vendredi 9 octobre 2015

Punies dans l'établissement des garçons (suite)

La punition de Caroline est le sujet de conversation favori, dans notre lycée de garçons depuis la semaine précédente. Mais ce matin, les discutions ont pris un tour nouveau. Certains prétendent avoir vu Caroline entrer dans l'établissement. Ce ne peut être que pour recevoir une nouvelle correction. La rumeur ne tarde pas à enfler dans le lycée, chacun y allant de son pronostic quant à ce que pourrait être cette punition. On se souvient de la promesse du proviseur : si elle devait à nouveau être punie dans l'établissement, il n’hésiterait pas cette fois à la faire mettre toute nue devant nous. On sait que cet homme n’est pas du genre à lancer des paroles en l’air et on se demande si réellement, on aura la veine de voir cette si jolie fille dans le plus simple appareil. Les commentaires vont donc bon train sur le lieu et le moment où un évènement aussi formidable pourrait se dérouler.
Pourtant à la pause de midi, il apparaît que personne ne l'a encore vue, ni entendu  parler officiellement de sa présence, et l’on commence à croire que tout cette agitation n’était basée que sur des ragots sans fondement.
Le matin même, Caroline en quittant l’internat a été accueillie au lycée des filles par l’adjointe du proviseur. Elle lui a demandé sèchement de la suivre, sans la moindre explication. Devant la porte de son bureau, sa copine Elodie les attendait avec sa tête des mauvais jours. Caroline a immédiatement compris qu'elle a déjà dû avoir un entretien avec la directrice qui n’a pas dû être facile, d’autant qu’Elodie lui a jeté un regard désespérée tandis que l’autre entrait dans son bureau, en leur disant d'attendre, le temps de passer un coup de fil.
Seules dans le couloir, Elodie a tout juste eu le temps de chuchoter à sa copine :
- Il y a des filles qui nous ont dénoncées. Elle sait que c’est nous qui avons fait le coup ...
L’information est catastrophique. Caroline a du mal à respirer. Il y a quelques semaines, après une soirée agitée, Elodie et elle se sont introduites en catimini dans la salle des profs. Elles ont tagué un mur de propos orduriers envers une de leurs enseignantes que personne ne supporte. Elles étaient pourtant sûres de ne pas avoir été vues, et quand la directrice a demandé aux coupables de se dénoncer, elles n’ont pas bronché. En l'absence de coupable, une punition collective a été décidée. Toutes les permissions de sortie de l’internat ont été suspendues jusqu’à ce que la coupable soit connue, ce qui a fait râler bien des filles. 
- M. le Proviseur est au courant de tout, je lui ai fait rapport ! Il a préféré écourter un rendez-vous qu’il avait à l’extérieur pour traiter immédiatement votre affaire. Il est sur la route du retour. Je vous conduis déjà dans l’établissement des garçons, c’est là qu’il s’occupera de vous.
Caroline a beau la supplier de ne pas l'emmener à nouveau dans ce lycée de garçons où elle a été tellement humiliée il y a à peine cinq jours, la directrice reste inflexible.
Une demi-heure plus tard, Elodie et Caroline sont installées sur des chaises face au bureau du directeur, Monsieur Therrasse. On leur a ordonné de ne pas bouger et de pas parler jusqu'à son arrivée.
Elles restent ainsi une bonne partie de la matinée sans échanger un mot, la porte derrière elles est restée ouverte pour que la jeune secrétaire puisse les surveiller de loin. Tous les scénarios passent dans leurs têtes et elles ont le temps de se ronger les sangs en regrettant amèrement leur imprudence.
Il est presque midi, quand elles entendent la porte du bureau se fermer. Elles se lèvent dans un même mouvement et n'osent se retourner. Le proviseur passe devant elles sans leur prêter attention, Elodie lève les yeux et constate la mine courroucée de l’homme, un nœud se forme dans son ventre. Il va s'assoir à son bureau. Caroline a les jambes flageolantes, sans réfléchir, elle s'assoit à son tour sur la chaise.
- Debout !
L'ordre fait sursauter les deux filles, Caroline se relève d'un bond.
- Caroline, votre dernière punition ne vous a donc pas suffi ? Je ne m’attendais pas à vous voir revenir si rapidement ?
Caroline baisse la tête et croise nerveusement ses doigts devant son ventre.
- Répondez ! ... Et arrêtez ce cinéma. En position de pénitence et regardez-moi, quand je vous interroge !
Aussitôt, l’interpellée adopte l’attitude requise qu’elle ne connaît que trop bien, mains croisées derrière la nuque, coudes tirés en arrière, jambes écartées d’un mètre et elle affronte le regard clair et froid qui lui glace le sang.
- Oui. Si, si, Monsieur, bredouille-t-elle... Mais on a fait ça avant, je ne pouvais pas savoir...
- Effectivement, vos exploits dans la salle des professeurs de votre lycée au détriment de cette pauvre madame Bontemps sont antérieurs à votre punition ici. Mais cela ne justifie en rien votre conduite. En tout cas, vous venez de me faire des aveux de votre culpabilité qui nous épargnera un temps précieux, c’est déjà cela. Je suppose que votre complice ne cherchera pas à nier.
Il se tourne vers Elodie qui elle aussi à adopter spontanément la posture des punies. Elle est bien mignonne avec ses cheveux châtains coiffés en queue de cheval et son minois parsemé de taches de rousseur.
- Non, non, Monsieur, lâche-t-elle en ravalant péniblement sa salive. Je regrette, je ne sais pas ce qui nous a pris.
- Vous regretterez encore davantage votre conduite dans quelques minutes, Mademoiselle. Contrairement à Caroline qui est une habituée des châtiments corporels, je crois que c’est la première fois que vous serez punie depuis que vous êtes au lycée.
- Oui, oui, Monsieur.
- Et bien pour votre coup d’essai, on peut dire que vous y allez fort. Ce n’est pas tous les jours qu’une demoiselle de l’internat doit être punie en présence de nos garçons. Ce ne sera même que la seconde fois que je dois prendre une mesure aussi radicale. Votre amie ayant eu, la semaine dernière, l’honneur sinon le plaisir d’inaugurer cette procédure d’exception. Je suppose que Caroline vous a raconté comment cela s’est passé et que vous savez à quoi vous attendre ?
- Heu, non Monsieur. Elle ne m’a rien dit.
Jouant au chat et à la souris avec ces deux belles filles apeurées qu’il tient à sa merci, Monsieur Thérrasse feint l’étonnement :
- Comment se fait-il, Caroline ? Vous auriez pu expliquer à vos compagnes du pensionnat ce qu’elles risquaient en cas de dérapage. Il me semble que les mettre en garde eut été faire preuve de solidarité.
- C’était tellement gênant, Monsieur. Je n’ai pas voulu en parler aux autres.
- Bien sûr que c’est gênant. C’est le but, figurez-vous que ce sera encore plus gênant pour vous aujourd’hui. Très bien, puisque vous n’avertissez pas spontanément vos camarades, je veillerai à ce que cette fois, elles soient parfaitement éclairées. Ce sera un petit ajout à votre punition que je vous dévoilerai en fin de journée.
Caroline se demande ce qui va encore lui tomber dessus mais elle n’a guère le temps d’y penser. Déjà elle est à nouveau mise sur la sellette.
- Très bien passons au programme principal. Vous vous souvenez sûrement de la punition que je vous ai promise si vous étiez amenée à revenir ici ?
Caroline hoche la tête, les larmes au bord des yeux.
- Nous sommes donc d'accord... Est-ce une robe que vous portez ?
Elle opine une nouvelle fois de la tête.
- Enlevez-la.
Tandis que Caroline ôte sa veste et commence à défaire les boutons qui ferment sa robe sur le devant, Elodie la regarde faire, ses deux mains sur sa bouche.
- Ne soyez pas surprise Elodie, j'avais avertie votre copine que si elle m'était à nouveau envoyée, elle serait fessée toute nue... Et c'est ce qui va lui arriver !
Caroline pose sa robe sur la chaise et essuie d’un revers de la main, une larme qui perle à son œil. Une culotte noire assez audacieuse se devine sous ses nylons clairs, son soutien est assorti et dévoile largement sa jeune poitrine. Instinctivement, elle choisit de croiser ses bras sur ses épaules pour dissimuler ses seins.
- Tout le monde doit maintenant être arrivés au réfectoire, allons-y ! Vous connaissez le chemin, Caroline vous entrerez la première.
Caroline sait déjà combien l'entrée dans cette pièce emplie de garçons qui ne s’attendent pas à son irruption parmi eux, sera difficile. Bien pire que la dernière fois, puisqu’elle était alors habillée et que ses hôtes ne pouvaient deviner ce qui allait se passer. Elle envie Elodie d'être encore parfaitement couverte. Avant d'entrer, le proviseur leur croise les mains dans le dos, en leur demandant de garder cette position jusqu’à nouvel ordre. 
- Vous allez traverser la salle et vous mettre chacune dans un coin opposé. Caroline, près du comptoir, Elodie devant la baie vitrée. Vous y resterez jusqu'à ce que je vienne vous chercher ! Votre conduite inacceptable mérite d’être sévèrement sanctionnée.  J'ai dès lors décidé de ne pas réserver aux seules classes de terminales le privilège d’être les témoins de votre punition. C’est dans ce réfectoire que vous serez fessées devant tout le monde à la fin du repas !
Sur ce, il ne laisse pas aux filles le temps de reprendre leurs esprits, il ouvre la porte et les pousse dans le réfectoire.
Le silence se fait peu à peu lorsqu'elles pénètrent dans la salle. La surprise fait place au plaisir sur les visages. La rumeur était donc fondée, Caroline est bien de retour et qui plus est en sous-vêtements sexy et accompagnée d’une copine aussi mignonne.
Les deux filles se dirigent vers les emplacements qui leur ont été assignées. Elles sont cramoisies. C’est celle qui est à moitié dévêtue qui attire le plus l’attention. On la détaille dans ses hautes bottes, ses collants clairs et sa lingerie noires.
Malgré la tension qui règne, les étudiants restent calmes durant le repas. Les filles s’efforcent de rester en place, mains fermées sur leur coudes dans le dos, le regard perdu dans le vide. Elodie est la plus proche des tables. Elle perçoit nettement la conversation de six garçons qui la concernent. Ils sont un peu plus âgés qu’elle et ne se gênent nullement pour parler haut. Ils la trouvent canon dans son jean serrant qui lui fait de jolies fesses. L’un deux fait remarquer que son petit top léger semble prêt à être transpercé par ses mamelons agressifs. Ils conviennent qu’elle ne portent manifestement pas de soutien et se mettent à parier de ce que cache son jean. Il est si ajusté que le dessin de ses lèvres semble se deviner. Certains tiennent que sa chatte est nue, d’autres pensent qu’elle a un string. Elle ne peut s’empêcher de rougir quand elle les entend pronostiquer qu’ils auront bientôt la clé de l’énigme.
Au bout de trois quarts d’heure, Monsieur Therrasse frappe dans ses mains pour réclamer le silence. Il demande aux deux filles de venir le rejoindre.
Caroline et Elodie se retournent, têtes baissées et vont jusqu'à la table des professeurs. Celle-ci est surélevée et elles montent les trois marches, les jambes en coton, dans un silence pesant. Toute l'assemblée a le regard tourné vers les deux punies, Caroline tremble comme une feuille, Elodie semble moins paniquée pour le moment.
Le proviseur installe une chaise et annonce : 
- A tout seigneur, tout honneur. Nous allons commencer par la récidiviste. Elodie, regardez bien en attendant votre tour. 
Caroline s’approche docilement et il la tire par le bras pour qu'elle s'allonge sur ses genoux. Il la positionne de façon que ses fesses soient tournées vers le réfectoire, puis descend son collant. Quand il s'attaque à la culotte, elle tente désespérément de la retenir, mais son fesseur lui attrape le poignet et descend sa culotte de l'autre main sous ses fesses.
Elodie n'a jamais reçu de fessées, elle n'en a même jamais vu données. Dès les premières claques, elle voit les fesses de sa copine rougir nettement. Elle semble de plus en plus anxieuse, elle sait qu'elle ne va pas tarder à passer, elle-aussi sur les genoux de cet homme énergique.
Caroline croise ses pieds mais gigote dans tous les sens, le directeur ne lui lâche pas les poignets et n'épargne pas ses fesses. Le rythme des claques est très rapide, il alterne d'une fesse à l'autre et ne s'arrête que pour replacer Caroline sur ses genoux et lui ordonner de cesser de se débattre. Elle le supplie, hurle et finit par éclater en sanglots. Le proviseur continue encore plus fort mais dans un effort désespéré, elle arrive à se défaire de son emprise. D’un bond, elle est sur ses jambes, remonte sa culotte à la hâte et passe sa main à l'intérieur pour masser son postérieur endolori. Elle essaie de se calmer, mais elle est encore fortement secouée par les sanglots. A part, ses pleurs, le silence règne dans le réfectoire, Monsieur Therrasse la laisse ainsi un instant, puis la pousse sur le côté, et tire une Elodie tremblotante par le bras pour qu'elle s'approche de lui.
- Je vous laisse tranquille pour l’instant mais vous allez exposer vos fesses rougies, pendant que je m'occupe de votre copine !
Il va placer Caroline au bord de l'estrade, dos tourné au réfectoire, et baisse vivement sa culotte à ses genoux. Caroline réagit aussitôt et la remonte en un réflexe puis reste figée, les mains sur l'élastique de sa culotte de chaque côté de sa taille, étourdie par la gifle qu'elle vient de recevoir.
Le regard qu’il lui jette suffit, il n'a pas besoin d'ajouter un mot pour se faire comprendre. Il lui replace les mains le long du corps et avec cette fois d'une lenteur agaçante, il lui baisse collants et culotte jusqu'à ses bottes. Caroline croise précipitamment ses mains devant sa maigre toison bouclée, qu’elle expose aux professeurs attablés face à elle.
- Vous connaissez mon point de vue concernant la pudeur des punies... Je vous conseille donc de ne pas tenter de vous cacher ! Position de pénitence, Mademoiselle ! 
A regret, Caroline doit se résoudre à lever ses mains par-dessus sa tête et à écarter ses jambes entravées autant que le lui permet ses vêtements. 
Le déshabillage d’Elodie capte cependant aussi l’attention. Elle se présente de profil aux élèves et aux enseignants, tandis que le proviseur s’affaire à dénouer sa large ceinture et à déboutonner son jean. Celui-ci est si étroit qu’il doit l’abaisser par à-coups d’un côté puis de l’autre. Elodie serre les points et lève la tête vers le plafond pour contenir son désarroi.
Chacun découvre qu'elle ne porte qu’un tout petit string blanc. Chaussures et jean sont soigneusement retirés et écartés. Le fait qu'elle ait déjà les fesses visibles, à cause de son string, n'empêche pas le proviseur de le descendre sur ses chevilles. Avec son top qui lui arrive au nombril pour seul vêtements, ses jambes et ses pieds nus,  elle apparait extraordinairement nue et sexy. On devine brièvement un sexe quasi imberbe avant qu’elle soit couchée sur les genoux. Dès les premières claques, ses jambes battent follement l'air et son sous-vêtement tombe au sol. Son fesseur doit la repositionner en la soulevant sans peine d’un bras passé entre ses cuisses. Ses deux mains par terre pour ne pas basculer en avant, la fessée reprend de plus belle. Elodie bouge dans tous les sens et ne peut cesser de pleurer et de supplier d'arrêter. Le proviseur est obligé de lui entourer fermement la taille pour la maitriser. Oubliant toute dignité, elle bat des jambes, les écarte, les resserre et offre ses trésors intimes à l'assemblée.
Quand son supplice cesse, elle tombe à quatre pattes au sol. Son top est largement retroussé, ses petites fesses sont écarlates, elle est haletante. Elle se redresse et cache un instant son visage dans ses mains, avant de se rendre compte qu’elle a plus urgent à couvrir. Saisie par le coude, elle est conduite aux côtés de sa complice, mais la honte de devoir présenter sa fente aux professeurs lui est épargnée et elle peut garder ses deux mains croisées devant elle. Deux corps ravissants largement dénudés, deux fessiers rougis. On compare les anatomies. Les deux filles sont sveltes et élancées mais la brune Caroline a les fesses plus rebondies que le petit cul de la blonde Elodie. Même si elle est plus exposée qu’Elodie, Caroline parait plus sophistiquée, avec son maquillage, ses boucles d’oreille, sa coiffure élaborée, ses bottes et sa lingerie de qualité baissée. Sa copine est ravissante dans son look plus naturel de jeune sauvageonne à demi-nue.
Le temps d’exposition leur semble une éternité. Les élèves débarrassent leur table en circulant sous l’estrade et les plus chanceux qui ont la veine d’être de corvée de table débarrassent celle des professeurs en s’en mettant plein la vue.
Enfin, le proviseur libère les élèves. La salle se vide peu à peu. Les élèves commentent bruyamment le spectacle et beaucoup regrettent que Caroline n’ait pas été complètement déshabillée comme promis. 
Pendant ce temps, les deux filles n'ont pas le droit de bouger. Ce n'est que lorsque le réfectoire est complètement vide qu’elles reçoivent l’autorisation de remettre leur culotte.
Caroline remonte sa culotte et son collant, tandis qu'Elodie, toujours mains plaquées sur son sexe, cherche autour d’elle son string. Un professeur lui indique qu’il a glissé sous la table et c’est à quatre pattes qu’elle va le récupérer. Le proviseur confie son jean à un pion :
- Confisqué !
Elles reviennent ainsi jusqu'à son bureau.
Il referme la porte derrière lui, et tout en allant s'assoir, il dit tout naturellement :
- Caroline, enlevez les vêtements qui vous reste !
Elodie étouffe un cri et Caroline reste bouche bée. Il la fixe avec une lueur d’ironie dans le regard. La pauvre est incapable du moindre geste. Finalement, c'est Elodie qui tente de prendre sa défense :
- Arrêtez, vous ne pouvez pas lui demander ça ! Vous n'avez pas le droit...
Il se lève et fonce vers elle qui recule d'un pas, consciente qu'elle l'a mise en colère. Il la secoue par le bras.
- Vous, occupez-vous de ce qui vous concerne si vous ne voulez pas vous aussi finir toute nue !
Il l'emmène face à la cloison, lui met ses mains au-dessus de sa tête et lui baisse son string à ses pieds.
- Voilà pour vous inciter à plus de discernement, jeune fille ! Un mot de plus et ce sont vos petits seins que vous exposerez en prime.
Puis à Caroline :
- Alors, vous vous décidez !
L’interpellée a de nouveau les yeux remplis de larmes.
- S'il vous plaît, Monsieur... J'ai bien compris cette fois-ci ! Ne me forcez pas à me mettre toute nue, j'aurais trop honte...
- Je vous l'avais promis la dernière fois, et je ne reviens jamais sur ce que j'ai dit. Ne me faites pas patienter, j'ai horreur de ça... Et ne discutez plus !
Il se met au travail à son bureau sans plus se préoccuper d’elle. Elle hésite encore et au bout de quelques minutes, elle demande timidement de lui promettre de ne pas l’emmener toute nue hors du bureau.
Il ne répond pas, rebouche calmement son stylo et vient vers elle.
- Je vois que vous n'avez toujours pas compris... Suivez-moi ! Quant à vous, vous restez exactement comme ça jusqu'à mon retour. Je laisse ma porte ouverte. Gare à vous si vous vous retournez.
Caroline est livide quand il la prend par le bras pour la faire sortir de son bureau. Il l'emmène à travers les couloirs, heureusement vides à cette heure, jusqu'à la salle des profs. Quand ils entrent, Caroline reconnait certains profs qui ont assisté à sa punition du midi, mais d'autres lui sont inconnus. Ils semblent surpris que leur supérieur fasse irruption avec cette jeune fille en sous-vêtements.
Sans lâcher Caroline, le proviseur s’empare d’une chaise et s'assoit au milieu de la salle puis la bascule sur ses genoux. Mains négligemment posées sur ses fesses, il s’enquière :
- Qui a un cours à donner après la pause ?
Les enseignants se regardent et un jeune stagiaire s'avance en disant qu'il a cours de Maths avec les étudiants de dernière année des classes préparatoires à Polytechnique.
- Les classes préparatoires ? Voilà qui est excellent ! Vous amènerez avec vous cette jeune impertinente dans votre auditoire ! Vous n'avez pas eu l'occasion de la voir ce midi, mais comme vous l'avez compris, elle est punie !
Caroline n'ose pas bouger, ses mains sont posées au sol, ses jambes sont en l'air. Elle écoute affolée ce qui va lui advenir.
- Vous commencerez votre heure de cours en lui donnant une fessée. Attendez que tous vos étudiants soient arrivés et bien installés.
Le monde s'écroule pour Caroline lorsqu'elle comprend qu'elle va être punie devant ces étudiants. Une partie séparée du bâtiment leur est réservée et ils ne partagent pas la cantine. Elle n’en connaît aucun et aucun ne l'a encore vue punie et ce qui l'inquiète le plus, c'est que ces jeunes hommes ont trois ou quatre ans de plus qu'elle.
- Evidemment, vous lui donnerez la fessée sur les fesses nues !
Joignant le geste à la parole, le directeur abaisse son collant puis sa culotte.
Le jeune prof semble déstabilisé par ce qu'il voit et ce qu'il s'apprête à faire.
- N'hésitez pas à baisser largement sa culotte ou à l’ôter, ainsi vous pourrez aussi claquer le haut de ses cuisses !
Il soulève légèrement Caroline pour faire passer l'avant de ses collants et descend le tout jusqu'aux genoux. Puis il claque ses fesses sans retenue, elles virent au rouge rapidement. Une dizaine de claques suffisent à remettre Caroline et ses fesses dans tous ses états.
Avant de l'inciter à se lever, il lui emprisonne les mains dans le dos puis se lève à son tour sans lui lâcher les poignets.
- Après la fessée, vous lui direz d'attendre la fin du cours à côté du tableau, les mains sur la tête et vous me la ramènerez ensuite à mon bureau. Je lui ai promis une punition exemplaire avant de partir...
Caroline a les yeux rivés sur le bout de ses pieds, elle ne peut relever la tête, tandis que les profs sont hypnotisés par son triangle doré. Le proviseur s'en aperçoit :
- Ah oui, j'oubliais ! Quand elle sera au tableau, pas question qu’elle remette sa culotte. Se présenter face à l’auditoire comme elle est devant vous, me parait être une bonne punition... Comme je le lui ai déjà expliqué, la pudeur n’est pas de mise pour les punies...
- D'ailleurs, il reste une demi-heure avant le prochain cours, cette jeune fille peut attendre en pénitence ici !
Il la pousse vers le mur en lui maintenant les poignets et décroche l'agrafe de son soutien-gorge. Il passe les brettelles de chaque côtés de ses épaules et lui fait faire demi-tour pour l'enlever. Caroline croise aussitôt ses bras devant sa poitrine.
- Je sais que vous vous êtes déjà amplement exposée, mais je veux que vous passiez la prochaine demi-heure toute nue. Vous allez sentir à quel point c’est différent. Déchaussez-vous et pliez soigneusement votre culotte et votre collant sur la table ! Et tentez de vous habituez à cette tenue...
Soumise, Caroline descend la fermeture des bottes et les enlève, elle roule ensuite son collant et le plie.
- Je vous autorise à remettre vos vêtements pour rejoindre le lieu de votre prochaine punition...
Caroline le remercie tout en ôtant sa culotte, puis elle se redresse et cache ses seins avec un bras et son sexe avec sa main. Les personnes présentes la regardent avec curiosité avant de reprendre leurs occupations.
De retour à son bureau, le proviseur constate avec satisfaction qu'Elodie n'a pas bougé.
- Je vais vous donner une dernière punition et vous pourrez retourner dans votre établissement.
Elodie enlève ses mains de sa tête et le regarde intimidée.
- Donnez-moi votre string !
Elle se défait de son string et le lui tend en se cachant. On voit bien qu’elle est morte de honte. Elle se tient recroquevillée et lance des regards inquiets vers la porte restée grande ouverte sur le couloir.
- Votre copine va rester un peu plus longtemps avec nous, elle sera fessée toute nue devant tout le lycée dans deux heures. Pour vous, comme c'est la première fois, la classe de Terminale suffira... C'est la même punition que celle que Caroline a reçue la semaine dernière. On va profiter de la pause pour rejoindre leur classe.
Elodie devient blême quand il se tient dans l’embrasure de la porte et l’invite à passer devant lui.
- Je peux récupérer mon string et mon jean...
- Oui bien sûr. On vous rendra tout cela de même que vos escarpins après votre fessée. Pour le moment ils vous sont inutiles, votre tee shirt est bien suffisant pour vous présenter à ces garçons.
Comprenant qu'elle ne pourra rien obtenir, Elodie jette un coup d’œil affolé dans le couloir avant de sortir. Elle met ses deux mains devant son sexe et suit son guide. Tout le monde est dans la cour, les couloirs sont déserts. Quand ils entrent dans la classe, elle est vide, elle-aussi. Il reste dix minutes de pause avant que les élèves ne reviennent. Monsieur Therrasse laisse la porte grande ouverte et indique à Elodie de monter sur l'estrade.
Son cœur bat à tout rompre, la tête baissée, elle sent les larmes lui monter une nouvelle fois aux yeux. Le directeur en profite pour vérifier quelques cahiers d'élèves posés sur les tables. Plus les secondes passent, plus la tension monte pour Elodie. Elle emmêle ses doigts nerveusement, mais ses deux mains restent plaquées devant sa fente. Elle se rend compte d'un coup qu'elle a une énorme envie d'aller aux toilettes et s'apprête à demander la permission de s'y rendre, mais cela s'agite déjà dans le couloir, les premiers élèves ne sont pas loin d'arriver.
- Les voilà. Préparez-vous, mettez vos mains dans votre dos, pour bien vous présenter. Jambes écartées et tête droite.
- Je suis désolée, mais j'ai vraiment besoin d'aller aux toilettes...
- Trop tard ! Vous allez vous retenir ! Allons, vos mains !
Elodie est complètement paniquée, elle rassemble tout son courage pour faire ce qu’on lui impose et se domine pour contenir sa vessie. Elle est blanche comme un linge.
Des bruits et des voix arrivent du couloir, quand les deux premiers élèves passent la porte, ils s'arrêtent de surprise. Elodie s’efforce de garder la tête haute comme indiqué et croise leurs regards. L’émotion est si forte qu’elle ne peut plus se contrôler et sans s'en rendre compte d’emblée, elle commence à se faire pipi dessus. Puis elle ne peut plus rien contenir, l'urine coule sur ses cuisses et forme une mare autour de ses pieds.
Au comble de la honte, elle attend stupidement le regard vide, que tous les élèves s'installent à leurs places. Quand ils sont tous prêts, le proviseur réclame le silence et remonte l'allée centrale.
- C’est dégoutant ! Vous mériteriez que je vous enlève votre top pour éponger le sol. Je ne le ferai pas puisque manifestement vous êtes nue dessous. Soyez heureuse que je vous ai confisqué votre culotte sinon, vous l'auriez souillée !
La remarque fait rire quelques élèves et par la même occasion fait redoubler le malaise d’Elodie.
Elle reçoit l’ordre de s'approcher.
- Vu votre état, je ne me risquerai pas à vous prendre sur mes genoux. 
Il avance légèrement la table centrale du premier rang. Sans enlever les mains de son dos, Elodie s'approche tout près des élèves. Chacun peut constater qu'elle s'épile intégralement et que les lèvres de son sexe sont joliment ourlées. La partie découverte sous son court tee-shirt renforce sa nudité au maximum.
- La poitrine sur la table et les jambes tendues !
Le ton est sans appel. Elodie se retourne pressée d'échapper aux regards qui fixent le bas de son ventre. Elle attrape l'extrémité de la table et tourne la tête sur le côté. Vu de derrière, la position est extrêmement érotique. Ses jambes tendues légèrement écartées laissent voir ses trésors intimes.
Le directeur se met sur le côté de la table, tandis qu'Elodie serre inconsciemment les fesses. Il lui donne une première claque au milieu de fesses. Elodie a les dents serrées et se lève sur la pointe de ses pieds. La deuxième claque laisse la marque des doigts sur la fesse. Elodie relève le buste, mais le proviseur appuie sur son dos en passant sa main sous son top et lui donne une série d'une dizaine de claques sans interruption.
Quand il s'arrête, elle s'accroupit et pose ses mains sur ses fesses, mais il la rappelle à l'ordre pour qu'elle reprenne la position.
Puis il pose sa main sur sa fesse gauche, et débute une nouvelle série de claques. La fessée dure quelques secondes mais suffit à couvrir de rouge la totalité de ses fesses.
Elodie se relève hésitante, ne sachant pas si sa punition est vraiment finie, puis après s'être massée les fesses, elle doit remettre la table en place au premier rang.
Le proviseur décide de prendre congé de la classe et raccompagne Elodie jusque chez lui.
Il appelle aussitôt son adjointe de l'établissement des filles, pour venir chercher Elodie. Ayant raccroché, il l’a conduit jusqu'au coin :
- Comme vous l'avez compris grâce à votre copine, Caroline, s’il y a une prochaine fois, ce sera toute nue devant tout le monde ! Bien que pour vous cela ne changera pas grand-chose, plaisante-t-il en soulignant sa poitrine menue d’un revers de la main, j'espère que vous vous en rappellerez...
Elodie hoche de la tête et se laisse mettre à genoux, mes mains sur la tête.
Dix minutes plus tard, sa directrice vient la chercher et toute honteuse, elle doit remettre devant elle son string et son jean confisqué, avant de quitter l'établissement.
Après le cours de Maths, Caroline frappe à la porte du proviseur. Il constate avec surprise qu'elle est seule. Le prof de Maths l'a libérée après son cours et elle a dû se débrouiller pour retrouver son chemin. Elle a pu remettre ses sous-vêtements, mais malgré cela, effectuer seule le trajet dans les couloirs de cet établissement exclusivement masculin a été une épreuve supplémentaire. Le proviseur l'invite à s'assoir dans son coin salon et veut savoir si ses instructions ont été correctement exécutées. Caroline s'enfonce dans le fauteuil, croise ses jambes et protège sa poitrine de ses bras. Elle doit expliquer qu’elle a été fessée par le jeune professeur et qu’elle a passé le reste du cours uniquement vêtue de son soutien, face à l’auditoire. Mais il veut des détails et s’amuse à lui faire préciser que le prof a commencé par lui faire ôter sa culotte avant de l’emmener à mi-hauteur de l’auditoire. Là une jambe posée sur une marche, il l’a hissée sur un de ses genoux et ainsi perchée en équilibre instable qu’elle a reçu une volée de claques. En rougissant jusqu’aux oreilles, elle doit encore avouer qu’ensuite il l’a obligée à faire lentement le tour de l’auditoire, fréquemment arrêtée par l’un ou l’autre qui voulait lui poser une question ou examiner de plus près la rougeur de son fessier. A part ses seins, son exposition a été totale ce qui a l’air de réjouir pleinement le proviseur.
Celui-ci appelle alors le conseiller principal d’éducation par téléphone et lui demande de passer dans son bureau.
Caroline s'agite, le CPE ne l'a pas encore vue et il a la réputation d'être particulièrement piquant. Quand il entre dans le bureau, Caroline est obligée de se lever. Après un moment de stupeur, il la détaille de la tête aux pieds et ne la quitte pas des yeux lorsque le directeur lui adresse la parole.
- Vous allez accompagner cette jeune fille dans chacune des classes. Elle expliquera elle-même qu'elle va être punie par une fessée à la fin des cours dans l'amphi et elle invitera chacun à venir assister à son châtiment.
Vous direz aux professeurs de libérer les élèves un quart d'heure avant la fin des cours. Et je compte sur vous pour vérifier les propos de Caroline. Je veux qu'elle ne cache rien, qu'elle soit bien claire quant à sa punition... Et qu'elle dise sans ambiguïté à chacune des classes qu'elle sera punie entièrement nue. Sans le moindre vêtement !
Le CPE lève les yeux vers lui, n'en croyant pas ses oreilles :
- Vous allez vraiment la mettre toute nue pour la punir devant tout le monde ?
Son supérieur lit la surprise et l'envie dans les yeux du CPE :
- Oui, bien sûr ! Cela n'a aucune importance... La pudeur des punies n'est pas à épargner ! L’indécence fait au contraire partie de la punition...
Il se lève et rejoint Caroline :
- Caroline en a déjà fait les frais aujourd'hui !
Il la prend par le bras pour qu'elle se retourne et la courbe sous son bras, puis d'un coup il baisse sa culotte pour faire constater au CPE la rougeur de ses fesses.
- Voici le résultat de la fessée qu'elle a reçu dans l’auditoire de dernière année des classes préparatoires tout à l'heure...
- Elle a déjà été fessée toute nue ici ?
- Non, jusqu’à présent, si elle a dû montrer le bas de son corps, on lui a épargné l’exposition de ses seins. Se montrer toute nue aux élèves sera une première pour elle et pour eux.
- Et là, je l'emmène comment faire le tour des classes ? 
Il avale sa salive :
- Je . . . je veux dire : toute nue ?
Le proviseur retourne à son bureau, sans répondre. Caroline reste suspendue à ses lèvres. Elle remonte l'arrière de sa culotte en priant pour que la réponse soit négative.
- Qu'en pensez-vous Caroline ?
Il sourit devant l'expression de son désarroi. Elle ne sait pas quoi répondre.
- Rassurez-vous ! Vous irez habillée. Vous pouvez même remettre votre robe...
Caroline, un brin rassurée, enfile à la hâte sa robe. Le CPE la regarde faire avec regret, il aurait tellement aimé tenir contre lui dans les couloirs cette belle jeune fille nue dont il n’a encore vu que brièvement les fesses.
- Vous reviendrez ici, lorsque vous aurez fait votre tour des classes.
Caroline n'arrive pas à s'y habituer, elle est toujours aussi rouge lorsqu'ils entrent dans une nouvelle classe. Le CPE est obligé de l'inviter à parler à chaque fois et lui demande de ne rien oublier. Elle remarque les regards plein d'envie glisser sur elle, surtout quand elle finit par préciser qu'elle sera punie toute nue. Le plus difficile pour elle est de faire cet exercice dans les classes d'études supérieures où les hommes sont bien plus âgés qu'elle.
Elle est à bout de nerfs après avoir quitté la dernière classe. Le CPE la reconduit chez le proviseur. Celui demande si tout s'est bien passé. Le CPE ne manque pas de lui répondre qu'il a dû la forcer plusieurs fois à expliquer sa punition en détail et qu'il a souvent insisté pour que Caroline dise qu'elle sera punie toute nue.
Le proviseur fronce les sourcils et s'approche de Caroline :
- Visiblement, vous n'avez toujours pas compris que vous deviez accepter sans rechigner votre punition, jeune fille !
Caroline baisse la tête, mais il lui relève le menton.
- Je vais vous faire passer l'envie d'être récalcitrante ! Levez vos bras !
Caroline obéit tandis qu’il saisit le bas de sa robe et la relève pour la lui enlever par le haut. Il la jette au sol et dégrafe son soutien-gorge, Caroline le retient tandis que le directeur va baisser la fermeture de ses bottes et lui demande de se déchausser. Elle s'appuie sur une chaise pour enlever une botte puis l'autre, son soutien-gorge glisse sur ses bras et le proviseur en profite pour le lui ôter quand elle se relève. Elle cache ses seins dans ses mains, il la retourne, lui claque sèchement les fesses sur sa culotte. Elle pousse un cri et croise le regard du CPE. Elle baisse aussitôt les yeux, gênée par le sourire licencieux qu'il a aux lèvres. Sans en avoir réellement conscience, elle ajuste innocemment sa culotte. Une nouvelle claque la surprend et une autre lui pique encore plus les fesses.  Ce n'est qu'à la troisième claque, qu'elle se rend compte que sa culotte est descendue sur ses chevilles. Elle lève aussitôt la tête vers le CPE et lit sur son visage tout sa lubricité. Elle serre les dents, tandis que le directeur continue de s'occuper de ses fesses.
Quand il arrête, elle essuie ses joues des quelques larmes qu'elle n'a pas pu retenir et masse ses fesses. Comprenant que il ne lui en donnerait pas l'autorisation, elle n'envisage même pas de remonter sa culotte.
Il demande à son adjoint d’ouvrir en grand la porte. Caroline a le réflexe de cacher sa poitrine, mais il n'y a personne dans le couloir.
- Maintenant, sortez d'ici ! Je ne veux plus vous voir avant la punition... Et ramassez vos vêtements qui trainent.
Caroline se baisse pour prendre sa culotte, puis va ramasser le reste de ses affaires. Elle roule le tout en boule et tient ses vêtements devant elle pour cacher ses seins et son sexe et prend ses bottes.
Le deux hommes la pressent de se dépêcher et c'est nue qu'elle est expédiée dans le couloir. La porte claque derrière elle. Elle se hâte de lâcher ses vêtements et cherche sa culotte qu'elle enfile à toute vitesse. La porte s'ouvre lorsqu'elle s'apprête à remettre son soutien-gorge. Le CPE sort et le lui arrache des mains.
- Pas de ça, jeune fille. C'est moi qui suis chargé de vous garder jusqu'à votre punition ! Je vous emmènerai dans l'amphi tout à l'heure. En attendant, j’ai bien l’intention de vous laisser toute nue.
Il s'accroupit et baisse d'un coup sa culotte jusqu'aux chevilles, il lui fait lever les pieds pour la dégager. Il ramasse aussi les vêtements qui sont au sol et l’entraîne dans le couloir étroitement collée à lui par son bras passé autour de sa hanche. Cette fois, elle a conscience qu’elle est pleinement nue et n’a strictement plus rien en main pour se couvrir en cas de rencontre.
Arrivée sans encombre dans le bureau du CPE, elle se tient devant lui, tête basse, les yeux humides, un bras plié couvrant ses seins et l’autre main devant son sexe. Elle apparaît délicieusement vulnérable et sexy. Elle frissonne et relève la tête quand il pose ses mains sur ses avant-bras :
- Je doute que vous puissiez cacher tout cela quand vous serez devant tout le monde...
Il lui écarte les bras à l'horizontal et recule d'un pas pour la contempler. Caroline resserre machinalement les jambes et laisse tomber ses bras le long de son corps.
- Vous  êtes délicieuse, ma petite. Vous allez faire un malheur tout à l'heure... Je peux vous dire que vous alimenterez les séances de masturbations de vos camarades pendant des semaines. En avez-vous conscience ?
Il passe le revers de sa main sur chacun de ses tétons. Un frisson lui parcoure tout le corps, elle ferme les yeux quand sa main descend entre ses seins, puis le long de son ventre, passe sur son nombril. Et quand ses doigts s'emmêlent dans ses poils pubiens, elle ne peut résister à lui attraper le poignet pour l'éloigner.
Il n'insiste pas et part s'assoir à son bureau.
Caroline doit attendre une éternité face au bureau du CPE. Le silence est pesant et la position inconfortable. Elle passe d'une jambe à l'autre, tantôt elle croise les bras, tantôt elle met ses mains devant son sexe. Le CPE relève régulièrement la tête de ses dossiers pour admirer son petit manège. Elle n'ose pas demander à se rendre aux toilettes malgré l'envie qui la tenaille car elle se doute à l’y envoyer toute nue.
Quand il range ses affaires, Caroline comprend que l'heure est venue, son cœur s'accélère en imaginant la suite des événements.
- Habillez-vous !
Caroline s'avance vers le bureau sans demander son reste, elle était persuadée qu'elle serait conduite nue dans l'amphi. Elle met sa culotte et son soutien-gorge, puis sarobe. Elle s'apprête à remettre ses bottes, mais le CPE lui fait remarquer qu'elle a laissé ses collants sur le bureau.
Caroline les prend et hésite :
- Ce n'est peut-être pas utile de les remettre si je dois les enlever tout à l'heure !
- J’ai instruction de vous emmener habillée tel que vous l'étiez ce matin en arrivant...
Caroline s'assoit dans le fauteuil et remet ses collants, elle aurait préféré en être dispensée. 
Elle remonte ses collants jusqu'aux genoux et profite qu'elle est assise pour remettre ses bottes, puis se relève pour remonter ses collants sous sa robe. Avant de sortir, elle demande la permission de se rendre aux toilettes avant d'aller dans l'amphi.
- Je vais vous y conduire, mais je devrai vous surveiller. Le directeur m'a recommandé de ne pas vous quitter des yeux jusqu'à ce que je vous conduise à lui.
Le CPE va ouvrir la porte et laisse Caroline sortir.
- A partir de maintenant, vous allez me suivre et pour montrer à tout le monde que vous êtes punie, vous allez poser vos mains au-dessus de votre tête et ne pas les enlever avant qu'on vous y autorise.
Caroline obéit et le suit jusqu'aux toilettes. Il choisit volontairement le côté réservé aux hommes et la fait entrer. Deux profs sont en train de se laver les mains. Ils interrompent leur discussion en la voyant entrer. Le CPE l'autorise à enlever ses mains de sa tête et pousse la porte d'une toilette. Caroline entre et comprend qu'elle ne sera pas autorisée à repousser la porte. Malgré la présence des deux profs, elle préfère se dépêcher. Elle est juste en face de la porte donnant sur le hall, si quelqu'un entre ou sort, elle sera en plein dans le champs de vision de ceux qui sont dans le hall. Elle remonte l'arrière de sa jupe et baisse à la hâte sa culotte et son collant. Elle se sent affreusement ridicule dans cette position, à moitié assise devant le CPE qui n'en loupe pas une miette. Le jet est long et sonore. Dès qu'elle le peut, elle se redresse et remonte sa culotte.
Quand ils sortent des toilettes, les élèves passent dans le hall pour se rendre dans l'amphi. Elle attire tous les regards et doit suivre le flot avec les mains par-dessus la tête. Les commentaires vont bon train tout près d'elle, mais le CPE n'intervient pas.
De nombreux élèves sont déjà installés. Le proviseur vient la placer au centre de l'estrade, lui relève la tête et pousse ses coudes en arrière. Elle doit rester bien droite face aux élèves le temps que tout le monde s'installe.
Caroline essaye de se calmer, de temps en temps, elle essuie ses joues et essaye de ne croiser aucun regard dans la salle.
Quand tout le monde est en place, Monsieur Therrasse prend la parole tandis que le cœur de Caroline s'emballe :
- Comme vous le savez tous, si je vous ai fait venir ici, c'est pour être les témoins de la punition de Caroline. Cette jeune femme est une récidiviste, sa première punition, pourtant sévère ne lui a pas suffi ! Nous allons donc durcir la sanction ! Et j'espère que cette fois-ci, nous n'aurons plus à l'accueillir dans nos murs...
Je veux que la punition à laquelle vous allez assister serve aussi d'exemple pour vous tous ! Sachez que chacun d'entre vous peut aussi être conduit dans l'établissement des filles en cas de besoin ! Et dans cette hypothèse, le traitement sera pareil : punition entièrement nu devant les demoiselles.
A ces mots, Caroline étouffe un cri et se force à retenir ses larmes.
- Vous allez commencer par enlever votre robe, Caroline !
Ses bras tombent, et elle tourne la tête vers le proviseur mais baisse aussitôt le regard, en comprenant que ça ne pourra être autrement.
Elle se détourne au trois-quarts et choisit de déboutonner sa robe plutôt que de l’ôter par le haut.
Le directeur s'approche d'elle. Elle croise ses bras devant sa poitrine et pose ses mains sur ses épaules. Sans la toucher, il vient juste lui claquer les fesses sur son collant. Caroline fait un pas en avant pour ne pas tomber. Il la ramène en arrière et abat sa main un seconde fois à la même place et recommence jusqu'à ce que ces fesses lui chauffent.
Puis il la retourne face à tout le monde, lui relève la tête et enlève ses bras de devant sa poitrine.
- Je tiens à ce que vous fassiez face à votre public, chaque fois que j'interromprai la fessée. Sans tenter de vous couvrir. Vous n’avez pas à atténuer votre exposition, vous vous déshabillez pour être vue, pour vous montrer. Est-ce clair ? Ainsi, j'ose espérer que la punition vous sera utile et que je n'aurai plus à vous punir de nouveau... Et adoptez la position des punies !
Caroline se sent à nouveau ridicule, en sous-vêtements et collant. Elle en veut au CPE de lui avoir imposé cela.
Dès que le proviseur l’y invite, elle fait demi-tour, soulagée d'échapper aux regards. Elle doit se pencher en avant et tenir ses jambes le plus bas possible. Ainsi courbée, elle est obligée d’écarter ses jambes et ses fesses sont pleinement exposées.
Le directeur attrape l'élastique de ses collants de chaque côté de ses hanches et avec une lenteur exagérée, il le baisse jusqu'à ses chevilles. Le nylon reste collé à ses jambes au-dessous de ses genoux. Quand il se relève, il lui assène deux claques retentissantes par-dessus sa culotte. Puis il baisse l'arrière de son slip et lui donne une nouvelle série de frappes sur ses fesses nues. Quand il a fini, il claque ses doigts et elle comprend qu’elle doit à nouveau se retourner.
La honte d'avoir montré ses fesses à toute l'assemblée se lit sur son visage. Le rouge aux joues et les yeux brillants, elle doit à nouveau affronter les regards de ses camarades. Elle remonte discrètement l'avant de sa culotte qui a été entrainé vers le bas par le directeur.
Le directeur s'accroupit devant elle, elle a un geste de recul croyant qu'il va lui baisser sa culotte, mais il se contente de finir de dégager ses collants et de les plier au-dessus de ses bottes. Puis il lui fait faire un demi-tour et cette fois-ci baisse complètement sa culotte qui vient s'échouer sous ses genoux.
La fessée qui suit est plus forte que les autres. Caroline gigote et essaye d'interposer ses mains, elle commence à crier à chaque claque, puis ses cris se transforment peu à peu en pleurs. Ses fesses rosissent, tandis que le directeur se décale sur le côté sans interrompre ses claques. Il augmente même la cadence, tout en retirant l'agrafe du soutien-gorge de Caroline. Celui-ci relâché, tombe aussitôt le long de ses bras. Caroline le supplie d'arrêter et se relève pour avancer et manque de tomber enchevêtrée dans sa culotte. Son tourmenteur lui ôte son soutien-gorge qu'elle s'apprête à remonter sur sa poitrine. Le temps qu'elle recouvre ses esprits, il va plier sa robe et ranger son soutien-gorge. Ses fesses bien rouges contrastent avec ses cuisses bronzées, tout son corps est secoué par des sanglots qu'elle n'arrive pas à maitriser. Des chuchotements commencent à s'élever dans l'assemblée ramenant peu à peu Caroline à la réalité. Doucement elle saisit chaque côté de sa culotte et la remonte délicatement sur ses fesses. Quand le directeur lui demande de se montrer face aux garçons, elle essuie son visage et met ses bras devant ses seins puis se retourne. Tous découvre son visage baigné de larmes, son maquillage a légèrement coulé, un instant, on a l'impression qu'elle va s'effondrer tellement elle parait fébrile. Le directeur ne s'apitoie pas sur son sort et lui parle toujours aussi sévèrement :
- J'espère que cette punition corporelle aura le mérite de vous remettre dans le droit chemin, Mademoiselle... Votre punition n'est pas terminée. Je vous ai promis la honte d'être toute nue... Nous y sommes ! Pas la peine de cacher vos seins.
Le directeur passe derrière elle et tire sur ses bras découvrant enfin de jolis seins, puis il baisse sa culotte à mi-cuisses. Totalement vaincue, elle ne cherche même pas à se cacher. Un frisson lui traverse le corps, quand elle entend une vague de satisfaction parcourir l'assemblée. Elle voit que certains sont en train de la prendre en photo et peste contre le directeur qui laisse faire. 
- Finissez de vous déshabiller, Caroline ! Je vous ai dit tout nue...
Quand elle a fini d'enlever ses bottes, son collant et sa culotte, le directeur la prend par le bras pour lui faire traverser lentement la salle et la faire sortir dans le grand hall d'accueil. Puis il lui dit de se mettre à genoux juste devant la porte d’entrée de l’auditoire, les mains à nouveau sur la tête.
Peu après, les premiers garçons sortent et se retrouvent nez à nez avec Caroline. Pendant que la foule des élèves et étudiants se presse autour d’elle, la frôle et la contourne en se bousculant, elle garde obstinément les yeux sur le carrelage. Personne n'est pressé de quitter le hall, et ce n’est qu’au bout d'une demi-heure, que tous les élèves sont partis. Il n'y a plus que le proviseur, le CPE et quelques enseignants qui discutent entre eux sans se préoccuper d'elle. Elle aperçoit que le CPE a sa robe sur son bras, il tient aussi ses bottes et de son autre main, ses sous-vêtements et ses collants. Elle donnerait cher pour pouvoir remettre ses vêtements.
Les enseignants saluent le proviseur et quittent à leur tour le hall sans oublier de jeter un dernier regard moqueur à Caroline.
Elle est autorisée à se lever, ses genoux la font souffrir presque autant que ses fesses.
- Donnez-lui ses bottes pour traverser la cour... Et ses collants aussi, elle ne va pas les remettre nu-pied.
Caroline demande timidement sa culotte mais elle lui est refusée. Elle remonte ses collants à même la peau et enfile ses bottes. 
Avant de sortir, le proviseur l'arrête.
- Vous n’êtes autorisée à vous couvrir en aucune façon.
Il lui abaisse l'élastique de son collant à mi-cuisses.
- Je ne veux rien voir sur votre poitrine, vos fesses ou votre pubis ! Que vous soyez seule ou devant du monde. Je vous avais promis ce matin, une petite ajout à votre punition pour vous inciter à informer vos compagnes du sort qui les attendait si elles suivaient votre exemple. Voici ce que vous allez faire. Nous avons pris du retard et votre lycée est fermé, aussi vous allez directement retrouver vos camarades à l’internat. A l’heure du dîner, vous aurez le plaisir de leur exposer en détail votre journée. Elodie vous secondera mais elle aura la chance de rester habillée. Quant à vous, bien entendu, vous garderez cette tenue jusqu’à l’heure du coucher. 
Caroline est assommée par l’annonce de cette nouvelle épreuve. Son humiliation n’en finira donc jamais. Menée au grand air, elle se sent encore plus nue, ils traversent la cour jusqu'au portail. Quand le CPE ouvre la grille, elle comprend qu'ils veulent la faire sortir dans la rue comme ça. Le CPE accroche sa culotte, son soutien-gorge et sa robe sur la grille. Dos au portail, elle doit mettre ses mains au-dessus de sa tête.
- Votre directrice va venir vous chercher ! Inutile de vous dire qu'il est interdit de vous rhabiller. Si on vous pose des questions, dites simplement que vous êtes punie ! Personne n’osera vous importuner.
Le directeur et le CPE rentrent et ferment la porte derrière eux.
La place est pour l’instant déserte, mais les nombreuses voitures parquées attestent que le danger d’être vue par un quidam est bien réel. Une vague de chaleur lui monte au visage lorsqu'elle voit un homme sortant de la boulangerie retourner à sa voiture. Il lui tourne le dos mais en montant dans son auto, il la remarque et reste un moment interloqué à la contempler. Il finit par embarquer. Le temps s’écoule. Il ne démarre pas. Caroline n’est pas naïve et imagine très bien ce qu’un homme peut faire à l’abri de son habitacle en regardant une fille nue à quelques mètres de lui. 
Heureusement pour elle, sa directrice vient la libérer quelques minutes plus tard.
- Ah vous voilà ! On vous attend à l’internat. Nous irons à pied, ce n’est qu’à un quart d’heure d’ici et la soirée n’est pas fraîche.
Sur ce, elle décroche les vêtements de la grille et elle entraîne son élève à travers le piétonnier de la petite cité. C’est l’heure de l’apéritif et dans les ruelles animées les passants et les consommateurs aux terrasses regardent interloqués l’étrange spectacle de cette jeune dame à la mine sévère menant par-dessous l’épaule une jeune étudiante complètement nue.