jeudi 8 mars 2012

Fessée au lycée 2

Une semaine après la punition de Caroline, nous retrouvons notre cours de Maths. Je suis bien sûr un peu déçu de voir que cette fois elle est à l’heure, mais comment pourrait-il en être autrement après les menaces du professeur ?
Elle semble tout de même bien stressée quand elle s’installe à sa place, entre Guillaume et Robin. Elle doit sans doute se dire que tout le monde pense à ce qui s'est passé, au cours précédent et je la vois baisser les yeux lorsque le professeur entre en classe.
- Bonjour à tous ! Pas la peine de sortir vos cahiers aujourd'hui, une feuille suffira ! Interrogation surprise ! Je vous avais recommandé de réviser nos trois derniers chapitres. Nous allons donc vérifier quels sont ceux qui l'ont fait.
- Caroline voulez-vous distribuer les sujets ?
L’a-t-il choisie pour mettre en évidence sa gêne manifeste ou pour faire voir à tout le monde à quel

point cette interrogation la déboussole. En tout cas, il a réussi : Caroline paraît presque aussi

nerveuse que lorsqu'elle a compris qu'elle allait être déculottée en classe.
Nous avons les deux heures pour répondre et c'est à nouveau Caroline qui doit ramasser les copies. Monsieur M. récupère le tas, et annonce avant de nous libérer qu'il les notera pour la semaine suivante. Il marque un temps d’arrêt, puis il va se planter devant le bureau de sa tête de turc préférée et ajoute en la fixant dans les yeux :
- Et malheurs à ceux ou celles qui n'auraient rien fichu à la maison !
Huit jours plus tard, nous revenons à son cours avec pour peu ou prou d'appréhension. Pour ma part, je n’ai nulle inquiétude, les maths sont ma branche favorite . . . et plus encore depuis certains événements récents. Mais je sais que pour certaines, c’est tout différent. Julie a presque pleuré lorsqu’elle m’a demandé de lui expliquer comment j’avais résolu les problèmes. Elle s’est complètement plantée et je ne parierais pas cher non plus sur une réussite de Caroline, qui est tout aussi hermétiquement bouchée en math. Au trimestre précédent, je lui avais pourtant gentiment proposé de répéter avec elle mais elle avait repoussé mon offre en ricanant que « c’était bien essayé. » J’ai pourtant l’impression qu’elle ne serait plus si hautaine si je réitérais ma proposition. Au fond, je crois que je vais tenter le coup avec Julie aussi. Et pourquoi pas les deux ensemble d’ailleurs, rien qu’à l’idée d’un cours particulier dans ma chambre avec ces deux beautés, je me sens soudain à l’étroit dans mon jeans. Ce prof est vraiment formidable au fond !
Ce n’est que tandis qu’il se met à rendre les copies que je m’aperçois que Caroline n’est pas là. Il est impossible qu’elle soit en retard, elle n’oserait jamais, je suppose qu’elle se sera plutôt faite portée pâle pour ne pas devoir affronter sa note. Mais elle est peut-être réellement malade après tout.
Selon son habitude, le professeur circule entre les tables en distribuant les copies par ordres décroissant de notation. Je suis le troisième avec un 16 sur 20. La moyenne de la classe est excellente et il n’a plus que quelques feuilles quand il arrive à ceux qui sont en échec. Les malheureux busés reçoivent leur copie avec des commentaires de plus en plus acerbes.
C’est le moment que choisit Caroline pour débouler en trombe dans la classe. Je crois qu’elle est entrée sans frapper ou en tout cas, elle n’a pas laissé au professeur le temps de lui dire d’entrer. Elle est toute essoufflée et complètement trempée. Sans même saluer, elle se lance dans une explication compliquée, mais le professeur l’arrête aussitôt :
- Bonjour Mademoiselle !
Il a élevé la voix, son ton est glacial, on sent qu’il tente de refréner sa colère.
- J’ai l’habitude que l’on me salue avant de m’adresser la parole.
Caroline comprend sa gaffe et corrige d’une toute petite voix :
- Heu, excusez-moi. Bonjour, Monsieur le Professeur.
- Ainsi, non seulement vous arrivez une nouvelle fois en retard, mais en plus vous vous permettez de m'interrompre. Restez ici, vous allez bientôt recevoir votre note puisque je n’ai plus que trois copies.
Le prof annonce un 6 sur 20 à une fille derrière moi et lui conseille de se ressaisir très rapidement.
Visiblement Caroline a dû courir pour arriver à l’école et elle est trempée par l’ondée qui vient de s’abattre sur la ville. Elle tremble comme une feuille, sans doute plus d’appréhension que de froid.
Le prof claque sa copie sur sa table :
- 4 sur 20, je reviendrai à vous dans un instant !
Il ne reste plus que la copie de ma voisine, Julie. Tout le monde a compris et s’est tourné vers elle, tête baissée elle mordille nerveusement un crayon.
- Et enfin la palme de la paresse ou du je m’en foutisme revient à Mademoiselle Julie L.
Il s’est figé à sa hauteur dans l’allée et agite dans sa main levée une dernière composition toute bariolée de rouge.
- Toutes mes félicitations, Mademoiselle, vous avez réussi votre dernier problème. Normal, c’est le seul que vous avez pu copier sur votre voisin, Monsieur D., je vous ai vu faire. Il va de soi que je vous ai mis zéro pour celui-là ! Ce qui vous fait un zéro qui s’ajoute aux zéros des neufs autres . . . Je vous laisse faire le compte vous-même ! A moins que cette addition ne soit déjà trop dure pour vous . . . Je pense que vous êtes plus douée pour des exercices . . . plus . . . physiques.
- Allez hop, sur l'estrade vous-aussi ! Vous y attendrez votre tour d’être punie . . . Cela permettra à vos camarades de vous surveiller pour éviter que vous vous comportiez à nouveau parmi eux comme une petite dévergondée . . . je crois que vous savez ce que je veux dire !
Une vague de chaleur me traverse : si le prof a remarqué Julie, il a très bien pu me voir aussi. Mais je me rassure en me disant que de toute façon mon comportement ne doit pas beaucoup l’intéresser.
Julie se lève, le rouge aux joues, tandis que des murmures d’interrogations parcourent dans la classe ; apparemment il n’y a que moi qui ai saisi le sens de l’allusion.
Le professeur apaise les chuchotements d’un geste autoritaire.
- Vos camarades semblent curieux de savoir de quoi je parle, Mademoiselle. Pourriez-vous les éclairer ?
Julie s’est figée entre les tables. Elle est cramoisie et ne parvient plus à avancer vers l’estrade. Elle semble fléchir sur ses jambes. Le professeur patiente quelques instants et puis descend d’un air excédé et saisit la pauvre sous le bras pour l’entraîner sans ménagement sur l’estrade où il la tourne vers nous, en maintenant sa prise.
- Puisque vous êtes devenue muette, c’est moi qui apprendrai à vos camarades que la semaine dernière, vous aviez passé votre main sous votre jupe et que vous vous MAS-TUR-BIEZ honteusement en regardant la punition de votre amie.
Il a choisi le terme le plus gênant et l’a articulé soigneusement. Quelques rires étouffés répondent à cette révélation.
Dorine, qui est ma plus proche voisine à présent que Julie a laissé libre sa place, s’est redressée d’un coup et vient de remettre précipitamment sa main droite sur sa table. Oh la coquine, elle est toute rouge, elle-aussi ! Elle porte son jeans ultra moulant qui lui fait un si joli petit cul. Je lui donnerais bien des cours de rattrapage à elle aussi, dommage qu’elle s’en sorte plutôt honorablement en math. Quand elle se penche en avant comme il y a un instant, elle doit pouvoir se donner des sensations discrètes rien qu’avec les grosses coutures de son jeans. Mais la suite de l’intervention du prof m’empêche d’explorer plus loin l’hypothèse.
- Je pense que Monsieur D. pourrait nous en dire plus long sur votre conduite, puisqu’il en a été le témoin privilégié.
Aie ! Il s’adresse à moi :
- Monsieur D., je vous serai gré de surveiller dorénavant votre voisine et de me signaler immédiatement d’éventuels comportements indécents.
Mais je l’adore ce prof ! Il me donne en quelque sorte autorité sur Julie. Je ne suis pas du genre à faire chanter les filles pourtant cette tutelle pourrait tout de même bien arranger mes affaires. Mais il poursuit moqueusement :
- Cela vous évitera peut-être d’être vous-même, victime de certains fâcheux . . . accidents.
Oh la vache ! Toutes ces filles qui me regardent en se bidonnant ! Dorine s’est tournée vers moi et ses yeux pétillent de malice. J’ai envie de rentrer sous terre ! C’est la faute de Julie, sa façon de me regarder quand j’ai explosé n’aura pas échappé au prof. Ah, elle me le payera ! Cette fois, je suis décidé à me venger par tous les moyens.
Heureusement pour moi, l’attention se recentre vite sur l’estrade.
- Venez par ici Mademoiselle, montez sur mon bureau.
- A genoux ! Que tout le monde voit bien celle qui va bientôt être déculottée !
Et placez, je vous prie, vos mains sur votre tête vous seriez capable d’encore vous masturber quand je punirai Caroline.
C’est trop d’humiliation pour la malheureuse et elle s'effondre en sanglots dès qu'elle se met à genoux.
Sans plus s’en préoccuper, le prof se tourne vers Caroline et lui demande ce qu’elle a à dire pour expliquer son retard. Elle essaye de se défendre et s’explique avec le plus conviction possible. Elle habite du côté de la marina. C’est assez loin, mais comme il faisait beau et elle a pris son vélo et aurait dû arriver à temps. Mais elle a crevé un pneu et comme elle n’avait rien pour réparer, elle a dû poursuivre à pied. Elle a couru tant qu’elle a pu en poussant son vélo et a été surprise par cette terrible averse. C’est pour cela qu’elle est trempée. Elle supplie encore le prof de ne pas la punir et lui jure qu'elle a tout fait pour être l'heure, mais ses arguments sont impitoyablement balayés :
- Vous retiendrez désormais qu'il faut toujours prévoir une marge de sécurité au cas où . . . De toute façon, votre note mérite à elle seule la sanction que je vais devoir vous infliger.
Mais pour commencer, vous allez vous rendre à l'infirmerie, vous risquez d’attraper la fièvre avec ces vêtements humides. Vous demanderez à l’infirmier de mettre à sécher tous vos vêtements mouillés. Ensuite vous reviendrez ici mais avant d'entrer en classe vous vous rappellerez ce que je vous ai annoncé la dernière fois.
On perçoit dans le regard perdu de Caroline qu’elle est domptée et résignée, comme si elle savait dès le début comment tout cela allait finir. Elle baisse la tête et commence à s'avancer vers la porte.
- Je vous donne dix minutes, Mademoiselle, pas une de plus !
Juste avant qu'elle ne quitte la salle, le prof lui dit d'attendre :
- Dorine, vous accompagnerez Caroline. Veillez à ce qu'elle obéisse A LA LETTRE à mes instructions.
Elle est placée sous votre responsabilité et autant vous prévenir que si elle me désobéit, vous en supporterez vous aussi les conséquences.
Les deux filles sortent, tandis que Julie ne cesse de pleurer. Monsieur M. ne se gêne pas pour en remettre une couche :
- Arrêtez votre cinéma, s’il vous plaît ! Vous faisiez moins la mijaurée lorsque vous aviez la main dans votre slip l'autre jour.

Je reviens à Dorine et à Julie. Ce qui s’est passé en dehors de la classe, je vous le dépeins comme Dorine me l’a rapporté. J’ai en effet bénéficié de ses confidences après que nous soyons devenus très, très . . . intimes.
Pendant le trajet, elle sent sa compagne très fébrile, elle ne sait quoi lui dire pour la rassurer. Elle essaye de s'imaginer à sa place et se voit entrer dans la salle de classe avec seulement son soutien-gorge. Malgré le frisson qui lui parcoure l'échine, elle ressent un léger picotement dans le bas de son ventre. Ses sentiments se contredisent, elle aurait bien sûr horreur d'être punie comme Caroline, mais juste s'imaginer ainsi ne la laisse pas indifférente. D'ailleurs elle aussi, a pris un certain plaisir à assister à la première humiliation de Caroline. Heureusement pour elle, comme elle est toujours en jeans, elle n’a pas pu commettre la même imprudence que Julie et en classe, elle s’est contentée de discrètes pressions de ses doigts et de quelques contorsions, mais durant l’intercours, elle s’est vivement réfugiée dans sa chambre d'internat et s'est mise toute nue pour se caresser sur son lit, en revivant la scène. Ce n'est que quand son excitation est retombée qu'elle s'est rendue compte qu’elle avait couru le risque d’être surprise dans cet état par une de ses trois compagnes de chambre.
Finalement les deux filles arrivent à l'infirmerie sans avoir échangé un seul mot.
Elles ont la bonne surprise d’être reçue par Madame L., l’infirmière qui remplace le titulaire habituel.
- Que vous arrive-t-il, mesdemoiselles ?
Devant les bredouillements de Caroline, Dorine comprend qu’elle n'aura pas la force de s’expliquer et prend les choses en main en limitant ses informations à l’essentiel :
- Caroline est trempée, Madame. Monsieur M. demande que vous lui séchiez ses vêtements mouillés.
- Houlà oui je vois, tu ne peux pas rester comme cela. Mais je n’ai pas de séchoir et les radiateurs ne sont pas en fonctionnement, cela va prendre du temps.
- Elle doit retourner immédiatement au cours, en laissant ici ses vêtements mouillés. Heu, c’est une punition.
- Ah bon, je comprends, entrez, ne traînons pas dans ce cas.
Dorine passe la première et reconnaît Thomas, le capitaine de l’équipe de hockey, un vrai tombeur, celui-là. Il a tout entendu et ne doit pas être trop mécontent de s’être foulé le poignet en un moment si opportun.
- Puisque tu dois retourner en classe sans tes vêtements, je suppose que je ne dois pas faire sortir Thomas. Si tu es pudique, ce n’est pas un témoin de plus ou de moins qui changera quelque chose. Que dois-tu me laisser comme vêtements ?
Sans répondre à la question, Caroline enlève sa veste, elle cherche des yeux où la poser et finit par la placer sur la table d’examen où est assis le jeune homme qui ne la quitte pas des yeux.
- Tu portes autre chose sous ta robe ?
Caroline fait non de la tête et Dorine précise qu'elle doit aussi laisser sa robe.
- Ok, alors donne-moi ta robe, ensuite tu te sécheras les cheveux !
Les yeux de Thomas pétillent quand Caroline fait glisser lentement sa robe sur ses épaules. Il découvre un soutien-gorge, puis une petite culotte en dentelle assortie, de longues cuisses nues et enfin des bas noirs très sexys.
Caroline, évitant de croiser son regard, dépose sa robe à côté de lui.
- Vu l'état de ta robe, j'imagine que tes sous-vêtements aussi sont mouillés ?
Caroline, effrayée, relève la tête d'un coup, sachant où elle veut en venir. D’un regard désespéré, elle lance un appel au secours à son amie.
- Ton professeur ne t’a-t-il pas dit de me confier tous tes vêtements humides ?
Dorine sent bien le malaise. D’un côté, elle craint de désobéir aux ordres du professeur mais de l’autre, elle voudrait venir en aide à Caroline qui, incapable de se défendre, est à deux doigts de dégrafer son soutien-gorge.
- Non, Monsieur M. a précisé qu'elle devrait revenir en sous-vêtements.
Comme elle voit que l'infirmière n'est pas convaincue, elle préfère apporter une précision :
- Mais elle devra tout de même enlever sa petite culotte juste avant d'entrer en classe . . . Elle doit être nue en bas parce qu’elle va recevoir une fessée.
- Alors je ne vois pas ce que cela change, si elle doit se montrer en classe vêtue de son seul soutien, elle peut aussi bien être toute nue. Je ne tiens pas à ce qu’elle attrape un mauvais refroidissement avec des sous-vêtements trempés. Voyons cela.
Et coupant court à toute discussion, elle passe sa main d’abord dans l’un et puis dans l’autre bonnet du soutien avant de soulever la ceinture du slip pour en apprécier l’état.
- Ton slip, ça va encore mais ton soutien est trop humide, tu ne dois pas garder cela sur ta poitrine. Ote-le.
Caroline sent que plus rien ne pourra lui éviter cette nouvelle exhibition et se tournant à demi pour fuir le regard excité de Thomas, elle passe ses mains dans son dos et détache l’agrafe.
- Voilà, tu vois ce n’est pas si grave, sèche-toi les cheveux avec cette serviette à présent et tu pourras la garder pour te couvrir dans les couloirs. A tout à l’heure, moi je vais faire sécher tout cela au grand vent sous le préau.
Et elle sort de la pièce en emportant les vêtements humides.
Dorine, consciente du temps qui s’écoule dangereusement, presse son amie qui se frictionne la tête vigoureusement en tournant le dos au garçon et sans perdre de temps, elles quittent l’infirmerie. Dans le couloir, Caroline veut se draper soigneusement dans la serviette mais Dorine lui dit de se dépêcher, car ça fait bientôt dix minutes qu'elles sont parties. Les deux filles traversent le hall en courant et arrivent devant la salle de cours en n’ayant croisé qu’un groupe d’enseignants surpris de voir une étudiante quasi nue, pressant une serviette sur sa poitrine.
Caroline s'apprête à frapper à la porte, mais Dorine l’arrête à temps en lui rappelant les consignes du professeur.
- Il a dit que tu devrais laisser ton slip au vestiaire. Enlève-le et aussi cette serviette. Grouille-toi, on va être en retard, je n’ai pas envie d’être punie aussi.
- Mais je vais être toute nue, tu ne te rends pas compte. Si au moins cette idiote m’avait laissé mon soutif.
- Attends, je te passe le mien.
Et avec une dextérité étonnante, Dorine décroche son soutien sous son pull et l’enlève par ses manches. Sans même penser à la remercier pour ce geste de solidarité, Caroline s’empresse de le passer. Ses seins ne sont pas menus comme ceux de son amie mais heureusement c’est un soutien basique sans forte armature et le résultat n’est pas trop catastrophique.
- Allez, ton slip à présent.
Elle voit que Caroline hésite, et sait qu'elle ne peut plus perdre de temps à la convaincre. Elle a trop peur de subir le même sort que Caroline si elles ne sont pas dans les temps. Le prof a bien insisté qu'elle était responsable. Comme Caroline ne se décide toujours pas, elle lui dit qu'elle est désolée mais qu'elle n'a pas le choix. Elle baisse sa culotte jusqu'à ses chevilles, frappe à la porte en se relevant et dès qu’elle entend qu’on leur dit d’entrer elle passe la première et attend. Ouf, l’horloge au-dessus du tableau indique qu’elles n’ont pas dépassé le délai.
Alors que Dorine entre en classe, Caroline se débarrasse de son slip, elle sait que Dorine à raison. Remonter sa culotte et entrer ainsi ne feraient qu'aggraver sa punition. Elle accroche son sous-vêtement à une patère au milieu des impers et des vestes et respirant un bon coup, elle entre à son tour en couvrant son sexe de ses deux mains.
Elle aurait aimé que Julie ait, elle aussi, la culotte baissée, mais elle n'a pas bougé de place, toujours agenouillée sur le bureau, les mains sur la tête et le visage baigné de larmes. Elle sent immédiatement qu’elle est à nouveau le centre d'intérêt de toute la classe et tâche de retenir ses larmes de honte. Un petit clin d’œil de Dorine est le seul signe de sympathie qu’elle perçoit parmi tous ces visages.
- C'est bon, Dorine, vous pouvez regagner votre place.
Dorine ne se le fait pas dire deux fois, toute heureuse de ne plus être en évidence car dès qu’elle a rencontré le regard de Monsieur M., elle a senti ses tétons se durcir, sous son léger top en cachemire.
- Quant à vous, Mademoiselle aux fesses nues, en position pour la fessée ! Retournez-vous.
Immédiatement, il claque ses cuisses, juste au-dessus de ses bas. Il alterne une cuisse puis l’autre en frappant fort ce qui la fait sautiller d’une jambe sur l’autre en faisant danser son beau derrière rebondi pour mon plus grand bonheur. Après une dizaine de claques, il lui permet de reprendre son souffle mais en profite pour rouler ses bas en dessous de ses genoux. Il reprend la punition en se concentrant toujours sur cette zone, jusqu’à ce que ses cuisses soient uniformément colorées. Une nouvelle pose, il se penche pour lui remonter délicatement ses bas noirs, je la vois distinctement frémir quand le dos de la main du professeur passe haut entre ses jambes en se retirant et elle ne peut retenir un petit cri qui déclenche derrière elle des rires nerveux. Je crois qu’il lui a effleuré le sexe, s’il l’a vraiment fait exprès la séance va devenir de plus en plus passionnante !
- Voici pour vos cuisses, c’était le hors d’œuvre. Passons au plat de résistance puisque, comme son nom l’indique, une fessée concerne avant tout les fesses. Courbez-vous.
Elle obéit, mais il veut que ses fesses soient mieux exposées :
- Penchez-vous plus que ça ! Vos mains sur vos chevilles !
Caroline se courbe davantage. Bien qu’elle tienne ses jambes serrées, les lèvres de son sexe apparaissent aux yeux de tous. Elle doit en être pleinement consciente et essaye d’encore retenir ses larmes.
- Vous avez de la chance que cette période soit révolue, mais il fut un temps où c'est le martinet et la cane que vous auriez reçu dans cette position.
Il lui assène une première forte claque.
- Et il est inutile d’essayer de cacher votre intimité en serrant vos cuisses. Quand on est punie cul nu devant ses camarades, la pudeur n’est plus de mise. Ecartez donc ces jambes, vous aurez une meilleure assise.
Au comble de la honte, Caroline se met à gémir mais obéit. Quelques larmes tombent sur le plancher de l'estrade.
- . . . oui, c'est ça, restez courbée ainsi. Et donnez-moi ce soutien-gorge.
Julie, toujours agenouillée sur le bureau pousse à son tour un léger cri d'angoisse. Caroline, tout en restant en position, essaye de persuader le prof qu'elle est déjà assez punie, mais celui-ci n'est pas prêt à lui accorder la moindre faveur.
- Allons, j’avais promis à vos camarades que si vous troubliez encore leurs cours par une arrivée tardive, ils vous verraient complètement nue. Vous étiez prévenue et je tiens toujours mes engagements.
Alors dépêchez-vous de dénuder vos seins. Vous allez voir qu’entre une punition déculottée et une punition toute nue, il y a une fameuse différence.
Sans se redresser, Caroline se décide à dégrafer son soutien et libère sa poitrine. Même si elle est à présent toute nue, seuls les premiers rangs de côtés peuvent apercevoir ses seins, mais ce qui l’inquiète, c'est que Monsieur M. ramasse le soutien-gorge tombé au sol et l’examine suspicieusement :
- Il ne vous va d’ailleurs pas du tout, il est beaucoup trop petit pour votre poitrine ! La prochaine fois que vous irez acheter un soutien, faites-vous donc conseiller, il n’est pas bon pour vos seins d’être comprimés de cette façon.
Tiens, c’est bizarre, je viens de remarquer qu’à côté de moi, Dorine a croisé précipitamment ses bras sur ses épaules. Elle a l’air bien mal à l’aise tout à coup. Est-ce cette dernière réflexion du professeur qui la trouble tant ?
Monsieur M., tout en continuant à agiter en l’air le petit soutien jaune pâle, descend dans les rangs qu’il parcoure lentement. Il a l’air dubitatif comme s’il cherchait la solution d’une énigme. Il semble soudain pris d’une inspiration en passant près de Dorine. Il faut dire que la sotte a gardé sa curieuse position, bras contre sa poitrine et qu’elle fixe notre prof comme une misérable petite souris fascinée par le serpent. Va-t-il la punir elle-aussi ? J’aimerais comprendre ce qui se passe mais Monsieur M. semble changer d’avis et il retourne sur l’estrade en balançant joyeusement son trophée qu’il enferme dans son tiroir.
Caroline a bien enregistré le geste, mais elle n’a pas le temps de s’angoisser longtemps des conséquences de la confiscation de son dernier vêtement, une douleur vient lui brûler les fesses. Une fessée en règle a repris, forte et rapide, visant cette fois uniquement son fessier. Elle semble avoir bien du mal à tenir sa position, elle trépigne d’une jambe sur l’autre et tente plusieurs fois de se redresser, si bien que Monsieur S. doit se placer de côté et encercler étroitement sa taille de son bras gauche pour la maintenir. J’aimerais être à sa place, sa main posée très bas sur son ventre doit ressentir tous ses frémissements.
Quand finalement, il estime le châtiment suffisant, il la force à se relever en lui tirant l'oreille.
Elle gémit et portant ses mains sur chacune de ses fesses, elle reste quelques minutes à se masser en sautillant ridiculement sur place. Vu de dos, le spectacle est, ma foi, des plus attrayants.
- Allez, Mademoiselle, au piquet !
Caroline essuie ses joues et s'approche du tableau.
- Nez collé au mur et les mains sur la tête.
Caroline obéit sans discuter, je pense aux bouts de ses seins qui doivent toucher le plâtre froid du mur. Ses bas noirs contrastent avec la rougeur de ses cuisses et de ses fesses, elle doit se sentir pire que nue dans cet accoutrement.
L’attention de la classe se reporte sur la prochaine victime. Julie semble de plus en plus nerveuse. Elle n'a pas osé lever la tête durant toute la fessée de Caroline. Même quand le prof lui tourne le dos pour faire le tour des rangs en se frottant la main qui a fessé, ses yeux restent obstinément braqués sur le plancher, juste aux pieds du bureau où elle est juchée.
Lorsqu'il revient vers l'estrade, on pourrait entendre une mouche voler. Au lieu de s’adresser à Julie comme nous nous attendions tous, il s’assied tranquillement à son bureau et remplit quelques papiers, sans se préoccuper de la pauvre pénitente dont le fessier serré dans un pantalon de toile blanche trône à quelques centimètres de son visage. Enfin, il fait pivoter sa chaise et s’exclame d’une voix forte qui en fait tressaillir plus d’un :
- A votre tour Julie ! Vous pouvez venir ici.
Galamment, il lui tend la main pour l’aider à descendre du bureau et sans la lâcher, il la guide jusqu’à ce qu’elle se place en face de lui. Lui assis, elle debout, ils nous apparaissent de profil mais le meuble gâche un peu notre vue. Elle reste les bras ballants le long de son corps, sans savoir ce qui va lui arriver tandis qu’il la toise narquoisement.
- Nous allons commencer par dégager, la zone qui nous intéresse, qu’en pensez-vous ?
Et sans attendre sa réponse, il défait son imposant ceinturon puis les boutons et descend délicatement la fermeture de son pantalon. Julie n’a pas reculé, mais je vois ses lèvres trembler. Un petit coup sec des deux côtés et le premier vêtement tombe et s'enroule autour des chevilles. Le pull trop court laisse apparaître les pans d’un chemisier bleu et une petite culotte blanche qui couvre sagement les fesses. Le prof remonte en même temps, le pull et le chemisier découvrant progressivement un ventre agité d’une respiration haletante. Les gestes sont posés, il prend tout son temps, visiblement il prend beaucoup de plaisir à ce lent déshabillage. Julie n’a aucune réaction, même lorsque, l’ayant fait se pencher vers lui, il enroule soigneusement ses deux tops au-dessus de son soutien gorge mais la rougeur de son visage témoigne de son embarras.
Arrive enfin le moment que j’espérais, les mains du professeur descendent le long du corps de Julie, jusqu’à s’insérer dans la ceinture de sa petite culotte. Il écarte fortement l’élastique des deux côtés et dénude lentement la mignonne, les yeux dans les yeux.
Ce silencieux face à face est terriblement érotique mais malgré l’attrait de la scène je ne peux m’empêcher de percevoir l’agitation qui semble s’être emparée de Dorine. Elle a renoncé à couvrir son torse et je suis ébahi de remarquer à quel points ces tétons pointent sous son pull si fin. Je n’en crois pas mes yeux, on dirait vraiment qu’ils percent le tissu. Ses bras sont à présent relâchés et elle ne cesse de se tortiller, le torse fléchi vers notre table.
Quant je reviens à Julie, c’est pour me pencher plus ou moins discrètement dans l’espoir d’apercevoir sa toison mais en vain. Monsieur M. l’a délicatement repoussée et il s’est levé pour déplacer sa chaise au milieu de l'estrade. Voilà des préparatifs bien réjouissants sauf pour la vedette de la scène qui s’annonce. Mais notre professeur parvient une nouvelle fois à nous bluffer en insérant un intermède inattendu.
- Caroline, retournez à votre place. Il n'y a aucune raison que vous n'assistiez pas à la fessée de Julie. Après tout elle a tellement . . .
Il marque un temps d’arrêt pour souligner son propos :
- . . . joui de la vôtre. Enfin n’allez tout de même pas jusqu’à l’imiter, bien que votre tenue s’y prêterait plutôt.
Caroline aurait largement préféré rester face au mur, plutôt que se déplacer dans la classe. Mais ce n'est pas une proposition que lui fait le prof. Elle enlève les mains de sa tête et à mon grand regret, elle se couvre le sexe et les seins de son mieux pendant le trajet. Sa place est dans la rangée devant la mienne, je la vois de trois quarts, assise entre Guillaume et Robin. Les veinards ! Cela doit faire un effet terrible d’être assis si près d’une fille toute nue. Moi je ne vois que son côté pile, ses cheveux noués en queue de cheval dégage sa nuque délicate, des hanches découpées comme un violoncelle et la fente de ses fesses qui remonte haut. Elle a gardé ses bras en protection de sa poitrine et de son pubis, mais le professeur l’interpelle :
- Détendez-vous, jeune fille, ce n’est plus vous qui êtes la vedette alors ne restez pas ainsi crispée et profitez, à votre tour du spectacle que va nous offrir notre petite voyeuse d’il y a quinze jours.
Mais comme Caroline n’abandonne pas sa position, il précise :
- Je veux voir vos mains sur la table, Mademoiselle, . . . qu’elles ne s’égarent pas.
Cette fois, Caroline a compris ce qu’il voulait et se soumet à regret. Dès que le professeur ne regarde plus dans leur direction, je vois que ses deux voisins la reluquent sans se gêner et la serrent de près. Eux n’ont pas leurs mains sur la table. D’ailleurs après, ils se vanteront d’avoir passé leurs temps à d’abord la frôler puis carrément à lui caresser les cuisses, se doutant qu’elle n’oserait jamais se plaindre.
Pendant ce temps, le prof s'assied sur la chaise au bord de l’estrade et appelle Julie auprès de lui. Elle s’approche à tout petits pas, les chevilles enchevêtrées dans ses vêtements. Elle a placé ses deux mains devant sa vulve et nous n’en voyons rien. Par contre ses seins ne sont protégés que par un soutien transparent qui ne dissimule quasi rien. Je suis fasciné par ce galbe et ces petits tétons sombres.
Dès qu’elle est à sa portée, Monsieur M. se saisit de sa main et l’attire à lui pour la basculer sans ménagement sur ses genoux. Elle pousse un cri et fond en larmes quand arrive la fessée. Pour elle, pas de claques sur les cuisses, seules les fesses sont visées, l’une et l’autre méthodiquement, en alternance. Julie est moins stoïque que Caroline. Elle reçoit certainement la première fessée de sa vie et gigote en tous sens, si bien que son fesseur est obligé de lui serrer les poignets dans le dos pour l’empêcher de se protéger. Ses seins dans son léger soutien tressautent dans le vide. C’est une longue, très longue fessée. Son joli cul va prendre de sacrés couleurs ! Julie a abdiqué toute dignité, oubliant notre présence, elle hurle, gémit, pleure et supplie le professeur d’arrêter, elle lui jure qu’elle ne se masturbera plus jamais en classe – dans sa panique, c’est le mot qu’elle utilise ! - , qu’elle travaillera, qu’elle fera tout ce qu’il veut, mais qu’elle n’en peut plus.
La fessée s'arrête aussi soudainement qu'elle a commencé. Sitôt ses poignets libérés, elle pose ses mains au sol et reste allongée sur les genoux du prof à sangloter. Il la laisse récupérer et passe négligemment sa main sur ses fesses brûlantes comme s’il examinait son travail. Enfin il la fait se relever. En nous tournant le dos, elle rabaisse son pull et son chemisier et se frotte les fesses. Le professeur reste assis et la regarde faire un moment puis la ramène sans détour à la réalité :
- Avez-vous pu apprécier ce qu’était une fessée cul ? Une de ces fessées qui vous excitait tellement quand c’était une de vos camarades qui la subissait.
- . . . Oui Monsieur. Pardon, Monsieur.
Elle s’est exprimée d’une voix à peine audible, entre deux sanglots.
- Et bien, n’arrêtons pas votre apprentissage en si bon chemin, alors. Caroline, venez nous rejoindre.
Caroline a sursauté, ses deux voisins aussi. Est-elle davantage soulagée d’échapper aux mains baladeuses de Guillaume et Robin qu’embarrassée de revenir « sur scène » ? Je ne sais, mais elle obtempère sans hésitations.
Quand les deux filles sont sur l’estrade, il les place face à nous, l’une tout contre l’autre, hélas sans leur interdire de se couvrir de leurs bras.
- Vous avez donné du plaisir en regardant l’humiliation de Caroline, l’autre jour. Ce n’est pas une attitude très amicale. Je pense que vous devriez faire preuve de votre repentir par un geste à son égard.
Julie le regarde sans comprendre. Nous aussi, nous nous demandons où il veut en venir. Nous ne sommes pas déçus par la suite.
- Ne prenez pas cet air ahuri, Mademoiselle, et réfléchissez. Croyez-vous qu’il soit agréable pour Caroline d’être seule toute nue dans cette classe ?
Il a lourdement insisté sur le mot « seule ».
- . . .
- Que pourriez-vous faire pour l’aider à supporter cette humiliation ?
- . . .
- J’attends.
Il a presque crié et Julie a poussé une faible plainte qui témoigne qu’elle a compris . . . et nous aussi.
- Me . . . me . . . moi aussi.
- Que voulez-vous dire ?
- Me mettre aussi nue.
- Nue ?
- Toute nue.
- Complètement nue, effectivement. Eh bien, je vous félicite pour ce geste . . . spontané de solidarité envers Caroline. Mais comme je doute que vous aurez le cran de passer à l’acte, je vais vous accorder pour cette fois une faveur, vous n’aurez pas à vous déshabiller.
Quelques réactions se font entendre dans la salle que le professeur calme d’un geste :
- Non, vous n’aurez pas à vous dévêtir devant la classe, mais vous allez présenter vos excuses à votre camarade pour ce que vous avez fait et vous lui demanderez si elle veut bien vous rendre le service de vous débarrasser de vos vêtements.
L'ordre est tellement inattendu, qu’un nouveau brouhaha trouble les rangs. J’ai une trique pas possible, presque douloureuse, coincé dans mon jeans. Dieu que j’ai envie de me toucher . . . mais mes mains restent sagement posées sur ma table en attendant une meilleure occasion. Les deux filles semblent avoir des sentiments très contrastés : Caroline lance un regard mauvais à l’autre, qui paraît au comble du désarroi. Je crois que Caro est soulagée de ne plus devoir supporter seule sa nudité et puis elle n’a jamais beaucoup apprécié Julie et encore moins depuis qu’elle a appris qu’elle s’excitait pendant sa punition. Le professeur patiente, il doit jubiler en son for intérieur de les voir ainsi hésiter, mais comment parvient-il à garder son sérieux ? Moi à sa place, je crois que j’aurais déjà éclaté de rire à contempler leurs têtes. Pourtant lui, parvient à maintenir son ton sévère qui renforce la saveur érotique de la scène.
- Et bien, Julie . . . nous vous écoutons.
- . . .
- Préférez-vous que je désigne un de vos camarades pour vous déshabiller.
La menace est payante et dans un silence total, nous entendons enfin :
- Caroline, je regrette d’avoir pris du plaisir à te voir punir. Pardonne-moi. Je . . . je voudrais . . . je voudrais que tu me mettes nue.
Une claque s’abat sur sa cuisse.
- Toute nue.
- Allez-y, Caroline, puisque Mademoiselle la voyeuse désire expérimenter elle-aussi ce que l’on ressent quand on est nue en classe. Enlevez-lui tout. En commençant par ses chaussures.
Caroline s’accroupit aux pieds de Julie et dénoue ses lacets. Elle nous tourne le dos mais doit offrir un intéressant spectacle au prof. Chaussures et chaussettes ôtées, elle la débarrasse de son pantalon et de son slip qu’elle laisse à terre, puis se redresse.
- Vous enlevez tout ! Pull-over, chemisier et soutien-gorge ! Je ne veux plus voir aucun vêtement sur elle. La nudité intégrale.
Caroline passe derrière Julie. Tiens ! Visiblement elle a compris que cette façon de faire nous plairait et elle a décidé de ne pas faire de cadeau à Julie, à moins qu’elle cherche à gagner l’indulgence de Monsieur M.
Elle soulève le pull que Julie avait remis en place, le chemisier suit quelque peu le mouvement découvrant un joli nombril et vient enfin le moment tant attendu : Julie est obligée de cesser de nous cacher son sexe pour lever les bras. Ouah ! C’est bien ce que j’avais deviné. Elle est lisse comme un caillou, sa vulve est soigneusement épilée et ses lèvres et sa fente sont pleinement visible. Sa toison de blonde doit naturellement être peu fournie. Le pull ôté, Caroline toujours derrière Julie entreprend à tâtons de déboutonner son chemisier et le fait glisser voluptueusement sur ses épaules. Julie n’a plus que son soutien. Caroline le dégrafe et le lui retire en accompagnant sa chute d’une caresse tout au long de ses bras. Oh ces seins arrogants aux galbes parfaits !
La voilà enfin toute nue devant nous. Elle a remis ses mains devant sa chatte renonçant à protéger ses seins. Elle semble complètement tétanisée, tandis que Caroline semble curieusement plus à l’aise dans sa nudité qu’elle partage désormais avec son ennemie.
- Mademoiselle, ne restez pas plantée là comme une gourde. Remerciez votre amie pour sa gentillesse et ramassez vos vêtements. Vous les rangerez sur mon bureau.
- Heu . . . Mes . . . merci, Caroline.
On sent que ce merci lui en coûte, ce qui n’échappe pas au professeur.
- Merci, pourquoi ? Précisez.
- Merci de m’avoir mise nue.
Une nouvelle claque sur sa cuisse.
- Heu, merci de m’avoir mise toute nue, Caroline.
Elle est à nouveau contrainte de tout nous dévoiler pendant qu’elle va et vient pour ramasser et ranger ses vêtements. Caroline a reçu l’autorisation de rejoindre sa place et le professeur a gagné le fond de la classe ce qui la laisse seule sur l’estrade.
- Vous rangez vos vêtements, un à un et vous les pliez soigneusement, jeune fille. Nous avons tout notre temps.
Quand enfin, ses vêtements sont réunis en pile sur la table, le professeur la congédie et elle va se rasseoir . . . à côté de moi. Je ne pensais pas que j’aurais cet infini bonheur. D’autant qu’avant de reprendre son cours, le professeur me recommande une nouvelle fois de bien la surveiller et de le prévenir à la moindre incartade. J’ai discrètement rapproché ma chaise, mes vêtements effleurent sa peau, je sens la chaleur de sa cuisse contre la mienne. Elle n’ose pas me regarder et garde obstinément les yeux fixés sur le tableau comme si je n’existais pas.
La seconde heure de cours se déroule dans une atmosphère étrange. Nous avons le plus grand mal à suivre les exposés, d’autant que les deux filles nues sont fréquemment appelées au tableau pour résoudre des problèmes. La craie, l’équerre ou le compas en main, il n’est même plus question de songer à se couvrir et nous les voyons avec ravissement s’agiter, s’étirer, se pencher pour couvrir le tableau de figures géométriques.
Nous sommes trois à chaque table si bien que pour gagner la travée, Caroline est à chaque fois obligée de passer devant l’un des deux garçons qui ne se lève pas toujours ? Julie a plus de chance et elle choisit bien sûr d’enjamber Dorine plutôt que moi.
Quand vient le moment de travailler par table, j’en profite pour me tourner carrément vers les filles. Julie a replacé ses mains sur sa fente et puisque Monsieur M. m’a chargé de la surveiller, je lui prends crânement les mains pour la forcer à les poser sur la table. A sa droite, Dorine a aussi rapproché sa chaise pour coincer Julie entre nous. Pendant que j’explique la solution, Dorine me lance un clin d’œil complice et de sa main posée sur le genou de Julie, elle lui écarte les cuisses. La pauvre se laisse faire, elle semble totalement matée. Ah si j’osais ! J’ai tellement envie de prendre sa main et de la fermer sur la bosse qui déforme mon jeans, mais je dois me contenter à reluquer tant que je peux ces cuisses de déesse et cette petite chatte luisante qui s’est légèrement entrebâillée.
La sonnerie de l’intercours retentit mais contrairement à l’habitude personne ne bronche, aucun d’entre nous n’est pressé de partir. Le professeur appelle encore une fois Caroline et Julie près de lui.
- Caroline vous pouvez aller rechercher vos vêtements à l’infirmerie, ils doivent être secs à présent.
Il sort de son tiroir le soutien-gorge jaune trop étroit pour Caro et poursuit :
- Je ne vous rends pas votre soutien, j’en ai encore besoin pour une petite vérification. Dorine, vous resterez un instant, j’ai deux mots à vous dire.
Dorine s’est figée. J’adore comme cette fille rougit bien !
- Quant à vous Julie, vous accompagnerez Caroline puisque Dorine n’est pas disponible. Je suppose que vous n’allez pas laisser votre amie, Caroline se balader toute nue dans les couloirs. Vous êtes à peu près de la même taille, prêtez-lui donc vos vêtements et gardez pour vous la lingerie.
Malgré le ton courtois, Julie comprend qu’elle a tout intérêt à suivre ce « conseil » et malgré sa répulsion à affronter de nouveaux regards dans ses sous-vêtements quasi transparents, elle tend ses vêtements à Caroline.
Nous attendons que les filles soient rhabillées pour sortir avec elles. Sans surprise, la petite culotte que Caroline avait laissée au porte manteau a disparu, elle sera sans doute partie dans la collection d’un fétichiste. Elle fait la moue en se rendant compte qu’elle restera les fesses nues sous sa courte robe jusqu’à la fin de la journée. Les filles s’éloignent en fendant la foule des élèves qui se croisent dans le grand hall. Certains d’entre nous les suivent plutôt que de se rendre directement dans la cour.
Quant à moi, je ne peux me résoudre à abandonner Dorine et je reste dans les parages immédiats pour surveiller la porte de la classe que le professeur a refermée. L’envie me dévore de savoir ce qui se passe à l’intérieur, mais dans ce couloir bondé, je n’ose pas écouter à la porte, ni même m’en approcher de trop. Au moment où je vais me résoudre à abandonner mon poste de gué, la porte s’ouvre enfin. Dorine sort seule en refermant son jeans. Elle n’a pas l’air stressée et dès qu’elle m’aperçoit, elle me sourit en levant son pouce.
- Ah, il est terrible ce prof. Il sait s’y prendre avec les filles. Enfin, cela n’a pas été trop dur et j’ai récupéré mon soutif.
En rigolant, elle soulève un quart de seconde son pull pour me montrer son petit soutien jaune.
- Viens on va à la cantine, c’est l’heure et je dois avouer que tout cela m’a donné une faim de loup.
Au réfectoire, nous avons la surprise de rencontrer Caroline qui a toujours sur elle les vêtements de Julie. Elle nous explique que l’infirmière a trouvé que les siens étaient encore trop humides et leur a dit de revenir à seize heures. Cela l’arrange bien car elle ne se réjouissait pas à la perspective de passer l’après-midi avec sa robe légère sans petite culotte.
Dans la file du self service, nous retrouvons en petite tenue une Julie ronchonne. Dorine, décidément d’humeur taquine, amuse la galerie à ses dépens :
- Alors, Mademoiselle la voyeuse, on dirait que tu as viré définitivement à l’exhibitionnisme.
L’autre pour toute réponse lui demande sèchement si ses fesses de chouchoute ont apprécié la leçon particulière du prof, ce qui fait rigoler les autres mais agace au plus haut point Dorine. Profitant qu’elle a les mains libres puisque c’est moi qui porte notre plateau, elle se met à chahuter Julie en jouant avec l’élastique de sa culotte, qu’elle écarte et lui claque dans le dos à plusieurs reprises, avant de la lui abaisser sous les fesses pour vérifier, dit-elle, si elle a toujours le feu au cul. Sa victime râle mais doit attendre dans la file qu’une table soit à sa portée pour pouvoir déposer son plateau et se réajuster.
Quand nous nous sommes servis, Dorine m’entraîne à une table isolée au fond de la pièce et je peux enfin lui demander ce qui s’est passé après notre sortie de la classe.
Elle ne me fait pas mystère qu’elle était très excitée de devoir rester seule avec le prof après ce qu’elle avait vu. Il lui a balancé sous le nez le soutien jaune en lui demandant si elle savait à qui il appartenait. Comme elle niait sottement, il lui a fait ôter son jeans et a bien entendu découvert que son slip était coordonné au soutien. Il lui a alors retiré son cachemire et a posé lui-même le soutien sur ses seins. Dorine a bien été forcée d’avouer et à sa grande surprise, le prof l’a félicitée pour son acte de courage et de solidarité. Mais il a estimé tout de même que ses mensonges méritaient une punition - ben voyons, il n’est pas du genre a laisser passer une telle occase ! - et il l’a fessée couchée sur ses genoux.
Pas vraiment douloureux : selon Dorine, une courte fessée suivi d’un long massage très doux. Dès le début de son récit, ma braguette subit une nouvelle déformation qui va en s’amplifiant au fil des mots, des regards, des sourires de Dorine. Nous sommes assis l’un près de l’autre sur la même banquette et elle perçoit vite . . . mon embarras.
- Oh toi alors, t’arrêtes pas ! Cela fait trois heures que tu bandes. On peut dire que tu as vraiment la bosse des maths !
Sa main se ferme sur mon tourment pour en évaluer l’ampleur, elle siffle en sourdine entre ces dents et s’empare de quelques serviettes en papier.
- Faut pas rester ainsi. Je vais t’arranger ça.
Surexcité mais en jetant alentour des regards inquiets, je me laisse faire. Elle, très à l’aise, procède tout en continuant à m’expliquer avec des mots choisis, ce qu’elle a ressenti toute nue sous les claques et les caresses de notre professeur. En quelques divines pressions de ses délicates mains toutes chaudes, voilà mon problème discrètement réglé.