mercredi 22 avril 2015

Soirée de fin d'année

L'appât d'un gain important et rapide, l'audace ou plutôt l'inconscience due à tout l'alcool qu'elle a ingurgité durant le repas, le climat de fête parmi ses collègues et ce lieu de luxe et de jeux où elle n'avait jamais mis les pieds, voilà comment elle se retrouve dans cette situation incroyable. Devant tous ces collègues, elle a été encerclée par trois vigiles musclés du casino et emmenée sans ménagement dans ce bureau cossu. Le patron du casino et son adjoint y dégustent un whisky en fumant le cigare. Visiblement, ils savent pourquoi on leur amène cette jeune personne sous bonne garde.
- Vos noms et prénoms, Mademoiselle ?
Sophie répond poliment, le rouge aux joues. Elle est impressionnée par la prestance de ces deux hommes. Elle sait qu'elle s'est faite prendre à tricher et ne cherche pas à se défiler. De toute façon, elle ne voit pas comment elle pourrait nier, s'ils s'en sont rendus compte c'est qu'une caméra a enregistré ses gestes.
On frappe à la porte, une hôtesse du casino annonce qu'un certain Martel souhaite parler d'urgence au patron. Sophie frémit de honte en voyant entrer son supérieur hiérarchique, ses collègues lui auront sans doute téléphoné pour le prévenir de l'incident. Le manager régional de sa banque, sans même lui accorder un regard, s'empresse de saluer les deux hommes qu'il semble très bien connaître. Il les prie de bien vouloir accepter les excuses de sa banque pour la conduite honteuse de cette employée.
Gabrielli, le patron du Casino accepte ses excuses et demande ce que la société compte faire d'une employée si malhonnête. Il souligne incidemment qu'il est un des plus gros clients de la ville et que si cette femme garde un poste de responsabilité, il se verra dans l'obligation de placer ses fonds ailleurs. Le manager le rassure aussitôt. Il se dit très déçu de Sophie. Manifestement son poste n'est plus adapté à son attitude et dès demain, il veillera à la rétrograder. Il ajoute qu'il pourrait l'affecter à son secrétariat, ce qui lui permettrait de la tenir à l’œil.
Tout s'écroule autour de Sophie, elle veut protester, mais elle n'en a pas la force tellement elle est abasourdie par ce qu'elle entend. Elle, rétrogradée à une fonction au pool des secrétaires, alors qu'elle dispose d'une brillante formation bac+ cinq ! Et puis elle aime beaucoup son travail d'attachée commerciale et elle a mis tant d'années à l'obtenir.
Sans compter que chacun sait ce que l'on entend dans la banque par « secrétaires en pool ». Deux jolies filles mais sans aucune formation que Martel a engagées sur leur seul physique. Tout le monde sait parfaitement pourquoi elles sont là. Dans cette banque d'affaires, elles sont chargées de faciliter certaines négociations. Leur présence en réunion pour servir le café ou dans les dîners d'affaires sert à détendre l'atmosphère dans ce milieu macho. C'est pour cela qu'elles sont toujours court vêtues et agréablement décolletées. Mais il se chuchote que Martel leur demande parfois d'être encore plus . . . convaincantes. Une sorte de bonus pour les clients privilégiés, en quelque sorte. Et Martel lui-même est connu pour être très "proche" de ces secrétaires. Il ne fait aucun doute qu'elles passent régulièrement sur son bureau ou en dessous. Sans compter probablement d'autres cadres supérieurs.

Ces images tournent dans la tête de Sophie, ses jambes flageolent, elle se dit qu'elle ne va pas devenir une pute de luxe, condamnée à satisfaire les désirs sexuels de son patron ou de ses clients. Elle ne comprend pas comment cette soirée de fête peut virer à un tel cauchemar. Entourée des trois hommes et des trois vigiles, elle se sent oppressée, et ne peut résister à s'écrouler dans un fauteuil en s'enfouissant la tête entre les mains.

Le patron du casino se lève et attrape les deux poignets de Sophie pour la forcer à se lever.
- Ayez au moins la décence de rester debout et d'affronter nos regards, Mademoiselle !
Sophie essuie la larme qui coule sur sa joue et relève la tête en plaçant courageusement ses mains dans son dos.
- Ce que vous proposez me semble une réponse appropriée à sa conduite et j'aurai plaisir, si vous m'y invitez à venir voir si cette jeune femme s'acquitte avec enthousiasme des nouvelles missions que vous lui confirez.
- Excellente idée, mon cher. Vous savez que vous serez toujours le bien venu à la banque.
Sophie a compris en captant le clin d’œil échangé entre les deux hommes que Gabrielli fait évidemment partie des clients privilégiés.
Elle se voit déjà pelotée par ce Gabrielli pendant qu'il discute affaire dans un restaurant avec son chef. Elle se souvient d'avoir déjà assisté de loin à ce genre de scène. Une jeune collaboratrice assise sur une banquette en coin entre une dame, visiblement sa patronne et un homme d'affaires. L'une et l'autre n'arrêtait pas de la tripoter. La pauvrette était à moitié déshabillée et ne savait plus où se mettre quand un serveur s'approchait..
- Mais vous devez comprendre que de notre côté, nous ne pouvons laisser passer une telle affaire sans réagir. Normalement nous devrions appeler la police.
- Je vous prie de n'en rien faire. Vous imaginez le scandale si le nom de notre banque était mêlé dans la presse à une escroquerie d'un de ses cadres. D'autant que nous avions commis l'erreur de confier de fortes responsabilités à cette jeune personne.
- Oui bien sûr. Vous voyez, s'il s'était agi d'une de nos employées comme cela arrive malheureusement quelquefois, nous aurions pu régler le problème en interne.
- Et comment procédez-vous quand cela vous arrive ?
- Il ne s'agit jamais de cas aussi graves que celui-ci. Personne chez nous n'oserait commettre une fraude au jeu ou une escroquerie. Mais nous avons déjà dû recadrer des hôtesses ou d'autres membres du personnel féminin qui ne témoignaient pas suffisamment de respect pour nos clients. Dans ce cas, nous procédons d'abord à un châtiment corporel en public, puis la punie est mise à disposition du client qui s'est plaint pour le reste de la soirée.
- Je vois. Comme vous dites, le cas de Sophie est incommensurablement plus grave mais ne pourriez-vous envisager d'agir de même avec elle. Un châtiment corporel, pourquoi pas ? Nous pourrions la punir immédiatement. Qu'en pensez-vous ?
Sophie, affolée, tourne la tête vers le patron du Casino. Celui-ci la déshabille du regard, elle se sent mal à l'aise et recule mais se heurte à un vigile qui en profite pour lui passer la main sur les fesses.
- Oui, j'ai bien envie de suivre votre suggestion. Cette demoiselle est très agréable à regarder. Vraiment très agréable et il me tarde d'en voir plus. Évidemment je ne conseille pas de l'emmener nue dans la salle de jeu comme nous le faisons quand nous punissons notre personnel, ce ne serait pas bon pour la réputation de votre banque. Mais ces messieurs pourraient lui servir de public et par ailleurs puisqu'elle ne pourra pas non plus être mise à disposition de clients, nous pourrions lui demander de les récompenser pour leur vigilance qui nous a permis de repérer son forfait.
Il montre du doigt les trois vigiles qui affichent un large sourire, tandis que Sophie semble horrifiée.
- Par quoi pourrions nous commencer ?
- Par ceci.
Martel s'est levé et passe derrière elle. La pauvre se mord la lèvre en s'attendant au pire et fixe le regard, droit devant elle. Il lui attrape les poignets, lève ses bras bien haut ce qui a pour effet de remonter sa courte jupe.
- Si ça ne tenait qu'à moi, j'ai des dizaines d'idées pour la punir, en commençant par là !
Il lui lâche sa main droite et lui claque trois fois les fesses avec une telle violence que Sophie avance d'un pas.
- Mais c'est vous qui êtes la victime, à vous de choisir sa peine.
Il l'a relâchée et Sophie tente de se remettre de ses émotions, tout en se frottant les fesses de ses deux mains.
- Je pense que mes intentions ne sont pas très éloignées des vôtres... et il sera visiblement très agréable pour nous tous de la punir...
Sophie sent que son sort est scellé. Elle panique, proteste sans savoir vraiment ce qui l'attend dans l'immédiat.
Gabrielli se tourne vers ses vigiles :
- Messieurs, veuillez préparer Mademoiselle comme il se doit !
Aussitôt, les trois hommes s'approchent calmement de Sophie. Le premier lui emprisonne les poignets et la courbe sur le bureau puis la maintient fermement en passant de l'autre côté. Les deux autres s'occupent de lui attacher les chevilles à chacun des pieds du bureau. Ainsi écartelée, sa jupe tendue à craquer remonte sur ses jambes jusqu'à découvrir la lisière de ses bas. Sophie crie et se débat, mais rien ne pourrait la libérer. Martel lui relève le menton et son visage tout proche du sien, il lui souffle :
On vous accorde un traitement privilégié mais je vous conseille de faire moins de bruit, ma petite. Si vos cris sont perçus par les clients alors autant vous traiter comme Monsieur Gabrielli le fait avec son personnel. Vous vous imaginez emmenée toute nue par ces messieurs dans la grande salle pour y être punie devant tous les clients. Vos collègues sont probablement encore là à faire la fête.
Cela la calme un court instant, mais elle pousse encore un cri lorsqu'elle sent qu'un des vigiles lui remonte sa jupe au- dessus de sa taille puis agrippe sa culotte.
Le froid des lames d'un ciseau contre sa chair. Sur une hanche puis sur l'autre. Quelques coups de ciseaux et sa culotte n'est plus qu'un lambeau de tissu que des doigts indiscrets dégagent de son entre cuisses.
Le patron du casino commente l'opération pour ses invités, avec des mots orduriers et humiliants :
Pas besoin de culotte pour cette demoiselle puisqu'on va lui apprendre ce soir à se conduire comme une putain.
Les deux vigiles qui sont derrière elle contemplent les lèvres de son sexe et son petit trou plissé avec envie. Leur patron s'en aperçoit :
- Un peu de patience, Messieurs ! Vous serez bientôt récompensés du travail que cette jeune fille vous a fait faire... Après sa punition, elle s'en excusera personnellement ! Vous êtes trois et elle a trois façons de se faire pardonner... Chacun choisira !
Puis il va ouvrir un placard, Sophie relève nerveusement la tête. Ce qu'elle voit la fait frémir. Il y a là tout un assortiment de badines, stappes, martinets... Le patron demande à Martel de choisir un ustensil.
Sophie est à moitié rassurée lorsqu'il lui répond que ce qu'il préfère, c'est une fessée à mains nues. Gabrielli n'insiste pas et referme le placard en ajoutant :
- Très bien je vais commencer si vous voulez...
Il s'approche de Sophie, remonte sa jupe qui lui est retombée à mi-fesses puis demande aux vigiles de lui lâcher les mains. Aussitôt Sophie tire sur l'arrière de sa jupe pour se recouvrir.
Une violente claque atterrit sur sa jupe.
- Mademoiselle, pensez-vous vraiment que dans votre cas de tels gestes soient raisonnables ?
Il emprisonne ses deux poignets dans son dos :
Messieurs, à vos ciseaux et au tour de sa jupe.
Un vigile s'empresse. L'opération est plus longue mais le vêtement finit au sol tranché de bas et haut.
- Ainsi, vous ne pourrez plus vous servir de votre jupe non plus ... Encore une preuve de rébellion de ce genre et je m'attaque à votre haut ! Je vous avertis que la seule façon de sortir du Casino consiste à passer par la salle de jeu et le bar. Déjà sans jupe, ni culotte, vous allez faire sensation alors faites bien attention à ne pas devoir parcourir mon établissement totalement nue...
Lorsqu'il lui lâche les mains, Sophie a bien compris le message, elle croise ses bras sous sa tête en se préparant à être fessée. Mais elle se raidit quand, à la place des claques, une mainchaude et caressante se pose sur le haut de sa cuisse, remonte sur une fesse, descend sur l'autre. Le manège dure. Il ne serait pas désagréable en d'autres circonstances. C'est embarrassant d'autant qu'un doigt descend au creux de sa raie. Elle se relève d'un bond lorsqu'il s'arrête et s'appuie sur son petit trou. Gabrielli garde sa main entre ses fesses et lui chuchote à l'oreille de bien vouloir immédiatement s'allonger à nouveau sur le bureau. Sophie obéit en poussant un petit cri de détresse quand elle sent qu'il force l'entrée de l'étroitorifice. L'index s'enfonce, pivote, se courbe, se retire puis revient. Sophie découvre des sensations nouvelles, jamais on ne lui a fait cela. Il y va en douceur et ce n'est pas douloureux mais elle gémit de honte d'être ainsi pénétrée.
- Vous êtes étroite. N'auriez-vous jamais offert ce trésor à vos amants ?
Sophie au comble de la gêne bredouille un non presque inaudible.
Le doigt bien enfoncé, Gabrini se tourne vers les vigiles :
- Vous entendez, Messieurs. Vous aurez droit à une première. Je vous recommande de la délicatesse, je ne voudrais pas que vous laissiez de mauvais souvenir de ce genre de pratique à cette jeune personne.
Son doigt se retire avec un petit bruit qui achève d'anéantir sa victime.
Mais c'est maintenant au tour de son clitoris de subir les attentions de la main. Il joue autour, le dégage, le pince, le flatte d'un doigt attentionné mais ferme. Les lèvres s'entrouvrent. Le petit con rose baille sous la caresse. La croupe de la prisonnière s'agite et semble vouloir aller au devant de la main. Deux doigts la font gémir sans pudeur, la fouillent et se retirent gluant de cyprine.
- Voilà par contre un joli con qui ne demande qu'à vous accueillir, mes amis ! N'est-ce pas, Mademoiselle ?
- . . .
Une claque atteint ses fesses.
- J'ai dit, n'est-ce pas, Mademoiselle ?
- Ou . . .oui !
- Oui quoi ?
Il présente sa main devant le visage de Sophie et écarte ses doigts entre lesquels des fils brillants s'allongent.
Alors, on vous écoute.
Je . . . je mouille.
- C'est le moins qu'on puisse dire, vous êtes trempée. On aurait pu s'attendre à plus de retenue dans votre situation.
Et il essuie sa main sur sa joue.
- Enfin soit. Avant de vous laisser profiter de ces messieurs, nous devons vous punir.
Une claque tombe aussitôt sur sa fesse droite, une autre sur la fesse gauche. Il continue d'alterner, la pauvre sursaute à chaque coup en serrant les dents. Ses doigts agrippent désespérément l'autre extrémité du bureau. Il se concentre uniquement sur ses fesses et de belles marques rouges se forment sur chacune d'entre elles.
Quand il arrête, Sophie se lève à nouveau et se frotte les fesses des deux mains, mais son fesseur a déjà céder sa place à Martel,. Une tape sur les mains lui indique qu'il lui faut reprendre sa position initiale.
Son chef n'est pas aussi rapide que le directeur du casino, il prend son temps et Sophie sent arriver chaque claque. Sa tête bascule en arrière et sa main vient protéger et masser ses fesses après chaque impact. Il lui en donne une vingtaine avant de la laisser.

Gabrielli ordonne aux vigiles de la détacher. Il examine soigneusement l'état de ses fesses endolories. Il les caresse, les fait rebondir, les écarte largement en la faisant se pencher en avant :
- Je pense que ça suffit pour sa fessée.
Il la prend par la taille pour l'obliger à se retourner tout contre lui. Sans un mot, il agrippe le bas de son joli pull et elle lève docilement les bras quand elle comprend qu'il veut la mettre nue. Son soutien-gorge noir met en évidence sous la dentelle de jolis petits seins agités par une respiration haletante. Il flatte du dos de la main des mamelons agressifs, puis :
- Enlevez-moi ce dernier bout de tissu. Vous allez nous présenter au mieux ces deux merveilles.
Tandis que Sophie, domptée, se débarrasse de son soutien, il s'adresse négligemment à Martel :
- Vous n'oublierez pas de caler un rendez-vous pour mon assistant avec votre nouvelle secrétaire.
Au milieu des six hommes, Sophie est terriblement consciente de sa nudité. Tous ses sens en alerte, elle aimerait que son corps s'assagisse mais les regards qui la fouillent lui renvoient des sensations vibrantes. Le directeur lui entoure la taille de son bras et l'approche des vigiles.
Pincez vos mamelons.
Sophie obéit. Il lui semble qu'elle est une autre. Elle est rouge de confusion face aux trois hommes qui la dévorent des yeux.
- Vous avez l'air très excitée. Gardez vos mamelons entre vos doigts. Faites-les rouler. Continuez jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter.
Il a passé par derrière une main entre ses cuisses et ses doigts clapotent dans sa fente d'un bruit qui met un comble à l'érotisme de la scène.


- Messieurs, comme vous le voyez, l'entendez, le sentez, Mademoiselle est prête pour vous satisfaire tous vos désirs... Je sais que vous avez vos habitudes au Liberty Club, emmenez-la découvrir cet endroit libertin. Son petit pull suffira pour la couvrir en traversant la salle et le bar. Et dans la rue, ma foi, c'est à deux pas, il fait sombre et elle sera bien entourée. Mais vous lui ferez ôter son pull avant d'entrer. Qu'elle aille jeter elle-même son ultime vêtement dans une poubelle et qu'elle entre aussi nue qu'elle est ici. Inutile de la conduire au sous-sol. Les canapés du bar sont assez confortables pour qu'elle vous satisfasse aux yeux de tous les clients. Je ne doute pas que certains ou certaines voudront profiter de ses bonnes dispositions. Laissez-les faire. Vous prendrez la camionnette pour la reconduire à son domicile à la fermeture.
Il renforce son étreinte sur Sophie et se penche sur son oreille pour lui chuchoter :
- Nous nous reverrons très prochainement... En attendant, j'exige de vous une parfaite docilité avec mes employés, veillez à ne rien leur refuser, j'en serais averti de suite et il vous en coûterait, je vous le garantis.
Et il la libère en la poussant vers ses hommes d'une claque sonore sur les fesses.