samedi 29 décembre 2012

Caroline l'employée de banque (Fin)


Le directeur s'assoit face à elle.
- Nous savons tous pourquoi vous êtes là et ce que vous avez fait, nous n'allons pas revenir dessus ! Par contre, pour ceux qui ne le savent pas, le directeur de l'agence de Caroline a déjà commencé sa punition... Caroline faites-nous voir le résultat, remontez votre jupe !
Prise au dépourvu, elle se retourne et commence à remonter le tissus de l'arrière de sa jupe.
- Non relevez toute votre jupe. Derrière et devant au dessus de la taille !
Transi de honte, Caroline montre à tous ses supérieurs sa culotte blanche récemment achetée.
- Je sais que vos sous-vêtements sont restés dans le bureau de votre directeur, comment m'expliquez-vous ça !
Caroline est obligée de dire la vérite tout en gardant sa jupe relevée.
- Pendant que l'on vous attendez, vous vous permettez d'aller faire vos courses... Cela ne va pas arranger votre cas !
Dépitée, elle laisse retomber sa jupe et se retourne, le visage rouge de honte.
- Vous aurez compris que si l'on s'est réunis aujourd'hui, c'est pour votre punition !
Caroline relève la tête et jète un regard agressif au directeur :
- J'ai déjà été punie ! ça suffit !
Le directeur se lève d'un bond et hausse le ton :
- On ne vous a pas demandé votre avis ! Ce que vous avez fait est intolérable ! Et si on estime que votre punition de ce matin n'est pas suffisante, cela nous regarde ! Alors maintenant, vous vous taisez et vous enlevez votre jupe et votre pull !
Caroline impressionnée par l'autorité du directeur, ne peut plus parler. Elle hésite de longues secondes avant de déboutonner sa jupe qui tombe à ses pieds. Et avant d'enlever son pull, elle constate que les fenêtres donnant sur l'extérieur permettent aux fumeur de la voir. Mais elle n'ose rien dire et se retrouve en sous-vêtements.
- Si vous nous auriez obéit, êtes vous consciente que, sans vos sous-vêtements vous seriez presque nue en ce moment ?
Tout en jetant un nouveau regard vers l'extérieur pour voir si personne ne l'a remarquée et pour faire prendre conscience au directeur qu'on peut les voir, elle fait un signe de la tête.
- Je sais que l'on peut vous voir de dehors, et c'est le cadet de mes soucis... Si vous êtes ainsi, aujourd'hui, vous pouvez vous en prendre qu'à vous-même ! Vous mériteriez même que l'on ouvre toutes les fenêtres pour que le bruit des claques que vous allez bientôt recevoir attirent les regards.
Caroline baisse la tête et comprend, même si elle s'en doutait que c'est une nouvelle fessée qu'elle va recevoir.
- Bon allez chercher une chaise ! Et mettez là au centre des tables que tout le monde voit vos fesses rougir...
Dans un silence pesant, Caroline emporte la première chaise qu'elle trouve. Le directeur se lève et rejoint lentement Caroline puis s'assoit sur la chaise. Il prend Caroline de chaque côté des hanches et la fait venir face à lui, entre ses cuisses. Il fait glisser délicatement son collant le long de ses jambes jusqu'à ses chaussures puis remonte jusqu'à l'élastique de sa culotte. Il place ses deux pouces dans sa culotte et joue avec l'élastique tout en affichant un léger sourire. Caroline est rouge de honte et surtout morte de peur, au bout de quelques instant, elle se décide à le supplier :
- Je vous en prie, pas ma culotte... Tout ce que vous voudrez mais n'abaissez pas ma culotte !
Le directeur retire ses mains et s'enfonce dans le fond de la chaise :
- Vous avez raison ! De toute façon, vous auriez du arriver nue je crois !... Je ne vais pas l'abaisser... Mais bon, la fessée c'est sur les fesses nues, obligatoirement... Alors vous allez l'enlevez vous-même !
Caroline n'a pas le temps de réagir, que le directeur lui fait faire un demi-tour et abaisse d'un coup sec les bretelles de son soutien-gorge :
- Et ça aussi je vais l'enlever, je ne vois pas pourquoi vos seins devraient rester cacher !
Il dégrafe le soutien qui tombe dans les mains de Caroline. N'osant pas se cacher les seins, elle reste les bras ballants, alors que les larmes lui montent aux yeux.
- Aller ! Dépêchez-vous ! Toute nue pour la fessée...
Caroline est tétanisée, ses mains arrivent à remonter jusqu'à ses seins, tandis que de petits reniflements annoncent un sanglot imminent. Le directeur se lève d'un bond et emmène Caroline vers une table tout près de la fenêtre :
- Très bien, puisque vous ne savez pas obéir, montez sur cette table !
Le ton est si impératif, que Caroline n'ose pas protester. Elle monte sur la table avec difficultés à cause de son collant qui entrave ses chevilles. Une fois debout, elle se rend compte de son exposition face au membres du conseil , mais elle s'aperçoit aussi, qu'elle devient le centre d'intérêt de l'extérieur.
- Les mains sur la tête !
Tout en posant ses mains sur sa tête, Caroline ne peut résister à jeter un oeil dehors et s'aperçoit qu'un groupe est en train de se former près de la fenêtre. Elle sent le directeur attraper sa cheville, il la déchausse et enlève son collant, puis fait la même chose pour son deuxième pied. Caroline ne peut résister à cette nouvelle humiliation et éclate en sanglots. Cela n'attendrit pas le directeur qui pose le collant sur la table et attrape chaque côté de sa culotte et tire immédiatement vers le bas. Caroline pousse un cri de protestation mais son slip quitte déjà ses pieds. Complètement nue au milieu de tout le monde, Caroline ne peut résister à s'accroupir et se cacher le visage dans ses mains. Le directeur se recule en tenant le slip de Caroline et la laisse ainsi sangloter quelques instants.
- Je vois que la punition est efficace, Caroline !
- Descendez de la table !
Caroline descend de la table tout en se cachant mais elle ne peut éviter de montrer un sein ou sa toison brune. Le directeur s'approche d'elle et pose son slip sur la table. Puis sèchement, il lui fait faire demi-tour et l'approche de la table, les cuisses collées sur le bord. Caroline comprend qu'elle va maintenant recevoir la fessée et se penche elle-même jusqu'à ce que ses seins rencontrent le métal froid de la table. Elle se prépare à recevoir les claques mais le directeur s'éloigne, Caroline relève la tête sans comprendre. Elle voit le directeur prendre son collant et le mettre en boule dans ses mains puis revenir vers elle.
- Finalement, je crois que vous avez reçu assez de fessées pour aujourd'hui ! Par contre si vous devez encore être sanctionnée, je donne l'autorisation à votre directeur d'agence, de vous la donner dans son bureau. Si il vous annonce cette punition, vous vous mettrez toute nue pour la recevoir. Et je lui conseillerai de faire venir vos collègues avant de vous déshabiller !!!
- Mais pour le moment, je vais vous punir autrement ! Mettez vos collants...
Et vos chaussures ! Caroline s'habille comme lui indique le directeur sans savoir sur quel terrain il veut l'emmener. Une fois ses chaussures remisent, elle doit se retourner. Elle cache ses seins avec ses bras croisés et laisse sa toison à la vue de ses supérieurs comme si son collant transparent diminuait la honte de ce qu'elle montre.
- Posez vos mains sur votre tête !
Caroline s'exécute, la honte d'être nue l'envahit une nouvelle fois, mais elle est amplifiée par le fait qu'elle se sent ridicule avec son collant.
- Vos collègues fumeurs meurent d'envie de vous voir de plus près ! Vous allez les satisfaire !!! Sans enlever vos mains de votre tête, et ainsi vêtue, vous allez sortir de la salle, traverser le hall d'acceuil, prendre la porte principale, traverser le parking et faire le tour du batiment pour les saluer un à un.

Caroline éclate en sanglot et enfuie son visage dans ses deux mains, alors que le directeur a déjà ouvert la porte de la salle. Caroline ne bouge pas et le directeur s'impatiente, il vient la chercher et la traine hors de la salle. D'un pas décidé, il la conduit vers la porte principal en la tenant par dessous l'aisselle. Les talons de Caroline claquent sur le sol ce qui attirent les regards, elle a du mal à suivre le directeur. Il s'arrête au niveau du petit salon d'attente entre la porte et le guichet d'acceuil et courbe Caroline par dessus le dossier d'un canapé. Elle enfuie sa tête dans le cuir pour cacher sa honte, ses mains agrippent chaque accoudoir, elle sait qu'elle va recevoir la fessée pour ne pas avoir obéit au directeur et s'y prépare.
Tout le monde a arrêté son activité et regarde vers Caroline, plus personne ne parle et le silence est pesant. Caroline sait qu'autours d'elle, il y a ses collègues et des partenaires de la société mais aussi de nombreux clients. Le directeur demande à appeler le chef des vigiles. Quand il arrive, il lui confie la tâche de fesser Caroline :
- Vous lui donnez la fessée de sa vie, je veux qu'elle soit exemplaire. Retirez-lui ses collants, elle n'a pas besoin d'avoir une protection ! Caroline ne peut s'empêcher de se retourner et découvre avec horreur qui est le chef des vigiles. C'est un lourdeau qu'elle a rencontré à plusieurs reprises lors de ses visites au siège. Il a essayé de la draguer mais elle le rejetait systématiquement, tout en le traitant comme un moins que rien, elle s'était même permis de lui dire devant ses collègues qu'il n'avait aucune chance et qu'elle était trop bien pour un mec comme lui. Il tenait maintenant sa revanche, et Caroline lisait dans ses yeux qu'il allait en profiter au maximum. En profiter pour la toucher, mais aussi en profiter pour l'humilier à son tour. Il ne pu s'empêcher d'esquisser un petit sourire en voyant la détresse de Caroline, puis se tourne vers le directeur :
- Mais qu'est-ce qu'elle a fait pour mérité une fessée toute nue devant tout le monde ?
Le directeur allait répondre, mais il préfère que Caroline le dise elle-même :
- Mademoiselle H., veuillez dire à tout le monde pourquoi je dois vous punir ainsi !
Caroline est déconcertée, elle commence son explication, d'une voix presque inaudible, la tête enfuie dans le fauteuil. Le vigile, de plus en plus à l'aise la reprend :
- Caroline ! Vu ta situation, tu devrais être plus polie ! Parle plus fort !
Caroline se force à parler plus fort mais le vigile la coupe de nouveau :
- Relève-toi et regarde les gens quand tu parle !
Au lieu de protester, Caroline se surprend à obéir parfaitement au vigile. Le directeur le laisse maitre de la situation. Elle avoue à tout le monde qu'elle a escroqué des clients, rouge de honte. Le vigile décide d'aller plus loin :
- J'imagine que tu dois bien regretter maintenant ! Tu dois avoir honte ! Dis nous ce que tu ressens ? Caroline se met à pleurer et assure qu'elle regrette profondément. Le vigile la force à parler encore plus et elle dit qu'elle n'a jamais eu autant honte de sa vie et qu'elle ne supportait plus d'être nue.
Le vigile s'approche alors lentement d'elle et délicatement, il fait rouler son collant sur ses hanches, il s'accroupie et dénude son sexe en le descendant jusqu'à mi-cuisses. Sa tête est à quelques centimètres des poils de Caroline, elle lève la tête vers le plafond pour ne pas voir le vigile profiter au maximum de sa détresse.
- Courbe-toi en avant pour la fessée, jambes tendues !
Caroline se penche en avant, alors que le vigile passe derrière elle et claque une première fois ses fesses. Caroline fait un pas en avant à chaque fois que la main du vigile s'abat sur ses fesses. Le vigile passe son bras autours des hanches de Caroline et continue la fessée en la maintenant fermement. Puis il fait des commentaires sur le spectacle qu'elle offre. Ses fesses virent rapidement au rouge vif, mais il continue jusqu'à ce que Caroline le supplie d'arrêter. Il la relâche et Caroline se relève et se frotte les fesses. Le vigile se tourne vers le directeur :
- Est-ce qu'elle mérite une plus grosse punition ?
Le directeur hésite un instant puis tout en faisant faire un demi-tour à Caroline pour constater l'état de ses fesses, il lui dit :
- Je pense que pour ses fesses, c'est bon. Mais je veux que quand elle quittera nos bureaux, tout le monde puisse constater la rougeur de ses cuisses en dessous de sa jupe...
Le vigil ne se fait pas prier :
- Enlève tes collants ! Caroline hésite ne sachant pas ce qu'ils allaient lui faire.
- De toute façon vous allez repartir sans, et vous n'allez pas remettre non plus votre slip et votre soutien-gorge !
Caroline fait tomber nerveusement ses talons et dans un silence pesant roule son collant en boule jusqu'à ses pieds et les laisse par terre. Une fois toute nue, elle se tourne vers le vigile, les doigts entrelacés devant sa toison, et attend la suite. Il l'attrape par le haut du bras et l'entraine vers un table au milieu du hall d'entrée.
- Assis-toi sur la table !
Caroline pose ses fesses, et monte, puis cache ses seins une fois assise. Le vigile pousse sur ses épaules afin qu'elle s'allonge sur le dos. Caroline abasourdie se laisse faire. Même quand le vigile attrape ses deux chevilles d'une main et commence à relever ses jambes.
- Tu vas maintenir tes jambes relevées, pendant que je m'occupe de tes cuisses !
Caroline reste un instant les cuisses en l'air, les jambes repliées en attendant sa nouvelle fessée.
- Attrape tes jambes derrière tes genoux !
Elle exécute l'ordre du vigile sans contester, mais il veut aller plus loin.
- Si je t'ai mise dans cette position là, ce n'est pas que pour te punir au niveau des cuisses !!! Assume la punition que tu mérite jusqu'au bout, même si tout le monde te regarde...
Caroline qui avait compris depuis qu'elle s'était assise sur cette table, ferme les yeux et aussitôt écarte largement ses jambes pour en finir. Le vigile s'approche et commence à claquer ses cuisses. Il frappe du bas des fesses jusqu'aux bas des cuisses, afin que ça jupe ne puisse pas couvrir toute les marques. Le directeur l'arrête quand les cuisses sont bien rouge.
- Arrêter, Caroline a reçu assez de claques maintenant ! Et cette position la punie largement plus qu'une fessée...
- Lâchez vos jambes Caroline ! Mais restez dans cette position ! Les jambes écartées et relevées !
Puis il donne l'ordre au vigile de rassembler la jupe et le pull de Caroline ainsi que ses chaussures.
Le vigile revient alors que Caroline n'a pas bougé, et que les activités de chacun reprennent presque normalement autours d'elle. Il pose ses vêtements à côté d'elle. Caroline croit pouvoir les remettre et laisse retomber ses jambes, mais aussitôt le directeur retient sa jambe au niveau du mollet.
- Non, non, non, Caroline ! Regardez tous ces clients... Dans le lot, il y en a sans doute certains que vous avez escroqué... Donc vous allez rester devant eux dans cette position un moment ! Puis le directeur attrape l'autre jambe de Caroline et les remonte tout en les maintenant largement écartées.
- Ne bougez pas de cette position, jusqu'à ce qu'on vous le dise ! Vous avez le droit de soulager vos jambes avec vos mains de temps en temps...
Caroline accuse le coup de cette nouvelle humiliation, et laisse échapper quelques larmes de honte. Des dizaines de nouveaux clients entrent dans le hall, et chacun découvre l'intimité largement exposée de Caroline. Après un long moment Caroline voit revenir le directeur. Il lui tend son pull :
- C'est bon, vous pouvez vous relever !
Caroline se lève et reprend son pull et l'enfile, tandis que le directeur lui présente sa jupe :
- Vous allez retourner à votre agence ! Vu que vos clients ne passent que rarement au siège et que finalement, c'est eux qui devraient être "récompensés" de votre malhonnêteté, vous allez rester tout l'après-midi dans l'agence près de la porte !
Caroline se dépêche de remettre sa jupe et ses chaussures sans écouter vraiment le directeur.
- Vous expliquerez à chaque client pourquoi vous êtes punie et ce que vous avez fait !
- Votre directeur d'agence vous attend pour déjeuner. Il est au courant, il vous expliquera la suite ! Caroline ne dit pas un mot, elle va chercher son sac et son manteau. Elle sait qu'il ne sert à rien de demander ses sous-vêtements et quitte le siège sans les reprendre.
Pendant le trajet, elle se demande comment elle va expliquer ce qu'elle a fait, aux clients, et surtout comment leurs avouer qu'elle est punie. Lorsqu'elle arrive à l'agence, son directeur l'attend, il l'emmène aussitôt manger. Sur le trajet il lui dit qu'il est au courant pour les sous-vêtements qu'elle a acheté en allant au siège, et lui conseille de ne pas avoir recommencer sur le retour. Caroline lui jure que non, mais il vérifie par lui même. Sans que Caroline ne s'y attende, il soulève l'arrière de sa jupe, Caroline étouffe un cri pour ne pas alerter les gens autours.
- Je pourrais vous demander de vérifier, pour votre soutien-gorge, mais on verra ça plus tard !
Ils entrent dans le restaurant, Caroline rouge de honte, est persuadée que des clients ont pu constater qu'elle ne porte pas de culotte. Pendant tout le repas, son directeur lui parle de sa punition et de ses sentiments, mais Caroline reste muette. Cela agace le directeur et en sortant du restaurant, il attrape Caroline par le bras, juste sous l'aisselle et marche rapidement vers l'agence. Caroline a du mal à le suivre avec ses talons, et est trainée derrière lui sous les regard médusés des passants. Les collègues de Caroline sont déjà là et voient arriver Caroline ainsi.
- Allez déposer votre manteau et votre sac dans votre bureau et revenez-ici !
Caroline revient tête baissée.
- On vous a expliqué ce qui va se passer cet après-midi ?
Caroline répond oui de la tête.
- Bon, alors, vous allez vous mettre là ! Le directeur place Caroline face à la porte, en la tenant par les épaules.
- Et maintenant, nous allons vérifier si vous portez un soutien-gorge !
Caroline lève les yeux au ciel d'agacement et relève d'un coup sec le bas de son pull au dessus de ses seins nus.
- Laissez-le comme ça !
Le directeur vient ajuster le pull, devant et derrière, afin que les seins de Caroline soient bien dégagés et que le pull ne retombe pas.
- Vous le laisserez ainsi jusqu'à ce soir !
Caroline veut contester mais son directeur ne lui laisse pas le temps :
- Le directeur ne vous a pas tout dit ce matin ! Mais vous allez être encore largement punie ! Vous allez relever votre jupe et ne pas la lâcher de l'après-midi !
Caroline reste bouche bée, et doucement, sachant qu'elle ne pourra rien faire pour empêcher cela, elle découvre ses fesses, et ses collègues derrière elle constate que les marques de la fessée ne se sont pas encore estompées. Son directeur remonte la ceinture de sa jupe et relève aussi l'avant de sa jupe, ainsi elle est dénudée jusqu'au dessus du nombril.
- C'est ainsi que vous tiendrez votre jupe !
Caroline retient sa jupe en hauteur, elle sait qu'elle ne pourra rien cacher et que cette position et sa tenue défaite sera encore pire que d'être toute nue. Elle n'a pas le temps de se préparer à cette situation, que déjà un de ses client entre dans l'agence. Surpris, il reste quelques secondes les yeux rivés sur le bas de son ventre. Caroline n'ose pas lever les yeux et résiste à la terrible envie de rabattre sa jupe, mais plaque une mains sur sa toison. Le directeur s'approche :
- Et bien, Caroline, vous voyez bien que Monsieur ne comprend pas, expliquez-lui pourquoi vous êtes punie !
Sans relever la tête, Caroline est obligée de tout dire dans les moindres détails. Le directeur s'approche du client à la fin de l'explication :
- Caroline vous savez très bien que Monsieur doit voir parfaitement votre intimité pendant votre punition, il ne sert à rien de la dissimuler !
Lentement Caroline découvre son sexe. Elle ne pourra plus jamais recevoir ce client sans penser à ce qu'il a vu. Pendant tout l'après-midi, Caroline n'a pas eu le droit de bouger et doit répéter la même chose à ses clients. Après la fermeture, le directeur sert un verre dans son bureau auquel Caroline et ses collègues sont conviées. Après un passage aux toilettes pour remettre un peu d'ordre à sa tenue, Caroline entre dans le bureau habillée, mais son directeur en décide autrement, il pose son verre et se dirige vers Caroline :
- Votre punition sera totalement finie après ce pot ! Mais pour le moment ce n'est pas le cas !
Caroline lève ses bras quand son directeur tire son pull vers le haut.
- Je vous laisse le soin d'enlever seule votre jupe !
Caroline se met nue une dernière fois. Tous les regards glissent sur son corps alors qu'elle doit s'approcher de ses collègues pour prendre le verre que lui tend son directeur. Elle l'avale aussitôt d'un trait et en réclame un autre pour tenter d'oublier cette horrible journée. Le directeur n'hésite pas à faire des commentaires sur ses seins et rougeur de ses fesses et de ses cuisses. Il ajoute qu'elle a du en faire rêver plus d'un pendant cette journée. Une de ses collègues pointe le sexe de Caroline du doigt et dit que pour son âge, elle pourrait être plus à la mode et que le triangle même épilé court, ça ne ce fait plus ! Caroline est obligée de se justifier, et dire que si elle était encore punie, elle serait mieux épilée.

Lorsque ses collègues partent, elle a déjà bu plusieurs verres et semble ne plus être gênée d'être toute nue devant son directeur. Elle s'assoit lourdement dans un fauteuil, et laisse ses jambes volontairement écartées. Complètement libérée, elle laisse sa main glisser le long de sa cuisse. Le directeur rassemble ses affaires, gêné par l'attitude de Caroline, il fait semblant de ne pas la voir. Mais est obligé de relever la tête quand Caroline ferme les yeux et bascule sa tête en arrière. Sa main se dirige lentement vers son sexe et commence à le caresser. Il lui demande d'arrêter et de se rhabiller, mais Caroline continue de plus bel, et commence à se masturber.
- Je n'ai jamais eu autant honte de ma vie ! Mais quand j'y repense, j'ai une terrible envie de faire ça, alors que je ne l'ai pas fait depuis des années !
Sous les yeux médusés de son directeur, Caroline se laisse aller à ce plaisir solitaire...
- Si vous voulez, dorénavant, je ne viendrai qu'en jupe sans rien en dessous...
Le directeur croit rêver en entendant Caroline parler ainsi, et comprend qu'elle n'est pas capable de revenir chez elle avec sa voiture. Il lui propose de la déposer. Caroline accepte tout en continuant de se caresser. Le directeur lui répond qu'il faut y aller et lui lance ses vêtements. Caroline s'arrête et prend sa culotte. Assise dans le fauteuil, elle semble hésiter avant de la remettre. Le coeur battant de plus en plus fort, elle s'apprête à dire quelque-chose mais n'ose pas. Puis elle rassemble ses vêtements et se lève pour remettre ses chaussures.
- Il fait nuit dehors !
Le directeur ne comprend pas pourquoi elle dit ça :
- Oui, dépêchez-vous, il est tard !
Caroline pose ses vêtements sur le bureau. Le directeur s'impatiente et ouvre la porte pour signifier à Caroline qu'il doit partir :
- Dépêchez-vous où vous vous débrouillez pour rentrer !
- Vous êtes garé où ?
Le directeur se demande pourquoi elle demande ça, mais répond qu'il est garé comme d'habitude, sur le parking situé à deux rues. Caroline prend son courage à deux mains, puis regarde le directeur dans les yeux :
- Je mérite d'être punie jusqu'au bout de la journée ! Ramenez-moi sans mes vêtements !
Caroline baisse les yeux honteuses de ce qu'elle vient de dire.
- Vous voulez aller dans la rue complètement nue et que je vous dépose chez vous comme ça ? Caroline fait un signe de tête, et quitte le bureau décidée. Le directeur hésite un instant, pris à son propre jeu, puis redevient autoritaire :
- Très bien, puisque c'est ainsi ! Sortez de l'agence et attendez-moi sur le trottoir !
Caroline regrette presque son choix, mais sort dehors. Eclairée par l'enseigne, en pleine rue, elle se sent encore plus nue que jamais. Le directeur ferme les bureaux et les lumières, Caroline est impatiente qu'il arrive. Il sort enfin, et attrape Caroline par le bras. Il la pousse devant elle, en direction de la voiture. Caroline ralentit quand elle voit un groupe de jeunes venir en face, mais le directeur ne se préoccupe pas d'eux. Sachant qu'elle va devoir passer juste à côté, Caroline se cache les seins et le sexe.
- Caroline, c'est vous qui avait voulu ça ! Alors, ne vous cachez pas !
Elle baisse la tête, quand les jeunes interloqués passent à côté d'eux. Elle monte aussitôt dans la voiture, dès que celle-ci est déverrouillée. Elle guide ensuite le directeur pour aller jusqu'à chez elle. Elle n'ose pas sortir seule de la voiture. Le directeur propose de la raccompagner à condition qu'elle lui offre un verre dans cette tenue. Ils sortent de la voiture, Caroline marche devant lui d'un pas rapide tout en cherchant ses clefs dans son sacs. Elle entre dans la maison sans que personne ne la voit. Elle lâche son sac, et va servir un verre à son directeur encore toute tremblante de ce qu'elle vient de faire. Le directeur ne perd pas sérieux et impressionne Caroline par son autorité.
- Montrez-moi votre garde robe, je vais vous dire comment vous habillez demain !
Caroline l'accompagne, et l'excitation retombée, elle se sent honteuse d'être nue et demande la permission de passer au moins une nuisette. Le directeur lui refuse catégoriquement et prend une jupe à carreaux dans la penderie.
- C'est votre jupe pour demain, avec ce chemisier blanc ! Vous ne mettrez rien en dessous, à part des bas que vous irez acheter avant de venir au bureau !
Caroline prépare ses vêtements sachant que les bas vont se voir avec cette jupe si courte, mais elle ne dit rien. Le directeur revient s'assoir dans le canapé pour finir son verre. Caroline s'assoit aussi et croise ses jambe ainsi que ses bras, ne sachant quoi dire. Encore troublée par cette journée, les sentiments se mélangent dans sa tête. Elle a honte comme jamais elle n'a eu honte, mais dans le bas de son ventre, c'est contradictoire. Elle n'attend plus qu'une chose, c'est que son directeur se décide à partir, pour aller s'allonger dans son lit et glisser sa main entre ses jambes jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il décide de se lever peu de temps après.
- Demain matin, dans mon bureau ! Je vérifierai votre tenue en détail...
Le directeur sort en claquant la porte. Caroline tombe aussitôt dans son lit en s'imaginant quelle serait sa prochaine punition, tout en espérant ne jamais la connaitre.

lundi 10 décembre 2012

Caroline, l'employée de banque

Caroline arrive comme d'habitude à huit heure trente, dans la banque où elle travaille depuis un an. Elle dit bonjour à ses collègues sans se douter que cette agréable matinée va très vite tourner au cauchemard pour elle.
Pourtant, elle n'a pas le temps de s'assoir à sa place que son directeur entre en furie dans la banque. Sans dire bonjour à personne, il pointe Caroline du doigt : 
- Mademoiselle H. dans mon bureau ! Tout de suite !
Caroline se lève et regarde ses collègue autours d'elle. Tous ont la tête dans leurs dossiers, et ne regardent pas Caroline s'enfermer dans le bureau. Le directeur est déjà assis, Caroline se dirige vers l'un des deux sièges face au bureau.
- Restez debout ! Je ne vais y aller par quatre chemins !
Le directeur lui tend un dossier, Caroline l'ouvre toute tremblante. Elle tourne les pages et constate avec horreur que son directeur à découvert le pot aux roses. Caroline pose son dossier sur le bureau, s'apprête à recevoir le ciel sur la tête, et essaye désespéremment de trouver une excuse.
- N'essayez pas de nier les faits, je sais maintenant de source sûre que vous avez détourné de l'argent à votre profit ! Caroline ne dit rien, malgré le silence du directeur, ses yeux restent fixés sur le dossier qu'elle vient de poser. Elle sait que le directeur n'a pas pu découvrir cela par hasard, et il ne sert à rien de mentir.
- Vous voilà dans un sale pétrain ! ... Quelle âge avez-vous ?
Sans détourner les yeux de son dossier Caroline répond qu'elle a 27 ans.
- 27 ans ! Et vous n'êtes pas assez mature pour encore faire des conneries comme ça ! Vous avez cru que ça ne se verrait pas ! Vous n'avez donc rien dans la tête... En tous cas, un séjour en maison d'arret, vous remettra les idées en place...
Caroline relève d'un coup les yeux vers le directeur en s'imaginant déjà en prison.
- J'ai deux propositions à vous faire... Le directeur se lève et commence à développer la première :
- Pous commencer, vous êtes licenciée, et si vous choisissez cette proposition, votre licenciement sera immédiat. Cependant vous ne rentrerez pas chez vous tout de suite, puisque j'appelerai les gendarmes qui viendront vous chercher et je porterai plainte. Bien sûr j'avertirai les clients que vous avez escroqués, et ils porteront eux-aussi plainte contre vous avec les conséquences que cela vous apportera. Et enfin, j'apellerai mon excellent ami journaliste qui fera un article sur vous dans le journal régionnal !!!
Le directeur traverse son bureau de long en large, les mains dans le dos, en observant un nouveau silence. Caroline essaye de prendre l'attitude la plus sereine possible, mais la rougeur de ses joues la trahissent.
- Et la deuxième solution, c'est quoi ?
- Si vous choisissez la deuxième, rien de ce que vous avez fait ne sortira de cette agence, je m'arrange pour que vos collègues ne disent rien non plus. Et pour les clients qui pourraient se rendre compte de vos méfaits, je vous couvre... Caroline ne dit rien, elle ne sait pas quelle sera la contrepartie de la clémence de son directeur, mais elle sait que ça lui demandera beaucoups d'efforts. Elle attend la suite avec impatience mêlée d'une certaine inquiétude. Son directeur fait les cent pas derrière elle, et brise le silence :
- Alors que choisissez-vous ?
Caroline hésite un moment puis se retourne :
- Ben, la deuxième... Mais...
- Mais quoi ? 
- Et après... On en reste là ?
Le directeur esquisse un léger sourire qui fait frémir Caroline, puis va s'assoir à son bureau.
- Mademoiselle H. Vous savez très bien que vous ne pouvez pas vous en sortir comme ça ! Je veux bien faire des efforts, mais il est normal que vous soyez punies... Alors si vous choisissez la deuxième solution, et je sais que vous choisirez cette solution car vous ne voulez pas avoir de problème avec la justice, je vais vous punir immédiatement !
Caroline de plus en plus inquiète, demande comment il compte faire. Le directeur s'assoit dans le fond de son siège et regarde Caroline droit dans les yeux :
- Remontez votre jupe au dessus de votre taille !
Après un petit moment de surprise, Caroline prend conscience de la situation :
- Mais vous êtes malade... Je... je ne vais m'offrir à vous, c'est du harcèlement...
- J'ai dit que j'allais vous punir, et pas autre chose... Maintenant soit vous relevez votre jupe où j'appelle la gendarmerie !!!
- Mais pour quoi faire ?... Vous voulez me foutre la honte de ma vie, en culotte devant vous ?
- Oui, vous n'avez pas tord, alors décidez-vous ?
- Ok, si il y a que ça, allez-y rincez-vous l'oeil !
Caroline attrappe le bas de sa jupe et la remonte de colère, puis la rabat rapidement.
Elle s'adresse sèchement au directeur.
- Voilà, ça vous a plu ?
- Alors pour commencer, vous baissez d'un ton. Si vous n'obéissez pas à mes ordres ou si vous me parlez encore une fois comme ça, c'est direction la gendarmerie !
Caroline baisse la tête.
- Maintenant, vous retirez votre jupe, puisque vous ne savez pas la garder en l'air !
Caroline se calme et implore le directeur du regard.
- D'accord, mais je n'enlève que ma jupe...
Caroline descend la fermeture tandis que le directeur passe derrière elle, puis elle la fait glisser. Ses fesses sont à peine découvertes qu'elle reçoit une violente claque au milieu des fesses. Caroline pousse un cri de surprise et lâche sa jupe qui s'enroule autours de ses chevilles.
- Avez-vous déjà reçu la fessée où cela va être votre grande première ?
Caroline reste bouche bée, incapable de prononcer la moindre mot. Elle réalise petit à petit la situation, son chef qui a vingt-cinq ans de plus qu'elle, va la punir comme une gamine. Jusqu'à présent elle le detestait au plus haut point, mais maintenant elle a de la haine pour lui.
- Courbez-vous sur mon bureau !
Caroline se penche doucement sur le bureau, ses fesses se tendent vers son chef, elle pose sa tête dans ses bras repliés et attend. La fessée commence, le directeur tape sur chacune de ses fesses et descend sur ses cuisses, là où Caroline n'est protégée que par son collant. Elle sert les dents pour ne pas crier, pourtant le directeur frappe de plus en plus fort. Ce qui inquiète Caroline, c'est le bruit des claques qui résonnent dans la pièce et que ses collègues peuvent entendre. Enfin le directeur arrête, Caroline se relève aussitôt et se frotte les fesses. Ses joues sont rouges, et ses yeux sont humides. Elle se baisse pour remonter sa jupe, mais le directeur lui dit de se relever immédiatement et de dégager sa jupe de ses pieds.
- Votre punition est loin d'être finie ! Venez par ici !
Le directeur attrape Caroline par le bras et la fait reculer de trois pas.
- Mains sur la tête !
Le directeur peut ainsi faire le tour de Caroline. Elle n'a jamais eu autant honte de sa vie. A cause de ses bras levés, son pull remonte au dessus de l'elastique de ses collants et son shorty se voit par transparence. Elle baisse les yeux quand son directeur se met devant elle, les mains sur les hanches et regarde en direction de sa culotte.
- Retournez sur mon bureau, nous allons continuez !
Caroline va se courber sur le bureau rassurée d'échapper à ses regards.
- Tenez l'autre extrémité du bureau et interdiction de lâcher sous aucun pretexte ! Le bureau est large, Caroline se met sur la pointe des pieds pour l'accrocher, et finalement quand elle l'attrappe, ses pieds ne touchent plus le sol. Le directeur sourit discrètement de la voir ainsi et avec le plus de détachement possible, il lui annonce :
- Maintenant, je vais baisser votre culotte...
Caroline se relève aussitôt et exprime son refus catégorique. Une grosse claque au milieu de ses fesses vient lui rappeler qui décide. Caroline se calme et baisse les yeux quand d'un regard sévère son directeur lui fait comprendre qu'elle n'a pas le choix. Elle essaye de détourner l'attention du directeur, en lui disant que c'est l'heure de l'ouverture de l'agence, mais cela se retourne contre elle.
- Vous avez raison, allez ouvrir la porte ! Et dites à vos collègue pourquoi vous êtes ainsi punie !
Caroline reste interloquée, tandis que le directeur ouvre la porte de son bureau. Deux collègues regardent machinalement et découvrent Caroline sans sa jupe.
- Dépêchez-vous, sinon, votre fessée, c'est dans l'agence que je vais vous la donner !
Malgré cette menace, Caroline ne réagit pas. Ce n'est que quand son directeur s'avance vers elle d'un pas décidé qu'elle sort de sa stupeur et dit au directeur qu'elle y va...
- Trop tard !
Le directeur l'attrappe par le bras et la sort de son bureau.
- Allez hop, fessée devant tout le monde dans l'agence !
Caroline se débat comme elle peut, ses autres collègues la découvrent dans cette tenue. La première chose qu'elle fait quand elle est emmenée dans l'agence, c'est de regarder si aucun client attend devant la porte vitrée. Heureusement pour elle, il n'y a personne.
- Calmez-vous Caroline ! Vous feriez mieux d'assumer votre punition et vous y soumettre sans réticence !
Le directeur explique à ses collaborateurs pourquoi elle est punie ainsi. Il sont tous outrés, et comprennent mieux la punition. Caroline se sent seule, et terriblement honteuse de ses actes. Elle s'est calmée et reste à côté du directeur, tête baissée, les mains mains croisées sous son ventre. Le directeur regarde sa montre puis se tourne vers Caroline :
- ça fait deux minutes que l'agence devrait être ouverte !!!
Caroline ne cherche pas à discuter davantage, elle profite qu'aucun client ne soit là et va ouvrir la porte. Tous ses collègues ont les yeux rivés sur ses fesses, elle se dépêche pour sortir de l'acceuil, mais le directeur ne compte pas la libérer tout de suite. Il y a deux fauteuils et une petite table, pour faire patienter les clients dans l'entrée. Le directeur va s'assoir sur l'un des deux fauteuils, tandis que Caroline retourne d'un pas décidé vers le bureau.
- Caroline, venez ici ! Vous avez oublié votre fessée !!!
Elle ne répond pas et passe devant le directeur, qui se lève d'un bond et l'attrape par le bras.
- Je vous en prie... Je reviens tout de suite, mais laissez-moi au moins remettre ma jupe...
- Pas questions ! Et croyez-moi, vous n'êtes pas prête de la remettre ! Et puis, de toute façon, elle ne vous servira à rien puisque je vais enlever votre culotte !
Caroline réalise aussitôt la situation et se débat pour échapper au directeur :
- Non, s'il vous plait ! Pas dans dans l'agence ! Pas devant tout le monde ! Je vous en prie... il va y avoir des clients !!
Le directeur ne prête pas attention à ce qu'elle dit et s'assoit dans le fauteuil tout en basculant Caroline sur ses genoux.
- Que vos collègues vous voient dans cette situation et assiste à votre punition, ne me gêne aucunement ! Et si des clients entrent, tans pis pour vous, vous leurs expliquerez vous même... Et maintenant, il est temps de découvrir vos fesses !!
Caroline se débat encore, mais n'arrive pas à se dégager de l'emprise de son directeur. Elle sent son collant glisser sur ses fesses puis sur ses jambes. Le directeurs descend l'élastique jusqu'à ses pieds puis attrape le voile qui est resté collé sous ses genoux et le fait glisser de sorte que ses collants soient complètement enroulés autours de ses chevilles. Caroline réalise que sa culotte va bientôt connaitre le même sort et tente encore de s'échapper.
- Non, s'il vous plait ! Pas ça... J'ai suffisement honte ! Pas ma culotte...
Le directeur attrappe l'elastique de son shorty et dénude d'un coup sec ses fesses, puis tout en le descendant le long de ses jambes en tirant de quelques centimètres de chaque côté, il lui dit :
- J'espère que vous avez honte ! C'est le but de cette punition ! Et ce n'est pas finit...
Quand son slip arrive à mi-cuisses, il commence la fessée. Caroline cesse de se débattre, ses yeux s'humidifient de honte. Ses fesses lui chauffent, mais l'humiliation qu'elle subie lui fait oublier la douleur. Lorsqu'elle relève la tête, elle s'apperçoit qu'un client entre dans le sas d'entrée. Caroline s'agite soudainement, mais il ne peut pas encore les voir. Un collègue de Caroline s'apprête à appuyer sur le bouton qui dévérouille la porte, mais le directeur lui dit d'attendre un instant. Il remonte le shorty de Caroline puis la relève :
- Ne vous inquiétez pas, vos fesses ne vont pas rester longtemps couvertes ! Mais pour l'instant vous allez servir ce client en collant !
La porte est dévérouillée avant que Caroline ne puisse réagir, elle réajuste son collant et se retrouve face au client. Incapable de prononcer un mot, après quelques secondes de surprise, elle fait demi-tour et s'enferme dans son bureau. Le client ne comprend rien et repart après avoir effectué un virement. Après quoi, le directeur arrive à ouvrir la porte. Caroline demande des excuses, mais le directeur lui coupe la parole :
- Sortez d'ici tout de suite !
Caroline passe devant le directeur et se retrouve une nouvelle fois devant ses collègues. D'un pas décidé le directeur la suit et d'un geste autoritaire, il attrape le bas de son pull et le remonte. Caroline se laisse faire et elle se retrouve en sous-vêtements dans l'agence. Elle ne sait pas ou se mettre, n'ose pas lever les yeux vers ses collègues.
- Contre le mur et vous baissez votre slip jusqu'à vos pieds !
L'ordre et sans appel, Caroline se colle contre le mur et descend son collant dans un premier temps puis fait glisser sa culotte qui tombe sur ses pieds.
- Mains sur la tête !
Caroline s'exécute sans pouvoir détacher son regard du sas d'entrée. La fessée reprend aussitôt. Le directeur passe son bras autours de ses hanches pour qu'elle se cambre un peu et frappe vigoureusement chaque fesse l'une après l'autre. Le haut de ses cuisses n'est pas épargné et rapidement le fessier et les cuisses de Caroline deviennent uniformément rouge. Sans arrêter la fessée le directeur lui ordonne de retirer son soutien-gorge. Jusqu'ici, Caroline avait réussit à contenir ses larmes, mais en faisant tomber son dernier vêtement, elle éclate en sanglot. Le directeur arrête la fessée :
- Allez, remontez votre culotte et ramassez vos vêtements !
Tout en grimaçant, Caroline remonte son shorty et ses collants puis ramasse ses affaires en se cachant les seins avec.
- Dans mon bureau. Vous déposez vos vêtements sur mon bureau, y compris votre slip et vous m'attendez toute nue. Caroline veut s'opposer à cette nouvelle sanction, mais le directeur ne lui laisse pas le temps de parler.
- Vous préférez peut-être vous déshabiller dans l'agence devant vos collègues ?
Caroline ne cherche pas à discuter d'avantage, elle ferme la porte et dépose ses vêtements avec sa jupe puis elle se déchausse et enlève son collant. Elle hésite avant de déposer son shorty sur le bureau, mais elle n'a pas le choix. Elle se demande ce qui va suivre, elle sait que derrière la porte ses collègues savent qu'elle attend le directeur complètement nue et rougit de honte. Quand elle entend la porte s'ouvrir, elle cache ses seins de son bras et son sexe d'une main, le directeur entre.
- Vous êtes très jolies ainsi, Caroline... Vos collègues seraient ravis de vous voir comme ça !
Le directeur s'assoit à son bureau et prend son téléphone :
- J'ai un coup de fil à passer, allez au coin en attendant !
Caroline se retourne et va vers le coin de la pièce, tandis qu'elle comprend que son directeur appelle le directeur régional :
- C'est bon, je l'ai punie... elle est dans mon bureau, là... oui, je pense qu'elle à bien compris....
Caroline devient rouge de honte et de colère, non seulement ses supérieurs étaient au courant de ses actes, mais eux-aussi savent comment elle a été punie...
- Oui, elle est toute nue... à non, je lui ai baissé sa culotte devant ses collègues, mais c'est tout... bon, je lui dit elle part de suite.
Le coeur de Caroline se met à accélérer, et elle ne put s'empêcher de tourner la tête vers son directeur pour lui lancer un regard interrogateur. Le directeur retire le shorty et le soutien du tas d'affaires de Caroline, et les range dans un tirroir, puis pose le reste sur la chaise face à son bureau.
- Vous êtes attendues au siège ! Une commission de nos dirigeants se réunit exclusivement pour vous... Ils veulent vous parler ! Vous avez avez une demi-heure pour aller la-bas !
Caroline devient blanche, elle revient vers ses vêtements, complètements abatue, mais sans oublier de se cacher.
- Pourquoi vous rangez mes sous-vêtements... je ne vais pas y aller sans !
- Vous viendrez les rechercher tout à l'heure. Pour le moment, vous n'en avez pas besoin ! Dépêchez-vous de vous habiller, ils vont vous attendre !
Caroline tourne le dos à son directeur pour s'habiller et quitte le bureau. Une demi-heure pour se rendre au siège, c'est juste. Elle court pour regagner sa voiture, puis, trop mal à l'aise, sans ses sous-vêtements, elle décide de s'arrêter au centre commercial. Elle prend le premier ensemble qu'elle trouve de sa taille et se rend aux caisses. Elle est obligée d'attendre car il y a plein de monde. Elle a l'impression que tout le monde remarque qu'elle n'a pas de culotte, ni de soutien et que ceux qu'elle tient dans ses mains vont bientôt la couvrir. Cela fait déjà vingt minutes qu'elle est partie au moment de payer. Elle court jusqu'aux toilettes, tout en défaisant l'emballage, pour les enfiler. Rassurée, elle reprend la route, mais arrive avec presque une heure de retard à cause de la circulation. Quand elle entre au siège, elle reconnait le directeur régionnal, il est visiblement impatient qu'elle arrive.
- Vous avez vu l'heure ! Dans votre cas, je me ferais un devoir d'être ponctuel !! Entrez dans cette salle... L'acceuil ne pouvait être plus froid, Caroline savait que cette journée qui avait si mal commencé allait continuer. Elle entre dans la salle et constate qu'une dizaine de personnes sont déjà assises, elle salue ces gens qu'elle ne connait pas. Personne ne se présente et elle comprend qu'ils sont des responsables de la banque pour laquelle elle travaille. Elle voit qu'il y a deux femmes, tous les autres sont des hommes de tous âges. Le directeur la suit et lui dit sêchement d'aller au centre des tables formant un U.

lundi 3 décembre 2012

Conseil de discipline

En sortant du conseil de discipline, Caroline se demandait comment elle pouvait en être arrivé là. Depuis des 
années qu'elle était dans cette école, elle ne s'était jamais imaginée être dans cette situation. Elle savait comme 
tous les élèves quelle était la punition pour les actes les plus graves, mais elle pensait qu'elle y aurait toujours 
échappé et s'en voulait terriblement.

Le conseil avait été unanime, une punition du vendredi lui été réservé. Elle savait trop bien ce qu'était une punition 
du vendredi pour y avoir si souvent assisté. Il lui restait deux jours à angoisser avant cette terrible épreuve.
Pourtant elle s'était préparée pour ne pas se faire prendre, elle s'était organisée depuis plusieurs semaines en prenant le 
moins de risque possible, tout devez bien fonctionner. Mais cette nuit là, elle n'avait pas prévu que le directeur 
n'arriverait pas à dormir. Et au moment où elle était installé au bureau, dans la salle des profs, pour changer les 
notes de son examen de fin de premier trimestre comptant pour son diplôme, le directeur avait ouvert la porte 
brusquement la prenant en flagrant délit.
Il avait été aussi surpris que Caroline dans un premier temps, ne comprenant pas pourquoi elle était ici. Mais en 
s'approchant, sa surprise se transforme en colère tandis que Caroline essaye maladroitement de ranger le dossier. 
Bien-sûr elle n'a pas pu nier longtemps.
Très en colère, il l'avait raccompagné jusqu'à sa chambre en la réprimandant et en la tenant par l'oreille tout en 
claquant ses fesses à travers sa chemise de nuit.

A part à sa meilleure amie, elle n'avait parlé à personne du conseil de discipline, trop honteuse d'elle. Celle-ci était 
compatissante même si elle lui dit qu'elle l'avait bien cherché. Caroline ne le savait que trop, elle regrettait 
amèrement son geste, mais c'était impossible de revenir en arrière.

Le vendredi matin, elle n'a pas besoin de son réveil, cela fait des heures qu'elle est éveillée, bien trop anxieuse pour 
dormir. Elle déjeune à peine, puis prend sa douche. Puis vient le moment du casse-tête pour s'habiller. Elle laisse 
tombé ses strings habituels pour une culotte noir opaque et couvrante. Elle hésite ensuite à enfiler des collants, qui 
lui permettrait d'avoir une couche de protection supplémentaire, mais finalement choisit des bas clairs pour être 
moins ridicule. Depuis qu'elle est dans cet établissement, une seule fille a été punie. Elle se rappelle du moment, où 
sa jupe a été relevée, et cette image lui fait horreur. Elle s'en veut de ne pas avoir acheté des collants noirs opaque, 
depuis deux jours, elle aurait du y penser et peste contre elle-même. Enfin elle prend sa jupe de l'établissement la 
plus ample, et son traditionnel chemisier blanc et sa veste noir obligatoires durant les cours.

Elle a la mine des mauvais jours en arrivant au lycée, heureusement son amie est là pour la réconforter. La matinée 
passe à une vite folle et déjà Caroline doit se diriger vers la salle de réunion.
Lorsqu'elle entre dans la salle plusieurs classes sont déjà installées, elle sait qu'elle doit se rendre à l'avant de la 
salle. Elle est rassurée de voir qu'elle n'est pas la seule à être punie ce jour là. Deux garçons qui sont déjà passés 
par là attendent de monter sur l'estrade. Caroline s'approche timidement tandis que le surveillant les conduit vers 
les trois chaises prévues pour eux.
Quand ils voient Caroline s'assoir à côté d'eux, les deux garçons sont surpris, mais n'ose pas lui adresser la parole, 
ce qui arrange Caroline. La salle est pleine quand le directeur appelle le premier puni. Celui-ci se lève péniblement, 
et se dirige vers la table. Presque habitué, il défait son jeans et reçoit une sévère fessée par dessus son caleçon, 
puis retourne à sa place. Caroline s'en veut d'avoir tant apprécié les punitions précédentes, aujourd'hui, bien qu'un 
de ses camarades soit en caleçon juste devant elle, elle y prête à peine attention. Le deuxième puni le suit et 
obtient la même punition.
Caroline voudrait disparaitre à ce moment, son compagnon d'infortune remet son pantalon et elle sait que ça va 
être à son tour, elle a l'impression que son coeur va sortir de sa poitrine. Contrairement à d'habitude, le directeur 
libère les deux garçons, avant de congédier Caroline, il précise tout de même aux deux garçons qu'ils seront collés 
deux heures dans son bureau à la fin de l'assemblée. Elle reste seule sur l'estrade avec le directeur.
Au lieu de dire à Caroline de venir s'installer, le directeur explique pourquoi Caroline est punie. Jamais il ne fait 
cela, mais cette fois-ci, il explique en détail, ce qu'elle a fait et comment il l'a surprise. Caroline est rouge de honte, 
tandis que le directeur annonce qu'il doit infliger une punition exceptionnelle, à la mesure de ce qu'a fait Caroline.

Tremblante comme une feuille, Caroline doit venir se coller à la table. Le directeur lui demande de retirer sa veste 
de l'établissement, il ajoute qu'elle ne mérite plus de la porter jusqu'à nouvel ordre. Elle se courbe ensuite sur la 
table, tandis que le directeur pose une strappe juste à côté de son visage. Caroline croit découvrir ce que le 
directeur entendait par punition exceptionnelle. 
Elle sert les dents en s'attendant à recevoir la strappe sur ses fesses.Elle pousse un cris quand elle sent sa jupe se 
relevé. ça y est le plus dur est fait se dit-elle. Sa culotte noire, ses bas, et ses cuisses nues sont totalement exposés 
à l'assemblée, elle ferme les yeux pour contenir sa honte, tandis que les premières claques arrivent sur ses fesses 
sans qu'elle ne s'en rende totalement compte.

Après avoir absorbé sa honte, elle sent de légers picotements sur ses fesses qui commencent à chauffer. Le 
directeur claque avec sa main sur chaque fesse chacune leur tour. Caroline réalise qu'il n'a pas prit la strappe 
finalement ce qui la rassure. Mais elle a l'impression qu'il est beaucoup plus dur avec elle, qu'il ne l'a été avec les 
deux garçons. 
La fessée est moins rapide, mais à chaque claque tout son corps est bousculé. Ses fesses commencent vraiment à 
lui faire mal, elle agrippe l'autre extrémité de la table pour contenir la douleur. A ce moment, elle ne se rend même 
plus compte qu'elle est en culotte devant tout son lycée, elle attend en contenant ses larmes que cette terrible 
fessée s'arrêtent enfin. Le visage de Caroline n'est plus que grimace à chaque claque.

Quand la fessée s'arrête, elle reprend son souffle puis commence à se relever, mais le directeur l'arrête en lui 
appuyant sur le dos, pour qu'elle plaque sa poitrine sur la table, puis il saisit la strappe. Elle écarquille les yeux, en 
le voyant prendre cet instrument, elle sait que ses fesses ne supporteront pas une autre correction. Pourtant la 
strappe s'élève et s'abat violemment au milieu de ses fesses. Caroline porte aussitôt ses mains dessus pour les 
frictionner, et se rend compte que sa jupe s'est rabattue lorsqu'elle a essayé de se relever, ce qui la rassure quelque 
peu.
- Enlevez vos mains, si vous ne voulez pas recevoir la strappe dessus !
Le directeur est si autoritaire que Caroline obéit avec précipitation. Un deuxième coup arrive sur sa jupe tout aussi 
violent.
Puis la crainte qu'avait Caroline se réalise, elle sent que sa culotte va bientôt être de nouveau le centre d'intérêt de 
toute la salle. Le directeur pose la strappe sur son dos et décolle Caroline de la table pour dégager sa jupe. Mais au 
lieu de la relever comment elle s'y attendait, il défait la fermeture et la laisse tomber autours de ses chevilles. Sans 
savoir, ce que le directeur lui réservait, Caroline croit être au comble de la honte.
- Je vous ai annoncé une punition exceptionnelle, nous y voilà...
Le directeur laisse passer un long silence pour que tout le monde soit attentif, ce qui fait son effet. Le coeur de 
Caroline bat à tout rompre, elle se demande ce que le directeur lui réserve. Toute l'assemblée est accrochée à la 
bouche du directeur, on entendrait une mouche voler.
- C'est une première dans l'établissement, mais vu la gravité de la situation, je suis obligé punir ainsi... Je suis 
obligé de baisser votre culotte pour la suite de la fessée !
Un brouhaha s'élève dans la salle, Caroline ne saisit pas tout de suite, elle n'ose pas y croire. Des chuchotements 
s'échangent entre les élèves se demandant si le directeur est bien sérieux. Après quelques instants des regards 
pétillent, impatient que la fessée recommence. Certains garçons se penchent pour mieux voir, d'autres se lèvent 
carrément dans le fond de la salle pour ne rien louper.
Caroline est toujours courbée sur la table, réalisant peu à peu qu'elle va être déculottée. incapable de faire le 
moindre mouvement, complètement tétanisée, elle reste courbée sur la table, alors que les pouces du directeur 
s'insère sous l'élastique de sa culotte. Il commence à baisser l'élastique, lorsque la moitié de ses fesses sont 
découvertes, Caroline essaye d'attraper son slip, mais une tape sèche sur sa main l'en dissuade. Le directeur 
descend lentement sa culotte, Caroline sent sa gorge se nouer. Elle serre les fesses trop consciente de ce qu'elle risque 
de montrer dans cette position. Il ne se contente pas de dénuder ses fesses, mais descend encore plus bas et 
s'arrête , pour laisser son slip au dessus de ses mollets.
Le directeur reprend sa strappe et s'écarte de Caroline. Le spectacle pour les élèves est irréel, avec sa jupe en 
corolle autours de ses pieds, sa culotte enroulée sous ses genoux, ses jambes tremblantes gainées de ses bas et 
ses fesses nue qui commencent à rosir, elle restera un moment l'image du fantasme pour beaucoup de ses 
camarades.

- Caroline, vous êtes collée à partir d'aujourd'hui et pour les quatre vendredi après-midi qui viennent. Vous 
repasserez tous vos examens, sous ma surveillance, dans mon bureau. Et lorsque vous ne serez pas en examen, 
vous passerez vos heures de colle, au coin face à mon bureau, les mains sur la tête ! Cela vous permettra de 
méditer sur vos actes impardonnables... Et vous constaterez que mon bureau est un vrai moulin, en effet je 
consacre le vendredi après-midi à mes rendez-vous ! être au piquet à votre âge, devant mes visiteurs sera une 
punition supplémentaire amplement méritée...

Caroline n'a pas le temps de s'apitoyer sur son sort, le directeur est revenu vers elle et a abattu sa strappe sur ses 
fesses sans aucune protection. Un deuxième coup arrive sur sa cuisse puis sur l'autre. Caroline ne se retient plus de 
crier, elle agrippe de toutes ses forces la table. Deux belles marques ses dessinent sur ses cuisses tandis que ses 
fesses sont rouge sur toute la surface. La déferlante continue, les fesses que Caroline gardait si serrées au début, 
s'écartent puis se resserrent au moment de l'impact sans se préoccuper de ce qu'elle offre. Si bien que quand le 
directeur termine la punition, ses jambes tendues sont légèrement écartées laissant apercevoir ses lèvres et sa 
vulve légèrement ouverte, ce que le directeur ne manque pas de faire remarquer.
- Veuillez garder une peu de dignité, Mademoiselle ! Vous n'êtes pas obligée d'offrir votre entrejambe à la vue de 
vos camarades...
En sanglot, elle se relève péniblement, privant les élèves de ce magnifique spectacle, rougissant si c'est encore 
possible après ce que vient de révéler le directeur.
Sans nul autre avertissement, le directeur vient poser un genoux juste derrière Caroline et termine de lui baisser sa 
culotte.
- Vos fesses nues resteront exposées pour la journée !
Le directeur attrape la cheville de Caroline pour lever son pied afin d'enlever sa jupe et sa culotte. Complètement 
hébétée par ce qui vient de se passer, Caroline se laisse faire, elle sèche ses larmes puis regarde le directeur plier 
soigneusement sa jupe et enrouler sa culotte dedans.
- Allez au fond de l'estrade, maintenant ! A genoux et les mains sur la tête !
En reprenant conscience de la réalité, morte de honte, Caroline va se mettre dans la position imposée.

Les élèves sont libérés, ils se lèvent dans un vacarme assourdissant, incapables de rester calme après ce qu'ils 
viennent de voir. Il sortent ensuite non sans jeter un dernier regard à la croupe de Caroline. Petit à petit, le calme 
revient, Caroline ne bouge pas, elle croit être restée seule avec le directeur.

- Vous me suivez dans mon bureau tous les trois !

Surprise, Caroline se retourne et ses mains quittent sa tête. Son sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle reconnait les 
deux autres garçons punis et prend conscience qu'ils sont eux-aussi collés. Voyant son hésitation, le directeur la 
rappelle à l'ordre :
-S'il faut que je vienne vous chercher, c'est une autre fessée qui vous attend dans mon bureau !!
La gorge sèche, Caroline supplie le directeur de lui redonner sa culotte, ce qui le fait sourire :
- Mademoiselle, je vous l'ai déjà dit, votre culotte est confisquée... Vous n'allez risquer de recevoir une autre fessée 
pour ça... Ces deux jeunes gens, voient déjà vos fesses et vous leur avait fait montrer bien plus, tout à l'heure ! 
Dépêchez-vous !

Les deux garçons comprennent que le directeur n'aura aucune pitié pour Caroline, et que leur colle, va se 
transformer en deux heures très agréables.
Péniblement, Caroline se lève et suit le directeur, tête baissée. Les deux garçons marchent derrière elle profitant au 
maximum du spectacle. Durant tout le trajet, elle n'enlève pas ses deux mains plaquées sur sa toison. En entrant 
dans le bureau, le directeur s'occupe des garçons. Il les installe à sa table de réunion et leur donne des exercices à 
faire. Pendant ce temps, Caroline attend patiemment, trois quart tournée, elle scrute le bureau, impressionnée par 
les dimensions de la pièce.
- A votre tour Caroline ! Pour vous, pas exercices, ni d'examen aujourd'hui... Juste une séance au piquet, pour vous 
faire réfléchir à vos méfaits !!! 
Le directeur va chercher un tabouret pliable qu'il installe au centre du bureau.
- Voilà, vous allez méditer ici, à genoux le temps que les garçons fassent leurs exercices...
Caroline ne voit pas comment elle va pouvoir tenir aussi longtemps sur un si petit tabouret. Déjà les dix minutes 
sur l'estrade lui ont paru durer une éternité, mais le directeur ne lui laisse pas le choix :
- Si vous posez un pied par terre, je me servirais du tabouret pour vous basculer sur mes genoux et vous donner la 
fessée devant vos deux compagnons de punition !
La simple idée de recevoir la fessée juste sous les yeux de ses deux gars, lui donne des frissons, et elle se dit 
qu'elle tiendra coûte que coûte.
Elle s'apprête à se mettre à genoux, en tournant le dos au bureau du directeur, et aussi aux deux garçons mais le 
directeur l'arrête.
- Un instant, s'il vous plait, je n'ai pas finit d'énoncer votre sanction...
Caroline comprend que la suite ne va pas lui plaire. Elle constate que les garçons derrière le directeur, ne sont pas à 
leurs exercice, mais plutôt pendus aux lèvres du directeur.
- Tout à l'heure, je vous ai dit que vous ne méritiez plus de porter l'uniforme de l'établissement, c'est pourquoi je 
vous ai fait enlever votre veste. Vu le monde dans l'assistance, je n'ai pas voulu faire de même pour votre chemisier à 
l'éfigie de l'établissement. Mais maintenant que nous somme en comité restreint, vous allez me le remettre !
Comme si cela ne suffisait pas d'avoir les fesses à l'air, il faut maintenant que Caroline enlève son chemisier. Elle 
bouillonne à l'intérieur, mais elle sait qu'elle n'aura pas le choix. Elle enlève ses boutons, de rage, elle manque d'en 
arracher un, puis tend sèchement le chemisier derrière elle.
Le directeur lui arrache des mains tout en lui assenant une sévère claque sur les fesses et en haussant le ton :
- Calmez-vous Caroline ! Si vous êtes punie ainsi, vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous ! Et si vous tenez tant 
à la recevoir votre fessée, dites-le tout de suite !!!...
Autant surprise par la claque que par la réaction du directeur, elle s'excuse platement tout en se frottant la fesse 
qui la brûle.
- Bon, à genoux maintenant !
Caroline s'installe et pose ses fesses sur ses talons. Le directeur la reprend aussitôt pour qu'elle lève les fesses. Elle 
doit rester juste sur ses genoux, les pieds dans le vide, bien droite ce qui ne la rassure pas pour la suite des 
événements. Elle ne croit pas pouvoir rester deux heures dans cette position si inconfortable.
- Quand à ça, ce n'était pas prévu, mais vu votre réaction, je ne pense pas que vous méritiez de le garder !
Caroline pose machinalement ses mains sur sa poitrine, tandis que le directeur dégrafe son soutien-gorge et lui 
enlève. C'en est trop pour Caroline qui éclate en sanglot, ce qui n'attendrit pas le directeur.
- Mains sur la tête et vous ne bouger plus !
Caroline s'exécute aussitôt, hormis ses bas et ses chaussures, elle est punie nue dans le bureau du directeur. Elle 
se rappelle soudain que quelqu'un peut entrer à tout moment et constate complètement désemparée qu'elle est 
juste face à la porte. Cette pensée la quitte, quand elle sent le tabouret sur lequel elle est, tourner vers la droite. 
Elle manque de tomber, et se rattrape à un meuble.
- Je veux vous avoir à l'oeil... et mettez vos mains sur la tête !
La première chose qu'elle remarque, ce sont les yeux écarquillés des deux garçons. Elle baisse la tête pour pleurer 
et se dit que sa punition et vraiment trop dur. Malgré l'envie de se couvrir de ses mains, elle les garde sur sa tête, 
laissant ses trois regards masculins la détailler.

Au bout d'une heure et quart, Caroline commence à gesticuler dans tous les sens. Ses genoux, lui font horriblement 
mal, elle ne sait plus comment se mettre. Ses grimaces en disent long, pourtant elle essaie de tenir encore. De 
temps en temps, elle enlève une main de sa tête, pour la porter à ses cuisses, puis la repose précipitamment sur la 
tête de peur que le directeur se fâche. Son attitude amuse les deux garçons, quant au directeur, il ne lui prête pas 
attention et reste sans pitié pour elle.
Après un long moment ainsi, n'y tenant plus elle pose un pied par terre sans vraiment le vouloir, comme si elle ne 
pouvait plus maitriser sa jambe. Elle lève aussitôt la tête vers le directeur et essaye de se remettre vite à genoux, 
mais finalement, c'est trop dur pour elle, elle se met debout, et lance un regard implorant vers le directeur.
- S'il vous plait... ne me donnez pas la fessée !
Le directeur se lève, Caroline tient à peine sur ses jambes, les larmes lui coulent sur les joues.
- Je ne pouvais plus tenir...
Le directeur s'approche et elle se voit déjà allongée sur ses genoux juste devant les deux garçons, mais au lieu de 
ça, le directeur ramasse le tabouret. Tremblante d'inquiétude, elle le regarde faire, les deux mains posées sur la 
toison.
- Une fessée serait bien sévère, vous avez eu le mérite de tenir un long moment en pénitence !
Le directeur la prend par les épaules et la conduit vers la table des garçons, ses cuisses viennent se coller à l'autre 
extrémité face aux garçons.
- Deux claques sur chaque fesse suffiront !
Caroline doit se courber jusqu'à ce que le bout de ses seins effleurent la surface de la table, à quelques centimètres 
des yeux des garçons Voyant le regard attirés des deux garçons, elle porte ses mains devant ses seins, tandis que 
le directeur lui administre deux bonnes claques sur une fesse, puis change de côté.
La douleur de la fessée précédente n'est pas longue à revenir.
Caroline ferme les yeux, tandis que le directeur s'occupe de se deux!ème fesse. Puis il la redresse en la tirant par 
les poignets.
- Bougez pas, vous allez finir votre pénitence ici, les mains dans le dos !
Caroline renifle et regarde le mur droit devant elle. Elle sait qu'à moins d'un mètre des garçons, elle ne peut rien 
cacher. Même son triangle de poils parfaitement épilé, est à la hauteur des garçons.
Pendant presque une demi-heure, leurs yeux font la navette entre leurs copies et le sexe de Caroline, qui malgré 
ses jambes serrées, ne peut cacher la naissance de sa fente, et ses lèvres sous sa toison.
Elle ne s'est jamais sentie si humiliée, et c'est un soulagement, quand le directeur libère les garçons qui quittent 
leur punition à regret.