mercredi 3 octobre 2012

L'institution

Nous voilà arriver à la fin du premier trimestre. Depuis le début de l'année, Caroline a été envoyée dans cette institution pour relever son niveau scolaire. Plutôt habituée aux établissements publics, elle n'arrive pas à se faire aux exigences de cette nouvelle école. Avant elle avait connu des années de liberté et maintenant en tant que pensionnaire, elle regrettait de ne pas avoir mieux travaillé. Pourtant ses résultats sont loin d'être satisfaisant pour le moment. Bien qu'elle craigne les profs et l'encadrement très stricte, elle n'arrive pas à se motiver.

La fin de ce trimestre est l'occasion de faire une réunion où tous les élèves, ainsi que l'encadrement sont conviés.
La directrice fait un bilan un peu lassant pour tout le monde. Puis elle passe aux félicitations. Elle congratule les meilleurs et encourage ceux qui sont dans la bonne voie. Puis elle invite la meilleure élève du trimestre à venir la rejoindre sur la scène. Elle félicité Bérangère pour ses bonnes notes, son comportement exemplaire, et son courage dans le travail. Tout le monde doit l'applaudir, bien que cette fille à papa, ne soit pas vraiment appréciée des autres élèves.

Puis la directrice passe aux avertissements. Elle nomme quelques élèves pour leur manque de travail, apostrophe deux garçons pour leur attitude et donne les dernières note très basses de certains élèves.
Caroline est elle-même surprise de ne pas faire parti de cette liste, mais elle se sent aussitôt visée quand la directrice évoque le cas d'une élève en particulier.

- Quant à la plus mauvaise élève de l'établissement... Caroline H. où êtes vous ?

Caroline lève timidement la main.

- Voilà, vous êtes là! Ne vous cachez pas Caroline, votre cas mérite d'être connu. Nous ne vous ferons pas l'honneur de monter sur scène pour le moment, mais levez-vous... Tenez, montez sur votre chaise pour que tout le monde vous voit bien !

Rouge de honte Caroline se lève sur sa chaise, tous les regards convergent vers elle.

- Mesdemoiselles et Messieurs, vous avez devant vous la perle de l'établissement ! Une fainéante comme jamais, des notes catastrophiques, et un comportement bien moyen avec ses professeurs. Récemment, Mademoiselle a eu 3 en physique, 5 en Maths, 2 en anglais, alors qu'il fallait juste apprendre par coeur les verbes irréguliers. Il n'y a qu'en sport où elle arrive tout juste à la moyenne.

Tête baissée, Caroline encaisse le sévère bilan de la directrice.

- Avez-vous quelque chose à dire Mademoiselle H. ?

Caroline fait non de la tête.

- Très bien, aucun regret, aucune excuse envers vos professeurs, et pas plus de motivation pour l'avenir, j'en attendais pas moins ! Nous allons donc pouvoir passer à la punition !

La directrice avait annoncé cela si naturellement que presque personne n'a réagit. Caroline a tout de même relevé la tête en essayant de se défendre, aussitôt coupée par la directrice qui lui dit que c'est trop tard.

- Pour commencer comme vous êtes bien en vue de tout le monde, vous allez relever votre jupe bien au dessus de votre taille...

Pour faire face à la stupéfaction de Caroline et du brouhaha qui s'installe dans la salle, la directrice apporte tout de suite une précision.

- Comme vous l'avez compris, Caroline, faire voir votre culotte à tout le monde fait parti de la punition. La honte que vous allez éprouvé aussi et croyez-moi ce n'est pas fini. Maintenant, si vous ne voulez pas relevé votre jupe, je vais venir le faire immédiatement, mais j'en profiterais aussi pour baisser votre culotte !

Presque instantanément, Caroline attrape le bas de sa jupe et la remonte sur sa culotte.

- Remontez plus haut !

Caroline dégage l'arrière de ses fesses.

- Encore plus haut ! Je veux voir l'intégralité de votre culotte, devant et derrière...

Caroline dévoile intégralement sa culotte blanche, morte de honte, elle maintient sa jupe enroulée au niveau de l'élastique de son collant.

- Vous pouvez venir me rejoindre sur scène maintenant... Sans cacher cette culotte.

Caroline descend de la chaise et d'un pas mal assuré monte sur la scène.

- Vous n'allez pas tenir cette jupe toute la journée ! Enlevez là !

Caroline se sent ridicule à maintenir sa jupe relevée au dessus de sa taille, elle est presque soulagée de l'enlever. La directrice lui demande de la plier soigneusement et de la poser sur la table. Puis elle lui remonte son chemisier et lui enroule au dessus de l'élastique de son collant. le ventre à l'air Caroline se demande si elle ne préférait pas encore tenir sa jupe relevée.
Tête baissée, les doigts entrelacés devant sa culotte, Caroline attend honteusement la suite. La directrice laisse passe quelques secondes de silence, une éternité pour Caroline. Puis elle se dirige vers la table, Caroline ne peut s'empêcher de se retourner pour voir ce qu'elle va faire. Elle prend la règle en plastique  que Caroline avait aperçut précédemment. Tout en s'approchant de Caroline, elle tape lentement la règle dans sa main comme pour mieux faire comprendre à quoi elle va servir.

- Pendant les prochains jours, vous avait l'interdiction de porter des collants ! Je veux que tout le monde se rappelle de votre punition en voyant vos cuisses !

C'est justement là où elle décide d'envoyer le premier coup de règle, laissant une marque rouge en bas des cuisses. Caroline serre les dents, alors que directrice remonte progressivement vers ses fesses, en alternant une cuisse puis une autre. Lorsqu'elle arrive juste sous ses fesses, Caroline ne peut résister à pousser un cri et s'écarter sur le côté. Elle porte ses mains à ses cuisses et laisse couler quelques larmes sur ses joues.

- Retournez-vous et descendez votre collant !

Caroline ne se fait pas prier, dos à la salle, elle n'a plus à affronter tous ces regards rivés sur elle. Délicatement, elle saisit chaque côté de son collant et l'abaisse lentement jusqu'en dessous de ses genoux. Les élèves découvrent les nombreuses marques rouge laissées par la règle. L'air frais lui fait du bien, mais à peine a-t-elle lâché son collant qu'un coup de règle vient lui déchirer le milieu des cuisses. Surprise, elle se rattrape à la table pour ne pas basculer en avant.
La directrice en profite pour lui dire de rester courbée dessus, puis sans aucun avertissement, elle se saisit de la culotte de Caroline et la baisse d'un coup sec.
Caroline se relève en une fraction de seconde et remonte sa culotte sur ses fesses tout en se retournant vers la directrice. C'en est trop pour Caroline qui s'emporte :

- Vous êtes vraiment un vielle folle !

Elle remonte son collant en furie tout en continuant à insulter la directrice, la traitant de tous les noms. Celle-ci attend calmement sans réagir, ce n'est que quand Caroline se saisit de sa jupe qu'elle lui décroche une gifle magistrale.
Caroline se calme d'un coup. Ne sachant plus quoi faire ni quoi dire, elle reste avec sa jupe dans ses mains, n'osant même pas porter sa main sur sa joue en feu.
Toujours aussi calme, la directrice lui reprend sa jupe et la repose sur la table. La tension est à son comble, personne n'ose broncher dans la salle. Comme pour marquer encore plus son autorité, la directrice se met à tutoyer Caroline.

- Pour ne pas que ce genre d'incident se reproduise, tu vas te retourner et te courber sur la table. Tu pose tes mains à plat dessus et tu ne les bouges plus !

Complètement matée, Caroline se retourne tandis que la directrice s'accroupit derrière elle. Elle lui enlève elle-même ses chaussures puis descend son collant jusqu'en bas, elle lui enlève de chaque pied et se relève pour le plier et le poser juste devant les yeux de Caroline. Les larmes ne tardent pas à tomber dessus, car elle sait très bien quelle est la suite. La directrice fait glisser sa culotte jusqu'à ses pieds. Comme pour son collant, elle lui retire et vient le poser au dessus de celui-ci. Elle pousse Caroline tout contre la table et lui appuie sur le dos pour qu'elle se courbe. Elle remonte son chemisier pour que ses fesses soient totalement dégagées, puis les laisse aux regards de l'assemblée quelques instants. Une éternité pour Caroline qui prend encore plus conscience de la situation. Elle préférerait recevoir la fessée immédiatement que de devoir rester ainsi, à demi-courbée, les jambes tendues et les fesses serrées prêtent à recevoir la première claque. Les chuchotements dans la salle la font frémir, elle comprend qu'elle sera l'objet des fantasmes de la plupart de ses camarades que la vision de ses jambes et de ses fesses nues restera longtemps gravé dans leurs mémoires.
Partie dans ses pensées et en essuyant les larmes sur ses joues, elle ne voit pas la main de la directrice s'abattre sur ses fesses. Elle pousse un cri autant surprise par la claque que par le fait que la directrice ait laissé tomber la règle. Tandis qu'elle s'est relevée et frotte sa fesse qui vient d'être claquée, la directrice claque l'autre puis remet les mains de Caroline à plat sur la table en lui faisant comprendre de ne plus les enlever.
La directrice n'épargne aucune partie des fesses de Caroline, sa main s'abat aussi sur la totalité de ses cuisses. Deux masses rouge qui partent du bas de ses cuisses jusqu'en haut de ses fesses apparaissent, et ne sont pas prêtes de s'estomper. Caroline gigote de toute part s'accroupissant, ou se levant sur la pointe des pieds pour éviter les claques, mais malgré l'envie qui la démange, ses mains restent à plat sur la table une bonne partie de la fessée, puis n'y tenant plus, Caroline se relève et interpose ses mains.
La directrice lui donne quelques dernières claques bien appuyées puis arrête la fessée.
Caroline se masse les fesses sans prendre conscience qu'elle les écarte involontairement. Puis reprenant lentement ses esprits, elle prend sa culotte et s'apprête à l'enfiler.

- Je ne vous le conseille pas Caroline... Attendez que vos fesses ne vous brulent plus ! Quant à vos collants, il vous son interdit comme je vous l'ai dit. Et puis vous allez rester une heure face au mur, les mains sur la tête lors de votre prochain cours. Vous pouvez remettre votre jupe pour le moment, mais quand vous serez au piquet, vous la laisserez tomber à vos pieds.

Caroline ne tarde pas à remettre sa jupe et enroule ses collants et sa culotte dans sa main. Les joues aussi rouge que ses fesses, elle regagne sa place tête baissée, les yeux encore baignés de larmes.