La nuit de Caroline fut particulièrement agitée. Elle s'en voulait d'avoir été aussi odieuse avec son professeur de Mathématiques. Bien que celui-ci soit aussi sévère et antipathique, elle n'aurait jamais du parler de lui ainsi. Elle se dit qu'elle mérite bien ce qui lui arrive. Pourtant en passant les portes de l'établissement, elle a la boule au ventre. Le lycée est encore vide, seul le directeur est arrivé, elle voit que la lumière de son bureau est allumée. La porte est ouverte, elle s'approche à petits pas pour signifier sa présence. L'accueil est glacial, ce qui ne la rassure pas.
Le proviseur s'approche d'elle d'un pas décidé, elle croit un instant qu'elle va recevoir un gifle, mais il la prend par la veste au niveau de l'épaule pour l'emmener jusque devant son bureau.
Décontenancée, Caroline remet sa veste correctement, ses jambes tremblent elle s'assoit sur la chaise.
- Restez debout ! Et enlevez-moi cette veste !
Caroline se lève aussitôt, elle retire sa veste sans comprendre, le proviseur lui arrache des mains et pointe du doigt l'écusson de l'établissement brodé dessus.
- Vous n'êtes pas digne de porter cette veste !
- A partir de maintenant et jusqu'à ce que je le décide, vous êtes punie. Le soir après les cours, vous aurez 2 heures de colle, ici dans mon bureau. Vous en profiterez pour travailler sur vos leçons et faire un exposé sur la tolérance que vous présenterez vous-même à l'ensemble des élèves.
Caroline savait qu'elle allait être sanctionnée et accepte la punition le plus poliment possible.
- Ce n'est pas tout, dans la journée vous profiterez de vos temps libres pour méditer sur vos actes et les conséquences que cela implique. Pendant les pauses, vous resterez sous le préau, le midi, vous mangerez seule à une table et les heures ou vous n'aurez pas de cours, vous irez dans la salle de permanence.
Elle se demande combien de temps va durer cette punition. Le fait de manger seule à une table à la cantine et rester isolée pendant les pauses l'inquiète par rapport à ce que vont penser les autres. Caroline est assez discrète et le fait d'être mise en avant ainsi ne lui plait pas. Le proviseur continue :
- Lorsque vous serez sous le préau, ainsi que dans la salle de permanence, vous irez vous placer face au mur. Vous vous y mettrez à genoux et poserez vos mains au dessus de votre tête. Et ce du début à la fin de la séance.
Caroline relève la tête en se demandant si le proviseur est sérieux. Vu son visage remplit de colère, elle comprend rapidement qu'il ne plaisante pas. Elle ne s'imagine pas rester ainsi :
- Monsieur... Je ne vais pas me mettre à genoux devant tout le monde !!!
Le proviseur reste impassible.
- Bien sur que si. Je tiens à ce que vous vous souveniez de cette punition. Et le fait que tout le monde vous voit punie fait intégralement parti de cette punition. Elle n'en sera que plus sévère pour vous et pour les autres cela servira d'exemple.
Caroline se sent mal, elle sait que le proviseur ne reviendra pas sur sa punition.
- Il y a un écusson sur votre jupe et sur votre polo ?
Sans s'en rendre compte, Caroline passe la main sur l'écusson de son polo sans répondre.
- ça vaut aussi pour ses vêtements Enlevez-les !
Après un moment de stupéfaction, Caroline refuse. La gifle qu'elle croyait recevoir en entrant arrive sur sa joue sans qu'elle ne la voit venir. Elle se tient la joue et lève ses yeux embués vers le proviseur. Sa main est levée comme pour lui en donner une deuxième.
- Enlevez votre jupe et votre polo !
Caroline pleure cette fois-ci, elle n'arrive pas à le faire. La main du proviseur s'abat sur la même joue. Son visage est rouge, et ça lui chauffe.
- Vous en voulez une troisième ? Dépêchez-vous !
Caroline défait la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pied et déboutonne son polo. Pendant qu'elle l'enlève le proviseur ramasse sa jupe et lui prend ensuite son polo. Elle croise ses bras sur ses épaules et baisse la tête.
- Voilà votre tenue pour la durée de votre punition ! Vous viendrez me donner vos vêtements tous les matins et les reprendrez avant de partir le soir.
Caroline fond en sanglots, tandis que le proviseur va ouvrir la porte.
- Allez en cours maintenant !
Caroline sort du bureau à petits pas, ses bras cachent toujours sa poitrine. Elle s'apprête à devoir sortir avec juste cet ensemble soutif et culotte blanche simplement recouverte de son collant transparent.
6 commentaires:
Chouette : PASCF de retour !
Vivement La gazette 3
JE VOUS ATTENDAIS AVEC IMPATIENCE MERCI DE VOTRE RETOUR
JE PENSE QUE LES FESSES DE CAROLINE VONT ENCORE ROUGIR ET SA PUDEUR MISE A MAL VIVEMENT LA SUITE
Bonjour Pascf.
Merci pour ces deux nouveaux textes. Ils reprennent les aventures de Caroline, pour notre plus grand bonheur. J'espère que vous ne resterez plus aussi longtemps sans publier.
Merci encore.
Elena
Bonjour,
Merci pour vos commentaires.
En effet, je n'avais pas publié depuis un moment...
Mais la troisième partie de cette histoire est en cours...
Bonjour,
Je suis véritablement ravi de retrouver vos récits emplis d'excitation et d'humiliation... Un vrai bonheur !
Est-il possible de vous suggérer des histoires déjà écrites, à améliorer ou à poster directement ?
Toujours dans le même thème, bien entendu...
Bonne journée à vous !
Bonjour,
Oui vous pouvez bien sur m'envoyer des histoires.
Bonne journée
Enregistrer un commentaire