mardi 19 septembre 2017

convoquée suite 2

L'agent d'entretien ne se fait pas prier. Caroline sent sa main passer entre sa culotte et son collant au niveau de ses fesses. Il le baisse sous ses fesses et fais la même chose avec son string. Caroline regarde la porte face à elle, elle sait que n'importe qui peut entrer à tout moment. Elle tient l'avant de son string et son collant par réflexe tandis qu'elle doit se courber en avant pour être punie.

Les claques de l'agent n'ont rien a voir avec celles du proviseur. En une dizaine de fessées, il réussit à mettre Caroline en pleurs et deux belles marques rouge sur ses fesses sont apparues. Le proviseur arrête lui même la fessée quand il voit la puissance des claques. Caroline se redresse et remonte ses vêtements aussitôt puis frotte ses fesses encore secouée par les sanglots.

- Monsieur Ducros, pouvez-vous réparer cela dès demain ?

Celui-ci lui répond qu'il a quelques matériaux à acheter, mais que cela est envisageable.
Satisfait de sa réponse, il demande à Caroline si elle a une heure de libre dans ses cours le lendemain.
Caroline doit répondre qu'elle n'a pas cours en première heure l'après-midi.

- Très bien, vous viendrez donc aider Monsieur Ducros aux travaux. Prévoyez une veille culotte qui ne craint pas d'être abimée. Ce sera le seul vêtement que vous aurez le droit de porter pour faire les réparations.

Trop occupée au moment présent, Caroline ne prends pas tout de suite conscience de ce que vient d'annoncer le proviseur. L'agent d'entretien, lui à très bien compris et dit qu'il sera à l'heure et prend congés.

Caroline doit suivre le proviseur. Elle retrouve un peu ses esprits lorsqu'elle s'aperçoit qu'il son ressortis du dortoir. Sa jupe étant restée dans la chambre des garçons, elle doit traverser la cour en petite tenue. Il l'emmène jusqu'à l'infirmerie et la confie à l'infirmière.

samedi 16 septembre 2017

Convoquée (suite)

Caroline reçoit une grosse fessée. Quand le proviseur la relève de ses genoux, elle tape du pied par terre et frotte vigoureusement ces fesses sans prêter attention à la situation ridicule qu'elle offre aux spectateurs. Ce n'est que quand le proviseur lui pose les mains sur les épaules et la met face aux garçons qu'elle reprend conscience de la situation dans laquelle elle est. Il passe devant elle et relève sa tête en lui tenant le menton.

- Dite à ces messieurs pourquoi vous êtes punie Caroline ?

Caroline se triture les doigts et baisse la tête ne sachant quoi répondre. Une claque lui arrive sur les fesses la faisant avancer d'un pas et le proviseur lui relève une nouvelle fois la tête.

- Regardez vos camarades ! Et je veux une réponse claire et honnête...

Caroline se dit que dans sa situation, il vaut mieux dire la vérité, et que le proviseur sera plus conciliant avec elle si elle est franche. Elle prend son courage à deux mains pour s'exprimer.

- Je suis punie, car j'ai voulu venir dans votre dortoir cette nuit, alors que c'est interdit.

Le proviseur veut lui faire avouer qu'elle est venue pour être avec un garçon et insiste pour qu'elle précise :

- Et pourquoi vouliez-vous venir ?

Une fois de plus Caroline se dit qu'elle gagnera à être parfaitement honnête et répond d'emblée :

- Pour vous espionner sous la douche...

Le proviseur tout comme les garçons sont stupéfaits des propos de Caroline. Le proviseur ne s'attendait pas à une telle réponse, il reste surpris un moment. Une fois la surprise passée, les garçons lèvent le ton, horrifiés par ce que Caroline vient d'avouer. Le proviseur leur demande de se taire et demande à Caroline combien de fois a-t-elle fait ça. Elle se retourne vers le proviseur et jure qu'elle l'avait fait qu'une fois auparavant. Puis se met à pleurer en demandant des excuses.

- Donc si je comprends bien, vous êtes déjà venue voir ces garçons alors qu'ils étaient tout nu sous leurs douches... Mais comment avez-vous fait ?

Caroline prend conscience de ce qu'elle vient d'avouer et répète qu'elle est désolée. Le proviseur lui redemande sévèrement comment elle a fait. Entre deux sanglots, elle arrive à bredouiller qu'il y a un local technique près des douches et que d'ici, grâce à un trou dans une cloison, elle peut voir les douches.

Le proviseur prend Caroline par le bras pour qu'ils aillent constater cela immédiatement. Il demande à un élève d'aller chercher le gardien de l'établissement, celui-ci faisant aussi office d'agent d'entretien. Tous deux se dirigent vers les douches, tandis que les élèves dégoutés de l'attitude de Caroline discutent entres eux.

 Caroline doit attendre dans le couloir le temps que le proviseur fasse sortir les derniers élèves de la douche. Ceux-ci passent devant elle en commentant goguenard sa tenue, puis elle doit montrer au proviseur comment elle faisait. L'agent d'entretien arrive, Caroline rougit qu'il la découvre en petite tenue et cache l'avant de son string. Le proviseur constate son petit manège, mais n'y prête pas attention pour le moment. Il explique à l'agent d'entretien la situation et voit avec lui pour réparer de sorte que cela ne se reproduise plus. Puis il se tourne vers Caroline. Elle se sent toute petite, gênée d'être la cible de ces deux hommes, elle appréhende la suite.

- Quant à elle, j'étais en train de la punir parce-qu'elle a été surprise dans le dortoir des garçons, mais je ne m'attendais pas qu'elle avoue que c'était pour faire sa voyeuse... Et maintenant, vous jouez votre timorée parce-que vous êtes en petites tenues...

- Venez ici tout de suite !

Caroline est obligée de faire les trois pas qui la sépare du proviseur est de l'agent d'entretien.

- Tournez-vous !

Elle doit montrer ses fesses à peine cachées.

- Cela, ce sera pour avoir fait déplacer monsieur Ducros à cette heure si tardive...

Après un moment de silence ou le coeur de Caroline s'emballe.

- Monsieur Ducros, vous pouvez lui donner la fessée !

Celui-ci ne se le fait pas répéter, il s'approche de Caroline malgré son refus. Le proviseur lui conseille d'obéir et que ça punition sera en conséquence de ses bêtises. Puis il s'adresse à l'agent :

- Allez-y, elle mérite une grosse punition. Décullotez-là ! Baissez-lui complètement son string...


lundi 11 septembre 2017

Convoquée

Caroline ne pouvait pas être en retard, elle n'a pas dormi de la nuit. Depuis que le surveillant l'a ramenée dans sa chambre, elle ne pensait qu'à cet instant. Convoquée chez le proviseur, elle ne pouvait pas s'imaginer que ça lui arriverai.
La secrétaire la fait entrer dans le bureau, elle doit l'attendre ici. Elle sait qu'il ne vaut mieux pas être convoquée dans ce bureau, il se murmure plein de choses concernant le proviseur et elle n'est pas rassurée.

Elle se lève lorsqu'il entre, il la salue froidement et en vient aussitôt aux faits :
- Expliquez-moi ce que vous faisiez hier soir dans l'internat des garçons, lorsqu'on vous a surprise ?

Caroline baisse la tête et se triture les doigts.

-Je voulez demander un renseignement à un copain concernant un cours...

Le proviseur se lève d'un bond :
- Et en plus, vous vous foutez de moi... Savez-vous que ces agissements sont sévèrement punis dans notre institution !
Caroline reste silencieuse.
- De plus, quand vous allez demander un renseignement, vous y allez en nuisette ! Vous allez me faire croire qu'il faut une tenue sexy pour ça...
Le proviseur exagérait, bien qu'assez courte, Caroline portait une chemise de nuit, mais elle n'allait pas contredire le proviseur. Elle savait qu'elle avait tord et avait déjà trop honte pour ça.
- Bon, j'ai d'autres cas à gérer, je reviendrais vers vous plus tard. En attendant, allez au coin derrière mon bureau...
Le proviseur avait dit ça si naturellement, que Caroline en resta bouche bée, elle le regarda avec des yeux ronds :
- Au coin ?
- Oui parfaitement ! Au coin. Avez-vous l'intention de me désobéir ?
Caroline fit non de la tête. Le proviseur lui dit de passer derrière son bureau et de se mettre à genoux devant la bibliothèque. Elle n'en revenait pas d'être ainsi, ridiculisée à son âge avec les mains sur la tête. Le proviseur lui imposes de rester bien droite et de ne surtout pas bouger.
Le proviseur retourne à sa place et appui sur l'interphone :
- Faites entrer le suivant...
Caroline faillit s'étouffer en entendant cela, quelqu'un allez entrer dans le bureau et la découvrir comme ça... Le rouge lui monte aux joues. Pendant l'entretien elle n'a pas osé se retourner craignant la colère du proviseur et la honte d'être reconnue. C'était la matinée des convocations. Quatre personne sont passées dans le bureau, l'un pour absence en cours, un autre pour résultats scolaires très médiocres et les deux derniers pour s'être battus dans l'internat.
A chaque fois le proviseur leur a dit de revenir à 9h30 pour leur sanction.
Quand les deux derniers sont partis, le proviseur à repris ses occupations habituelles sans se préoccuper de Caroline. Ses genoux étaient en feu, elle avait mal aux bras et au dos mais ne pouvait pas se plaindre. Elle espérait juste que sa punition soit enfin levée.
A 9H30, l'interphone sonna. La secrétaire annonçait que les quatre élèves étaient arrivés. Le proviseur lui dit qu'elle pouvait les faire entrer. Les quatre s'alignent devant le bureau, avec la mine déconfite, se demandant à quelle sauce ils vont être mangés.
- Caroline levez-vous et allez rejoindre vos camarades !
Elle se relève, et va rejoindre ses compagnons d'infortune avec la gêne de devoir affronter leur regards. Rouge de honte, elle y va tête baissée.
Les deux premiers sont punis de quatre mercredi après midi de colle, l'un pour rattraper les cours, l'autre pour rattraper son retard. Les deux autres sont punis de travaux sur leurs heures libres pour l'entretien du bâtiment. Puis son regard se pose sur Caroline. Son coeur se met à battre à tout rompre :
- Quant à vous mademoiselle, c'est autre chose, votre attitude est intolérable et incompatible avec notre établissement. Je me dois d'être particulièrement sévère avec vous afin que cela ne se reproduise plus. Pour commencer, ce que vous avez fait sera divulgué auprès de vos camarades ainsi que votre sanction, afin que tous en comprennent la gravité. De plus, ces jeunes gens en seront les témoins pour en faire la promotion au sein de l'établissement...
Puis il s'adresse aux garçons :
- Cette jeune femme s'est introduite dans votre internat soit pour rejoindre un garçon, ce qui est formellement interdit et inconvenant soit peut-être pour assouvir ses pulsions voyeuristes...
Caroline relève la tête pour contredire le proviseur et ne pas le laisser la faire passer pour ce qu'elle n'est pas. Mais celui-ci, lui ordonne aussitôt de se taire.
- Approchez-vous du bureau, Caroline. Et courbez-vous dessus !
Caroline rougit jusqu'aux oreilles, tandis que les garçons après un moment de surprise affichent un sourire discret.
- Dépêchez-vous je n'ai pas que cela à faire !
Caroline s'approche du bureau et pose ses mains à plat dessus.
- Je vous ai dit courbée sur le bureau...
Le proviseur lui appuie sur la nuque pour qu'elle descende son torse. Lorsqu'elle se penche, elle passe pudiquement sa mains sur l'arrière de sa jupe pour vérifier que celle-ci lui cache bien les fesses, ce qui n'échappe pas au proviseur.
- Les coudes posés sur le bureau et que je ne vous vois pas bouger...
Lorsque Caroline est en place, il lui remonte l'arrière de sa jupe sur son dos. Il anticipe sa réaction en lui appuyant sur le dos pour ne pas qu'elle se relève.
- Je vous ai dit de ne pas bouger !!
Le proviseur et les garçons découvrent ce que Caroline porte sous sa jupe : un string noir, sous un collant couleur chair.
- C'est un sous-vêtement bien léger que vous portez là, Mademoiselle ! N'avez-vous pas honte de porter ce genre de vêtement ?
Caroline aurait voulu lui dire, que normalement ses sous-vêtements n'ont pas à être vu, et que c'est maintenant qu'elle a honte. Mais elle encaisse ses moqueries sans rien dire.
Une première claque arrive sur ses fesses, elle laisse échapper un petit cri de surprise. Puis une deuxième plus sèche et plus rapide. Caroline serre les points c'est une véritable fessée qu'elle reçoit, la première de sa vie. Jamais elle n'aurait pensé en recevoir une un jour, surtout dans ces conditions là.
Lorsqu'il arrête Caroline est essoufflée, le proviseur lui baisse sa jupe et l'invite à se relever. Quand elle se retourne, elle est écarlate. Elle baisse la tête, les larmes au bord des yeux.
- Vous comprendrez, Caroline, que votre attitude mérite une punition exemplaire, vous venez d'en avoir une premier échantillon. Pour la deuxième partie de votre punition, nous allons nous rendre à l'internat des garçons puisque c'est là que vous avez fauté. Je vous attendrez devant à 21 heure. Le hasard décidera dans quelle chambre je vous conduirai.
Caroline commence à comprendre, et ses yeux devienne de plus en plus humide.
- Comme je vous ai dit, je veux une punition exemplaire, c'est pourquoi vous serez à nouveau fessée devant les garçons de cette chambre. Et ce soir ce sera une vraie fessée : je ne vous laisserai pas le luxe de garder votre collant ni même votre string!

Du rouge, Caroline passe directement au blanc. Elle proteste après avoir pris conscience de sa future punition, une larme coule sur sa joue. Le proviseur met les cinq élèves dehors sans tenir compte des protestations de Caroline. Avant de fermer la porte, il lui conseille juste de ne pas être en retard.

Caroline passe une journée horrible. Après ses cours, elle s'enferme dans sa chambre et ne se sent pas bien. Elle pense aller à l'infirmerie pour dire qu'elle est malade, mais elle sait que si l'infirmière ne constate rien, le proviseur lui en voudrait. Elle préfère ne pas s'y rendre. Après le diner alors que les autres filles prennent leurs douches et se préparent pour aller se coucher, elle sort de l'internat pour éviter de répondre aux questions qu'elles ne manqueraient pas de lui poser.
A 21h20, elle décide de se rendre au pensionnat des garçons. Elle attend le proviseur devant la porte, elle a 5 minutes d'avance, son coeur bat à tout rompre. Lorsqu'elle le voit arriver, elle croit s'évanouir.
- Choisissez un numéro entre un et huit ?
Sans réfléchir Caroline sort le numéro cinq. C'est le numéro de  la chambre dans laquelle elle va être conduite.

Le proviseur entre dans la chambre sans frapper, Caroline reste dans le couloir, incapable d'aller plus loin. C'est une chambre de huit. Le proviseur explique aux garçons les raisons de sa présence, et tous affichent un sourire lorsqu'il annonce la punition de Caroline et tournent la tête vers l'embrasure de la porte. Caroline est blanche comme un linge. Le proviseur constate qu'il manque un garçons et les autres lui signifie qu'il est encore à la douche. Il désigne quelqu'un pour aller le chercher et invite Caroline à entrer. Lorsqu'il croise Caroline, un large sourire illumine son visage, et il se permet de lui faire un clin d'oeil explicite. Caroline aurait voulu lui flanquer une bonne gifle, mais elle doit détourner le regard. A petits pas et les yeux humides, elle se décide à s'approcher du proviseur. Elle constate que les deux garçons qui se sont battus, sont là et comprend qu'ils savent déjà qu'elle va être déculottée. Elle imagine aussi qu'ils ont du raconter ça à leurs compagnons de chambrée, même probablement à tout le pensionnat et cela la fait frissonner.

Le proviseur installe une chaise au milieu de la chambre. Il demande aux garçons de venir s'assoir face à celle-ci. Tous se précipitent pour assister à la punition. Celui qui était à la douche revient accompagné de son camarade. Le proviseur leur demande de s'installer avec les autres. La porte est restée entre-ouverte, Caroline imagine qu'il va la fermer lorsqu'il se dirige vers elle, mais au lieu de ça, il l'ouvre en grand. Il explique que la punition de Caroline doit être exemplaire, il n'y a aucune raison pour que d'éventuels curieux n'y assistent pas. Puis il va vers les baies vitrées et ouvre les rideaux. La chambre étant au rez de chaussée, de nuit avec la lumière allumée, on peut voir tout ce qu'il se passe dans la chambre. Caroline le sait très bien car elle et ses copines s'amusaient parfois à regarder ce qu'il se passe dans les chambres des garçons. Lorsqu'il revient vers sa chaise, d'un ton très naturel, il ordonne à Caroline d'enlever sa jupe.
Cette fois, c'est une larme qui coule sur la joue de Caroline. Les mains tremblantes, elle défait sa ceinture et descend la fermeture et sa jupe tombe à ses pieds. Le proviseur tend son bras pour qu'elle lui donne, puis il la lance un lit.

- Venez ici ! Les mains posées à plat sur la chaise.

Caroline a les fesses tournées vers les garçons, comme le matin. mais là, ce sont huit garçons qui sont derrière elle. Elle encaisse une première claque, puis une deuxième. les picotement dus à la première fessée, ne tardent pas à arriver. Elle reçoit la même fessée et finit dans le même état. Le proviseur la prend par le bras.

- Vous avez cinq minutes pour vous reprendre, après je vous donne la suite...

Il emmène Caroline face à la fenêtre, elle doit y rester debout, les mains sur la tête.
Pendant ce temps, le proviseur en profite pour faire le tour des chambrées, laissant Caroline seule avec les garçons.
Les commentaires fusent. Caroline essayent de ne pas les écouter et regarde dehors en espérant que personne ne passe. Mais les garçons sont crus et lui font peur pour la suite. ça l'agace profondément, surtout un des garçons particulièrement entreprenant, qui s'approche d'elle, en lui disant qu'elle  va montrer ses petites fesses et même surement autre chose. Quand il est tout prêt, elle a peur qu'ils lui touche les fesses, à bout de nerf, elle se retourne et lui décroche une claque monumentale. Le garçon se tiens la joue, alors que le proviseur qui venait d'entrer traverse la chambre à toute vitesse. il attrape le garçon par l'épaule et lui recommande d'aller s'assoir. Puis il tire Caroline vers la chaise.
Cette-fois ci, il s'assoit dessus et bascule Caroline sur ses genoux. Il lui donne une claque qui fait crier Caroline. Elle pose ses mains par terre, ses jambes sont en l'air et le proviseur ne fait rien pour améliorer sa position.

- Et maintenant, vous vous permettez de frapper vos camarades !!

Une autre claque aussi forte arrive sur ses fesses. Caroline tente d'interposer sa main, mais le proviseur lui attrape le poignet et lui emprisonne dans son dos. Une autre claque arrive et encore une autre. Caroline ne fait plus rien pour retenir ses cris. le proviseur frappe fort et malgré ses collants les fesses de Caroline commencent à rougir nettement.


















mercredi 10 mai 2017

Interpellation

Nous sommes à deux semaines des vacances de Noël et c'est l'effervescence dans le lycée en ce lundi matin. Le directeur est dans tous ses états : ce Week-end les élèves de dernière année sont rentrés d'un voyage en Allemagne et le bus a été contrôlé à la frontière. Des produits illicites ont été retrouvé dans les valises de quatre élève.
Il sait que les autorités ont relâché les quatre filles concernées et a exigé qu'elles soient présentes ce matin. Dès leur arrivée dans l'établissement, elles sont conduites dans le bureau du directeur.
La première heure de cours a été annulée, le directeur a convoqué le staff pour un conseil de discipline extraordinaire.

Les quatre filles discutent entre-elles pour trouvé une solution pour se tirer de ce pétrin. Elles sursautent quand la porte s'ouvre brusquement. Le directeur entre en furie dans le bureau.

- Vous quatre, venez avec moi ! Vous allez apprendre à quoi on s'expose lorsqu'on met la réputation de l'établissement à mal.

Sans pouvoir se défendre, les filles sont conduites dans la salle du conseil de discipline. Les profs découvrent les identités des quatre punies. Par souci d'impartialité, le directeur n'avait pas donné leurs noms. Tous sont surpris, il s'agit de quatre copines studieuses avec lesquelles aucun prof n'a eu de problème. Elles avaient fait toutes leurs études dans l'établissement et elles n'avaient jamais du être punies.
Le directeur demande si le vote concernant leur punition est terminé. Les profs baissent la tête, ils savent que plus rien ne pourra changer le cours de la punition, la décision prise par le conseil de discipline est ferme. Chacun sait que s'il avait su que c'était ces jeunes femmes de dernière année, il aurait été plus clément.
Le directeur demande le rapport du conseil de discipline et en prend connaissance.
Les quatre filles sont silencieuses craignant ce que va annoncer le directeur tout en le redoutant. Chacune cherche un moyen de se sortir de là, mais comment faire ? Même les douaniers ne les ont pas cru quand elles ont dit qu'elles étaient innocentes. Tout va contre elles. Il en est de même pour le directeur qui trouve leur comportement inadmissible.

- Mesdemoiselles, la sanctions sera la même pour vous quatre ! Vous allez être exclues de l'établissement et ne pourrez pas passer votre examen de fin d'année. Cette sanction sera immédiate, dès la fin de la punition qui vous sera infligée !

Le directeur laisse passer un long silence. Les filles se regardent interloquées.

- Autrement dit, vous êtes virées dès cet après-midi, à la fin de votre punition qui a été décidée et qui commence dès maintenant.

Les filles accusent le coup et deviennent pâle.

- Le conseil de discipline a décidé de réunir tous les élèves de l'établissement dans la salle de réunion à 11H30...

Emilie se tient à la table pour ne pas défaillir, le directeur n'a pas besoin d'en rajouter pour qu'elle comprenne. Déjà des larmes coulent sur les joues de Sophie. Quant à Sandra et Magalie, elles restent stoïques pour le moment.

- Une punition de catégorie 3 vous sera infligé à chacune. La sanction maximale a été requise : 20 coups de strappe sur les fesses nues. Pour démontrer votre statut de punie, vous allez d'ores et déjà vous mettre en sous-vêtements. C'est ainsi que vous resterez durant les deux heures qui nous séparent de votre punition ! Allez-y, déshabillez-vous et confiez-nous vos vêtements confisqués.

Sandra et Magali protestent, mais le directeur ne se gêne pas pour rappeler le règlement :

- Bien sûr, si vous ne vous conformez pas au règlement, la punition sera alourdie...

Cette mise en garde à pour effet de décider les filles. Non sans mal, elle commencent à se déshabiller.
Emilie défait sa chemise et enlève son jeans pour se retrouver en sous-vêtement en coton blanc très sage. Sandra enlève sa jupe et son pull pour faire découvrir un ensemble string et soutien noir très sexy et des bas. Magalie fait tomber son short et reste en collant sur une culotte blanche et un soutien dépareillé bleu. Quand à Sophie, qui est sans doute la plus féminine de toute, elle enlève sa robe et se retrouve en body en dentelle assez transparente et en bas maintenus par les attaches de son body. La tenue de Sophie fait son effet, des chuchotements sont entendus dans le bureau.

Le directeur accepte pour les trois filles concernées qu'elles gardent leurs bas ou leur collant.

- C'est dans cette tenue que vous entrerez en salle de réunion. Vous passerez ensuite chacune votre tour pour votre sanction. A l'appel de votre nom, vous baisserez sans discuter votre culotte et viendrez vous placer pour la punition. Pour recevoir la strappe, vous vous courberez en avant en présentant vos fesses a l'assemblée.

Il relève les yeux de sa feuille et s'adresse à Sophie.

- Rien n'est prévu dans le règlement concernant votre tenue affriolante ! Avez-vous au moins des pressions qui permettraient de découvrir vos fesses ?

Sophie sent tous les regards sur elle, elle sait que sa tenue est loin d'être adaptée à la situation. Si elle avait mis ça, c'était simplement pour faire plaisir à son copain. Elle se souvient qu'ils l'avaient acheté ensemble, et il avait choisit ce modèle justement parce-qu'il ne pouvait pas s'ouvrir en bas et ce délecterait de lui enlever.
Le directeur comprend rapidement qu'il ne peut pas s'ouvrir.

- De toutes façons, vu la transparence de votre sous-vêtement, ça ne changera pas grand chose... Vous retirerez votre body pour la fessée !

Sophie enrage d'un coup. Elle n'est pas prête à subir une punition supplémentaire et le fait savoir. Le directeur considère l'argument et semble réfléchir en silence ce qui calme Sophie.

- Vous avez raison, Sophie ! Il n'y a pas de raison de vous soyez punie plus sévèrement ! Vous enlèverez tout de même votre body pour la fessée, quant à vous trois, vous présenterez pour la fessée sans culotte comme prévu et pour avoir la même sanction vous laisserez vos soutiens-gorge aussi sur la table.

Cette fois, personne n'est satisfait, les trois autres filles s'emportent à leur tour, mais le directeur n'est pas long à calmer leurs ardeurs :

- Continuez comme ça et c'est sans culotte que vous ferez vos deux heures avant la punition, chez M. Duval !

Le silence se fait d'un coup. M. Duval est l'ouvrier d'entretien de l'établissement. Les quatre filles le connaissent assez bien pour savoir qu'il profiterait un maximum de la situation. Lors des dernières punitions, il s'était toujours arrangé pour être présent. Il avait souvent des garçons en punition, mais aucune fille n'aurait voulu être punie avec lui, et encore moins sans culotte. C'est pourtant ce que la punition prévoit.

- Vous allez donc être conduite vers l'atelier de M. Duval. Il a prévu de vous faire ranger ses outils pendant les deux heures qui viennent. Vous serez sous sa responsabilité, je vous conseille de garder un comportement irréprochable car pendant ces deux heures, il a les mêmes droit que le personnel encadrant !

Les quatre filles ont très bien compris le message. Elles savent qu'elles n'auront pas le droit à l'erreur. A la moindre occasion, M. Duval n'hésitera pas à distribuer des fessées et connaissant le personnage, elles n'envisagent même pas garder leurs culottes...

- A 11H30, il vous conduira en salle de réunion !
- Si personne n'a de questions, nous allons conduire ces jeunes femmes à l'atelier de M. Duval.

Le surveillant ramasse les vêtements des quatre filles dans un sac, tandis que la salle se vide peu à peu. Il les invite à le suivre.
En entrant dans l'atelier, les filles se cachent les unes derrière les autres. M. Duval ne leurs prête pas attention dans un premier temps. Il remercie le surveillant qui prend congé. Mais un fois seul, il ne se gène pas pour conduire chacune des filles à une tâche bien précise tout en la tenant par le bras et en leur claquant les fesses.
Chaque fille s'applique pour accomplir sa tâche sans faire de bruit. M. Duval est prêt à intervenir dès la première occasion, mais les deux heures se passent sans encombre pour les filles. Un peu déçu de ne pas avoir eu l'occasion d'appliquer une fessée lui-même, M. Duval remercie les filles et leurs demande de la suivre.

Têtes basses, le petit groupe suit M. Duval. Au bout du couloir, les élèves attendent pour entrer dans la salle de réunion, dans un vacarme gigantesque. M. Duval sait qu'il aurait pu les faire entrer par la porte de service, mais il a choisit de les faire passer par la porte principale.
M. Duval demande aux élèves de s'écarter pour laissé passer les punies. Les filles passent au milieu des commentaires crus et de quelques sifflets.
Déjà sur la scène, le directeur demande à ce que l'on s'installe rapidement. Les filles traversent la salle et monte sur l'estrade. Magali, la première arrivée en haut des marches est immédiatement choisie par le directeur.

- Magali, venez ici ! Baissez votre culotte et enlevez votre soutien-gorge !

Magali s'avance à petits pas, tandis que les dernier élèves s'assoient. Recroquevillée et à demi-tournée sur le côté, elle commence à enlever ses bretelles tout en plaquant son bras sur sa poitrine, mais cela ne plait pas au directeur.

- Vous êtes punie, Mademoiselle ! Par une fessée et toute nue ! Alors assumez cela entièrement !

Il l'attrape par les épaules et la pousse juste au bord de la scène.

- Je vais vous montrer, et toutes les trois, je veux vous voir agir ainsi sans aucun geste de pudeur, votre punition est ainsi !

Le directeur baisse en même temps le collant et la culotte de Magali jusqu'aux chevilles et lui tiens les poignets pour qu'elle ne se couvre pas.

- Vous ne méritez pas de pouvoir cacher ceci...

Puis il dégrafe son soutien-gorge.

- Quant à vos seins, ils ne doivent avoir plus aucun secret pour personne !

Le directeur se retourne et d'un geste fait signe à Sandra de venir les rejoindre.

- Nous allons voir si vous avez bien compris la leçon !

Puis, d'un ton menaçant, il ajoute :

- J'espère pour vous...

Sandra s'avance et dégrafe son soutien-gorge, puis dans le même geste, elle l'enlève et baisse sa culotte jusqu'aux chevilles.
Le directeur félicite Sandra et espère bien voir Emilie et Sophie agir de la sorte quand viendra leur tour. Il débarrasse Sandra de son soutien et va le poser avec celui de Magali. Il laisse les deux filles avec leurs culottes aux chevilles.
Le surveillant vient apporter des tabourets derrière les filles.

- Retournez-vous Mesdemoiselles ! Et posez vos coudes sur les tabourets, vos jambes doivent rester tendues tout le temps de la punition !

Alors que les filles s'installent péniblement, le surveillant monte les marches de l'estrade et se dirige vers le directeur pour lui confier un message à l'oreille.
Après avoir pris connaissance du message, il annonce qu'il doit s'absenter d'urgence et que la punition est reportée. Magali et Sandra se jète sur leurs vêtements et partent se rhabiller sur le côté de la scène, les deux autres punies les suivent. Le directeur confie les quatre filles au surveillant et se dirige vers son bureau.

En entrant, il découvre deux policiers déjà installés. Le directeur apprend rapidement que les accusations faites sur les quatre jeunes filles ne sont pas fondées. Il blêmit un instant, puis se dépêche d'appeler le surveillant pour qu'il vienne chercher leurs vêtements afin de mettre un terme le plus rapidement possible à cette punition injuste. Les policiers en profitent pour lui demander qu'il fasse venir une autre élève : Mathilde.

Quand Mathilde entre dans le bureau et découvre les policiers, elle reste un moment interdite, bouche bée, ses yeux s'embrument légèrement. Le directeur comprend à son attitude que c'est bien elle la coupable. Les policiers, eux en étaient déjà sûrs grâce aux empreintes retrouvées sur les quatre valises des filles. Ils ont pu obtenir ses aveux sans même lui poser une question. Mathilde baisse la tête, des larmes coulent sur ses joues :
- Je vous jure que ce n'est pas de ma faute… J'ai fais ça pour un copain… Je…
Un des policier se lève et lui coupe la parole.
- Vous nous expliquerez tout ça ce soir au commissariat, venez dès la fin de vos cours. En attendant, je pense que votre directeur doit s'occuper de vous !
Le directeur raccompagne les policiers tandis que Mathilde doit s'assoir sur un des fauteuil pour ne pas tomber.
Quand le directeur revient, elle tombe à ses genoux et le supplie de ne pas la punir devant tout le monde. Comme seule réponse, elle reçoit une énorme gifle. Elle se tient la joue, puis s'assoit sur le fauteuil en se cachant le visage dans ses mains, les coudes posés sur ses cuisses.
- Comment pouvez-vous me demander ça alors que quatre de vos camarades de classe, parfaitement innocentes, ont faillit être fessées à cause de vous ?
Mathilde ravale ses sanglots et essaye de relever la tête.
- S'il vous plait… J'aurai trop honte ! Je ne veux pas recevoir la fessée culotte baissée…
- A cause de vous ces quatre jeunes filles ont été humiliées devant tout le lycée, deux d'entre elles ont été mise toute nue et vous, vous ne voulez pas recevoir de fessée culotte baissée !!! Mais ma pauvre fille votre culotte ne va pas être baissée, vous allez l'enlever complètement… Comme tout le reste de vos vêtements et croyez-moi, vu dans la situation dans laquelle vous vous êtes mise, vous n'êtes pas prête de remettre le moindre slip dans cette établissement !