mercredi 13 février 2013

Pas de Bac = pension (1ère partie)

Caroline a déjà redoublé deux fois. Bien qu'elle soit capable dans les études, elle ne fait rien pour obtenir de bonnes notes. Elle ne travaille pas, est souvent dissipée en cours et pense plus à sortir le week-end que d'être appliquée dans son travail.
Ses parents l'on déjà mise en garde plusieurs fois. Ils lui ont dit que si elle n'avait pas son Bac à la fin de l'année, ils l'inscriraient en pension pour passer un CAP serveuse. Caroline avait pris ça à la légère comme d'habitude croyant que ses parents ne feraient jamais ça. Issue d'une famille aisée, elle ne se voyait pas faire la plonge ou servir dans un restaurant.
Pourtant, quand les résultats sont tombés, et que Caroline n'était même pas au rattrapage, contre toute attente, ses parents ont mis leur menace à exécution.

Elle découvre son nouvel établissement à la rentrée de septembre. Alors que tous ses copains et copines sont partis faire des études dans différentes villes, et emménagent dans leur premier appartement, elle se retrouve en pleine campagne, à 400 kms de chez elle, dans cette école privée austère. Il y a plusieurs  promotions, une dans chaque filière et dédiées à la restauration. Du haut de ses vingt ans, elle se retrouve dans une classe de gamins qui sortent du collège. Bien sûr, elle doit rester en pension et ses parents l'ont déjà averti qu'ils viendraient la chercher qu'un week-end par mois.

Elle regrette amèrement de ne pas avoir plus travaillé, et est bien trop fière pour faire ce CAP. Les études devraient être très faciles pour elle, mais elle fait exprès de ne rien faire. Elle ne comprend pas qu'une fille de son rang soit réduite à faire le service, et elle le fait savoir de façon très désagréable et ses professeurs. Au bout d'un mois, ses parents sont déjà convoqués par le proviseur. Il se plaint du travail et surtout du comportement de Caroline. Après quelques remontrances, Caroline doit jurer qu'elle fera des efforts. Son père donne "carte blanche" au proviseur, si les promesses de sa fille ne sont pas tenues. Caroline croit rêver quand elle l'entend dire cela, elle se sent rougir jusqu'aux oreilles. Son père lui avait déjà fait ce coup là, mais elle se souvient qu'elle était en primaire.

Ses bonnes résolutions n'ont pas durer longtemps, et quelques semaines après, ses mauvaises habitudes reprenaient déjà le dessus. C'est ainsi qu'elle se retrouva convoquée, seule cette fois-ci dans le bureau du proviseur un samedi.

Le proviseur l'attendait, il l'invita à s'assoir en face de son bureau. Les fauteuils sont volontairement écartés, elle croise les jambes, et tire sur sa jupe après s'être assise. Elle est véritablement impressionnée, même le proviseur ne l'a jamais vu aussi mal à l'aise. Elle sait sans doute, que cette fois-ci, elle est allée trop loin. Le proviseur lui demande de répéter ce qu'elle avait promis lors de la convocation de ses parents. Quand elle a terminé, le proviseur lui demande si elle se foutait de lui, puis lui énumère tout ce qu'elle a fait depuis cette visite. Il hausse de ton, il est de plus en plus en colère. Rouge de honte, elle se sent comme une petite fille, elle voudrait disparaitre dans le fauteuil, jamais on ne lui avait parlé sur ce ton là. Le proviseur s'approche d'elle, et elle croit presque recevoir une gifle tellement il est en furie. Puis il se tait d'un coup. Après un long silence, il lui dit :"Que va-t-on faire de vous, Caroline !". Il s'appuie sur son bureau puis reste de nouveau silencieux. Caroline ne sait plus ou se mettre, les yeux baissés, elle attend en se tordillant les doigts. Les secondes lui paraissent durer une éternité. Elle relève timidement les yeux pour scruter les réaction du proviseur. Elle est gênée de constater que celui-ci à le regard posé sur ses cuisses dénudée. Instinctivement elle croise de nouveau les jambes et pose ses mains sur ses genoux. Le proviseur sort de son silence et lui intime l'ordre de se lever.  Elle est tellement nerveuse qu'elle sursaute puis se lève d'un bond. Elle tire une nouvelle fois nerveusement sur sa jupe bien que celle-ci ne soit pas trop courte.
- Bon ! Il va falloir que je vous punisse, maintenant ! Puisqu'il n'y a plus que ça pour vous faire obéir, nous allons utiliser les grands moyens... Je dois vous dire que cela fait des années que je n'ai pas été dans l'obligation de fesser un de mes élèves.
Caroline devient blême, tandis que le proviseur lui ordonne de relever sa jupe au dessus de ses fesses. Elle refuse catégoriquement et dit qu'il n'a pas le droit de lui donner la fessée. Elle recule puis se débat quand le proviseur l'incite à se courber sur le bureau.
- Faut-il que j'appelle une nouvelle fois vos parents pour expliquer votre comportement, Caroline !
Sure d'elle, Caroline lui répond qu'ils n'accepteront jamais qu'il lui donne la fessée.
Sans autre avertissement, le proviseur décroche le téléphone et compose le numéro, il met le haut-parleur pour que Caroline entende. C'est le père de Caroline qui décroche. Après quelques brèves politesses et un état des lieux du comportement de Caroline, le proviseur lui annonce qu'il est obligé de punir Caroline. Son père va dans son sens, Caroline croit défaillir lorsqu'il conforte le proviseur dans le choix de la fessée. Le proviseur lui annonce que Caroline ne veut se soustraire de sa jupe pour la punition, il croit bon de préciser que le tissu de celle-ci la protègerait trop des claques, mais le père de Caroline le coupe dans ses explications : "Non seulement vous allez lui relever sa jupe, mais en plus vous lui baisserez sa culotte. Il n'y a aucune raison pour que ses fesses soient protégées par le moindre tissu ! Et une fessée, les fesses à l'air devant vous lui remettra les idées en place...".
Le proviseur surpris reste un moment silencieux, le père de Caroline lui souhaite une bonne journée et raccroche. Il met un moment à reposer le combiné, tandis que Caroline s'effondre dans le fauteuil, elle pose ses coudes sur ses genoux et cache son visage dans ses mains tout en secouant la tête. Elle regrette amèrement d'avoir inciter le proviseur à appeler ses parents.
Elle relève la tête quand elle sent le proviseur lui prendre le poignet, il l'incite à se lever et l'approche du bureau tout en restant silencieux. Elle reste sans bouger les cuisses collées au bureau. Un frisson lui parcoure le corps quand le proviseur se saisit de l'ourlet de sa jupe. Il lui relève complètement sa jupe devant et derrière jusqu'au niveau de l'élastique de ses collants, puis l'enroule dans sa ceinture. Toujours aussi silencieux, il prend Caroline par la nuque et la courbe sur le bureau. Elle se penche et croise ses bras pour poser sa tête dessus. Ses fesses moulées dans sa culotte blanche attendent la correction et ses jambes tendues tremblent légèrement d'appréhension. Le proviseur contemple quelques instants la vue magnifique que lui offre Caroline bien malgré elle. Puis il abat sa main une première fois. Il attend un long moment pour lui en donner une deuxième, pareil pour la troisième. Il semble prendre plaisir à reluquer ses jambes et ses fesses seulement protégées par son collant et sa culotte, ce qui agace Caroline. Elle serre les dents à chaque claque, car si le proviseur prend son temps, il abat sa main sans retenue sur ses fesses. Celles-ci deviennent particulièrement douloureuse, mais Caroline se retient de pleurer, elle fait son maximum pour ne pas offrir cela au proviseur. Au bout d'une vingtaine de claque, elle commence à croire que le proviseur à décider de ne pas baisser sa culotte et plus la fessée avance plus elle en ai persuadée.
Le proviseur s'arrête mais lui interdit de se relever. Il reste derrière elle un long moment. Caroline boue à l'intérieur, elle s'imagine en collant, les fesses relevées... Le proviseur retrouve soudainement la parole :
- Je pensais que pour une jeune femme de votre âge une bonne fessée, accentué par le fait de montrer sa culotte suffirait, mais votre père en a décidé autrement !
Les espoirs de Caroline volent en éclats et elle sent les larmes lui monter au yeux, mais préfère se cacher et ne pas répondre.
Délicatement, il l'attrape par les hanches pour la décaler légèrement du bureau.
- Je suis désolé pour vous Caroline ! Mais je suis obligé de vous déculotter...
Si elle n'était pas appuyées sur le bureau, Caroline serait sûrement tombée par terre. Doucement, le proviseur commence par descendre son collant, il passe ses pouces à l'intérieur pour le descendre jusqu'à ses chevilles. Puis il dénude ses fesses en baissant l'arrière de sa culotte. La voilà les fesses à l'air mais le proviseur ne s'arrête pas là. Il attrape chaque côté de sa culotte et avec une lenteur exagérée, la tire vers le bas jusqu'à ses genoux. Caroline enfonce sa tête dans ses bras et resserre les fesses, mais sa position ne permet pas de cacher l'essentiel. Le proviseur s'attarde sur ses fesses un moment puis reprend les claques avec un rythme plus rapide.
Le sang de Caroline ne fait qu'un tour quand elle entend toquer à la porte et celle-ci s'ouvrir presque immédiatement. Comme à son habitude, le directeur du restaurant, en partenariat avec l'école, entre dans le bureau de son ami. Il reste tout de même quelques secondes interloqué. Caroline se relève et remonte sa culotte en quatrième vitesse. Le directeur reprend ses esprits et ferme la porte derrière lui, en disant aux élèves qui l'accompagne d'attendre dans le couloir. Caroline est sure que ceux-ci ont eu le temps de voir ses fesses et de constater qu'elle était punie.
Pendant que Caroline, rouge de honte rabat sa jupe, le directeur demande ce qu'elle a encore fait, pour mériter cette punition. Le proviseur lui explique et le directeur en rajoute en disant que pendant ses services au restaurant elle était souvent très désagréable avec les clients.
Pendant ce temps, Caroline commence à remonter son collant, mais le proviseur l'arrête :
- Je ne vous ai pas dit que la fessée était terminée ! Laissez vos collants là où ils sont !! ... Et quant à vos fesses, je ne vous ai pas autorisée à les cacher pour le moment !!!
Le proviseur défait le bouton et descend la fermeture de sa jupe et la laisse tomber à ses pieds, puis baisse sa culotte, avant de lui donner une grande claque sur les fesses.
- Asseyez-vous et attendez que M. le directeur soit reparti pour la fin de votre fessée.
Avec sa culotte a mi-cuisse, Caroline attend sagement que la discussion entre les deux hommes se termine.