Caroline est assise dans le couloir depuis déjà une demi-heure. Elle n'ose pas relever la tête, tellement elle a honte. Le vigile ne la quitte pas des yeux depuis qu'il la surprise. Juste à côté d'elle, son copain de lycée, lui semble plus calme, il doit être plus habitué. Elle se demande comment elle a pu se laissé embarquer par ce mec. Tout pour des bouteilles d'alcool, qu'ils avaient transvidées dans des bouteilles d'eau pour passer à la caisse...
Ses parents ont été mis au courant et sa mère ne devrait plus tarder. Elle sait qu'ils seront forcément furieux, mais surtout extrêmement déçus ce qui la fait culpabiliser encore plus. Elle sait aussi qu'elle sera punie très sévèrement.
Quand elle voit sa mère arriver au fond du couloir, elle se lève et veut se diriger vers elle, mais le vigile la retient. Sans aucune explication, elle s'approche d'elle et lui flanque deux gifles qui font monter aux yeux les larmes de Caroline.
Le vigile les prie d'entrer dans le bureau du directeur. Il les suit de près et avant de fermer la porte, il attrape le copain de Caroline et le force à entrer aussi pour le garder à l'oeil.
Aussitôt la mère de Caroline demande des excuses au directeur, elle s'assoit sur la chaise que lui présente le directeur et celui-ci lui relate les faits. Caroline, elle, doit rester debout, à côté et doit subir les regards accusateurs de sa mère pendant toute la durée du récit.
Quand le directeur a finit de lui raconter tout ce qui s'est passé, la mère de Caroline demande à nouveau des excuses au nom de sa fille et prie le directeur de croire qu'elle aura une sévère correction dès son retour à la maison. Le visage de Caroline s'empourpre ce que le directeur remarque aussitôt, et en profite pour demander plus de renseignement sur cette correction. La mère de Caroline hésite un instant, puis annonce clairement ce qu'elle envisage :
- Je crois qu'elle a mérité une bonne fessée ! ça fait quelques années qu'elle n'en a pas reçu, mais vu les faits cela me semble nécessaire...
Caroline met ses mains devant son visage tellement la honte l'envahit. De plus en plus intéressé, le directeur demande des explications :
- Est-ce que vous allez la déculotter ?
Une nouvelle fois, sa mère hésite, mais répond finalement que oui.
Le directeur n'est pas le seul à être intéressé, le vigile et le copain de Caroline s'intéressent de plus en plus à la conversation.
- Pourquoi attendriez-vous d'être rentrées ?
- Je ne pense pas que son attitude mérite d'attendre votre retour...
- J'ai un marché à vous proposer... Je devais appeler la police et porter plainte, mais je ne le fais pas si je suis sûr que votre fille est bien punie et surtout qu'elle ait bien compris le message...
- Mais pour cela, vous la punissez tout de suite !
Caroline regarde sa mère horrifiée et fait non de la tête.
- Nous oublions tout si elle reçoit la fessée de suite ?
Le directeur lui promet qu'il n'y aura pas de suite, tandis que Caroline supplie sa mère de ne pas accepter ce chantage...
Sans se préoccuper d'elle, elle essaie de négocier :
- Comme je vous l'ai dit, cela fait quelques années que Caroline n'a pas été punie ainsi... Les choses ont changé, c'est une jeune femme maintenant, donc pour sa pudeur je vais la fesser par dessus sa culotte.
- J'imagine qu'elle allait au coin après la fessée ?
- Oui bien sûr.
- Et elle y allait les fesses nues ?
La mère de Caroline acquiesça une nouvelle fois, tandis que Caroline ne supportait plus qu'on évoque ses punitions ainsi.
- Vous avez raison, votre fille est devenue une jeune femme, ses courbes sont magnifiques et devraient rester cachées en temps normal. Cependant je ne vois pas pourquoi la punition devrait être modifiée. Vous avez dit vous-même que si vous l'aviez punie chez vous, vous l'auriez déculottée. Elle ne mérite pas tant de considération, si vous la punissez ici c'est avec la culotte baissée.
- Je suis même certain, que d'exposer ses fesses sera un plus pour la punition. Et je vais même aller plus loin, nous allons profiter de son âge avancé pour lui donner une bonne leçon. En plus de la douleur sur ses fesses et la honte d'être punie ainsi devant tout le monde, elle va devoir assumer la honte de montrer ses charmes. Non seulement ses fesses nues puisque vous allez la déculotter, mais aussi sa toison qu'elle ne devra pas cacher.
- Ensuite, je la garderai l'après midi au coin, culotte baissée mais aussi avec les seins à l'air. Elle ne devra rien cacher, j'y veillerai personnellement. Quand à mes visiteurs, je me charge de leur expliquer pourquoi ses fesses sont si rouge !
Après un long moment d'hésitation, la mère de Caroline défait le ceinturon de son jeans...
4 commentaires:
Bonjour ,
Bravo pour vos histoires , vraiment bien écrites !!
Serait il possible d'avoir également ce genre d'histoire avec des hommes humiliés , fessés et exhibés honteusement ?
Après tout il n'y a pas que les filles qui ont droit à la fessée !! Lol
Merci pour votre commentaire.
Malheureusement, je n'écris des histoires où seules les femmes sont héroïnes... C'est ce qui me plait.
J'ai 66 ans et je vis avec ma compagne agée de 43 ans . Mon comportement immature l'amène à me fesser tantot dans l'intimité , tantot devant ses 2 enfants .
Cet été, en vacances , elle m'a fessé devant sa sœur . Il faut dire que je m'étais comporté de façon intolérable.
Nous venions de finir de déjeuner et prenions le café . Ma compagne me dit gentiment :" peux tu nous laisser seules , nous souhaiterions causer entre filles"
Au lieu de m'éclipser , je choisis de rester à leur coté, pour les écouter.
Ma compagne réitéra sa demande avec un commencement d'énervement dans sa voix.
" Il me semble t'avoir demandé de nous laisser , ne m'oblige pas à me lever pour te donner une fessée !"
Je me mis à rire et tel un gamin , je rétorquai :" T'es pas cap' !"
Soudain , ma compagne se lève de son fauteuil et fond sur moi.
J'aurais eu 12 ans, je me serais enfui très certainement. Mais j'étais tout excité à l'idée que ma compagne me corrige devant sa sœur.
Elle me prit par la main et m'obligea à me lever puis s'assit à ma place et commence à déboutonner mon pantalon . Je me laisse faire ; le pantalon descendu à mes chevilles , elle saisit mon slip à 2 mains qu'elle baisse à mes pieds. Elle découvre à ce moment précis mon membre en érection et me dit :"Oh! ce n'est pas le moment de te mettre dans cet état , dans 2 minutes , lorsque tu recevras une bonne fessée sur mes genoux , ton envie passera "
Il n'y a pas eu plus de 3 secondes pour me retrouver sur les genoux de ma compagne pour recevoir une fessée magistrale sous les yeux étonnés de sa sœur.
Les claques tombèrent sur mon derrière comme des grélons ; je serrais les dents pour ne pas crier. Mais la fessée prit une autre tournure et les larmes coulèrent sur mes joues.
la dernière série de claques me coupa la respiration et je partis dans d'énormes sanglots.
Jamais , je n'avais reçu une telle fessée depuis longtemps.
Ma compagne me releva. Mon excitation avait totalement disparu montrant un sexe pas plus gros qu'un spaghetti . Je pleurais à chaudes larmes , tout nu devant la sœur de ma compagne, me frottant les fesses qui me brulaient.
Ma compagne me reculotta car je n'en eus pas la force et me congédia.
Je l'entendis dire à sa sœur : " je n'ai pas 2 enfants à éduquer mais 3 !"
Nous savons tous les deux que rien de cela n'est malheureusement vrai.
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