mardi 21 juin 2016

Excès de vitesse

Caroline prend ses fonctions dans sa nouvelle agence ce matin. Comme d'habitude, elle est en retard. Sur le trajet, elle accélère un peu plus. Elle ne peut pas se permettre d'être en retard dès le premier jour. Ses collègues et son chef avaient auparavant l'habitude, mais là elle en connait personne.
Son sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle voit un gendarme dans le milieu de la route. Elle sait qu'elle roulait trop vite. Quelques kilomètres heure au dessus, mais en agglomération ça ne pardonne pas. Une amende et encore deux points de moins. Elle fait rapidement le calcule et se reproche de ne plus en avoir que quatre. Mais ce qui l'inquiète le plus, c'est que vingt minutes se sont passées, et maintenant, elle est largement en retard. Elle a entendu son téléphone sonner plusieurs fois, mais n' pas osé répondre.

En sortant de la voiture, elle court vers l'agence en écoutant ses deux messages. C'est son nouveau directeur qui lui demande des explications sur son retard. Le deuxième message est beaucoup moins courtois, elle se fait incendier de reproches. Elle coupe son portable, entre dans l'agence et découvre ses deux nouveaux collègues :
- Vous êtes Caroline ? Le directeur vous attend dans son bureau...

En plus de dix ans de carrière, elle n'a jamais pris un soufflante comme celle-là. Elle n'avait pas le temps d'en placer une. Elle avait du faire des efforts considérables pour ne pas se mettre à pleurer devant lui.
Lorsqu'elle ressort du bureau ses collègues baissent la tête. Elle s'enferme dans le sien, et tente de ses mettre au travail et d'oublier ce mauvais moment. Elle aurait préféré une meilleure entrée en matière pour son nouveau poste.

A midi, elle quitte le bureau pour rentrer chez elle. Comme à chaque fois, elle a un tas de choses à faire et lorsqu'elle regarde la pendule, il est déjà 13h10. Elle reprend à 13h30. Elle se fait chauffer un plat et mange sur le pouce pour repartir au travail. Dix minutes plus tard, elle prend ses clefs et son portable et constate avec horreur que l'heure affichée dessus annonce 13h40. La pendule s'est arrêtée, et elle ne s'en est pas rendu compte.

Elle démarre en trombe pour arriver le plus rapidement possible au bureau. Au même endroit que ce matin, un gendarme l'interpelle.
Elle est dépitée en ouvrant la fenêtre.
- Vous faites fort vous ! Deux fois dans la même journée...
Au bord des larmes, Caroline lui explique qu'elle est encore très en retard, que c'est sa première journée dans son nouveau travaille et que déjà ce matin, son chef l'a réprimandée fortement.
Le gendarme lui prend son permis et lui explique qu'il y a un retrait immédiat ainsi que 4 points de retirés. Caroline comprend que son permis est tout simplement annulé. Tout s'écroule, elle en a vraiment besoin pour travailler et dit au gendarme que ce n'est pas possible. Le gendarme lui dit de sortir de la voiture et part vérifier son permis. Caroline en profite pour appeler l'agence. Son collègue lui répond et lui dit que le chef n'est pas encore rentré. A moitié rassurée, elle raccroche et voit le gendarme revenir.
- Vous avez commis un délit de grand excès de vitesse en agglomération, j'imagine que vous connaissez les conséquences !
- De plus, j'ai vu que vous n'aviez plus de point sur votre permis...
Caroline s'appuie sur sa voiture pour ne pas défaillir et demande timidement si il peut oublier l'incident.
Le gendarme hausse le ton et demande si elle ne cherche pas à le corrompre. Caroline répond "non" de la tête et baisse les yeux sachant qu'elle n'obtiendra pas sa clémence.
- Vous finissez à quelle heure votre travail ?
- 18 heure !
- Bon, alors, j'ai quelque chose à vous proposez ! Je garde votre permis, et vous laisse repartir. Et après votre travail, vous vous présentez à la gendarmerie. Vous aurez quelques papiers à signer, puis en échange d'une bonne punition et quelques remontrances, je vous laisserez repartir avec votre permis et cet incident sera oublier.
Sans réfléchir d'avantage, Caroline accepte sans condition. Elle repart et lorsqu'elle arrive à son travail, elle constate avec soulagement que son chef n'est pas rentré. Elle se met vite au travail comme si de rien n'était.

A la fin de la journée, elle se rend à la gendarmerie avec une certaine appréhension. Quand elle se présente, une femme gendarme l'accueille dans un bureau et lui demande quelques signatures. Pressée par la gendarme, Caroline ne lit pas tout et signe. Elle lui demande son sac et lui dit d'éteindre son portable. Caroline pense à son mari et demande à l'appeler pour ne pas qu'il s'inquiète de son retard.
- ça ne sera pas très long, si vous faites tout ce qu'on vous dit !
La gendarme lui prend son portable des mains, elle range son sac et lui demande d'enlever sa veste.
Sans comprendre Caroline la retire et se laisse manipuler alors que la gendarme lui fait une palpation rapide. Ses mains lui sont tirées derrières le dos et elle sent le métal froid des menottes sur ses poignets. Caroline a un mouvement de protestation, mais déjà ses mains sont attachées.
- Désolée, c'est la procédure pour les garde à vue !
Caroline n'en croit pas ses oreilles, elle demande des explications mais n'obtient pas de réponses. La gendarme lui tient le bras et la conduit hors du bureau, elles traversent l'accueil tandis que Caroline baisse la tête, subjuguée par la honte. Lorsqu'elles s'arrêtent, elle relève la tête et constate que la gendarme ouvre une cellule à barreaux dans laquelle elle va être enfermée. Les menottes lui sont enlevées, la porte se referme derrière elle et la gendarme s'éloignent sans autres explications.
Caroline marche dans la petite cellule, il y a juste une petite banquette accolée au mur, les autres côtés sont fait de barreaux. Une autre cellule est accolée, juste séparées de barreaux, dans laquelle un homme, visiblement en état d'ébriété est enfermé. Dans le fond, c'est l'accueil de la gendarmerie où l'activité bat son plein.
Caroline s'assoit sur la banquette et prend sa tête dans ses mains. Elle reste de longues minutes ainsi n'osant croire ce qu'il lui arrive. Quand elle relève la tête, elle constate que l'homme à côté a soudainement pris conscience de sa présence, il est au barreaux en train de la regarder, ne comprenant visiblement pas pourquoi une jeune femme bcbg, peut être enfermée dans cette cellule.
Caroline détourne le regard, elle ne souhaite pas engager la conversation avec cet individu et ne répond pas quand il lui demande pourquoi elle est là. Après plusieurs tentatives, elle lui demande sèchement de la fermer et de l'oublier, ce à quoi il lui répond par des insultes.

Quand la gendarme revient vers elle, Caroline se lève d'un bond. Elle lui tend une lettre pliée en deux et lui dit de lire et de signer. Caroline s'empresse de la lire, elle pâlit en lisant chaque ligne. Le premier paragraphes est consacrés aux faits et à la sanction qui est normalement prévues. Le deuxième indique que tous les faits seront annulés et remplacés par l'acceptation et l'application immédiate de la  sanction citée en troisième partie.

La sanction prévoit un rappel des risques de la conduite dangereuse et un cours donné par un gendarme sur la conduite à adopter. Cette sanction sera appliquée immédiatement après la sanction principale.
Caroline n'en croit ses yeux, tout est clairement indiqué, si elle signe, elle accepte de recevoir une fessée par dessus ses sous vêtements, suivies de dix coups de strappe sur ses fesses nues. Il est aussi précisé que pour des raisons de pérennité des bienfaits de la sanction dans le temps, la fin de la punition sera donnée quand la contrevenante sera toute nue.

Prise de colère, elle déchire la lettre et profère des insultes en criant. Lorsqu'elle est calmée, elle s'assoit sur la banquette. la gendarme revient avec une nouvelle lettre.
- Je vous l'ai réimprimée ! C'est la dernière fois ! Si vous recommencez, on vous garde la nuit pour insulte à agent...
La gendarme la dépose sur le sol et tourne le dos. Caroline se lève d'un bond pour retenir la gendarme et espérer sa clémence.
- Je ne peux pas signer ça ! Vous avez lu ce qu'il y a dedans...
Sans se retourner, la gendarme lui répond :
- C'est moi qui l'ai écrit ! Vous faites ce que vous voulez, mais après ce que vous avez fait et dit, je vous conseille de signer...

Caroline relit la lettre une nouvelle fois et hésite un long moment. Dans le fond, elle constate que la gendarmerie ferme, quelques gendarmes se saluent et sortent, l'homme à côté s'est allongé sur la banquette. La gendarme qui l'a prise en charge s'apprête à sortir à son tour, Caroline l'interpelle pour la retenir.
- Dites-moi ce qu'il va se passer ?
- Tout est écrit dans la lettre, je peux rien vous dire de plus...
- Si je signe, c'est vous qui...
Caroline n'ose pas aller plus loin, mais la gendarme comprend.
- Non, mais si vous signez, je reste pour vous accompagner !

Caroline hésite encore et prend son courage à deux mains pour signer la papier. La gendarme emporte la lettre puis revient avec une chaise. Elle ouvre la cellule et la dépose au milieu. Caroline demande des explication, mais elle reste toujours aussi énigmatique et ressort de la cellule en silence.

Deux minutes plus tard, la gendarme revient accompagnée par les deux gendarmes qui l'ont arrêtée. Le premier se dirige vers la cellule d'à côté et frappe au barreau avec sa matraque pour le réveiller.
- La jeune femme à côté va être punie, vous préférez être transférer ou rester dans cette cellule ?
L'homme se relève sans comprendre totalement ce qui arrive et répond qu'il veut rester couché.
Caroline ne réalise pas tout de suite, ce n'est que quand les trois gendarmes entrent dans la cellule et referme la porte derrière eux qu'elle réalise.
- On ne va pas dans un bureau ?
- Non, vous ne sortez pas de la cellule avant la fin de votre punition !
- Ok, j'ai signé et j'accepte ce qu'il y a de notifié. Mademoiselle peut rester, je serai plus rassurée. Mais il n'y aura qu'un de vous deux pour la sanction, et pas ici et surtout pas de vent lui.
Caroline est surprise par tant d'autorité, tout est sorti d'un coup sans qu'elle en ait conscience. Mais son engouement est de courte durée.
- C'est ici, et en présence de nous quatre ! Sachez que si on vous punit ainsi, c'est justement pour que vous ayez honte...
Tout en finissant sa phrase, il frappe au barreaux pour s'adresser à l'homme à côté :
- Et vous, levez-vous et venez par ici c'est votre jour de chance...
Caroline voit l'homme arriver aux barreaux, tandis que le gendarme s'assoit sur la chaise et l'attrape par le bras.
- On va commencer doucement, par la fessée jupe relevée !
Caroline doit s'allonger en travers de ses genoux. Elle ferme les yeux lorsqu'elle sent sa jupe remonter le long de ses jambes. Le gendarme la retourne sur son dos en prenant tout son temps et en admirant ses fesses moulées dans une culotte en satin noir. il la replace sur ses genoux de façon à ce que ses pieds ne touchent plus le sol et que ses fesses soient remontées. Elle est obligée de poser ses mains par terre pour ne pas tomber en avant. Un frisson la traverse quand elle sent la main du gendarme se poser sur sa peau nue, entre sa culotte et la lisière de ses bas.
Puis la main se lève et vient s'écraser sur ses fesses. Le gendarme donne une claque sur chacune tour à tour. Les fesses sont protégées en parties par la culotte mais la zone mise à nue rougit très vite. Le gendarme s'applique justement à donner la fessée au niveau de l'élastique de sa culotte.
Caroline n'a pas rouvert les yeux, et reçoit sa fessée sans protestez, subjuguée par la honte d'être punie et par la fait d'avoir la jupe relevée devant tout ses gens.
- Je vais baisser votre culotte !
Caroline se prépare psychologiquement, tandis que le gendarme passe ses pouces sous l'élastique de chaque côté de sa taille. Il dénude ses fesses, Caroline a du mal à avaler sa salive. Il descend sa culotte, et tire plus sèchement dessus, car le devant reste coincé entre Caroline et ses cuisses. La gêne ne dure pas longtemps et il descend sa culotte au niveau de ses genoux.
La fessée reprend sur ses fesses nues, mais pas pour longtemps. Le gendarme relève Caroline, sa jupe retombe et sa culotte glisse jusqu'à ses chevilles.
- Débarrassez-vous de votre culotte et enlevez votre tee-shirt !
L'ordre et sans appel, Caroline lève un pied puis l'autre pour laisser sa culotte au sol puis hésite avant de passer son tee-shirt au dessus de sa tête. Elle se retrouve en soutien-gorge noir au milieu de la cellule.
Le gendarme se lève et lui indique la chaise.
- Posez vos coudes sur l'assise, jambes tendues et je ne veux pas vous voir bouger !
Caroline se met dans la position demandée. Aussitôt sa jupe lui est relevée sur le dos découvrant pleinement ses fesses serrées. Puis le gendarme se ravise et la rabat, il décide de lui baisser. Il descend la fermeture et la jupe tombe en corolle autours de ses chevilles.
Il pose sa main au creux de ses reins et lui assène une claque sèche. Tout le corps de Caroline se crispe et elle relève d'un coup la tête. Une autre claque arrive encore plus forte, puis une troisième. Caroline se retient de crier, mais elle ne peut contenir des petits gémissements.




4 commentaires:

Anonyme a dit…

Whaaah ! 3 histoires d'un coup ! Mais j'avoue que des histoires un peu plus longues seraient les bienvenue. Mais j'espère un jour un véritable livre, ce serait trop cool !
Merci en tous cas

Anonyme a dit…

C'est très bien écrit comme d'habitude mais ça ne vaut pas les autres histoires...

Anonyme a dit…

Bonjour et merci de continuer à alimenter ce blog.
Cela fait déjà quelques années que je suis tes publication et tu es sans conteste l'un des meilleur du genre et c'est toujours un plaisir de te lire.

J'écrit moi-même un peu et j'ai déjà abordé le sujet de l'humiliation sans pour autant sortir du confort d'un univers de fanfiction mais j'avais eu quelques idées que je n'ai jamais pu utiliser et comme tu semble souvent demander des idées neuves dans tes réponses aux commentaire... Je te confie celle-ci en espérant qu'elle pourras t'inspirer un nouveau récit.

Caroline reviens de voyage avec sa famille et,lors d'un transfert, en arrivant aux douanes de l'aéroport un problème surviens (objet non déclarer dans son bagage à mains, importation clandestine, irrégularité dans la déclaration). S'en suis une fouille approfondie (à nue) sur place devant toute sa famille ainsi que les autres passagers en partance avant qu'elle ne soit emmener dans une autre salle pour subir une fessée punitive lui permettant de pouvoir prendre son avion et terminé son voyage. Finalement elle est libéré et peut prendre son avion ou lui sont rendu ses vêtements et elle reprend sa route en compagnie de tout ceux ayant assister à la fouille.

J'espère que cela pourras t'aider à nous donner un nouveau récit très bientôt.

pascfz a dit…

Merci pour vos compliments...
C'est quoi le site où l'on peux trouver vos histoires ?
Concernant l'idée que vous me donnez, j'ai déjà commencé à écrire une histoire sur ce thème, je vais essayer de la retrouver...