il ordonne aussitôt de la retrouver et de la conduire dans son bureau. Les surveillant ne tardent pas à la retrouver enfermée dans les toilettes et la voilà à nouveau au milieu du bureau du directeur. Elle attend tremblante qu'il arrive.
La porte claque derrière elle ce qui l'a fait sursauter. Le directeur va s'assoir à son bureau.
- A la fin de la pause, je vais vous conduire moi même dans votre classe, ainsi je serai sûr que vous y êtes.
Céline attend, debout, toujours tremblante, les bras croisés, les mains sur ses épaules pour que ses bras cachent ses seins.
Le directeur se lève et vient attrapper Céline par le bras, il la conduit à travers les couloirs jusqu'à sa salle de cours. Les élèves sont déjà entrés et les couloirs sont vides. Il la lache devant la porte, le coeur de Céline accélère encore, et il la pousse face à la porte restant derrière elle :
- Allez-y frappez à la porte...
Céline doit le faire, elle frappe timidement en laissant échapper quelques larmes quand on demande d'entrer. Puis elle pousse un cri quand elle sent d'un coup sa culotte tomber sur ses chevilles. Dans le même temps, le directeur enclanche et l'ouvre puis pousse Céline à l'intérieur. Elle manque de tomber en se prenant les pieds dans sa culotte et éclate en sanglots lorsqu'elle se retrouve face à tout le monde. Le directeur libère sa culotte de ses chevilles et lui demande d'aller à sa place, puis repars avec sa culotte dans ses mains.
Peu de temps avant de manger, les sureveillants viennent chercher les troise filles dans leurs classe pour les emmener au refectoire. Elle doivent à nouveau se lever et traverser la salle, l'exercice est encore plus difficile pour Céline qui est toute nue. Chacune se prépare à recevoir sa fessée. La salle leur parait impressionnante même si elle est encore vide pour le moement. Chacune est conduite vers un coin de la salle. Une table a été installée et elle doivent s'agenouiller dessus les mains sur la tête, le nez collé au mur. Les tables ont été volontairement un peu espacée du mur pour que les filles se penchent et que la position les fesses en arrière soit inconfortable pour elles.
Leurs coeurs se met à battre à tout rompre quand les premiers élèves arrivent. Elles ne doivent pas bouger, elle entendent derrière elles les commentaires sur leurs tenues et leur punition. Le temps leur parait durer une éternité, leurs bras sont lourds, leurs genoux les font souffrir. Les surveillants viennent les libérer quand tout le monde à terminer son repas. Elles sont conduites au milieu du refectoire où les attends le directeur et les deux profs. Le directeur choisi Céline, le prof principal attrappe Amandine, et le prof d'histoire Aurélie. Chacun allonge sa punie sur ses genoux et les place. Les filles ont toutes les trois les mains posées à plat par terre et les jambes en l'air.
- Mesdemoiselles, nous avons décidé que votre fessée sera particulièrement sévère. Vous allez chacune recevoir 80 claques particulièrement appuyées.
Amandine se rappelle des 10 claques qu'elle a reçu le matin et se demande comment elle pourra en supporter autan.
- Pour moi, c'est déjà fait, mais vous messieur, vous pouvez déculotter vos punie.
Amandine et Aurélie relève la tête en même temps, mais emprisonnée sous les bras de leurs profs, elles ne peuvent éviter ça. Aurélie sent son string descendre sur ses mollets. C'est plus compliqué pour le prof d'histoire qui décide de relever Amandine. Une fois debout à côté de lui, il baisse son collant et le descend jusqu'aux chevilles et baisse sa culotte aussi. Il n'en faut pas plus pour qu'Amandine éclate en. Il la replace sur ses genoux. Les claques tombent en même temps, lentement. Très appuyées sur chacune des fesses. Les rougeurs apparaissent vite. Les gemissements suivent peu de temps après, mais la fessée continue.
Les trois pleurent, les jambes commencent a s'agiter. Petit à petit les cris remplacent les pleurs à chaque claque. Nous en sommes à la moitié de la punition, quand Aurélie essaye de se protéger les fesses. Le directeur est obligé d'arrêter pour rappeller les rêgles: les mains ne doivent pas quitter le sol... Chacune profite de se répit pour souffler, mais la fessée reprend plus intensement encore. Leurs fesses sont recouvertes de rouge à la fin de la fessée. Les trois filles restent prostrées sur les genoux en larmes. Le string d'Aurélie est tombé par terre pendant la punition. quand son prof la relève, elle est aussi nue que sa copine Céline mais ne semble pas s'en préoccupper. Elle frotte ses fesses en pleurant. Seule Amandine pense à remettre sa culotte à peine relevée epuis se cache le visege, laissant ses collants à ses pieds, Le directeur recupère le string d'Aurélie et va demande à Amandine d'enlever sa culotte.
Devant l'insistance du directeur, elle obligée d'enlever ses collants et de se mettre toute nue elle aussi.
Le refectoire se vide et les filles sont conduites dans leurs classes respectives ou elle devront passer l'après-midi toute nue.
Vu le sort des filles Delphine n'arrive pas à dormir cette nuit là. sans arret reveillée par des cauchemards ou elle est punie. Elle arrive à l'établissement avec un peu d'avance, le directeur est déjà là. Elle frappa timidement à la porte et entre quand elle y est invitée.
Le directement l'attend avec un autre homme qu'elle ne connait pas.
- Delphine ! Voici M. Firmin, directeur de Saint-Joseph !
Delphine blêmit. Bien qu'elle ne le connaisse pas, sa réputation stricte et sévère le précède. Il lui adresse un poignée de main qui ne la rassure pas. Il semble la détailler de la tête au pieds ce qui la gêne énormément. Comme convenu, elle porte son uniforme de l'école, celui qui est normalement reservé aux représenation de l'établissement.
- Avec M. Firmin, nous avons encore à échanger sur les détails de votre punition. En attendant vous allez pouvoir suivre vos cours habituels. Nous irons vous chercher lorsque nous serons prêts.
Delphine a la gorge sèche, elle n'ose rien dire et s'apprête se retirer sans poser de questions. Avant qu'elle ne ferme la porte le directeur la retiens :
- Tout à l'heure M. Firmin vous emmenera à Saint-joseph, c'est la bas que vous serez punie. Quand à votre punition ici, ce sera pour demain...
Delphine referme la porte et s'écroule derrière. ça dépasse tout ce qu'elle avait imaginer. Aller à Saint Joseph... Seule... dans l'établissement qu'elle ne supporte pas et composé uniquement des garçons.
Elle doit reprendre ses esrprits et retourner en cours.
Elle sèche ses larmes et sent tous les regards posés sur elle à cause de son uniforme. Elle n'écoute rien au cours trop préoccuppée de ce qui va suivre. L'entrée des directeurs la rammène à la réalité. Elle doit rassembler ses affaires pour les suivre. Le directeur prend rapidement congès, et Delphine se retrouve seule avec M. Firmin.
Son attitude change radicalement en sortant de l'établissement, il l'attrape par sa veste au niveau de son épaule comme pour la soulever :
- Alors comme ça, c'est vous qui avait manigancer tout cela... Je peux vous dire que vous allez amèrement le regretter ! Je vais m'occuper de vous croyez moi !
Il la lache et la pousse dans le dos pour qu'elle avance. Saint Joseph est à quelques rues et ils y vont à pieds. Arrivés dans la rue M. Firmin lui ordonne de mettre ses mains sur sa tête. Delphine panique et regarde autours d'elle, il y a des gens un peu plus loin. Une claque lui arrive sur les fesses sans qu'elle ne s'y attende. Son premier reflexe est de regarder si quelqu'un a vu
- Vous allez apprendre que quand je demande quelque chose, il faut le faire de suite sinon je vous jure que ce sera pire pour vous. Comme maintenant, ça vous servira de leçon...
Vous allez remonter votre jupe immédiatement que je vous claque les fesses et je vous previens d'ores et déjà, si vous hésitez je baisse votre culotte dans la rue... Allez-y !
Delphine regarde à peine autours d'elle et remonte rapidement l'arrière de sa jupe. Deux violentes claques lui sont données. Elle baisse aussitôt sa jupe et baisse la tête persuadée que tout le monde l'a vue.
- Continuez, les mains sur la tête.
Elle obeit cette fois-ci et entre dans saint Joseph ainsi. Tout le monde est dehors et son entrée est fortement remarquée. Une fille dans l'établissement c'est extrêmement rare quant au fait d'être punie, ce n'est jamais arrivé.
Le directeur la conduit dans son bureau. Delphine n'ose pas retirer les mains de sa tête, et le directeur ne lui dit rien. Elle reste ainsi un moment.
- On va faire la liste de ce que vous portez... Je vous écoute...
Delphine ne comprend pas.
- Dites moi ce que vous avez sur vous ??
Delphine ne comprends toujours pas pourquoi il veut noter ça, mais énumère timidement ses vêtements :
- J'ai... une jupe et ma veste de l'établissement... Euh un chemisier... Et un débardeur...
- Oui je vois que vous avez des bottinnes aussi, je note pour être sûr que vous n'oubliez rien quand vous allez repartir d'ici. Vos sous-vêtements ?
Delphine rougit et coninue :
- J'ai une culotte et un soutien-gorge... et des collants aussi.
Le directeur termine de noter.
- Votre chemisier et votre débardeur ne seront pas utiles, enlevez-les !
Delphine se souvient aussitôt de ce qui s'est passé à l'extérieur et rouge de honte elle enlève veste et deboutonne son chemisier puis le pose avec son débardeur sur une chaise.
- Vous n'allez pas les remettre, pliez les correctement et donnez les moi.
Delphine reste en soutien-gorge pour faire ça. Elle fait tout pour éviter les regards du directeur et s'applique pour plier correctement ses vêtements. Elle a les joues en feu, sa poitrine assez forte par rapport à sa taille moyenne la complexe déjà beaucoup et d'être comme ça devant un homme la gêne énormément. Elle baisse les yeux quand les donne ses vêtements au directeur qui va les ranger directement dans un placard. Quand il revient, Delphine est en train de remettre sa veste. une grosse classe lui arrive par dessus sa jupe, elle doit se retenir au bureau pour ne pas tomber.
- A aucun moment vous ne devez remetre un vêtement sans que vous en ayez l'autorisation. Et sa vaut pour tous vos vêtements y compris votre culotte quand elle vous sera retirée !!! C'est bien compris ?
Delphine hôche de la tête en se retenant de pleurer et retire sa veste. Puis est envoyée au coin le temps que le directeur termine un dossier.
Losqu'il a fini, il l'autorise à remettre sa veste. Delphine la ferme mais remarque que son déculotté est assez plongeant sans rien dessous.
- Vous allez me suivre, nous allons faire le tour des classes pour vous présenter et expliquer ce que vous avez fait, suivez-moi...
Delphine est rouge de honte en entrant dans chaque salle. Elle se sent bien seule au milieu de tous ces garçons. Les directeur explique à chaque fois en détails ce qu'elle a fait. Delphine baisse la tête et ne dis rien, mais les rares fois ou elle lève le regard, elle a l'impression que tous les garçons ont le nez plongé dans son décoletté. Elle peut soufler quand la dernière classe est faite. C'est l'heure de la pause, et les élèves commercent à sortir des salles. Dans les couloirs, elles doit marcher derrière le directeurqui lui a imposser de mettre ses mains sur la tête. Elle ne regarde que ses pieds et se retient de crier ou de gifler les élèves qui passe beaucoup trop près d'elle, laissant volontairement trainer leurs mains.
Le directeur la conduit jusqu'à la salle des professeurs et explique également à ses collègues pourquoi Delphine est là. Certains professeurs sont outrés surtout le prof de Maths qui précise que si c'était un élève de l'établissement, il serait dans la cour le slip baissé. Le directeur lui répond aussitôt :
- Ne vous inquiètez pas. Nous n'avons jamais était laxiste ici, et ce n'est pas parce-que Delphine ne fait pas parti de nos élèves que ça va changer. Elle va être sanctionnée à la hauteur de ces actes et sans clémence de notre part même si c'est une fille.
L'échange entre le directeur et le prof de Maths inquiète Delphine au plus haut point. Elle doit à nouveau le suivre toujours les mains sur la tête jusqu'à son bureau. En chemin le directeur lui dit qu'il va la mettre au coin jusqu'à midi pour qu'elle ait le temps de refléchir à sa bétise. Delphine sait que 10 heures vient juste de passer et se demande comment elle va pouvoir rester presque deux heures au coin.
En arrivant dans le bureau, le directeur conduit Delphine jusqu'au mur face à lui. Il pose par terre une rêgle en lui disant que ses genoux ne devront pas la dépasser et il l'écarte du mur de 50cm. Delphine s'agenouille derrière et doit mettre ses mains sur sa tête. Il lui impose ensuite de toucher le mur avec son nez. En équilibre sur ses genoux la posture est loin d'être confortable. Elle manque de tomber lorsqu'elle sent le directeur lui remonter sa jupe, il la retourne complètement sur son dos et va s'installer à son bureau.
Le temps passe, et Delphine bouge de plus en plus. Elle a mal aux bras et aux genoux, mais ce qui la fait le plus souffrir c'est son dos, dans cette position cambrée. Au bout d'une heure le directeur l'autorise à se lever une minute pour se dégourdir, puis doit retourner dans la même position.
Lorsqu'il la libère peu avant midi, elle ne sent plus ses bras, ses genoux lui font très mal. Elle a du mal à se lever et doit faire un effort pour aller jusqu'au bureau où il l'attend pour lui remettre sa jupe.
Il la conduit ensuite à la cantine, sur le trajet, elle apprend qu'elle doit rester ici jusqu'au lendemain matin et que le directeur la rammenera à son école pour qu'elle subisse sa punition la-bas. Delphine est dépitée d'être obligée de rester ici toute la nuit.
Quand il arrive à la cantine, quelques élèves sont déjà à table. Le directeur l'installe seule à une table au milieu du refectoire. Delphine mange tandis que la salle se remplit petit à petit. Elle nose pas lever le nez de son assiette et sent tous les regard braqués sur elle. Quand elle a fini, le directeur lui dit de débarasser sa table et de revenir. Elle traverse la cantine sous les golibets des élèves, puis revient à sa place.
- Montrez sur la table !
Delphine regarde le directeur d'un air interrogateur.
- Allez-y montez, débout sur la table !
Elle doit s'aider de la chaise et faire attention de ne pas montrer sa culotte en montant. Une fois debout il lui ordonne de mettre ses mains sur sa tête. Les joues cramoisies, elle comprend qu'elle va rester ainsi le temps du repas sous les regard de l'emsemble des élèves de l'établissement.
Après le déjeuner elle est conduite dans une salle où les élèves ont une épreuve à passer. Le directeur l'assoit à un bureau qui a été placé expressement sur l'estrade face aux élèves. Delphine ne s'habitue pas à être le centre d'intéret, elle croise les jambes, mais elle sait que celles-ci attirent tous les regards des garçons en face d'elle, ce qui la met dans une situation de gêne.
Le directeur lui apporte une copie :
- Voici l'épreuve de Maths que nos élèves ont passé et dont vous avez modifier les résultats. On verra si vous êtes capable de réussir cet examen... Vous avez deux heures !
A l'issue, notre professeur de Mathématiques vous corrigera.
Delphine commence à travailler et comprends la dificultés de l'épreuve. Son niveau de Maths est visiblement inférieur. Elle essaie malgré tout, de résoudre quelques équations mais sait pertinament que le résultat sera très médiocre.
A la fin de l'épreuve, elle élèves sortent. Elle doit rester dans la salletandis que le prof de Maths prend sa copie pour la corriger. Les ratures qu'il fait dessus et la tête dépitée qu'il exprime ne la rassure pas. Le directeur arrive et demande comment ça s'est passé. Le prof de Maths lui tend la copie corrigée...
- Eh bien, Mademoiselle... Il n'y a pas de surprise, nous nous attendions à ce résultat ! Votre niveau est bien médiocre...
Il retourne la copie face à Delphine, et elle lis un 3 sur 20 noté en rouge.
- Levez vous et penchez vous sur le bureau !
Sachant à quoi s'attendre, Delphine se lève timidement et se penche sur le bureau.
- Ici toutes notes inférieures à 5 sur 20 est sanctionnée par une fessée donnée par le professeur de la matière.
Delphine aggrippe la table lorsque le professeur de Maths attrappe le bas de sa jupe pour lui remonter, elle ferme les yeux quand celui-ci fait descendre ses collants et serre les dents tandis que les claques arrivent sur ses fesses. Elle seprépare au pire, mais au baut d'une dizaine de claques, elle constate qu'il remonte son collant. Elle peut se relever et machinalement descend sa jupe. Puis se rappellant les avertissements du directeur, la remonte immédiatement ce qui fait sourire le prof de Maths.
Après la pause, Delphine est emmennée dans une classe pour assister à un cours d'Histoire clôturant la journée. Les élèves se dirigent ensuite vers une grande salle où tous les élèves sont réunis pour une heure d'étude. C'est là qu'ils font leurs leçons pour le lendemain. Delphine les suit en essayant de ne pas faire attention et ne pas réagir aux moqueries qu'elle subit sur le trajet.
Le rythme de son coeur s'accélère lorsqu'elle voit le directeur attendre à l'entrée. Il lui dit d'attendre dans le couloir, tout le monde passe devant eux pour entrer dans la salle. Ils s'installent en silence, le directeur ferme la porte et reste dans le couloir avec Delphine
- Vu que vous n'avez pas de leçon à faire, vous allez passer cette heure-ci au piquet. Vous irez vous mettre à genoux face au tableau sur le bureau du surveillant. Et les mains sur la tête...
Dephine est dégoutée de passer encore une heure au coin à la vue de tous mais doit se résoudre à obéir, elle s'apprête à y aller mais le directeur la retient :
- Laissez-moi votre jupe avant !
Delphine ecarquille les yeux et reste figée. Le directeur fronce les surcils :
- Faut-il que j'enlève votre culotte pour que vous vous decidiez à bouger ?
Delphine sort de sa torpeur d'un coup, elle defait sa jupe et l'enlève. Le directeur ouvre la porte, et la pousse à l'intérieur, en lui donnant une claque aux fesses.
Elle avance rouge de honte jusqu'au bureau et ne tarde pas à se mettre à genoux pour tourner le dos aux garçons. Derrière elle, elle entend les rires et les moqueries et sent une larme couler sur sa joue.
L'heure lui parait durer une éternité. Elle peut souffler lorsqu'elle entend derrière elle les élèves ranger leurs affaires signifiant la fin de l'étude. Elle n'ose pas bouger quand les élèves sortent. Le directeur vient quand la salle est vide. Il s'approche de Delphine et sans rien dire, lui déboutonne sa veste. Elle baisse les yeux quand il lui enlève.
Delphine est obligée de le suivre ainsi quand ils sortent de la salle. Ele prie pour ne croiser personne. Ils passent par le bureau du directeur mais celui-ci ne fait que déposer sa veste et repartent aussitôt. Delphine commence à paniquer quand elle reconnait le chemin menant vers le refectoire. Incapable d'avancer plus, elle s'arrête au milieu du couloir quand elle entend les bruit venant de la cantine. Le directeur fait demi-tour pour venir la chercher. Il la pousse dans le dos, mais Delphine n'avance pas et se met à pleurer. Delphine pouss eun cri qui est entendu jusqu'à la cantine quand sa culotte est baissée en même temps que son collant. Elle n'a pas le temps de réagir qu'elle est déjà pliée en deux et le directeur lui donne des claques bien sonores. Puis il l'attrappe pour repartir. Delphine marche en remontant comme elle peut sa culotte. Elle arrive à la remettre correctement avant d'entrer dans la salle mais le directeur la fais traverser en la tenant fermement et elle doit marcher avec son collants descendu aux genoux. Lorsqu'il la lache elle s'empresse de le remonter.
Comme au repas du midi, elle mange seule à sa table et après le diner, elle doit monter sur la table, les mains sur la tête. Sa tenue ajoute à sa punition et elle ne peut arrêter de pleurer quand elle voit tout le monde la regarder ainsi.
A la fin du repas, le directeur vient la libérer, en lui disant de descendre, et l'invite à s'assoir en face de lui.
- Nous arrivons au terme de la journée. Après le diner, avant d'aller nous coucher, nous nous réunissons tous pour la veuillée. Je vais à présent vous y conduire... C'est le moment que j'ai choisi pour vous punir !
Delphine devient blanche mais le directeur ne lui laisse pas de répis :
- Je vais vous donner une fessée devant tout le monde.
Delphine met son visage dans ses mains pour pleurer tandis que le directeur se lève et vient la chercher en la tirant par le bras. Delphine se lève doucement et suit péniblement le directeur.
Tout va très vite quand elle entre dans la salle. Le directeur demande l'attention de tout le monde et explique qu'il va fesser Delphine. Tous arrêtent leurs activités, Delphine ne peut relever la tête et continue de pleurer. Le directeur s'assois sur une chaise et bascule Delphine en tavers de ses genoux, et commence directement la fessée. Sa main s'abat sur les pauvres fesses de Delphine avec lourdeur. Seul le bruit des claques resonne dans la pièce, aucun mot n'est échangé entre les élèves qui regardent médusés la punition. Delphine pose ses mains par terre pour ne pas basculer en avant, ses jambes s'agitent à mesure que la fessée avance. Malgré son collant tout le monde peut remarquer que ses fesses prennent de la couleur.
Lorsqu'il arrête, Delphine se relève d'un bond et frotte ses fesses en pleurant et en sautant d'un pied sur l'autre.
Le directeur la rapproche de lui en la prenant par les hanches et lui baisse sèchement son collant alors que Delphine pousse un cri en voyant ça. Il lui donne une claque sur les mains quand elle veut le retenir et termine de lui baisser jusqu'aux chevilles puis il la bascule à nouveau sur ses genoux.
La fessée recommence sur le même rythme que la première fois. Le directeur frappe sur les parties qui ne sont pas protégées par sa culotte. Ses fesses rougissent encore et Delphine ne controle plus rien, elle crie, se débat, pleure.... mais rien n'y fait. Le directeur continue d'abattre sa main à un rythme régulier sur ses fesses. Il s'arrête d'un coup et relève Delphine qui se laisse manipuler comme un pantin. Il l'emmêne jusqu'à l'angle de la pièce et la force à se mettre à genoux. Il la redresse puisqu'elle s'est affalée sur ses talons et pose lui même chacune de ses mains sur sa tête, puis la rapproche du mur en la prenant par la nuque.
- Veuillez à ce que votre nez ne se décolle pas du mur, vous allez patientez ici une demi-heure !
Avant de partir, il descend sa culotte à mi-cuisses pour exposer ses fesses rougies. Delphine se décalle et baisse ses bras en un réflexe mais une grosse claque la dissuade de se rebeller plus que ça. Elle se contente de pleurer, le nez colé au mur.
Tout le monde se remet à ses occupations, mais Delphine sait que les regards s'orientent souvent vers ses fesses nues. Elle se calme à mesure que le temps passe. De temps en temps elle baisse un bras pour essuyer ses larmes ou frotter ses fesses. Le temps lui parait durer une éternité. Les élèves quittent peu à peu la salle, quand le directeur revient et la libère il n'y a presque plus personne. Delphine se relève et remonte sa culotte et son collant.
- Je vais vous conduire à votre chambre. Votre journée de punition est terminée. Demain matin vous recevrez une fessée et vous serez libérée après... Suivez-moi !
Delphine est rassurée que la journée soit enfin finie, mais est déjà terrifiée à l'idée d'être encore fessée demain.
Le directeur lui indique une salle de bain et lui donne une chemise en guise de pyjama.
- Vous pouvez aller vous doucher...
Delphine ressort 15 mns plus tard en chemise largement trop grande pour elle mais très courte, elle lui arrive juste sous les fesses. Le directeur lui prends ses vêtements des mains et lui demande où est sa culotte. Delphine répond timidement qu'elle l'a gardée car la chemise est trop courte. Le direteur lui dit aussitôt de l'enlever. Elle doit passer ses mains sous sa chemise pour lui donner sa culotte honteuse.
Il la conduit après jusqu'à sa chambre où Delphine à du mal à trouver le sommeil.
Elle est reveillée le lendemain en sursaut. Le directeur entre brusquement en criant debout et ouvre les volets, il la sort du lit sans ménagement. Elle n'a pas le temps de réagir, qu'elle est déjà poussée dans le couloir en direction du petit déjeuner.
Elle croise des élèves qui sont déjà prêts, habillés pour aller en cours. Elle émerge et tire doucement sur sa chemise pour la faire descendre au maximum. Le directeur lui dit de retourner à sa chambre après son déjeuner.
De retour dans sa chambre elle attend assise sur son lit. Le directeur entre sans frapper, il lui jête ses vêtements sur son lit et lui dit d'aller se préparer dans la salle de bain. Delphine prend ses vêtements et lève la tête vers le directeur d'un air interrogateur...
- Oui c'est comme hier, vous resterez en sous-vêtements... quant à votre culotte, c'est normal, vous n'alliez pas la remettre deux jours de suite. Delphine commence à se plaindre et à paniquer, mais le directeur l'attrappe par la chemise et la dirige vers la salle de bain.
Le directeur attend devant la porte tandis que Delphine se prépare. Au bout de quelques minutes il n'entend plus rien et commence à s'impatienter. Il frappe à la porte en lui disant de se dépêcher. Sans réponse de sa part, il se décide à entrer et découvre Delphine assise sur le bord de la baignoire encore en chemise avec ces collant dans les mains. Elle se mets à pleurer en voyant le directeur fondre sur elle, et le supllie :
- Non ! S'il vous plait je ne veux pas rester en collant... s'il vous plait...
Mais le directeur la ramène dans la chambre et s'assoit sur le lit en basculant Delphine sur ses genoux :
- Encore une fois vous ne voulez pas obéir...
Et il relève le bas de sa chemise, pour découvrir ses fesses et commence à claquer ses fesses nues. Delphine se débat et crie. Quand elle relève la tête elle s'apperçoit que des élèves passent dans le couloir et regardent par la porte restée ouverte. Elle baisse la tête pour ne plus voir ses regards ravis et moqueurs. Puis elle se sent soulevée et le directeur l'allonge sur le dos sur le lit. Il rammase ses collant tombé par terre et lui attrappe une jambe pour commencer à lui enfiler. Delphine n'ose plus bouger, elle regarde rapidement vers la porte et constate qu'il n'y a plus personne...
- Il faut que je vous les enfile entièrement, ou vous vous décidez à le faire ?
Delphine fait non de la tête et commence à remonter son collant. Pendant ce temps le directeur lui déboutonne sa chemise. Il lui dit de se lever avant même qu'elle ait terminé et lui enlève sa chemise puis termine de remonter son collant. Delphine sa cache du mieux qu'elle peut.
- Allez chercher vos chaussures et votre soutien-gorge !
Delphine doit sortir en collant et traverser le couloir. Elle se dépêche et remet son soutien-gorge dans la salle de bain. Le directeur l'attend dans le couloir. Delphine ressort en cachant son sexe de ses deux mains. Elle traverse le hall rempli d'élève tête baissée, tous les regards se tournent sur son passage et elle doit encaisser les commentaires. Le "Elle n'a plus de culotte", lui fait prendre encore plus consience que ses fesses sont totalement exposées.
Le directeur la conduit dans une salle encore vide :
- Vous rester ici pour assister au cour et à la pause, vous venez me rejoindre dans mon bureau. Nous irons dans le hal pour vous fesser pendant la pose...
Delphine choisit une place au fond de la salle et croise ses jambes et ses bras. Les premiers élèves qui rentrent sont surpris de la voir ici, mais le prof fait assoir tout le monde et commence sont cours sans se préoccuper d'elle.
A la fin du cour, elle attend que les élèvent sortent pour se lever et marche rapidement pour éviter de croiser trop de gens. Son coeur s'accélère lorsqu'elle frappe à la porte. Le directeur vient lui ouvrir et la fait entrer
- Donnez moi votre soutien-gorge !
Delphine le regarde froncer les surcils et se décide à dégrapher son soutien-gorge. Elle l'enlève et lui donne et croise ses bras sur sa poitrine. Le directeur le pose sur son bureau.
- Posez vos mains au dessus de votre tête !
Delphine doit se dévoiler alors que le directeur s'approche d'elle. Elle essaie de ne pas pleurer. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration rapide. Elle resiste à l'envie de cacher ses seins quand le directeur la regarde.
- Après la fessée, j'irai vous conduire à votre établissement...
Elle ferme les yeux et lève la tête au plafond quand le directeur saisit l'elastique de ses collants et commence à les descendre. Il les mets sous ses fesses.
- Je ne vais pas vous les baisser complètement tout de suite. Ce sera plus pratique pour marcher jusqu'au hall...
Delphine baisse la tête et éclate en sanglots. Elle n'ose pas imaginer marcher ainsi jusqu'à la-bas. Pourtant le directeur sort du bureau et lui dit de venir. Elle est incapable de bouger. Elle regarde sa poitrine nue et plus bas son sexe à peine caché par son collant mais elle sait que ses poils se voient à travers. Le directeur s'impatiente et élève le ton pour qu'elle vienne. Delphine n'écoute pas, elle ne sait pas quoi faire, elle enlève se mains de sa tête pour le mettre sur son visage. Elle crie quand le direteur baisse encore son collant, cette fois-ci pratiquement jusqu'aux genoux.
- Continuez ainsi et je vous emmène avec les collants autours des chevilles ! vous serez ridicule...
Le directeur la prend par le bras et la fait sortir. Delphine suit péniblement, elle pleure et le supplie de ne pas faire ça. Tout en marchant elle essaie de se cacher le visage de honte. Quand ils entrent dans le hall, elle est au comble de la honte, et ne controle plus ses pleurs. Le silence se fait petit à petit. Ils vont jusqu'au milieu et dès qu'il s'arrête le directeur baisse ses collants jusqu'à ses chevilles. Dans le hall, tout autours d'eux les élèves restent médusés, silencieux, on entend plus que Delphine pleurer. Le directeur la retourne et la courbe sous son bras, en l'emprisonnant par la taille. Puis il commence à lui claquer les fesses. Il frappe sur chacune, l'une après l'autre rapidement. Delphine continue de pleurer et commence à bouger. Plus la fessée avance, plus les pleurs se transforment en cris. Ses fesses rougissent sans que le directeur n'abaisse le rythme. Il continue en alternant une fesse et l'autre. Delphine bouge cette fois-ci dans tous les sens, elle essaye d'interposer ses mains sans y parvenir. A la fin, elle ne controle plus rien sautant d'un pied sur l'autre, et écartant les jambes. Ceux qui sont derrière elle peuvent voir son entrejambe mais dans l'état ou est Delphine, elle ne doit pas s'en douter.
Quand le directeur la lache elle oublie toute pudeur et danse d'un pied sur l'autre, le visage baigné de larmes et se frotte les fesses. Le diretceur remonte lui même ses collants et repart en la tirant par le bras.
Delphine emerge enfin, quand ils reviennent dans son bureau. Le directeur lui tend son débardeur qu'elle met en quatrième vitesse.
- Le reste de vos vêtements ne sont pas encore secs, je vous les ferai parevenir ultérieurement... Allons-y !
Delphine commence à le suivre, et comprends lorsqu'ils se dirigent vers la sortie qu'elle va devoir rentrer comme ça à son école. Elle tire sur le bas de son débardeur, mais celui-ci est beaucoup trop court pour cacher ses fesses. Elle avance tête baissée, les mains plaquées sur son sexe et prie pour croiser le moins de monde possible. Elle sent les gens se retourner sur son passage et la regarder de loin. Elle est rassurée quand ils passe le portail de son établissement. Ils vont directeur dans le bureau du directeur. Delphine se cache du mieux qu'elle peut en entrant dans le bureau.
- Bonjour, je vous ramène votre déliquante !
Tout en tirant Delphine à lui, il lui fait faire un demi-tour, remonte légèrement son débardeur et passe ses collants sous ses fesses pour faire constater leur rougeur.
- Elle vient d'être punie, comme vous pouvez le constater...
Le directeur de Delphine s'approche :
- Oui je vois ça, tant mieux pour elle, elle l'a bien méritée... Mais maintenant elle doit être punie ici !
IL remonte son collant et fait retourner Delphine. Tous les deux constatent qu'elle est rouge de honte. Elle n'ose pas les regarder.
- L'avez vous fessée toute nue ?
Delphine est encore plus mal à l'aise face à cette question.
- Je l'ai emmenée en collant dans le hall et je lui ai donnée collant baissé devant tout le monde...
Delphine ne sait plus ou se mettre. les deux directeurs échangent entre eux sans se préoccuper d'elle.
- Ici je vais la mettre toute nue !
Son directeur s'approche et passe son débardeur au dessus de sa tête. Puis il baisse son collant à ses genoux. Delphine se laisse porter quand il la soulève pour l'assoir sur le bureau. Il lui enlève ses chaussures et termine de descendre son collant. Delphine cache ses seins quand le directeur la redescent.
- Remettez vos chaussures...
Delphine s'accroupis pour les remettre, tandis que le directeur de Saint Joseph s'apprêtre à prendre congé mais le directeur le retiens :
- Attendez ! J'ai réuni le conseil de discipline pour statuer sur le cas de cette demoiselle. Et outre le fait qu'elle va recevoir une fessée ce midi à la cantine. Nous avons décider de lui infliger une semaine complète de punition. Tous les matins, pendant une semaine, elle viendra ici dans mon bureau me remettre ses vêtements. Rester nue tout ce temps lui rapellera son statut de punie. Et cela vaut, pour les activités scolaires, sportives et aussi extra-scolaires. Avec votre accord, comme nos deux établissements ont été impactés par ses méfaits, j'aimerais que son temps de punition soit partagé entre nos deux écoles. Qu'en pensez vous ?
Delphine écoute sans se relever.
- Je viendrai la chercher, un jour sur deux ?
Delphine se relève complètement dépitée pendant que les directeurs continuent de discuter les modalités de sa punition...
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com23tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-40461513336112294972022-05-24T18:58:00.000+02:002022-05-24T18:58:52.411+02:00Quatrième punitionComme tous les autres élèves Emilie avait pris connaissance du nouveau rêglement. Quand elle en parlait avec ses copines, elle disait comme elles et paraissait outrée des punitions qui pouvaient être infligées. Mais seule, une certaine curiosité l'envahissait, elle s'était surprise à relire plusieurs fois le rêglement avec un mélange de dégoût et d'envie.
Alors qu'elle était en cours d'anglais, la pire matière pour elle, Melle Vriehot lui rend sa copie en lui disant : "comme d'habitude aucun travail pour vous, une vraie fénéante !" Emilie regarde sa note et en chuchottant lance un "connasse" entendu par ses voisins et la prof qui ne dit rien.
A la fin du cours, Melle Vriehot, demande à Emilie de rester ainsi qu'au délégué de classe en ajoutant : "La connasse, veut que nous allions discuter de votre comportement chez M. le directeur !"
Emilie blémit, mais ne repond rien. Elle suit son délégué et sa prof tout en sachant qu'elle va passer un sale moment.
Le directeur les acceuille et écoute Melle Vriehot. En résumé elle lui dit :
- Non seulement Emilie ne travaille pas du tout en anglais, mais aujourd'hui elle s'est permise de m'insulter devant tout le monde.
Le directeur demande à Emilie ce qu'elle a dire, mais celle-ci se contente de baisser la tête.
- Votre attitude Mademoiselle fait comprendre que vous n'avez rien à ajouter pour votre défense... C'est la première fois que vous allez être punie, je crois ?
Emilie résignée fait oui de la tête.
- Melle Vriehot quelle sanction voulez vous appliquer ?
Le coeur d'Emilie s'emballe.
- J'aimerai que l'attitude d'Emilie change, peut-être qu'un rappel à l'ordre suffira...
Le directeur ne semble pas convaincu du laccisme de la professeur d'anglais.
- Pour le travail dans votre matière j'espère bien que cette épisode fera prendre consience à Emilie de changer d'attitude, mais pour les insultes, je ne peux pas laisser passer ça... Emilie levez-vous et enlever votre jupe !
Emilie relève la tête en même temps que son délégué qui depuis le début est resté silencieux. Après un moment de surprise Emilie se lève et defait le bouton et la fermeture de sa jupe. Elle la laisse tombe et l'enjambe pour la poser sur sa chaise.
Elle reste ainsi tête baissée, les mains jointes devant elle, face au directeur alors que sa prof et son délégué sont juste derrière.
- Volià ce qui va se passer Medemoiselle ! A partir de maintenant et jusqu'à ce soir vous êtes punie pour avoir insulté votre professeur. Votre jupe restera ici toute la journée. Mettez vos mains sur votre tête.
Emilie s'exécute laissant remonter son chemisier et son pull au dessus de l'elastique de ses collants.
- Vous resterez ainsi les mains sur la tête jusqu'à la fin de votre prochain cour. Je crois que vous avez cours de Maths... Votre délégué va vous accompagner jusqu'à votre classe, en trversant la cour, ainsi tout l'etablisement saura que vous êtes punie. Et il vous mettra à côté du tableau à genoux le nez collé au mur.
Emilie comprend que ce qu'elle redoutait avec un mélange d'envie aller lui arriver.
- Avec Mademoiselle Vriehot, nous viendrons à la fin du cours pour vous punir...
Sans en ajouter plus, il demande à tout le monde de sortir.
Guillaume le délégué prend son rôle très au sérieux et attrappe Emilie par le bras pour l'inviter a sortir. Avant d'arriver dans la cour il la prévient :
- Tu gardes bien tes mains sur la tête ! Si tu n'obéis pas, je dirais tout au directeur... A mon avis tu es déjà assez mal comme ça ! Je pense que tu ne vas pas garder ta culotte longtemps...
Emilie voit les premiers élèves arriver en face d'elle. En plus de ce que vient de lui dire Guillaume, elle n'a plus du tout envie de cette punition, les larmes coulent sur ses joues mais elle essaie de rester digne. Ils traversent la cours sous les golibets des autres élèves et montent dans la classe. Emilie lui demande cinq minutes de repis alors qu'il allait la mettre au coin. Guillaume accepte en s'assayant sur le bors d'une table. Emilie redescent ses bras et sèche ses larmes.
- Je ne pensais pas que ce serait aussi dur... je dois être ridicule comme ça ??
Guillaume lui souris pour la rassurer, et lui dit qu'elle a quand même exagéré et qu'elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même.
Emilie baisse la tête et semble hésiter, puis se lance :
- Tu... tu crois vraiment qu'ils vont me déculotter ?
- Sincèrement, je suis pratiquement sur que oui. Tu as quand même insulté une prof !! Tu as même de la chance que ça se passe ici? Tu aurais pu avoir une niveau 4 ou même 5.
Les larmes recommencent à couler, tandis que Guillaume se lève.
- Bon il va falloir que tu ailles au coin maintenant...
Emilie se rend d'elle même au coin, elle s'agenouille et remet ses mains sur sa tête, tandis que Guillaume va à sa place en attendant les autres élèves.
- Il faut que ton nez touche le mur...
Emilie avance ses genoux et approche sa tête du mur jusqu'à ce que son nez le touche, puis elle attend la boule au ventre.
Après son passage dans la cour, ses camrades ne sont pas surpris de la trouver là, en entrant dans la salle. Le prof visiblement au courant de sa punition ne lui prête pas attention.
Le cours lui parait durer une éternité, de temps en temps en entend des gloussements derrières elle signe que l'on parle de sa punition.
Quans le directeur entre dans la classe, tout le monde se lève d'un coup. Emilie ne sachant pas quoi faire reste à genoux, mais elle sent son coeur s'emballer.
- Emilie venez nous rejoindre !
Elle se lève...
- Non, non ! Gardez vos mains sur votre tête !
Elle se retourne ainsi rouge de honte, d'être face à ses propres camarades de classe.
- Enlevez votre pull et votre chemisier ! Et remettez les mains sur la tête !
Un grondement se fait entendre dans la salle, Emilie reste interloquée un moment puis passe son pull au dessus de sa tête. Elle essaie de reste digne, en enlevant les bouton de son chemisier, puis elle defait ses manches. Il semble qu'elle porte un débardeur moulant dessous. Ce qui est confirmer lorsqu'elle retire son chemisier. Celui-ci laisse deviner sa poitrine généreuse et remonte largement au dessus de son nombril laissant la vue de sa culotte.
- Votre débardeur aussi !
Emilie rougit encore plus...
- Mais... Je n'ai rien en desous...
- Tans pis pour vous enlevez le !
Une nouveau grondement se fait entendre. Emilie hésite encore plus, mais n'a pas le choix, elle passe son débardeur au dessu de sa tête. Le directeur lui prend des mains et recupère son chemisier et son pull.
- Voilà Mademoiselle votre tenue pour la journée.. Aussi bien pour assister au cours, que pour les pause, que vous passerez sous le préau au coin ! Il faut comprendre qu'insuslter un professeur est quelque chose de très grave et que l'on s'expose à une punition exemplaire !
Emilie n'arrive pas à contenir ses larmes qui coulent maintenant sur ses joues, les sentiments qu'elle ressentait à la lecture du rêglement ont totalement disparu et sont remplacé par la honte qu'elle éprouve en ce moment.
Tout le monde a les yeux rivés sur elle, c'est une jolie fille, blonde les cheveux tombants sur ses épaules, assez fine, mais une poitrine assez imposante. Sa mine déconfite contraste avec ce qu'elle a dit précedement à la prof. Personne n'a compris sa réaction, elle qui est d'habitude très sage et très discrète.
- Mademoiselle Vriehot va punir Emilie et je lui donnerai aussi une fessée ensuite... Guillaume apportez nous une chaise sur l'estrade...
Guillaume esquisse un sourire rassurant à Emilie en déposant la chaise, mais celle-ci détourne le regard. Complètement paniquée elle voit sa prof d'anglais s'assoir sur la chaise et l'inciter à s'approcher. Elle s'allonge sur les genoux de sa prof, qui ne semble pas à l'aise non plus. Elle abat aussitôt sa main sur ses fesses maladroitement. Visiblement, c'est la première fois qu'elle donne une fessée. Ses claques ressemble plus a des tapettes et Emilie protégée par sa culotte et son collant ne doit pas sentir beaucoup la mains de sa prof. Elle lui donne ainsi une vingtaine de claques et l'invite à se relever.
Le directeur prend la place de Mademoiselle Vriehot et bascule aussitôt Emilie sur ses genoux, elle a à peine le temps de s'installer que la fessée débute aussitôt. Rien a voir avec la fessée précédente. Les claques sont très appuyées, malgré la protection de sa culotte et ses collants Emilie gigote dans tous les sens. Après quelques claques Emilie sanglote et demande d'arrêter mais il lui emprisonne le bras et continue sans se préoccuper des cris d'Emilie.
Quand il la relève Emilie se frotte frenetiquement les fesses. le directeur la place face au tableau et met ses mains au dessus de sa tête, puis baisse ses collant et sa culotte en même temps sous ses fesses et s'écarte laissant découvrir à toute la classe ses fesses rouge.
- Je vous laisse une minute pour vous reprendre, ensuite vous aurez le droit à une deuxième série identique mais déculottée... Mademoiselle Vriehot a été bien trop gentille avec vous, je vais vous punir comme vous devez l'être.
On entend plus un bruit dans la salle, il y a juste des échanges de ragrds, parfois graves, parfois complices entre les élèves. Juste les reniflements d'Emilie viennent perturber le silence?
- Enlevez vos chaussures Emilie !
Emilie se déchausse, et laisse ses chaussures à côté d'elle, tandis que le directeur vient la chercher et la ramene à la chaise. Dans un reflèxe bien que le devant ne soit pas baissé, elle remonte l'avant de sa culotte et ses collants.
- Enlevez vos collants Emilie !
Bien que cette mince protection ne soit pas très efficasse, Emilie est dépitée d'enlever ce nouveau vêtement. Elle remonte complètement sa culotte sur ses fesses et la tient pour dégager ses collants de sa taille puis les roule sur ses jambes pour finir de les enlever et en formant une boule. Le directeur lui fait remettre proprement pour les poser sur le dossier de la chaise.
Puis il bascule Emilie sur ses genoux, et la remonte pour que ses pieds ne touchent plus le sol. Il l'avance encore pour que sa tête frole le sol, Emilie est obligé de poser ses mains à plat par terre pour ne pas basculer en avant. Le directeur l'emprisonne par la taille de son bras gauche et commencer à lui asséner une fessée avec la même vigeur que précédement par dessus sa culotte. Emilie pleure, crie et bat des jambes dès les premières claques. Sa position ne lui permet pas de sa protéger au risque de tomber en avant. Quand le directeur arrête elle continue de pleurer, ses cheveux trainent par terre et son collé à son visage. Elle s'agite encore plus lorsque le directeur tire sur sa culotte. il la descend le long de ses jambes jusqu'à ses pieds et finalement l'enlève complètement pour la lancer sur l'estrade.
Malgré les protestations d'Emilie, la fessée reprend aussitôt avec encore plus de force. Ses fesses qui ne sont plus protégées rougissent encore plus. Emilie ne retiens plus ses cris, ses jambes battent en l'air. Elle essaie de se sortir de l'emprise du directeur mais celui-ci l'empoigne fermement. Au bout d'un eminute de fessée intense, elle arrive à mettre à un pied par terre et se lever, le directeur arrête la fessée et la relache. Emilie se frotte les fesses en pleurant toutes les larmes de son corps.
Le directeur se lève et va ranger la chaise.
- Mains sur la tête !
Emilie qui ne l'a surement pas entendu continue de se frotter les fesses.
A son retour deux énormes claques sur ses fesses la fait à nouveau crier.
- J'ai dis : mains sur la tête !!
Emilie renifle et finis pas oébir
- Allez au coin !
Emilie s'avance vers le mur à côté du tableau et colle son nez sur la mur. Le bout de ses seins effleurent le mur froid et un frisson lui parcoure tout le corps.
Le directeur libère les élèves pour qu'ils sortent. Le temps que le classe vide, Emilie reste au coin sans bouger.
Restez au coin, ça vous fera réfléchir, je viendrai vous chercher tout à l'heure...
Au bout d'un moment Emilie se retourne pour être sûre qu'il n'a ait plus personne. En effet, les profs et le directeur sont sortis. Elle en profite pour descendre ses mains et se reculer du mur et analyser ce qui venait de ce passer. Elle n'avait jamais eu autant honte. Elle ne s'était jamais imaginée être toute nue devant sa classe. Cela lui fait prendre conscience qu'elle est encore nue, et cheche ses vêtements. Elle trouve sur le bureau du prof uniquement son débardeur ses collants et ses chaussures. Elle remet tout de même son débardeur, et attend d'avoir sa culotte pour remettre le reste. Elle va s'assoir à une place pensante et croise ses jambes. Une chaleur lui envahit le ventre malgré le fait qu'elle ait envie de pleurer. Elle hésite à glisser sa main entre ses cuisses mais du bruit dans le couloir lui fait renoncer.
Quand le directeur entre, elle est assise à la place.
- Qui vous a autorisée à sortir du coin et surtout à remettre votre débardeur ??!!
Emilie baisse la tête et rougis.
- Venez ici !
Elle se lève tout en plaquant ses mains à plat devant son sexe et s'avance vers le directeur. Il la fait approcher tout prêt de lui et la prend de chaque côté des épaule pour lui faire faire un demi-tour afin de constater l'état de ses fesses.
- Vos fesses sont bien marquées, c'est ce que je souhaitais...
Emilie sent encore la chaleur irradier l'ensembre de ses fesses. Une grosse claque sur chaque fesse n'arrange rien pour la douleur, elle sert les dents pour ne pas crier. Puis lève michinalement les bras, quand le directeur remonte son débardeur pour lui enlever. A nouveau toute nue, elle cache ses seins et son sexe.
- Allez remettre vos collants !
Emilie s'écarte du directeur et prend ses collants sur le bureau et hésite sans oser demander...
- Oui, oui... Je sais... Il n'y a pas votre culotte ! C'est fait exprès ! Avec vos collants clairs, vos fesses rouge continueront de se voir... mettez les !
Emilie obéis bien que la sensation du nylon directement sur ses fesses endolories ne lui plaise aucunement.
- Mettez vos chaussures !
- Et puisque vous avez pris la liberté de remettre votre débardeur sans autorisation, je vais vous le confisquer un moment !
Lorsqu'elle se relève Emilie semble comprendre, elle met son visage dans ses mains et éclate en sanglots.
- Vous allez m'emmener comme ça... c'est ça ?
- Oui au refectoire, que tout le monde comprenne que je corrige sévèrement celui ou celle qui manque de respect aux enseignants !
Il vient attrapper Emilie par le bras et la serre sévèrement pour l'emmener dehors.
- Et inutile de vous cacher, vos bras restent le long de votre corps ! Si je dois vous le rappeler une autre fois, vous resterez les mains sur la tête et je vous donnerai une fessée dans le refectoire avec les collants baissés !
Emilie baisse la tête et ne peut s'arrêter de pleurer. Sa respiration s'accèlere lorsqu'ils approchent de la cantine. Elle resiste pour ne pas mettre ses mains quand le directeur la pousse dans le refectoire. Tout le monde s'arrête de parler et regarde dans sa direction. Emilie ne bouge plus complètement tétanisée, presque défaillante. Sa poitrine monte et descend au rythme de son soufle court. Ses poings serrés le long de ses hanches resistent toujours à venir caché sa toison brune aucunement cachée par son collant.
Elle a les jambes serrées mais chacun peut voir que la situation lui fait perdre le controle de sa vessie. Une petite marre se forme autours de ses chaussures ajoutant encore plus à sa honte. Le directeur la fait retourner pour que chacun puisse constater la rougeur de ses fesses. Puis il lui fait traverser la salle au milieu des tables pour la mettre au coin.
Emilie est un peu rassurée de ne plus être face à ses camarades, mais elle sait que le reste de la journée encore être compliqué.
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com18tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-711450661491321222022-02-22T23:27:00.003+01:002022-02-22T23:27:55.347+01:003ième PunitionLe cours de Maths se termine, tout le monde range ses affaires et commence à sortir. M. Briard se met à la porte pour saluer les élèves, quand Julie s'apprêtte à sortir, il l'interpelle :
- Julie, restez ici cinq minutes s'il vous plait...
Julie attend près de la porte se demandant ce qu'il lui veut. Une fois que tous les élèves sont sortis, il referme la porte.
- Bon Julie... Asseyez-vous !
- Je ne vais pas y aller par quatre chemins ! J'ai fait ma petite enquête sur les lettres d'insultes redigées l'année dernière...
M. Briard laisse volontairement un petit silence pour observer la réaction de Julie et sa mine déconfite ne laisse aucun doute sur sa culpabilité.
- Vous avez sans doute des choses à me dire sur cela ?
Incapable de parler, Julie fait non de la tête
- Nous savons tous les deux que c'est vous qui avez écris ces lettres...
- D'après quelle doit être la sanction pour ces faits ?
Julie baisse la tête comprenant le piège se refermer sur elle...
Elle sursaute et se met à pleurer quand M. Briard tape ses deux mains sur le bureau juste devant elle.
- Répondez ! Quelle punition vous sera ingligée si j'en parle au directeur ?
- La 5 !!!
Julie répond dans un sanglot, alors que M. Briard se calme.
- Bon, j'imagine que vous ne voulez pas que j'en parle au directeur, donc on va s'arranger entre nous ! Je vais vous punir moi-même...
Sans laisser le temps à Julie de répondre, il continue :
- Je vais vous donner une fessée immédiatement pour commencer. Et dans le courant de l'année, quand vous m'en donnerez l'occasion et je suis sûr que vous m'en donnerez l'occasion... je vous infligerai une fessée en classe, culotte baissée et devant tout le monde !
- Levez-vous !
- J'espère que vous vous rendez compte que je vous fais une fleur en ne vous dénonçant pas ?
Julie est perdue, elle ne sait plus quoi penser, elle se lève doucement sans vraiment se rendre compte de ce qui se passe. Elle reste les bras ballants quand M. briard s'approche d'elle et déboutonne son jeans. Il lui baisse et la plaque sur le bureau en lui tenant les mains dans le dos. Elle doit mettre son buste sur la table alors que M. Briard descend sa culotte au niveau de son jeans. Julie réalise qu'elle va être punie pour la première fois de sa vie. La honte l'envahit et elle éclate en sanglot tandis que le main de son profs s'abat violement sur ses fesses nues. La marque des doigts se dessine sur les fesses de Julie, une deuxième arrive aussitôt marquant l'autre fesse. M Briard ne lui lâche pas les mains et lui appuis sur son dos en même temps pour l'empêcher de bouger. Il continue la fessée alors que Julie ne retient plus ses cris. Il les claque sans retenue et sans s'arrêter jusqu'à ce qu'elles soient complètement rouge.
Quand il la lache Julie reste allongée sur la table en sanglotant. Elle ne bouge pas quand il descend son jean et sa culotte à ses chevilles. Il est obligé de la relever lui-même, tandis qu'elle continue de pleurer et vient porter ses mains à ses fesses brulantes.
Envahie par la douleur, Julie ne se rend pas compte que son pull est trop court pour cacher sa toison et M. Briard en profite.
- Il faudra peut-être montrer un peu plus de dignité quand je vais vous fesser devant vos camarades...
Julie comprend aussitôt en voyant le regard de M. Briard se porter sur le bas de son ventre et mets ses deux mains devant elle...
- Venez ici...
M. Briard la prend par le bras et l'entraine jusqu'à l'estrade..
- Allez montez, c'est là que vous serez punie, et je veux que vous en preniez conscience... Regardez la classe, quand ça arrivera toutes les chaises seront prises... Et vous, vous serez là... comme ça ! Avec votre culotte aux chevilles !
Julie se remet à sangloter en imaginant ça.
- Remontez votre culotte et sortez !
Julie ne se fait pas prier, elle remonte rapidement sa culotte et son jean et sort de la classe sans demander son reste.
Elle doit maintenant arriver à chaque cours la boule au ventre, en espérant que le punition ne soit pas donnée ce journ là...
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-9839055010713851282022-02-02T14:28:00.000+01:002022-02-02T14:28:00.163+01:002ieme Punition Mademoiselle Vriehot est une jeune professeur de d'anglais fraichement diplômée. Elle est arrivée dans l'etablissement cette année et découvre avec horreur la discipline d'un tel institut. Elle qui est toujours allée dans le public, elle ne pouvait pas s'imaginer autant de sévèrité.
Son entrée dans la vie active est assez difficile, ses études lui ont couté très cher, et cet emploi lui permet de ne pas sombrer. Cependant avec son nouveau logement et les différentes dépenses c'est très compliqué financièrement.
La fin du premier mois approche et il va falloir payer le loyer alors qu'elle n'a plus un sous. Etant professeur principale de remplacement elle a la charge de la caisse de la coopérative de la classe. En voyant que le montant de la somme équivaut à son loyer, elle avait imaginer l'emprunter et la restitué quelques jours plus tard lorsqu'elle aurait sa paye. Mais elle s'est ravisée en essayant de trouver une autre solution.
Le propriétaire de son logement l'appela le jour même du paiement du loyer et le lendemain, la manaçant de l'expulser, si déjà le premier mois, elle ne pouvait pas payer.
N'ayant plus choix et se disant que ça faisait déjà quelques semaines que l'argent était là sans que personne ne s'en préoccupe, elle décide de prendre l'argent pour payer son loyer.
Ce que qu'elle n'avait pas prévu, c'est qu'une sortie scolaire serait organisée quelques jours plus tard et que la caisse allait être démandée.
Elle ne dit rien au début espérant trouver l'argent rapidement, mais sa paye n'allait arriver que dans dix jours, plus les jours passaient moins elle pouvait tenir, on allait lui demander des comptes. Elle décida de dire au directeur que la caisse a été volée.
Le directeur est entré dans une colère noire, en prometant de trouver l'élève coupable et d'être intransigeant concernant la punition.
Plusieurs jours sont passés sans qu'elle n'entande parler de cette histoire, elle se dit qu'elle s'en sortait bien, et que bientôt, elle allait pouvoir rembourser et trouver une excuse pour expliquer que l'argent avait été retrouvée.
Mais un matin avant sa première heure de cours, le directeur l'interpella :
- Mademoiselle Vriehot, à quelle heure finissez votre journée aujourd'hui ?
- Euhh... je termine à 16H30 Monsieur.
- D'accord, j'ai a vous parler, pouvez-vous me rejoindre à mon bureau à 16H30 ?
Mademoiselle Vriehot, s'inquiétait, bien que le directeur est resté très courtois, elle n'aimait pas être convoquée ainsi. Elle se dit que ça arrivait que le directeur demande une concertation avec certains profs sur divers sujets, et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Cependant, toute la journée, une boule au ventre ne la lacha pas.
Quand elle est entrée dans le bureau, elle constata aussitôt que l'attitude du directeur avait radicalement changé depuis le matin. L'air beaucoup plus sévère et sérieux prenant de la distance avec elle.
- Asseyez-vous Mademoiselle Vriehot !
- Alors, avez-vous résolu ce mystère concernant la caisse de la coopérative de votre classe ?
Sidonie devint blème, mais ne se décourageat pas :
- Euhh, non Monsieur pas encore, aucun élève ne se dénonce pour le moment malgré mon insistance...
- Ah... c'est un problème ça... Mais n'avez vous pas envisagé que ça puisse être une personne qui ne soit pas élève ?
Sidonie est surprise mais elle continue dans son mensonge :
- Non Monsieur... Mais ça m'étonnerait que le personnel puisse faire une telle chose.
- Vous avez sans doute raison. Il faut qu'on trouve très rapidement qui a fait ça! Si il y une chose qui me fait horreur ce sont les vols !! Et en plus il va bientôt falloir payer le voyage... Trouvez le coupable rapidement ! Et concernant la punition, ce sera une sanction de niveau 5 !
Sidonie quitte le bureau partiellement rassurée, en se disant qu'il était maintenant très urgent de trouver une solution
Le lendemain le directeur l'interpelle de nouveau en lui disant qu'il avait de nouvelles informations concernant le vol et lui redemande si elle avait trouver le coupable. Pretextant un rendez-vous, le directeur lui propose de la retrouver dans une heure en salle informatique.
Lorsqu'elle entre dans la salle, le directeur est installé à un ordinateur :
- Venez ici Mademoiselle Vriehot ! Bonne nouvelle nous avons retrouvé le coupable... Ou plutôt la coupable !
Sidonie s'approche en se demandant comment s'était possible alors que le directeur lance une vidéo. Elle doit se tenir à la chaise tellement ses jambes tremblent. On la voit très clairement déverouiller le placard et ouvrir la caisse. Puis compter les billets et mettre une somme dans son sac. Et après hésitation prendre le reste de la caisse et tout refermer correctement.
Elle ne dit rien, laissant son regard fixé sur l'écran bien que la vidéo soit arrêtée. Le directeur la laisse ainsi, silencieux un moment.
- Je vous ai laissé plusieurs occasions de dire la vérité ! Depuis le début, je sais que c'est vous... mais vous avez continué à nier, tout en prenant le risque qu'un élève soit inculpé et eventuellement puni à tord !!!
- Vous ne dites rien... ? De toutes façons aucune excuse n'est recevable...
Sidonie reste figée sur l'écran, elle sent une larme couler sur sa joue de honte.
- Quand rendez-vous l'argent ?
- Je... je ne sais pas... quand j'aurais ma paye.
- Très bien, je la retiendrai directement sur votre salaire !
- Et vous renvoyer serait trop simple... Pour le moment, je suis le seul à savoir que vous êtes une petite voleuse, ça ne va pas durer évidement, mais je préfère pour votre dignité et surtout votre légitimité que les élèves n'en sachent rien...
- Pour ce qui est de vos collègues c'est différent ! Je vous ai parlé d'une punition de niveau 5...
Sidonie n'a aucune réaction, elle reste sans bouger, les yeux toujours rivé sur cette image arrêtée ou on la voit.
- Déshabillez-vous !
Le directeur est resté très calme, même en annonçant cela, de la manière la plus naturelle possible.
- Déshabillez-vous ou je vous emmène de suite à la gendarmerie...
Les larmes tombent sur le clavier tandis que Sidonie déboutonne sa veste Sans se retourner, elle l'enlève ainsi que son débardeur. Puis fait glisser la fermeture de sa jupe et l'emjambe. Le directeur est toujours derrière elle, elle n'a pas dit un mot, lui non plus. Elle range ses vêtements et semble vouloir attendre ainsi.
- Vos sous-vêtements aussi !
Sidonie lève la tête vers le plafond de dépit, on l'entend renifler. Elle dégraphe son soutien-gorge et fait glisser sa culotte qu'elle emjambe à son tour. Bien que dos au directeur, elle cache ses seins en croisant ses bras devant sa poitrine.
Le directeur s'approche d'elle en se disant qu'il avait finalement de la chance de pouvoir punir une aussi belle jeune femme et compte bien en profitait jusqu'au bout.
- Vous comprenez qu'une punition de niveau 5 est impossible pour vous dans l'état où elle est notifiée dans le rêglement. Cependant, je vais d'ores et déjà vous infliger une fessée immédiatement. Et comme ce soir nous avons le conseil avec le corps enseignant, j'en profiterai pour les prévenir de vos méfaits.
Le directeur ne précise rien de plus et abat sa main fortement sur ses fesses lui déclanchant un cri de douleur. Elle n'a pas le temps de réaliser ce qui va lui être infligé. La douleur inonde la surface de ses fesses, elle reste debout, et maintient fermement le bord de la table en serrant les dents pour ne pas trop crier. Le directeur lui inflige une vingtaine de claques et s'arrête aussi brutalement qu'il a commencé.
Sidonie ne bouge pas, elle est tentée d'aller frotter ses fesses mais ne veut pas lui donner ce plaisir. Elle le voit prendre sa culotte qu'elle avait poser près du clavier.
- Je viendrais vous chercher tout à l'heure, restez ici en attendant ! ça vous permettra de réfléchir à votre comportement et à ce qui va vous arriver... Et je garde vos vêtements ! Si toutefois vous n'assumiez pas et que vous décidiez de partir, vous irez toute nue !
Sidonie se retoure lorsqu'il referme la porte. Elle s'assure que la salle est bien vide, va fermer les rideaux, verouille la porte et éclate en sanglots en s'assayant sur une chaise.
Elle reste ainsi pendant près de deux heures en se retournant tous les scénarios dans sa tête. Elle sursaute quand elle entend la porte s'enclencher. Son coeur s'affole, les yeux rivés sur la porte. Quand elle entend la clé s'inserer dans la serrure, elle comprend que c'est le directeur qui vient la chercher. Elle s'assoit sur une chaise et recroqueville sur elle-même en croisant ses jambes. Le directeur entre avec ses vêtements à la main, et lui jette à ses pieds.
- Vous avez une minute pour vous habiller ! C'est l'heure d'y aller, je vous attends dans la couloir...
Sidonie s'habille rapidement, rassurée de pouvoir remettre ses vêtements et sort.
- Il n'y a plus d'élève à cette heure là. Donc, vous allez adopter une position de punie... Vos mains posées au dessus de votre tête !
- Très bien, laissez les ici sans les redescendre avant que je ne vous le dise...
Sidonie avance, poussée par le directeur avec les mains au dessus de la tête. Mais quand elle sent l'arrière de sa jupe se lever, elle a le reflêxe de porter ses mains à ses fesses la retenir.
En un instant elle se retrouve sous le bras du directeur, penchée en avant avec la jupe sur le dos.
- Il va falloir que vous appreniez à obéir Mademoiselle Vriehot !!!
Tout en lui interdissant le moindre mouvement, le directeur passe sa culotte sous ses fesses...
- où des fessées vous n'avez pas fini d'en recevoir...
et il lui claque les fesses nues à trois reprises, puis la libère sans lui remettre sa culotte.
- Mains sur la tête et avancez !
Il la guide ainsi jusqu'à la salle de réunion et lui fait traverser la pièce pour l'emmener jusqu'au mur.
- Collez votre nez sur le mur, et ne bougez plus !
Sidonie obéit bien qu'elle se sente ridicule dans cette position, elle espère juste qu'il va la libérer avant que ses collègues n'arrivent. Il lui replace les mains et lui écarte les coudes puis il passe ses mains sous sa jupe et descend sa culotte jusqu'à ses chevilles.
Sidonie n'ose pas bouger mais comprend que sa culotte va rester là.
Le directeur s'en va et il n'y a plus un bruit dans la pièce. Elle n'ose pas se retourner pour voir si elle est seule. Puis quelques minutes plus tard elle entend les discutions de ses collègues qui s'apporchent de la salle. Son coeur s'affolent, sa gorge se noue, mais elle ne peut rien faire. Elle comprend qu'ils sont entrés dans la salle quand les conversations s'arrêtent nettes. Le direteur qui n'avait sans doute pas bougé depuis la début les invite à s'intaller. Tout le monde s'assoit en silence en s'échangeant des regards interrogateurs.
- Mademoiselle Vriehot ! Venez au centre des tables
Sidonie prend une grande inspiration et se donne du courage pour affronter les regards de ses collègues. Elle descend ses mains et se baisse pour remonter sa culotte. Mais le directeur l'arrête juste avant qu'elle ne la saisisse.
- Laissez votre culotte là où elle est ! Et remmettez tout de suite vos mains sur votre tête ! Je ne crois pas vous avoir autorisée à quitter cette position !
Sidonie sursaute et se retourne en replaçant ses mains. Livide, au bord des larmes, elle vient se mettre au milieu de ses collègues entre les tables. Enchevêtrée dans sa culotte elle avance à petits pas ce qui ne manque pas de faire sourire certains de ses collègues.
- Madames et Messieurs vous avez devant vous la coupable du vol de la copératives de la classe !
La honte fini d'envahir Sidonie et elle se met à pleurer en baissant la tête. Ses collègues sont sidirés en apprenant cela et en entendant le directeur expliquer comment elle a fait et comment elle a menti jsuqu'au bout.
- Nous verrons cela à la fin de la séance... Mademoiselle Vriehot ! Remontez votre culotte et allez vous assoir à votre place.
Sidonie se baisse aussitôt et remonte sa culotte. Elle est obligée de remonter un peu sa jupe en la remettant, laissant entrevoir ses bas. Puis va s'assoir sans regarder personne ?
Elle reste discrète durant toute la réunion, n'ayant pas l'envie ni le courage d'apporter son avis. Quand ça se termine, ses collègues rangent leurs affaires et commencent à se lever, mais le directuer intervient :
- Veuillez nous accorder encore quelques instants s'il vous plait... Mademoiselle Vriehot veuillez retourner au milieu !
Sidonie comprend tout de suite et implore le directeur :
- S'il vous plait Monsieur...
- Allez au milieu sans discuter !
Comme Sidonie continue à l'implorer, il se lève d'un bon et vient jusqu'à elle pour l'attrapper par le bras et la faire se lever puis la courbe sur la table en lui emprisonnant les mains dans le dos. Sidonie est incapable de bouger, elle ferme les yeux tandis qu'elle sent sa jupe remonter et ne peut retenir ses larmes. Elle s'attend à avoir la culotte descendue mais au lieu de ça, une claque lui arrive par dessus. Elle reçoit une fessée ainsi devant ses collègues avant qu'il ne la libère. Elle recouvre aussitôt ses fesses et se relève en essuyant ses joues.
Le directeur la reprend vigoureusement par le bras et l'emmêne jusqu'au coin.
- A genoux, les mains sur la tête !
Sidonie se met dans la position demandée alors que ses collègues quittent la pièce, il ne reste plus que le directeur, son adjoint, la secrétaire et l'agent comptable. Les membres de la direction font toujours un débreifing après la réunion.
Sidonie a l'impression que c'est interminable, elle a mal aux genoux et ses bras sont lourds. Elle peine à maintenir ses mains au dessus de sa tête, mais elle fait des efforts pour ne pas bouger.
Elle entend enfin que les discutions prennent fin, l'agent comptable et la secrétaire saluent le directeur et son adjoint et sortent. Le directeur continue à discuter avec son adjoint sans se préoccuper de Sidonie, mais au bout d'un moment l'adjoint en vient à son sujet :
- Que va-t-on faire d'elle ?
Sidonie sent la chaleur lui envahir le visage, elle fixe le mur en écoutant tout ce qu'ils disent d'elle. Le directeur dit qu'il a déjà commencé à la punir avant la réunion, qu'il ne dira rien aux élèves et qu'il veillera à ce qu'elle rembourse intégralement la somme qu'elle a volé. Il ajoute qu'il est très remonté contre elle et qu'il ne la lachera pas...
- Est-ce qu'elle a été assez punie ?
Le directeur n'hésite pas une seconde à répondre
- Bien sur que non, je l'ai punie rapidement, sur le coup, mais j'attendais la fin de la réunion pour la sanction... Mademoiselle Vriehot, venez ici !
Sidonie se lève deconfite et vient tête baissée vers le directeur et son adjoint. A peine arrivée, le directeur l'allonge sur la table et lui relève sa jupe sur son dos. Et cette fois-ci, il baisse sa culotte. Sidonie s'aggrippe au bord de la table tandis qu'une claque retentissante arrive sur ses fesses. Une deuxième lui arrache un cri, suivie d'une troisième qui la fait sursauter. Une déferlante s'abat sur ses fesses tandis qu'elle mort la manche de sa veste pour éviter de crier trop fort, mais elle ne peut s'empêcher de sangloter. Un brasier innonde ses fesses et s'arrête d'un cou.
- Debout !
Sidonie se leve chancelante en reniflant. Le directeur baisse sa jupe qui s'enroule autours de ses chevilles, il en profite pour descendre aussi sa culotte. Sidonie se cache avec ses mains. Mais le directeur lui enlève sa veste et attrappe le bas de son débardeur.
- Levez les bras !
Il passe son débardeur au dessus de sa tête et le jète par terre. Puis il la prend par les épaules pour le faire se retourner et dégraphe son soutien-gorge et la remet face à lui comme un pantin. Il descend ses bretelles pour libérer ses seins et jète le soutien avec son débardeur. Sidonie cache cette fois-ci sa poitrine alors que le directeur s'accroupie pour libérer ses chevilles de sa jupe et de sa culotte. Elle se retrouve devant le directeur et son adjoint avec pour seuls vêtements ses bas et ses chaussures. Il lui fait faire de nouveau un demi-tour pour contempler ses fesses.
- Pour ce qu'elle a fait ses fesses ne sont pas encore assez rouge.
L'adjoint acquiesse alors que le directeur s'assoit sur une chaise en entrainant Sidonie sur ses genoux. Elle reçoit une nouvelle fessée mais cette fois-ci impossible de se retenir de crier pour elle. Elle tombe à genoux au sol lorsqu'il la libère.
- On va la laisser reprendre un peu ses esprits, voulez-un café dans mon bureau, je continuerai la fessée après...
L'adjoint accepte volontier trop content d'assister à la punition de sa jeune collègue.
- Vous, prennez vos vêtements à la main, inutile de vous rabhiller pour le moment.
Sidonie en larmes regroupe ses vêtements et doit suivre les deux hommes dans les couloirs de l'établissement, toute nue. Elle prie pour qu'il n'y a plus personne, mais à cette heure là, il y a peu de chance.
Arrivés dans le bureau, le directeur lui arrache ses vêtements des mains et les jête sur une chaise. Comme il l'aurait fait à une élève, il lui attrappe l'oreille et la guide ainsi jusqu'au coin. Sidonie grimace et lui tient la main pour éviter qu'il ne tire trop fort. Il lui fait baisser la tête en la maintenant toujours pour qu'elle se mette à genoux.
- La fessée, c'est dans dix minutes !!!
Sidonie se demande comment elle va pouvoir supporter une nouvelle fessée. Ses fesses sont déjà tellement endolories qu'elle se dit qu'elle ne pourra plus s'assoir. Pendant le temps qu'elle est au coin, les deux hommes boivent leur café en échangeant des banalités.
Au bout de dix minutes, le directeur va chercher Sidonie pour la ramener à son bureau de la même façon qu'il a été la porter au coin. Quand il la lâche, elle reprend conscience qu'elle est nue, et cache son sexe et sa poitrine à l'adjoint qui est face à elle. Voyant cela, le directeur, lui attrappe les pognets et lui écarte les bras du corps.
- Ne vous cachez pas ! Si je vous ai mise nue, c'est pour vous punir, alors respectez votre punition !!
Sidonie reste prostrée en montrant tout.
- D'ailleurs, vous n'avez besoins d'aucun vêtements ! Déchaussez vous et enlever vos bas... Je vous veux sans rien du tout pour cette fessée !
Sidonie enlève ses talons et se baisse pour enlever ses bas, elle ne pleure plus, mais n'arrive pas à regarder le directeur et son adjoint. Elle est tellement gênée d'être ainsi devant eux. Elle aimerait pouvoir se cacher mais resiste à mettre ses mains. C'est le regard insistant de l'adjoint qui la gêne le plus allant de ses seins à sa toison soigneusement entretenue, mais laissant voir la naissance de ses lèvres.
- Allongez-vous sur le bureau... Sur le dos !
Sidonie s'assoit sur le bord et bascule en arrière en comprenant que le directeur veut l'humilier au maximum. A peine allonger il passe ses mains derrière ses genoux et remonte ses jambes à angle droit. Il la fait glisser pour que ses fesses soient dans le vide.
- tenez vos jambes derrière vos genoux !
Sidonie le fait en fixant le plafond, pleinement consciente de la vue qu'elle offre et appréhendant la suite.
Le directeur écarte ses genoux et force pour qu'elle replie encore plus ses jambes. Toute son intimité est ainsi exposés aux yeux du directeur et son adjoint. Non seulement son sexe largement ouvert, mais aussi son anus.
Il prend sa longue rêgle plate posée sur son bureau et l'abat sur ses cuisses déclanchant un cri de douleur de Sidonie. Il se concentre sur le milieu de ses cuisses. Sidonie bouge dans tous les sens tellement la douleur est vive. Mais il la maintient fermement pour ne pas qu'elle s'échappe. Elle crie, elle pleure et supplie d'arrêter. Le directeur ne retiens pas ses coups, ses cuisses passent rapidement du rouge et bleu, il s'arrête uniquement quand sa rêgle casse en deux. Il lache les jambes de Sidonie qui retombent d'un coup. Elle pleure dans ses mains en restant prostrée allongée sur le bureau, les jambes légèrement ouvertes. Le directeur lui tire sur le bras pour la remmetre debout, mais elle ne réagit toujours pas. Il regroupe ses vêtements et lui met dans le bras puis la pousse vers la sortie, la laisssant nue dans le couloir.
- Peu importe l'état de vos cuisses, demain je veux vous voir en jupe !!
Il referme la porte derrière lui, Sidonie tombe à genoux et continue de pleurer un long moment. Ce n'est que quand elle entend que l'adjoint va bientôt prendre congès du directeur qu'elle se relève pour aller s'habiller plus loin et quitte discrètement l'établissement.
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-63018304963722511032022-01-17T11:42:00.002+01:002022-01-17T11:42:25.131+01:00Première Punitionça fait déjà une demi heure que Delphine et assise dans le couloir près de la porte du bureau du directeur. Elle attend qu'il la reçoive.
Depuis le début de l'année tout le monde parle du nouveau rêglement, tant redouté. Caroline se remet doucement de cette terrible journée. Les délégués sont finalement assez concilliants avec elle. Ils restent discrets et évitent de lui en parler. Mais entres délégués, ils échangent souvent sur les punitions qu'elle a reçu.
Deux jours plus tôt, Delphine s'était mélée à une conversation sur la sévérité du rêglement. Elle trouvait les punitions injustes, dénonçant la perversité du directeur. Elle était très vindicative, depuis la réunion des délégués, elle était très remontée contre ce nouveau rêglement. Dans la conversation, elle prétent que Caroline n'avait surement pas été volontaire et qu'en tant que nouvelle elle n'avait pas eu le choix, le directeur lui avait surement imposé !
Tout le monde s'est tut quand Delphine a dit ça. Elle s'arrête elle même de parler, voyant le malaise. Elle ne comprend pas tout de suite... Puis réagit en regardant deux garçons qu'elle connaissait mal, elle devient livide :
- Vous êtes bien délégués de première année ???
Les deux garçons font non de la tête, mais la rassure en soutenant qu'ils ne connaisaient pas cette Caroline.
A moitié rassurée, Delphine était repartie, en se promettant d'être moins étourdie et d'éviter de parler de ce sujet. Malheuresement pour elle la rumeur s'était emplifiée, même si les garçons ne connaissaient pas Caroline, il n'avaient pas pu s'empêcher d'en parler à d'autres. Caroline se sentait de plus en plus visée. Tout le monde avait compris en deux jours que s'était elle.
Le directeur intransigeant la dessus, puisqu'il avait largement insisté sur ce secret lors de la réunion, a mené son enquête pour connaitre d'où était parti la fuite. Les délégués qui avait parlé entres eux de la bourde de Delphine n'ont pas été long à en parler au directeur.
Ce matin, Delphine a été convoqué dans le bureau, voilà pourquoi elle attend dans le couloir.
Elle repasse s'est deux derniers jours dans sa tête, et fond en larmes en s'en voulant à elle même, quand la porte s'ouvre.
- Entrez, c'est trop tard pour pleurer !!!
Delphine entre en séchant ses joues et en tentant aussitôt de se justifier :
- Je n'ai pas fait exprès, Monsieur !!! Je n'avais pas vu qu'il y avait du monde, sinon je n'aurais rien dit... Je vous jure que c'est vrai... J'ai juste était maladroite !!!
Le directeur s'assoit derrière son bureau laissant Delphine debout face à lui :
- Etourderie ou pas, ça ne change rien ! Les conséquences sont là ! Votre Camarade se fiche bien de savoir si vous l'avez fait exprès ou pas...
Delphine se tait et baisse la tête devant l'intransigeance du directeur.
- Ce type de comportement est sanctionné d'un punition de niveau 4 !
Le larmes coulent à nouveau sur les joues de Delphine, tout s'embrouille dans son esprit. A quoi correspond cette punition ? Elle ne le sait plus, mais elle sait que la pire c'est la 5... Et comprend que la 4 c'est toute nue.
Le directeur laisse quelques secondes pour qu'elle en prenne conscience :
- Heuresement vous allez pouvoir réparer ça en parti ! Déjà vous allez tout dire à vos camarades délégues... Et vous avez la même corpulence que Caroline. Vous allez vous arranger pour que tout l'établissement comprenne que c'était vous le modèle !!
Delphine relève la tête en comprenant ce que le directeur attend d'elle...
- Je vais vous laisser une semaine pour que cette contre vérité face le tour de l'établissement. Si ce n'est pas le cas, vous aurez votre punition du niveau 4. Est-ce bien clair ??
Delphine n'a pas le choix que d'accepter, même si cette solution ne l'enchante guerre vu les conséquences futures, mais elle préfère ça que de se retrouver toute nue devant tout le monde. Et accepte la sentence.
- Bon il ne tient qu'à vous d'éviter cette punition et de rétablir la dignité de Caroline, je compte sur vous...
Delphine dit qu'elle fera tout son possible et s'apprête à prendre congé, mais le directeur l'arrête :
- Attendez, Attendez... ça c'est la réparation de votre erreur, mais maintenant vous allez passez à la sanction. Je vous ai dit tout à l'heure que votre comportement necessitait un punition de niveau 4. Pour des raisons évidentes, vu notre arrangement, je ne peux pas vous la donner dans les conditions du rêglement, mais ici même dans mon bureau c'est possible...
Delphine blémit.
- Faite ce qu'il faut aujourd'hui, et revenez ce soir à après vos cours !!
Delphine ne peut plus dire un mot et sort du bureau.
Le soir venu, elle revient, le directeur l'attend, la porte de son bureau est ouverte, elle entre. Le directeur commence par la féliciter pour son obéissance, et pour la rumeur qui commence à venir comme quoi c'est bien elle qui était le modèle le jour de la réunion et non Caroline.
ça bouillonne dans la tête de Delphine, comme si elle avait le choix.
- Vous avez refermé la porte derrière vous, allez la rouvrir. Pour des raisons évidentes, quand je punie une élève je ne peux pas rester seule avec elle.
Le directeur se remet au travail, dans ses dossiers tandis que Delphine reste un moment sans bouger, puis quand elle se retourne, le directeur lui dit :
- Et mettez vous en sous-vêtements !
Delphine va ouvrir la porte, le directeur n'a pas relevé le nez de ses dossiers. Elle enlève son pull et déboutonne son chemisier puis l'enlève et retire aussi sa jupe. Elle frissonne de peur de et froid ainsi uniquement vêtue de son soutien-gorge et sa culotte. Elle cache sa poitrine de ses bras croisés, mais pour le moment le directeur ne la regarde pas. Elle reste ainsi de longues minutes sans parler ni bouger, en priant pour que personne ne passe dans le couloir.
Au bout d'un moment, le directeur ferme son dossier et se lève. Delphine prend une grande inspiration.
- Dans quelle tenue est donnée la punition de niveau 4 Delphine ?
Le directeur s'apporche d'elle, elle tremble comme une feuille incapable de répondre. Le directeur lui prend les poignets et lui décroise les bras pour lui mettre le long de son corps. Delphine ferme les yeux mais cela n'empêche pas les larmes de couler sur ses joues.
- La punition de niveau 4, Delphine est donnée toute nue !! retounez vous !
Delphine fait demi-tour et sent le directeur dégrapher son soutien-gorge et lui enlever. Elle ouvre les yeux pour regarder affolée dans le couloir qui reste heureusement vide.
Le téléphone sonne et le directeur retourne à son bureau, un instant de repis pour Delphine qui ne peut s'empêcher de cacher ses seins en espérant que personne n'arrive. Le directeur parle et dans le milieu de la conversation il s'arrête :
- Delphine baissait votre culotte...
Puis reprend sa conversation comme si de rien n'était. Delphine n'en crois pas ses oreilles, avec qui peut-il bien parler pour dire ça comme ça... Doucement, elle baisse sa culotte et serre ses jambes l'une contre l'autre ne pas qu'elle tombe à ses pieds, mais elle est déjà à mi-cuisses. Elle se cache du mieux qu'elle peut en espérant tout en redoutant la fin de la conservation téléphonique.
Quand le directeur raccroche, il vient aussitôt vers elle et finit de baisser sa culotte d'un coup et lui fait comprendre qu'il faut qu'elle lève ses pieds pour la retirer.
Il la fait pencher en avant et une première claque lui arrive sur les fesses sans qu'elle s'y attende. Une douleur envahit ses fesses. Elle découvre la fessée. Une dexième arrive, ça lui fait terriblement mal, elle se retient de crier. Au bout de 5 c'est presque insupportable pour elle. Elle se demande comment Caroline a pu tenir. A la sixième elle éclate en sanglots. Oubliant qu'elle est toute nue, qu'il peut y avoir du monde dans le couloir...
Elle en reçoit dix comme ça. Le directeur voulait marquer le coup. Elle se relève en se frottant les fesses, le visage baigné de larmes. Quand elle reprend un peu ses esprits, elle se rend compte qu'elle est face au bureau du directeur. Elle sèche ses joues consciente qu'elle n'a plus rien a cacher.
- Vous n'avez plus qu'à continuer à oeuvrer pour ne pas vous retrouver dans la même situation devant tout l'établissement la semaine prochaine... Rabillez-vous !
Delphine se hâte de remettre ses vêtements en se promettant de tout faire pour éviter cette punition...
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-22348092149094012342021-12-04T16:33:00.003+01:002021-12-04T16:37:54.541+01:00Rêglement disciplinaireCaroline et sa mère entre dans le bureau du Directeur, un peu gênées. Comme elles sont toutes les deux plutôt timides, et que par ailleurs, le Directeur lui est quelqu’un qui a beaucoup de prestance et de charisme, dès qu’elles ont passé la porte, elles ne se sentent pas à leur aise.
Et il faut bien le dire, en voyant leur gêne, le Directeur a tendance à en rajouter, ça l’amuse.
- Bien, si je vous ai demandé de venir, c’est que j’ai un gros souci avec l’inscription de Caroline
La mère de Caroline tente de clarifier la situation.
- Oui, je comprends. Nous avons rempli le dossier dans les temps, comme il faut. Mais visiblement, nous nous sommes trompés dans l’adresse, la poste vient de nous le retourner. Je suis confuse.
- Je comprends, répond le Directeur. Mais maintenant, tous nos effectifs sont complets, je ne peux rien faire.
Il laisse planer un long silence.
Puis il enchaine, comme s’il venait de penser à quelque chose.
- Bon, il y aurait peut-être une solution, mais je ne sais pas trop si cela va vous convenir.
- Si si, tout nous conviendra, répond rapidement la mère de Caroline. Cette inscription est vraiment essentielle pour Caroline. Votre établissement a une si bonne réputation. Avec son père, nous voulons vraiment la meilleure éducation pour elle.
Le Directeur semble hésiter. Puis il se lance.
- En fait, nous avons une élève qui ne viendra finalement pas car elle déménage dans le sud, ce qui laisse une place libre.
- Oh, c’est parfait alors ! S’exclame la mère de Caroline.
- Oui, mais c’est un peu particulier. En fait, cette jeune fille, Cécile, était dans notre établissement depuis longtemps, elle était déléguée de classe. Il faudrait que Caroline reprenne ce rôle de délégué.
- Bien sûr oui, sans problème. N’est-ce pas Caroline.
Caroline parle pour la première fois, avec une petite voix hésitante.
- Heu … oui, tout à fait.
- Tout à fait qui ? réagit le Directeur.
- Heu .. Oui … Tout à fait, monsieur le Directeur.
La timidité de Caroline est un délice pour le Directeur.
Il continue :
- Bon, je vois que Caroline réagit bien. Je ne doute pas qu’elle pourra remplacer Cécile à son poste de délégué. Mais je voudrais qu’elle prenne sa place dès le début. Et vis-à-vis des autres élèves délégués, elle devra montrer tout de suite sa détermination à ce poste, son investissement pour notre établissement.
- Oui, bien sûr, répond la mère de Caroline.
- Je vous explique. Les délégués de toutes les classes entrent une semaine plus tôt que les autres élèves pour préparer et organiser l’année. Il faudra que Caroline soit là.
- Bien sûr.
- Et cette année, durant la semaine de préparation, nous allons revoir tout le système de sanction et des punitions associées. En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du legislateur, et il faut que nous réécrivons entièrement le règlement intérieur.
- Oui …
La mère de Caroline semble comprendre que le Directeur a encore des choses à demander à Caroline, mais elle ne voit pas vraiment où il veut en venir.
- Comme je fais une exception, poursuit-il en appuyant sur le mot exception, en admettant Caroline malgré un dossier rendu hors délai, et bien qu’elle n’ait aucune expérience en tant que délégué, je vais lui demander de me monter que son investissement sera entier. Aussi, Caroline sera volontaire, durant la semaine de préparation entre délégués pour les différents tests de punition que nous allons réaliser.
Caroline et sa mère reste silencieuse, elles ne comprennent pas vraiment ce que cela implique.
- C’est-à-dire ? ose la mère de Caroline.
- Hé bien, c’est très simple. Pour chaque punition que nous inclurons dans le nouveau règlement intérieur, il faudra la tester, pour en vérifier les effets. Il serait totalement irresponsable de notre part d’inclure dans le règlement des punitions dont nous n’aurions pas mesuré tous aspects. Nous avons donc besoin d’un élève volontaire, qui subira chacun de ces châtiments, les uns après les autres, pour que nous en mesurons toute la portée.
Il dit cette dernière phrase en regardant Caroline dans les yeux, qui détourne le regard aussitôt.
Puis il poursuit :
- Il y a 6 ans, lors du dernier changement, nous n’avons pas eu de volontaire. J’ai été contraint de désigner un élève, au hasard, et l’injustice du tirage au sort a été très mal perçu.
C’est pourquoi, un élève volontaire serait bénéfique et pour moi, et bien sûr pour Caroline qui montrera ainsi à tous sa force mentale et son engagement pour l’établissement. Elle sera ainsi très vite intégrée dans le groupe des élèves délégués, qui sont tous très investis et profondément respectueux des valeurs de notre établissement.
Caroline regarde maintenant sa mère affolée.
Celle-ci regarde le Directeur, elle veut réagir, dire que c’est exagéré comme demande, mais les mots ne lui viennent pas. Le Directeur montre un visage très fermé, qui semble montrer qu’il n’y a aucune négociation possible.
Elle tente tout de même :
- Heu, mais …
Le Directeur la coupe immédiatement :
- Bon, écoutez, je comprends que cela ne puisse pas vous convenir, mais c’est soit ça, soit nous ne prenons pas Caroline. Alors maintenant veuillez vous décider et partir, j’ai énormément de travail pour préparer la rentrée.
Disant cela, il prend un dossier sur son bureau et semble se mettre à travailler, faisant mine de ne plus les voir.
- Bon, finit par dire la mère de Caroline, c’est d’accord.
Caroline est tétanisée, elle n’ose pas y croire.
Le Directeur les raccompagne rapidement, en prenant le temps de sourire à Caroline en la regardant dans les yeux.
Caroline passe ses deux dernières semaines de vacances à se demander ce qui va se passer pour elle. Elle a bien compris le principe, mais n’a aucune idée des punitions qui seront testées. Dans son ancien lycée, les punitions les plus graves étaient des jours de renvoie, mais ça ne se teste pas. Elle a bien entendu des lycées qui pratiquaient des punitions corporelles, mais elle pensait que ces punitions étaient interdites, alors cela ne peut pas être ça. D’un autre côté, elle ne peut s’empêcher de penser que le Directeur a évoqué de « nouvelles directives » et qu’il a aussi parlé de « châtiment », et à chaque fois qu’elle y pense, son sang se fige dans ses veines. Qu’entendait-il par « châtiment » ?
Caroline est particulièrement timide, et surtout très pudique. Elle panique totalement à l’idée qu’elle va peut-être devoir se mettre dans des positions humiliantes devant les autres élèves, comme avec les mains sur la tête. Peut-être même qu’elle devra se mettre de dos et que le Directeur lui donnera des coups de règle sur les fesses.
Elle panique complétement et ne dort presque plus.
La semaine de préparation avec les délégués finit malgré tout par arriver. Le début de la semaine se passe plutôt bien, et Caroline s’intégre bien.
Ils sont plus nombreux que ce que pensant Caroline. En effet, il y a 2 délégués par classe et l’établissement, qui est très grand, compte environ une trentaine de classe. Par ailleurs, en plus des délégués, tous les professeurs sont présents, ainsi que le personnel encadrant et administratif.
Elle fait donc connaissance avec de nombreux élèves de toutes les classes, et en particulier avec Julien, qui est l’autre délégué de sa classe. Elle ne l’aime pas beaucoup parce qu’il la drague lourdement et qu’il fait régulièrement des commentaires graveleux, mais il est sérieux lorsqu’il s’agit de travailler.
Les premiers jours sont consacrés à l’organisation de la cantine scolaire, les horaires des inter-court ou encore la répartition des espaces dans la cour, et finalement, personne ne parle du règlement intérieur.
Lorsque le vendredi arrive, Caroline commence à penser que le Directeur a peut-être changé d’idée.
Mais son espoir s’envole très vite en arrivant au lycée ce matin-là.
Le Directeur accueille tout le monde dans la grande salle, comme tous les matins depuis de début de la semaine :
- Bien, nous arrivons au dernier jour de notre semaine de préparation. Les autres jours, après une courte présentation, nous nous sommes répartis en groupes de travail, dans les différentes salles de classe de l’établissement, avant de nous retrouver en fin de journée tous ensemble ici. Comme les groupes ont été différents chaque jour, cela vous a permis de faire connaissance et de créer des liens entre vous. Aujourd’hui sera un peu différent, nous allons rester ensemble dans cette grande salle toute la journée. Notre mission du jour est de réécrire le règlement intérieur.
Dès qu’elle entend cela, Caroline se fige sur place.
Le Directeur poursuit :
- En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du législateur. Les punitions corporelles ont été validées, et elles sont maintenant même recommandées pour assurer un meilleur respect des consignes et du règlement par les élèves.
Il y a de nombreux murmurent dans la salle, chacun se demandant ce que l’on entend vraiment par « punitions corporelles ».
Caroline n’ose pas croire ce qu’elle entend. Elle se met à trembler, elle voudrait disparaitre.
Le Directeur continue :
- Nous avons donc une grosse journée de travail qui nous attend, et pour commencer je voudrais remercier une élève parmi vous qui n’a pas hésité à se porter volontaire pour nous faciliter ce travail. Cette élève c’est Caroline. Alors Caroline, venez me rejoindre sur l’estrade.
Caroline ne bouge pas, elle ne peut pas.
Tous les regards finissent par se tourner vers elle, le Directeur insiste, elle finit par avancer, comme un robot.
Arrivée sur l’estrade, le Directeur lui demande de se placer face au groupe, et il reprend la parole :
- C’est grâce au courage de Caroline qui s’est portée volontaire, que nous allons pouvoir tester chaque punition avant de l’inscrire dans le nouveau règlement. Vous allez tous devoir être très reconnaissant avec elle, pour son engagement pour l’établissement, car au nom de cette engagement, Caroline va passer une terrible journée devant vous. Car en effet, même si elle est volontaire, Caroline va subir des châtiments douloureux et particulièrement humiliants.
Le Directeur marque un long silence pour que chacun prenne la mesure de ce qu’il vient de dire.
Au début, la salle reste silencieuse et tout d’un coup, un brouhaha traverse la salle.
Le Directeur reprend d’un ton très ferme :
- Oui, humiliant. En effet, les châtiments corporels sont faits pour être à la fois douloureux et humiliants, s’attaquant à la pudeur de l’élève puni. Et pour la réalité du test, nous ne pourrons absolument rien épargner à Caroline. Nous allons pouvoir ainsi ajuster les châtiments, en fonction de ce qu’elle nous dira ressentir à chaque fois, tant sur le niveau de douleur ressenti, que sur le niveau de honte. Aussi, même si elle est volontaire pour subir tout cela devant vous, devant nous tous, je compte sur vous pour ne pas lui en reparler après cette journée.
Caroline est horrifiée à chaque fois que le Directeur insiste sur le fait qu’elle est volontaire. Que doivent-il tous penser d’elle ? Ils pensent peut-être qu’elle aime être le centre de l’attention, qu’elle aime qu’on la regarde, que c’est une perverse qui aime être humiliée. Elle a envie de pleurer.
Elle s’en veut terriblement de na pas avoir la force de caractère de répondre au Directeur, de dire à tout le monde que c’est faux, qu’elle n’est pas volontaire, que c’est le Directeur qui l’a forcé et de partir en courant. Mais elle ne peut pas. Elle se sent faible. Elle sait que ce qui va se passer va être terrible, et en même temps, le plus terrible pour elle c’est qu’elle sait qu’elle va docilement faire tout ce que le Directeur va lui demander de faire, parce qu’elle n’a pas le courage de se rebeller.
Le Directeur continue :
- D’ailleurs, pour être sûr que tout ce qui va se passer ici aujourd’hui reste ici, vous allez tous signer un contrat de confidentialité. Vous ne pourrez parler de cette journée à personne. Bien sûr, vous pourrez expliquer les changements du règlement intérieur, en revanche, vous ne pourrez pas dire que c’est Caroline qui était volontaire pour les tests. Ces contrats sont très importants, car comme ces punitions ont un but dissuasif, pour faire peur aux élèves, nous allons faire des photos de chaque punition. Chaque punition du règlement sera ainsi illustrée d’une photo explicite, ce qui donnera envie, je l’espère, à chaque élève de l’établissement de respecter scrupuleusement le règlement. Bien évidemment, les photos ne montreront pas le visage de Caroline, et il vous est interdit à tous, de divulguer à quiconque n’est pas dans cette salle aujourd’hui qu’il s’agit de Caroline sur les photos. Vous serez les seuls au courant.
Le Directeur laisse un long silence, puis fait passer les contrats à chacun, rendant le moment bien solennel.
Le Directeur désigne Daniel, le responsable du club photo comme photographe de la journée.
- Daniel, je sais bien qu’il va être difficile de faire des photos sans le visage de Caroline. Ce que je vous propose, c’est de faire toutes les photos sans vous préoccuper de cela, et ensuite vous vous occuperez de faire des recadrages. N’hésitez pas à faire de très nombreuses photos, avec des angles et des zooms différents, avec le numérique cela ne coute rien, et ainsi nous pourrons choisir facilement les meilleurs clichés.
Daniel ne dit rien, mais il est ravi de cette proposition. Il sait très bien qu’il va pouvoir discrètement garder les clichés d’origine, avec le visage de Caroline. Il ne pourra s’en vanter auprès de personne, car il est conscient d’avoir signer le fameux contrat de confidentialité, mais il les aura pour lui, et c’est déjà une idée qui lui plait beaucoup.
Caroline est toujours plantée sur l’estrade, les yeux dans le vide. Elle a mille pensées qui lui traversent l’esprit et sent une énorme boule dans son ventre.
Elle montre un grand calme à l’extérieur, mais bouillonne à l’intérieur.
Le Directeur reprend la parole :
- Bien, je vous explique comment nous allons procéder. En fait, pour chaque manquement au règlement intérieur, nous allons associer une punition niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Et avant cela, nous allons ensemble définir ce que sera la punition de niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Nous allons donc commencer par la punition niveau 1. Je vais vous faire une ou deux propositions à chaque fois, et nous voterons. Les votes seront anonymes, et réalisés sur vos tablettes. Vous allez à chaque fois pouvoir aussi ajouter des commentaires, ou répondre à mes questions pour que nous puissions tenir compte de l’avis de tous.
Déjà, pour chaque punition, l’élève puni devra se présenter sur l’estrade devant sa classe, un peu comme aujourd’hui donc, même si aujourd’hui nous avons aussi la présence de tout le corps enseignant. Donc, l’élève devra se présenter sur l’estrade, les mains sur la tête, la tête droite et les jambes écartées.
Le Directeur regarde Caroline fixement, et elle comprend qu’elle doit s’exécuter.
Elle place alors ses mains sur la tête et écarte légèrement les jambes, elle se sent complétement sous la coupe du Directeur. Caroline est déjà mal à l’aise dans l’uniforme de l’établissement depuis le début de la semaine, là c’est pire que tout. Comme elle est très réservée, Caroline se sent à l’aise lorsqu’elle porte un jean ample et un gros pull, des vêtements qui ne montrent pas vraiment les formes de son corps. L’uniforme de l’établissement n’est pas du tout à son gout. En effet, elle porte une jupe qui arrive au-dessus des genoux, un chemisier blanc et un petit blaser.
Le Directeur reprend :
- Bien, pour la punition niveau 1, ce sera forcément assez soft.
Sans prévenir, le Directeur saisit d’un coup Caroline par le bras et la retourne dos à la salle. Il appuie sur son dos, pour qu’elle se penche en avant dos à plat. Il donne des coups avec ses pieds sur l’intérieur de ses chevilles pour lui faire écarter les jambes en grand. Dans cette posture Caroline a les fesses bien en arrière, bien en évidence.
Caroline se sent terriblement gênée. Elle sent bien que sa jupe remonte sur ses cuisses, et elle se demande jusqu’où. En plus, elle sent bien que dans cette posture sa jupe moule complétement ses fesses que tous les yeux de la salle doivent fixées.
Sans prévenir, le Directeur abat violement sa main sur la fesse droite de Caroline et la claque. Il donne 5 claques assez fortes du plat de la main.
Lorsqu’il a fini, il se tourne vers la salle en laissant Caroline dans cette posture.
- Voilà ce que nous pouvons faire de plus soft pour le niveau 1. Maintenant, je voudrais vous proposer une variante. Nous pourrions en effet aller plus loin et relever la jupe de Caroline dès le niveau 1.
Caroline n’ose pas y croire. Déjà, elle n’imagine pas la honte qu’elle va ressentir lorsque le Directeur va lever sa jupe, car il apparait maintenant évidement qu’elle n’y coupera pas et que tous les élèves et les professeurs de la salle vont voir sa culotte. Mais surtout, son cerveau tourne à mille à l’heure sans parvenir à comprendre, si elle montre sa culotte pour la punition niveau 1, il va se passer quoi ensuite ? Et que va être le niveau 5 ? Elle n’avait jamais envisagé qu’elle devrait montrer ses fesses nues, mais comment en serait-il autrement ? Et elle n’y croit toujours pas, elle ne veut pas y croire.
Caroline est dans ses pensées lorsqu’elle sent les mains du Directeur attraper le pan de sa jupe et la soulever très lentement. Il s’est mis sur le côté pour que toute la salle profite du spectacle. Lentement, le Directeur remonte sa jupe et toute la salle découvre les fesses de Caroline moulées dans une culotte blanche très sobre. Le Directeur fait alors le tour de Caroline pour se mettre de l’autre côté et lui donne à nouveau 5 fortes claques du plat de la main, sur l’autre fesse.
Il demande alors à la salle de voter pour la première ou la deuxième version, tout en laissant Caroline dans cette posture, la jupe relevée.
- Attention, précise-t-il, je vous rappelle que nous sommes au niveau 1, il ne faudrait pas commencer trop haut, et en même temps il faut vous demander si de simples claques par-dessus la jupe constitue réellement une punition.
Quand tout le monde a voté, il demande à Caroline de se placer face à la salle, les mains sur la tête et les jambes écartées.
- Caroline, je sais qu’il va commencer à être difficile de regarder vos camarades, sachant qu’ils ont tous vu votre culotte et que vous aviez vos fesses bien en évidence tournées vers eux. Bien évidemment, c’est humiliant pour vous. Mais cela fait partie du test. Caroline, vous allez maintenant nous dire si vous avez ressenti de la douleur et de l’humiliation. Et à chaque fois que nous monterons de niveau vous allez pouvoir nous dire si le niveau de douleur et d’humiliation augmente.
Caroline ne répond rien.
Le Directeur insiste :
- Alors Caroline, avez-vous ressenti de la douleur et de l’humiliation ?
Elle finit par dire, très timidement :
- Oui, les deux.
- Les deux quoi ?
- Heu, j’ai ressenti de la douleur et de la honte.
- Parfait. Qu’est-ce qui vous a fait ressentir de la honte exactement ?
- Heu … le fait d’avoir montré ma culotte, mais aussi la … position.
- Très bien, et avez-vous senti que les claques sur la culotte faisaient plus mal que celles sur la jupe, du fait que moins de vêtement vous protégeaient ?
- Heu, pas vraiment. C’est surtout que j’avais vraiment honte que ma jupe soit … relevée.
- Hummm … Je comprends, donc, entre les deux la douleur est à peu près équivalente, mais le niveau d’humiliation est plus important, c’est noté.
Bien, concernant les votes, je suis bien embêté, nous avons quasiment moitié-moitié dans les votes, ce n’est pas très tranchant. Quelqu’un aurait une suggestion ?
Le professeur d’Allemand prend alors la parole :
- Nous pourrions envisager quelque chose d’un peu intermédiaire entre les deux. Si Caroline se retourne dos à la salle, les jambes écartées comme elle était, mais qu’elle se penche beaucoup plus, jusqu’à mettre ses mains sur ses chevilles, cela fera remonter sa jupe et laissera un peu voir sa culotte mais pas complétement.
- Cela me semble une bonne suggestion, répond le Directeur. Essayons.
Le Directeur lance à Caroline son regard qui lui dit de s’exécuter.
Caroline continue à faire tout ce que lui dit le Directeur, sans se révolter, alors que dans sa tête elle hurle que tout cela n’est pas juste, qu’elle n’a rien fait pour mériter ça.
Elle se tourne donc, se penche, attrape se chevilles, et en effet, sa jupe remonte tellement que l’on voit le bas de sa culotte. En fait, cette posture est tellement suggestive qu’elle est encore plus excitante pour tous les garçons de la salle.
- Bon, reprend le Directeur, je ne vais pas à nouveau claque les fesses de Caroline, la douleur sera la même que tout à l’heure et comme il y aura d’autres claques, nous allons préserver un peu le fessier de notre volontaire.
Le Directeur lance alors un nouveau vote, puis s’ensuit une discussion d’environ 10 minutes pour finaliser le choix de la punition niveau 1. Et durant ces 10 minutes, le Directeur laisse Caroline dans la posture dos à la salle et mains sur les chevilles.
Caroline veut se manifester, dire qu’elle peut peut-être se relever, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle se sent tellement gourde d’obéir comme ça. Et elle continue d’être terrifiée à l’idée que tous les garçons de la salle pense qu’elle a demandé à être là, qu’ils pensent qu’elle montre sa culotte de son plein gré.
Cette position est vraiment très humiliante pour Caroline. Elle commence à avoir envie de pleurer, et elle se dit qu’elle ne tiendra pas la journée.
Le Directeur annonce alors que le test de la punition niveau 2 va démarrer. Et ajoute :
- Caroline, comme vous nous avez dit qu’il n’y a pas de différence au niveau douleur entre les claques sur la jupe et sur la culotte, pour le niveau 2, si nous voulons passer un cran dans la douleur, il va falloir que je claque vos fesses nues.
Un murmure d’excitation parcoure la salle. Les garçons comprennent que cette fois, ils vont voir les fesses de Caroline totalement déculottée. Ils n’osent pas y croire. Et plus la journée avance plus ils se disent qu’ils vont franchement passer un bon moment. Non seulement ils vont voir les fesses de Caroline, mais en plus ils vont pouvoir faire des commentaires, peut-être même proposer de tester les positions les plus humiliantes. Certains commencent déjà à imaginer les punitions de niveau 4 et 5.
Le Directeur demande le silence, puis d’une voix forte demande à Caroline de retirer sa jupe.
Tout le monde redevient attentif et fixe son regard sur Caroline, debout sur l’estrade.
Caroline ne bouge pas tout de suite, ses mains tremblent. Le regard insistant du Directeur la pousse à se mettre en mouvement. Elle dégrafe les deux boutons sur le côté de sa jupe, puis la laisse glisser à ses pieds. Elle place alors ses mains devant sa culotte, terriblement gênée.
- Caroline, mettez-vous en position de punie.
Caroline s’exécute et place alors lentement ses mains sur sa tête.
Le Directeur ne la laisse pas longtemps dans cette position. Il la retourne rapidement dos à la salle et appuie sur son dos pour qu’elle se penche à l’horizontale.
- Bien alors maintenant, je vous propose 3 différentes options pour le déculottage de Caroline. La première option, c’est Caroline qui se déculotte elle-même. Allez Caroline, baissez votre culotte et montrez à tous vos fesses nues.
Entendre les mots fesses nues tétanise Caroline. Elle a l’impression d’être deux personnes différentes. Une personne qui veut résister et qui hurle dans sa tête, et une autre qui contrôle le mouvement de ses mains et qui les obligent à faire des choses qu’elle ne veut pas faire. Ainsi, ses mains se dirigent lentement vers sa culotte, ses doigts glissent dans l’élastique de son sous-vêtement, tout doucement elle découvre ses fesses en baissant sa culotte. Elle place le sous vêtement juste sous ses fesses.
Sans attendre, le Directeur arrive sur le côté et lui claque violement les fesses du plat de la main à 5 reprises.
Laissant Caroline les fesses à l’air, le Directeur explique :
- Voilà pour la première version. Maintenant, il peut y avoir des variantes. Déjà, en tant que Directeur, je peux aussi baisser moi-même la culotte de Caroline. Evidemment, si un professeur punit un élève, le professeur pourra faire de même. Alors Caroline, remontez-donc cette culotte pour que je la baisse à nouveau. Vous pourrez ensuite nous dire ce qui est le plus humiliant pour l’élève puni.
Caroline s’exécute et remonte sa culotte.
Ensuite, le Directeur s’approche, et place ses doigts dans l’élastique de la culotte de Caroline. Puis, il explique :
- La grosse différence ici, c’est que l’élève puni ne maitrise pas le timing. En effet, Caroline ne sait pas du tout à quel moment ses fesses seront offertes à tous.
Le Directeur a toujours les doigts glissés dans le sous vêtement. Caroline sent la peau de ses doigts contre la peau de ses fesses. Cette sensation est terriblement gênante. Et elle comprend vraiment ce que dit le Directeur, son cœur bat à tout rompre. Elle sait que sa culotte va être baissée, elle est partagée entre l’idée qu’elle ne veut pas que ce moment arrive et en même temps elle voudrait que ce soit fini vite. Ce moment où elle sait que cela va venir et que ça ne vient pas est terriblement stressant.
Le Directeur le sait, et il continue à parler durant presque 10 minutes. Il explique le principe des punitions, insiste à nouveau sur le fait que Caroline est volontaire pour ces tests, puis ajoute que le courage de Caroline est exemplaire car tout ceci n’est que le début de son humiliation et qu’un niveau sera franchi à chaque punition. Et d’un coup, au milieu d’une phrase il baisse brutalement la culotte.
Caroline ne peut pas s’empêcher de lancer un cri de surprise et de honte.
Comme l’avait fait Caroline, il place sa culotte roulée juste en bas de ses fesses.
- Bon, comme tout à l’heure, je ne vais pas re-claquer les fesses de votre camarade, elle a déjà subi cela. Et comme vous pouvez voir, les marques rouges sont encore là. En revanche, je voulais aussi vous proposer une troisième option. Si ce n’est ni Caroline, ni moi, qui baissions sa culotte, cela pourrait être quelqu’un d’autre. J’ai pensé à un camarade de classe, c’est très humiliant bien sûr, pour un élève d’être déculotté par un autre élève, qui plus est si pour une fille, nous faisons appel à un garçon.
Tous les garçons de la salle s’imaginent en train de déculotter Caroline, et un frisson d’excitation envahi la salle.
Le Directeur reprend :
- Dans la réalité, il s’agira d’un camarade de classe, puisque les punitions se passent devant la classe. C’est pourquoi, j’ai pensé au binôme de Caroline, Julien, qui est également délégué de sa classe.
Julien n’en croit pas ses oreilles, son excitation est à son comble.
Caroline quant à elle ne veut pas y croire, cela ne pouvait pas être pire. Elle sait pertinemment, que quelque soit ce qu’il y a d’écrit dans le contrat, Julien lui fera durant toute l’année des réflexions sur cet épisode lorsqu’ils seront tous les deux, et elle sait aussi qu’elle n’aura pas le courage de s’en plaindre.
Le Directeur enchaine :
- Caroline, remonter votre culotte et replacez-vous en position de punie face à la salle. Une fois votre jupe retirer, la punition de niveau 1 pourrait donc consister à demander à l’un de vos camarades de vous mettre en position et en tenue pour recevoir votre fessée. Julien, venez donc nous rejoindre.
Julien ne se fait pas prier, et monte rapidement sur l’estrade.
Le Directeur reprend :
- Caroline, vous allez maintenant demander à votre camarade d’avoir la gentillesse de vous préparer pour la punition.
Caroline n’arrive pas à prononcer un son.
Sans prévenir, le Directeur passe dans le dos de Caroline et lui claque les fesses violement.
- Allez mademoiselle !! On vous écoute !
Caroline, complétement matée dis d’une toute petite voix :
- Heu … Julien, veux-tu me préparer pour la punition.
- Plus fort ! Demande le Directeur.
Caroline reprend la même phrase, plus forte.
Le Directeur intervient :
- Caroline, dites à votre camarade en quoi consiste exactement cette préparation.
Après plusieurs essais, Caroline finit par dire :
- Julien, j’aimerais que tu me baisse ma culotte pour que je reçoive une fessée sur mes fesses nues devant tout le monde, et que tu me places en position, les fesses nues bien tournées vers la salle.
C’est un vrai supplice pour Caroline. Julien, lui, n’en perd pas une miette.
Le moment tant attendu pour lui arrive enfin, le Directeur lui dit qu’il peut donc déculotter sa camarade.
Julien pratique comme le Directeur, en tournant Caroline dos à la salle, et en appliquant sa main dans son dos pour qu’elle se penche à l’horizontal. Il se met ensuite bien sur le côté pour que toute la salle en profite puis glisse ses doigts dans l’élastique de la culotte et la baisse. Il fait glisser le vêtement jusqu’au milieu des cuisses, mais le Directeur le reprend très vite et lui demande de remonter la culotte juste sous ses fesses. Julien est déçu, mais au moins lui a pu bien profiter du spectacle de l’entre-jambe Caroline si offerte dans cette position, car en effet, avec les jambes écartées, sa vulve est très visible, et Julien n’était qu’à quelques centimètres de l’intimité de Caroline.
Une fois la culotte placée juste sous les fesses, la position est bien plus pudique, même si bien sûr tout le monde voit à nouveau les fesses de Caroline, encore rouge des claques données par le Directeur tout à l’heure.
Le Directeur fait redescendre Julien, qui est bien déçu de ne pas rester, puis s’ensuit le protocole du vote. Encore une fois, durant les 15 minutes de vote et de débat, le Directeur laisse Caroline dos à la salle, les fesses bien en évidence, et cette fois-ci même, les fesses nues.
Le Directeur finit par demander à Caroline de remettre sa culotte de de se tourner, en position de punie face à la salle.
- Alors Caroline, demande le Directeur, la douleur et l’humiliation sont elles plus fortes que pour la punition de niveau 1 ?
- Heu … oui en effet.
- C’est-à-dire ?
Caroline répond comme un robot, elle n’est plus du tout maitre de ce qu’elle fait ou de ce qu’elle dit. Elle ne présente aucune once de rébellion.
- Et bien, les claques sur la peau nues sont plus douloureuses. Pour l’humiliation, je me suis sentie terriblement honteuse de monter mes fesses à tout le monde.
- Et qu’est ce qui est le plus humiliant ? Lorsque c’est vous, moi ou Julien qui a baissé votre culotte ?
- C’était très difficile lorsque c’était vous, car je ne savais pas quand ça allait arriver et j’ai été surprise. Avec Julien, le plus humiliant a été de lui demander, avec précision, de me déculotter. Et puis aussi, de savoir que c’est un garçon que je vais voir tous les jours, parce qu’à chaque fois que je vais le voir en classe, je ne pourrais pas m’empêcher de repenser à ce moment.
Le Directeur est plus que satisfait de ses réponses.
Caroline reste en position de punie, les mains sur la tête, face à la salle, les jambes écartées durant tous les échanges. Elle n’a pas récupéré sa jupe et elle est toujours en culotte.
Il est voté que le niveau 2 serait une fessée déculottée, et que le déculottage serait demandé à un camarade de classe. Il est bien précisé que la punie devrait demander à son camarade de la déculotter.
Caroline s’en veux d’avoir dit que c’était le plus humiliant, car elle se dit que sinon cela n’aurait peut-être pas été retenue. En plus, elle se dit que maintenant, le Directeur va peut-être redemander à Julien de participer aux autres niveaux et cela l’angoisse.
Le Directeur annonce d’une voix ferme :
- Bien, passons au niveau 3.
Caroline a un violent pincement au cœur. Encore 3 niveaux de plus, elle se dit qu’elle ne pourra vraiment pas le supporter. Que va-t-il se passer ? Elle va surement devoir retirer sa culotte, elle le sait, mais ce qu’elle redoute le plus maintenant c’est de se retrouver face à la salle sans culotte. Monter son sexe à tout le monde serait tellement humiliant, elle ne peut pas l’envisager.
Le Directeur reprend :
- Pour la punition de niveau 3, je vais vous faire une proposition, et nous échangerons ensuite sur les possibilités de variantes.
Sans se retourner vers Caroline, il poursuit :
- Caroline, veuillez aller chercher votre camarade julien dans la salle.
Ce que Caroline redoutait se produit donc, Julien va dons à nouveau participer à sa punition.
Comme un robot, elle descend de l’estrade et traverse la grande salle, Julien étant installé au fond. Chacun peut alors profiter le voir Caroline de plus près, sans sa jupe.
Caroline arrive devant Julien et lui demande distinctement de bien vouloir la rejoindre sur l’estrade pour la préparer pour sa punition, et Julien la suit.
De retour sur l’estrade, Caroline se place en position face à la salle.
Le Directeur reprend :
- Caroline, vous allez demander à Julien de vous retirer votre veste et votre chemisier, pour que vous soyez en culotte et en soutien-gorge devant tout le monde.
Caroline ne s’attendait pas du tout à cela. Elle pensait que Julien allait lui retirer sa culotte. A aucun moment elle n’a envisagé de perdre d’autres vêtements. Une terrible honte l’envahie. Serait-il possible que le Directeur finisse par la mettre totalement nue devant tout le monde ? Non, elle ne veut pas y penser, pourtant elle ne peut pas s’en empêcher.
- Caroline on vous attend, insiste le Directeur.
Caroline s’exécute, des sanglots dans la voix :
- Julien, j’aimerais que tu me retires ma veste et mon chemisier pour que je me retrouve en soutien-gorge et en culotte devant tout le monde, pour ma punition.
Julien est aux anges. Il prend un plaisir fou à déshabiller très lentement Caroline. Après lui avoir retirer sa veste, il se place devant elle pour déboutonner son chemisier, lentement, bouton après bouton. Au début Caroline est plutôt contente que Julien se place devant elle, comme ça il fait un peu rempart, la salle ne peut pas la voir et elle ne les voit plus non plus. Mais son répit ne dure pas, car à la place elle sent le souffle chaud de Julien qu’elle sent haletant d’excitation. En plus il la regarde bien dans les yeux et arbore un sourire de satisfaction qui la dégoute complétement.
Après avoir dégrafé tous les bouton, Julien passe derrière Caroline. Il est plutôt à l’aise et veut montrer au Directeur qu’il a bien compris qu’il devait mettre Caroline mal à l’aise. Il espère ainsi qu’il pourra continuer à être actif pour les autres niveaux.
Une fois derrière Caroline, il l’entoure de ses mains et attrape les deux pans de son chemisier, qui pour le moment la couvre bien. Il reste ainsi quelques secondes, sentant la respiration de Caroline s’accélérer.
Julien sait que cette attente est un supplice pour Caroline.
Et puis, sans prévenir, il ouvre violement les 2 pans du chemisier, offrant à toute la salle la poitrine de Caroline moulée dans un délicieux soutien-gorge blanc.
Il entreprend alors de faire glisser le vêtement sur ses bras et de le retire complétement.
Il replace les mains de Caroline sur sa tête, et se place de côté pour profiter à son tour de ce magnifique spectacle.
Comment aurait-il pu imaginer ce matin qu’il allait déshabiller une élève pour qu’elle se retrouve en sous-vêtement devant une soixantaine d’élèves, des professeurs et tout le personnel de l’école, debout, les mains sur la tête ?
Il sent que son jean cache difficile sa terrible érection, mais comment pourrait-il en être autrement ?
Le Directeur félicite Julien pour ce déshabillage et se lance dans un petit discours sur l’importance du positionnement de l’élève qui déshabille. Il y a quelques échanges avec des professeurs qui racontent différentes situations qu’ils ont rencontrés lors d’autres punitions, et tous ses échanges durent de longues minutes, laissant Caroline en sous-vêtement à la vue de tous.
Puis le Directeur intervient :
- Bien, continuons. Caroline retourner-vous pour votre fessée.
Caroline se retourne et d’elle-même se penche en avant, le dos à l’horizontal. Elle garde les jambes serrées, et pense qu’elle ne va pas échapper à nouveau au fait de montrer ses fesses.
Le Directeur va chercher une chaise et la place devant Caroline, puis il ajoute :
- Caroline, posez-donc vos mains sur l’assise de cette chaise. Les claques vont bien sûr être plus fortes que tout à l’heure, puisque la douleur doit monter d’un niveau, et il est important que vous restiez stable. Je vous demande donc de bien tenir l’assise de cette chaise avec vos mains.
Sans prévenir, il passe alors derrière Caroline et lui baisse complétement sa culotte. Il lui donne une petite tape sur chaque cheville pour qu’elle lève le pied et lui retire complétement le vêtement. Il tend alors la culotte à Julien en disant :
- Veuillez poser ce vêtement avec les autres.
Caroline est horrifiée à l’idée que Julien tienne sa culotte entre ses mains.
Le Directeur reprend :
- Allez Caroline, mettez-vous en position. Vous ne serez jamais assez stable comme ça, vous devez écarter les jambes.
Caroline s’exécute.
- Plus que ça, allez.
Caroline finit par écarter les jambes de presque 1 m.
Dans cette position, toute la salle a une vue imprenable sur son intimité. Julien, qui est toujours sur l’estrade, n’en crois pas ses yeux. Tout à l’heure il a entraperçu cette intimité. Là, il voit très clairement sa vulve et les lèvres qui s’écartent. Caroline a une toison plutôt fine, et Julien distingue très clairement la chaire rose à l’intérieur de ses lèvres. Il est si près qu’il pourrait y glisser ses doigts juste en tendant la main. La bosse dans son jean, présente depuis presque qu’une heure devient presque douloureuse. Il aimerait pouvoir faire « pause », que le temps s’arrête et sortir son sexe dure pour se caresser et se soulager. Il voudrait tellement pouvoir jouir en regardant le sexe de sa camarade si offert.
Les claques que le Directeur abat sur les fesses de Caroline le sortent de sa rêverie.
La violence des coups est nettement plus forte que tout à l’heure et Caroline ne peut retenir des cris.
Après 5 coups très forts, le Directeur demande à Julien de retourner à sa place, puis ajoute :
- Bien, cette fois, il n’y a pas de vote car je ne vous ai proposé qu’une variante. A vous de faire des commentaires et des propositions, si vous avez des idées pour optimiser cette punition.
Comme à chaque fois, le Directeur laisse Caroline dans la position de sa punition, position de plus en plus impudique.
Après 15 minutes, il demande à Caroline de se relever et de se placer face à la salle.
Caroline redoutait se moment. Bien sûr, les fesses exposées ainsi, elle était déjà très honteuse. Mais là, il va falloir à nouveau regarder tout le monde, et surtout si elle met les mains sur la tête, elle va devoir montrer son sexe. Elle n’est plus vêtue que de son soutien-gorge, et elle se sent si honteuse.
Pourtant, comme depuis le début, elle obéit, docile.
Elle se retourne, pose les mains sur sa tête, écarte les jambes et regarde bien droit devant elle, mais elle ne peut retenir des larmes.
Le Directeur ne lui laisse pas le temps de souffler qu’il lui pose tout de suite des questions :
- Bien Caroline, nous avons besoin de savoir comment vous évaluez le niveau de douleur et d’humiliation de cette punition.
- Heu .. et bien, les claques étaient bien plus douloureuses. En fait, j’ai encore mal. Pour l’humiliation, c’est toujours très difficile de demander à un camarade de me déshabiller. Et puis, là, être presque nue devant tout le monde c’est vraiment terrible.
Caroline a des larmes qui coulent sur ses joues lorsqu’elle parle.
Le Directeur reprend :
- Je comprends. Merci Caroline. J’incite à nouveau pour vous remercier. Vous saviez, en vous portant volontaire que ce serait une épreuve. Vous vous doutiez que vous seriez durement humiliée, j’imagine que vous saviez que vous seriez mise nue devant tout le monde, devant des camarades avec qui vous allez passer toute l’année, devant les professeurs qui vont vous faire cours, et pourtant vous n’avez pas hésité. Vous le savez tous, la discipline doit être exemplaire dans notre établissement. Aussi, le fait de mettre en place un système de punition dissuasif est essentiel. Si le système est suffisamment dissuasif, personne ne dérogera aux règles et Caroline sera peut-être la seule à subir tous ces châtiments. Alors encore une fois je remercie le courage de Caroline. Je vois à travers les larmes de votre camarade, que maintenant que nous y sommes, vous regrettez peut-être. C’est normal. Mais je sais que votre détermination était forte, et je ne vous laisserai pas abandonner. Vous subirez les punitions jusqu’au niveau 5, et s’il faut, je vous bousculerai, comme j’ai fait tout à l’heure pour que vous fassiez ce que l’on vous demande. Il est très important que vous nous décriviez précisément ce que vous ressentez, à chaque étape. Alors Caroline, vous disiez que demander à votre camarade de vous déshabiller est humiliant, et que vous présenter face à vos camarades uniquement vêtue d’un soutien-gorge est humiliant. Qu’en est-t-il de la fessée, sur vos fesses nue ?
- Et bien oui, répond Caroline, bien sûr, c’est humiliant. Mais il est vrai que la douleur prend le dessus et surtout, tout à l’heure j’avais déjà les fesses nues, il n’y avait pas vraiment de changement.
Un brouhaha se fait dans la salle, Caroline ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Encore une fois, elle s’en veut de répondre si précisément et honnêtement aux questions du Directeur, mais elle ne contrôle pas ses réponses. Elle a l’impression que le Directeur l’hypnotise et la fait parler sans qu’elle ne puisse choisir de ne pas le faire.
Le Directeur reprend :
- Si je comprends bien, Caroline, vous avec ressenti la même honte avec la culotte baissée juste dessous vos fesses et la culotte complétement retirée ?
Caroline répond doucement :
- Heu … oui, en quelque sorte. Ce qui est honteux c’est de montrer ses fesses.
Le Directeur semble pensif. Puis se dirige vers Daniel, qui depuis le début prend des photos de la séance. Personne ne comprend ce qui se passe, mais le Directeur et Daniel s’affaire autour de l’appareil photos et de l’ordinateur du Directeur, puis le vidéoprojecteur s’allume et une photo de Caroline, les fesses à l’air, les jambes écartées, son entrejambe totalement visible apparait sur l’écran géant qui recouvre le mur derrière Caroline.
Face à la salle, elle ne voit rien, et entend des murmures, des rire, et voit des sourires sur les visages de ses camarades.
Le Directeur intervient :
- Caroline, retournez-vous.
Caroline se retourne et découvre la photo. Elle pousse un cri de terreur et porte sa main à sa bouche. Elle est si pudique, qu’elle n’a jamais imaginé ce qu’elle pouvait montrer dans cette position. En plus, tout à l’heure la douleur était si forte qu’elle ne pensait pas du tout à sa pudeur. Elle découvre avec horreur tout ce que ces camarades ont vu. Elle se sent bien ridicule d’avoir honte d’être vue debout de face, alors que tout le monde a eu une vue tellement plus intime il y a à peine quelques minutes. La photo semble zoomée de très près et l’écran et si grand que tout le monde peut voir tous les détails. Ses poils, ses lèvres … Son sexe est totalement offert à tous. Au comble de la honte, elle voit que tout le monde peut aussi voir son anus. Elle réalise que c’est la première quelle voit son propre anus et elle trouve cela particulièrement gênant. Caroline est totalement sous le choc.
Le Directeur laisse Caroline devant sa photo un long moment, laissant à toute la salle le plaisir de revoir l’entrejambe de Caroline si bien offerte, puis intervient :
- Bien. J’imagine Caroline que vous voyez maintenant la différence entre une fessée culotte baissée et une fessée sans culotte. Nous allons pouvoir reprendre, et finalisé la punition niveau 3.
Des échanges ont lieu durant près d’une demi-heure, le Directeur lisant tous les commentaires que chacun a pu faire sur sa tablette. Certain commentaire n’apporte rien, mais le Directeur prend un malin plaisir à les lire quand même, et même à les commenter :
- Quelqu’un a écrit « C’est tellement excitant de voir Caroline les fesses nues, les jambes écartées et la chatte à l’air, que je vais me branler tous les soir en y pensant ». Alors non, je vous demande d’éviter ce genre de commentaires. Déjà, cela ne nous aide pas à avancer. En plus, je vous ai demandé explicitement d’être respectueux avec votre camarade. Vous pensez vraiment que c’est respectueux de rajouter à la honte de Caroline en lui disant que tous les garçons de cette salle vont garder des souvenirs, des images en tête, et qu’ils vont penser à elle pour assouvir leurs plus vils instincts.
Au final, après un débat animé, il est décidé que pour chaque punition, la séance sera filmée et diffusée en directement sur l’écran de la classe, pour que l’élève puni se rende bien compte de ce qu’il montre, et ajouter à sa honte.
Il est question un moment de mettre des photos, mais c’est techniquement trop compliqué, l’avantage du film, c’est le côté « en direct ». Daniel est donc chargé de prendre tout en film à partir de maintenant, et de le diffuser sur l’écran derrière. Sophie, qui est aussi au club photo, va quand à elle prendre le relai de Daniel pour les photos.
Par ailleurs, comme tout le monde a pu voir qu’il était humiliant pour Caroline de décrire son ressenti après chaque punition, il est décidé qu’à partir du niveau 3, il sera demandé à l’élève puni de décrire précisément la honte qu’il a ressenti.
La photo est toujours affichée en gros plan, Caroline a envie de vomir, mais elle sait que son épreuve n’est pas terminée.
Le Directeur fait taire tout le monde et reprend :
- Bien, nous en sommes déjà au niveau 4. Bien évidemment, pour ce niveau, Caroline ne va pas garder son soutien-gorge, elle sera mise totalement nue. Le déshabillage fait partie intégrante de la punition. On peut demander à la punie de le faire elle-même, ou, comme vous avez pu le voir de demander à un camarade de le faire, ou encore de laisser faire le professeur qui punit. Caroline, allez vous rhabiller.
Caroline n’en croit pas ses oreilles. Tout serait-il fini ? La Directrice veut-il finir de discuter les derniers niveaux juste en échangeant ?
Tout à ses réflexions elle va vers ses vêtements de se rhabille. Cette petite jupe et ce chemisier qu’elle trouvait si indécent en début de semaine lui font l’effet d’une énorme couverture la protégeant des regards.
Elle reste sur l’estrade, ne sachant pas trop si elle peut retourner à sa place, mais se dit qu’enfin, son calvaire est terminé.
Elle est complétement dans sa bulle et n’écoute pas su tous les échanges qui ont lieu. La voix du Directeur finit par la sortir de sa torpeur :
- Caroline, nous en sommes donc au niveau 4. Venez vous remettre en position de punie. Je vous ai demandé de vous rhabiller, car pour ce niveau, nous avons voté pour un déshabillage particulier, et il fallait donc que vous remettiez vos vêtements pour que nous puissions tester le déshabillage.
Caroline est dépitée. Tous ses espoirs s’évanouissent. Elle va donc tout subir, jusqu’au niveau 5.
Le Directeur reprend :
- Avez-vous entendu ce que l’on attend de vous pour ce déshabillage ?
- Heu … non, je suis désolée, j’étais concentrée sur le fait de remettre mes vêtements, répond doucement Caroline.
Le Directeur reprend :
- Bien, alors, je vous explique. Vous allez choisir 5 camarades et chacun d’entre eux va vous retirer un vêtement. C’est vous qui devez choisir qui va venir et quel vêtement il va retirer. Ce qui a été décidé, c’est que comme vous êtes une fille, vous devez choisir 5 garçons.
Caroline en a mal au ventre. Elle a l’impression que se retrouver nue va être encore plus difficile maintenant qu’elle a pu remettre ses vêtements. Elle se sent encore plus honteuse que tout à l’heure. Comme si savoir ce qui allait se passait augmentait encore plus sa honte. En plus choisir elle-même qui va venir la terrifie. Que vont penser les garçons qu’elle va choisir ? Qu’elle les préfèrent aux autres ? Qu’elle a envie qu’ils la voient de près ? En plus elle n’est plus vraiment sûr de tous les prénoms.
Au comble de la honte, Caroline doit appeler chaque élève, puis lui demander distinctement « Karim, je voudrais que tu me retire ma veste pour ma punition », « Olivier, je voudrais que tu enlèves mon chemisier pour ma punition, et que tu me mette en soutien-gorge », « Maxime, je t’ai choisi, pour que tu m’enlèves ma jupe et que tu me mettes en sous-vêtement devant tout le monde » …
Ainsi, Caroline se retrouve à nouveau en sous-vêtement devant toute la salle.
Le moment redouté arrive, elle va devoir demander à un garçon de lui retirer son soutien-gorge. Elle a déjà été beaucoup humiliée, mais montrer ses seins lui parait être une nouvelle étape bien difficile.
Elle ne sait pas qui choisir. Elle finit par se décider à appeler un camarade, mais elle se mélange dans les prénoms :
- Laurent, je voudrais …
Le Directeur l’interrompt brutalement.
- Laurent ? Vous appelez Laurent ?
- Heu … Oui, bredouille Caroline.
Le Directeur reprend :
- Alors mademoiselle, il n’y a qu’un seul Laurent dans cette salle, et c’est Monsieur Giron, votre professeur de mathématiques.
Caroline est rouge de honte. Elle veut intervenir pour dire qu’elle s’est trompée de prénom, mais le Directeur ne la laisse pas parler :
- Alors sachez qu’il vous est interdit d’appeler vos professeures par leur prénom, bien évidement. Maintenant si vous tenez absolument à ce que ce soit Monsieur Giron qui vous mette nue, je n’y vois pas d’inconvénient. C’est un choix surprenant, d’autant que vous avez choisi l’option mathématiques est que vous aurez cours avec ce professeur presque 8h par semaine, mais si c’est votre choix. Je vous demande juste de reformuler en appelant Monsieur Giron, et non Laurent bien évidement.
Caroline cherche ses mots pour s’expliquer, mais elle ne trouve pas. Docile comme toujours, elle finit par s’entendre dire :
- Monsieur Giron, s’il vous plait, je voudrais que vous me retirer mon soutien-gorge, pour me préparer à ma punition et ainsi me laisser les seins nus, devant tout le monde.
Le professeur de mathématiques est un jeune professeur plutôt bel homme. Il monte rapidement sur l’estrade.
Il tourne Caroline dos à la salle, puis passe ses mains dans son dos et dégrafe le sous-vêtement. Il fait glisser très délicatement les bretelles du vêtement sur ses épaules. Il est très près de Caroline. Caché par la jeune fille, la salle ne voit pas le visage du professeur. Il en profite pour regarder Caroline droit dans les yeux et lui murmure « je suis ravie que vous m’ayez choisi mademoiselle ». En faisant glisser le vêtement et découvrant la poitrine généreuse de Caroline il ajoute « C’est un délice de vous mettre nue et d’être si près » ; Il prononce cette phrase en regardant avec insistance les seins de Caroline.
Caroline sent ses joues devenir cramoisies. Elle ne sait plus où se mettre. Son professeur de mathématiques va-t-il vraiment croire toute l’année qu’elle a voulu que ce soit lui qui la mette nue ? Et que vont penser les autres élèves en sachant qu’elle a choisi son professeur ? Ses joues la brulent. Son professeur ajoute alors « je suis aussi ravie de voir que tout cela vous fait de l’effet ».
Et puis sans prévenir, il la retourne vivement, offrant sa poitrine à la vue de tous.
Le Directeur intervient :
- Caroline, vous avez insisté pour que votre propre professeur vous déshabille, alors allons jusqu’au bout, demandez lui la suite.
Caroline pleure à nouveau, mais s’exécute :
- Monsieur Giron, j’aimerai que vous me retiriez ma culotte, pour me mettre entièrement nue devant tout le monde.
Monsieur Giron se met alors à genou devant Caroline qui reste debout. Puis il glisse ses doigts dans l’élastique de sa culotte et fais glisser le tissu tout doucement. Ce déshabillage est très érotique. Caroline sent le visage de son professeur pile à la hauteur de son sexe nu. Elle se sent terriblement gênée. Par ailleurs, elle sent une drôle de chaleur au niveau de son entrejambe. Elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe, mais il y a une certaine forme d’excitation qui s’ajoute à son gène.
Monsieur Giron retire complétement la culotte de Caroline qui est priée de se placer dans la position de punie les mains sur la tête, les jambes écartées, le corps bien droit et le regard bien haut.
Tout le monde regarde ses deux gros seins qui montent et qui descendent au rythme de sa respiration saccadée.
Le Directeur reprend :
- Nous allons tester 3 positions différentes pour cette punition niveau 4. La fessée ne sera donnée qu’une seule fois, car nous allons utiliser la badine, pour augmenter la douleur. Pour la première position, nous allons profiter que Monsieur Giron est là, Caroline sera fessée sur vos genoux.
Le Directeur porte une chaise au milieu de l’estrade et demande à Monsieur Giron de s’y assoir. Puis, il attrape Caroline par le bras et la couche sur les genoux du professeur. Puis il reprend :
- Dans cette position, sur les genoux de son fesseur, il y aura 3 séries de 10 claques. Comme je le disais, nous n’allons pas utiliser la badine à chaque fois, vos fesses ne supporteraient pas. Pour que le test soit tout de même réaliste, Monsieur Giron va vous fesser avec ses mains.
Caroline se demande si elle n’aurait pas préféré la badine. Sentir les mains de ce jeune professeur sur la peau nue, après ce qu’il lui a dit, après son regard insistant, elle se sent si honteuse.
Le Directeur commence par placer la chaise pour que Caroline soit de profil à la salle. Personne ne voit ses fesses, mais à chaque claque, tout le monde peut voir ses seins balloter dans le vide. Après 10 claques, le Directeur tourne la chaise, cette fois Caroline est face à la salle et le professeur de profil. Il soulève largement son buste pour bien monter sa poitrine et là encore tout le monde profite de cette grosse poitrine qui se tortille à chaque claque. Enfin, ce sont les fesses de Caroline qui sont tournées vers la salle. Et dans cette position, Caroline peut voir la scène sur le grand écran. Daniel ne se gêne pas pour faire des zooms et ses fesses apparaissent en très gros plans à la vue de tous. Le professeur fait bien attention à ce que Caroline tienne bien sa tête et lui demande de ne pas baisser les yeux, lui expliquant que regarder cet écran fait partie de la punition. Disant cela il attrape une des cuisses de Caroline pour écarter ses jambes et faire profiter à tous de la vue de son intimité. Avant de reprendre les claques, il laisse tout le monde profiter de cette vue. Se tournant vers l’écran, il se rend compte qu’avec ce zoom, il est même possible de voir que Caroline mouille. On distingue clairement le brillant de ses sécrétions. Il écarte encore plus les jambes de Caroline pour être sûr que tout le monde a vu et fini par donner les 10 claques que les fesses de Caroline.
Caroline est horrifiée de ce qu’elle montre. A-t-elle bien vu de la mouille ? Les autres ont-ils vu ? Elle se remet à pleurer en pensant que tout le monde va penser que Monsieur Giron l’excite et qu’elle a pris plaisir à être mise nue par lui devant tout le monde.
Après cela, le professeur aide Caroline à se relever.
La deuxième position pose quelques soucis. On teste une position où Caroline est présentée dos à la salle, les mains à plat sur l’assise d’une chaise et les jambes bien écartée autour du dossier de la chaise. L’indécence de cette position ne fait pas débat, en revanche, cette position ne permet pas de voir sa poitrine nue et elle est finalement abandonnée.
Pourtant, durant tous les échanges pour savoir si oui ou non ce serait une position pertinente et comment faire pour que l’on puisse voir sa poitrine, Caroline reste en position, la vulve bien offerte et bien ouverte. Comme elle est face à l’écran, son regard reste hypnotisé par ce qu’elle voit et elle se dit qu’elle ne pourra jamais regarder qui que ce soit dans cette salle dans les yeux après cela. Son sang se glace d’un coup lorsqu’elle voit une goutte de mouille apparaitre au bas de son sexe, grandir petit à petit et menaçant de tomber. Jusque-là, elle se disait que peut-être ses camarades n’avaient pas remarqué que son sexe était bien brillant. Mais si cette goutte grossit et finit par tomber, comme si elle dégoulinait d’excitation, tout le monde va s’en apercevoir.
Elle prie le ciel que le Directeur la change de position rapidement, mais pour le moment les discussions continuent. Son cœur bat à mille à l’heure lorsqu’elle voit que Daniel se permet de zoomer encore, plaçant la fameuse goutte au centre de l’image.
En entendant le Directeur mettre fin à la discussion, il dezoome rapidement, se demandant s’il n’a pas été trop loin.
Le Directeur reste visiblement concentré, annonçant qu’ils allaient maintenant tester la dernière position. Il place alors une table sur l’estrade et demande à Caroline de s’assoir sur la table face à la salle.
Ensuite il place derrière Caroline une structure en mousse qu’il a trouvé dans la salle de gymnastique pour que Caroline puisse s’adosser et maintenir son buste droit, offrant à toute la salle une belle vue sur sa poitrine. Enfin, le Directeur attrape les jambes de Carlone, les remonte en les pliant et demande à Caroline de les tenir en l’air pour laisser accès à ses fesses.
Cette position est encore plus indécente que la précédente. Ainsi positionné, son sexe est totalement ouvert, on voit absolument tout.
Le Directeur, intervient :
- Bien, je vais donc infliger 10 coups de badine à Caroline. Mais la badine peut blesser Caroline, si je ne vise pas correctement ses fesses. Aussi, il est important de préserver son intimité. Bien sûr, la mettre nue dans cette position fait partie de l’humiliation. Pour autant, une fois qu’elle sera montrée ainsi, nous allons recouvrir son intimité pour éviter tout accident. Monsieur Giron, venez, puisque vous êtes là. Placez-vous derrière Caroline, et passez votre main entre ses jambes. Voilà, vous allez recouvrir avec votre main le sexe de Caroline, pour éviter que je ne la blesse.
Monsieur Giron ne se le fait pas dire deux fois. Il place sa main sur le sexe de Caroline. Il pourrait la placer en simple protection comme lui a demandé le Directeur, mais il ne peut s’empêcher d’y exercer une pression. Il sent la chaleur de Caroline, il sent aussi son humidité.
Caroline se met à trembler de gène.
Le Directeur revient avec une badine, et sans prévenir donne un premier coup très violent. Caroline hurle.
Le Directeur ne s’émeut pas et continue à donner des coups, chacun aussi fort que le précédent. Caroline cri et pleure en même temps. Monsieur Giron reste concentré sur le sexe de Caroline. Sa main exerce des pressions successives sur le sexe de Caroline. Il voudrait plonger son doigt à l’intérieur de son intimité, mais il sait que c’est impossible.
Le dixième coup d’abat sur les fesses de Caroline, puis le Directeur pose la badine.
Il demande alors à monsieur Giron de retirer sa main. Celui-ci, après l’avoir retiré, sort un kleenex de sa poche et s’essuie la main ostensiblement, comme pour mettre en évidence devant tout le monde que Caroline a le sexe bien humide.
Le Directeur insiste :
- Comme le sexe de Caroline a été caché durant la punition et que l’humiliation d’une position indécente fait partie de la punition, pour cette punition, l’élève punie devra rester dans cette position durant au moins 20 minutes après la fessée.
Tandis que Caroline est laissée à son sort, les votes, les commentaires, les débats reprennent pour choisir la façon de faire pour finaliser la punition niveau 4.
Finalement, les deux positions sont retenues, la première sur les genoux du fesseur et la deuxième sur la table. C’est le puni qui choisira la position de sa punition, certain ayant commenté que comme cela, le professeur qui punit peut ajouter de l’humiliation en spécifiant que c’est l’élève qui a choisi. On pourra ainsi dire à une élève : « C’est toi qui a choisi de venir t’allonger sur les genoux de ton professeur » ou « C’est toi qui a choisi de te tenir les jambes bien écartée assise sur une table face à toute ta classe ». Par ailleurs, il a été retenu que c’est l’élève puni qui devra choisir le camarade qui protégera son sexe de la badine, un garçon si c’est une fille qui est puni, et vis versa.
Finalement, il est demandé à Caroline de revenir debout, face à la salle.
Caroline, n’est presque plus gênée d’être nue. Elle a l’impression d’être en dehors de son corps, de ne plus être elle-même, de ne plus rien ressentir.
Toute la salle se demande comment il peut y avoir un niveau 5. La douleur et l’humiliation peuvent-elles encore être monté d’un cran ?
Le Directeur éclaire tout le monde rapidement :
- Pour le niveau 5, ce qui va changer, c’est que la punition se fera à la cantine, devant tout le lycée, et non pas juste devant la classe. Ce sera donc, exactement comme la punition niveau 4, mais à la cantine.
Chaque élève se sent un peu frustré, on comprend bien que cela fait monter la honte d’un cran bien sûr, mais on comprend aussi que le supplice de Caroline est fini. Tout le monde s’attendant à une apothéose, et tout retombe d’un coup.
Le Directeur reprend :
- Comme il s’agit du niveau 5, ce sera un peu plus que juste comme le niveau 4. Déjà, je propose une punition chaque jour durant une semaine, devant tout le lycée. Le lundi, comme pour le niveau 1, mais à la cantine et comme nous devons aussi augmenter la douleur, tout sera fait à la badine. Donc, pour mémoire, le lundi, l’élève puni recevra une fessée à la badine. Le mardi, la fessée, culotte baissée devant tout le lycée. Le mercredi sans culotte, les jambes bien écartées et avec la diffusion de la vidéo prise en direct, le jeudi, l’élève sera mis nu devant tout le lycée puis fessé. C’est l’élève qui choisira qui le déshabille et dans quelle position il recevra sa fessée, toujours avec diffusion de la vidéo. Pour le vendredi, ce que je propose, c’est que l’élève puni passe la journée entière complétement nu. Il suivra ses cours normalement, mais complétement nu et chaque cours commencera par 3 coups de badine. Et enfin, en fin de journée, l’élève puni sera placé à la sortie du lycée, toujours entièrement nu. Chaque élève quittant l’établissement lui demandera de se mettre dans la position qu’il souhaite et lui donnera 1 claque sur les fesses. Ainsi, l’élève puni aura reçu 1 claque de chacun de ses camarades et chacun de ses camarades aura pu profiter de sa nudité de très près.
Les discussions ne sont pas très longues autour de cette proposition qui semble convenir à tous. Il est juste décidé en complément que les vidéos des punitions seront diffusée sur le site du lycée durant 1 mois avant d’être détruite, avec la possibilité pour chaque élève de l’établissement d’y poster des commentaire anonyme, pour renforcer la honte de l’élève puni.
Le Directeur conclut :
- Bien, nous avons bien travaillé. Nous avons réussi à valider les 5 punitions. Caroline je vous invite à retourner à votre place.
Caroline se dirige alors vers ses vêtements, mais le Directeur l’interrompt :
- Non Caroline, nous devons finir le test. Au niveau 5, l’élève puni passe la dernière journée totalement nue, nous devons vérifier qu’il n’y a pas d’impossibilité. Vous resterez donc totalement nue parmi nous tous jusqu’à ce soir. Pour commencer, nous allons nous rendre au réfectoire pour déjeuner, et cette après-midi nous avons différents groupes de travail.
Caroline est sous le choc, elle va rester entièrement nue au milieu d’élève habillé. Être mise nue sur l’estrade a été terriblement humiliant, mais elle se sentait loin des autres. Là, s’assoir à côté d’eux, être contrainte de leur parler de près, Caroline se remet à pleurer, mais docile, va rejoindre ses camarades, s’asseyant à côté de Julien qui lui sourit largement.
Comme prévu, Caroline passe un après-midi épouvantable au milieu de ses camarades. Le Directeur ne lui laisse pas de répit, lui demandant de distribuer des documents à chaque table, de venir écrire des choses sur le tableau, ou tout ce qui lui permet de la mettre à la vue de tous.
Vient le moment où le Directeur annonce qu’il va falloir choisir les photos pour l’illustration de chaque punition. Ainsi, les 215 photos prises dans la matinée sont projetées sur l’écran géant, décortiquées et commentées par tous pour finaliser le choix.
A 18h, tout le monde est épuisé, le Directeur annonce la fin de la journée, puis ajoute :
- Caroline allez donc vous placer devant la sortie s’il vous plait.
Caroline y va, sans se demander ce qui va suivre, elle n’en est plus capable :
Le Directeur reprend :
- Bien nous arrivons à la toute fin du test, chacun d’entre nous en sortant va demander à Caroline de se mettre dans la position de son choix et va lui donner une claque, ainsi, elle recevra une claque de chacun, comme il est prévu pour la fin de la punition niveau 5.
Le sang de Caroline se fige, de nouvelles larmes coulent sur ses joues.
Un par un, les élèves passent devant Caroline. Beaucoup lui demande de se pencher, les fesses bien en arrière et profite d’être tout près pour profiter du spectacle avec de lui claquer les fesses et d’avancer. Les filles ne sont pas en reste, elle s’amuse aussi de la situation. Pour se faire bien voir des garçons, elle demande même à Caroline des positions extrême puis elle s’écarte pour que le garçon derrière elle dans la file en profite. Ainsi, Sophie demande à Caroline de se pencher, d’attraper ses chevilles avec ses mains et de bien écarter ses jambes. D’autres vont même jusqu’à lui demander de s’assoir sur la table et de lever les jambes, mais ils sont peu à oser. Julien choisit une position qui lui trotte dans la tête depuis le début de l’après-midi, il demande à Caroline de monter sur la table et de se mettre à 4 pattes. Cette position nouvelle semble plaire et les élèves derrières Julien lui demande pareil.
Les professeurs et le personnel administratif jouent aussi avec les positions et les fesses de Caroline. Certains en profitent pour assoir la jeune fille sur leurs genoux.
Monsieur Giron passe en avant dernier, seul le Directeur est derrière lui.
Il se permet de faire remarquer à Caroline qu’il avait bien senti que la fessée qu’il lui avant mise sur l’estrade avait semblée l’avoir beaucoup perturbée. Puis il ajoute que ses fesses ayant déjà été bien trop claquée, il se contentera d’une caresse. Il lui demande alors de bien se pencher en avant puis, tout en douceur il lui caresse les fesses.
Il se retourne pour voir si le Directeur approuve et c’est le cas.
N’y tenant plus, après avoir doucement palpé les fesses de Caroline sa main glisse vers son intimité et il enfonce un doigt dans son vagin. Caroline pousse un cri.
Monsieur Giron retire sa main et s’en va en laissant Caroline les fesses en l’air.
C’est le Directeur qui donne alors la dernière claque, puis il demande à Caroline de se relever.
Il lui rend ses vêtements, et la remercie.
Il insiste sur le fait que plus personne ne lui parlera jamais de cette journée, et qu’il sera intraitable avec ceux qui oseraient ne pas respecter le contrat de confidentialité. pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-73711619154173859192021-01-28T15:57:00.001+01:002021-01-28T15:57:55.316+01:00Voyage scolaire (Jour de punition)Caroline tente de reprendre ses esprits avant de retourner à l'internat. Elle sèche ses joues et s'essuie les yeux. Elle veut être seule, ne pas en parler, même à ses copines. Elle ne va pas au petit déjeuner, elle préfère retourner dans sa chambre.
Elle s'arrête devant un mirroir. Avec le choc de ce qu'elle a eu, elle n'a pas prêté attention à ses sous-vêtements. Elle se sent ridicule en se ragardant dans le mirroir. Son ensemble est dépareillé, une culotte noire légèrement ajourée et un soutien-gorge blanc tout simple. Son collant chair, remonte au milieu de son ventre et ne cache rien de sa culotte. Elle s'effrondre à genoux devant la glace pour pleurer. Lorsqu'elle entend du bruit elle va se réfugier dans une douche et attend que tout le monde parte. Elle en profite pour vérifier si elle est présentable en tirant le devant de sa culotte.
Il faut qu'elle aille en cours. Quand elle arrive en classe, ses copines ne lui posent pas de questions quant à son absence du matin. D'un simple regard, elles ont compris.
Caroline ne peut se concentrer elle n'écoute rien des quatres heures de cours de la matinée. Plus l'heure du midi approche, plus elle se sent mal. A la fin de la dernière heure, elle met du temps à ranger ses affaires. Elle se demande encore si elle peut échapper à sa punition, mais ne trouve aucune solution. Ses copines sont parties, la laissant seule, pourtant à ce moment là, elle aurait bien voulu avoir un peu de réconfort. Le prof est obligé de la mettre dehors, pour fermer la classe.
Elle traine dans les couloirs perdue dans ses pensées.
Elle comprend que ne pas aller à la cantine ne changera rien. Au contraire, ce serait peut-être même pire pour elle et se resout à y aller. Quand elle entre dans le refectoire tout le monde se retourne comme les autres midis, mais aujourd'hui Caroline sait qu'il y a quelque chose en plus et ça la fait frissonner. Elle regarde à la table des professeurs, mais ne voit pas le directeur. La gorge nouée, elle va s'assoir à la table de ses copines, l'une d'elle lui passe la main dans le dos pour la réconforter, une autre lui dit d'être forte, mais c'est trop pour Caroline qui s'effondre une nouvelle fois en sanglots, attirant de ce fait encore plus les regards des autres tables. Elle ne peut rien avaler, les battements de son coeur s'accélèrent de plus en plus. Elle croit faire un malaise quand elle voit le directeur arriver. Il lui jète un regard en passant et va s'assoir à sa place. A sa table personne n'ose parler. Quand les premiers élèves qui ont fini de manger se lèvent pour sortir, le directeur recule sa chaise et se tourne vers la cantine :
- Aujourd'hui quand vous avez fini de manger, vous ne sortez pas ! Vous débarasser juste votre plateau et vous retournez vous assoir à votre place...
Les élèves qui étaient prêt de la porte retournent à leurs place. Les yeux toujours embués, Caroline regarde le directeur se rassoir et continuer de manger. Elle comprend fataliste qu'elle n'y échapperait pas, et que c'était maintenant iminent.
Alors que tout le monde débarasse son plateau autourd d'elle, elle ne bouge pas de sa place. Les coudes posés sur la table et le visage enfouie dans ses mains. C'est une de ses copines qui lui enlève son plateau. Avant qu'elle ne le jète, le direteur lui prend des mains.
- Caroline mangera plus tard, laissez le moi...
Il le pose sur une table et se dirige vers Caroline. D'un coup la salle divient silencieuse.
- Levez vous Caroline !
Caroline lève les yeux vers le directeur, l'implorant du regard, mais celui-ci reste impassible. Doucement, elle se lève, ses jambes la tiennent à peine. Sans autre avertissement le directeur la couche sur la table. Il l'avance de sorte que ses pieds quittent le sol, et aussitôt une première claque tombe violement par dessus ses collants. Il n'en faut pas plus pour Caroline pour qu'elle éclate en sanglots. Une deuxième et une troisième suivent. Puis le directeur la déculotte. C'est la stupafaction dans le refectoire. Certains se lèvent discrètement pour mieux voir, d'autres chuchotent en ayant des regards complices. Sa culotte et son collant son passé juste sous ses fesses et tout le monde constate que déjà elles sont rouge malgré les trois claques. Trois suplémentaires ajoute de la couleur à son fessier et font tordre Caroline sur la table.
Le direteur lui prend le bras et l'incite à se lever. Il l'écarte de la table. Ses fesses sont bien rouge, devant sa culotte est un peu descendue mais cache encore l'esentiel. De sa main libre, Caroline frotte ses fesses. Le directeur la lache et prend ses poignets et pose ses mains au dessus de sa tête, puis il baisse son collant. Il s'y reprend en plusieurs fois pour le descendre complètement à ses chevilles. Puis en se relevant, il lui claque les fesses. Doucement, en prenant son temps entre chaque claque. Caroline ferme les yeux, les grimaces sur son visage à chaque claque temoignent de la force qu'emploie le directeur pour la punir. Les larmes coulent sur ses joues, elle serre les dents pour ne pas crier, mais bouge les jambes malgré elle à chaque nouvelle claque. Si bien que le devant de sa culotte descend sans qu'elle ne s'en rende compte. Ceux qui sont face à elle voient la haut de son pubis et une légère touffe de poils. Quand le directeur arrête, il lui remonte lui-même complètement sa culotte.
- Enlevez vos collants !!
L'odre est sans appel, Caroline s'accroupit pour enlever ses chaussures et enlever ses collants qui lui entravent les chevilles. Elle se relève, tandis que le directeur pose une chaise au milieu des tables, elle le regarde faire tremblante comme une feuille.
- votre culotte ou votre soutien-gorge ?
Tout le monde est surpris par ce que vient de dire le directeur, certains s'exclaffent, d'autres ont du mal à y croire. Caroline reste pétrifiée et silencieuse.
Le directeur s'assoit sur la chaise :
- Venez ici !
Caroline approche à petits pas, jusqu'à ce que le directeur puisse lui prendre le bras et la coucher sur ses genoux.
- Vous le saviez très bien Caroline ! Ce n'est pas une surprise : J'ai dis toute nue pour la punition... Et puisque vous ne savez pas prendre une décision...
Le directeur baisse sa culotte, il tire de chaque côté pour la faire descendre jusqu'en bas et lui retire de ses chevilles.
Après ça, il lui donne une fessée. Une vraie fessée. Il lui emprissonne les mains dans son dos et claque ses fesses l'une après l'autre à un rythme effrainé. Cette fois-ci Caroline ne peut plus se contenir, elle pleure, elle crie, elle bat des jambes et essaye de se défaire de son emprise. Ceux qui sont derrière elle ne loupe rien de ce qu'elle offre. Ses fesses sont d'un rouge vif, limite bleues quand le directeur arrête la fessée. Caroline reprend son souffle et pleure bruyament.
- relève-toi et enlève ton soutien-gorge !
Le directeur a dit ça naturellement come si c'était une banalité. Caroline se lève doucement en tentant de reprendre son calme, mais les fremissement de son corps la traillissent. Elle les mains dans son dos pour retirer l'attache de son soutien-gorge et baisse ses brettelles. Elle reste un instant debout totalement dépitée, tête baissée, les bras le long du corps en tenant son soutien-gorge à la main.
Le directeur vient lui reprendre et lui pose ses mains au dessus de sa tête.
- Voilà, tu restes comme ça le temps que tout le monde sorte.
Au comble de la honte, Caroline trouve la force d'arrêter de pleurer. La salle met du temps à se vider. Certains profitent jusqu'au dernier moement de l'exhibition de Caroline.
Le directeur ramasse ses collants, sa culotte et son soutien-gorge et part avec.
- Je vous laisse déjeuner, venez me voir quand vous aurez terminé...
Caroline se retrouve seule à table dans cette immense pièce. Elle est encore secouée par les sanglots. Elle tente de se calmer, mais dès qu'elle repense à la situation elle s'effrondre de nouveau. Elle ne mange presque rien, elle a surtout très froid.
Quand elle a fini, elle met ses chaussures et va débarasser son plateau. Normalement tout le monde est en cours à cette heure ci. Elle sort en se faisant la plus discrète possible. Avant qu'elle frappe à la porte, la secrétaire lui dit que le directeur est en entretien et lui dit de s'assoir sur la chaise près de la porte.
Elle s'assoit en espérant que personne ne vienne. Elle croise les jambes et s'enfonce dans la chaise. Elle croise les bras aussi devant sa poitrine. Elle se demande qui peut être dans son bureau et se recroqueville sur elle-même en sachant qu'il la verra en sortant du bureau.
Elle lève la tête en entendant la porte s'ouvrir et rougit jusqu'aux oreilles en reconnaissant le père d'une copine. Il lui fait simplement un petit signe en partant auquel Caroline répond à peine.
Le directeur la fait entrer et ferme la porte derrière elle :
- J'imagine que vous n'êtes pas en état de suivre vos cours cet après-midi...
Machinalement, Caroline prend la main que le directeur lui tend. Il la fait tourner sur elle-même pour constater l'état de ses fesses. Petit à petit, elles reprennent leur couleur naturelle mais les marques sont encore bien présentes.
- Vous allez rester ici une heure. Allez au coin la bas !
Caroline pense à recupérer sa culotte mais n'ose pas demander sachant que le directeur ne lui autoriserait pas. Elle se met à genoux avec les mains sur la tête comme lui indique le directeur.
Elle se met face au mur en espérant que personne n'entre dans le bureau. Heureusement pour elle personne ne vient voir le directeur. Une heure plus tard, le directeur l'autorise à se lever. Ses bras et ses genoux lui font mal. Lorsqu'elle se retourne, elle voit son maillot de bain sur le dossier de la chaise.
- Je crois que vous avez sport cet après midi... Dépêchez vous de la mettre vous allez être en retard.
- Vous le garderez jusqu'à ce soir...
Caroline met son maillot et quitte le bureau. Elle a très froid en sortant et elle se sent ridicule ainsi dans la rue pour rejoindre la gymnase. Elle court jusqu'à l'entrée.
Elle doit affronter les regards tantôt compatissant tantôt moqueurs.
Après la séance de Baskett, elle va refugier dans sa chambre sans attendre que les autres se changent.
Quand le soir arrive elle va chercher son pyjama chez le directeur. Même si ça reste toujours difficile, lorsqu'elle arrive, elle enlève son maillot de bain et attend dans l'entrée que le directeur lui donne son pyjama.
Il arrive quelques instants plus tard et lui tend. Caroline le met rapidement pour se couvrir.
- Demain se sera votre dernière journée de punition ! Pour cloturer la semaine, j'ai prévu que vous passiez les 10 premières minutes de chacun de vos cours à genoux sur l'estrade face au mur, avec les mains posées sur votre tête. Vos profs sont au courant...
Caroline accuse de coup de cette nouvelle punition et quitte le directeur.
Le lendemain matin elle se présente à son bureau.
- Vous voici arrivée à votre dernière journée de punition, j'espère qu'après ça votre comportement ne sera plus jamais aussi detestable ! Enlevez votre pyjama...
Caroline se retrouve une nouvelle fois toute nue dans le bureau. D'habitude ses sous-vêtements son prêts, mais là le directeur n'a rien sorti.
- Comme je vous le disais hier, j'ai décidé de vous faire subir 10 minutes de coin au début de chaque cours... Vous n'attendrez pas qu'on vous le demande, dès votre arrivée en classe, vous irez vous même vous installer face au mur. Est-ce bien clair ?
Caroline fait oui de la tête.
- Dois-je vous rapeller comment vous devreez vous y mettre ?
Cette fois-ci Caroline fait non de la tête.
- Vous avez perdu votre langue ? Alors comment ?
- Je dois me mettre à genoux et mettre mes mains sur me tête.
- Oui c'est ça, parfait, vous avez bien retenu... J'avais pensé au premier abors que ce moment de pénitence, vous soit ingligé déculottée. Mais finalement, j'ai changé d'avis...
Le directeur sort de son tirroir un collant couleur chair.
- J'ai décidé que pour votre dernière journée de punition, vous la passerez directement sans culotte ! Enfiler votre collant !
Caroline n'ose rien dire, elle s'effondre en larmes en sortant du bureau et va rejoindre sa salle de cours. Elle est la première pour ne croiser personnes. Elle pose ses affaire sur son bureau et suit les recommandations que le directeur lui a indoqué avant de sortir. Elle defait son soutien-gorge et le pose sur le dossier de sa chaise et va sur l'estrade Avant de s'agenouiller, elle baisse son collant jusqu'à ses chevilles et s'installe. Les premiers ne vont pas tarder à entrer. Quant à Caroline, elle se prépare à vivre une nouvelle journée difficile.
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com19tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-60314742066560905532021-01-12T09:44:00.001+01:002021-01-12T09:44:48.421+01:00Voyage scolaire (retour à l'école)Caroline arrive à l'etablissement une heure avant le début de ses cours, comme lui a imposé le directeur et va frapper à sa porte.
Le directeur vient lui ouvrir et la fait entrer, elle lui dit un bonjour à peine audible tant elle est stressée.
Sans aucun autre avertissement le directeur lui dit fermement d'enlever son uniforme. Caroline reste quelques secondes sans bouger puis enlève sa veste qu'elle pose sur la chaise, puis son pull. Elle hésite pour sa jupe, mais finalement descend la fermeture de ses mains tremblantes. Le directeur va chercher ses vêtements.
- Votre chemisier aussi !
De moins en moins rassurée, Caroline défait les boutons et lui tend son chemisier, tandis qu'un frisson lui parcoure le corps.
- Où est votre valise ?
- Je l'ai laissée dehors
- Allez me la chercher !
Caroline sort du bureau en petite tenue et jette un coup d'oeil dehors pour être sure que personne n'est là et rammène sa valise.
Le directeur l'ouvre et inspecte ce que Caroline a emmené. Il sort des baskets une paire de chaussettes et un maillot de bain
- ça se sera pour la piscine ainsi que votre séance de sport, vous la ferez en maillot de bain aussi !
- Je garde votre manteau ici ! Si vous avez à sortir, vous viendrez me demander l'autorisation pour le prendre. Capendant à part pour la piscine et le gymnase, vous n'avez pas le droit de sortir de la semaine.
Le directeur continue l'inspection de sa valise, Caroline rougit quand il fouille dans ses petites tenues.
Il sort deux soutien-gorge, quatre culotte. Une paire de collant noire qu'il repose pour choisir des couleurs chair. Et il est supris de trouver une paire de bas couleur chair aussi qu'il pose sur les collants. Il ajoute un pyjama aux vêtements qu'il a déposé sur son bureau.
- Avez vous d'autres vêtements dans votre chambre ?
Caroline répond que non, à part sa trousse de toilette et des serviettes.
Le directeur referme la valise et va la ranger dans une petite pièce à côté de son bureau.
- Voilà les seuls vêtements que vous êtes autoriséé à porter cette semaine... Le soir, vous viendrez chercher votre pyjama ici, et la matin je vous préparerai les vêtements que vous porterez dans la journée ! Pour le sport et la piscine, vous viendrez mettre votre maillot de bain dans mon bureau avant d'y aller.
Caroline semble ne pas comprendre, ou tout du moins ne veut pas comprendre
- Mais pour les cours, je serai habillée normalement ?
Sans répondre de suite, le directeur la prend par le bras, et la tourne vers le mirroir placé au dessus de la cheminée :
- regardez-vous Caroline !
Caroline rougit en se voyant à côté du directeur, dans cette tenue.
- Voilà votre tenue pour cette semaine ! Ce sera pour les cours... en dehors des cours... tout le temps !
Caroline réalise, tandis qu'une larme coule sur sa joue.
- Je vous avez dit, que je ne vous ferez pas de cadeau... alors commencez dès à présent votre semaines de punition ! Concernant votre punition principale, elle se passera un midi au refectoire, je vous laisse la surprise concernant le jour. En attendant, allez en cours vous allez être en retard...
Caroline ressort du bureau dépitée, elle va se réfugier dans le couloir. En traversant la cour, le froid la fait greloter, elle essaye de se rechauffer près d'un radiateur dans un coin à l'abris des ragards. Mais les élèves arrivent petit à petit, certains la regardent bizarement mais tous savent déjà pourquoi elle est comme ça.
Quand la cloche rententitelle entre en classe avec les autres élèves, même ces copines n'osent pas lui parler. Elle aurait aimé avoir un petit mot pour la réconforter mais rien.
Elle enchaine les cours ainsi, sans jamais s'habituer aux regards insistants, surtout ceux des garçons, mais elle doit se plier à sa punition.
Le midi, à la cantine, la tension est à son comble, mais finalement le repas se passe sans qu'elle ne soit punie.
Dans l'après-midi, par deux fois elle doit se rendre aux tableau pour faire une exercice, devant encore plus assumer sa tenue.
Après les cours, elle file se réfugier dans sa chambre. Elle peut enfin parler avec ses copines de chambre et leur dire ce que le directeur lui inflige comme punition pour cette semaine. Elle n'ose pas parler de ce qui risque de lui arriver à la cantine, ni du retour en voiture qu'elle a du faire nue.
Après le diner, avant d'aller prendre sa douche elle doit se rendre dans le bureau du directeur. Un mot sur la porte lui indique de venir chercher son pyjama dans les appartements à l'étage. Elle ne connait pas l'endroit mais monte et trouve une porte ouverte. Elle n'ose pas frapper et attend que quelqu'un arrive.
Le directeur la voit dans l'entrebaillement de la porte et la fait entrer dans le couloir. Caroline rougis quand elle voit sa femme et son fils dans la salle à table.
- Vous venez chercher votre pyjama ? déshabillez vous !
Tandis que le directeur part, Caroline enlève ses chaussures et son collant. Elle reste en sous-vêtements et baisse la tête. Elle sait que le fils du directeur n'arrête pas de porter le regard sur elle.
La femme du directeur se lève et vient vers elle :
- Vous n'allez pas dormir avec votre slip et votre soutien-gorge ! Donnez les moi, je vais vous les laver !
En levant la tête Caroline croise le regard du fils du directeur, elle aimerait aller lui coller une gifle quand elle apperçoit un sourire se dessiner sur ses lèvres.
La femme insiste voyant l'hésitation de Caroline :
- Dépêchez vous Mademoiselle ! Avec ce que vous avez eu comme punition et ce que vous allez encore subir, vous mettre toute nue devant un jeune homme ne doit plus être un problème pour vous...
Le directeur revient avec le pyjama et voit Caroline encore en sous-vêtements.
- Alors vous n'êtes toujours pas prête ? Vous voulez me faire perdre mon temps alors que je suis à table ???
- Cette demoiselle semble refuser d'obéir. Elle ne veux pas enlever son slip sous pretexte que Julien est là, je pense...
Le directeur la prend par le bras pour l'enmener dans la salle
- Ca ne change rien, elle est punie, donc elle obéit ! Et moi, je ne vais pas manger froid à cause d'elle...
Il la met à genoux au bout de la table et lui pose lui même ces mais au dessus de sa tête. Puis va s'assoir à sa place.
- C'est simple Caroline. Je finis de manger. Pendant ce temps, vous décidez à enlever votre culotte et votre soutien-gorge. Si à la fin de mon repas, ce n'est pas fait. C'est moi qui vous les enleverais, et vous aurez une fessée en prime !!
Le directeur s'assoit à sa place, il pose le pyjama de Caroline à côté de lui, et continue de manger.
Caroline sait ce qui lui reste à faire si elle ne veut pas que la situation s'empire, mais elle met quelques minutes à ce décider. Les trois continuent de manger et de parler comme si elle n'était pas là, sauf Julien qui lui lance quelques regards.
Puis prennant son courage à deux mains, elle se lève discrêtement pour se déchausser. Et elle descend son collant et le plie en boule et le garde dans ses mains pour dégrapher son soutien-gorge. Elle l'enlève mes garde ses bras devant ses seins.
- D'habitude, je dors avec ma culotte sous mon pyjama...
Elle espère que le directeur va lui laisser en disant ça. Il se lève et vient vers elle avec son pyjama à la main. Il lui prend son soutien-gorge et son collant des mains.
- Retournez-vous !
Caroline se met dos à la table
- Quand vous viendrez chercher votre pyjama demain, je ne veux pas toutes ces histoires... Qu'il y ait du monde ou pas, quand vous arriverez, vous enleverez vos sous-vêtement ! Et votre culotte aussi ! Il n'est pas question que vous dormiez avec !!!
Le directeur s'accroupit derrière elle et baisse lui-même sa culotte, lui enlève et lui tend son pyjama après lui avoir donne une grosse claque sur les fesses qui lui fait pousser un cri et avancer d'un pas. Caroline se hâte d'enfiler son pyjama tout en restant de dos et prend congès de la famille du directeur.
La nuit de Caroline a été agitée, elle se demande comment elle va tenir toute la semaine avec un tel traitement. Elle est reveillée avant tout le monde et décidé d'aller rapidement chercher ses "vêtements" en espérant qu'il n'y ait pas beaucoup de monde au petit déjeuner.
La porte du bureau du directeur est ouverte, elle frappe et entre :
- Ah Caroline ! j'ai oublié vos sous-vêtements... Donnez moi votre pyjama, je vais les chercher.
Caroline se déshabille et se retrouve toute nue, seule dans le bureau. Le directeur revient, il pose ses chaussures sur son bureau et lui donne ses sous-vêtements, un ensemble soutien-gorge et culotte noir et des bas. Elle met sa culotte et son soutien-gorge mais hésite à enfiler ses bas.
- Bon vous y arrivez Caroline ??
- Mais je ne peux pas mettre ça !! Je... préfère ne rien mettre !!
- Vous croyez vraiment que vous avez le choix ???
La réponse du directeur est tellement ferme que Caroline les enfile.
La journée lui parait pire que la veille avec cet habillement. Elle doit encaisser les moqueries et les commentaires insultants toute la journée. Et c'est un libération d'aller chercher son pyjama le soir. Elle se déshabille rapidement dans l'entrée et repart presque aussitôt.
Le mercredi se passe comme les autres jours. Elle doit juste aller chercher son manteau car elle a piscine et celle-ci est à quelques centaines de mètres.
Elle se dépêche de faire le trajets car son manteau lui arrive juste en dessous des fesses. Elle profite de la séance de piscine pour oublier un peu sa punition. Au moins ici, elle est habillée normalement, comme tout le monde. Elle en arrive pendant une heure à oublier complètement sa fessée.
Quand vient le jeudi, elle trouve la porte du bureau du directeur fermée. Mais ses vêtements sont devant, avec un mot dessus. Elle le lit tandis que ses yeux se brouillent.
- Je dois m'absenter ce matin. Prenez vos vêtements et laissez votre pyjama ici. Je reveindrai ce midi pour m'occuper de vous à la cantine.
Caroline comprend que c'est pour aujourd'hui. En éclatant en sanglots, elle se deshabille dans le couloir et s'apprète à passer une journée affreuse...
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com12tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-62882960211697565102020-12-03T17:03:00.005+01:002020-12-03T17:03:50.311+01:00Voyage scolaire (retour)Caroline se reveille en sursaut lorsqu'elle entend la porte s'ouvrir brusquement. Ses draps lui sont retirés et elle voit le directeur au dessus d'elle.
- Debout, il est l'heure...
Caroline regarde l'heure, il est 5 heure du matin. Le directeur est déjà habillé, il la sort du lit et l'entraine dans le couloir. Personne n'est encore réveillé, le directeur l'envoie à la douche. Lorsqu'elle ressort elle est toujours toute nue.
- Dépêchez-vous le loueur va bientôt arriver avec la voiture !
Elle suit le directeur qui marche rapidement, il pousse une porte, un courant d'air froid la fait frissonner. Ils sortent sur le parking, le jour se lève doucement.
La voiture est déjà là, caroline couvre sa poitrine quand le loueur sort de la voiture. celui-ci la regarde bizarement mais n'ose pas poser de question. Il fait le tour de la voiture avec le directeur en jetant quelques regards vers Caroline qui reste sans bouger tête baissée.
Le directeur prend les clés et remercie le loueur. Il demande à Caroline de l'aider à charger ses bagages et prends la place du conducteur. Caroline ouvre la porte et demande timidement si elle doit monter aussi
- Evidement ! Vous n'allez pas rester là...
- Mais je ne mets rien ?
- Faut-il vous rapeller que vous êtes punie Caroline ?
Caroline s'enfonce dans le siège, croise ses bras et ses jambes et ne bouge plus. Sur l'autoroute personne ne peut la voir ainsi. Le silence est pesant, et la route est longue.
Après plus de deux heures de route, Caroline voit le directeur mettre son clignotant pour sortir sur une aire de repos. C'est l'heure du petit déjeuner, il y a du monde, Caroline s'enfonce encore plus dans son siège.
- J'imagine que vous ne souhaitez pas sortir ?
Caroline fait non de la tête, même si elle aurait voulu, elle n'aurait pas pu. Le directeur va se dégourdir les jambes, passe aux toilettes et va prendre un café. Ils reprennent la route toujours aussi silencieusement. Il roule jusqu'à midi ou il s'arrête une nouvelle fois pour se restaurer. Caroline reste de nouveau dans la voiture en essayant de se cacher au maximum. Le directeur prend son temps, de la cafétariat, il garde un oeil sur Caroline. Il revient presque deux heures plus tard, avec un sandwich et une bouteille d'eau qu'il donne à Caroline. Puis redemarre.
Caroline mange en silence, boit une gorgée d'eau. Elle sait aux panneaux que la route est encore longue et qu'elle devra se rendre aux toilettes avant d'arriver. Elle s'agite quelque peu sur son siège ce qui ne manque pas d'attirer l'attention du directeur.
- Vous exagerez, nous venons de nous arreter !!!
- Mais... je ne pouvez pas sortir de la voiture !
- Je ne tiens pas à ce que vous salissiez le siège, retenez vous, on va s'arreter.
Le fait d'en parler augmente considérablement l'envie de Caroline, elle se demande bien comment elle va faire.
Quelques kilomètres plus loin, le directeur sort sur un parking. Il y a bien des toilettes mais Caroline ne se voit pas traverser le parking pour s'y rendre.
- Sortez de la voiture et ouvrez les deux portières !
Caroline fait ce que le directeur lui impose. Passablement cachée, elle se soulage à côté de la voiture juste sous les yeux du directeur. Elle remonte dans la voiture rapidement, les yeux embués par la gêne.
Ils arrivent à l'établissement en milieu d'après midi. C'est le week-end, il n'y a personne. Le directeur lui ouvre sa chambre pour qu'elle puisse retrouver sa valise et s'habiller enfin. Il la raccompagne jusqu'à la sortie.
- Lundi, je veux vous voir dans mon bureau une heure avant le début de vos cours !!!
Caroline sort sans poser de question, et s'apprète à passer un long week-end compliqué.
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-58516362244711380422020-06-08T11:40:00.000+02:002020-06-08T11:40:15.834+02:00Voyage scolaire (petit-déjeuner)Lorsque tous les élèves ont quitté la salle, Caroline est autorisée à remonter sa culotte et son collant. Le directeur ramasse ses vêtements et lui demande de le suivre.<br />
Elle comprend qu'il ne l'emmène pas vers sa chambre, mais vers une autre chambre près de l'infirmerie. Elle se rassure en se disant qu'elle préfère être seule ce soir et ne pas affronter les commentaires et autres questions de ses copines de chambre.<br />
<br />
Il l'invite à entrer en lui disant qu'il viendrait la chercher demain matin. Caroline passe la porte avec les bras croisé devant sa poitrine.<br />
<br />
- On vous a fait venir un pyjama, il est sur le lit...<br />
<br />
Caroline constate que quelqu'un a fouiller dans sa valise, car c'est bien le sien.<br />
<br />
- Donnez moi vos vêtements !<br />
<br />
Elle comprend qu'elle n'a pas le choix, elle doit se déshabiller devant lui. Elle se déchausse et enlève ses collants, puis baisse rapidement sa culotte et lui tends en cachant sa toison.<br />
<br />
Le directeur lui prend sèchement et claque la porte derrière lui en sortant. Caroline enfile son pyjama et s'effondre en sanglots en s'allongeant sur le lit. Elle ne peut trouver le sommeil, elle angoisse sur ce qui va se passer le lendemain. La nuit lui parait durer un éternité, néanmoins elle arrive à s'endormir après 4 heure.<br />
<br />
A 6 heure, elle se réveille en sursaut, quand elle entend frapper à la porte. Elle a à peine le temps d'émerger, que le directeur lui enlève les draps et lui ordonne de se lever. Il trouve qu'elle ne va pas assez vite, et la lève en la prenant par le bras. Puis il l'emmène, en la tenant toujours jusqu'à la douche<br />
<br />
- Vous avez dix minutes pour prendre votre douche et vous préparer !<br />
<br />
Caroline essaye émerger, elle regarde le directeur sortir, et constate qu'il n'y a pas de verrou à la porte. Après quelques secondes pour reprendre ses esprits , elle se dit qu'il faut mieux qu'elle se dépêche.<br />
Elle prend sa douche et en sortant, elle constate qu'une serviette avait été posé, mais que son pyjama avait disparu. Elle commence à se sécher et sans prévenir, le directeur ouvre la porte.<br />
<br />
- ça fait dix minutes ! Vous sécherez naturellement !<br />
<br />
Il lui arrache la serviette des mains et la fait sortir dans le couloir. Complètement nue, elle doit avancer vers la salle de restaurant. Heureusement, personne n'est encore levé à cette heure là. Les couloirs sont vides. Mais ce n'est pas le cas, quand elle rentre dans la salle. Les profs sont déjà en train de déjeuner et le personnel de cuisine prépare le petit déjeuner. Elle cache aussitôt sa poitrine et sa toison de ses mains. Le directeur passe à côté d'elle et lui donne une grosse claque résonnante qui la fait avancer d'un pas et pousser un cri alertant tout le monde.<br />
<br />
- Je vous demande de ne plus vous cacher, et ceci jusqu'au moment ou vous pourrez remettre un bout de tissu sur vous !!! Et croyez moi, ce n'est pas pour tout de suite....<br />
<br />
Le directeur la conduit jusqu'à une table au milieu du réfectoire. Elle doit s'y mettre à genoux dessus. Le directeur lui attrape les poignets et lui pose ses mains au-dessus de sa tête.<br />
<br />
- Ne bougez pas !!!<br />
<br />
Puis il va prendre son petit déjeuner avec les autres profs. Caroline angoisse de plus en plus, elle sait que ses camarades vont bientôt arriver. Le fait d'être exposée ainsi ainsi totalement nue lui fait presque oublier qu'elle va bientôt devoir subir ses 54 claques. Le directeur déjeune rapidement et part vers ses occupations sans jeter un deuil à Caroline. Il reviendra sans doute plus tard pour la punir. Les profs débarrassent leur table et partent accueillir les premiers élèves qui doivent bientôt arriver. Elle est presque seule dans cette grande salle vide, elle frissonne de froid ou de peur. Elle regarde vers les cuisines, tout le personnel est occupé. Elle ne réfléchit pas plus longtemps, en désespoir, elle courre vers la porte de derrière. Il faut faire vite pour pouvoir échapper à la sanction. En premier trouver des vêtements sans croiser personne. Elle fait attention dans les couloirs, mais il lui est impossible de retourner jusqu'à sa chambre sans se faire prendre. Et le temps passe, ils vont bientôt s'apercevoir qu'elle n'est plus dans le réfectoire. Elle arrive devant la porte de la chambre de sa prof de français, et espère de la compassion de sa part. Elle entre sans réfléchir d'avantage. La chambre est vide, elle entend l'eau couler sous la douche. Elle ouvre rapidement le placard, car elle suppose que sa prof fait la même taille qu'elle, celui-ci est vide. La prof a déjà fait sa valise pour le retour, car le voyage s'achève aujourd'hui et le bus part dans quelques heures. Elle n'a pas le temps d'ouvrir la valise, l'eau de la douche a été coupée, il ne lui reste que quelques secondes. Elle prend les vêtements que sa prof s'était préparé sur son lit, une paire de bottines dans l'entrée et elle quitte la chambre précipitamment.<br />
Heureusement pour elle, personne n'est dans le couloir. Elle se met dans un coin pour enfiler à la hâte la culotte et le pull de sa prof puis court vers le mur qu'elle empruntait pour sortir le soir. Elle se sent libre de l'autre côté, même s'il ne faut pas traiter ici. Son objectif et de rejoindre la gare, sans passer par la route principale où ces profs pourraient la trouver facilement. Elle n'a pas non plus d'argent sur elle, donc elle doit se débrouiller en passant par des petits chemins. Toujours en culotte, elle court jusqu'à un petit bois ou elle s'arrête un instant pour s'habiller correctement. Le pull lui va, la culotte et la jupe aussi. Les bottines sont une taille au dessus mais ça fera l'affaire. Elle enfile aussi les bas, qu'elle a pris avec les vêtements et jète le soutien-gorge, car elle a vu qu'il serait trop petit.<br />
Sa tenue n'est pas adaptée à la marche, mais faute de mieux, elle doit s'en satisfaire.<br />
<br />
Elle marche longtemps sans savoir l'heure, elle commence à être fatiguée et à avoir faim. Elle sait que le bus doit être parti maintenant, et commence à avoir des doutes sur le fait de trouver la gare. Elle commence à comprendre qu'elle s'est perdue dans la montagne. Elle hésite à retourner à l'auberge et décide de s'arrêter pour réfléchir. Avec le manque de sommeil, elle s'endort finalement. Quand elle se réveille, elle sait qu'elle a dormi longtemps, le début de soirée arrive, elle commence à paniquer. Elle ne se voit pas passer la nuit dehors.<br />
Elle tombe sur une maison et décide d'aller demander de l'aide.<br />
<br />
Une femme lui ouvre la porte. Caroline lui raconte qu'elle s'est perdue dans la montagne et qu'elle cherche à rejoindre la gare et lui demande si elle peut l'emmener. La femme trouve l'attitude de Caroline bizarre et est surprise qu'elle n'est pas de blouson par ce temps. Elle décide tout de même de l'aider, mais l'invite à rentrer quelques instants pour se réchauffer et boire quelque chose de chaud avant de partir. Elle l'installe dans la cuisine et lui sert un thé.<br />
<br />
- Mon mari ne va tarder à rentrer du travail, il va pouvoir vous accompagner jusqu'à la gare.<br />
<br />
Quelques minutes plus tard, le mari rentre. Caroline le reconnait aussitôt, c'est un cuisinier de l'auberge. Elle pâlit en le voyant, elle sait qu'il la vu punie la veille, mais ne dit rien. Lui non plus, ne dit rien, mais Caroline sent qu'il la bien reconnue. Sa femme lui explique tout, et il ne fait pas de commentaires.<br />
<br />
Il prétexte d'aller se changer, puis l'emmène dans sa voiture. Caroline ne parle pas, l'ambiance est pesante, il décide de rompre le silence :<br />
<br />
- Votre directeur vous cherche partout...<br />
<br />
Caroline n'a plus de doute, il l'a reconnu.<br />
<br />
- Vous avez fait prendre du retard au départ, mais vos collègues sont finalement partis ! Tout a été désorganiser, votre directeur est extrêmement furieux...<br />
<br />
Caroline reconnait l'entrée arrière de l'auberge, elle n'était finalement pas très loin, quelques centaines de mètres. Elle fond en larmes quand elle voit le directeur attendre à l'entrée du parking.<br />
<br />
- Je suis désolée, mais je ne pouvais pas vous conduire à la gare, j'ai prévenu votre directeur tout à l'heure que je vous avais retrouvé, il m'a demandé de vous ramener.<br />
<br />
Puis il baisse sa vitre car le directeur souhaite lui parler :<br />
<br />
- Avez vous quelques instants ? Je vais avoir besoin de vous.<br />
<br />
Il va sa garer et ils sortent de la voiture. Le regard que le directeur jète à Caroline lui fait froid dans le dos.<br />
<br />
- Merci de m'accorder quelques minutes de votre temps, Monsieur. Quand je dois punir une élève comme je m'apprête à le faire avec cette jeune fille, il faut obligatoirement qu'il y ait un témoin. Suivez-moi.<br />
<br />
Il partent tous les trois dans un bureau, le directeur ferme la porte derrière lui :<br />
<br />
- Vous avez fait un sacré bazar Caroline !!<br />
<br />
Caroline essaye de s'excuser mais le directeur la coupe sèchement :<br />
<br />
- Je ne vous ai pas autorisé à parler, taisez vous et écoutez !<br />
<br />
Caroline baisse la tête sachant que le directeur ne lui accordera aucune faveur.<br />
<br />
- Pour commencer, votre petite escapade ne vous empêchera pas d'être punie. Tout le monde est reparti, mais nous organiserons cela à l'institut dès que nous seront revenu... Et dans les mêmes conditions : Devant tout le monde et bien sur toute nue !<br />
<br />
Caroline écoute la sentence sans relever la tête.<br />
<br />
- Je double le nombre de claques, on passera à 108 !!!<br />
<br />
Caroline relève à peine cette dernière information, bien que cela sera très dur à supporter. Elle ne supporte pas l'idée d'être nue devant tout le monde.<br />
<br />
- Concernant les vêtements que vous avez volé à votre professeur de français, elle tient absolument à récupérer ses chaussures, sa jupe et son haut ! Votre valise est repartie avec le bus, vous n'avez plus rien ici, je vais donc vous laisser les chaussures, vous y ferez très attention. Par contre, vous me donnez la jupe et le haut !<br />
<br />
Caroline ne bouge pas, mais elle sursaute quand le directeur lève le ton :<br />
<br />
- Enlevez la jupe et le haut !<br />
<br />
Caroline n'a pas le choix, elle enlève sa jupe et son haut et cache ses seins du mieux qu'elle peut.<br />
<br />
- Il me semble que vous avez volé son soutien-gorges aussi ?<br />
<br />
Caroline trouve la force de dire qu'il était trop petit et qu'elle l'avait jeté.<br />
<br />
- Bon nous verrons ça plus tard... En tout cas, les vêtements que vous avez sur vous seront les seuls que vous aurez jusqu'à notre retour...<br />
<br />
- En attendant, je vais vous punir pour vous être enfuie, venez ici !<br />
<br />
Caroline s'avance à petits en appréhendant la fessée qu'elle s'apprête à recevoir. Le directeur l'approche de lui en la tirant sèchement par le bras. Il va la fesser en la mettant sur ses genoux, mais avant, il lui baisse complètement sa culotte.<br />
<br />
La déferlante s'abat sur ses fesses sans retenue. Caroline crie, la fessée n'a rien à voir avec celles qu'elle a reçu précédemment. Le cuisinier constate que ses fesses rougissent rapidement. La fessée n'est pas très longue mais très intense. Caroline sanglote et agite encore les jambes même quand le directeur a arrêter la fessée. Elle se relève avec difficultés oubliant dans un premier temps de remonter sa culotte. Elle le fait finalement en se calmant quelques secondes plus tard, tout en grimaçant et en étant secouée par les spasme de ses sanglots.<br />
<br />
Le directeur la conduit vers le mur, et lui approche le visage jusqu'à ce que son nez touche la paroi.<br />
<br />
- Les mains sur votre tête et ne bougez plus !!!<br />
<br />
Caroline fait ce qu'il lui demande tandis qu'il baisse sa culotte.<br />
<br />
- Dorénavant, pour vous le coin, ce sera déculottée !<br />
<br />
Le directeur laisse Caroline ainsi pour raccompagner le cuisinier qui n'en demandait pas tant.<br />
Elle ne sait pas combien de temps elle est restée ainsi. Mais sans doute plus d'une heure. Il fait nuit lorsqu'il vient la chercher et elle sursaute quand il allume la lumière. Si quelqu'un passe dehors à ce moment là, il ne peut que la voir. Il vient lui remonter sa culotte et la libère du coin.<br />
<br />
- Vous avez de la chance, la directrice de l'école de cette semaine est contre les punitions publics. Vous allez donc manger en décalé des autres.<br />
<br />
Caroline écoute sans réaction le directeur en se contentant de baisser la tête et de cacher sa poitrine.<br />
<br />
- J'ai trouvé une location de voiture pour pouvoir rentrer demain matin, nous partirons tôt...<br />
- Donnez moi vos vêtements qu'on puisse les laver pour demain matin...<br />
<br />
Caroline hésite avant d'enlever ses bas. Elle comprend qu'elle devra rester toute nue jusqu'au départ. Envoler sa culotte lui demande un effort supplémentaire même si le directeur l'a déjà vue.<br />
Elle se cache la poitrine et son sexe et se laisse conduire jusqu'à sa chambre ou le directeur l'enferme à double tours.<br />
<br />
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<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com14tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-60996432677932657212020-04-22T17:18:00.002+02:002020-04-22T17:18:33.865+02:00Voyage scolaire (veillée)Caroline n'a pas d'appétit, elle se contente d'avaler quelques bouchées. Plus les minutes passent, plus elle s'inquiète. Elle se demande comment va se passer la soirée, et surtout ce que lui réserve le directeur. Une boule se forme dans son ventre et ne la quitte plus. Elle se rend compte d'un coup qu'elle a très envie d'aller aux toilettes. Quand elle se lève le directeur ouvre brusquement la porte. Elle se rassoit aussitôt sur sa chaise, aussi bien pour se cacher que pour ne pas défaillir.<br />
<br />
- C'est l'heure ! Vous allez me suivre...<br />
<br />
Caroline constate qu'il tient dans ses mains sa jupe ce qui la rassure quelque peu? Elle s'empresse de la remettre quand il lui donne. En passant la porte, elle demande l'autorisation de se rendre aux toilettes, ce que le directeur lui refuse catégoriquement en précisant qu'elle aurait du prendre ses précautions avant. Caroline insiste en disant que c'est très urgent et qu'elle n'en a pas pour longtemps, mais le directeur lui coupe la parole<br />
<br />
- Eh bien, j'espère pour vous que vous saurez contenir votre vessie pendant la prochaine heure et demi ! Sinon, vous vous ferez dessus devant tout le monde !<br />
<br />
Caroline pâlit. Non seulement elle ne pourra pas aller aux toilettes, mais en une phrase, elle en a appris un peu plus sur sa punition. La durée, excessivement longue, mais aussi le fait qu'elle sera devant tout le monde. Sans doute les accompagnateurs et les élèves des deux établissements.<br />
<br />
Elle s'en veut d'avoir été aussi idiote, d'avoir bu ainsi, de s'être fait prendre, de ne pas avoir penser à aller aux toilettes... Elle sent des larmes couler sur ses joues en suivant le directeur Il s'arrête devant la porte et pose sa main sur la clenche. Et se retourne vers Caroline :<br />
<br />
- Mettez vos mains au dessus de votre tête ! .... Allez-y, faites le tout de suite... Et ne les descendez pas avant que je y autorise !!<br />
<br />
Caroline sèche ses larmes et met ses mains au dessus de sa tête en essayant de se donner une contenance qui disparait à l'annonce du directeur :<br />
<br />
- Bon alors voilà comment ça va se passer : Nous allons diffuser un documentaire sur les ravages de l'alcool durant cette veillée. Vous serez ainsi pleinement concernée et au centre de l'argumentaire.<br />
Pendant la diffusion, vous attendrez patiemment sur le côté de l'écran, nous vous avons préparer un endroit où vous vous mettrez à genoux.<br />
<br />
- Vous serez punie après le documentaire, il va de soi que ce sera en présence de tout le monde à titre d'exemple. Aussi bien les élèves de notre école que de l'autre école présente... Il me semble que la punition de ce matin, vous a déjà été profitable. Doubler cette peine n'en sera que mieux !!!<br />
<br />
Caroline accuse de coup, elle ne se voit pas être punie ainsi. Ses jambes tremblent, quand le directeur ouvre la porte. Tous les regards convergent dans sa direction, elle ne peut supporter cela, et ses yeux pointent le bout de ses chaussures. Déjà devant son école, c'est compliqué pour elle, mais devant une autre école où elle ne connait personne et qui est réputée beaucoup moins sévère que la leur... Le simple fait, qu'elle soit en uniforme alors que tout le monde est habillée normalement la rabaisse énormément. Les ricanements de certains ainsi que les chuchotements lui rappelle encore plus qu'elle sera le centre d'intérêt de toute la veillée.<br />
<br />
Le directeur la conduit jusqu'à la table placée pour elle, face au mur, à côté de l'écran. il l'invite à monter dessus pour s'y mettre à genoux. Lorsqu'elle prend cette position de pénitente, les ricanement s'intensifient et le directeur ne fait rien pour les arrêter. Au contraire, il replace lui même ses mains bien au dessus de sa tête, écarte ses coudes et l'invite à se tenir bien droite et à coller le bout de son nez sur le mur. Elle ne peut contenir ses larmes plus longtemps, mais s'efforce de garder la position.<br />
<br />
Le directeur lance le documentaire tout en sachant que personne ne va vraiment s'y intéresser. Trop occupés à regarder Caroline et à se demander ce qui va se passer... Au bout de quelques minutes, Caroline n'a plus qu'une obsession : sa vessie qui va exploser. Plus elle y pense plus c'est pire. Elle sait que le directeur ne la laissera jamais sortir et elle se dit qu'elle ne tiendra jamais plus d'une heure ainsi.<br />
<br />
Quand le documentaire arrive à son terme, le coeur de Caroline s'emballe, tandis que certains élèves se lèvent croyant que la veillée était finie. Le directeur éteint l'écran avant que quelqu'un sorte :<br />
<br />
- Restez tous assis ! Vous avez vu un documentaire sur les méfaits de l'alcool et Caroline va maintenant subir les conséquences de ses abus d'hier...<br />
- Je veux que vous soyez tous témoin de sa punition... Ainsi vous saurez qu'il est non seulement très dangereux de boire, mais aussi d'enfreindre les règles de notre établissement.<br />
<br />
Tout le monde se rassoit calmement.<br />
<br />
- Caroline venez ici ? Vous pouvez enlever vos mains...<br />
<br />
Caroline arrive penaude, au bord des larmes. Incapable de lever la tête.<br />
<br />
- J'ai été obligé d'infliger une fessée à cette jeune personne ce matin !<br />
<br />
Les réactions sont diverses, certains sont surpris, d'autres moqueurs, mais personnes ne reste indifférent à cette annonce, et les chuchotements pour évoquer sa punition s'amplifient.<br />
Le directeur fait taire tout le monde d'un coup :<br />
<br />
- Et elle va en recevoir une autre ici même et devant vous !!<br />
<br />
Cette fois-ci, Caroline ne peut plus contenir ses larmes.<br />
<br />
- Tournez vous ! Et penchez vous en avant...<br />
<br />
Caroline se retourne et se baisse légèrement en mettant ses mains sur ses genoux, en s'attendant au pire. Mais le directeur la laisse dans cette position si inconvenante.<br />
<br />
- Ce matin, pour des raisons évidentes lorsque nous étions seuls, je vous ai donné votre fessée par dessus votre culotte...<br />
<br />
En interrompant sa phrase, le directeur relève d'un coup la jupe de Caroline sur son dos. Caroline essaye de se relever mais une violante claques au milieu de ses fesses l'en dissuade.<br />
<br />
- ... comme vous l'avez remarqué, nous ne sommes plus seuls... Il n'y a donc plus de raisons que vous gardiez cette protection !<br />
<br />
Les réactions s'amplifient une nouvelles fois, et le directeur a plus de mal à revenir au silence. Caroline met plus de temps de comprendre et se relève une nouvelle fois pour supplier le directeur.<br />
Une main ferme lui appuie sur le dos pour qu'elle se courbe à nouveau et deux grosses claques supplémentaires lui arrive.<br />
<br />
Quand tout le monde redevient attentif, il continue :<br />
<br />
- Je sais que vous allez avoir honte mais les claques sur vos fesses nues vous marqueront surement plus. Et je ne vais pas vous cacher que vous faire honte de la sorte fait aussi parti de la punition, je ne vais rien faire pour épargner votre pudeur !<br />
<br />
Le directeur ponctue son annonce par une nouvelle grosse claque au milieu des fesses due Caroline.<br />
<br />
- Allez-y ! Baissez votre culotte !<br />
<br />
Caroline est incapable de faire ça, elle reste sans bouger, complètement paralysée.<br />
<br />
- Bon, puisque vous êtes incapable de le faire...<br />
<br />
Caroline éclate en sanglot, tandis que le directeur se saisit de son collant. Il lui passe sous ses fesses découvrant complètement sa culotte. Puis il prend l'élastique de sa culotte de ses deux mains et lui passe aussi sous ses fesses.<br />
Caroline n'est pas complètement déculottée, mais elle a les fesses nues pour recevoir les claques. Le directeur lui en applique une vingtaine sans s'arrêter. Caroline essaie de se défaire de son emprise, mais il l'a maintien fermement.<br />
Lorsqu'il la lâche, elle se presse de remonter sa culotte et son collant. Le directeur l'attrape par le bras pour la retournée devant l'assemblée. Elle ne cesse de pleurer, son maquillage commence à couler, elle ne peut lever la tête.<br />
<br />
- ça s'était pour avoir quitter la résidence sans autorisation... Je vais maintenant vous punir pour avoir consommer de l'alcool à outrance ! Pour cela, ce sera sans votre jupe.... Vous êtes habitué vu que vous avez passé la journée comme ça... Et je ne veux pas que votre chemisier entrave l'application de votre punition, donc se sera également sans votre chemisier !!!<br />
<br />
Caroline accuse le coup tandis que le directeur déboutonne les premiers boutons. Il lui enlève les pans de son chemisier coincés à l 'intérieur de sa jupe et défait le dernier. Il descend également la fermeture de sa jupe, celle-ci vient s'affaler autours de ses chevilles. Caroline se cache le visage, le directeur lui prend le bras, pour défaire une première manche et fait de même pour la deuxième.<br />
Elle se retrouve en sous-vêtements face à un public terriblement silencieux.<br />
<br />
Le directeur la penche de nouveau en avant. ce ne sont plus ses fesses qui sont présentées aux élèves mais son décolleté. Le directeur commence la fessée pour quelques claques, puis baisse d'un coup son collant et sa culotte jusqu'aux genoux. Et reprend avec vigueur sur ses fesses nues, il lui redonne une vingtaine de claques qui la retourne et la relève. Cette fois-ci Caroline n'a pas le temps de remonter sa culotte. Au contraire, le directeur lui attrape les poignets et lui pose ses mains au dessus de sa tête. Puis il termine de lui baisser complètement sa culotte jusqu'aux chevilles.<br />
Les fesses de Caroline apparaissent au yeux de tous, uniformément rouge.<br />
<br />
- Je vous laisse quelques instant pour reprendre vos esprits. Je vous punirai ensuite pour avoir mis à mal l'image de notre établissement...<br />
<br />
Dans un silence lourd, entrecoupé par les sanglots de Caroline, elle reste de longues minutes debout, mains sur la tête, parfaitement droite.<br />
<br />
Le directeur va chercher une chaise qu'il pose devant Caroline. Lorsque que le directeur passe devant elle, elle résiste a l'envie insoutenable de se cacher. Elle le regarde s'assoir devant elle :<br />
<br />
- Je pense que vous êtes maintenant prête à être punie pour la plus grave de vos fautes. Venez vous allonger sur mes genoux...<br />
<br />
Caroline hésite, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix, en prenant soin de ne pas se retrouver face à l'assemblée, elle vient se mettre sur les genoux du directeur. Il ajuste la position pour avoir ses fesses à porté de main. Ses pieds ne touchent plus le sol, lorsque le directeur débute la fessée.<br />
La fessée est plus lente, le directeur frappe et admire le résultat à chaque claque. Elles sont plus fortes que lors de ses deux premières fessées. Caroline sursaute à chaque claque. Il lui en donne une dizaine ainsi sans rien dire. Le silence est de plomb entre chaque claque.<br />
Il l'invite à se relever. Caroline prend soin de se mettre dos à l'assemblée et se penche pour attraper sa culotte.<br />
<br />
- Non, non, non... Votre culotte est très bien où elle est... Laissez là en bas.<br />
<br />
Dépitée, Caroline se relève.<br />
<br />
- Toute nue !!<br />
<br />
Caroline regarde le directeur sans comprendre pourquoi le directeur dit ça ainsi. Les élèves encore sous le choc de ce qui vient de se passer ne comprennent pas non plus. Le directeur reprend.<br />
<br />
- Ne me regardez pas comme ça, Caroline. Vous avez très bien entendu, j'ai dit toute nue... ça vous apprendra à enfreindre les règles et à bafouer notre établissement... Je continuerai la punition lorsque vous serez toute nue. Et c'est vous qui allez enlever votre soutien-gorge...<br />
<br />
Caroline ne bouge pas, mais même de dos on comprend qu'elle s'est remise à pleurer.<br />
<br />
- J'ai tout mon temps, mais on va quand même établir des règles... disons 1 claques toutes les secondes 1 2 3 4...<br />
<br />
Caroline comprend ce qui se passe, mais n'arrive pas à se résoudre à enlever son soutien-gorge, les chuchotement montent à nouveau dans les rangs. Le directeur annonce déjà 35 quand Caroline se se décide fébrilement à remonter ses mains vers l'attache de soutien-gorge...<br />
<br />
- Retournez-vous avant ! 36 37 38...<br />
<br />
Cette fois ce mains se portent à son visage, elle hésite encore. Puis dans un effort qui semble lui être surhumain elle fait demi-tour doucement, ses mains devant sa bouche semble retenir un cri de colère.<br />
47 48 49... puis elle défait l'attache de son soutien gorge. 52 53 54 ! Le directeur arrête de compter lorsque son soutien gorge tombe par terre. Caroline se couvre du mieux qu'elle peut...<br />
<br />
- 54 claques pour vous décider... Et bien, je pense que vos fesses vont garder une certaine couleurs pendant plusieurs jours... Mais vous y êtes enfin arriver ! Par contre, je ne vous dis fait mettre toute nue pour que vos bras vous cachent ! Posez vos mains sur votre tête !<br />
<br />
Caroline doit se découvrir entièrement. Tête baissée, en pleurs contraste avec ses seins fièrement dressés. Son ventre plat et sa poitrine se lève au rythme de sa respiration rapide et angoissée. Plus bas, sa fine toison brune peine à cacher sa fente qui remonte assez haut. Et en bas de ses jambes, sa culotte et son collant négligemment enroulés rappellent qu'elle est punie.<br />
<br />
Une grosse claque lui fait faire un pas en avant.<br />
<br />
- Demain, on commencera votre journée avec vos 54 claques... Je vous la donnerez dans la salle de restaurant... devant tout le monde. Vous viendrez au petit-déjeuner toute nue !<br />
<br />
- Vous pouvez vous rendre dans vos chambres... Caroline, restez comme ça pour le moment, vous partirez la dernière...<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-71244258442948620542020-03-23T21:13:00.001+01:002020-03-23T21:13:06.171+01:00Voyage scolaire (journée)Pendant le voyage scolaire Caroline et ses amis avaient trouvé une solution pour quitter discrètement l'hébergement sans que ça ne se sache le soir pour sortir.<br />
Un peu de liberté n'était pas habituel, car l'école était très sévère et très stricte.<br />
Ce soir là, ils s'étaient arrêtés dans un bar pour passer la soirée, et étaient restés un bon moment.<br />
Ils étaient tous un peu éméchés. Guillaume est sorti fumer une cigarette lorsqu'ils voient le surveillant et deux de leurs profs s'approcher du bar. Il rentre avant qu'ils ne le voient et va prévenir ses amis un peu paniqué.<br />
- Vite ! Sortez ! Voilà les profs... Ils arrivent par là !!!<br />
- On sort par cette porte, il ne nous verront pas.<br />
- Attendez Caro est aux toilettes...<br />
- Pas le temps, ils arrivent ! viens !<br />
<br />
Il retournent à l'hébergement inquiets pour leur copine<br />
- Et Caro ? Comment elle va faire ?<br />
- T'inquiète elle va trouver une solution...<br />
- Mais elle n'est pas au courant qu'ils sont dans le bar.<br />
- Il y a du monde, il ne la verront peut-être pas...<br />
- Elle a pas mal bu quand même, j'espère qu'elle va être vigilante.<br />
<br />
En effet, elle a pas mal bu, au point d'être malade dans les toilettes. Certains s'impatientent devant et frappent de moins en moins discrètement à la porte, eveillant la curiosité des clients.<br />
Caroline ressort quelques minutes plus, le regard un peu dans le vague en insultant ceux qui s'impatientaient derrière la porte.<br />
Elle cherche dans la salle ses amis, lorsqu'un forte poigne vient lui enserrer le bras pour l'entrainer dehors sans ménagement.<br />
<br />
- Que fais-tu là, et tu as bu en plus !!<br />
<br />
La vue du surveillant la tenant par le bras a eu un effet dessoûlant immédiat.<br />
On verra ça demain, je te ramène...<br />
<br />
Au réveil, le surveillant vient la voir :<br />
- Le directeur est au courant, il arrive... Pas d'activités pour toi aujourd'hui. Tu mets ton uniforme de l'école et tu me suis pour le petit déjeuner.<br />
<br />
Le surveillant l'installe seule à une table, elle ne peut échanger avec ses camarades. Le fait qu'elle soit avec son uniforme dénote des autres qui sont habillés en tenue classiques. Surtout par rapport aux élèves d'un autre établissement scolaire, qui eux n'ont même pas d'uniforme les jours de classe.<br />
Tous ses demandent ce qu'elle a fait pour être punie ainsi, mais ils ne sont pas au bout de leur surprise.<br />
Lorsqu'elle a fini de manger, le surveillant vient la chercher et la lève de sa chaise de la même façon qu'il l'avait sortie du bar, en la tenant par le bras. Corinne rougit d'être traitée ainsi, mais ne peut se libérer de son emprise.<br />
- Le directeur viendra te chercher ici lorsqu'il arrivera. En attendant, tu vas rester ici comme il l'a décidé... Au coin avec les mains sur la tête !<br />
Caroline se défend et refuse d'être humiliée ainsi.<br />
Le surveillant ajoute plus bas, pour que elle seule entende :<br />
- Il m'a dit aussi que si tu étais récalcitrante, il ne faudrait pas hésiter à te claquer les fesses.<br />
<br />
Vu le monde dans la salle, il n'en faut pas plus pour convaincre Caroline d'obéir. Elle reste ainsi un long moment, jusqu'à ce que la salle soit complètement vide et silencieuse.<br />
Puis elle entend un pas décidé s'approcher d'elle, elle comprend que c'est le directeur.<br />
- Suivez-moi !<br />
<br />
Sans autre forme de politesse, il repart déjà dans l'autre sens.<br />
Caroline se lève et le suit avec une certaine appréhension jusqu'à un bureau ou il ferme la porte derrière eux, et va s'assoir sur la chaise derrière le bureau.<br />
<br />
-Approchez vous !<br />
- Ici !<br />
Il lui montre le sol juste à côté de sa chaise.<br />
Caroline s'approche tout prêt à coté de lui.<br />
- Vu ce que vous avez fait, je ne veux aucun commentaire...<br />
Il recule sa chaise et place Caroline face à lui, en la tenant par les hanches. Caroline frémit à cause de ce geste et se demande ce qui va se passer.<br />
<br />
D'un coup sec, il attrape le bas de sa jupe et la remonte au milieu de son ventre. Caroline pousse un cri de surprise et essaye d'empêcher cela.<br />
- Otez immédiatement vos mains de mes bras !<br />
Caroline enlève ses mains et le directeur remonte encore plus haut.<br />
- Tenez votre jupe comme ça !!! Je vous conseille de ne pas la laisser descendre d'un centimètre...<br />
Honteuse Caroline laisse échapper quelques larmes, mais s'efforce de bien tenir sa jupe exhibant sa culotte à peine cachée par son collant couleur chair. Il la tourne d'un quart de tour et abat sa main ferme sur les fesses de Caroline. Surprise, elle laisse tomber sa jupe un instant mais la remonte aussitôt. Une deuxième arrive aussitôt et une troisième. Les larmes sont de plus en plus nombreuses sur les joues de Caroline. Elle en reçoit dix ainsi, et il la remet face à lui.<br />
Caroline lève la tête vers le plafond et se contient de crier lorsqu'il passe ses doigts sous l'élastique de son collant. Il le baisse, complètement. En prenant soin de l'enrouler au maximum sur ses chevilles.<br />
Puis il se lève et retourne Caroline vers le bureau, il la courbe complètement dessus et lui emprisonne ses poignets dans le dos. Ce n'est plus des claques lentes qu'elle reçoit mais une véritable fessée, rapide et appuyée. Autours de sa culotte ses fesses sont déjà bien rouge et la protection de sa culotte ne doit pas changer grand chose pour le reste. Le directeur claque une fesse après l'autre avec vigueur. Caroline est incapable de bouger malgré ses tentatives. Il la tient fermement. Elle se contente de pleurer, de crier et de le supplier d'arrêter.<br />
<br />
Lorsqu'il arrête la fessée et la relâche, Caroline ne se relève pas aussitôt. Elle se frotte les fesses et continue de sangloter. Le directeur s'assoit sur sa chaise.<br />
<br />
- Allez au coin vous calmer !! Je ne veux plus vous entendre...<br />
<br />
Caroline se relève péniblement et essaye de contenir ses larmes tant bien que mal.<br />
<br />
- Laissez votre collant descendu !<br />
<br />
Elle va coin enchevêtrée dans son collant à petits pas.<br />
<br />
- A genoux et les mains au dessus de votre tête !<br />
<br />
Le directeur regarde un instant les fesses bien teintées de Caroline, puis la laisse seule une bonne demi-heure.<br />
<br />
Lorsqu'il revient, Caroline n'a pas bougé, elle tourne juste la tête un instant pour vérifier que c'est bien le directeur. Elle a cessé de pleurer, le rougeur de ses fesses s'est un peu estompée. Le directeur la libère du coin.<br />
<br />
- Vous pouvez remonter vos collants et venez vous assoir.<br />
<br />
Caroline n'ose pas demandé sa jupe qui est posée face à elle sur le bureau. Elle s'assoit, croise ses jambes et met ses mains entre ses cuisses pour se cacher au maximum.<br />
<br />
- Aujourd'hui vous allez rester là à faire des exercices. Après ce que vous avez fait il est hors de question de participer aux différentes activités organisées. ça vous permettra de réfléchir aux conséquences de votre comportement d'hier soir ! Et à l'image que vous avez donné de notre établissement...<br />
<br />
- On vous apportera votre déjeuner et votre diner ici, vous avez le droit de sortir uniquement pour vous rendre aux toilettes.<br />
<br />
- On viendra vous chercher pour la veillée dans la salle commune où une punition vous attend !<br />
<br />
Caroline reste perplexe, elle prend les feuilles d'exercices que lui tend le directeur.<br />
<br />
- Je garde votre jupe pour ne pas que vous soyez tentée d'aller vous promener...<br />
<br />
Elle ne peut décrocher un mot. Quand le directeur ferme la porte derrière lui, elle éclate en sanglot. Elle se demande ce que le directeur veut dire concernant la punition pendant la veillée. Elle regrette de ne pas lui avoir demandé. Toute la journée elle ressasse cela dans sa tête, imaginant le pire.<br />
<br />
Quand on lui apporte son plateau le midi, elle est rassurée de voir que c'est sa prof de français. Elle a moins honte d'être aussi peu vêtue devant une femme, surtout que celle-ci semble compatissante envers elle, elle la rassure un peu. Caroline en profite pour lui demander que ce soit elle qui lui apporte son repas du soir, ce qu'elle accepte.<br />
<br />
Avant de partir, Caroline lui demande si elle sait en quoi consiste la punition de ce soir. Sa prof lui répond un peu gênée que non, mais elle comprend qu'elle lui ment et n'ose pas lui dire.<br />
<br />
Quand elle doit se rendre aux toilettes, elle attend qu'il n'y ait plus de bruit dans le couloir et se dépêche de sortir. Elle ne croise personne les deux fois où elle doit sortir.<br />
<br />
Lorsque sa prof de français lui apporte son repas du soir, elle se contente simplement de lui déposer sur le bureau et de lui dire de se dépêcher car le directeur n'allait pas tarder à venir la chercher...<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-90596929815666198162020-02-07T09:17:00.001+01:002020-02-07T09:17:28.190+01:00Manifestation<div align="left" style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Déjà toute la semaine dernière le lycée a été bloqué. Avec ces manifestations, personne n'a pu assister aux cours. Pendant tout le Week-end, les élèves ont reçu des des messages sur leurs portables et sur Facebook pour continuer le mouvement. Dès le <span class="Object" id="OBJ_PREFIX_DWT156_com_zimbra_date" style="color: #336699; cursor: pointer;">lundi</span> matin, malgré les interdictions, des élèves arrivent très tôt pour s'infiltrer dans le lycée et condamner les portes d'entrées.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline et Cécile entrent elles aussi illégalemment dans le lycée. Caroline se rend aux toilettes avant de commencer leur action et Cécile la suit. Quand elles poussent la porte, elle découvrent le désastre. Les toilettes sont totalement ravagées. Tout a été cassé durant le week-end. Après un moment de surprise, Caroline veut tout de même aller aux toilettes, car, après, elles ne pourront pas y aller pendant un bon moment. Quand elle essaie de refermer la porte, un amat de gravas tombe en faisant un bruit épouvantable. Effrayée, elle s'enfuient des toilettes en courant et tombent nez à nez avec le surveillant du lycée. Il venait d'attraper un groupe d'élèves qui s'étaient infiltrés eux-aussi dans le lycée. Le surveillant constate les dégats dans les toilettes, et ne fait aucun commentaire. Caroline et Cécile essaie de se justifier et disent que ce ne sont pas elles, mais le surveillant leur conseille de les suivre sans aggraver leur cas.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les élèves sont reconduits à l'extérieur du lycée. Caroline et Cécile préfèrent rentrer chez elles en attendant la suite.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le soir même le lycée est débloqué et les cours peuvent reprendre normalement. Elles se font toutes petites, pendant la journée et n'entendent pas parler de cette histoire jusqu'au soir. Déjà, une entreprise vient faire les travaux de réparation des toilettes. En fin d'après-midi une circulaire est distribuée aux élèves. Elle demande que le conflit s'arrête et que les cours continuent d'être dispensés normalement. Un dernier paragraphe insiste sur les dégats qui ont eu lieu pendant les manifestations. Il précise que ceci sont intolérables et que les responsables seront sévèrement punis.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les jours suivants, Caroline et Cécile s'apprêtent à devoir se défendre des dégats des toilettes, mais elles ne sont pas inquiétées. Elles se demandent même si ils avaient trouvés les coupables ou si le surveillant n'avait rien dit...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Mais le <span class="Object" id="OBJ_PREFIX_DWT157_com_zimbra_date" style="color: #336699; cursor: pointer;">vendredi</span> en début d'après-midi, le surveillant débarque en cours de Maths :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Caroline et Cécile, le proviseur veut vous voire dans son bureau tout de suite !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les deux filles se regardent puis se lèvent et enfilent leurs manteaux calement.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Prennez vos affaires aussi !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Sur le chemin du bureau du proviseur, elles restent silencieuses, ne sachant pas comment se sortir de se pétrin. Quand elles entrent dans le bureau, elles constatent avec stupeur que deux policiers sont assis en face du proviseur.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Posez vos sacs et vos manteaux !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le ton du proviseur fait peur aux deux filles.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Qu'est-ce qui vous a pris de saccager ces toilettes !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile ose dire timidement qu'elles étaient déjà comme ça quand elles sont arrivées, ce qui met le proviseur se met encore plus en colère :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous vous foutez de moi ! Le surveillant et un groupe d'élèves vous ont pris en flagrant-délit, et ils sont tous venus me le dire. Et la caméra vous filme en train de sortir des toilettes en courant ! Il vous faut d'autres preuves...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les deux filles baissent la tête sans rien ajouter, elles savent bien que tout se retourne contre elles. Le directeur se calme.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Il y a deux solutions. La première, est celle qui me plait le moins. Je porte plainte contre vous, et ces policiers vous emmenent au commissariat. Vous pouvez imaginer quelle sera la suite... La deuxième, est de régler ce problème en interne et pour ça il faut que vous soyez sévèrement punies !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Pour commencer, vous avez vu que les travaux sont commencés dans les toilettes, mais les peintures ne seront pas faites... C'est vous qui les feraient pendant vos heures de permanence. Et il y a une autre punition !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Alors, est-ce que je profite de la présence de ces messieux pour déposer plainte ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les deux filles se regardent et disent non de la tête.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Très bien, alors nous allons vous punir de façon inédite et exemplaire ! Caroline venez ici !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline s'avance, blanche comme un linge, vers le bureau du directeur. Il ouvre son tirroir et sort une strappe qu'il pose juste devant Caroline. Les deux filles regardent l'objet avec inquiétude. Le directeur laisse un léger silence tandis que les deux filles n'arrivent pas à détacher leurs regards de la strappe. Puis il se lève et la prend.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Nous allons commencer par vos fesses Caroline ! Quand votre fessée sera finie, Cécile prendra votre place ! Courbez-vous sur le bureau !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline obéit tandis que Cécile demande ques les policiers et le surveillant sortent, mais le directeur ne se préoccupe pas d'elle. Il appuie sur le dos de Caroline pour que son ventre touche la bureau et que ses fesses soient bien remontées. Sa jupe remonte sous ses fesses, et Caroline tire dessus et vérifie en passant la main sur ses fesses que sa culotte n'est pas découverte. Cécile insiste auprès du directeur en disant que c'est pas normal qu'il les punisse comme ça, en plus devant témoins, elle demande aux policiers d'intervenir, mais comprend rapidement qu'elle n'obtiendra rien d'eux. Et elle n'obtiendra pas non plus la clémence du directeur qui abbat la strappe sur les fesses de Caroline. Un léger sursaut et déjà le deuxième coup tombe, puis le troisième... Caroline sert les dents et essaie de contenir ses larmes de honte et de douleur. Cinq coup lui sont appliqués, et elle se relève et frotte ses fesses en grimaçant.Le directeur reste derrière elle, la stappe à la main, Cécile sert les fesses sachant que son tour est proche. Mais le diecteur a prévu un autre programme pour Caroline :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Voilà pour le début de votre punition Caroline ! Maintenant, nous allons réellement vous punir !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Inquiète Caroline, ne relève pas la tête, et attend la suite tout en sachant qu'elle allait être très dur pour elle. Le directeur laisse un long moment, pendant lequel elle imagine un tas de scénario dans sa tête, puis il brise le silence d'un ton très dur :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Baissez votre culotte et relevez votre jupe !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile étouffe un petit cri de surprise tandis que Caroline se retourne vers le directeur.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Dépêchez-vous, nous allons continuer la fessée sur vos fesses nues !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline lui jette un regard interrogateur...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Ne faites pas votre mijorée, vous êtes faite comme tout le monde ! Vous allez nous montrer vos fesses, cela fait partie de votre punition et votre complice sera punie comme vous !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline ne réagit pas tandis que Cécile lève le ton :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous êtes fou ! Il est hors de question qu'on se déshabille devant vous !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur saisit Cécile par le bras et la courbe sur le bureau :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Je ne pense pas que vous soyez en position de discuter Mademoiselle !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Puis il retourne Caroline :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous aussi, courbez-vous sur le bureau !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Une fois que les filles sont en position pour recevoir la fessée, il prend la strappe et relève d'un coup sec la jupe de Caroline. Une culotte blanche apparait sous son collant couleur clair. Horrifiée, Caroline veut rabattre sa jupe, mais le proviseur attrappe ses mains et les emprisonne. Puis, il baisse son collant jusqu'aux genoux et appelle le surveillant :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Déculottez aussi Cécile !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Tandis que les fesses de Caroline sont découvertes, Cécile se lève d'un bond pour protester. Mais personne ne l'écoute et le surveillant vient la plaquer contre le bureau. Cécile se débat et le surveillant n'arrive pas à la maitriser. Le directeur ajuste la culotte de Caroline et lui conseille de ne pas bouger. Le surveillant maintient Cécile courbée sur le bureau et lui serre les mains dans le dos, tandis que le directeur passe ses mains autour de la taille de Cécile pour déboutonner son jeans. Celui-ci ne tarde pas à être descendu sur ses chevilles et son string, qui ne couvre aucunement ses fesses, est impitoyablement baissé. Les cris de protestation de Cécile, se transforment rapidement en pleurs de honte. Elle est la première à recevoir la strappe. Le directeur ne la ménage pas. Caroline préfère tourner la tête, que de voir les grimace sur le visage de Cécile à chaque fois que la strappe s'abat sur ses fesses.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Une dernière et vous pouvez remettre votre jeans...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile ne pert pas une seconde, à peine le coup arrivé, elle cache ses fesses.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
La fessée continue sur le même rythme sur les fesses de Caroline. Elle s'accroche au bureau et tente de ne pas crier pourtant ses fesses rougissent en quelques coups. A la fin de sa fessée, Caroline prend le temps de reprendre ses esprits et remonte doucement sa culotte sur ses fesses endolories, puis rabat sa jupe et ajuste son collant.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile sèche ses larmes, tandis que le directeur ajoute encore quelques remontrances et prend rendez-vous avec elles pour les travaux de peinture, sur leur temps libre.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Puis il leur dit de rejoindre leurs camarades en salle de conférence pour la réunion. A la place de l'heure decours, une réunion avec tous les élèves et les professeurs a été organisé pour débattre des événements qui ont eu lieu.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Quand elles arrivent, tout le monde les regardent. Ils comprennent rapidement, en voyant leurs mines déconfites, que les deux filles ont été punies, mais elles se gardent bien de dire qu'elles ont été fessées.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur et les profs arrivent, le silence se fait, et il peut commencer une brève introduction. Puis, il semble chercher quelqu'un dans la salle. Son regard se pose sur les deux filles :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Caroline et Cécile ! Levez-vous !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Rouge de honte, les deux filles se lèvent, tout le monde les regarde...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Voici des perturbatrices, lors des manifestations ! Et ces demoiselles, ne se sont pas arrêtées là, elles ont aussi saccagé les toilettes comme vous le savez tous... Une punition était indispensable ! Et elles viennent de sortir de mon bureau, elles y ont été fessé sévèrement... et culotte baissée !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Quelques rires et gloussements moqueurs sortent des rangs. Les deux filles sont mal à l'aise et font tout pour éviter le regard de leurs camarades. Après un moment de silence, le directeur les appelle :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Venez me rejoindre sur l'estrade mesdemoiselles !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Les deux filles sortent des rangs têtes baissées, elles marchent doucement vers l'estrade, tandis que les regards masculins se posent sur leurs fesses et imaginent la fessée qu'elles viennent de recevoir. La jupe courte de Caroline fait fantasmer pas mal de garçons quand elle monte l'escalier qui la mêne sur l'estrade et ils ne tardent pas à être satisfait. A peine montée sur l'estrade, le directeur attrappe Caroline par le bras et lève sa jupe au dessus de sa taille. Ses fesses moulées dans sa culotte apparaissent sous les yeux de ses camarades ravis.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Mettez votre slip sur vos chevilles !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur libère le bras de Caroline et maintient l'arrière de sa jupe relevée. Sous les yeux ébaillis des élèves Caroline passe ses mains de chaque côté de ses hanches et commence à descendre sa culotte en même temps que son collant. Cécile s'affole et tente de convaincre son amie d'arrêter :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Arrête Caro ! Il n'a pas le droit de faire ça...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Mais d'un geste, le directeur fait comprendre au surveillant de s'occuper d'elle. Malgré les cris et les débattements de Cécile, il la pousse hors de la scène, derrière le rideau. Caroline continue seule, elle descend complètement sa culotte comme lui a indiqué le directeur. Sans lacher sa jupe, il retourne une chaise au milieu de l'estrade et s'assoit dessus. Caroline se laisse faire quand il l'allonge sur ses genoux. Il prend le temps de l'ajuster pour que sa main tombe juste sur ses fesses et ne réagit pas aux chuchotements des élèves. Caroline pose ses mains par terre, et sa tête touche pratiquement le sol. Ses cheveux cachent son visage et elle ne fait rien pour les empêcher. Le directeur attrappe ses chevilles et enlève ses chaussures qui tombent bruyemment sur l'estrade, puis il fait glisser son slip enroulé dans ses collants, qu'il lache par terre.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Et après un long moment de silence, il s'adresse à Caroline :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Etes-vous prête à recevoir la première fessée déculottée publique de cet établissement ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cela rappelle une fois de plus à Caroline, dans quelle horrible situation elle est. La main froide du directeur se pose sur les fesses de Caroline et un frisson lui parcourre le corps. Malgré la honte qui la submerge, elle se dit que c'est la première fois qu'un homme lui touche les fesses. Mais la première claque la ramenne à la réalité. Le directeur donne la fessée sur un rythme assez lent, mais les claques sont appuyées. Il n'hésite pas à frapper chaque fesse sur toute leur surface et celles-ci rougissent rapidement. Il n'épargne pas ses cuisses qui prennent de la couleur jusqu'en bas. L'intensité des claques est moins forte, et les regards se portent vers le rideau, ça s'agite derrière, on entend Cécile crier. Puis les pans du rideau s'écartent, et Cécile apparait poussée par le surveillant, qui lui tient les mains dans le dos. Elle se calme quand elle arrive au milieu de l'estrade. Ses vêtements lui ont été retiré. Elle n'a plus que son soutien, dont une des bretelles est descendue et son string. La vision de cette jolie blonde en petite tenue, plait aux nombreux garçons et il le font savoir bruyemment.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Pendant ce temps, Caroline se relève et frotte ses fesses avec le tissu de sa jupe et en la rabattant. Le directeur l'attrappe par l'oreille et l'emmêne au bord de l'estrade, juste devant le premier rang des élèves.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- A genoux, les mains sur la tête !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Caroline obéit sous les colibets des élèves, tandis qu'on peut lire dans les yeux de Cécile la panique qui la submerge, elle sait que son tour arrive. Le directeur se dirige vers elle.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- A vous maintenant, venez par ici !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile tirée par le bras, suit le directeur jusqu'à la chaise, où il la bascule sur les genoux sans ménagement. Une pluie de claque tombe sur ses fesses non protégée à cause de son string. Mais l'absence de protection n'empêche pas le directeur de faire glisser son string jusqu'en bas de ses jambes. Puis il continue la fessée, bien que ses fesses soient déjà bien rouge. Ses jambes battent en l'air et son string tombe sur l'estrade. Malgré la doulheur qui envahit toute la surface de ses fesses, toute l'attention de Cécile se porte sur le fait qu'elle est habillée de son seul soutien-gorge. Et sans arrêter la fessée, le directeur n'hésite pas à lui rapeller :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Quand j'aurai estimé que la fessée sera suffisante, vous irez rejoindre votre amie et dire à vos camarades ce que vous ressentez !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
La panique se lit dans les yeux de Cécile, quelques secondes après les claques cessent de tomber sur ses fesses.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Relevez-vous et montrez vos fesses rouge à vos camarades !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile se relève et attrappe aussitôt son string par terre, mais le directeur lui tend la main :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous serez bien plus consciente de vos actes sans ce bout de tissu !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile lève les yeux et déplie son string, tout en s'écartant du proviseur.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Mais oui ! Vous croyez que je vais rester comme ça... Vous pouvez toujours rêver !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Puis elle passe son string et remonte complètement.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur reste calme malgré la colère qui se lit dans ses yeux. Il laisse Cécile en plan au milieu de l'estrade et se dirige vers Caroline.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Relevez-vous et donnez-moi votre jupe !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Sous les yeux médusés de Cécile qui ne comprend pas comment son amie peut faire une chose pareille avec autant de facilité, Caroline se lève sans protester et se met sur le côté pour faire glisser sa jupe et la donner au directeur. Il prend la jupe et baisse les yeux vers sa toison. Caroline se sent rougir et baisse la tête.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous pouvez cacher votre intimité le temps que je m'occupe de votre copine, mais mettez-vous face à vos camarades !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Sans relever la tête, Caroline se présente à moitié nue, les deux mains collées côte à cote devant sa toison, les doigts tendus pour cacher le maximum. Le directeur la fait déplacer un peu sur le côté et tire Cécile au centre de l'estrade.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Je tiens à vous précisez que je serais beaucoup moins complaisant avec vous, Mademoiselle !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Pour commencer, une autre fessée ne vous fera pas de mal...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Puis il tourne la chaise et place Cécile derrière celle-ci.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Courbez-vous au dessus du dossier et posez vos mains à plat sur la chaise !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile ne va pas assez vite à son goût, et il l'attrape sous le bras sans ménagement pour qu'elle se bouge.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Je vais enlever votre string de ne vous avisez pas de vous s'y opposer !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile a les fesses tournées vers l'assemblée, alors que le directeur attrape le string de chaque côté. Avant de le descendre, il demande au surveillant de bien vouloir aller chercher la strappe dans son bureau. Puis aussitôt, il descend le string jusqu'à ses chevilles et lui retire complètement en faisant signe au surveillant de le prendre.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Mettez-le sur mon bureau avec le reste de ses affaires, elle viendra jusqu'à mon bureau pour se rhabiller !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile sursaute en entendant le directeur, mais elle reste en place et réajuste sa position, les jambes collées l'une contre l'autre.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur continue la réunion sans se préoccuper de Cécile, mais dès que le surveillant revient, il prend la strappe et s'approche de Cécile. Un premier coup arrive sur ses fesses, en laissant une marque rouge, puis un deuxième que Cécile essaye d'esquiver. La fessée continue jusqu'à ce que toute la surface de ses fesses soit uniformément rouge. Quand le directeur pose la strappe sur la chaise, Cécile se relève doucement et porte ses mais à ses fesses pour les frotter. On entend seulement le reniflement de Cécile, tandis que le directeur va porter à Caroline sa culotte et lui dit de la remettre pour regagner sa place. Elle comprend qu'elle est encore privée de sa jupe, mais traverse la salle la tête basse, contente d'échapper aux regards en s'asseyant à sa place.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Quant à vous Cécile, vous allez rester sur l'estrade, à la vue de tout le monde jusqu'à la fin de la réunion !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile laisse ses mains sur ses fesses comme si elle pouvait les protéger de tous les regards de la salle. Elle se sent d'autant plus nue, qu'elle est maintenant la seule à être punie.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Tenez, Montez sur la chaise pour que l'on voit mieux vos fesses rougies ! Et posez vos mains sur votre tête !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile reste plus d'une demi-heure debout sur sa chaise. Personne n'est réellement attentif, ses fesses attirent tous les regards. Parfois quelques têtes se tournent vers Caroline, qui baisse les yeux à chaque fois. Avant la fin de la réunion, elle doit se lever et traverser une nouvelle fois la salle pour retourner sur l'estrade.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vu le froid qu'il fait dehors, je vous autorise à remettre vos collants pour sortir. Par contre votre jupe vous sera inutile, je veux que tout le monde voit que vous êtes punie jusqu'à <span class="Object" id="OBJ_PREFIX_DWT158_com_zimbra_date" style="color: #336699; cursor: pointer;">ce soir</span> et vous assisterez à votre dernière heure de cours ainsi ! Après vous viendrez remettre votre jupe dans mon bureau...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Pendant que Caroline enfile ses collants, les élèves sortent de la salle. Caroline les suit en sachant qu'elle devra supporter les commentaires et les moqueries de ses camarades.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Quand elle arrive en classe, sa prof ne la laisse pas aller à sa place habituelle, elle la retient par le bras face à la classe le temps que tout le monde s'installe.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Je pense que si Monsieur le directeur ne vous pas redonner votre jupe, c'est pour que vous soyez vue ! Alors vous allez rester debout pendant le cours, et face à tout le monde !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
<br /></div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Pendant ce temps dans la salle de réunion, Cécile est toujours sur sa chaise. Le directeur discute avec un prof sans se préoccuper d'elle. Après quelques minutes, le prof s'excuse auprès du directeur et lui dit qu'il doit partir, car les garçons du techniques l'attendent pour son cours. Le directeur ne le retient pas plus longtemps et se tourne vers Cécile, et lui dit de descendre. Il l'aide en lui donnant la main et Cécile cache son sexe de l'autre.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Ce prof vient de me donner une très bonne idée pour vous punir Cécile !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile qui croyait que sa punition allait prendre fin, craque. Sans même savoir comment elle allait encore être punie, elle s'efondre en sanglot, ce qui n'émeut pas le directeur.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Je comptais vous faire passer votre dernière heure au coin à l'administration, mais vous serez bien mieux dans la classe des techniques !!!</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile sans le sol se dérober sous ses pieds, mais le directeur l'attrappe sous le bras et la traine hors de la salle. Dans les couloirs de l'établissement seule, sa main gauche peut cacher son sexe, car le directeur tient son autre bras et marche d'un pas décidé. Cécile le supplie de ne pas l'emmener dans le batiment des techniques. Elle sait que dans cette annexes de l'établissement, il n'y a que des garçons. Elle n'a aucun contact avec ses gens là, puisque la majorité des élèves considère, comme elle, qu'ils ne méritent pas qu'on leur adresse la parole. Maintenant, il faut traverser la cours. Heureusement, elle est vide, mais elle imagine que les élèves installés près des fenêtre la voient de l'étage. Elle n'ose pas relever la tête pour vérifier et cache du mieux qu'elle peut sa toison. Plus le batiment approche, plus elle se rend compte que sa punition est inévitable, elle ne supplie plus le directeur qui, de toute façon, ne fait pas attention à elle, mais elle pleure sans pouvoir s'arrêter.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Nous allons d'abors passer par mon bureau afin d'y déposer votre soutien-gorge.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le ton du directeur est tellement banal, que Cécile ne peut y croire jusqu'à ce qu'elle se retrouve au milieu du bureau du directeur. Il attend visiblement qu'elle l'enlève, mais elle ne peut bouger, débout tête baissée, ses deux mains devant son sexe. Elle lève timidement les yeux vers le directeur, et le voit, les bras croisés, impatient, près à se facher. Mais aussitôt, elle baisse de nouveau la tête. Il bondit sur elle, l'agraphe de son soutien ne résiste pas longtemps aux mains du directeur, il abaisse d'un coup sec les bretelles.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Vous allez vous décider à l'enlever maintenant ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile profite que le directeur soit toujours derrière elle pour enlever définitivement son soutien, puis cache aussitôt ses seins de son bras.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Pour votre désobéissance, vous mériteriez de passer toute nue sur mes genoux devant les garçons ! ... Mais je vous laisse une dernière chance, avant la fessée devant tout le monde !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Ils sortent du bureau, Cécile suit le directeur dans le couloir, les portes sont ouvertes, mais elle préfère ne pas regarder à l'intérieur des bureaux. La secrétaire interompt le directeur pour lui demander quelque chose. Avant d'entrer dans le bureau, il colle Cécile contre le mur et lui impose de mettre ses mains sa tête en l'attendant. Cécile espère que personne n'entrera et la verra dans cette position. Les minutes lui parraissent durer une éternité, enfin il revient :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- J'en ai pour un petit moment ! Vous allez vous rendre dans la classe des technique toute seule, je viendrai vous y rejoindre tout à l'heure ! Je vous fait confiance, alors ne me décevez pas, où cela vous coûtera une autre punition ! Allez-y sans perdre de temps...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile quitte le secrétariat et marche rapidement sur le chemin qui mêne au batiment des techniques. Quand elle entre dans le hall, elle croise un prof qui lui demande ce qu'elle fait là, ainsi. Morte de honte, elle doit tout lui dire y compris le fait qu'elle doit se rendre, toute nue, dans la classe des techniques. Il lui indique la troisième porte à gauche.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile part en direction de la classe, elle sent le regard du prof se poser sur ses fesses. Avant de frapper à la porte, elle tourne la tête voit qu'il ne l'a pas quitté du regard. Sous sa main couvrant sa poitrine, elle sent son coeur battre à toute allure. Elle croit s'évanuir quand elle pose la main sur la poigné de porte, après que le prof ait dit d'entrer. Elle éclate en sanglot avant même d'entrer dans la classe. La surprise du prof et des élèves se magnifeste par un brouhara géant. Le prof comprend vite la situation et tente de calmer les élèves, tandis que Cécile reste plantée de profil, incapable de faire le moindre mouvement. Sa main gauche collée devant sa toison et sa main droite plaquée sur son sein gauche. Le directeur ne tarde pas à arriver.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Alors Cécile, on ne vous a pas mise au coin ! C'est là que je croyais vous trouver... Avez-vous au moins expliquer à vos collègues pourquoi je suis obligé de vous emmener nue face à eux ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Sans lever le regard, Cécile secoue la tête pour dire non.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Alors, allez-y, mettez-vous face à tout le monde et expliquez !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile fait un quart de tour et voit brièvement tous ces regards sur elle. Elle prend une grande inspiration pour ne pas s'éffondrer en sanglots et commence ses explications, mais le directeur la coupe aussitôt :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Non, non, non Mademoiselle ! Losque l'on s'exprime devant un public, on se tient droite, on regarde les gens et on parle distinctement ! D'ailleurs, pour que tout le monde vous voit bien, montez le bureau du professeur !!</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile s'aide de la chaise pour monter sur le bureau en cachant l'essentiel de son intimité. Quelques larmes coulent sur ses joues quand elle commence à expliquer qu'elle est punie pour avoir saccager les toilettes durant les manifestations.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Maintenant que vous êtes toute nue, face à ses jeunes hommes, j'espère que vous regrettez vos actes ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur est obligé de lui reposer une seconde fois la question car Cécile ne lui répond pas. Finalement, elle préfère ne pas lui dire une fois de plus que ce n'est pas elle, et après quelques secondes de réflexion, elle avoue qu'elle regrette profondément.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- C'est déjà une bonne chose !... C'est bon vous pouvez descendre, je vais vous conduire au coin !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile rejoint le directeur, il lui indique le coin à côté du tableau, face à la classe.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Avez-vous déjà passé une heure, à genoux, au coin, les mains sur la tête et toute nue devant tout le monde ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Tout en reniflant, Cécile fait non de la tête...</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Et bien c'est domage, c'est sûrement ainsi qu'on aurait du vous punir ! Après deux ou trois séance au coin, votre attitude aurait pu être améliorée... En tous cas, maintenant, il faut rattraper le retard, et ce n'est pas votre âge qui va m'en empêcher ! C'est la programme que je vous propose pour la prochaine heure. Allez vous mettre dans cette position, et réfléchissez aux conséquences de vos actes !!</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile n'a pas le choix, morte de honte, elle va se mettre dans cette position si humiliante, mais à peine installée, le directeur s'approche d'elle.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Pas comme ça Cécile ! Je veux que vous assumiez votre punition et vos actes pleinement. Et vos fesses ont déjà été assez vu <span class="Object" id="OBJ_PREFIX_DWT159_com_zimbra_date" style="color: #336699; cursor: pointer;">aujourd'hui</span> ! Maintenant, c'est tout ce que vous avez caché que vous allez offrir... Retournez-vous face aux garçons et restez ainsi jusqu'à la fin du cours !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Cécile n'en croit pas ses oreilles, quand elle réalise la situation, elle s'effondre totalement. Ses bras tombent de sa tête et ses fesses se posent doucement sur ses talons. Ses mains viennent cacher son visage, mais ne peuvent cacher les pleurs qu'elle ne peut plus contenir.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Dépêchez-vous Cécile ! Bien droite, les mains sur la tête !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Elle ne peut se résoudre à faire l'inévitable, mais le directeur insiste :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Cécile ! Cherchez-vous vraiment à recevoir la fessée ?</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Elle sait maintenant qu'elle n'a plus le choix. Elle se lève doucement et se retourne sans enlever les mains de son visage. Ses sanglots redoublent quand elle est face à la classe et un frisson lui parcourre le corps quand elle entend la réaction des garçons.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- J'ai dit à genoux Cécile ! Et arrêtez de cacher votre visage, vous devez assumer jusqu'au bout !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Le directeur doit lui donner deux petites claques pour qu'elle lève ses fesses et se remette droite et doit poser lui-même ses mains sur sa tête.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
Pendant toute l'heure Cécile ne peut relever la tête. Elle sent les regards se poser sur sa jolie poitrine mais ce qui la gêne le plus, c'est d'exhiber son intimité recouvert d'un duvet de poils blonds qui ne peut cacher la fente de son sexe. Elle imagine les commentaires dont elle fait déjà l'objet dans la classe, mais aussi ceux qu'elle devra subir dans les jours suivants.</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
A la fin de l'heure, elle est autorisée à se relever. Elle ne sent plus ses genoux tellement ils lui font mal, elle ne peut résister de mettre ses mains devant elle pour cacher son sexe. Elle reste ainsi, près de la porte et doit saluer un à un chacun des élèves, puis elle est raccompagnée à l'administration. L'heure de la sortie a sonné, et elle préfère ne pas reconnaitre les élèves et les profs qu'elle croise sur le chemin. Arrivée à l'administration, elle va discrètement jusqu'à la porte du bureau du directeur et frappe. Mais elle constate que le directeur est absent et que le bureau est fermée. Elle attend un instant et se retourne face à la porte, quand elle entend quelqu'un arriver dans le couloir. C'est Caroline qui vient elle aussi récupérer sa jupe. La secrétaire la voit passer et lui dit d'entrer dans son bureau :</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
- Monsieur le directeur m'a laissé votre jupe et les vêtements de Cécile !</div>
<div style="background-color: #fdfdfd; font-size: 13.333333015441895px;">
En entendant ça, Cécile se précipite elle aussi dans le bureau, malgré la présence de trois personnes et enfile avec hâte ses vêtements, pour quitter l'établissement le plus rapidement possible.</div>
pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-27565794186560730512020-01-27T15:13:00.002+01:002020-01-27T15:13:22.848+01:00La gazette 7Caroline arrive un peu en avance, le bureau n'est pas encore ouvert, elle attend devant la porte.<br />
Lorsque le directeur arrive, elle comprend à son visage qu'il n'est pas d'humeur. Il lui dit sèchement bonjour, et la fait entrer dans le hall, sans prendre la peine de la faire venir jusqu'à son bureau<br />
<br />
- J'espère que vous avez enfin compris mon message d'hier... Déshabillez-vous que je vois ça !<br />
<br />
Caroline enlève sa veste et son pull. Son soutien-gorge blanc à légère dentelles cachent sa poitrine tout en laissant un décolleté convenable. Quand elle fait glisser sa jupe, le directeur découvrent une culotte assortie, sous un collant totalement transparent.<br />
<br />
- Très bien ! Votre tenue correspond plus à mes attentes...<br />
<br />
Caroline se sent un peu rassurées, même si maintenant elle va devoir rester ainsi.<br />
<br />
- Vous savez qu'en fin de matinée, nous avons la réunion sur la tolérance... Je vous ai désigné pour lire le discours de clôture.<br />
<br />
Caroline devient livide<br />
<br />
- Dans cette tenue ?<br />
<br />
- Evidement dans cette tenue !!! Vous êtes punie !<br />
<br />
Caroline passe la matinée à angoisser. Même lorsqu'elle est au coin sous le préau, elle pense au moment où elle sera le point de mire de tous pendant la réunion.<br />
<br />
En arrivant dans la salle, elle doit faire un effort surhumain pour aller jusqu'au pupitre pour lire son discours. Elle ne lève pas les yeux de sa feuille. Elle sait que ce qu'elle dit n'intéresse personne, mais que les commentaires vont bon train concernant sa tenue et sa punition.<br />
<br />
Caroline termine enfin son discours, et les élèves quittent la salle. Elle est rassurée que ce moment soit passé, surement le plus dur de la journée pense-t-elle. Le directeur l'invite à le suivre dans son bureau avant d'aller déjeuner.<br />
<br />
Arrivés dans son bureau, le directeur ferme la porte derrière elle et lui dit de s'assoir.<br />
<br />
- Nous arrivons à la fin de votre punition Caroline. J'espère ne plus jamais avoir à vous punir ainsi ! Après le déjeuner vous pourrez récupérer vos vêtements...<br />
<br />
Caroline lève la tête avec un léger sourire aux lèvres ce qui ne lui était pas arrivé depuis plusieurs jours.<br />
<br />
- J'ai bien compris Monsieur le directeur, vous n'aurez plus à me punir et... je suis vraiment désolée pour ce que j'ai fait.<br />
<br />
- C'est bien Caroline, tant mieux. Mais ne vous réjouissez pas trop vite, j'ai dit que votre punition sera terminée après le repas...<br />
<br />
Caroline le regarde inquiète de ce qui va suivre.<br />
<br />
- Pour clôturer votre punition, vous allez recevoir une fessée ! Levez-vous et baissez votre culotte !<br />
<br />
En quelques secondes, sa mine réjouie a disparu. Mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Déjà le directeur est arrivé près d'elle quand elle se lève. Il l'a fait reculer pour l'écarter du bureau, et la force à se pencher en avant. Il passe son bras autours de sa taille et commence à lui claquer les fesses. Il lui donne ainsi une vingtaine de claques bien appuyées que Caroline encaisse en serrant les dents, puis il la relâche.<br />
<br />
- Allez-y baissez votre culotte...<br />
<br />
Les yeux humides Caroline n'a d'autre choix que de baisser l'arrière des ses collants et de sa culotte en même temps pour dénuder ses fesses.<br />
Le directeur la remet dans la même position que précédemment et continue à la fesser. Les claques sont bien sonores, elles résonnent dans la pièce et marquent de plus en plus les fesses de Caroline.<br />
Quand il arrête, elle se relève et sèche ses larmes d'une main et remonte sa culotte de l'autre.<br />
<br />
- Voilà pour le moment, vos fesses sont bien assez rouge pour la suite... Vous allez recevoir la deuxième partie au réfectoire, devant tout le monde.<br />
<br />
Caroline réagit tout de suite à ce qu'il a dit :<br />
<br />
- Une autre fessée !! Mais pas comme celle que vous m'avez donnée ???<br />
<br />
- Comment ? Déculottée ? Nous en parlerons tout à l'heure... En attendant, allez déjeuner. Il y a un plateau dans mon bureau. Nous irons au réfectoire après...<br />
<br />
Le directeur la laisse seule. Elle ne peut pas avaler grand chose, mais elle se force à manger un minimum. Elle se demande ce qui va se passer. Elle doit attendre près d'une demi-heure avant que le directeur ne revienne, accompagné de son professeur.<br />
<br />
- Bon voilà Caroline, nous arrivons au terme de votre punition. Vous allez nous suivre jusqu'au réfectoire, où vous serez punie. Si j'ai bien compris le sens de votre interrogation, tout à l'heure, vous vouliez savoir si vous alliez être punie sur vos fesses nues... La réponse est oui !<br />
<br />
Caroline accuse le coup même si finalement elle s'y attendait.<br />
<br />
- Il y aura deux axes dans cette punition : la fessée par elle même bien sur, pour vous punir de votre attitude... Et vous comprenez, maintenant depuis plusieurs jours que je souhaite que votre punition soit marquante... Pour vous bien-sûr, afin que vous ne recommenciez pas. Et aussi pour les autres, pour qu'ils comprennent qu'on ne laisse pas passer ce genre de comportement ! Le fait de vous avoir imposé cette tenue, contribuait à cela. Et nous allons continuer sur cette voie pour cette dernière punition... Donc pour cette fessée, nous allons vous enlever complètement vos collants et votre culotte. Ainsi que votre soutien-gorge, c'est complètement nue que vous allez être punie !<br />
<br />
Caroline ne semble pas comprendre ce qui va se passer, ou peut-être n'en prend-t-elle pas conscience. Le regard dans le vide, elle se lève quand elle y est invitée.<br />
Le directeur s'approche d'elle et baisse son collant jusqu'à ses chevilles.<br />
<br />
- On va laisser vos collants ici...<br />
<br />
Il lui enlève complètement et les laisse sur son bureau.<br />
<br />
- Remettez vos chaussures et suivez nous !<br />
<br />
Caroline obéit, toujours aussi perdue. Ce n'est que sur le trajet qu'elle s'effondre en sanglots réalisant ce qui va se passer. Lorsqu'ils arrivent dans le réfectoire elle est en larmes, tout le monde s'arrête de parler quand ils entrent. Le directeur la saisit par le bras sous l'aisselle et la mêne jusqu'à une table vide au centre. Il la bascule dessus, ses pieds ne touchent plus le sol, elle est presque allongée sur la table. Il baisse aussitôt sa culotte et finit par lui enlever complètement.<br />
Ses fesses portent encore la rougeur de sa précédente fessée.<br />
La première claque résonne dans le réfectoire, Caroline tend ses jambes sous la douleur et attrape le bord de la table. Le directeur continue la fessée, il claque une fesse puis l'autre, sans s'arrêter. Ses fesses rougissent de plus en plus, Caroline grimace, des larmes tombent au sol, elle sert les dents pour éviter de crier. Le directeur s'arrête d'un coup et tire une chaise de sous la table.<br />
<br />
- Debout !<br />
<br />
Caroline glisse sur la table, elle fait attention à garder ses jambes serrées. Elle se couvre avec ses deux mains, alors que le directeur l'écarte de la table. Elle ne peux s'empêcher cette fois-ci de crier lorsqu'il lui détache son soutien-gorge et vient lui libérer ses seins.<br />
Le directeur s'assoit sur la chaise et bascule Caroline sur ses genoux. il la positionne pour commencer la fessée, les fesses relevées, sa tête touche presque le sol. La fessée reprend. Les claques arrivent sur ses fesses à un rythmes très rapide. Caroline glisse sur les genoux, la position n'est pas très confortable. Elle doit se tenir pour ne pas tomber au sol. Ses seins se balancent au rythmes des claques. Elle en reçoit une vingtaines ainsi, avant que le directeur n'arrête brusquement. Le silence n'est troublé que par les sanglots de Caroline qui peine à se relever.<br />
Elle se calme peu à peu en se frottant les fesses et retrouve ses esprits. Elle sèche ses larmes, puis cache pudiquement son sexe, mais son attitude démontre qu'elle a compris qu'elle n'a plus rien à cacher.<br />
<br />
- Montez sur la table, mettez-vous à genoux dessus !<br />
<br />
- Bien droite et les mains posées sur votre tête !<br />
<br />
Tête baissée, Caroline s'exécute se dévoilant complètement. Sa poitrine qu'elle trouve trop grosse et qu'elle tente désespérément de cacher d'habitude est maintenant à la vue de tous. Ses fesses, bien marquées, lui chauffent sans qu'elle puisse y toucher. Quant à devant, bien qu'elle soit brune, ses poils parsemés ne suffisent pas à cacher sa fente qui remonte malgré ses jambes serrées.<br />
<br />
Elle reste ainsi plus d'une demi heure. Les élèves se lèvent, et portent leurs plateaux, si bien que tous peuvent la voir de tous les côtés.<br />
<br />
Le directeur revient lorsque la salle est presque vide. Il ramasse sa culotte et son soutien-gorge qui étaient restés par terre et lui demande de descendre.<br />
<br />
- Venez et gardez vos mains sur votre tête !<br />
<br />
Caroline le suit en comprenant qu'elle ne pourra pas remettre sa culotte avant de partir. Elle sort dehors avec seulement ses chaussures. Elle frissonne à cause du froid et sent ses tétons se durcir. Elle traverse la cour sous le regard amusés de quelques élèves avant d'entrer dans le bâtiment de l'administration.<br />
Le directeur demande à sa secrétaire si tout le monde est bien arrivés. Caroline ne comprend pas, mais elle lui répond qu'ils attendent dans son bureau.<br />
Lorsqu'il ouvre la porte, Caroline reconnait deux élèves de première année qui s'était battu la veille. Ils étaient accompagné de leurs parents, sans doute convoqués.<br />
Le directeur dit bonjour, et présente aussitôt Caroline qui n'a pas résisté à mettre une main devant son sexe et un bras devant sa poitrine. La honte l'envahit quand elle reconnait le père d'un des deux garçons. C'est un ouvrier de son père qu'elle croise régulièrement.<br />
<br />
Le directeur la retourne pour faire constater la rougeur de ses fesses.<br />
<br />
- Voilà ce qui arrive lorsque l'ont dépassé les bornes ici. Caroline vient d'être fessée, dans le réfectoire devant tout le monde ! Que cela vous serve de leçon à tout les deux. Caroline va rester là pendant notre entretien pour que vous preniez pleinement conscience de ce que vous risquez.<br />
<br />
- Mettez vous là ! A côté du bureau et les mains sur la tête.<br />
<br />
Pendant tout l'entretien, Caroline reste ainsi à la vue de tous. Honteuse, en pensant que toute l'entreprise sera au courant que la fille du patron a été punie, et qu'ils auraient les détails de sa punition.<br />
<br />
L'entretien se termine enfin pour Caroline. Le directeur accompagne les élèves et leurs parents. Caroline perçoit un léger sourire sur les lèvres de l'ouvrier de son père qui lui rend les yeux humides. Elle n'a pas bougé lorsque le directeur revient. Il lui montre ses vêtements sur son bureau et l'aurores à les remettre. Caroline se précipite dessus et commence à se rhabiller à la hâte.<br />
<br />
- Votre punition est maintenant levée, mais je vous garde à l'oeil ! Au moindre écart, il n'y aura pas d'avertissement. Ce sera au réfectoire toute nue et fessée !<br />
<br />
Consciente de ce qu'elle risque, Caroline referme sa veste et dit au directeur qu'elle a bien compris la leçon, puis sort du bureau.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-60574714971602371632019-10-18T12:55:00.001+02:002019-10-18T12:55:10.248+02:00la gazette 6Le lendemain matin, Caroline arrive un peu plus tôt pour se rendre dans le bureau du directeur. Comme prévu, il lui fait retirer son haut et sa jupe. Caroline le fait, tandis que le directeur rougit de colère.<br />
Sous son haut elle a mis une brassière en coton et sous sa jupe un collant opaque qui ressemble plus à un leggings. Elle ressemble plus à quelqu'un qui va faire du sport qu'à une élève punie en sous-vêtements.<br />
<br />
- Vous vous moquez de moi Caroline ?<br />
<br />
Le directeur se rue sur Caroline, sans qu'elle n'ait le temps de bouger.<br />
<br />
- ça c'est pour vous apprendre à vous vous manquer de moi...<br />
<br />
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le directeur s'assoit sur une chaise et bascule Caroline sur ses genoux. Sa culotte et son collant lui sont descendu d'un coup, ensemble. Et les claques arrivent sur ses fesses avec une cadence infernale. Cette fessée n'a rien à voir avec celle que le directeur lui a donné précédemment. Les claques sont plus dures, elles lui arrachent les larmes dès le début. En à peine une minute, Caroline doit encaisser une centaine de claques. Ses fesses et la haut de ses cuisses sont bien rouge, elle se les frotte en se relevant tout en sautant d'un pied sur l'autre, sans se soucier de sa culotte baissée.<br />
<br />
Le directeur ne lui laisse pas le temps de s'en remettre, il lui attrape l'oreille et la dirige vers la sortie alors qu'elle est encore secouée par les sanglots. Caroline suit le directeur qui l'emmène d'un pas décidé. Tout en marchant, elle essaie de se libérer du bras du directeur qui lui tient toujours l'oreille, et remonte tant bien que mal sa culotte. Il l'emmène ainsi jusqu'au préau, quelques élèves sont déjà là, mais la majorité va arriver dans quelques minutes.<br />
<br />
- Mettez vous face au mur jusqu'à la sonnerie !<br />
<br />
Cette fois-ci, Caroline n'a pas le choix d'être beaucoup plus visible que le coin qu'elle avait choisi la veille. Le directeur lui prend les poignets et lui plaque ses deux mains au dessus de sa tête.<br />
<br />
- Non... non pas ça s'il vous plait !!!<br />
<br />
Le cri de désespoir de Caroline alerte les élèves qui ne l'avaient pas encore vu, mais n'attendris pas le directeur. Il baisse dans un premier ses collants puis sa culotte. Il s'applique pour que les deux soient complètement descendus sur ses chevilles.<br />
<br />
- Voilà ! Fesses à l'air devant tout le monde ! Se sera votre position et votre tenue pendant les pauses aujourd'hui. Je veux que vous veniez ici et que vous baissiez votre culotte à chaque fois ainsi, c'est bien compris ??<br />
<br />
Alors que le directeur s'éloigne, certains élèves se rapprochent de Caroline. Elle se rapproche du mur et essaye de faire abstraction des gens qui sont derrière elle.<br />
Dès que la sonnerie retentit, elle remonte à la hâte sa culotte et se dirige vers son cours.<br />
<br />
A la pause, elle n'est pas pressée de retourner sous le préau, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle s'y rend péniblement, et en arrivant elle se dit que finalement, elle aurait du se dépêcher vu le monde déjà présent. Elle retourne jusqu'à sa place en se demandant si elle sera capable de se déculotter devant tout le monde. Mais à peine arrivée, elle descend ses collants et sa culotte sous ses fesses et pose ses mains au dessus de sa tête, en priant pour que les vingt minutes passent le plus vote possible.<br />
Certains constatent que ses fesses sont beaucoup moins rouge que le matin, ce qui lui vaut des commentaires du style : il lui faudrait une autre fessée, pour que ses fesses retrouvent leur couleur...<br />
<br />
Le midi alors qu'elle est seule à sa table, le directeur vient la voir :<br />
<br />
- Lorsque vous aurez terminé votre repas, vous viendrez me voir...<br />
<br />
Caroline se demande ce qu'il lui veut encore, mais doit se résoudre à le retrouver à sa table après son dessert.<br />
Il se lève quand il la voit arriver, et prend un tabouret, qu'il met au bord de l'estrade qui surplombe la salle de restaurant des élèves.<br />
<br />
Mettez-vous à genoux dessus ! Les fesses tournées vers vos camarades.<br />
<br />
Caroline s'agenouille sur le tabouret, ses pieds étant dans le vide, elle sait que cette position sera très inconfortable pour elle. Et elle sait aussi qu'elle devra y rester jusqu'à la reprise des cours dans presque une heure. Sans que le directeur ne lui dise, elle pose toute seule ses mains au dessus de sa tête, comme si cette position était maintenant naturelle. Face à elle, il y a la table des professeurs. Elle baisse les yeux après avoir croisé le regard de son prof de Maths.<br />
Le directeur ajuste sa position, pour qu'elle soit bien droite en appuyant sur son dos et en tirant en arrière ses épaules.<br />
Caroline ferme les yeux ce qui n'empêche pas ses larmes de s'échapper, quand elle sent les pouces du directeur s'insérer sous l'élastique de son collant. Il lui baisse jusqu'en bas des cuisses, sa culotte suis le même chemin aussitôt, et elle se retrouve le bas du ventre nu face aux professeurs.<br />
<br />
Elle doit rester ainsi sans bouger, le temps lui parait interminable, elle n'a de réconfort que de sa prof de sport, qui lui souhaite bon courage en passant à côté d'elle après avoir quitter la table. Les autres ont l'air satisfait de sa punition.<br />
<br />
A la fin de la journée, elle retrouve le directeur dans son bureau pour remettre ses vêtements.<br />
<br />
- Vu votre tenue d'aujourd'hui, vous aurez une journée supplémentaire de punition demain. J'attends de vous une tenue plus adaptée à votre punition ! Une tenue qui me fera prendre conscience que vous avez compris pourquoi vous êtes punie et que vous l'acceptez...<br />
A demain, 8H !<br />
<br />
Caroline quitte le bureau tout en sachant qu'une autre longue journée l'attend le lendemain.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com23tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-49411267703057575182019-10-10T10:44:00.001+02:002019-10-10T14:37:19.618+02:00La gazette 5Dès que la première claques s'abat sur ses fesses Caroline et les élèves comprennent que le professeur ne va pas retenir sa main. Le bruit résonne dans la classe. Au bout de la troisième claque Caroline crie, elle a du mal à tenir en place. Elle plie les genoux entre chaque claque, puis essaye tant bien que mal de se remettre en position pour la prochaine. Le professeur prend son temps pour appliquer les claques. Ses fesses sont bien rouge autours de sa culotte.<br />
Lorsqu'il arrête Caroline est en sanglots. Elle se redresse doucement, alors que le prof autorise les élèves à sortir de la classe. Personne n'est pressé de partir, la classe met du temps à se vider. Caroline renifle, ses mains cachent son visage. Le prof referme la porte après le dernier élève et revient vers la chaise pour s'assoir dessus.<br />
<br />
- Tu as de la chance que je ne t'ai pas baissé ta culotte devant tout le monde ! Tu le méritais amplement !<br />
<br />
Il attrape Caroline par le bras et la force à se mettre sur ses genoux. Il lui donne une claque par dessus sa culotte ce qui la fait sursauter. Puis il glisse l'élastique sous ses fesses, il y a une différence de couleur entre la partie protégée par sa culotte et le reste de ses fesses.<br />
Le prof s'applique à uniformiser sur toute la surface, il lui bloque les mains dans le dos et lui donne la fessée. Beaucoup plus rapide que précédemment, mais avec autant de vigueur. Caroline crie, se débat sans pouvoir s'échapper, ses fesses lui brulent mais elle ne peut éviter la déferlante. Elle reçoit une cinquantaine de claques en peu de temps. Ses jambes la tiennent à peine lorsque le professeur la relève. Il lui fait demi tour pour constater la rougeur, Caroline ne peut s'arrêter de pleurer. Il descend sa culotte plus bas à mi cuisses.<br />
<br />
- Va au coin, mains sur la tête pour te reprendre !<br />
<br />
Elle reste au coin quelques minutes, le temps de s'arrêter de pleurer, elle a l'interdiction de se frotter les fesses malgré les picotements.<br />
<br />
- Remonte ta culotte, mais laisse tes collants comme ça ! Je vais te conduire à la cantine et je ne veux pas que ton collant cache tes fesses rouge. Tout le monde doit voir que tu as reçu une bonne fessée.<br />
<br />
Le prof l'emmène jusqu'à la cantine, avant d'entrer, il réajuste son collant. Il l'enroule juste sous sa culotte. Caroline ne peut contenir ses larmes en entrant. Elle sait que toute la journée, elle devra affronter les regards sur elle comme ceux qu'elle a en ce moment...<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-55770784298025055332019-10-08T22:04:00.000+02:002019-10-08T22:04:06.649+02:00La gazette 4A chaque passage de porte, Caroline appréhende. Quelqu'un pourrait se trouvait derrière. Plus ils s'approchent de sa salle de classe, plus son coeur s'affole. Arrivés devant la porte Caroline le retient d'ouvrir.<br />
<br />
- S'il vous plait, je vous en prie... Ne me faites pas entrer !!<br />
<br />
- Mais je n'ai pas le choix Caroline... Et puis il faut assumer vos actes. Et rappelez vous de ce que vous a dit le directeur. A votre place je ferais ce qu'on me demande sans discuter, sinon ce sera pire pour vous.<br />
<br />
Le surveillant s'apprête à enclencher la porte.<br />
<br />
- Souvenez-vous de ce que le directeur vous a dit. J'imagine que vous ne souhaitez pas vous promener les fesses à l'air...<br />
<br />
Il ouvre la porte, tout le monde se lève lorsqu'il entre.<br />
<br />
- Caroline, allez vous assoir à votre place.<br />
<br />
Caroline entre rouge de honte, elle ne peut retenir ses larmes en passant dans les rangs. Tous sont surpris de la voir ainsi. Quelques sourires s'affichent sur les lèvres des garçons, certaines filles paraissent choquées. Caroline se cache le visage après s'être assise à sa place. le surveillant échange quelques mots avec la prof et sort de la classe. Le cours reprend presque normalement, même si les regards se dirigent souvent vers Caroline.<br />
<br />
A la fin du cours, Caroline n'est pas pressée de sortir, elle rassemble ses affaires et sort quand la classe est vide. Mais dans le couloir il y a du monde, certains sont même restés à attendre. Elle passe en regardant le sol, sans prêter attention aux commentaires et en essayant de ne pas avoir de réaction lorsque qu'une mains effleure ses fesses. Elle croise le surveillant qui lui rappelle d'aller sous le préau. Comme si elle aurait pu oublier. Elle s'y rend en priant pour que la pause passe le plus vite possible.<br />
Elle choisit le coin le plus à l'abris des regards, entre deux armoires de casiers et s'y installe comme le directeur lui a dit.<br />
A la sonnerie elle se lève, pour retourner en cours, ses yeux sont embuées par ce qu'elle a entendu derrière elle. <br />
<br />
Elle sait qu'elle va devoir affronter le prof de Maths, pendant deux heures. Elle se demande comment il va réagir maintenant qu'il sait que c'est elle qui a écrit ça. Elle a honte d'elle même. En montant les escalier, elle constate que le prof de Maths est accompagné du directeur et il se dirigent vers la classe.<br />
Caroline entre et commence à se diriger vers sa place.<br />
<br />
- Caroline ! Venez ici !<br />
<br />
Elle se retourne le coeur battant et va les rejoindre sur l'estrade. le directeur attend patiemment que tout le monde s'installe et que le silence se face. Puis sans rien dire, il ouvre le tableau. Caroline le regarde et ses joues s'empourprent quand elle voit ce qu'il y a d'écris dessus.<br />
<br />
- Voilà ce que votre chère camarade a écrit sur votre professeur de Mathématiques...<br />
- Caroline, lisez votre ouvre à haute voix !<br />
<br />
Caroline commence à lire timidement.<br />
<br />
- Plus fort !!<br />
<br />
Elle hausse la voix, et au fur et à mesure de sa lecture, elle a de plus en plus de mal à lire. Elle finit son récit en larmes.<br />
<br />
- Oui, vous pouvez être fière de vous Mademoiselle... Effacez vos cochonneries !!!<br />
<br />
Tandis qu'elle s'empresse de passer l'éponge sur le tableau, le directeur va chercher une chaise qu'il installe au centre de l'estrade face au tableau.<br />
<br />
C'est ici que vous suivrez le cours ! Votre professeur s'occupera de vous à la fin du cours pour l'avoir offensé...<br />
<br />
Le prof accompagne le directeur et referme la porte sèchement derrière lui.<br />
<br />
- Asseyez-vous, Caroline !<br />
<br />
Le ton est sans appel, Caroline s'assoit sur sa chaise. Tout le monde comprend que le prof n'est pas d'humeur.<br />
<br />
- Bien droite !<br />
<br />
Caroline se redresse visiblement assez impressionnée par l'attitude du prof.<br />
<br />
- Pose tes deux mains au dessus de ta tête !!<br />
<br />
Caroline hésite un cours instant et fait ce que le prof lui impose. Elle se sent rougir d'être ainsi devant tout le monde, heureusement personne ne la voit de face et elle ne peut voir personne ce qui lui va bien.<br />
<br />
- Je te préviens que si tu bouges d'un millimètre, tu auras affaire à moi !!!<br />
<br />
Le ton est sans appel, pendant tout le cours Caroline reste bien droite et ne bouge pas. Le cours lui parait interminable, ses bras la font souffrir, elle a mal au dos mais elle résiste le plus possible. Le prof termine la correction d'un exercice et arrête son cours dix minutes avant la fin.<br />
<br />
- Vous pouvez tous ranger vos affaires, le cours est terminé pour aujourd'hui, mais restez à vos places. Toi Caroline debout ! Et garde tes mains sur ta tête.<br />
<br />
Caroline se lève sans se retourner.<br />
<br />
-Vu ton attitude à mon égard, le directeur m'a laissé le soin de te punir !! Passe derrière la chaise...<br />
<br />
Tandis que Caroline recule à petits pas pour se mettre derrière le dossier de la chaise, le prof continue :<br />
<br />
- Le directeur m'a dit que tu as déjà reçu une fessée ce matin, c'est bien ça Caroline ?<br />
<br />
Au comble de la honte Caroline doit avouer qu'elle a bien été punie ainsi.<br />
<br />
- J'ai trouvé que c'était une excellente punition et je vais t'en donner une autre maintenant ! Voilà ce qui va se passer, la première sera sur ta culotte devant tes camarades et quand tout le monde sera sorti, je vais t'en donner une deuxième sur tes fesses nues, pour que tu la sentes bien passer !<br />
<br />
Caroline fond en larmes alors que la classe réalise petit à petit ce qui va se passer. Des chuchotement s'élèvent, des sourires s'échangent, certains élèves restent perplexe ne réalisant pas complètement.<br />
<br />
- Baisse tes collants Caroline !<br />
<br />
Sans réfléchir d'avantage, elle passe l'élastique de ses collants sous ses fesses alors que le prof s'approche d'elle. Il lui baisse d'avantage pour qu'il arrive au niveau de ses genoux.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-65714221970994252019-09-23T13:45:00.000+02:002019-10-04T12:11:48.615+02:00La gazette 3Un frisson parcours le corps de Caroline lorsqu'elle sort dehors. Le froid lui rappelle que sa tenue n'est pas adaptée. Les élèves ne sont pas encore arrivés, mais ils ne devraient pas tarder. Elle court jusqu'à l'entrée du bâtiment en espérant ne croiser personne, et se réfugie dans les toilettes. Elle ferme la porte et se recroqueville sur elle-même, en pleurant toute les larmes de son corps.<br />
Peu à peu, elle entend la cour se remplir, puis la cloche signifiant le début des cours retentir. Mais elle est incapable de sortir, elle sait qu'elle ne pourra pas rester là indéfiniment, cependant elle n'a pas le courage de passer la porte pour le moment. Elle hésite à retourner voir le proviseur pour le supplier. Par trois fois elle sort des toilettes et revient finalement s'enfermer sachant qu'il ne voudra rien savoir.<br />
La première heure de cours se passe et la cloche sonne à nouveau sans que Caroline n'est bougé.<br />
<br />
De son côté, le proviseur est informé de l'absence de Caroline par le surveillant :<br />
<br />
- Elle est forcément dans l'établissement ! En sous-vêtements elle ne va pas aller bien loin ! Je dois m'absenter un moment, mais trouvez là et faites la venir ici. Je m'occuperez d'elle à mon retour...<br />
<br />
Les surveillant quitte son bureau et commence immédiatement ses recherches. Il ouvre toutes les réserves, les placards et termine par les toilettes.<br />
<br />
Caroline sursaute quand la clanche de la porte s'abaisse d'un coup, ça frappe à la porte, elle reconnait la voix du surveillant :<br />
<br />
- Qui est là ?<br />
<br />
Caroline n'ose répondre.<br />
<br />
- Caroline, je sais que c'est vous. Ouvrez ! Vous ne pourrez pas rester cachée toute la journée... Et Monsieur le proviseur est déjà assez remonté comme ça à cause de votre absence en cours de ce matin !<br />
<br />
N'ayant d'autre choix, Caroline déverrouille la porte et l'ouvre. Son regards ne croise pas celui du surveillant.<br />
<br />
- Vous vous êtes mis dans de beaux draps, et vous n'arrangez pas votre cas... Venez je vais vous conduire dans le bureau du directeur.<br />
<br />
Caroline ne sait pas depuis combien de temps elle est là, mais ça lui parait une éternité. Ses genoux lui font mal. Le surveillant l'a mise ici, face au mur, à genoux, les mains au dessus de la tête. Il lui a dit de ne pas bouger jusqu'à ce que le directeur revienne. A plusieurs reprise, elle se lève et détend ses bras, puis elle se remet rapidement en position de peur que le directeur ne rentre d'un coup.<br />
<br />
Finalement elle entend le directeur parler avec le surveillant avant qu'ils n'entrent. Les battements de son coeur s'accélèrent quand la porte s'ouvre brusquement.<br />
<br />
- Je vous préviens Caroline, si je dois une nouvelle fois vous reprocher quoi que ce soit durant votre période de punition, c'est sans votre culotte que vous assisterez aux cours !!!!<br />
<br />
Le directeur ne laisse pas le temps à Caroline de digérer ce qu'il vient de lui annoncer.<br />
<br />
- Levez-vous et venez ici ! Avez-vous déjà reçu une fessée Caroline ?<br />
<br />
Caroline se lève accusant le coup, elle se retourne toujours aussi gênée.<br />
<br />
- Je vous ai posé une question Caroline ?<br />
<br />
Elle secoue la tête incapable de prononcer le moindre mot.<br />
<br />
- Très bien, nous allons remédier à ça tout de suite. Je pense que vous auriez du en recevoir plus tôt !<br />
<br />
Le directeur vient la chercher et la tire par le bras pour lui faire faire les deux derniers mètres qui la sépare de son bureau.<br />
<br />
- Courbez-vous sur mon bureau bras tendus !<br />
<br />
Puis il s'adresse au surveillant :<br />
<br />
- Allez lui tenir les mains qu'elle ne bouge pas !<br />
<br />
Le surveillant fait le tour du bureau et maintient Caroline par les poignets. Il lit la panique dans ces yeux et voit des larmes couler sur ses joues. Elle ferme les yeux quand la première claque arrive. Elle serre les dents pour ne pas crier, le surveillant comprend à ses grimaces que le directeur ne retient pas ses claques. Elle pleure, le surveillant ne lui tient plus les poignets car c'est maintenant Caroline qui s'agrippe sans s'en rendre compte à ses bras.<br />
<br />
Le directeur claque la partie de ses fesses qui n'est recouverte uniquement de son collant. Elles deviennent bien rouge à travers. Lorsqu'il s'arrête Caroline s'effondre sur le bureau et éclate en sanglots.<br />
<br />
- Conduisez la jusqu'à son cours !<br />
<br />
Le surveillant aide Caroline à se lever, alors qu'elle tente de se calmer et de recouvrer ses esprits.<br />
<br />
- Souvenez-vous Caroline de ce que je vous ai promis si je dois encore vous reprendre...<br />
<br />
Caroline et le surveillant sortent du bureau, en direction de sa salle de classe.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-17797560257847632212019-09-03T09:40:00.000+02:002019-09-03T09:40:10.176+02:00La gazette 2La nuit de Caroline fut particulièrement agitée. Elle s'en voulait d'avoir été aussi odieuse avec son professeur de Mathématiques. Bien que celui-ci soit aussi sévère et antipathique, elle n'aurait jamais du parler de lui ainsi. Elle se dit qu'elle mérite bien ce qui lui arrive. Pourtant en passant les portes de l'établissement, elle a la boule au ventre. Le lycée est encore vide, seul le directeur est arrivé, elle voit que la lumière de son bureau est allumée. La porte est ouverte, elle s'approche à petits pas pour signifier sa présence. L'accueil est glacial, ce qui ne la rassure pas.<br />
<br />
Le proviseur s'approche d'elle d'un pas décidé, elle croit un instant qu'elle va recevoir un gifle, mais il la prend par la veste au niveau de l'épaule pour l'emmener jusque devant son bureau.<br />
Décontenancée, Caroline remet sa veste correctement, ses jambes tremblent elle s'assoit sur la chaise.<br />
<br />
- Restez debout ! Et enlevez-moi cette veste !<br />
<br />
Caroline se lève aussitôt, elle retire sa veste sans comprendre, le proviseur lui arrache des mains et pointe du doigt l'écusson de l'établissement brodé dessus.<br />
<br />
- Vous n'êtes pas digne de porter cette veste !<br />
<br />
- A partir de maintenant et jusqu'à ce que je le décide, vous êtes punie. Le soir après les cours, vous aurez 2 heures de colle, ici dans mon bureau. Vous en profiterez pour travailler sur vos leçons et faire un exposé sur la tolérance que vous présenterez vous-même à l'ensemble des élèves.<br />
<br />
Caroline savait qu'elle allait être sanctionnée et accepte la punition le plus poliment possible.<br />
<br />
- Ce n'est pas tout, dans la journée vous profiterez de vos temps libres pour méditer sur vos actes et les conséquences que cela implique. Pendant les pauses, vous resterez sous le préau, le midi, vous mangerez seule à une table et les heures ou vous n'aurez pas de cours, vous irez dans la salle de permanence.<br />
<br />
Elle se demande combien de temps va durer cette punition. Le fait de manger seule à une table à la cantine et rester isolée pendant les pauses l'inquiète par rapport à ce que vont penser les autres. Caroline est assez discrète et le fait d'être mise en avant ainsi ne lui plait pas. Le proviseur continue :<br />
<br />
- Lorsque vous serez sous le préau, ainsi que dans la salle de permanence, vous irez vous placer face au mur. Vous vous y mettrez à genoux et poserez vos mains au dessus de votre tête. Et ce du début à la fin de la séance.<br />
<br />
Caroline relève la tête en se demandant si le proviseur est sérieux. Vu son visage remplit de colère, elle comprend rapidement qu'il ne plaisante pas. Elle ne s'imagine pas rester ainsi :<br />
<br />
- Monsieur... Je ne vais pas me mettre à genoux devant tout le monde !!!<br />
<br />
Le proviseur reste impassible.<br />
<br />
- Bien sur que si. Je tiens à ce que vous vous souveniez de cette punition. Et le fait que tout le monde vous voit punie fait intégralement parti de cette punition. Elle n'en sera que plus sévère pour vous et pour les autres cela servira d'exemple.<br />
<br />
Caroline se sent mal, elle sait que le proviseur ne reviendra pas sur sa punition.<br />
<br />
- Il y a un écusson sur votre jupe et sur votre polo ?<br />
<br />
Sans s'en rendre compte, Caroline passe la main sur l'écusson de son polo sans répondre.<br />
<br />
- ça vaut aussi pour ses vêtements Enlevez-les !<br />
<br />
Après un moment de stupéfaction, Caroline refuse. La gifle qu'elle croyait recevoir en entrant arrive sur sa joue sans qu'elle ne la voit venir. Elle se tient la joue et lève ses yeux embués vers le proviseur. Sa main est levée comme pour lui en donner une deuxième.<br />
<br />
- Enlevez votre jupe et votre polo !<br />
<br />
Caroline pleure cette fois-ci, elle n'arrive pas à le faire. La main du proviseur s'abat sur la même joue. Son visage est rouge, et ça lui chauffe.<br />
<br />
- Vous en voulez une troisième ? Dépêchez-vous !<br />
<br />
Caroline défait la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pied et déboutonne son polo. Pendant qu'elle l'enlève le proviseur ramasse sa jupe et lui prend ensuite son polo. Elle croise ses bras sur ses épaules et baisse la tête.<br />
<br />
- Voilà votre tenue pour la durée de votre punition ! Vous viendrez me donner vos vêtements tous les matins et les reprendrez avant de partir le soir.<br />
<br />
Caroline fond en sanglots, tandis que le proviseur va ouvrir la porte.<br />
<br />
- Allez en cours maintenant !<br />
<br />
Caroline sort du bureau à petits pas, ses bras cachent toujours sa poitrine. Elle s'apprête à devoir sortir avec juste cet ensemble soutif et culotte blanche simplement recouverte de son collant transparent.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-3603391216874928472019-09-02T15:20:00.000+02:002019-09-02T15:20:52.639+02:00La gazetteCaroline est arrivée dans cette nouvelle école privée suite au déménagement de ses parents. Elle ne connaissait personne et ses débuts ont été compliqué. D'autant plus qu'elle n'était pas habituée à la discipline qui règne dans cet établissement ainsi qu'à son caractère austère. Rien ne ressemblait à son ancien lycée public dans lequel elle était avant. Et la vie à la campagne était bien différente que dans une grande ville.<br />
<br />
Pour s'occuper et aussi pour remplir une action en vue de son examen de littérature, elle avait eu la possibilité de reprendre la gestion et l'écriture de la petite gazette de l'école. Un journal, dans lequel il y avait l'actualité de l'école et aussi quelques pages d'expression des élèves et des professeurs.<br />
<br />
Elle prenait plaisir à effectuer ce travail, tout se passa bien jusqu'à ce jour de janvier où le proviseur lui demande de le suivre dans son bureau. Elle s'installe face à lui, alors qu'il sort la gazette à la page des expressions, dont une était entourée en rouge.<br />
<br />
- Caroline, vous êtes une bonne élève, intelligente... votre gestion du journal était jusqu'à présent irréprochable ! Mais là... Comment avez-vous pu relayer de tels propos ?<br />
<br />
Caroline lit l'article en rougissant. Il s'agit d'un article anonyme relayant des propos irrespectueux et injurieux envers un prof de Mathématiques clairement cité. Celui-ci est d'origine étrangère, et l'article fait de plus état de propos raciste à son égard.<br />
<br />
Ce genre de propos est fortement combattus dans l'établissement, surtout durant cette année sous le signe de la tolérance. Caroline essaie de faire bonne figure :<br />
<br />
- Oui c'est intolérable. Je n'avais pas pris la mesure de cette article, j'aurais du le relire avec plus de concentration avant de le publier. Je tiens à vous présenter mes excuses et j'irai demander des excuses au professeur de Maths.<br />
<br />
Caroline est tellement convaincante que le proviseur lui pardonne son erreur.<br />
<br />
- Bon ! Veillez à bien tout vérifier dorénavant. Pouvez-vous me dire qui a écrit cet horreur ?<br />
<br />
Caroline croyez pouvoir s'en sortir avec des excuses, mais maintenant voilà qu'il cherche à en savoir plus.<br />
<br />
- Je... je ne sais plus du tout.<br />
<br />
- Je vous laisse retrouver, je veux absolument savoir qui est-ce ! Cherchez dans vos papiers, je veux voir l'écriture ou dans vos mail et redites moi ça demain. Vous pouvez retourner en cours.<br />
<br />
Caroline cherche une solution pour satisfaire la demande du proviseur, mais elle ne sait pas comment s'y prendre. Le lendemain matin, le proviseur l'interpelle dans la cours pour lui demander qui est-ce.<br />
<br />
Caroline lui répond un peu penaude :<br />
<br />
- J'ai chercher partout, je n'ai aucune trace de ce texte... Je pense qu'il était anonyme, et sans doute sur papier... parfois je garde des textes que je publie plus tard, si ça se trouve c'est assez vieux, je ne l'ai pas gardé quand je lai publié...<br />
<br />
Le proviseur parait déçu de la réponse de Caroline et repars en lui disant qu'elle vienne le voir si elle a du nouveau.<br />
<br />
Une semaine se passe et Caroline n'entend plus parler de cette histoire. Elle est rassurée que cet article soit enfin oublié, bien qu'il ait fait grand bruit dans l'établissement les deux premiers jours.<br />
Mais au détours d'un couloir le proviseur vient l'interpeller :<br />
<br />
- Caroline, j'imagine que vous n'avez pas avancé sur l'identité de cette personne, sinon vous seriez venue me voir ?<br />
- Non Monsieur, je suis désolée.<br />
- Ce n'est pas très grave, j'ai de fort soupçon sur cette personne, je pense même l'avoir trouvé.<br />
- Ah bon, vous savez qui c'est...<br />
- Oui mais je ne peux pas vous le dire tout de suite.<br />
- Le principal, c'est d'avoir trouvé le fautif afin que ça ne se reproduise plus...<br />
- Ne vous inquiétez pas pour ça, ça ne se produira plus ! Je le convoquerai bientôt, je veux juste lui laisser une dernière chance de venir me voir avec des explications cohérentes. S'il ne le fait pas, je serai intransigeant.<br />
<br />
Le proviseur continue en laissant Caroline à ses interrogations. Elle se demande qui il peut bien avoir en vu ? Que veut-il dire par dernière chance ? Elle se dit qu'il a l'air sur de lui quand il dit savoir qui sait... Ses questions se baladent toute la journée dans sa tête, si bien que le soir au lieu de sortir de l'établissement, elle se dirige vers le bureau du proviseur et frappe à sa porte :<br />
<br />
- Caroline !! Entrez, asseyez-vous...<br />
<br />
Caroline entre et s'assoit. Elle reste silencieuse, les yeux un peu embués. le proviseur vient s'appuyer sur son bureau face à elle, Caroline ne lève pas la tête.<br />
<br />
- Vous êtes venue me dire que vous n'avez jamais eu de texte de la part d'aucun élève...<br />
- Et que c'est vous même qui avez écrit ses propos ?<br />
Son silence ne contredit pas le proviseur, elle prend sa tête dans ses mains, des larmes coulent sur ses genoux.<br />
- Avez-vous quelque chose à dire pour vous justifier ?<br />
Incapable de parler, Caroline secoue la tête.<br />
- Bon, j'en déduis que c'était simplement pour insulter et dégrader l'image de votre professeur !<br />
- Sortez maintenant ! Et revenez ici demain matin à 8 H !!<br />
<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-21384114866802573112017-09-19T14:00:00.001+02:002017-09-19T15:27:22.488+02:00convoquée suite 2L'agent d'entretien ne se fait pas prier. Caroline sent sa main passer entre sa culotte et son collant au niveau de ses fesses. Il le baisse sous ses fesses et fais la même chose avec son string. Caroline regarde la porte face à elle, elle sait que n'importe qui peut entrer à tout moment. Elle tient l'avant de son string et son collant par réflexe tandis qu'elle doit se courber en avant pour être punie.<br />
<br />
Les claques de l'agent n'ont rien a voir avec celles du proviseur. En une dizaine de fessées, il réussit à mettre Caroline en pleurs et deux belles marques rouge sur ses fesses sont apparues. Le proviseur arrête lui même la fessée quand il voit la puissance des claques. Caroline se redresse et remonte ses vêtements aussitôt puis frotte ses fesses encore secouée par les sanglots.<br />
<br />
- Monsieur Ducros, pouvez-vous réparer cela dès demain ?<br />
<br />
Celui-ci lui répond qu'il a quelques matériaux à acheter, mais que cela est envisageable.<br />
Satisfait de sa réponse, il demande à Caroline si elle a une heure de libre dans ses cours le lendemain.<br />
Caroline doit répondre qu'elle n'a pas cours en première heure l'après-midi.<br />
<br />
- Très bien, vous viendrez donc aider Monsieur Ducros aux travaux. Prévoyez une veille culotte qui ne craint pas d'être abimée. Ce sera le seul vêtement que vous aurez le droit de porter pour faire les réparations.<br />
<br />
Trop occupée au moment présent, Caroline ne prends pas tout de suite conscience de ce que vient d'annoncer le proviseur. L'agent d'entretien, lui à très bien compris et dit qu'il sera à l'heure et prend congés.<br />
<br />
Caroline doit suivre le proviseur. Elle retrouve un peu ses esprits lorsqu'elle s'aperçoit qu'il son ressortis du dortoir. Sa jupe étant restée dans la chambre des garçons, elle doit traverser la cour en petite tenue. Il l'emmène jusqu'à l'infirmerie et la confie à l'infirmière. pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-68912061014772848202017-09-16T11:57:00.001+02:002017-09-16T11:57:44.462+02:00Convoquée (suite)Caroline reçoit une grosse fessée. Quand le proviseur la relève de ses genoux, elle tape du pied par terre et frotte vigoureusement ces fesses sans prêter attention à la situation ridicule qu'elle offre aux spectateurs. Ce n'est que quand le proviseur lui pose les mains sur les épaules et la met face aux garçons qu'elle reprend conscience de la situation dans laquelle elle est. Il passe devant elle et relève sa tête en lui tenant le menton.<br />
<br />
- Dite à ces messieurs pourquoi vous êtes punie Caroline ?<br />
<br />
Caroline se triture les doigts et baisse la tête ne sachant quoi répondre. Une claque lui arrive sur les fesses la faisant avancer d'un pas et le proviseur lui relève une nouvelle fois la tête.<br />
<br />
- Regardez vos camarades ! Et je veux une réponse claire et honnête...<br />
<br />
Caroline se dit que dans sa situation, il vaut mieux dire la vérité, et que le proviseur sera plus conciliant avec elle si elle est franche. Elle prend son courage à deux mains pour s'exprimer.<br />
<br />
- Je suis punie, car j'ai voulu venir dans votre dortoir cette nuit, alors que c'est interdit.<br />
<br />
Le proviseur veut lui faire avouer qu'elle est venue pour être avec un garçon et insiste pour qu'elle précise :<br />
<br />
- Et pourquoi vouliez-vous venir ?<br />
<br />
Une fois de plus Caroline se dit qu'elle gagnera à être parfaitement honnête et répond d'emblée :<br />
<br />
- Pour vous espionner sous la douche...<br />
<br />
Le proviseur tout comme les garçons sont stupéfaits des propos de Caroline. Le proviseur ne s'attendait pas à une telle réponse, il reste surpris un moment. Une fois la surprise passée, les garçons lèvent le ton, horrifiés par ce que Caroline vient d'avouer. Le proviseur leur demande de se taire et demande à Caroline combien de fois a-t-elle fait ça. Elle se retourne vers le proviseur et jure qu'elle l'avait fait qu'une fois auparavant. Puis se met à pleurer en demandant des excuses.<br />
<br />
- Donc si je comprends bien, vous êtes déjà venue voir ces garçons alors qu'ils étaient tout nu sous leurs douches... Mais comment avez-vous fait ?<br />
<br />
Caroline prend conscience de ce qu'elle vient d'avouer et répète qu'elle est désolée. Le proviseur lui redemande sévèrement comment elle a fait. Entre deux sanglots, elle arrive à bredouiller qu'il y a un local technique près des douches et que d'ici, grâce à un trou dans une cloison, elle peut voir les douches.<br />
<br />
Le proviseur prend Caroline par le bras pour qu'ils aillent constater cela immédiatement. Il demande à un élève d'aller chercher le gardien de l'établissement, celui-ci faisant aussi office d'agent d'entretien. Tous deux se dirigent vers les douches, tandis que les élèves dégoutés de l'attitude de Caroline discutent entres eux.<br />
<br />
Caroline doit attendre dans le couloir le temps que le proviseur fasse sortir les derniers élèves de la douche. Ceux-ci passent devant elle en commentant goguenard sa tenue, puis elle doit montrer au proviseur comment elle faisait. L'agent d'entretien arrive, Caroline rougit qu'il la découvre en petite tenue et cache l'avant de son string. Le proviseur constate son petit manège, mais n'y prête pas attention pour le moment. Il explique à l'agent d'entretien la situation et voit avec lui pour réparer de sorte que cela ne se reproduise plus. Puis il se tourne vers Caroline. Elle se sent toute petite, gênée d'être la cible de ces deux hommes, elle appréhende la suite.<br />
<br />
- Quant à elle, j'étais en train de la punir parce-qu'elle a été surprise dans le dortoir des garçons, mais je ne m'attendais pas qu'elle avoue que c'était pour faire sa voyeuse... Et maintenant, vous jouez votre timorée parce-que vous êtes en petites tenues...<br />
<br />
- Venez ici tout de suite !<br />
<br />
Caroline est obligée de faire les trois pas qui la sépare du proviseur est de l'agent d'entretien.<br />
<br />
- Tournez-vous !<br />
<br />
Elle doit montrer ses fesses à peine cachées.<br />
<br />
- Cela, ce sera pour avoir fait déplacer monsieur Ducros à cette heure si tardive...<br />
<br />
Après un moment de silence ou le coeur de Caroline s'emballe.<br />
<br />
- Monsieur Ducros, vous pouvez lui donner la fessée !<br />
<br />
Celui-ci ne se le fait pas répéter, il s'approche de Caroline malgré son refus. Le proviseur lui conseille d'obéir et que ça punition sera en conséquence de ses bêtises. Puis il s'adresse à l'agent :<br />
<br />
- Allez-y, elle mérite une grosse punition. Décullotez-là ! Baissez-lui complètement son string...<br />
<br />
<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-11824233941472415682017-09-11T14:07:00.000+02:002017-09-11T14:07:34.816+02:00ConvoquéeCaroline ne pouvait pas être en retard, elle n'a pas dormi de la nuit. Depuis que le surveillant l'a ramenée dans sa chambre, elle ne pensait qu'à cet instant. Convoquée chez le proviseur, elle ne pouvait pas s'imaginer que ça lui arriverai.<br />
La secrétaire la fait entrer dans le bureau, elle doit l'attendre ici. Elle sait qu'il ne vaut mieux pas être convoquée dans ce bureau, il se murmure plein de choses concernant le proviseur et elle n'est pas rassurée.<br />
<br />
Elle se lève lorsqu'il entre, il la salue froidement et en vient aussitôt aux faits :<br />
- Expliquez-moi ce que vous faisiez hier soir dans l'internat des garçons, lorsqu'on vous a surprise ?<br />
<br />
Caroline baisse la tête et se triture les doigts.<br />
<br />
-Je voulez demander un renseignement à un copain concernant un cours...<br />
<br />
Le proviseur se lève d'un bond :<br />
- Et en plus, vous vous foutez de moi... Savez-vous que ces agissements sont sévèrement punis dans notre institution !<br />
Caroline reste silencieuse.<br />
- De plus, quand vous allez demander un renseignement, vous y allez en nuisette ! Vous allez me faire croire qu'il faut une tenue sexy pour ça...<br />
Le proviseur exagérait, bien qu'assez courte, Caroline portait une chemise de nuit, mais elle n'allait pas contredire le proviseur. Elle savait qu'elle avait tord et avait déjà trop honte pour ça.<br />
- Bon, j'ai d'autres cas à gérer, je reviendrais vers vous plus tard. En attendant, allez au coin derrière mon bureau...<br />
Le proviseur avait dit ça si naturellement, que Caroline en resta bouche bée, elle le regarda avec des yeux ronds :<br />
- Au coin ?<br />
- Oui parfaitement ! Au coin. Avez-vous l'intention de me désobéir ?<br />
Caroline fit non de la tête. Le proviseur lui dit de passer derrière son bureau et de se mettre à genoux devant la bibliothèque. Elle n'en revenait pas d'être ainsi, ridiculisée à son âge avec les mains sur la tête. Le proviseur lui imposes de rester bien droite et de ne surtout pas bouger.<br />
Le proviseur retourne à sa place et appui sur l'interphone :<br />
- Faites entrer le suivant...<br />
Caroline faillit s'étouffer en entendant cela, quelqu'un allez entrer dans le bureau et la découvrir comme ça... Le rouge lui monte aux joues. Pendant l'entretien elle n'a pas osé se retourner craignant la colère du proviseur et la honte d'être reconnue. C'était la matinée des convocations. Quatre personne sont passées dans le bureau, l'un pour absence en cours, un autre pour résultats scolaires très médiocres et les deux derniers pour s'être battus dans l'internat.<br />
A chaque fois le proviseur leur a dit de revenir à 9h30 pour leur sanction.<br />
Quand les deux derniers sont partis, le proviseur à repris ses occupations habituelles sans se préoccuper de Caroline. Ses genoux étaient en feu, elle avait mal aux bras et au dos mais ne pouvait pas se plaindre. Elle espérait juste que sa punition soit enfin levée.<br />
A 9H30, l'interphone sonna. La secrétaire annonçait que les quatre élèves étaient arrivés. Le proviseur lui dit qu'elle pouvait les faire entrer. Les quatre s'alignent devant le bureau, avec la mine déconfite, se demandant à quelle sauce ils vont être mangés.<br />
- Caroline levez-vous et allez rejoindre vos camarades !<br />
Elle se relève, et va rejoindre ses compagnons d'infortune avec la gêne de devoir affronter leur regards. Rouge de honte, elle y va tête baissée.<br />
Les deux premiers sont punis de quatre mercredi après midi de colle, l'un pour rattraper les cours, l'autre pour rattraper son retard. Les deux autres sont punis de travaux sur leurs heures libres pour l'entretien du bâtiment. Puis son regard se pose sur Caroline. Son coeur se met à battre à tout rompre :<br />
- Quant à vous mademoiselle, c'est autre chose, votre attitude est intolérable et incompatible avec notre établissement. Je me dois d'être particulièrement sévère avec vous afin que cela ne se reproduise plus. Pour commencer, ce que vous avez fait sera divulgué auprès de vos camarades ainsi que votre sanction, afin que tous en comprennent la gravité. De plus, ces jeunes gens en seront les témoins pour en faire la promotion au sein de l'établissement...<br />
Puis il s'adresse aux garçons :<br />
- Cette jeune femme s'est introduite dans votre internat soit pour rejoindre un garçon, ce qui est formellement interdit et inconvenant soit peut-être pour assouvir ses pulsions voyeuristes...<br />
Caroline relève la tête pour contredire le proviseur et ne pas le laisser la faire passer pour ce qu'elle n'est pas. Mais celui-ci, lui ordonne aussitôt de se taire.<br />
- Approchez-vous du bureau, Caroline. Et courbez-vous dessus !<br />
Caroline rougit jusqu'aux oreilles, tandis que les garçons après un moment de surprise affichent un sourire discret.<br />
- Dépêchez-vous je n'ai pas que cela à faire !<br />
Caroline s'approche du bureau et pose ses mains à plat dessus.<br />
- Je vous ai dit courbée sur le bureau...<br />
Le proviseur lui appuie sur la nuque pour qu'elle descende son torse. Lorsqu'elle se penche, elle passe pudiquement sa mains sur l'arrière de sa jupe pour vérifier que celle-ci lui cache bien les fesses, ce qui n'échappe pas au proviseur.<br />
- Les coudes posés sur le bureau et que je ne vous vois pas bouger...<br />
Lorsque Caroline est en place, il lui remonte l'arrière de sa jupe sur son dos. Il anticipe sa réaction en lui appuyant sur le dos pour ne pas qu'elle se relève.<br />
- Je vous ai dit de ne pas bouger !!<br />
Le proviseur et les garçons découvrent ce que Caroline porte sous sa jupe : un string noir, sous un collant couleur chair.<br />
- C'est un sous-vêtement bien léger que vous portez là, Mademoiselle ! N'avez-vous pas honte de porter ce genre de vêtement ?<br />
Caroline aurait voulu lui dire, que normalement ses sous-vêtements n'ont pas à être vu, et que c'est maintenant qu'elle a honte. Mais elle encaisse ses moqueries sans rien dire.<br />
Une première claque arrive sur ses fesses, elle laisse échapper un petit cri de surprise. Puis une deuxième plus sèche et plus rapide. Caroline serre les points c'est une véritable fessée qu'elle reçoit, la première de sa vie. Jamais elle n'aurait pensé en recevoir une un jour, surtout dans ces conditions là.<br />
Lorsqu'il arrête Caroline est essoufflée, le proviseur lui baisse sa jupe et l'invite à se relever. Quand elle se retourne, elle est écarlate. Elle baisse la tête, les larmes au bord des yeux.<br />
- Vous comprendrez, Caroline, que votre attitude mérite une punition exemplaire, vous venez d'en avoir une premier échantillon. Pour la deuxième partie de votre punition, nous allons nous rendre à l'internat des garçons puisque c'est là que vous avez fauté. Je vous attendrez devant à 21 heure. Le hasard décidera dans quelle chambre je vous conduirai.<br />
Caroline commence à comprendre, et ses yeux devienne de plus en plus humide.<br />
- Comme je vous ai dit, je veux une punition exemplaire, c'est pourquoi vous serez à nouveau fessée devant les garçons de cette chambre. Et ce soir ce sera une vraie fessée : je ne vous laisserai pas le luxe de garder votre collant ni même votre string!<br />
<br />
Du rouge, Caroline passe directement au blanc. Elle proteste après avoir pris conscience de sa future punition, une larme coule sur sa joue. Le proviseur met les cinq élèves dehors sans tenir compte des protestations de Caroline. Avant de fermer la porte, il lui conseille juste de ne pas être en retard.<br />
<br />
Caroline passe une journée horrible. Après ses cours, elle s'enferme dans sa chambre et ne se sent pas bien. Elle pense aller à l'infirmerie pour dire qu'elle est malade, mais elle sait que si l'infirmière ne constate rien, le proviseur lui en voudrait. Elle préfère ne pas s'y rendre. Après le diner alors que les autres filles prennent leurs douches et se préparent pour aller se coucher, elle sort de l'internat pour éviter de répondre aux questions qu'elles ne manqueraient pas de lui poser.<br />
A 21h20, elle décide de se rendre au pensionnat des garçons. Elle attend le proviseur devant la porte, elle a 5 minutes d'avance, son coeur bat à tout rompre. Lorsqu'elle le voit arriver, elle croit s'évanouir.<br />
- Choisissez un numéro entre un et huit ?<br />
Sans réfléchir Caroline sort le numéro cinq. C'est le numéro de la chambre dans laquelle elle va être conduite.<br />
<br />
Le proviseur entre dans la chambre sans frapper, Caroline reste dans le couloir, incapable d'aller plus loin. C'est une chambre de huit. Le proviseur explique aux garçons les raisons de sa présence, et tous affichent un sourire lorsqu'il annonce la punition de Caroline et tournent la tête vers l'embrasure de la porte. Caroline est blanche comme un linge. Le proviseur constate qu'il manque un garçons et les autres lui signifie qu'il est encore à la douche. Il désigne quelqu'un pour aller le chercher et invite Caroline à entrer. Lorsqu'il croise Caroline, un large sourire illumine son visage, et il se permet de lui faire un clin d'oeil explicite. Caroline aurait voulu lui flanquer une bonne gifle, mais elle doit détourner le regard. A petits pas et les yeux humides, elle se décide à s'approcher du proviseur. Elle constate que les deux garçons qui se sont battus, sont là et comprend qu'ils savent déjà qu'elle va être déculottée. Elle imagine aussi qu'ils ont du raconter ça à leurs compagnons de chambrée, même probablement à tout le pensionnat et cela la fait frissonner.<br />
<br />
Le proviseur installe une chaise au milieu de la chambre. Il demande aux garçons de venir s'assoir face à celle-ci. Tous se précipitent pour assister à la punition. Celui qui était à la douche revient accompagné de son camarade. Le proviseur leur demande de s'installer avec les autres. La porte est restée entre-ouverte, Caroline imagine qu'il va la fermer lorsqu'il se dirige vers elle, mais au lieu de ça, il l'ouvre en grand. Il explique que la punition de Caroline doit être exemplaire, il n'y a aucune raison pour que d'éventuels curieux n'y assistent pas. Puis il va vers les baies vitrées et ouvre les rideaux. La chambre étant au rez de chaussée, de nuit avec la lumière allumée, on peut voir tout ce qu'il se passe dans la chambre. Caroline le sait très bien car elle et ses copines s'amusaient parfois à regarder ce qu'il se passe dans les chambres des garçons. Lorsqu'il revient vers sa chaise, d'un ton très naturel, il ordonne à Caroline d'enlever sa jupe.<br />
Cette fois, c'est une larme qui coule sur la joue de Caroline. Les mains tremblantes, elle défait sa ceinture et descend la fermeture et sa jupe tombe à ses pieds. Le proviseur tend son bras pour qu'elle lui donne, puis il la lance un lit.<br />
<br />
- Venez ici ! Les mains posées à plat sur la chaise.<br />
<br />
Caroline a les fesses tournées vers les garçons, comme le matin. mais là, ce sont huit garçons qui sont derrière elle. Elle encaisse une première claque, puis une deuxième. les picotement dus à la première fessée, ne tardent pas à arriver. Elle reçoit la même fessée et finit dans le même état. Le proviseur la prend par le bras.<br />
<br />
- Vous avez cinq minutes pour vous reprendre, après je vous donne la suite...<br />
<br />
Il emmène Caroline face à la fenêtre, elle doit y rester debout, les mains sur la tête.<br />
Pendant ce temps, le proviseur en profite pour faire le tour des chambrées, laissant Caroline seule avec les garçons.<br />
Les commentaires fusent. Caroline essayent de ne pas les écouter et regarde dehors en espérant que personne ne passe. Mais les garçons sont crus et lui font peur pour la suite. ça l'agace profondément, surtout un des garçons particulièrement entreprenant, qui s'approche d'elle, en lui disant qu'elle va montrer ses petites fesses et même surement autre chose. Quand il est tout prêt, elle a peur qu'ils lui touche les fesses, à bout de nerf, elle se retourne et lui décroche une claque monumentale. Le garçon se tiens la joue, alors que le proviseur qui venait d'entrer traverse la chambre à toute vitesse. il attrape le garçon par l'épaule et lui recommande d'aller s'assoir. Puis il tire Caroline vers la chaise.<br />
Cette-fois ci, il s'assoit dessus et bascule Caroline sur ses genoux. Il lui donne une claque qui fait crier Caroline. Elle pose ses mains par terre, ses jambes sont en l'air et le proviseur ne fait rien pour améliorer sa position.<br />
<br />
- Et maintenant, vous vous permettez de frapper vos camarades !!<br />
<br />
Une autre claque aussi forte arrive sur ses fesses. Caroline tente d'interposer sa main, mais le proviseur lui attrape le poignet et lui emprisonne dans son dos. Une autre claque arrive et encore une autre. Caroline ne fait plus rien pour retenir ses cris. le proviseur frappe fort et malgré ses collants les fesses de Caroline commencent à rougir nettement.<br />
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<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-42336259263158139532017-05-10T23:03:00.001+02:002017-05-10T23:03:36.719+02:00InterpellationNous sommes à deux semaines des vacances de Noël et c'est l'effervescence dans le lycée en ce lundi matin. Le directeur est dans tous ses états : ce Week-end les élèves de dernière année sont rentrés d'un voyage en Allemagne et le bus a été contrôlé à la frontière. Des produits illicites ont été retrouvé dans les valises de quatre élève.<br />
Il sait que les autorités ont relâché les quatre filles concernées et a exigé qu'elles soient présentes ce matin. Dès leur arrivée dans l'établissement, elles sont conduites dans le bureau du directeur.<br />
La première heure de cours a été annulée, le directeur a convoqué le staff pour un conseil de discipline extraordinaire.<br />
<br />
Les quatre filles discutent entre-elles pour trouvé une solution pour se tirer de ce pétrin. Elles sursautent quand la porte s'ouvre brusquement. Le directeur entre en furie dans le bureau.<br />
<br />
- Vous quatre, venez avec moi ! Vous allez apprendre à quoi on s'expose lorsqu'on met la réputation de l'établissement à mal.<br />
<br />
Sans pouvoir se défendre, les filles sont conduites dans la salle du conseil de discipline. Les profs découvrent les identités des quatre punies. Par souci d'impartialité, le directeur n'avait pas donné leurs noms. Tous sont surpris, il s'agit de quatre copines studieuses avec lesquelles aucun prof n'a eu de problème. Elles avaient fait toutes leurs études dans l'établissement et elles n'avaient jamais du être punies.<br />
Le directeur demande si le vote concernant leur punition est terminé. Les profs baissent la tête, ils savent que plus rien ne pourra changer le cours de la punition, la décision prise par le conseil de discipline est ferme. Chacun sait que s'il avait su que c'était ces jeunes femmes de dernière année, il aurait été plus clément.<br />
Le directeur demande le rapport du conseil de discipline et en prend connaissance.<br />
Les quatre filles sont silencieuses craignant ce que va annoncer le directeur tout en le redoutant. Chacune cherche un moyen de se sortir de là, mais comment faire ? Même les douaniers ne les ont pas cru quand elles ont dit qu'elles étaient innocentes. Tout va contre elles. Il en est de même pour le directeur qui trouve leur comportement inadmissible.<br />
<br />
- Mesdemoiselles, la sanctions sera la même pour vous quatre ! Vous allez être exclues de l'établissement et ne pourrez pas passer votre examen de fin d'année. Cette sanction sera immédiate, dès la fin de la punition qui vous sera infligée !<br />
<br />
Le directeur laisse passer un long silence. Les filles se regardent interloquées.<br />
<br />
- Autrement dit, vous êtes virées dès cet après-midi, à la fin de votre punition qui a été décidée et qui commence dès maintenant.<br />
<br />
Les filles accusent le coup et deviennent pâle.<br />
<br />
- Le conseil de discipline a décidé de réunir tous les élèves de l'établissement dans la salle de réunion à 11H30...<br />
<br />
Emilie se tient à la table pour ne pas défaillir, le directeur n'a pas besoin d'en rajouter pour qu'elle comprenne. Déjà des larmes coulent sur les joues de Sophie. Quant à Sandra et Magalie, elles restent stoïques pour le moment.<br />
<br />
- Une punition de catégorie 3 vous sera infligé à chacune. La sanction maximale a été requise : 20 coups de strappe sur les fesses nues. Pour démontrer votre statut de punie, vous allez d'ores et déjà vous mettre en sous-vêtements. C'est ainsi que vous resterez durant les deux heures qui nous séparent de votre punition ! Allez-y, déshabillez-vous et confiez-nous vos vêtements confisqués.<br />
<br />
Sandra et Magali protestent, mais le directeur ne se gêne pas pour rappeler le règlement :<br />
<br />
- Bien sûr, si vous ne vous conformez pas au règlement, la punition sera alourdie...<br />
<br />
Cette mise en garde à pour effet de décider les filles. Non sans mal, elle commencent à se déshabiller.<br />
Emilie défait sa chemise et enlève son jeans pour se retrouver en sous-vêtement en coton blanc très sage. Sandra enlève sa jupe et son pull pour faire découvrir un ensemble string et soutien noir très sexy et des bas. Magalie fait tomber son short et reste en collant sur une culotte blanche et un soutien dépareillé bleu. Quand à Sophie, qui est sans doute la plus féminine de toute, elle enlève sa robe et se retrouve en body en dentelle assez transparente et en bas maintenus par les attaches de son body. La tenue de Sophie fait son effet, des chuchotements sont entendus dans le bureau.<br />
<br />
Le directeur accepte pour les trois filles concernées qu'elles gardent leurs bas ou leur collant.<br />
<br />
- C'est dans cette tenue que vous entrerez en salle de réunion. Vous passerez ensuite chacune votre tour pour votre sanction. A l'appel de votre nom, vous baisserez sans discuter votre culotte et viendrez vous placer pour la punition. Pour recevoir la strappe, vous vous courberez en avant en présentant vos fesses a l'assemblée.<br />
<br />
Il relève les yeux de sa feuille et s'adresse à Sophie.<br />
<br />
- Rien n'est prévu dans le règlement concernant votre tenue affriolante ! Avez-vous au moins des pressions qui permettraient de découvrir vos fesses ?<br />
<br />
Sophie sent tous les regards sur elle, elle sait que sa tenue est loin d'être adaptée à la situation. Si elle avait mis ça, c'était simplement pour faire plaisir à son copain. Elle se souvient qu'ils l'avaient acheté ensemble, et il avait choisit ce modèle justement parce-qu'il ne pouvait pas s'ouvrir en bas et ce délecterait de lui enlever.<br />
Le directeur comprend rapidement qu'il ne peut pas s'ouvrir.<br />
<br />
- De toutes façons, vu la transparence de votre sous-vêtement, ça ne changera pas grand chose... Vous retirerez votre body pour la fessée !<br />
<br />
Sophie enrage d'un coup. Elle n'est pas prête à subir une punition supplémentaire et le fait savoir. Le directeur considère l'argument et semble réfléchir en silence ce qui calme Sophie.<br />
<br />
- Vous avez raison, Sophie ! Il n'y a pas de raison de vous soyez punie plus sévèrement ! Vous enlèverez tout de même votre body pour la fessée, quant à vous trois, vous présenterez pour la fessée sans culotte comme prévu et pour avoir la même sanction vous laisserez vos soutiens-gorge aussi sur la table.<br />
<br />
Cette fois, personne n'est satisfait, les trois autres filles s'emportent à leur tour, mais le directeur n'est pas long à calmer leurs ardeurs :<br />
<br />
- Continuez comme ça et c'est sans culotte que vous ferez vos deux heures avant la punition, chez M. Duval !<br />
<br />
Le silence se fait d'un coup. M. Duval est l'ouvrier d'entretien de l'établissement. Les quatre filles le connaissent assez bien pour savoir qu'il profiterait un maximum de la situation. Lors des dernières punitions, il s'était toujours arrangé pour être présent. Il avait souvent des garçons en punition, mais aucune fille n'aurait voulu être punie avec lui, et encore moins sans culotte. C'est pourtant ce que la punition prévoit.<br />
<br />
- Vous allez donc être conduite vers l'atelier de M. Duval. Il a prévu de vous faire ranger ses outils pendant les deux heures qui viennent. Vous serez sous sa responsabilité, je vous conseille de garder un comportement irréprochable car pendant ces deux heures, il a les mêmes droit que le personnel encadrant !<br />
<br />
Les quatre filles ont très bien compris le message. Elles savent qu'elles n'auront pas le droit à l'erreur. A la moindre occasion, M. Duval n'hésitera pas à distribuer des fessées et connaissant le personnage, elles n'envisagent même pas garder leurs culottes...<br />
<br />
- A 11H30, il vous conduira en salle de réunion !<br />
- Si personne n'a de questions, nous allons conduire ces jeunes femmes à l'atelier de M. Duval.<br />
<br />
Le surveillant ramasse les vêtements des quatre filles dans un sac, tandis que la salle se vide peu à peu. Il les invite à le suivre.<br />
En entrant dans l'atelier, les filles se cachent les unes derrière les autres. M. Duval ne leurs prête pas attention dans un premier temps. Il remercie le surveillant qui prend congé. Mais un fois seul, il ne se gène pas pour conduire chacune des filles à une tâche bien précise tout en la tenant par le bras et en leur claquant les fesses.<br />
Chaque fille s'applique pour accomplir sa tâche sans faire de bruit. M. Duval est prêt à intervenir dès la première occasion, mais les deux heures se passent sans encombre pour les filles. Un peu déçu de ne pas avoir eu l'occasion d'appliquer une fessée lui-même, M. Duval remercie les filles et leurs demande de la suivre.<br />
<br />
Têtes basses, le petit groupe suit M. Duval. Au bout du couloir, les élèves attendent pour entrer dans la salle de réunion, dans un vacarme gigantesque. M. Duval sait qu'il aurait pu les faire entrer par la porte de service, mais il a choisit de les faire passer par la porte principale.<br />
M. Duval demande aux élèves de s'écarter pour laissé passer les punies. Les filles passent au milieu des commentaires crus et de quelques sifflets.<br />
Déjà sur la scène, le directeur demande à ce que l'on s'installe rapidement. Les filles traversent la salle et monte sur l'estrade. Magali, la première arrivée en haut des marches est immédiatement choisie par le directeur.<br />
<br />
- Magali, venez ici ! Baissez votre culotte et enlevez votre soutien-gorge !<br />
<br />
Magali s'avance à petits pas, tandis que les dernier élèves s'assoient. Recroquevillée et à demi-tournée sur le côté, elle commence à enlever ses bretelles tout en plaquant son bras sur sa poitrine, mais cela ne plait pas au directeur.<br />
<br />
- Vous êtes punie, Mademoiselle ! Par une fessée et toute nue ! Alors assumez cela entièrement !<br />
<br />
Il l'attrape par les épaules et la pousse juste au bord de la scène.<br />
<br />
- Je vais vous montrer, et toutes les trois, je veux vous voir agir ainsi sans aucun geste de pudeur, votre punition est ainsi !<br />
<br />
Le directeur baisse en même temps le collant et la culotte de Magali jusqu'aux chevilles et lui tiens les poignets pour qu'elle ne se couvre pas.<br />
<br />
- Vous ne méritez pas de pouvoir cacher ceci...<br />
<br />
Puis il dégrafe son soutien-gorge.<br />
<br />
- Quant à vos seins, ils ne doivent avoir plus aucun secret pour personne !<br />
<br />
Le directeur se retourne et d'un geste fait signe à Sandra de venir les rejoindre.<br />
<br />
- Nous allons voir si vous avez bien compris la leçon !<br />
<br />
Puis, d'un ton menaçant, il ajoute :<br />
<br />
- J'espère pour vous...<br />
<br />
Sandra s'avance et dégrafe son soutien-gorge, puis dans le même geste, elle l'enlève et baisse sa culotte jusqu'aux chevilles.<br />
Le directeur félicite Sandra et espère bien voir Emilie et Sophie agir de la sorte quand viendra leur tour. Il débarrasse Sandra de son soutien et va le poser avec celui de Magali. Il laisse les deux filles avec leurs culottes aux chevilles.<br />
Le surveillant vient apporter des tabourets derrière les filles.<br />
<br />
- Retournez-vous Mesdemoiselles ! Et posez vos coudes sur les tabourets, vos jambes doivent rester tendues tout le temps de la punition !<br />
<br />
Alors que les filles s'installent péniblement, le surveillant monte les marches de l'estrade et se dirige vers le directeur pour lui confier un message à l'oreille.<br />
Après avoir pris connaissance du message, il annonce qu'il doit s'absenter d'urgence et que la punition est reportée. Magali et Sandra se jète sur leurs vêtements et partent se rhabiller sur le côté de la scène, les deux autres punies les suivent. Le directeur confie les quatre filles au surveillant et se dirige vers son bureau.<br />
<br />
En entrant, il découvre deux policiers déjà installés. Le directeur apprend rapidement que les accusations faites sur les quatre jeunes filles ne sont pas fondées. Il blêmit un instant, puis se dépêche d'appeler le surveillant pour qu'il vienne chercher leurs vêtements afin de mettre un terme le plus rapidement possible à cette punition injuste. Les policiers en profitent pour lui demander qu'il fasse venir une autre élève : Mathilde.<br />
<br />
Quand Mathilde entre dans le bureau et découvre les policiers, elle reste un moment interdite, bouche bée, ses yeux s'embrument légèrement. Le directeur comprend à son attitude que c'est bien elle la coupable. Les policiers, eux en étaient déjà sûrs grâce aux empreintes retrouvées sur les quatre valises des filles. Ils ont pu obtenir ses aveux sans même lui poser une question. Mathilde baisse la tête, des larmes coulent sur ses joues :<br />
- Je vous jure que ce n'est pas de ma faute… J'ai fais ça pour un copain… Je…<br />
Un des policier se lève et lui coupe la parole.<br />
- Vous nous expliquerez tout ça ce soir au commissariat, venez dès la fin de vos cours. En attendant, je pense que votre directeur doit s'occuper de vous !<br />
Le directeur raccompagne les policiers tandis que Mathilde doit s'assoir sur un des fauteuil pour ne pas tomber.<br />
Quand le directeur revient, elle tombe à ses genoux et le supplie de ne pas la punir devant tout le monde. Comme seule réponse, elle reçoit une énorme gifle. Elle se tient la joue, puis s'assoit sur le fauteuil en se cachant le visage dans ses mains, les coudes posés sur ses cuisses.<br />
- Comment pouvez-vous me demander ça alors que quatre de vos camarades de classe, parfaitement innocentes, ont faillit être fessées à cause de vous ?<br />
Mathilde ravale ses sanglots et essaye de relever la tête.<br />
- S'il vous plait… J'aurai trop honte ! Je ne veux pas recevoir la fessée culotte baissée…<br />
- A cause de vous ces quatre jeunes filles ont été humiliées devant tout le lycée, deux d'entre elles ont été mise toute nue et vous, vous ne voulez pas recevoir de fessée culotte baissée !!! Mais ma pauvre fille votre culotte ne va pas être baissée, vous allez l'enlever complètement… Comme tout le reste de vos vêtements et croyez-moi, vu dans la situation dans laquelle vous vous êtes mise, vous n'êtes pas prête de remettre le moindre slip dans cette établissement !<br />
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<br />pascfzhttp://www.blogger.com/profile/05567312465027580417noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4033496235216090575.post-47267073379249811762016-10-21T11:40:00.000+02:002016-10-21T11:40:58.238+02:00Mutation en SyldavieDepuis un certains temps le responsable de l'agence où travaille Caroline avait des doutes sur les opérations financières qu'elle faisait. Malgré toute l'attention qu'il lui portait et les différents pièges qu'il lui avait tendu, il n'arrivait pas à la coincer.<br />
<br />
Une de ses amies, directrice d'une agence en Syldavie, lui a parlé d'un poste de remplacement de trois mois dans son agence. Il savait que la-bas les contrôles étaient moins strictes et que si elle agissait comme il le craignait, elle ne tarderait pas à être prise.<br />
Après en avoir parlé à son amie, en lui disant tout ce qu'il craignait, il convoque Caroline pour lui proposer sa mutation.<br />
<br />
Il lui explique que son salaire sera doublé, que tout les frais seront pris en charge sur place et que cette période de trois mois pourrait largement lui servir pour son évolution de carrière.<br />
Caroline hésita quelques jours, l'offre lui plaisait beaucoup même si elle ne connaissait pas la Syldavie, mais laisser sa famille pendant trois mois lui paraissait impossible.<br />
Avec l'accord de sa direction, son responsable obtient que des allers-retours réguliers lui soit accordé et entièrement financer. Ce qui fit accepter l'offre à Caroline et deux semaines plus tard, elle prend un vol pour la Syldavie.<br />
<br />
Les deux premières semaines se passent bien, elle rentre chez elle en se disant que finalement, ça passera assez vite. Sa nouvelle directrice appelle son ancien responsable pour lui dire que pour le moment, elle n'a rien remarqué d'anormal et que tout se passe bien avec Caroline.<br />
Son responsable en conclut qu'il a du se faire des idées et que finalement le fait que Caroline soit très hautaine envers lui avait du lui monter à la tête.<br />
<br />
Mais une semaine plus tard, il reçoit un texto de son amie : "J'ai des doutes sur certains virements de Caroline". Puis quelques jours plus tard : "Je suis sûre maintenant qu'elle fraude, j'attends encore un peu, les montants ne sont pas trop importants".<br />
Son responsable jubile de ne pas s'être trompé, il sait maintenant que cette pimbêche qui voulait prendre sa place va se retrouver licenciée sur le champ. Cela se confirme quelques jours plus tard avec un nouveau texto : "Les montants deviennent trop conséquents, je suis obligée d'en référer à la direction". Puis quelques heures plus tard : "Ils prennent le dossier en main, mais ne peuvent rien faire tout de suite, elle rentre en France, ils verront à son retour. La direction est très remontée, elle va prendre très cher !!"<br />
Un peu inquiet, son responsable lui répond aussitôt : "Comment ça très cher, ils vont la licencier, c'est tout ?". "Non, ici on ne rigole pas avec le vol, en plus je ne peux rien te dire de plus, mais les montants sont assez exorbitants ! ça va aller au pénal". "Que risque-t-elle ?". "La prison, au minimum... Ne lui dit rien, si tu la croises, car elle ne reviendrait pas et ce serait moi qui serait mal !!"<br />
<br />
Pendant tout le week-end, le responsable de Caroline ne savait pas quoi faire, il ne voulait arriver à des extrémité pareille. Il hésita à appeler Caroline, mais ne pouvez pas faire ça à son amie...<br />
Un nouveau texto, tôt le lundi matin met fin à ses hésitations : "Ils l'ont arrêtée à l'aéroport, dès la sotie de son avion. Elle passe en comparution immédiate dans quelques heures je te tiens au courant".<br />
<br />
Caroline arrive au tribunal sans comprendre ce qui lui arrive, elle a à peine parler à son avocat commis d'office. Tout lui est arrivé en pleine face, et elle n'a rien eu pour se défendre. Tout était si bien préparé, qu'elle a du avouer tout ses méfaits. On lui a expliqué que son jugement dans ce tribunal concernera la sanction punitive au regard de la loi dans ce pays. La sanction prendra effet immédiatement. A l'appelle de son nom, elle doit entrer dans le tribunal et s'avancer devant le juge. Sans aucune forme de politesse, il annonce son jugement après délibération : "Madame, vous êtes condamnée à trois ans de prison ferme, sans remise de peine. Votre avocat viendra vous expliquer à la prison du conté, quels seront vos recours".<br />
<br />
Caroline se serait évanouie, si deux agents ne l'avaient pas attrapée chacun de leur côté pour l'emmener hors de la salle. Elle est ensuite menottée et conduite dans un fourgon. Deux hommes assis à l'intérieur, attendent attachés à leurs sièges. Elle subit le même sort et s'effondre en pleurs lorsque le camion démarre.<br />
Arrivés à la prison, ils sont tous les trois conduits dans un bureau ou une femme va leur faire remplir des papiers et prendre leurs affaires personnelles. Puis elle sort trois uniformes enveloppés dans du film transparent. Elle appelle un des deux hommes et l'invite à aller se changer derrière le paravant. Caroline baisse la tête tandis qu'elle lui tend son uniforme. Lorsqu'il ressort, c'est à son tour de passer derrière. Elle se sent mal à l'aise dans ce petit bureau, à peine protégée part le paravant de paille, à peine stable qui lui arrive juste en dessous des épaules. Pour ne rien arranger, la femme lui dit de retirer aussi son slip et son soutien-gorge et précise qu'ici, elle n'a le droit de porter que sa robe.<br />
Caroline passe sa robe blanche. Elle est serrée en haut et assez évasée en bas, le tissu est très fin, ce qui met en valeur sa poitrine et ne peut cacher ses tétons qui se dressent. Avec ses fines brettelles, elle ressemble plus à une nuisette qu'à une robe. Caroline croise ses bras pour sortir et n'ose pas affronter le regard de deux autres détenus.<br />
<br />
Elle est ensuite conduite jusqu'à sa cellule. Sur le trajet, elle comprend en jetant un regard rapide dans les cellules que le quartier n'est pas exclusivement réservé aux femmes. Une majorité d'hommes sont derrière les barreaux, mais elle croise aussi quelques femmes habillées comme elle. La grille d'une cellule est ouverte et le gardien qui lui tient les mains dans le dos la pousse à l'intérieur. La grille se referme derrière elle, la laissant seule dans sa cellule. Elle doit faire à peine 2m sur 3 et le mobilier se résume à un lit, un casier qui doit servir d'armoire et une table te une chaise. La fenêtre est si étroite qu'elle laisse à peine passé la lumière et est si haute qu'elle ne permet pas à Caroline de pouvoir voir dehors. Un minuscule évier avec un robinet d'eau froide complète le décor.<br />
<br />
Caroline ne peut pas croire qu'elle va devoir passer les trois prochaines années dans cette cellule. Tout tourne autours d'elle. Elle s'effondre sur son lit et ne cesse de pleurer jusqu'au soir.<br />
<br />
Son responsable apprend la terrible sanction par SMS, il est partagé entre deux sentiments, d'un côté il se dit que c'est bien fait pour elle depuis le temps qu'elle jouait avec le feu. Mais de l'autre la savoir éloignée de sa famille pendant si longtemps à cause de lui, l'attriste. Il appelle aussitôt son amie pour en savoir plus.<br />
Lorsqu'il raccroche, il est un peu rassuré. Il sait qu'il y a une chance pour que sa peine de prison soit annulée si Caroline fait le bon choix. Son amie n'a pas été très explicite, mais si Caroline choisit de se mettre au service d'un généreux donateur pour la justice, elle peut être libre dans quelques semaines. Il en saura plus le lendemain.<br />
<br />
<br />
Dans la matinée suivante, un gardien vient chercher Caroline dans sa cellule et la conduit jusque dans un bureau. Elle reconnait l'avocat qu'elle avait eu la veille au tribunal et son coeur fait un bon en espérant qu'il des bonnes nouvelles pour elle.<br />
Après quelques banals échanges, il en vient au fait :<br />
- Vous avez un seul et unique recours pour annuler votre peine de prison ! Si vous le souhaitez, j'ai réussit à obtenir une place au tribunal aujourd'hui, il faut prendre une décision rapidement... Ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a une chance que notre demande soit refusée. Dans ce cas, vous reviendrez dans cette prison dès ce soir et pour trois ans. Mais si le tribunal décide de redéfinir la peine, vous n'aurez pas le choix, vous devrez exécuter la peine sans aucun recours... Vous avez à y gagner en temps. Dans des cas similaires au votre, la peine est réduite à quelques semaines, voir quelques mois.<br />
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Sans réfléchir d'avantage Caroline répond qu'elle est d'accord pour tenter ce recours, obnubilée par le fait qu'elle puisse bientôt rentrer rejoindre sa famille. Son avocat pose un sac sur la table.<br />
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- Alors, il ne faut pas perdre de temps ! Nous allons rejoindre le tribunal. Je vous ai emmené des vêtements pour que vous soyez présentable...<br />
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L'avocat sort un ensemble culotte soutien-gorge et des bas. Cela rappelle à Caroline qu'elle ne porte rien de tout ça et n'a qu'un seul vêtement sur elle. Elle se sent soudain mal à l'aise et sent ses seins qui pointent à travers sa fine robe.<br />
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- J'ai choisit ses vêtements pour vous, j'espère qu'ils vous iront...<br />
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Il lui présente une jupe classique, mais bien plus courte que Caroline aurait osé acheter et une veste. Puis il ouvre une boite ou Caroline découvre des escarpins à hauts talons.<br />
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- Il faut que je me change tout de suite ?<br />
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- Oui, nous devons y aller... Souhaitez-vous que je me retourne ?<br />
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Caroline ne répond pas, mais son regard en dit long sur la stupidité de sa question. En s'excusant, il fait demi-tour. Caroline jète un oeil vers la porte vitrée et profite que le gardien est occupé à autre chose pour déballer la culotte et l'enfiler à la hâte. Elle se dépêche de déballer le soutien-gorge et les bas, puis enfile la jupe sous sa robe. Elle remarque une caméra, mais ne peut pas faire autrement, elles retourne pour retirer sa robe et s'empresse de se saisir du soutien-gorge. Lorsqu'elle met l'agrafe devant elle, elle s'aperçoit qu'elle est face au gardien. Celui-ci n'en perd pas une miette, les yeux rivés sur ses seins nus. Elle emprisonne ses seins dans le soutien et enfile la veste en résistant à l'envie d'adresser un doigt d'honneur au gardien.<br />
L'avocat se retourne lorsqu'elle commence à enfiler ses bas. Perchée sur ses hauts talons et mal à l'aise avec cette jupe si courte, elle retrouve toute de même un peu dignité à être habillée. Elle essaye de tirer sur sa jupe pour la faire descendre un peu et ainsi couvrir la lisière de ses bas. Elle sait que dès qu'elle sera assise ou si elle doit se pencher, ils seront visibles, mais fait bon gré mal gré. Elle ne pas reprocher à son avocat d'essayer de trouver une solution, même s'il aurait pu choisir une tenue où elle serait plus à l'aise.<br />
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A l'arrière du fourgon les conduisant au tribunal, Caroline a les mains menottée dans son dos, attachée au siège, elle ne peut à peine bouger. Son avocat l'accompagne assit face à elle, essayant maladroitement de détourner le regard de ses cuisses dénudées par sa jupe qui a remonté lorsque les gardiens l'ont attachée. Caroline s'en aperçoit, mais ne dit rien et détourne le regard vers la route.<br />
Passé le moment d'euphorie, où elle ne voyait que la possibilité d'être acquittée de sa peine de prison, elle commence à s'inquiété de son sort :<br />
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- Si ils revoient la peine, je risque quoi ?<br />
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L'avocat ne sait pas vraiment par où commencer, il hésite et parle de peine d'intérêt général, mais Caroline lui ordonne d'être plus clair. Après un long silence, il décide de lui livrer un partie de la réalité :<br />
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- Le droit prévoit des peines de substitution chez nous. Il se peut que vous soyez condamnée à une durée de servitude. Dans ce cas, vous serez vendue pour cette durée limitée au plus offrant, pour être à son service. Les fonds sont directement versé au ministère de la justice. Les sommes atteignant parfois des sommets, il y a une forte chance que le tribunal choisisse cette option...<br />
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Voyant Caroline pâlir, il essaye de la rassurer :<br />
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- Ne vous inquiétez, ce sont des gens richissimes, il ne vous feront aucun mal.<br />
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L'avocat préfère ne pas évoquer le risque de punition corporelle, heureux que Caroline ne demande pas à en savoir plus.<br />
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Ils sont conduits dans une salle, où deux autre femmes attendent accompagnés de leur avocat. Caroline apprend qu'elle sera jugée en dernier. Une jeune blonde qui attend son tour est appelée en premier. Elle ressort une demi-heure plus tard en pleur, ce qui inquiète encore plus Caroline. Elle comprend qu'elle a été condamnée à être vendue pour une période de servitude de deux semaines.<br />
La deuxième ressort peu de temps après être rentrée, et prend son avocat dans ses bras en le remerciant, elle a été libérée.<br />
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Le coeur de Caroline bat plus fort lorsqu'elle entend son nom. Un gardien vient la chercher, son avocat la suit, pour entrer dans le tribunal. Les juges sont assis face à l'assemblée. Caroline doit traverser la salle plongée dans un silence de plomb, toujours menottée. Elle ne s'attendait pas à ce que la séance se tienne en public, elle croyait avoir à faire au juge en intimité comme la première fois.<br />
Pendant plus de vingt minutes, son avocat se démène pour obtenir une peine de substitution. Pendant ce temps, elle doit rester debout, seule au milieu de la salle sans que personne ne lui adresse la parole.<br />
A la fin de son réquisitoire, le juste annonce que le tribunal prend dix minutes pour délibérer.<br />
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Caroline attend toujours aussi seule au milieu de la salle. Son avocat a disparu, elle le cherche dans la salle, et espère un peu de réconfort de sa part, sans succès. Les discussions derrière elle cessent d'un coup lorsque les juges reviennent. La femme du milieu se lève et pour la première fois s'adresse à Caroline :<br />
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- Le tribunal a décidé de redéfinir votre peine de prison. Vous êtes condamnée à une peine de servitude d'une durée de trois mois. Vous allez être vendue aux enchères ici même dans quelques instants. Vous serez sous la responsabilité du plus offrant pendant toute cette période 24H sur 24 et cinq jours sur sept. Vous lui devrez respect et obéissance sous peine de voir cette sanction de substitution annulée. Les deux jours et deux nuits restants, vous les passerez dans la prison dans laquelle vous avez passé la nuit et servirez celle-ci.<br />
En outre, vous êtes condamnée à subir deux punitions corporelles, la première immédiatement et la deuxième en fin de condamnation.<br />
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Il y a une exclamation dans la salle, le fait que Caroline soit une ressortissante étrangère à jouer plutôt en ça défaveur. Bien que la peine soit beaucoup plus courte que la prison, elle en reste non moins conséquente. Mais ce qui étonne, c'est qu'elle soit cumulée à deux jours de prison hebdomadaire, plus des punitions corporelles.<br />
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La juge annonce la vente de la première condamnée. Celui-ci est conduite sur une estrade face à l'assemblée et les enchères commencent. La jeune blonde, qui contrairement à Caroline sait à quel sauce elle va être mangée, est toujours dans un état de désarroi profond. Tandis qu'elle manipulée comme un patin par un gardien, elle ne peut cesser de pleurer. Les enchères commencent à s'affoler, Caroline ne pouvait pas croire que cela atteignait des sommes aussi considérables. Deux hommes la voulait à tous prix et se battaient entre eux. Caroline étouffe un cri, lorsque le gardien, pour faire monter encore les enchères remonte l'arrière de sa jupe et baisse les collants et la culotte de la pauvre jeune fille incapable de se défendre à cause de ses mains menottées dans le dos. Un des hommes propose un prix que le deuxième ne peut suivre, et la juge lui accorde la vente.<br />
Le gardien lui apporte la fille, sans même prendre la peine de lui baisser la jupe et lui confie les clés des menottes sous les applaudissements de l'assemblée. Le sourire jusqu'aux oreilles, il reçoit son cadeau et déboutonne son corsage puis fait sortir ses deux seins de son soutien-gorge. Caroline est médusée, elle ne comprend pas que personne ne réagisse. Prise de panique, elle n'entend pas la juge l'appeler plusieurs fois. Perdant patience, elle envoie deux gardiens la chercher. Ils l'emmènent sans sans ménagement sur l'estrade et pendant que le premier lui tient les bras, le deuxième déboutonne sa veste. Les cris de Caroline interpelle l'assemblée qui se tourne vers l'estrade et voit sa veste lui être retirée et ses main menottées dans son dos.<br />
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- Sa jupe aussi !!!<br />
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Caroline regarde la juge dans les yeux ne croyant pas ce qu'elle venait de dire, tandis qu'un des gardien s'attache à descendre la fermeture. Sa jupe tombe autours de ses chevilles la laissant en sous-vêtements devant l'assemblée.<br />
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