lundi 22 juin 2015

Punie dans l'établissement des garçons

Nous étions en cours de Maths quand le directeur a frappé à notre porte. Il entre accompagné d'une étudiante du lycée des filles. A sa mine déconfite et ses yeux rougis, on comprend qu'elle n'est pas là de son plein gré. Le directeur nous présente Caroline, comme nous étudiante en terminale. Il nous indique qu'elle est punie pour la matinée et que son comportement justifie une punition exemplaire. On aimerait en apprendre plus sur sa faute et surtout sur la raison de sa présence parmi nous mais personne n'ose poser de questions et nous restons sur notre faim.
Nous n'avons pas l'habitude d'être en présence de filles dans notre partie de l'établissement, et il y a beaucoup de tension dans l'air. D'autant plus que Caroline n'est pas une fille quelconque. Elle est très jolie, le genre de fille sur lesquelles on se retourne dans la rue. Des cheveux bruns mi-longs, de grands yeux innocents, un très sexy avec son haut beige mettant en valeur sa poitrine, sa veste en jean et sa jupe droite noire.
Le directeur la saisit fermement par le bras pour l'emmener au milieu de l'allée centrale. Les talons de ses bottes claquent le carrelage et contraste avec le silence qui règne dans la classe. Caroline se laisse faire sans relever la tête, elle résiste à peine lorsque le directeur l'oblige à se mettre à genoux entre les tables.
- Je viendrai m'occuper de vous plus tard ! En attendant, vous allez rester en pénitence au milieu de ces messieurs et penser à la suite des événements.
Sans autres explications, il quitte la salle et notre prof essaye de reprendre son cours normalement, mais toute notre attention se tourne vers Caroline. Les plus proches s'aperçoivent rapidement que des larmes coulent sur ses joues bien qu'elle essaye de les sécher discrètement.
Elle reste ainsi jusqu'à la pause. Quand nous sortons, notre prof lui conseille de rester à l'intérieur, mais la libère de sa pénitence.
De retour en classe, nous sommes déçus de constater que notre pénitente n'est plus là. Plus tard, nous saurons qu'elle a été emmenée dans l'autre classe de terminale où cette fois le directeur l'a placée à côté du tableau, le nez collé au mur et les mains sur la tête.
Nous avons la bonne surprise de la retrouver à midi. Précédant le directeur, elle fait irruption dans notre réfectoire. Ses bras sont croisés dans son dos, les mains fermées sur les coudes, elle tient sa tête haute mais son regard lointain ne rencontre pas les nôtres. Elle est conduite à une table au centre du réfectoire où elle doit manger seule. On ne parle bien sûr que du mystère de cette fille. Chacun y va de son hypothèse sur ce qu'elle a fait, sur ce qui va lui arriver. On s'accorde pour dire que l'on n'a jamais vu le dirlo si remonté. Mais pourquoi l'a-t-il fait venir parmi nous ? Serons-nous témoins de quelque chose ?
On sait que les punitions des filles sont les mêmes que ceux que nous recevons. Dans l'ordre croissant, il s'agit de retenues, de corvées en travaux d'intérêt général, de punitions corporelles privées et de punitions corporelles publiques. L'exclusion est aussi possible mais n'est pas vraisemblable, puisque quand on y a recours, c'est avec effet immédiat et le lycée ne prend pas la peine d'infliger d'abord d'autres sanctions. Les retenues sont des punitions courantes sûrement pas la sanction exemplaire promise par le directeur. Les corvées semblent aussi inappropriées, on ne voit pas la valeur supplémentaire qu'aurait leur exécution dans le bâtiment des garçons. Reste donc la punition corporelle. Elle peut être de différente nature, de la fessée aux coups de badine en passant par le martinet et la strappe. Surtout elle peut être infligée sans témoin ou devant un public plus ou moins important, qu'il s'agisse des autres professeurs et surveillants, des camarades de classe, des membres de l'association des parents ou du conseil d'administration de l'école. Le déshabillage qu'une telle punition implique varie aussi considérablement d'un cas à l'autre. Ces hypothèses font les délices de nos conversations à voix basse mais personne n'ose vraiment y croire.  Ce qui nous semble le plus vraisemblable, c'est que le directeur nous a amené notre belle Caroline pour l'humilier en la faisant mettre à genoux dans nos deux classes de terminales mais qu'il va la ramener dans l'aile des filles pour la punir.
Durant tout le repas, Caroline ne relève pas la tête, supportant mal les regards de coin et les commentaires qui la concernent.
Elle touche à peine à son assiette, le directeur s'en aperçoit et vient vers elle. Le silence se fait, on a tous les yeux rivés vers la table de centre. On espère tous, que c'est le moment de la punition. Le directeur lui demande si elle a fini de manger. Caroline fait un signe de tête, l'appréhension se lit dans son regard.
Avec des gestes qui ne laisse aucun doute sur sa colère, le directeur la saisit sous le bras et l'emmène à l'extérieur du réfectoire.
Un peu déçu, nous terminons notre repas, puis nous prenons la route vers le gymnase où nous avons deux heures de sport, en commun avec l'autre classe de terminale.
Les premiers en tenue sortent des vestiaires et reviennent presque aussitôt de la salle pour nous annoncer que Caroline et le directeur sont au milieu de terrain. Chacun se hâte alors pour s'habiller. Quand nous entrons, nous constatons que le directeur attend patiemment, les mains dans le dos, droit comme un I, le regard sévère. Caroline est à ses côtés, l'air totalement dévastée. Elle ne porte plus sa veste, ses mains sont au-dessus de sa tête ce qui a pour effet de remonter son haut et dévoiler de façon assez érotique son nombril et l'élastique de ses collants. Son visage est baigné de larmes et lorsqu'elle nous voit entrer, elle ne peut s'empêcher de mettre ses mains devant sa bouche pour étouffer un nouveau sanglot. Une violente claque sur ses fesses la rappelle à l'ordre, et aussitôt, elle repose ses mains par-dessus sa tête.
Le directeur nous fait signe d'approcher et quand tout le monde est en place, il demande à Caroline de bien vouloir expliquer ce qu'elle fait là et ce qu'il va se passer.
Submergée par la honte, Caroline n'arrive pas à prononcer le moindre mot. Puis encouragée par les claques que le directeur lui donne sur les fesses, elle explique d'une voix à peine audible qu'elle est ici pour être punie et qu'elle va recevoir une fessée.
Tandis que nous n'osons pas encore y croire, le directeur précise aussitôt les conditions de la punition de Caroline :
- Comme elle vient de vous le dire, cette jeune personne va maintenant recevoir une fessée ! Et si je l'ai fait venir ici, c'est pour qu'elle soit punie devant vous. Je pense qu'une sévère et honteuse fessée accentuée par le fait d'être punie devant un groupe d'étudiants du même âge la remettra sans délai dans le droit chemin...
Puis il se tourne vers Caroline qui devient livide :
- Mademoiselle, c'est maintenant que commence votre véritable punition ! Comme je vous l'ai précisé, je n'aurai absolument aucun égard pour votre pudeur... Le but de la punition est évidement de vous corriger les fesses, je vais donc devoir vous déculotter. Mais ce n'est pas tout, je veux que vous ayez honte d'être exhibée devant ces jeunes gens...
Une nouvelle fois, ses mains en tombe de sa tête et avec des sanglots dans la voix elle supplie de directeur :
-Qu'est-ce que vous allez me faire ?... S'il vous plaît, ne baissez pas ma culotte...
Puis comme le directeur reste inflexible, elle cache son visage derrière ses mains. Le directeur s'approche et relève l'arrière de sa jupe. Caroline sursaute et marmonne dans ses mains.
- Que dites-vous Mademoiselle ? Enlevez vos mains et répétez plus fort !
Tandis que le directeur maintient l'arrière de sa jupe bien haut, Caroline s'entête à maintenir ses mains devant sa bouche en essayant de fuir les regards de l'assemblée face à elle.
Le directeur se saisit les côtés de sa jupe et la relève complètement pour faire profiter chacun de la vue de sa culotte. Il remonte volontairement la ceinture de sa jupe bien au-dessus de l'élastique de ses collants pour dégager complètement ses hanches.
- Faut-il que j'abaisse tout de suite cette culotte pour que vous répétiez enfin ?
Caroline éclate en sanglot :
- Oh non ! S'il vous plaît, j'ai trop honte...
- C'est bien le but de cette punition ! Maintenant, retournez-vous ! Ce sont vos fesses qui nous intéressent...
Caroline fait demi-tour visiblement soulagée de pouvoir échapper à nos regards. Sa culotte bleue couvre toute la surface de ses fesses, mais la dentelle ajourée est très sexy.
- Pour commencer, je vais vous fesser sur votre collant... Je vais vous punir de façon progressive. Votre culotte sera bien entendu baissée devant tout le monde, mais nous verrons cela plus tard...
A ses mots, Caroline laisse échapper un petit gémissement.
Le directeur la fait avancer d'un pas et l'attrape par la nuque, pour la forcer à se courber. Elle prend appui sur les matelas devant elle. Il dégage complètement ses fesses en retournant sa jupe sur son dos.
Il nous laisse quelques instants pour profiter de la vison. Ses fesses tendues vont alimenter nos rêves pendant des semaines. Elle croise ses pieds et tente de se relever quand le directeur s'approche d'elle, mais celui plaque sa main gauche sur son dos pour l'empêcher de bouger, puis lance sa main droite au milieu de ses fesses.
Le bruit de la claque résonne dans la salle. On essaye de s'approcher pour mieux voir. Ce n'est pas quelques claques que reçoit Caroline, mais un véritable déluge. Le directeur claque chacune des fesses tour à tour sans interruption pendant deux bonnes minutes. Quand il s'arrête, Caroline reste prostrée, en pleur. Le directeur l'aide à se redresser. Sa jupe retombe nous cachant ses fesses délicieuses mais nous avons la bonne surprise de voir le directeur se pencher et s'affairer sur le vêtement. Il déboutonne et baisse la fermeture, tire un petit coup et la jupe s'effondre sur les chevilles de sa propriétaire. Caroline ne s'y oppose pas trop préoccupée à se masser les fesses.
- Je vous accorde une pause avant la prochaine séance. Vous allez rester au milieu du terrain le temps que vos camarades s'échauffent...
Le directeur lui fait poser ses mains au-dessus de sa tête et dégage sa jupe de ses pieds.
- Messieurs, vous allez faire dix tours de salle pour vous échauffer. Caroline recevra ensuite la fessée pendant votre première séance d'étirements.
Nous ne perdons guère de temps pour faire les dix tours, puis nous nous regroupons autours du cercle central pour commencer nos étirements. Caroline sèche les larmes sur ses joues, puis remet les mains au-dessus de sa tête. Nous avons tous les yeux rivés sur elle. Elle est ravissante avec ses yeux résolument baissés, son teint pâle et ses longues jambes légèrement flageolantes.
Le directeur ne nous fait pas patientez plus longtemps :
- Le fait que je m'occupe des fesses de votre camarade ne doit pas perturber votre séance d'étirements, continuez ainsi!
Le directeur se dirige vers Caroline qui descend les mains de sa tête et vient les plaquer sur ses fesses en protection.
- Veuillez ôtez vos mains, Mademoiselle ! Vos fesses ne méritent maintenant aucune protection... Et ne vous avisez pas de les interposer pendant la fessée !
Il courbe une nouvelle fois Caroline, mais cette fois-ci, elle ne peut s'appuyer nulle part, elle plaque une main sur son tee-shirt pour  que les garçons face à elle ne plongent pas leurs regards dans son décolleté, et pose son autre main sur son genoux. La position que lui inflige le directeur ne doit pas être agréable, mais il la tient fermement par les hanches pour qu'elle ne bouge pas.
- Quand je dis sans protection pour vos fesses, c'est bien sûr sans ce collant...
En disant cela, il passe l'élastique sous ses fesses et dévoile ainsi l'émouvante culotte bleue, puis tire dessus pour qu'il descende jusqu'aux genoux.
- ... Mais aussi sans cette culotte !
Caroline pousse un cri quand il passe ses doigts sous l'élastique de sa culotte et dénude ses fesses. Elle tente de s'échapper, mais ne peut rien contre sa poigne et sa culotte continue de descendre le long de ses jambes. Elle resserre les fesses et a le réflexe de croiser ses jambes tandis que les premières claques commencent à tomber. Malgré qu'elle soit cette fois sans protection, le directeur lui assène une fessée aussi vive que la première. Les fesses rougissent très vite. Caroline supplie d'arrêter, dans son affolement elle décroise les jambes et essaye de s'extirper de l'emprise du directeur sans y parvenir. Ses mains essayent désespérément d'atteindre ses fesses, laissant son décolleté bailler. Ceux qui sont face à elle peuvent admirer ses seins s'agiter dans son soutien-gorge blanc.
Lorsque le directeur ralentit le rythme, elle attrape chaque côté de sa culotte et commence à la remonter et dès qu'il la libère, elle se hâte de la remettre en place. Son collant à ses genoux, elle se frotte vigoureusement les fesses en grimaçant.
- Pas si vite, Mademoiselle ! Vous permettez que nous vérifions l'état de vos fesses. » proteste le directeur.
Il baisse l'arrière de la culotte tandis que Caroline la maintient de chaque côté pour éviter qu'elle s'abaisse devant aussi. Le spectacle de ce slip réduit à son minimum qui ne couvre plus que le strict minimum est des plus érotiques.
- Voilà qui est suffisant pour le moment ! Vos fesses sont bien colorées... Vous allez les laisser reprendre leur teinte naturelle à la vue de tout le monde ici !
Le directeur la prend par le bras et l'emmène de côté. Avec sa main libre, Caroline remonte l'arrière de sa culotte.
- Oh, il ne sert à rien d'essayer de cacher vos fesses, Mademoiselle ! Elles resterons bien en vue de ces garçons, je vous le promets... Montez sur cette poutre !
Sans comprendre, Caroline tente de monter. Nous, nous avons tous compris, qu'il veut qu'elle soit en hauteur pour être mise en évidence. Après une première tentative, elle doit remonter son collant pour grimper sur la poutre. Le directeur lui dit de se mettre debout. Elle prend appui sur l'espalier juste à côté de la poutre.
- Laissez vos mains accrochées à l'espalier et interdiction de les enlever ! Nous allons faire une pause le temps du cours de gym, mais je n'en ai pas fini avec vous, la suite de votre punition suivra...
Caroline lève la tête vers le ciel, elle ne bouge pas ses mains mais resserre les jambes quand le directeur entreprend de lui baisser son collant. Il le repousse jusqu'aux chevilles et emmène tout le nylon sur les bottines. Quand il baisse la culotte, nous avons l'impression que ses fesses sont encore plus rouges. Il la baisse aussi jusqu'en bas.
 
Elle reste ainsi sans bouger pendant toute la durée du cours tandis que le directeur s'est absenté. Le professeur est parfois obligé de nous dire d'être plus attentifs, mais nous constatons que ses yeux aussi glissent souvent vers les fesses et les jambes de Caroline. A la fin du cours, nous regagnons les vestiaires alors qu’elle est toujours sur la poutre.
Nous prenons notre douche et nous sommes en train de nous rhabiller quand le directeur entre dans le vestiaire et nous ordonne de nous asseoir sur les bancs, sans égard à nos états vestimentaires des plus divers.
Il se retourne alors vers la porte restée ouverte et appelle. 
Caroline entre, sa culotte et son collant sont remontés, et elle tient sa jupe au bout de son bras. Elle baisse la tête, ses mains sont jointes devant sa culotte, le directeur la tire jusqu'au centre de la pièce.
- Veuillez escorter cette demoiselle jusqu'à votre salle de cours. Je vous charge d'expliquer à votre professeur qu'elle est punie ce qui explique sa tenue. Demandez-lui à ce qu'elle aille au coin pendant la durée de votre cours. Veillez à ce qu'elle soit bien en vue de tous et qu'elle garde ses mains au-dessus de sa tête comme tout à l'heure. Je vais garder sa jupe, celle-ci ne lui est d'aucune utilité. Sa culotte et son collant ne lui sont pas plus utiles, mais je ne peux malheureusement pas lui faire traverser la rue à moitié nue.
Il libère tout le monde et pousse Caroline jusqu'à la porte de sortie. Avant de la laisser partir, il lui murmure près de l’oreille :
- Lorsque vous serez au coin, je tiens à ce que vous preniez l'initiative de baisser vos collants et votre culotte comme tout à l'heure, jusqu'aux pieds, sans qu’on ait rien à vous demander. Je veux que la rougeur de vos fesses soit constaté de tous ! Et je vous donnerai une dernière fessée avant de quitter l'établissement, juste avant la fin des cours. Demandez au professeur de terminer son cours dix minutes avant la sonnerie...
Caroline part de nouveau catastrophée, mais ce qui semble la préoccuper le plus, s'est d’arriver le plus vite possible dans la classe en  croisant le moins de monde possible.
Elle est presque rassurée lorsqu'elle entre dans la classe. Personne n'était dans la rue et les couloirs de l'établissement étaient relativement vides. Le prof n'est pas encore arrivé, mais pendant que les élèves s'installent, elle se dirige vers le mur et tourne le dos à la classe puis attend les bras croisés. Elle ne parvient pas à se résoudre à se déculotter d’elle-même, d’autant que la porte est encore ouverte.    
Quand le prof arrive, il est surpris par sa présence, mais un des élèves se charge de lui expliquer la situation et Caroline se dirige vers le coin à côté du tableau et rassemble tout son courage pour s'adresser au prof :
- Le directeur m'a demandé de baisser ma culotte...
- Eh bien, qu’attendez-vous ? Allez-y, Mademoiselle, nous vous regardons !
Ses mains tremblantes attrapent l'élastique de son collant et le baissent en même temps que sa culotte jusqu'aux mollets. Le nylon reste un peu accroché au-dessus de ses genoux, mais elle le laisse ainsi.
- Il m'a aussi demandé de vous dire de prévoir d'arrêter le cours dix minutes avant la fin...
Le professeur fait semblant de ne pas comprendre :
- Ah bon ! Et pourquoi veut-il ceci ?
Caroline préfère mentir et dire qu'elle ne sait pas plutôt que d'avouer qu'elle doit à nouveau recevoir une fessée.
Après cela, elle se tourne vers le mur et pose ses mains au-dessus de sa tête.
Le cours peut débuter presque normalement, Caroline ne bouge pas, droite comme un I, les jambes serrées. Elle attend et redoute en même temps la fin du cours.
Un nœud se forme dans son ventre lorsqu'elle entend le prof dire que le cours est terminé et que les élèves peuvent ranger leurs affaires. Tout le monde obéit aussitôt. Son cœur s'emballe lorsque la porte s'ouvre. Elle ne peut pas voir, mais comprend que c'est le directeur au bruit du glissement des chaises lorsque les élèves se lèvent d'un bloc.
Il remercie le prof de lui accorder 10 minutes de son cours et va chercher une chaise qu'il place au milieu de l'estrade. Caroline tourne la tête pour le regarder faire et laisse ses bras redescendre le long de son corps.
- Je vois que vos fesses ont perdu leur belle coloration, nous allons y remédier de suite... Approchez-vous !
Avec un air dépité, Caroline attrape le devant de sa culotte et son collant et remonte le tout pour se déplacer jusqu'au directeur. le directeur l'arrête à mi-chemin :
- Retournez au coin !
Sans comprendre, après un instant d'hésitation, Caroline se retourne exposant ses fesses restées dénudées.
- Lâchez ce collant ! ... Ou plutôt non, baissez votre culotte, et ne vous avisez plus d'y toucher avant que je vous autorise à la remonter !
Caroline baisse légèrement sa culotte tandis que le directeur se lève et va lui retirer sa veste. Il la pose sur une table et attrape Caroline par la nuque pour l'emmener vers la chaise. Empêtrée dans sa culotte, Caroline manque de trébucher en se déplaçant, elle plaque d'urgence ses deux mains devant elle. Le directeur s'assoit et l'approche encore de lui. Il ajuste son collant, pour qu'il soit enroulé juste au-dessus de ses bottes puis baisse sa culotte dessus.
- Comme je vous l'ai dit dès le début de votre punition Caroline, je me fiche complètement de votre pudeur. Que vous ayez honte est tout-à-fait normal et souhaitable pour une jeune fille, surtout devant ces jeunes gens. Mais ces garçons savent comment est faite une jeune femme, il n'est pas nécessaire de rien leur cacher...
Il fait faire un quart de tour à Caroline pour qu'elle soit face à nous.
- J'espère pour vous que cette punition sera salutaire. Car si je dois à nouveau vous punir, ce sera à nouveau ici et cette fois toute nue, que je vous amènerai !
Caroline n'a pas le temps de se remettre de ce que le directeur vient de lui annoncer, qu'il attrape ses poignets en passant ses bras de chaque côté d'elle et les lui ramène dans le dos.
Incapable de soutenir nos regards, Caroline baisse la tête et croise ses pieds, mais cela ne nous empêche pas d'apercevoir se fente.
Lorsque le directeur lui lâche les poignets, elle se cache le visage et essuie ses larmes.
Nombreux auraient pensé qu'elle était complètement épilée, mais un triangle des poils bouclés bruns cachent partiellement le bas de son ventre. Nous avons tous les yeux rivés sur son sexe, certains découvrent une fille pour la première fois et quelques mains passent sous les tables.
Avant de l'allonger sur ses genoux, le directeur remonte son tee-shirt sous sa poitrine. Une fois allongée, il passe l'agrafe de son soutien par-dessus pour qu'il ne retombe pas. Caroline est nue du milieu du dos jusqu'aux mollets. Il la positionne sur ses genoux, si bien que ses pieds ne touchent plus le sol, mais ses mains posent par terre. Il se tourne de 3/4, pour que ses fesses soient faces à nous.
Une déferlante lui pique aussitôt les fesses. Le directeur a décidé de ne pas seulement la punir honteusement, il veut aussi lui infliger une solide correction. Ses fesses prennent de la couleur, Caroline crie et pleure en même temps. Ses mains tentent de s'interposer sans succès, ses jambes se plient et se déplient se resserrent et s'écartent, nous laissant voir ses merveilleux trésors. Elle glisse des genoux du directeur, par deux fois, il est obligé de la repositionner, puis il reprend de plus belle la  correction.
Lorsqu'il arrête, Caroline tombe sur ses genoux à côté de la chaise, elle frotte ses fesses en tentant de se calmer. Sans un mot, le directeur va ranger la chaise à sa place. A son retour, il saisit Caroline sous le bras, elle semble refaire surface à ce moment-là. Quand elle se relève, elle remonte avec sa main libre sa culotte et son collant. Le tout n'est pas remis complètement, mais ça a le mérite de cacher son sexe quand le directeur la remet face à nous.
Il ne lui lâche pas le bras en s'adressant à nous :
- Messieurs vous aurez compris, que si Caroline revient dans cette salle devant vous, ce sera sans aucun vêtement !!! Mais cela doit aussi vous servir d'avertissement, l'inverse peut être possible pour vous...
La cloche sonne, c'est la première fois que nous sommes tant déçus que la journée soit finie. Nous profitons une dernière fois des courbes de Caroline, avec son ventre dénudé, sa culotte remise de travers et son collant remonté au 3/4.
- Quand à vous, vous n'êtes pas encore libérée de votre punition !! Mains au-dessus de la tête !
Caroline profite qu'il lui lâche le bras pour remonter l'arrière de sa culotte, puis s'exécute aussitôt.
- Vous les garderez ainsi jusqu'à mon bureau où je vous redonnerai votre jupe.
Les joues de Caroline rosissent quand elle comprend qu'elle va devoir traverser l'établissement ainsi à l'heure de la sortie des classes. Le directeur lui attrape le menton pour qu'elle relève la tête et la regarde droit dans les yeux :
- Et votre culotte, il ne me semble pas vous avoir autorisé à la remonter...
Caroline ouvre la bouche pour s'exprimer, mais rien ne sort. Elle se contente de baisser les yeux. Le directeur lâche son menton pour lui décrocher une gifle sur les fesses.
- Regardez-moi quand je vous parle, et répondez-moi ! Est-ce que je vous ai dit de remonter votre culotte ?
Surprise, Caroline relève la tête, les larmes au bord des yeux :
- Non Monsieur... Mais je ne pouvais pas rester comme ça...
Caroline lève la tête vers le plafond tandis que le directeur s'accroupit devant elle :
- Non ! S'il vous plaît... Monsieur... Pas ça ! J'ai trop honte...
Le directeur s'occupe de son collant, qu'il roule sur ses cuisses et fait glisser sous ses genoux, puis se relève.
- Je vous laisse le soin de baisser votre culotte...
Cette fois, les larmes coulent sur ses joues, elle implore le directeur, mais celui-ci n'a aucune pitié pour elle.
- Souhaitez-vous recevoir une autre fessée à la sortie du lycée, Mademoiselle ?
Caroline fait "non" de la tête et d'un coup baisse sa culotte sur ses cuisses puis remet ses mains sur sa tête. Toute la classe découvre sa fine toison brune ainsi que les lèvres de son sexe particulièrement visibles malgré ses jambes serrées.
- Sachez, Mademoiselle que ce que vous montrez à ces garçons est bien indécent, mais fait pleinement parti de la correction que j'ai voulu vous infliger aujourd'hui !
- Prenez la direction de mon bureau, je vous suis dans quelques minutes... Et gardez bien vos mains au-dessus de votre tête !
Dépitée, Caroline sort de la classe à petits pas, enchevêtrée dans sa culotte pour accomplir la trajet honteux qui la mènera jusqu'au bureau.