samedi 4 décembre 2021

Rêglement disciplinaire

Caroline et sa mère entre dans le bureau du Directeur, un peu gênées. Comme elles sont toutes les deux plutôt timides, et que par ailleurs, le Directeur lui est quelqu’un qui a beaucoup de prestance et de charisme, dès qu’elles ont passé la porte, elles ne se sentent pas à leur aise. Et il faut bien le dire, en voyant leur gêne, le Directeur a tendance à en rajouter, ça l’amuse. - Bien, si je vous ai demandé de venir, c’est que j’ai un gros souci avec l’inscription de Caroline La mère de Caroline tente de clarifier la situation. - Oui, je comprends. Nous avons rempli le dossier dans les temps, comme il faut. Mais visiblement, nous nous sommes trompés dans l’adresse, la poste vient de nous le retourner. Je suis confuse. - Je comprends, répond le Directeur. Mais maintenant, tous nos effectifs sont complets, je ne peux rien faire. Il laisse planer un long silence. Puis il enchaine, comme s’il venait de penser à quelque chose. - Bon, il y aurait peut-être une solution, mais je ne sais pas trop si cela va vous convenir. - Si si, tout nous conviendra, répond rapidement la mère de Caroline. Cette inscription est vraiment essentielle pour Caroline. Votre établissement a une si bonne réputation. Avec son père, nous voulons vraiment la meilleure éducation pour elle. Le Directeur semble hésiter. Puis il se lance. - En fait, nous avons une élève qui ne viendra finalement pas car elle déménage dans le sud, ce qui laisse une place libre. - Oh, c’est parfait alors ! S’exclame la mère de Caroline. - Oui, mais c’est un peu particulier. En fait, cette jeune fille, Cécile, était dans notre établissement depuis longtemps, elle était déléguée de classe. Il faudrait que Caroline reprenne ce rôle de délégué. - Bien sûr oui, sans problème. N’est-ce pas Caroline. Caroline parle pour la première fois, avec une petite voix hésitante. - Heu … oui, tout à fait. - Tout à fait qui ? réagit le Directeur. - Heu .. Oui … Tout à fait, monsieur le Directeur. La timidité de Caroline est un délice pour le Directeur. Il continue : - Bon, je vois que Caroline réagit bien. Je ne doute pas qu’elle pourra remplacer Cécile à son poste de délégué. Mais je voudrais qu’elle prenne sa place dès le début. Et vis-à-vis des autres élèves délégués, elle devra montrer tout de suite sa détermination à ce poste, son investissement pour notre établissement. - Oui, bien sûr, répond la mère de Caroline. - Je vous explique. Les délégués de toutes les classes entrent une semaine plus tôt que les autres élèves pour préparer et organiser l’année. Il faudra que Caroline soit là. - Bien sûr. - Et cette année, durant la semaine de préparation, nous allons revoir tout le système de sanction et des punitions associées. En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du legislateur, et il faut que nous réécrivons entièrement le règlement intérieur. - Oui … La mère de Caroline semble comprendre que le Directeur a encore des choses à demander à Caroline, mais elle ne voit pas vraiment où il veut en venir. - Comme je fais une exception, poursuit-il en appuyant sur le mot exception, en admettant Caroline malgré un dossier rendu hors délai, et bien qu’elle n’ait aucune expérience en tant que délégué, je vais lui demander de me monter que son investissement sera entier. Aussi, Caroline sera volontaire, durant la semaine de préparation entre délégués pour les différents tests de punition que nous allons réaliser. Caroline et sa mère reste silencieuse, elles ne comprennent pas vraiment ce que cela implique. - C’est-à-dire ? ose la mère de Caroline. - Hé bien, c’est très simple. Pour chaque punition que nous inclurons dans le nouveau règlement intérieur, il faudra la tester, pour en vérifier les effets. Il serait totalement irresponsable de notre part d’inclure dans le règlement des punitions dont nous n’aurions pas mesuré tous aspects. Nous avons donc besoin d’un élève volontaire, qui subira chacun de ces châtiments, les uns après les autres, pour que nous en mesurons toute la portée. Il dit cette dernière phrase en regardant Caroline dans les yeux, qui détourne le regard aussitôt. Puis il poursuit : - Il y a 6 ans, lors du dernier changement, nous n’avons pas eu de volontaire. J’ai été contraint de désigner un élève, au hasard, et l’injustice du tirage au sort a été très mal perçu. C’est pourquoi, un élève volontaire serait bénéfique et pour moi, et bien sûr pour Caroline qui montrera ainsi à tous sa force mentale et son engagement pour l’établissement. Elle sera ainsi très vite intégrée dans le groupe des élèves délégués, qui sont tous très investis et profondément respectueux des valeurs de notre établissement. Caroline regarde maintenant sa mère affolée. Celle-ci regarde le Directeur, elle veut réagir, dire que c’est exagéré comme demande, mais les mots ne lui viennent pas. Le Directeur montre un visage très fermé, qui semble montrer qu’il n’y a aucune négociation possible. Elle tente tout de même : - Heu, mais … Le Directeur la coupe immédiatement : - Bon, écoutez, je comprends que cela ne puisse pas vous convenir, mais c’est soit ça, soit nous ne prenons pas Caroline. Alors maintenant veuillez vous décider et partir, j’ai énormément de travail pour préparer la rentrée. Disant cela, il prend un dossier sur son bureau et semble se mettre à travailler, faisant mine de ne plus les voir. - Bon, finit par dire la mère de Caroline, c’est d’accord. Caroline est tétanisée, elle n’ose pas y croire. Le Directeur les raccompagne rapidement, en prenant le temps de sourire à Caroline en la regardant dans les yeux. Caroline passe ses deux dernières semaines de vacances à se demander ce qui va se passer pour elle. Elle a bien compris le principe, mais n’a aucune idée des punitions qui seront testées. Dans son ancien lycée, les punitions les plus graves étaient des jours de renvoie, mais ça ne se teste pas. Elle a bien entendu des lycées qui pratiquaient des punitions corporelles, mais elle pensait que ces punitions étaient interdites, alors cela ne peut pas être ça. D’un autre côté, elle ne peut s’empêcher de penser que le Directeur a évoqué de « nouvelles directives » et qu’il a aussi parlé de « châtiment », et à chaque fois qu’elle y pense, son sang se fige dans ses veines. Qu’entendait-il par « châtiment » ? Caroline est particulièrement timide, et surtout très pudique. Elle panique totalement à l’idée qu’elle va peut-être devoir se mettre dans des positions humiliantes devant les autres élèves, comme avec les mains sur la tête. Peut-être même qu’elle devra se mettre de dos et que le Directeur lui donnera des coups de règle sur les fesses. Elle panique complétement et ne dort presque plus. La semaine de préparation avec les délégués finit malgré tout par arriver. Le début de la semaine se passe plutôt bien, et Caroline s’intégre bien. Ils sont plus nombreux que ce que pensant Caroline. En effet, il y a 2 délégués par classe et l’établissement, qui est très grand, compte environ une trentaine de classe. Par ailleurs, en plus des délégués, tous les professeurs sont présents, ainsi que le personnel encadrant et administratif. Elle fait donc connaissance avec de nombreux élèves de toutes les classes, et en particulier avec Julien, qui est l’autre délégué de sa classe. Elle ne l’aime pas beaucoup parce qu’il la drague lourdement et qu’il fait régulièrement des commentaires graveleux, mais il est sérieux lorsqu’il s’agit de travailler. Les premiers jours sont consacrés à l’organisation de la cantine scolaire, les horaires des inter-court ou encore la répartition des espaces dans la cour, et finalement, personne ne parle du règlement intérieur. Lorsque le vendredi arrive, Caroline commence à penser que le Directeur a peut-être changé d’idée. Mais son espoir s’envole très vite en arrivant au lycée ce matin-là. Le Directeur accueille tout le monde dans la grande salle, comme tous les matins depuis de début de la semaine : - Bien, nous arrivons au dernier jour de notre semaine de préparation. Les autres jours, après une courte présentation, nous nous sommes répartis en groupes de travail, dans les différentes salles de classe de l’établissement, avant de nous retrouver en fin de journée tous ensemble ici. Comme les groupes ont été différents chaque jour, cela vous a permis de faire connaissance et de créer des liens entre vous. Aujourd’hui sera un peu différent, nous allons rester ensemble dans cette grande salle toute la journée. Notre mission du jour est de réécrire le règlement intérieur. Dès qu’elle entend cela, Caroline se fige sur place. Le Directeur poursuit : - En effet, nous avons de nouvelles directives de la part du législateur. Les punitions corporelles ont été validées, et elles sont maintenant même recommandées pour assurer un meilleur respect des consignes et du règlement par les élèves. Il y a de nombreux murmurent dans la salle, chacun se demandant ce que l’on entend vraiment par « punitions corporelles ». Caroline n’ose pas croire ce qu’elle entend. Elle se met à trembler, elle voudrait disparaitre. Le Directeur continue : - Nous avons donc une grosse journée de travail qui nous attend, et pour commencer je voudrais remercier une élève parmi vous qui n’a pas hésité à se porter volontaire pour nous faciliter ce travail. Cette élève c’est Caroline. Alors Caroline, venez me rejoindre sur l’estrade. Caroline ne bouge pas, elle ne peut pas. Tous les regards finissent par se tourner vers elle, le Directeur insiste, elle finit par avancer, comme un robot. Arrivée sur l’estrade, le Directeur lui demande de se placer face au groupe, et il reprend la parole : - C’est grâce au courage de Caroline qui s’est portée volontaire, que nous allons pouvoir tester chaque punition avant de l’inscrire dans le nouveau règlement. Vous allez tous devoir être très reconnaissant avec elle, pour son engagement pour l’établissement, car au nom de cette engagement, Caroline va passer une terrible journée devant vous. Car en effet, même si elle est volontaire, Caroline va subir des châtiments douloureux et particulièrement humiliants. Le Directeur marque un long silence pour que chacun prenne la mesure de ce qu’il vient de dire. Au début, la salle reste silencieuse et tout d’un coup, un brouhaha traverse la salle. Le Directeur reprend d’un ton très ferme : - Oui, humiliant. En effet, les châtiments corporels sont faits pour être à la fois douloureux et humiliants, s’attaquant à la pudeur de l’élève puni. Et pour la réalité du test, nous ne pourrons absolument rien épargner à Caroline. Nous allons pouvoir ainsi ajuster les châtiments, en fonction de ce qu’elle nous dira ressentir à chaque fois, tant sur le niveau de douleur ressenti, que sur le niveau de honte. Aussi, même si elle est volontaire pour subir tout cela devant vous, devant nous tous, je compte sur vous pour ne pas lui en reparler après cette journée. Caroline est horrifiée à chaque fois que le Directeur insiste sur le fait qu’elle est volontaire. Que doivent-il tous penser d’elle ? Ils pensent peut-être qu’elle aime être le centre de l’attention, qu’elle aime qu’on la regarde, que c’est une perverse qui aime être humiliée. Elle a envie de pleurer. Elle s’en veut terriblement de na pas avoir la force de caractère de répondre au Directeur, de dire à tout le monde que c’est faux, qu’elle n’est pas volontaire, que c’est le Directeur qui l’a forcé et de partir en courant. Mais elle ne peut pas. Elle se sent faible. Elle sait que ce qui va se passer va être terrible, et en même temps, le plus terrible pour elle c’est qu’elle sait qu’elle va docilement faire tout ce que le Directeur va lui demander de faire, parce qu’elle n’a pas le courage de se rebeller. Le Directeur continue : - D’ailleurs, pour être sûr que tout ce qui va se passer ici aujourd’hui reste ici, vous allez tous signer un contrat de confidentialité. Vous ne pourrez parler de cette journée à personne. Bien sûr, vous pourrez expliquer les changements du règlement intérieur, en revanche, vous ne pourrez pas dire que c’est Caroline qui était volontaire pour les tests. Ces contrats sont très importants, car comme ces punitions ont un but dissuasif, pour faire peur aux élèves, nous allons faire des photos de chaque punition. Chaque punition du règlement sera ainsi illustrée d’une photo explicite, ce qui donnera envie, je l’espère, à chaque élève de l’établissement de respecter scrupuleusement le règlement. Bien évidemment, les photos ne montreront pas le visage de Caroline, et il vous est interdit à tous, de divulguer à quiconque n’est pas dans cette salle aujourd’hui qu’il s’agit de Caroline sur les photos. Vous serez les seuls au courant. Le Directeur laisse un long silence, puis fait passer les contrats à chacun, rendant le moment bien solennel. Le Directeur désigne Daniel, le responsable du club photo comme photographe de la journée. - Daniel, je sais bien qu’il va être difficile de faire des photos sans le visage de Caroline. Ce que je vous propose, c’est de faire toutes les photos sans vous préoccuper de cela, et ensuite vous vous occuperez de faire des recadrages. N’hésitez pas à faire de très nombreuses photos, avec des angles et des zooms différents, avec le numérique cela ne coute rien, et ainsi nous pourrons choisir facilement les meilleurs clichés. Daniel ne dit rien, mais il est ravi de cette proposition. Il sait très bien qu’il va pouvoir discrètement garder les clichés d’origine, avec le visage de Caroline. Il ne pourra s’en vanter auprès de personne, car il est conscient d’avoir signer le fameux contrat de confidentialité, mais il les aura pour lui, et c’est déjà une idée qui lui plait beaucoup. Caroline est toujours plantée sur l’estrade, les yeux dans le vide. Elle a mille pensées qui lui traversent l’esprit et sent une énorme boule dans son ventre. Elle montre un grand calme à l’extérieur, mais bouillonne à l’intérieur. Le Directeur reprend la parole : - Bien, je vous explique comment nous allons procéder. En fait, pour chaque manquement au règlement intérieur, nous allons associer une punition niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Et avant cela, nous allons ensemble définir ce que sera la punition de niveau 1, 2, 3, 4 ou 5. Nous allons donc commencer par la punition niveau 1. Je vais vous faire une ou deux propositions à chaque fois, et nous voterons. Les votes seront anonymes, et réalisés sur vos tablettes. Vous allez à chaque fois pouvoir aussi ajouter des commentaires, ou répondre à mes questions pour que nous puissions tenir compte de l’avis de tous. Déjà, pour chaque punition, l’élève puni devra se présenter sur l’estrade devant sa classe, un peu comme aujourd’hui donc, même si aujourd’hui nous avons aussi la présence de tout le corps enseignant. Donc, l’élève devra se présenter sur l’estrade, les mains sur la tête, la tête droite et les jambes écartées. Le Directeur regarde Caroline fixement, et elle comprend qu’elle doit s’exécuter. Elle place alors ses mains sur la tête et écarte légèrement les jambes, elle se sent complétement sous la coupe du Directeur. Caroline est déjà mal à l’aise dans l’uniforme de l’établissement depuis le début de la semaine, là c’est pire que tout. Comme elle est très réservée, Caroline se sent à l’aise lorsqu’elle porte un jean ample et un gros pull, des vêtements qui ne montrent pas vraiment les formes de son corps. L’uniforme de l’établissement n’est pas du tout à son gout. En effet, elle porte une jupe qui arrive au-dessus des genoux, un chemisier blanc et un petit blaser. Le Directeur reprend : - Bien, pour la punition niveau 1, ce sera forcément assez soft. Sans prévenir, le Directeur saisit d’un coup Caroline par le bras et la retourne dos à la salle. Il appuie sur son dos, pour qu’elle se penche en avant dos à plat. Il donne des coups avec ses pieds sur l’intérieur de ses chevilles pour lui faire écarter les jambes en grand. Dans cette posture Caroline a les fesses bien en arrière, bien en évidence. Caroline se sent terriblement gênée. Elle sent bien que sa jupe remonte sur ses cuisses, et elle se demande jusqu’où. En plus, elle sent bien que dans cette posture sa jupe moule complétement ses fesses que tous les yeux de la salle doivent fixées. Sans prévenir, le Directeur abat violement sa main sur la fesse droite de Caroline et la claque. Il donne 5 claques assez fortes du plat de la main. Lorsqu’il a fini, il se tourne vers la salle en laissant Caroline dans cette posture. - Voilà ce que nous pouvons faire de plus soft pour le niveau 1. Maintenant, je voudrais vous proposer une variante. Nous pourrions en effet aller plus loin et relever la jupe de Caroline dès le niveau 1. Caroline n’ose pas y croire. Déjà, elle n’imagine pas la honte qu’elle va ressentir lorsque le Directeur va lever sa jupe, car il apparait maintenant évidement qu’elle n’y coupera pas et que tous les élèves et les professeurs de la salle vont voir sa culotte. Mais surtout, son cerveau tourne à mille à l’heure sans parvenir à comprendre, si elle montre sa culotte pour la punition niveau 1, il va se passer quoi ensuite ? Et que va être le niveau 5 ? Elle n’avait jamais envisagé qu’elle devrait montrer ses fesses nues, mais comment en serait-il autrement ? Et elle n’y croit toujours pas, elle ne veut pas y croire. Caroline est dans ses pensées lorsqu’elle sent les mains du Directeur attraper le pan de sa jupe et la soulever très lentement. Il s’est mis sur le côté pour que toute la salle profite du spectacle. Lentement, le Directeur remonte sa jupe et toute la salle découvre les fesses de Caroline moulées dans une culotte blanche très sobre. Le Directeur fait alors le tour de Caroline pour se mettre de l’autre côté et lui donne à nouveau 5 fortes claques du plat de la main, sur l’autre fesse. Il demande alors à la salle de voter pour la première ou la deuxième version, tout en laissant Caroline dans cette posture, la jupe relevée. - Attention, précise-t-il, je vous rappelle que nous sommes au niveau 1, il ne faudrait pas commencer trop haut, et en même temps il faut vous demander si de simples claques par-dessus la jupe constitue réellement une punition. Quand tout le monde a voté, il demande à Caroline de se placer face à la salle, les mains sur la tête et les jambes écartées. - Caroline, je sais qu’il va commencer à être difficile de regarder vos camarades, sachant qu’ils ont tous vu votre culotte et que vous aviez vos fesses bien en évidence tournées vers eux. Bien évidemment, c’est humiliant pour vous. Mais cela fait partie du test. Caroline, vous allez maintenant nous dire si vous avez ressenti de la douleur et de l’humiliation. Et à chaque fois que nous monterons de niveau vous allez pouvoir nous dire si le niveau de douleur et d’humiliation augmente. Caroline ne répond rien. Le Directeur insiste : - Alors Caroline, avez-vous ressenti de la douleur et de l’humiliation ? Elle finit par dire, très timidement : - Oui, les deux. - Les deux quoi ? - Heu, j’ai ressenti de la douleur et de la honte. - Parfait. Qu’est-ce qui vous a fait ressentir de la honte exactement ? - Heu … le fait d’avoir montré ma culotte, mais aussi la … position. - Très bien, et avez-vous senti que les claques sur la culotte faisaient plus mal que celles sur la jupe, du fait que moins de vêtement vous protégeaient ? - Heu, pas vraiment. C’est surtout que j’avais vraiment honte que ma jupe soit … relevée. - Hummm … Je comprends, donc, entre les deux la douleur est à peu près équivalente, mais le niveau d’humiliation est plus important, c’est noté. Bien, concernant les votes, je suis bien embêté, nous avons quasiment moitié-moitié dans les votes, ce n’est pas très tranchant. Quelqu’un aurait une suggestion ? Le professeur d’Allemand prend alors la parole : - Nous pourrions envisager quelque chose d’un peu intermédiaire entre les deux. Si Caroline se retourne dos à la salle, les jambes écartées comme elle était, mais qu’elle se penche beaucoup plus, jusqu’à mettre ses mains sur ses chevilles, cela fera remonter sa jupe et laissera un peu voir sa culotte mais pas complétement. - Cela me semble une bonne suggestion, répond le Directeur. Essayons. Le Directeur lance à Caroline son regard qui lui dit de s’exécuter. Caroline continue à faire tout ce que lui dit le Directeur, sans se révolter, alors que dans sa tête elle hurle que tout cela n’est pas juste, qu’elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle se tourne donc, se penche, attrape se chevilles, et en effet, sa jupe remonte tellement que l’on voit le bas de sa culotte. En fait, cette posture est tellement suggestive qu’elle est encore plus excitante pour tous les garçons de la salle. - Bon, reprend le Directeur, je ne vais pas à nouveau claque les fesses de Caroline, la douleur sera la même que tout à l’heure et comme il y aura d’autres claques, nous allons préserver un peu le fessier de notre volontaire. Le Directeur lance alors un nouveau vote, puis s’ensuit une discussion d’environ 10 minutes pour finaliser le choix de la punition niveau 1. Et durant ces 10 minutes, le Directeur laisse Caroline dans la posture dos à la salle et mains sur les chevilles. Caroline veut se manifester, dire qu’elle peut peut-être se relever, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle se sent tellement gourde d’obéir comme ça. Et elle continue d’être terrifiée à l’idée que tous les garçons de la salle pense qu’elle a demandé à être là, qu’ils pensent qu’elle montre sa culotte de son plein gré. Cette position est vraiment très humiliante pour Caroline. Elle commence à avoir envie de pleurer, et elle se dit qu’elle ne tiendra pas la journée. Le Directeur annonce alors que le test de la punition niveau 2 va démarrer. Et ajoute : - Caroline, comme vous nous avez dit qu’il n’y a pas de différence au niveau douleur entre les claques sur la jupe et sur la culotte, pour le niveau 2, si nous voulons passer un cran dans la douleur, il va falloir que je claque vos fesses nues. Un murmure d’excitation parcoure la salle. Les garçons comprennent que cette fois, ils vont voir les fesses de Caroline totalement déculottée. Ils n’osent pas y croire. Et plus la journée avance plus ils se disent qu’ils vont franchement passer un bon moment. Non seulement ils vont voir les fesses de Caroline, mais en plus ils vont pouvoir faire des commentaires, peut-être même proposer de tester les positions les plus humiliantes. Certains commencent déjà à imaginer les punitions de niveau 4 et 5. Le Directeur demande le silence, puis d’une voix forte demande à Caroline de retirer sa jupe. Tout le monde redevient attentif et fixe son regard sur Caroline, debout sur l’estrade. Caroline ne bouge pas tout de suite, ses mains tremblent. Le regard insistant du Directeur la pousse à se mettre en mouvement. Elle dégrafe les deux boutons sur le côté de sa jupe, puis la laisse glisser à ses pieds. Elle place alors ses mains devant sa culotte, terriblement gênée. - Caroline, mettez-vous en position de punie. Caroline s’exécute et place alors lentement ses mains sur sa tête. Le Directeur ne la laisse pas longtemps dans cette position. Il la retourne rapidement dos à la salle et appuie sur son dos pour qu’elle se penche à l’horizontale. - Bien alors maintenant, je vous propose 3 différentes options pour le déculottage de Caroline. La première option, c’est Caroline qui se déculotte elle-même. Allez Caroline, baissez votre culotte et montrez à tous vos fesses nues. Entendre les mots fesses nues tétanise Caroline. Elle a l’impression d’être deux personnes différentes. Une personne qui veut résister et qui hurle dans sa tête, et une autre qui contrôle le mouvement de ses mains et qui les obligent à faire des choses qu’elle ne veut pas faire. Ainsi, ses mains se dirigent lentement vers sa culotte, ses doigts glissent dans l’élastique de son sous-vêtement, tout doucement elle découvre ses fesses en baissant sa culotte. Elle place le sous vêtement juste sous ses fesses. Sans attendre, le Directeur arrive sur le côté et lui claque violement les fesses du plat de la main à 5 reprises. Laissant Caroline les fesses à l’air, le Directeur explique : - Voilà pour la première version. Maintenant, il peut y avoir des variantes. Déjà, en tant que Directeur, je peux aussi baisser moi-même la culotte de Caroline. Evidemment, si un professeur punit un élève, le professeur pourra faire de même. Alors Caroline, remontez-donc cette culotte pour que je la baisse à nouveau. Vous pourrez ensuite nous dire ce qui est le plus humiliant pour l’élève puni. Caroline s’exécute et remonte sa culotte. Ensuite, le Directeur s’approche, et place ses doigts dans l’élastique de la culotte de Caroline. Puis, il explique : - La grosse différence ici, c’est que l’élève puni ne maitrise pas le timing. En effet, Caroline ne sait pas du tout à quel moment ses fesses seront offertes à tous. Le Directeur a toujours les doigts glissés dans le sous vêtement. Caroline sent la peau de ses doigts contre la peau de ses fesses. Cette sensation est terriblement gênante. Et elle comprend vraiment ce que dit le Directeur, son cœur bat à tout rompre. Elle sait que sa culotte va être baissée, elle est partagée entre l’idée qu’elle ne veut pas que ce moment arrive et en même temps elle voudrait que ce soit fini vite. Ce moment où elle sait que cela va venir et que ça ne vient pas est terriblement stressant. Le Directeur le sait, et il continue à parler durant presque 10 minutes. Il explique le principe des punitions, insiste à nouveau sur le fait que Caroline est volontaire pour ces tests, puis ajoute que le courage de Caroline est exemplaire car tout ceci n’est que le début de son humiliation et qu’un niveau sera franchi à chaque punition. Et d’un coup, au milieu d’une phrase il baisse brutalement la culotte. Caroline ne peut pas s’empêcher de lancer un cri de surprise et de honte. Comme l’avait fait Caroline, il place sa culotte roulée juste en bas de ses fesses. - Bon, comme tout à l’heure, je ne vais pas re-claquer les fesses de votre camarade, elle a déjà subi cela. Et comme vous pouvez voir, les marques rouges sont encore là. En revanche, je voulais aussi vous proposer une troisième option. Si ce n’est ni Caroline, ni moi, qui baissions sa culotte, cela pourrait être quelqu’un d’autre. J’ai pensé à un camarade de classe, c’est très humiliant bien sûr, pour un élève d’être déculotté par un autre élève, qui plus est si pour une fille, nous faisons appel à un garçon. Tous les garçons de la salle s’imaginent en train de déculotter Caroline, et un frisson d’excitation envahi la salle. Le Directeur reprend : - Dans la réalité, il s’agira d’un camarade de classe, puisque les punitions se passent devant la classe. C’est pourquoi, j’ai pensé au binôme de Caroline, Julien, qui est également délégué de sa classe. Julien n’en croit pas ses oreilles, son excitation est à son comble. Caroline quant à elle ne veut pas y croire, cela ne pouvait pas être pire. Elle sait pertinemment, que quelque soit ce qu’il y a d’écrit dans le contrat, Julien lui fera durant toute l’année des réflexions sur cet épisode lorsqu’ils seront tous les deux, et elle sait aussi qu’elle n’aura pas le courage de s’en plaindre. Le Directeur enchaine : - Caroline, remonter votre culotte et replacez-vous en position de punie face à la salle. Une fois votre jupe retirer, la punition de niveau 1 pourrait donc consister à demander à l’un de vos camarades de vous mettre en position et en tenue pour recevoir votre fessée. Julien, venez donc nous rejoindre. Julien ne se fait pas prier, et monte rapidement sur l’estrade. Le Directeur reprend : - Caroline, vous allez maintenant demander à votre camarade d’avoir la gentillesse de vous préparer pour la punition. Caroline n’arrive pas à prononcer un son. Sans prévenir, le Directeur passe dans le dos de Caroline et lui claque les fesses violement. - Allez mademoiselle !! On vous écoute ! Caroline, complétement matée dis d’une toute petite voix : - Heu … Julien, veux-tu me préparer pour la punition. - Plus fort ! Demande le Directeur. Caroline reprend la même phrase, plus forte. Le Directeur intervient : - Caroline, dites à votre camarade en quoi consiste exactement cette préparation. Après plusieurs essais, Caroline finit par dire : - Julien, j’aimerais que tu me baisse ma culotte pour que je reçoive une fessée sur mes fesses nues devant tout le monde, et que tu me places en position, les fesses nues bien tournées vers la salle. C’est un vrai supplice pour Caroline. Julien, lui, n’en perd pas une miette. Le moment tant attendu pour lui arrive enfin, le Directeur lui dit qu’il peut donc déculotter sa camarade. Julien pratique comme le Directeur, en tournant Caroline dos à la salle, et en appliquant sa main dans son dos pour qu’elle se penche à l’horizontal. Il se met ensuite bien sur le côté pour que toute la salle en profite puis glisse ses doigts dans l’élastique de la culotte et la baisse. Il fait glisser le vêtement jusqu’au milieu des cuisses, mais le Directeur le reprend très vite et lui demande de remonter la culotte juste sous ses fesses. Julien est déçu, mais au moins lui a pu bien profiter du spectacle de l’entre-jambe Caroline si offerte dans cette position, car en effet, avec les jambes écartées, sa vulve est très visible, et Julien n’était qu’à quelques centimètres de l’intimité de Caroline. Une fois la culotte placée juste sous les fesses, la position est bien plus pudique, même si bien sûr tout le monde voit à nouveau les fesses de Caroline, encore rouge des claques données par le Directeur tout à l’heure. Le Directeur fait redescendre Julien, qui est bien déçu de ne pas rester, puis s’ensuit le protocole du vote. Encore une fois, durant les 15 minutes de vote et de débat, le Directeur laisse Caroline dos à la salle, les fesses bien en évidence, et cette fois-ci même, les fesses nues. Le Directeur finit par demander à Caroline de remettre sa culotte de de se tourner, en position de punie face à la salle. - Alors Caroline, demande le Directeur, la douleur et l’humiliation sont elles plus fortes que pour la punition de niveau 1 ? - Heu … oui en effet. - C’est-à-dire ? Caroline répond comme un robot, elle n’est plus du tout maitre de ce qu’elle fait ou de ce qu’elle dit. Elle ne présente aucune once de rébellion. - Et bien, les claques sur la peau nues sont plus douloureuses. Pour l’humiliation, je me suis sentie terriblement honteuse de monter mes fesses à tout le monde. - Et qu’est ce qui est le plus humiliant ? Lorsque c’est vous, moi ou Julien qui a baissé votre culotte ? - C’était très difficile lorsque c’était vous, car je ne savais pas quand ça allait arriver et j’ai été surprise. Avec Julien, le plus humiliant a été de lui demander, avec précision, de me déculotter. Et puis aussi, de savoir que c’est un garçon que je vais voir tous les jours, parce qu’à chaque fois que je vais le voir en classe, je ne pourrais pas m’empêcher de repenser à ce moment. Le Directeur est plus que satisfait de ses réponses. Caroline reste en position de punie, les mains sur la tête, face à la salle, les jambes écartées durant tous les échanges. Elle n’a pas récupéré sa jupe et elle est toujours en culotte. Il est voté que le niveau 2 serait une fessée déculottée, et que le déculottage serait demandé à un camarade de classe. Il est bien précisé que la punie devrait demander à son camarade de la déculotter. Caroline s’en veux d’avoir dit que c’était le plus humiliant, car elle se dit que sinon cela n’aurait peut-être pas été retenue. En plus, elle se dit que maintenant, le Directeur va peut-être redemander à Julien de participer aux autres niveaux et cela l’angoisse. Le Directeur annonce d’une voix ferme : - Bien, passons au niveau 3. Caroline a un violent pincement au cœur. Encore 3 niveaux de plus, elle se dit qu’elle ne pourra vraiment pas le supporter. Que va-t-il se passer ? Elle va surement devoir retirer sa culotte, elle le sait, mais ce qu’elle redoute le plus maintenant c’est de se retrouver face à la salle sans culotte. Monter son sexe à tout le monde serait tellement humiliant, elle ne peut pas l’envisager. Le Directeur reprend : - Pour la punition de niveau 3, je vais vous faire une proposition, et nous échangerons ensuite sur les possibilités de variantes. Sans se retourner vers Caroline, il poursuit : - Caroline, veuillez aller chercher votre camarade julien dans la salle. Ce que Caroline redoutait se produit donc, Julien va dons à nouveau participer à sa punition. Comme un robot, elle descend de l’estrade et traverse la grande salle, Julien étant installé au fond. Chacun peut alors profiter le voir Caroline de plus près, sans sa jupe. Caroline arrive devant Julien et lui demande distinctement de bien vouloir la rejoindre sur l’estrade pour la préparer pour sa punition, et Julien la suit. De retour sur l’estrade, Caroline se place en position face à la salle. Le Directeur reprend : - Caroline, vous allez demander à Julien de vous retirer votre veste et votre chemisier, pour que vous soyez en culotte et en soutien-gorge devant tout le monde. Caroline ne s’attendait pas du tout à cela. Elle pensait que Julien allait lui retirer sa culotte. A aucun moment elle n’a envisagé de perdre d’autres vêtements. Une terrible honte l’envahie. Serait-il possible que le Directeur finisse par la mettre totalement nue devant tout le monde ? Non, elle ne veut pas y penser, pourtant elle ne peut pas s’en empêcher. - Caroline on vous attend, insiste le Directeur. Caroline s’exécute, des sanglots dans la voix : - Julien, j’aimerais que tu me retires ma veste et mon chemisier pour que je me retrouve en soutien-gorge et en culotte devant tout le monde, pour ma punition. Julien est aux anges. Il prend un plaisir fou à déshabiller très lentement Caroline. Après lui avoir retirer sa veste, il se place devant elle pour déboutonner son chemisier, lentement, bouton après bouton. Au début Caroline est plutôt contente que Julien se place devant elle, comme ça il fait un peu rempart, la salle ne peut pas la voir et elle ne les voit plus non plus. Mais son répit ne dure pas, car à la place elle sent le souffle chaud de Julien qu’elle sent haletant d’excitation. En plus il la regarde bien dans les yeux et arbore un sourire de satisfaction qui la dégoute complétement. Après avoir dégrafé tous les bouton, Julien passe derrière Caroline. Il est plutôt à l’aise et veut montrer au Directeur qu’il a bien compris qu’il devait mettre Caroline mal à l’aise. Il espère ainsi qu’il pourra continuer à être actif pour les autres niveaux. Une fois derrière Caroline, il l’entoure de ses mains et attrape les deux pans de son chemisier, qui pour le moment la couvre bien. Il reste ainsi quelques secondes, sentant la respiration de Caroline s’accélérer. Julien sait que cette attente est un supplice pour Caroline. Et puis, sans prévenir, il ouvre violement les 2 pans du chemisier, offrant à toute la salle la poitrine de Caroline moulée dans un délicieux soutien-gorge blanc. Il entreprend alors de faire glisser le vêtement sur ses bras et de le retire complétement. Il replace les mains de Caroline sur sa tête, et se place de côté pour profiter à son tour de ce magnifique spectacle. Comment aurait-il pu imaginer ce matin qu’il allait déshabiller une élève pour qu’elle se retrouve en sous-vêtement devant une soixantaine d’élèves, des professeurs et tout le personnel de l’école, debout, les mains sur la tête ? Il sent que son jean cache difficile sa terrible érection, mais comment pourrait-il en être autrement ? Le Directeur félicite Julien pour ce déshabillage et se lance dans un petit discours sur l’importance du positionnement de l’élève qui déshabille. Il y a quelques échanges avec des professeurs qui racontent différentes situations qu’ils ont rencontrés lors d’autres punitions, et tous ses échanges durent de longues minutes, laissant Caroline en sous-vêtement à la vue de tous. Puis le Directeur intervient : - Bien, continuons. Caroline retourner-vous pour votre fessée. Caroline se retourne et d’elle-même se penche en avant, le dos à l’horizontal. Elle garde les jambes serrées, et pense qu’elle ne va pas échapper à nouveau au fait de montrer ses fesses. Le Directeur va chercher une chaise et la place devant Caroline, puis il ajoute : - Caroline, posez-donc vos mains sur l’assise de cette chaise. Les claques vont bien sûr être plus fortes que tout à l’heure, puisque la douleur doit monter d’un niveau, et il est important que vous restiez stable. Je vous demande donc de bien tenir l’assise de cette chaise avec vos mains. Sans prévenir, il passe alors derrière Caroline et lui baisse complétement sa culotte. Il lui donne une petite tape sur chaque cheville pour qu’elle lève le pied et lui retire complétement le vêtement. Il tend alors la culotte à Julien en disant : - Veuillez poser ce vêtement avec les autres. Caroline est horrifiée à l’idée que Julien tienne sa culotte entre ses mains. Le Directeur reprend : - Allez Caroline, mettez-vous en position. Vous ne serez jamais assez stable comme ça, vous devez écarter les jambes. Caroline s’exécute. - Plus que ça, allez. Caroline finit par écarter les jambes de presque 1 m. Dans cette position, toute la salle a une vue imprenable sur son intimité. Julien, qui est toujours sur l’estrade, n’en crois pas ses yeux. Tout à l’heure il a entraperçu cette intimité. Là, il voit très clairement sa vulve et les lèvres qui s’écartent. Caroline a une toison plutôt fine, et Julien distingue très clairement la chaire rose à l’intérieur de ses lèvres. Il est si près qu’il pourrait y glisser ses doigts juste en tendant la main. La bosse dans son jean, présente depuis presque qu’une heure devient presque douloureuse. Il aimerait pouvoir faire « pause », que le temps s’arrête et sortir son sexe dure pour se caresser et se soulager. Il voudrait tellement pouvoir jouir en regardant le sexe de sa camarade si offert. Les claques que le Directeur abat sur les fesses de Caroline le sortent de sa rêverie. La violence des coups est nettement plus forte que tout à l’heure et Caroline ne peut retenir des cris. Après 5 coups très forts, le Directeur demande à Julien de retourner à sa place, puis ajoute : - Bien, cette fois, il n’y a pas de vote car je ne vous ai proposé qu’une variante. A vous de faire des commentaires et des propositions, si vous avez des idées pour optimiser cette punition. Comme à chaque fois, le Directeur laisse Caroline dans la position de sa punition, position de plus en plus impudique. Après 15 minutes, il demande à Caroline de se relever et de se placer face à la salle. Caroline redoutait se moment. Bien sûr, les fesses exposées ainsi, elle était déjà très honteuse. Mais là, il va falloir à nouveau regarder tout le monde, et surtout si elle met les mains sur la tête, elle va devoir montrer son sexe. Elle n’est plus vêtue que de son soutien-gorge, et elle se sent si honteuse. Pourtant, comme depuis le début, elle obéit, docile. Elle se retourne, pose les mains sur sa tête, écarte les jambes et regarde bien droit devant elle, mais elle ne peut retenir des larmes. Le Directeur ne lui laisse pas le temps de souffler qu’il lui pose tout de suite des questions : - Bien Caroline, nous avons besoin de savoir comment vous évaluez le niveau de douleur et d’humiliation de cette punition. - Heu .. et bien, les claques étaient bien plus douloureuses. En fait, j’ai encore mal. Pour l’humiliation, c’est toujours très difficile de demander à un camarade de me déshabiller. Et puis, là, être presque nue devant tout le monde c’est vraiment terrible. Caroline a des larmes qui coulent sur ses joues lorsqu’elle parle. Le Directeur reprend : - Je comprends. Merci Caroline. J’incite à nouveau pour vous remercier. Vous saviez, en vous portant volontaire que ce serait une épreuve. Vous vous doutiez que vous seriez durement humiliée, j’imagine que vous saviez que vous seriez mise nue devant tout le monde, devant des camarades avec qui vous allez passer toute l’année, devant les professeurs qui vont vous faire cours, et pourtant vous n’avez pas hésité. Vous le savez tous, la discipline doit être exemplaire dans notre établissement. Aussi, le fait de mettre en place un système de punition dissuasif est essentiel. Si le système est suffisamment dissuasif, personne ne dérogera aux règles et Caroline sera peut-être la seule à subir tous ces châtiments. Alors encore une fois je remercie le courage de Caroline. Je vois à travers les larmes de votre camarade, que maintenant que nous y sommes, vous regrettez peut-être. C’est normal. Mais je sais que votre détermination était forte, et je ne vous laisserai pas abandonner. Vous subirez les punitions jusqu’au niveau 5, et s’il faut, je vous bousculerai, comme j’ai fait tout à l’heure pour que vous fassiez ce que l’on vous demande. Il est très important que vous nous décriviez précisément ce que vous ressentez, à chaque étape. Alors Caroline, vous disiez que demander à votre camarade de vous déshabiller est humiliant, et que vous présenter face à vos camarades uniquement vêtue d’un soutien-gorge est humiliant. Qu’en est-t-il de la fessée, sur vos fesses nue ? - Et bien oui, répond Caroline, bien sûr, c’est humiliant. Mais il est vrai que la douleur prend le dessus et surtout, tout à l’heure j’avais déjà les fesses nues, il n’y avait pas vraiment de changement. Un brouhaha se fait dans la salle, Caroline ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Encore une fois, elle s’en veut de répondre si précisément et honnêtement aux questions du Directeur, mais elle ne contrôle pas ses réponses. Elle a l’impression que le Directeur l’hypnotise et la fait parler sans qu’elle ne puisse choisir de ne pas le faire. Le Directeur reprend : - Si je comprends bien, Caroline, vous avec ressenti la même honte avec la culotte baissée juste dessous vos fesses et la culotte complétement retirée ? Caroline répond doucement : - Heu … oui, en quelque sorte. Ce qui est honteux c’est de montrer ses fesses. Le Directeur semble pensif. Puis se dirige vers Daniel, qui depuis le début prend des photos de la séance. Personne ne comprend ce qui se passe, mais le Directeur et Daniel s’affaire autour de l’appareil photos et de l’ordinateur du Directeur, puis le vidéoprojecteur s’allume et une photo de Caroline, les fesses à l’air, les jambes écartées, son entrejambe totalement visible apparait sur l’écran géant qui recouvre le mur derrière Caroline. Face à la salle, elle ne voit rien, et entend des murmures, des rire, et voit des sourires sur les visages de ses camarades. Le Directeur intervient : - Caroline, retournez-vous. Caroline se retourne et découvre la photo. Elle pousse un cri de terreur et porte sa main à sa bouche. Elle est si pudique, qu’elle n’a jamais imaginé ce qu’elle pouvait montrer dans cette position. En plus, tout à l’heure la douleur était si forte qu’elle ne pensait pas du tout à sa pudeur. Elle découvre avec horreur tout ce que ces camarades ont vu. Elle se sent bien ridicule d’avoir honte d’être vue debout de face, alors que tout le monde a eu une vue tellement plus intime il y a à peine quelques minutes. La photo semble zoomée de très près et l’écran et si grand que tout le monde peut voir tous les détails. Ses poils, ses lèvres … Son sexe est totalement offert à tous. Au comble de la honte, elle voit que tout le monde peut aussi voir son anus. Elle réalise que c’est la première quelle voit son propre anus et elle trouve cela particulièrement gênant. Caroline est totalement sous le choc. Le Directeur laisse Caroline devant sa photo un long moment, laissant à toute la salle le plaisir de revoir l’entrejambe de Caroline si bien offerte, puis intervient : - Bien. J’imagine Caroline que vous voyez maintenant la différence entre une fessée culotte baissée et une fessée sans culotte. Nous allons pouvoir reprendre, et finalisé la punition niveau 3. Des échanges ont lieu durant près d’une demi-heure, le Directeur lisant tous les commentaires que chacun a pu faire sur sa tablette. Certain commentaire n’apporte rien, mais le Directeur prend un malin plaisir à les lire quand même, et même à les commenter : - Quelqu’un a écrit « C’est tellement excitant de voir Caroline les fesses nues, les jambes écartées et la chatte à l’air, que je vais me branler tous les soir en y pensant ». Alors non, je vous demande d’éviter ce genre de commentaires. Déjà, cela ne nous aide pas à avancer. En plus, je vous ai demandé explicitement d’être respectueux avec votre camarade. Vous pensez vraiment que c’est respectueux de rajouter à la honte de Caroline en lui disant que tous les garçons de cette salle vont garder des souvenirs, des images en tête, et qu’ils vont penser à elle pour assouvir leurs plus vils instincts. Au final, après un débat animé, il est décidé que pour chaque punition, la séance sera filmée et diffusée en directement sur l’écran de la classe, pour que l’élève puni se rende bien compte de ce qu’il montre, et ajouter à sa honte. Il est question un moment de mettre des photos, mais c’est techniquement trop compliqué, l’avantage du film, c’est le côté « en direct ». Daniel est donc chargé de prendre tout en film à partir de maintenant, et de le diffuser sur l’écran derrière. Sophie, qui est aussi au club photo, va quand à elle prendre le relai de Daniel pour les photos. Par ailleurs, comme tout le monde a pu voir qu’il était humiliant pour Caroline de décrire son ressenti après chaque punition, il est décidé qu’à partir du niveau 3, il sera demandé à l’élève puni de décrire précisément la honte qu’il a ressenti. La photo est toujours affichée en gros plan, Caroline a envie de vomir, mais elle sait que son épreuve n’est pas terminée. Le Directeur fait taire tout le monde et reprend : - Bien, nous en sommes déjà au niveau 4. Bien évidemment, pour ce niveau, Caroline ne va pas garder son soutien-gorge, elle sera mise totalement nue. Le déshabillage fait partie intégrante de la punition. On peut demander à la punie de le faire elle-même, ou, comme vous avez pu le voir de demander à un camarade de le faire, ou encore de laisser faire le professeur qui punit. Caroline, allez vous rhabiller. Caroline n’en croit pas ses oreilles. Tout serait-il fini ? La Directrice veut-il finir de discuter les derniers niveaux juste en échangeant ? Tout à ses réflexions elle va vers ses vêtements de se rhabille. Cette petite jupe et ce chemisier qu’elle trouvait si indécent en début de semaine lui font l’effet d’une énorme couverture la protégeant des regards. Elle reste sur l’estrade, ne sachant pas trop si elle peut retourner à sa place, mais se dit qu’enfin, son calvaire est terminé. Elle est complétement dans sa bulle et n’écoute pas su tous les échanges qui ont lieu. La voix du Directeur finit par la sortir de sa torpeur : - Caroline, nous en sommes donc au niveau 4. Venez vous remettre en position de punie. Je vous ai demandé de vous rhabiller, car pour ce niveau, nous avons voté pour un déshabillage particulier, et il fallait donc que vous remettiez vos vêtements pour que nous puissions tester le déshabillage. Caroline est dépitée. Tous ses espoirs s’évanouissent. Elle va donc tout subir, jusqu’au niveau 5. Le Directeur reprend : - Avez-vous entendu ce que l’on attend de vous pour ce déshabillage ? - Heu … non, je suis désolée, j’étais concentrée sur le fait de remettre mes vêtements, répond doucement Caroline. Le Directeur reprend : - Bien, alors, je vous explique. Vous allez choisir 5 camarades et chacun d’entre eux va vous retirer un vêtement. C’est vous qui devez choisir qui va venir et quel vêtement il va retirer. Ce qui a été décidé, c’est que comme vous êtes une fille, vous devez choisir 5 garçons. Caroline en a mal au ventre. Elle a l’impression que se retrouver nue va être encore plus difficile maintenant qu’elle a pu remettre ses vêtements. Elle se sent encore plus honteuse que tout à l’heure. Comme si savoir ce qui allait se passait augmentait encore plus sa honte. En plus choisir elle-même qui va venir la terrifie. Que vont penser les garçons qu’elle va choisir ? Qu’elle les préfèrent aux autres ? Qu’elle a envie qu’ils la voient de près ? En plus elle n’est plus vraiment sûr de tous les prénoms. Au comble de la honte, Caroline doit appeler chaque élève, puis lui demander distinctement « Karim, je voudrais que tu me retire ma veste pour ma punition », « Olivier, je voudrais que tu enlèves mon chemisier pour ma punition, et que tu me mette en soutien-gorge », « Maxime, je t’ai choisi, pour que tu m’enlèves ma jupe et que tu me mettes en sous-vêtement devant tout le monde » … Ainsi, Caroline se retrouve à nouveau en sous-vêtement devant toute la salle. Le moment redouté arrive, elle va devoir demander à un garçon de lui retirer son soutien-gorge. Elle a déjà été beaucoup humiliée, mais montrer ses seins lui parait être une nouvelle étape bien difficile. Elle ne sait pas qui choisir. Elle finit par se décider à appeler un camarade, mais elle se mélange dans les prénoms : - Laurent, je voudrais … Le Directeur l’interrompt brutalement. - Laurent ? Vous appelez Laurent ? - Heu … Oui, bredouille Caroline. Le Directeur reprend : - Alors mademoiselle, il n’y a qu’un seul Laurent dans cette salle, et c’est Monsieur Giron, votre professeur de mathématiques. Caroline est rouge de honte. Elle veut intervenir pour dire qu’elle s’est trompée de prénom, mais le Directeur ne la laisse pas parler : - Alors sachez qu’il vous est interdit d’appeler vos professeures par leur prénom, bien évidement. Maintenant si vous tenez absolument à ce que ce soit Monsieur Giron qui vous mette nue, je n’y vois pas d’inconvénient. C’est un choix surprenant, d’autant que vous avez choisi l’option mathématiques est que vous aurez cours avec ce professeur presque 8h par semaine, mais si c’est votre choix. Je vous demande juste de reformuler en appelant Monsieur Giron, et non Laurent bien évidement. Caroline cherche ses mots pour s’expliquer, mais elle ne trouve pas. Docile comme toujours, elle finit par s’entendre dire : - Monsieur Giron, s’il vous plait, je voudrais que vous me retirer mon soutien-gorge, pour me préparer à ma punition et ainsi me laisser les seins nus, devant tout le monde. Le professeur de mathématiques est un jeune professeur plutôt bel homme. Il monte rapidement sur l’estrade. Il tourne Caroline dos à la salle, puis passe ses mains dans son dos et dégrafe le sous-vêtement. Il fait glisser très délicatement les bretelles du vêtement sur ses épaules. Il est très près de Caroline. Caché par la jeune fille, la salle ne voit pas le visage du professeur. Il en profite pour regarder Caroline droit dans les yeux et lui murmure « je suis ravie que vous m’ayez choisi mademoiselle ». En faisant glisser le vêtement et découvrant la poitrine généreuse de Caroline il ajoute « C’est un délice de vous mettre nue et d’être si près » ; Il prononce cette phrase en regardant avec insistance les seins de Caroline. Caroline sent ses joues devenir cramoisies. Elle ne sait plus où se mettre. Son professeur de mathématiques va-t-il vraiment croire toute l’année qu’elle a voulu que ce soit lui qui la mette nue ? Et que vont penser les autres élèves en sachant qu’elle a choisi son professeur ? Ses joues la brulent. Son professeur ajoute alors « je suis aussi ravie de voir que tout cela vous fait de l’effet ». Et puis sans prévenir, il la retourne vivement, offrant sa poitrine à la vue de tous. Le Directeur intervient : - Caroline, vous avez insisté pour que votre propre professeur vous déshabille, alors allons jusqu’au bout, demandez lui la suite. Caroline pleure à nouveau, mais s’exécute : - Monsieur Giron, j’aimerai que vous me retiriez ma culotte, pour me mettre entièrement nue devant tout le monde. Monsieur Giron se met alors à genou devant Caroline qui reste debout. Puis il glisse ses doigts dans l’élastique de sa culotte et fais glisser le tissu tout doucement. Ce déshabillage est très érotique. Caroline sent le visage de son professeur pile à la hauteur de son sexe nu. Elle se sent terriblement gênée. Par ailleurs, elle sent une drôle de chaleur au niveau de son entrejambe. Elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe, mais il y a une certaine forme d’excitation qui s’ajoute à son gène. Monsieur Giron retire complétement la culotte de Caroline qui est priée de se placer dans la position de punie les mains sur la tête, les jambes écartées, le corps bien droit et le regard bien haut. Tout le monde regarde ses deux gros seins qui montent et qui descendent au rythme de sa respiration saccadée. Le Directeur reprend : - Nous allons tester 3 positions différentes pour cette punition niveau 4. La fessée ne sera donnée qu’une seule fois, car nous allons utiliser la badine, pour augmenter la douleur. Pour la première position, nous allons profiter que Monsieur Giron est là, Caroline sera fessée sur vos genoux. Le Directeur porte une chaise au milieu de l’estrade et demande à Monsieur Giron de s’y assoir. Puis, il attrape Caroline par le bras et la couche sur les genoux du professeur. Puis il reprend : - Dans cette position, sur les genoux de son fesseur, il y aura 3 séries de 10 claques. Comme je le disais, nous n’allons pas utiliser la badine à chaque fois, vos fesses ne supporteraient pas. Pour que le test soit tout de même réaliste, Monsieur Giron va vous fesser avec ses mains. Caroline se demande si elle n’aurait pas préféré la badine. Sentir les mains de ce jeune professeur sur la peau nue, après ce qu’il lui a dit, après son regard insistant, elle se sent si honteuse. Le Directeur commence par placer la chaise pour que Caroline soit de profil à la salle. Personne ne voit ses fesses, mais à chaque claque, tout le monde peut voir ses seins balloter dans le vide. Après 10 claques, le Directeur tourne la chaise, cette fois Caroline est face à la salle et le professeur de profil. Il soulève largement son buste pour bien monter sa poitrine et là encore tout le monde profite de cette grosse poitrine qui se tortille à chaque claque. Enfin, ce sont les fesses de Caroline qui sont tournées vers la salle. Et dans cette position, Caroline peut voir la scène sur le grand écran. Daniel ne se gêne pas pour faire des zooms et ses fesses apparaissent en très gros plans à la vue de tous. Le professeur fait bien attention à ce que Caroline tienne bien sa tête et lui demande de ne pas baisser les yeux, lui expliquant que regarder cet écran fait partie de la punition. Disant cela il attrape une des cuisses de Caroline pour écarter ses jambes et faire profiter à tous de la vue de son intimité. Avant de reprendre les claques, il laisse tout le monde profiter de cette vue. Se tournant vers l’écran, il se rend compte qu’avec ce zoom, il est même possible de voir que Caroline mouille. On distingue clairement le brillant de ses sécrétions. Il écarte encore plus les jambes de Caroline pour être sûr que tout le monde a vu et fini par donner les 10 claques que les fesses de Caroline. Caroline est horrifiée de ce qu’elle montre. A-t-elle bien vu de la mouille ? Les autres ont-ils vu ? Elle se remet à pleurer en pensant que tout le monde va penser que Monsieur Giron l’excite et qu’elle a pris plaisir à être mise nue par lui devant tout le monde. Après cela, le professeur aide Caroline à se relever. La deuxième position pose quelques soucis. On teste une position où Caroline est présentée dos à la salle, les mains à plat sur l’assise d’une chaise et les jambes bien écartée autour du dossier de la chaise. L’indécence de cette position ne fait pas débat, en revanche, cette position ne permet pas de voir sa poitrine nue et elle est finalement abandonnée. Pourtant, durant tous les échanges pour savoir si oui ou non ce serait une position pertinente et comment faire pour que l’on puisse voir sa poitrine, Caroline reste en position, la vulve bien offerte et bien ouverte. Comme elle est face à l’écran, son regard reste hypnotisé par ce qu’elle voit et elle se dit qu’elle ne pourra jamais regarder qui que ce soit dans cette salle dans les yeux après cela. Son sang se glace d’un coup lorsqu’elle voit une goutte de mouille apparaitre au bas de son sexe, grandir petit à petit et menaçant de tomber. Jusque-là, elle se disait que peut-être ses camarades n’avaient pas remarqué que son sexe était bien brillant. Mais si cette goutte grossit et finit par tomber, comme si elle dégoulinait d’excitation, tout le monde va s’en apercevoir. Elle prie le ciel que le Directeur la change de position rapidement, mais pour le moment les discussions continuent. Son cœur bat à mille à l’heure lorsqu’elle voit que Daniel se permet de zoomer encore, plaçant la fameuse goutte au centre de l’image. En entendant le Directeur mettre fin à la discussion, il dezoome rapidement, se demandant s’il n’a pas été trop loin. Le Directeur reste visiblement concentré, annonçant qu’ils allaient maintenant tester la dernière position. Il place alors une table sur l’estrade et demande à Caroline de s’assoir sur la table face à la salle. Ensuite il place derrière Caroline une structure en mousse qu’il a trouvé dans la salle de gymnastique pour que Caroline puisse s’adosser et maintenir son buste droit, offrant à toute la salle une belle vue sur sa poitrine. Enfin, le Directeur attrape les jambes de Carlone, les remonte en les pliant et demande à Caroline de les tenir en l’air pour laisser accès à ses fesses. Cette position est encore plus indécente que la précédente. Ainsi positionné, son sexe est totalement ouvert, on voit absolument tout. Le Directeur, intervient : - Bien, je vais donc infliger 10 coups de badine à Caroline. Mais la badine peut blesser Caroline, si je ne vise pas correctement ses fesses. Aussi, il est important de préserver son intimité. Bien sûr, la mettre nue dans cette position fait partie de l’humiliation. Pour autant, une fois qu’elle sera montrée ainsi, nous allons recouvrir son intimité pour éviter tout accident. Monsieur Giron, venez, puisque vous êtes là. Placez-vous derrière Caroline, et passez votre main entre ses jambes. Voilà, vous allez recouvrir avec votre main le sexe de Caroline, pour éviter que je ne la blesse. Monsieur Giron ne se le fait pas dire deux fois. Il place sa main sur le sexe de Caroline. Il pourrait la placer en simple protection comme lui a demandé le Directeur, mais il ne peut s’empêcher d’y exercer une pression. Il sent la chaleur de Caroline, il sent aussi son humidité. Caroline se met à trembler de gène. Le Directeur revient avec une badine, et sans prévenir donne un premier coup très violent. Caroline hurle. Le Directeur ne s’émeut pas et continue à donner des coups, chacun aussi fort que le précédent. Caroline cri et pleure en même temps. Monsieur Giron reste concentré sur le sexe de Caroline. Sa main exerce des pressions successives sur le sexe de Caroline. Il voudrait plonger son doigt à l’intérieur de son intimité, mais il sait que c’est impossible. Le dixième coup d’abat sur les fesses de Caroline, puis le Directeur pose la badine. Il demande alors à monsieur Giron de retirer sa main. Celui-ci, après l’avoir retiré, sort un kleenex de sa poche et s’essuie la main ostensiblement, comme pour mettre en évidence devant tout le monde que Caroline a le sexe bien humide. Le Directeur insiste : - Comme le sexe de Caroline a été caché durant la punition et que l’humiliation d’une position indécente fait partie de la punition, pour cette punition, l’élève punie devra rester dans cette position durant au moins 20 minutes après la fessée. Tandis que Caroline est laissée à son sort, les votes, les commentaires, les débats reprennent pour choisir la façon de faire pour finaliser la punition niveau 4. Finalement, les deux positions sont retenues, la première sur les genoux du fesseur et la deuxième sur la table. C’est le puni qui choisira la position de sa punition, certain ayant commenté que comme cela, le professeur qui punit peut ajouter de l’humiliation en spécifiant que c’est l’élève qui a choisi. On pourra ainsi dire à une élève : « C’est toi qui a choisi de venir t’allonger sur les genoux de ton professeur » ou « C’est toi qui a choisi de te tenir les jambes bien écartée assise sur une table face à toute ta classe ». Par ailleurs, il a été retenu que c’est l’élève puni qui devra choisir le camarade qui protégera son sexe de la badine, un garçon si c’est une fille qui est puni, et vis versa. Finalement, il est demandé à Caroline de revenir debout, face à la salle. Caroline, n’est presque plus gênée d’être nue. Elle a l’impression d’être en dehors de son corps, de ne plus être elle-même, de ne plus rien ressentir. Toute la salle se demande comment il peut y avoir un niveau 5. La douleur et l’humiliation peuvent-elles encore être monté d’un cran ? Le Directeur éclaire tout le monde rapidement : - Pour le niveau 5, ce qui va changer, c’est que la punition se fera à la cantine, devant tout le lycée, et non pas juste devant la classe. Ce sera donc, exactement comme la punition niveau 4, mais à la cantine. Chaque élève se sent un peu frustré, on comprend bien que cela fait monter la honte d’un cran bien sûr, mais on comprend aussi que le supplice de Caroline est fini. Tout le monde s’attendant à une apothéose, et tout retombe d’un coup. Le Directeur reprend : - Comme il s’agit du niveau 5, ce sera un peu plus que juste comme le niveau 4. Déjà, je propose une punition chaque jour durant une semaine, devant tout le lycée. Le lundi, comme pour le niveau 1, mais à la cantine et comme nous devons aussi augmenter la douleur, tout sera fait à la badine. Donc, pour mémoire, le lundi, l’élève puni recevra une fessée à la badine. Le mardi, la fessée, culotte baissée devant tout le lycée. Le mercredi sans culotte, les jambes bien écartées et avec la diffusion de la vidéo prise en direct, le jeudi, l’élève sera mis nu devant tout le lycée puis fessé. C’est l’élève qui choisira qui le déshabille et dans quelle position il recevra sa fessée, toujours avec diffusion de la vidéo. Pour le vendredi, ce que je propose, c’est que l’élève puni passe la journée entière complétement nu. Il suivra ses cours normalement, mais complétement nu et chaque cours commencera par 3 coups de badine. Et enfin, en fin de journée, l’élève puni sera placé à la sortie du lycée, toujours entièrement nu. Chaque élève quittant l’établissement lui demandera de se mettre dans la position qu’il souhaite et lui donnera 1 claque sur les fesses. Ainsi, l’élève puni aura reçu 1 claque de chacun de ses camarades et chacun de ses camarades aura pu profiter de sa nudité de très près. Les discussions ne sont pas très longues autour de cette proposition qui semble convenir à tous. Il est juste décidé en complément que les vidéos des punitions seront diffusée sur le site du lycée durant 1 mois avant d’être détruite, avec la possibilité pour chaque élève de l’établissement d’y poster des commentaire anonyme, pour renforcer la honte de l’élève puni. Le Directeur conclut : - Bien, nous avons bien travaillé. Nous avons réussi à valider les 5 punitions. Caroline je vous invite à retourner à votre place. Caroline se dirige alors vers ses vêtements, mais le Directeur l’interrompt : - Non Caroline, nous devons finir le test. Au niveau 5, l’élève puni passe la dernière journée totalement nue, nous devons vérifier qu’il n’y a pas d’impossibilité. Vous resterez donc totalement nue parmi nous tous jusqu’à ce soir. Pour commencer, nous allons nous rendre au réfectoire pour déjeuner, et cette après-midi nous avons différents groupes de travail. Caroline est sous le choc, elle va rester entièrement nue au milieu d’élève habillé. Être mise nue sur l’estrade a été terriblement humiliant, mais elle se sentait loin des autres. Là, s’assoir à côté d’eux, être contrainte de leur parler de près, Caroline se remet à pleurer, mais docile, va rejoindre ses camarades, s’asseyant à côté de Julien qui lui sourit largement. Comme prévu, Caroline passe un après-midi épouvantable au milieu de ses camarades. Le Directeur ne lui laisse pas de répit, lui demandant de distribuer des documents à chaque table, de venir écrire des choses sur le tableau, ou tout ce qui lui permet de la mettre à la vue de tous. Vient le moment où le Directeur annonce qu’il va falloir choisir les photos pour l’illustration de chaque punition. Ainsi, les 215 photos prises dans la matinée sont projetées sur l’écran géant, décortiquées et commentées par tous pour finaliser le choix. A 18h, tout le monde est épuisé, le Directeur annonce la fin de la journée, puis ajoute : - Caroline allez donc vous placer devant la sortie s’il vous plait. Caroline y va, sans se demander ce qui va suivre, elle n’en est plus capable : Le Directeur reprend : - Bien nous arrivons à la toute fin du test, chacun d’entre nous en sortant va demander à Caroline de se mettre dans la position de son choix et va lui donner une claque, ainsi, elle recevra une claque de chacun, comme il est prévu pour la fin de la punition niveau 5. Le sang de Caroline se fige, de nouvelles larmes coulent sur ses joues. Un par un, les élèves passent devant Caroline. Beaucoup lui demande de se pencher, les fesses bien en arrière et profite d’être tout près pour profiter du spectacle avec de lui claquer les fesses et d’avancer. Les filles ne sont pas en reste, elle s’amuse aussi de la situation. Pour se faire bien voir des garçons, elle demande même à Caroline des positions extrême puis elle s’écarte pour que le garçon derrière elle dans la file en profite. Ainsi, Sophie demande à Caroline de se pencher, d’attraper ses chevilles avec ses mains et de bien écarter ses jambes. D’autres vont même jusqu’à lui demander de s’assoir sur la table et de lever les jambes, mais ils sont peu à oser. Julien choisit une position qui lui trotte dans la tête depuis le début de l’après-midi, il demande à Caroline de monter sur la table et de se mettre à 4 pattes. Cette position nouvelle semble plaire et les élèves derrières Julien lui demande pareil. Les professeurs et le personnel administratif jouent aussi avec les positions et les fesses de Caroline. Certains en profitent pour assoir la jeune fille sur leurs genoux. Monsieur Giron passe en avant dernier, seul le Directeur est derrière lui. Il se permet de faire remarquer à Caroline qu’il avait bien senti que la fessée qu’il lui avant mise sur l’estrade avait semblée l’avoir beaucoup perturbée. Puis il ajoute que ses fesses ayant déjà été bien trop claquée, il se contentera d’une caresse. Il lui demande alors de bien se pencher en avant puis, tout en douceur il lui caresse les fesses. Il se retourne pour voir si le Directeur approuve et c’est le cas. N’y tenant plus, après avoir doucement palpé les fesses de Caroline sa main glisse vers son intimité et il enfonce un doigt dans son vagin. Caroline pousse un cri. Monsieur Giron retire sa main et s’en va en laissant Caroline les fesses en l’air. C’est le Directeur qui donne alors la dernière claque, puis il demande à Caroline de se relever. Il lui rend ses vêtements, et la remercie. Il insiste sur le fait que plus personne ne lui parlera jamais de cette journée, et qu’il sera intraitable avec ceux qui oseraient ne pas respecter le contrat de confidentialité.

jeudi 28 janvier 2021

Voyage scolaire (Jour de punition)

Caroline tente de reprendre ses esprits avant de retourner à l'internat. Elle sèche ses joues et s'essuie les yeux. Elle veut être seule, ne pas en parler, même à ses copines. Elle ne va pas au petit déjeuner, elle préfère retourner dans sa chambre. Elle s'arrête devant un mirroir. Avec le choc de ce qu'elle a eu, elle n'a pas prêté attention à ses sous-vêtements. Elle se sent ridicule en se ragardant dans le mirroir. Son ensemble est dépareillé, une culotte noire légèrement ajourée et un soutien-gorge blanc tout simple. Son collant chair, remonte au milieu de son ventre et ne cache rien de sa culotte. Elle s'effrondre à genoux devant la glace pour pleurer. Lorsqu'elle entend du bruit elle va se réfugier dans une douche et attend que tout le monde parte. Elle en profite pour vérifier si elle est présentable en tirant le devant de sa culotte. Il faut qu'elle aille en cours. Quand elle arrive en classe, ses copines ne lui posent pas de questions quant à son absence du matin. D'un simple regard, elles ont compris. Caroline ne peut se concentrer elle n'écoute rien des quatres heures de cours de la matinée. Plus l'heure du midi approche, plus elle se sent mal. A la fin de la dernière heure, elle met du temps à ranger ses affaires. Elle se demande encore si elle peut échapper à sa punition, mais ne trouve aucune solution. Ses copines sont parties, la laissant seule, pourtant à ce moment là, elle aurait bien voulu avoir un peu de réconfort. Le prof est obligé de la mettre dehors, pour fermer la classe. Elle traine dans les couloirs perdue dans ses pensées. Elle comprend que ne pas aller à la cantine ne changera rien. Au contraire, ce serait peut-être même pire pour elle et se resout à y aller. Quand elle entre dans le refectoire tout le monde se retourne comme les autres midis, mais aujourd'hui Caroline sait qu'il y a quelque chose en plus et ça la fait frissonner. Elle regarde à la table des professeurs, mais ne voit pas le directeur. La gorge nouée, elle va s'assoir à la table de ses copines, l'une d'elle lui passe la main dans le dos pour la réconforter, une autre lui dit d'être forte, mais c'est trop pour Caroline qui s'effondre une nouvelle fois en sanglots, attirant de ce fait encore plus les regards des autres tables. Elle ne peut rien avaler, les battements de son coeur s'accélèrent de plus en plus. Elle croit faire un malaise quand elle voit le directeur arriver. Il lui jète un regard en passant et va s'assoir à sa place. A sa table personne n'ose parler. Quand les premiers élèves qui ont fini de manger se lèvent pour sortir, le directeur recule sa chaise et se tourne vers la cantine : - Aujourd'hui quand vous avez fini de manger, vous ne sortez pas ! Vous débarasser juste votre plateau et vous retournez vous assoir à votre place... Les élèves qui étaient prêt de la porte retournent à leurs place. Les yeux toujours embués, Caroline regarde le directeur se rassoir et continuer de manger. Elle comprend fataliste qu'elle n'y échapperait pas, et que c'était maintenant iminent. Alors que tout le monde débarasse son plateau autourd d'elle, elle ne bouge pas de sa place. Les coudes posés sur la table et le visage enfouie dans ses mains. C'est une de ses copines qui lui enlève son plateau. Avant qu'elle ne le jète, le direteur lui prend des mains. - Caroline mangera plus tard, laissez le moi... Il le pose sur une table et se dirige vers Caroline. D'un coup la salle divient silencieuse. - Levez vous Caroline ! Caroline lève les yeux vers le directeur, l'implorant du regard, mais celui-ci reste impassible. Doucement, elle se lève, ses jambes la tiennent à peine. Sans autre avertissement le directeur la couche sur la table. Il l'avance de sorte que ses pieds quittent le sol, et aussitôt une première claque tombe violement par dessus ses collants. Il n'en faut pas plus pour Caroline pour qu'elle éclate en sanglots. Une deuxième et une troisième suivent. Puis le directeur la déculotte. C'est la stupafaction dans le refectoire. Certains se lèvent discrètement pour mieux voir, d'autres chuchotent en ayant des regards complices. Sa culotte et son collant son passé juste sous ses fesses et tout le monde constate que déjà elles sont rouge malgré les trois claques. Trois suplémentaires ajoute de la couleur à son fessier et font tordre Caroline sur la table. Le direteur lui prend le bras et l'incite à se lever. Il l'écarte de la table. Ses fesses sont bien rouge, devant sa culotte est un peu descendue mais cache encore l'esentiel. De sa main libre, Caroline frotte ses fesses. Le directeur la lache et prend ses poignets et pose ses mains au dessus de sa tête, puis il baisse son collant. Il s'y reprend en plusieurs fois pour le descendre complètement à ses chevilles. Puis en se relevant, il lui claque les fesses. Doucement, en prenant son temps entre chaque claque. Caroline ferme les yeux, les grimaces sur son visage à chaque claque temoignent de la force qu'emploie le directeur pour la punir. Les larmes coulent sur ses joues, elle serre les dents pour ne pas crier, mais bouge les jambes malgré elle à chaque nouvelle claque. Si bien que le devant de sa culotte descend sans qu'elle ne s'en rende compte. Ceux qui sont face à elle voient la haut de son pubis et une légère touffe de poils. Quand le directeur arrête, il lui remonte lui-même complètement sa culotte. - Enlevez vos collants !! L'odre est sans appel, Caroline s'accroupit pour enlever ses chaussures et enlever ses collants qui lui entravent les chevilles. Elle se relève, tandis que le directeur pose une chaise au milieu des tables, elle le regarde faire tremblante comme une feuille. - votre culotte ou votre soutien-gorge ? Tout le monde est surpris par ce que vient de dire le directeur, certains s'exclaffent, d'autres ont du mal à y croire. Caroline reste pétrifiée et silencieuse. Le directeur s'assoit sur la chaise : - Venez ici ! Caroline approche à petits pas, jusqu'à ce que le directeur puisse lui prendre le bras et la coucher sur ses genoux. - Vous le saviez très bien Caroline ! Ce n'est pas une surprise : J'ai dis toute nue pour la punition... Et puisque vous ne savez pas prendre une décision... Le directeur baisse sa culotte, il tire de chaque côté pour la faire descendre jusqu'en bas et lui retire de ses chevilles. Après ça, il lui donne une fessée. Une vraie fessée. Il lui emprissonne les mains dans son dos et claque ses fesses l'une après l'autre à un rythme effrainé. Cette fois-ci Caroline ne peut plus se contenir, elle pleure, elle crie, elle bat des jambes et essaye de se défaire de son emprise. Ceux qui sont derrière elle ne loupe rien de ce qu'elle offre. Ses fesses sont d'un rouge vif, limite bleues quand le directeur arrête la fessée. Caroline reprend son souffle et pleure bruyament. - relève-toi et enlève ton soutien-gorge ! Le directeur a dit ça naturellement come si c'était une banalité. Caroline se lève doucement en tentant de reprendre son calme, mais les fremissement de son corps la traillissent. Elle les mains dans son dos pour retirer l'attache de son soutien-gorge et baisse ses brettelles. Elle reste un instant debout totalement dépitée, tête baissée, les bras le long du corps en tenant son soutien-gorge à la main. Le directeur vient lui reprendre et lui pose ses mains au dessus de sa tête. - Voilà, tu restes comme ça le temps que tout le monde sorte. Au comble de la honte, Caroline trouve la force d'arrêter de pleurer. La salle met du temps à se vider. Certains profitent jusqu'au dernier moement de l'exhibition de Caroline. Le directeur ramasse ses collants, sa culotte et son soutien-gorge et part avec. - Je vous laisse déjeuner, venez me voir quand vous aurez terminé... Caroline se retrouve seule à table dans cette immense pièce. Elle est encore secouée par les sanglots. Elle tente de se calmer, mais dès qu'elle repense à la situation elle s'effrondre de nouveau. Elle ne mange presque rien, elle a surtout très froid. Quand elle a fini, elle met ses chaussures et va débarasser son plateau. Normalement tout le monde est en cours à cette heure ci. Elle sort en se faisant la plus discrète possible. Avant qu'elle frappe à la porte, la secrétaire lui dit que le directeur est en entretien et lui dit de s'assoir sur la chaise près de la porte. Elle s'assoit en espérant que personne ne vienne. Elle croise les jambes et s'enfonce dans la chaise. Elle croise les bras aussi devant sa poitrine. Elle se demande qui peut être dans son bureau et se recroqueville sur elle-même en sachant qu'il la verra en sortant du bureau. Elle lève la tête en entendant la porte s'ouvrir et rougit jusqu'aux oreilles en reconnaissant le père d'une copine. Il lui fait simplement un petit signe en partant auquel Caroline répond à peine. Le directeur la fait entrer et ferme la porte derrière elle : - J'imagine que vous n'êtes pas en état de suivre vos cours cet après-midi... Machinalement, Caroline prend la main que le directeur lui tend. Il la fait tourner sur elle-même pour constater l'état de ses fesses. Petit à petit, elles reprennent leur couleur naturelle mais les marques sont encore bien présentes. - Vous allez rester ici une heure. Allez au coin la bas ! Caroline pense à recupérer sa culotte mais n'ose pas demander sachant que le directeur ne lui autoriserait pas. Elle se met à genoux avec les mains sur la tête comme lui indique le directeur. Elle se met face au mur en espérant que personne n'entre dans le bureau. Heureusement pour elle personne ne vient voir le directeur. Une heure plus tard, le directeur l'autorise à se lever. Ses bras et ses genoux lui font mal. Lorsqu'elle se retourne, elle voit son maillot de bain sur le dossier de la chaise. - Je crois que vous avez sport cet après midi... Dépêchez vous de la mettre vous allez être en retard. - Vous le garderez jusqu'à ce soir... Caroline met son maillot et quitte le bureau. Elle a très froid en sortant et elle se sent ridicule ainsi dans la rue pour rejoindre la gymnase. Elle court jusqu'à l'entrée. Elle doit affronter les regards tantôt compatissant tantôt moqueurs. Après la séance de Baskett, elle va refugier dans sa chambre sans attendre que les autres se changent. Quand le soir arrive elle va chercher son pyjama chez le directeur. Même si ça reste toujours difficile, lorsqu'elle arrive, elle enlève son maillot de bain et attend dans l'entrée que le directeur lui donne son pyjama. Il arrive quelques instants plus tard et lui tend. Caroline le met rapidement pour se couvrir. - Demain se sera votre dernière journée de punition ! Pour cloturer la semaine, j'ai prévu que vous passiez les 10 premières minutes de chacun de vos cours à genoux sur l'estrade face au mur, avec les mains posées sur votre tête. Vos profs sont au courant... Caroline accuse de coup de cette nouvelle punition et quitte le directeur. Le lendemain matin elle se présente à son bureau. - Vous voici arrivée à votre dernière journée de punition, j'espère qu'après ça votre comportement ne sera plus jamais aussi detestable ! Enlevez votre pyjama... Caroline se retrouve une nouvelle fois toute nue dans le bureau. D'habitude ses sous-vêtements son prêts, mais là le directeur n'a rien sorti. - Comme je vous le disais hier, j'ai décidé de vous faire subir 10 minutes de coin au début de chaque cours... Vous n'attendrez pas qu'on vous le demande, dès votre arrivée en classe, vous irez vous même vous installer face au mur. Est-ce bien clair ? Caroline fait oui de la tête. - Dois-je vous rapeller comment vous devreez vous y mettre ? Cette fois-ci Caroline fait non de la tête. - Vous avez perdu votre langue ? Alors comment ? - Je dois me mettre à genoux et mettre mes mains sur me tête. - Oui c'est ça, parfait, vous avez bien retenu... J'avais pensé au premier abors que ce moment de pénitence, vous soit ingligé déculottée. Mais finalement, j'ai changé d'avis... Le directeur sort de son tirroir un collant couleur chair. - J'ai décidé que pour votre dernière journée de punition, vous la passerez directement sans culotte ! Enfiler votre collant ! Caroline n'ose rien dire, elle s'effondre en larmes en sortant du bureau et va rejoindre sa salle de cours. Elle est la première pour ne croiser personnes. Elle pose ses affaire sur son bureau et suit les recommandations que le directeur lui a indoqué avant de sortir. Elle defait son soutien-gorge et le pose sur le dossier de sa chaise et va sur l'estrade Avant de s'agenouiller, elle baisse son collant jusqu'à ses chevilles et s'installe. Les premiers ne vont pas tarder à entrer. Quant à Caroline, elle se prépare à vivre une nouvelle journée difficile.

mardi 12 janvier 2021

Voyage scolaire (retour à l'école)

Caroline arrive à l'etablissement une heure avant le début de ses cours, comme lui a imposé le directeur et va frapper à sa porte. Le directeur vient lui ouvrir et la fait entrer, elle lui dit un bonjour à peine audible tant elle est stressée. Sans aucun autre avertissement le directeur lui dit fermement d'enlever son uniforme. Caroline reste quelques secondes sans bouger puis enlève sa veste qu'elle pose sur la chaise, puis son pull. Elle hésite pour sa jupe, mais finalement descend la fermeture de ses mains tremblantes. Le directeur va chercher ses vêtements. - Votre chemisier aussi ! De moins en moins rassurée, Caroline défait les boutons et lui tend son chemisier, tandis qu'un frisson lui parcoure le corps. - Où est votre valise ? - Je l'ai laissée dehors - Allez me la chercher ! Caroline sort du bureau en petite tenue et jette un coup d'oeil dehors pour être sure que personne n'est là et rammène sa valise. Le directeur l'ouvre et inspecte ce que Caroline a emmené. Il sort des baskets une paire de chaussettes et un maillot de bain - ça se sera pour la piscine ainsi que votre séance de sport, vous la ferez en maillot de bain aussi ! - Je garde votre manteau ici ! Si vous avez à sortir, vous viendrez me demander l'autorisation pour le prendre. Capendant à part pour la piscine et le gymnase, vous n'avez pas le droit de sortir de la semaine. Le directeur continue l'inspection de sa valise, Caroline rougit quand il fouille dans ses petites tenues. Il sort deux soutien-gorge, quatre culotte. Une paire de collant noire qu'il repose pour choisir des couleurs chair. Et il est supris de trouver une paire de bas couleur chair aussi qu'il pose sur les collants. Il ajoute un pyjama aux vêtements qu'il a déposé sur son bureau. - Avez vous d'autres vêtements dans votre chambre ? Caroline répond que non, à part sa trousse de toilette et des serviettes. Le directeur referme la valise et va la ranger dans une petite pièce à côté de son bureau. - Voilà les seuls vêtements que vous êtes autoriséé à porter cette semaine... Le soir, vous viendrez chercher votre pyjama ici, et la matin je vous préparerai les vêtements que vous porterez dans la journée ! Pour le sport et la piscine, vous viendrez mettre votre maillot de bain dans mon bureau avant d'y aller. Caroline semble ne pas comprendre, ou tout du moins ne veut pas comprendre - Mais pour les cours, je serai habillée normalement ? Sans répondre de suite, le directeur la prend par le bras, et la tourne vers le mirroir placé au dessus de la cheminée : - regardez-vous Caroline ! Caroline rougit en se voyant à côté du directeur, dans cette tenue. - Voilà votre tenue pour cette semaine ! Ce sera pour les cours... en dehors des cours... tout le temps ! Caroline réalise, tandis qu'une larme coule sur sa joue. - Je vous avez dit, que je ne vous ferez pas de cadeau... alors commencez dès à présent votre semaines de punition ! Concernant votre punition principale, elle se passera un midi au refectoire, je vous laisse la surprise concernant le jour. En attendant, allez en cours vous allez être en retard... Caroline ressort du bureau dépitée, elle va se réfugier dans le couloir. En traversant la cour, le froid la fait greloter, elle essaye de se rechauffer près d'un radiateur dans un coin à l'abris des ragards. Mais les élèves arrivent petit à petit, certains la regardent bizarement mais tous savent déjà pourquoi elle est comme ça. Quand la cloche rententitelle entre en classe avec les autres élèves, même ces copines n'osent pas lui parler. Elle aurait aimé avoir un petit mot pour la réconforter mais rien. Elle enchaine les cours ainsi, sans jamais s'habituer aux regards insistants, surtout ceux des garçons, mais elle doit se plier à sa punition. Le midi, à la cantine, la tension est à son comble, mais finalement le repas se passe sans qu'elle ne soit punie. Dans l'après-midi, par deux fois elle doit se rendre aux tableau pour faire une exercice, devant encore plus assumer sa tenue. Après les cours, elle file se réfugier dans sa chambre. Elle peut enfin parler avec ses copines de chambre et leur dire ce que le directeur lui inflige comme punition pour cette semaine. Elle n'ose pas parler de ce qui risque de lui arriver à la cantine, ni du retour en voiture qu'elle a du faire nue. Après le diner, avant d'aller prendre sa douche elle doit se rendre dans le bureau du directeur. Un mot sur la porte lui indique de venir chercher son pyjama dans les appartements à l'étage. Elle ne connait pas l'endroit mais monte et trouve une porte ouverte. Elle n'ose pas frapper et attend que quelqu'un arrive. Le directeur la voit dans l'entrebaillement de la porte et la fait entrer dans le couloir. Caroline rougis quand elle voit sa femme et son fils dans la salle à table. - Vous venez chercher votre pyjama ? déshabillez vous ! Tandis que le directeur part, Caroline enlève ses chaussures et son collant. Elle reste en sous-vêtements et baisse la tête. Elle sait que le fils du directeur n'arrête pas de porter le regard sur elle. La femme du directeur se lève et vient vers elle : - Vous n'allez pas dormir avec votre slip et votre soutien-gorge ! Donnez les moi, je vais vous les laver ! En levant la tête Caroline croise le regard du fils du directeur, elle aimerait aller lui coller une gifle quand elle apperçoit un sourire se dessiner sur ses lèvres. La femme insiste voyant l'hésitation de Caroline : - Dépêchez vous Mademoiselle ! Avec ce que vous avez eu comme punition et ce que vous allez encore subir, vous mettre toute nue devant un jeune homme ne doit plus être un problème pour vous... Le directeur revient avec le pyjama et voit Caroline encore en sous-vêtements. - Alors vous n'êtes toujours pas prête ? Vous voulez me faire perdre mon temps alors que je suis à table ??? - Cette demoiselle semble refuser d'obéir. Elle ne veux pas enlever son slip sous pretexte que Julien est là, je pense... Le directeur la prend par le bras pour l'enmener dans la salle - Ca ne change rien, elle est punie, donc elle obéit ! Et moi, je ne vais pas manger froid à cause d'elle... Il la met à genoux au bout de la table et lui pose lui même ces mais au dessus de sa tête. Puis va s'assoir à sa place. - C'est simple Caroline. Je finis de manger. Pendant ce temps, vous décidez à enlever votre culotte et votre soutien-gorge. Si à la fin de mon repas, ce n'est pas fait. C'est moi qui vous les enleverais, et vous aurez une fessée en prime !! Le directeur s'assoit à sa place, il pose le pyjama de Caroline à côté de lui, et continue de manger. Caroline sait ce qui lui reste à faire si elle ne veut pas que la situation s'empire, mais elle met quelques minutes à ce décider. Les trois continuent de manger et de parler comme si elle n'était pas là, sauf Julien qui lui lance quelques regards. Puis prennant son courage à deux mains, elle se lève discrêtement pour se déchausser. Et elle descend son collant et le plie en boule et le garde dans ses mains pour dégrapher son soutien-gorge. Elle l'enlève mes garde ses bras devant ses seins. - D'habitude, je dors avec ma culotte sous mon pyjama... Elle espère que le directeur va lui laisser en disant ça. Il se lève et vient vers elle avec son pyjama à la main. Il lui prend son soutien-gorge et son collant des mains. - Retournez-vous ! Caroline se met dos à la table - Quand vous viendrez chercher votre pyjama demain, je ne veux pas toutes ces histoires... Qu'il y ait du monde ou pas, quand vous arriverez, vous enleverez vos sous-vêtement ! Et votre culotte aussi ! Il n'est pas question que vous dormiez avec !!! Le directeur s'accroupit derrière elle et baisse lui-même sa culotte, lui enlève et lui tend son pyjama après lui avoir donne une grosse claque sur les fesses qui lui fait pousser un cri et avancer d'un pas. Caroline se hâte d'enfiler son pyjama tout en restant de dos et prend congès de la famille du directeur. La nuit de Caroline a été agitée, elle se demande comment elle va tenir toute la semaine avec un tel traitement. Elle est reveillée avant tout le monde et décidé d'aller rapidement chercher ses "vêtements" en espérant qu'il n'y ait pas beaucoup de monde au petit déjeuner. La porte du bureau du directeur est ouverte, elle frappe et entre : - Ah Caroline ! j'ai oublié vos sous-vêtements... Donnez moi votre pyjama, je vais les chercher. Caroline se déshabille et se retrouve toute nue, seule dans le bureau. Le directeur revient, il pose ses chaussures sur son bureau et lui donne ses sous-vêtements, un ensemble soutien-gorge et culotte noir et des bas. Elle met sa culotte et son soutien-gorge mais hésite à enfiler ses bas. - Bon vous y arrivez Caroline ?? - Mais je ne peux pas mettre ça !! Je... préfère ne rien mettre !! - Vous croyez vraiment que vous avez le choix ??? La réponse du directeur est tellement ferme que Caroline les enfile. La journée lui parait pire que la veille avec cet habillement. Elle doit encaisser les moqueries et les commentaires insultants toute la journée. Et c'est un libération d'aller chercher son pyjama le soir. Elle se déshabille rapidement dans l'entrée et repart presque aussitôt. Le mercredi se passe comme les autres jours. Elle doit juste aller chercher son manteau car elle a piscine et celle-ci est à quelques centaines de mètres. Elle se dépêche de faire le trajets car son manteau lui arrive juste en dessous des fesses. Elle profite de la séance de piscine pour oublier un peu sa punition. Au moins ici, elle est habillée normalement, comme tout le monde. Elle en arrive pendant une heure à oublier complètement sa fessée. Quand vient le jeudi, elle trouve la porte du bureau du directeur fermée. Mais ses vêtements sont devant, avec un mot dessus. Elle le lit tandis que ses yeux se brouillent. - Je dois m'absenter ce matin. Prenez vos vêtements et laissez votre pyjama ici. Je reveindrai ce midi pour m'occuper de vous à la cantine. Caroline comprend que c'est pour aujourd'hui. En éclatant en sanglots, elle se deshabille dans le couloir et s'apprète à passer une journée affreuse...