vendredi 11 mars 2016

L'accrochage

Je circule tranquillement à l'intérieur d'un rond-point quand une voiture vient me percuter sur le côté droit. Je vois surgir une jeune femme paniquée. Je descends aussitôt ma vitre, pour lui conseiller de remonter dans sa voiture et de me suivre jusqu’au prochain parking car il est trop dangereux de rester ici.
Une fois garé, je constate l'état de ma voiture. Pas de quoi en faire un drame. Au point d’impact, elle était déjà abimée et finalement cela ne fait pas une grosse différence avec les dégâts antérieurs, mais je prends garde de ne pas le signaler. La jeune femme se confond en excuses, j’essaye de la calmer, ce n’est après tout que de la tôle froissée, pas une catastrophe et lui fait remarquer que sa voiture s’en sort indemne.
Elle voit les dégâts sur la mienne et m'explique qu'elle a déjà eu deux accidents en tort et que la voiture appartient au compagnon de sa mère... Elle est jeune et jolie et ses yeux au bord des larmes me font pitié. Je tente encore de la rassurer, de lui répéter que ce n'est pas grave, qu'on va faire un constat et que tout ira bien.
Alors que je commence à remplir le constat, elle me dit qu'elle va se faire tuer par ses parents et qu'aucune assurance ne voudra plus l'assurer. Une nouvelle fois, je la réconforte en lui affirmant que son cas n’a rien d’exceptionnel pour un jeune conducteur. Elle devra sans doute reprendre quelques cours de conduite automobile et ce sera tout. Quant à ses parents, je lui sors en guise de boutade, que vu son âge, elle devrait échapper à la fessée. A mon grand étonnement, elle ne semble pas saisir la plaisanterie et me répond très sérieusement qu'elle préfèrerait encore recevoir une fessée que de devoir affronter la colère de son beau-père et les crises de larmes de sa mère.
Voilà qui est singulier ! J'hésite un instant, le stylo suspendu au-dessus du constat. J’ai peur de sa réaction mais la tentation est trop forte et je me lance :
- Ok, si vous voulez, on oublie le constat, mais je vous donne une fessée...
Elle reste bouche bée, ne sachant quoi répondre et finit par lâcher d’une voix étranglée :
- Ici ?
Décidemment je vais de surprise en surprise. Je me retiens d’éclater de rire et j'enchaîne aussitôt en repliant mes papiers :
- Non tout de même ! Mais on en reste là avec ces problèmes d’assurance. Je vous donne mon adresse, vous venez me rejoindre ce soir à neuf heures précise pour vous faire punir comme une gamine. Cul nu !
Voilà, c'est lâché, je n’ai plus qu’à attendre la gifle. Au lieu de ça, elle baisse les yeux et d'une petite voix, elle me dit qu’elle ne peut pas aller chez un inconnu, que c’est trop dangereux.
Je lui présente ma carte de magistrat.
- Pensez-vous que dans ma fonction, je prendrais le risque que vous déposiez plainte pour viol. Vous imaginez le scandale. Je perdrais mon honneur, ma réputation et mon emploi.
Visiblement l’argument l’ébranle. Ma rosette de la légion d’honneur qui garnit la boutonnière de mon veston et mon âge avancé achèvent de la rassurer. Je n’ai pas l’air d’un abuseur de jeune fille.
- Juste une fessée. Vous me promettez que ça n'ira pas plus loin. Vous ne me toucherez pas.
- Bien entendu. Vous avez ma parole d’honneur. Une simple fessée punitive dans les règles de l’art. Vous pouvez vous faire accompagner d’une amie si vous le désirez.
L’idée d’une fessée devant témoin ne lui plaît manifestement pas. Elle répond précipitamment :
- Non, non, ça ira.
Je lui demande de me confier sa carte d’identité à titre de garantie qu’elle tiendra son engagement et on se quitte sur ma recommandation de ne pas être ce soir en retard.
Julie Lamart. Je contemple en rêvant la petite photo qui figure sur sa carte, quand on sonne à ma porte. Neuf heures précise. Elle est ponctuelle. Je la fais entrer, elle apparaît encore moins assurée que lorsque je l'ai quittée. Elle est très jolie avec son minois d'étudiante, ses cheveux blonds coupés au carré plongeant, ses yeux bleus et son sourire timide et crispé. Je regrette qu'elle ait troqué la petite robe d'été qu'elle avait ce matin contre ce jeans et ce débardeur. C’est moins sexy mais je me console en visualisant le côté peu pratique d’un jean pour ce que nous avons à faire. Au fond, la séance en sera d’autant plus excitante. Elle me suit jusqu’au salon et s'assoit dans le canapé sans y être invitée. Je conçois que ce n'est pas de l'impolitesse, mais plutôt que sous le coup de l’émotion, elle a du mal à se tenir sur ses jambes. Je lui propose quelque chose à boire, mais elle refuse d'un signe de tête et me demande d’aller à l'essentiel :
- Plus vite ce sera fait, mieux ce sera. Mais avant de commencer, j’aimerais savoir ce que vous allez me faire ?
Je hausse les sourcils. Elle semble comprendre :
- . . . S’il vous plaît.
- On dit s’il vous plaît, Monsieur.
- Excusez-moi. J’aimerais savoir ce que vous allez me faire, s’il vous plaît, Monsieur.
- Vous n’avez donc jamais reçu de fessée ?
Julie baisse les yeux et murmure en rougissant que si.
- Alors vous savez ce qui va suivre. Pourquoi poser cette question ?
- Parce que c'est la première fois qu'un inconnu me punit, et puis ce n'est pas pareil... Monsieur.
- Je pense que ce ne sera pas différent, je vais tout simplement vous coucher en travers de mes genoux et vous claquer les fesses.
Elle enlève son sac de son épaule et le pose sur la table, puis dans un souffle me dit qu'elle est prête.
Entrant avec conviction dans mon rôle, je la saisis par le dessus du bras pour la lever mais au lieu de la basculer immédiatement sur mes genoux, je lui fais traverser la pièce jusqu'au coin opposé :
- Puisque vous avez l’expérience de la fessée, j'imagine que vous avez aussi connu le coin... A genoux, le nez collé contre le mur et les mains dans le dos.
J’ai adopté le ton sévère de circonstance.
Elle a l’air d’être impressionnée. Sa lèvre tremble un peu comme si elle allait pleurer et elle s'exécute sans rechigner. Je bois du petit lait. Visiblement cette jeune fille perd ses moyens quand elle est confrontée à une ferme autorité. Sans doute, le résultat des fameuses colères de son beau-père. De retour sur le canapé, j’admire ses fesses moulées dans son jeans serré et je trouve instructif la façon dont elle se triture nerveusement les doigts en attendant la suite.
- J'imagine que vous ne pensiez pas un jour vous retrouver dans une situation pareille... Votre dernière fessée doit remonter à plus de quinze ans.
- Heu . . . non, Monsieur.
- Ah bon ! Quand avez-vous donc été fessée la dernière fois ?
Sans cesser de fixer le coin, mais en se trémoussant de gêne, elle me répond timidement que c’était il y a trois ans.
Surpris, je ne peux pas m'empêcher de lui demander son âge. Elle a 22 ans, le calcul est vite fait : recevoir la fessée à dix-neuf ans, voilà qui n’est pas banal et qui pique ma curiosité.
Elle m'avoue que la discipline a toujours été très stricte depuis que sa mère s’est mise en ménage avec cet homme. Elle est enfant unique et il s’est mêlé de son éducation depuis qu’elle l’a connue à dix-sept ans. Elle a été punie physiquement jusqu’à ce qu’elle obtienne son bac après avoir redoublé. J’apprends aussi qu’elle est maintenant étudiante en droit. Faute de ressource, elle est contrainte de vivre sous le toit du concubin de sa mère, ce qui lui est particulièrement pénible car il est odieux et lui fait déjà sans cesse sentir qu’elle lui coûte cher.
Pauvre petit chou ! En voilà une qui aurait intérêt à se trouver un protecteur qui lui financerait ses études en échange de quelques menus services. Un rôle qui me conviendrait parfaitement !
En la faisant parler, je finis par deviner que les punitions qu’elle subissait n’avaient rien de symbolique et que son beau-père n’avait pas l’élégance de ménager sa pudeur. Pour lui, une fessée se donnait nécessairement sur les fesses nues quelques soient les circonstances. Un point commun avec moi mais ce « quelques soient les circonstances » m’intrigue grandement. Je veux en savoir plus.
Quand je lui demande si elle a déjà été punie devant du monde, Julie hésite et finit par me lâcher un tout petit « oui, la dernière fois » puis refuse de m’en dire plus.
Cela ne me convient pas. Ces aveux à petites doses m’intéressent de plus en plus. Mais je regrette de l’avoir placée dans cette position. J’aimerais qu’elle me raconte cette « punition devant témoins » qui lui fait tellement honte tout en captant son regard.
Je lui demande donc de se relever et de me rejoindre.
Je passe mon bras autour d’une de ses cuisses pour l'amener à se coller à mon genou et sans un mot je déboucle son ceinturon. Les bras ballants, elle se laisse faire et regarde droit devant elle.
Je déboutonne son jean, baisse la fermeture éclair et écarte les pans jusqu’à ce que sa petite culotte apparaisse dans l’ouverture.
Elle est merveilleusement érotique ainsi. J’ai décidé de prendre mon temps, de faire durer ces instants inoubliables. Tout en maintenant ma main posée à l’intérieur de sa cuisse, je poursuis mon interrogatoire.
- Alors, vous ne m’avez toujours pas raconté cette dernière fois. J’insiste pour connaître tous les détails, nous ne commencerons qu’après que vous m’aurez tout dit.
Je vois sa poitrine se soulever. Cela la gêne mais elle comprend qu’elle n’a pas le choix. Elle baisse les yeux vers moi, j’accentue ma pression autour de sa cuisse.
- C’était pendant les vacances avant que j’entre à la faculté. On était chez des amis à eux. Toute une bande. Beaucoup d’adultes mais des jeunes de mon âge aussi. Nous, on s’amusait dans la piscine pendant que les parents prenaient l’apéritif. Une de mes copines avait oublié son maillot et privée de baignade, elle plaisantait avec nous au bord de la piscine. Pour blaguer, elle a menacé de jeter dans la piscine les vêtements que j’avais laissés sur la pelouse. J’ai paniqué. Dieu sait ce que mon beau-père était capable d’inventer pour m’humilier si les vêtements avec lesquels j’étais venue se retrouvaient trempés. J’ai paniqué. En cherchant à récupérer mes fringues, il y a eu une bousculade et ma copine est tombée à l’eau toute habillée, en serrant contre elle mes vêtements. Ça a fait du raffut, elle était furieuse et vexée des rires que sa mésaventure provoquait. Et le pire, c’est qu’en trébuchant elle s’était entaillée la cheville à l’échelle du bassin. Les parents sont intervenus. La fille m’a accusée. Moi, je ne l’avais pas fait exprès mais mon beau-père ne m’a pas écouté. Il m’a dit de me préparer pour une fessée dont je me souviendrais. Je savais que si je discutais ce serait pire et j’ai ôté ma tenue de bain. Tout le monde me regardait, c’était horrible. Il m’a fait venir jusqu’à la table où les adultes achevaient leur repas et il a dégagé un espace entre les verres et les assiettes pour que je puisse m’accouder entre les gens. Je ne sais combien de temps a duré la fessée. Il n’y allait pas de main morte et s’interrompait souvent pour m’obliger à me redresser. Je devais alors présenter mes fesses de plus en plus colorées aux personnes attablées dont la plupart était pour moi de parfaits inconnus. J’entendais les commentaires approbateurs ou moqueurs, certains estimaient bien sûr que je n’en avais pas eu assez et je devais reprendre ma position pour me soumettre encore et encore à une nouvelle volée.
Après j’ai dû m’excuser. D’abord auprès de notre hôtesse et puis auprès de la fille que j’avais poussée. Comme elle avait ses vêtements trempés et que les miens étaient dans le même état, on m’a dit de lui prêter mon maillot pendant que l’on mettrait nos fringues à sécher au soleil. Je n’ai pu récupérer mon maillot que le soir avant de partir.
- Un maillot ? Vous voulez dire un maillot une pièce pas une culotte de bikini.
- Oui.
- Il vous a donc fait mettre toute nue devant ces gens pour vous fesser et c’est toute nue que vous êtes restée jusqu’au soir avec eux.
- Oui, Monsieur.
- Pas de serviette de bain pour protéger votre pudeur ?
- Non rien. Il voulait que je reste nue pour que cela me serve de leçon.
Elle est cramoisie. Le souvenir de son humiliation publique est toujours aussi vivace et il lui en a coûté de me la raconter. Je comprends mieux son refus de venir avec une amie qui aurait pourtant pu la rassurer sur mes intentions. Elle n’est pas prête de supporter à nouveau des témoins même compatissants.
- Et bien, ma petite, félicitez-vous que ce soir au moins personne d’autre que moi ne vous verra.
Je surprends son regard qui se porte sur ma fenêtre. Elle a raison, j’oubliais que seul un voilage protégeait de la vue des passants mon salon éclairé.
- Vous avez peur qu’on vous voit de la rue ?
- Oui, Monsieur.
- Vous n’avez pas mérité plus d’intimité. Après tout, mes voisins ont vu les dégâts que vous avez causés à ma voiture, il serait juste qu’ils puissent admirer ceux que je vais causer à votre petit postérieur ! Mais je serai pour cette fois bon prince, vous pouvez fermer les tentures.
Satisfait de ma plaisanterie, j’attends qu’elle ait soigneusement fermé les tentures avant de poursuivre lentement son déshabillage.
Son jean étroit est difficile à baisser. Elle a bien mal choisi sa tenue. Ce lent strip-tease est très agréable pour moi qui ai les yeux à hauteur idéale. Elle a le réflexe de retenir sa culotte. Après quelques efforts de chaque côté, son jean parvient en bas des cuisses. Je découvre une culotte en coton très sage, ornée d'une petite bande de dentelle au-dessus de l'élastique, seule fantaisie de son dessous. Je ne peux m'empêcher d'imaginer qu'elle a choisi cette culotte exprès pour la circonstance.
Je la bascule sur mes genoux, ses fesses sont magnifiques. Je la hisse plus avant, pour ses pieds ne touchent plus le sol. Ses mains sont à plat sur la moquette. Je peux commencer la fessée. Doucement, une fesse après l'autre, dans un rythme régulier. Ses fesses sont intégralement couvertes, je ne peux pas voir si elles rougissent, mais j'attends encore un peu pour la déculotter. Elle commence à gémir lorsque j'intensifie mes claques.
Je profite qu'elle veuille se protéger les fesses après une claque plus appuyée, pour lui attraper le poignet et baisser sa culotte avec ma main libre.
Ces deux globes sont bien rouges, je suis satisfait de la couleur et je contemple ce petit cul avec délectation. Je remarque qu'elle serre les fesses pour en faire voir le moins possible et croise ses chevilles l'une sur l'autre. Sans lui lâcher le bras, je recommence la fessée. Le bruit sec des claques sur la peau nue m'enivre et j'accélère le rythme pour qu'elle gigote, je suis obligé de resserrer mon emprise et je continue jusqu'à ce qu'elle pousse des petits cris à chaque claque. Je n'arrête qu’au moment où je sens qu'elle va se mettre à pleurer.
Elle ravale un sanglot et reprend son souffle, j'en profite sous prétexte d’expertise pour lui caresser délicatement ses fesses encore chaudes. Gênée de cet attouchement, Julie tente de se relever, je l'aide en la tenant par le bras. L'avant de sa culotte est légèrement descendu, mais cache encore l'essentiel de sa féminité. Je me dis qu’il est hors de question de la laisser repartir sans en voir plus. Ce serait trop frustrant !
Elle remonte sa culotte correctement et je lui dis de retourner au coin. Elle y va sans discuter, en remontant son jean sur le trajet. Elle s'apprête à se mettre à genoux, mais je l'en empêche et la rejoint.
- Vous allez cette fois rester debout, pour que j'admire le résultat de mon travail. Je passe mes mains devant elle. Elle n'a pas eu le temps de reboutonner son jean, je le descends doucement jusqu'aux chevilles. Pressentant la suite, elle saisit l'élastique de sa culotte de chaque côté de ses hanches. Une claque au milieu des fesses suffit à la libérer.
- Mettez plutôt vos mains au-dessus de votre tête !
Je baisse sa culotte qui tombe sur ses jambes, puis dans l'élan attrape le bas de son débardeur et lui retire. Elle n'ose pas réagir et replace ses mains comme indiqué. Je la laisse ainsi, en soutien-gorge, jean et culotte baissés, puis je m’empare de mon téléphone pour quelques photos discrètes. Cela me fera de jolis souvenirs. Au bout de dix minutes, je la vois passer sa main sur ses fesses, mais elle la remet sur sa tête. Je décide d'attendre en vacant à mes occupations, pour voir ce que seront ses réactions. Pendant plus d'une demi-heure, elle reste sans bouger et ne dit rien.
Elle finit par me demander si sa punition est finie et si elle peut se rhabiller. Je n'en demandais pas tant. Je m'approche d'elle et passe ma main sur ses fesses, j'en profite pour les écarter légèrement et sent un frisson lui parcourir le corps, ses bras en tombent de sa tête.
- Non votre punition n'est pas finie ! Vos fesses ont retrouvé leur couleur, vous êtes prête pour la suite de votre fessée... Venez me rejoindre !
Je pars m'installer sur le canapé et elle a déjà remonté sa culotte et commence à remonter son jean.
- NON, NON, NON... que faites-vous ? On va continuer fesses nues... Approchez !
Elle lâche son jean, puis se retourne et commence à venir vers moi enchevêtrée dans le vêtement.
- Ne soyez pas ridicule ! Enlevez ce jean !
Quand elle se penche en avant pour se défaire de ses chaussures et de son jean, j'admire son joli décolleté, puis elle vient timidement vers moi, les yeux baissés en slip et soutien-gorge. Ils ne sont pas du tout assortis et cela lui donne encore plus de charme. Son soutien en dentelle noire dénote de sa sage culotte blanche en coton, mais elle n'avait surement pas prévu de se retrouver en soutien-gorge devant moi.
Quand elle arrive face à moi, je passe mes pouces sous l'élastique de sa culotte, elle me retient aussitôt par les poignets. Je lève les yeux pour lui adresser un regard sévère, elle lâche mes poignets et m'implore du regard :
- Pas comme ça, s'il vous plait...
Sans la quitter des yeux, j'abaisse sèchement sa culotte. Celle-ci tombe à ses pieds, elle serre les poings et lève la tête vers le plafond. J'en profite pour lui retirer sa culotte de ses pieds, elle lève docilement un pied puis l'autre. Avant qu'elle ne cache sa toison de ses deux mains, j'ai le temps de constater que ses lèvres sont bien visibles et sont surmontées d'une fine bande de poils châtains épilé court.
Je la bascule sur mes genoux et reprends la fessée sur le même rythme que la fois précédente. Ses fesses rosissent aussitôt. Au bout de quelques claques, elle se débat et me supplie d'arrêter. Je ne vais pas plus loin, faire mal ne m’intéresse pas, je sais que la fessée est déjà largement suffisante. Je la relâche et elle se lève aussitôt en frottant ses fesses. Je profite de son corps uniquement vêtu de son soutien et de son visage grimaçant.
Je lui fais faire demi-tour pour vérifier l'état de ses fesses. Elles sont bien rouges, mais d'ici quelques minutes, elles retrouveront leur couleur initiale.
- Vous allez retourner un moment au coin, et après ce sera fini, vous serez pardonnée...
Après un gros soupir, elle s'écarte, mais je la retiens par la main :
- Ne soyez pas si pressée, vous allez aller au coin, mais vous allez y aller toute nue...
Joignant le geste à la parole, je dégrafe l'attache de son soutien. Encore plus exaspérée, elle se défait de mon emprise et se rend au coin sans que je lui redise. Elle termine d'enlever son soutien et le jette à terre, puis pose ses mains au-dessus de sa tête. Elle est magnifique vue de dos, je sais que je ne vais pas me lasser de la regarder ainsi, même si l'envie de la découvrir de face entièrement nue est grandissante.
Je ramasse ses vêtements éparpillés dans le salon et les pose sur le canapé.
Je la laisse ainsi, en ayant l’air de ne plus m’occuper d’elle mais je circule dans la pièce pour profiter de différents angles de vue. Au bout de dix minutes, je vais m'assoir dans le canapé pour profiter du spectacle qu'elle va m'offrir et surtout cacher mon érection.
- C'est bon, vous pouvez vous rhabiller !
Elle se retourne, les coudes cachant ses seins, et les mains sous le menton, cherchant du regard ses vêtements.
- C’est ceci que vous cherchez ?
Je lui ai montré son soutien entreposé avec ses autres vêtements à ma gauche.  
Sans répondre, elle revient à tout petit pas vers moi. Je lui rends un à un ses fringues dans l’ordre où je souhaite qu’elle se rhabille : soutien, débardeur, culotte, jean et chaussures. Elle doit à chaque fois se baisser vers moi car je ne fais pas l’effort de lui tendre ceux-ci. J’adore sa menue poitrine aux tétons si agressifs !
En la reconduisant à ma porte, je lui demande de faire plus attention sur la route à l'avenir. Bizarrement, elle me remercie et me jure d’être plus prudente, puis ajoute qu’elle a retenu la leçon.
A ce moment une brillante inspiration me vient. J’ai lu récemment un article sur les sugar baby qui financent ainsi leurs études. Je me verrais bien en sugar daddy de cette étudiante :
- Au fait, Julie. Si vous en avez assez de la tyrannie de votre beau-père, je pense que je pourrais vous aider. Vous savez à présent que je n’ai rien d’un abuseur. Je vous avais promis de ne pas vous toucher et de me limiter à une fessée disciplinaire. J’ai tenu mes engagements.
Le second étage de ma maison est aménagé en un petit appartement et il est libre. Je pourrais le mettre à votre disposition en échange de quelques menus services. Je vis seul et mes fonctions me laissent peu de temps pour m’occuper de la maison, faire les courses et préparer les repas. Et puis ma formation de magistrat pourrait vous être utile si vous aviez besoin d’un tuteur.
Elle ouvre de grands yeux étonnés, veut parler mais je l’en empêche :
- Ne me répondez pas maintenant mais songez à cette proposition. On en reparle quand vous voulez.  
Avant qu'elle ne quitte la maison, j'ai enfin droit à un petit sourire de sa part. Je crois que c’est gagné !