mardi 27 août 2024

Rendez-vous punition

Je recois sur ma boite mail, une prise de contact d'une femme de 45 ans que mes histoires hantent depuis plusieurs années. Elle est timide, un peu craintive, mais au fil de nos échanges de mail, elle m'avoue que l'idée d'etre punie l'attire. Elle n'a jamais reçu de punition, mais déjà depuis l'école, l'exhibition punition lui traversait souvent l'esprit. Au point de se caressait régulièrement en pensant à ça. Je l'ai beaucoup écouté et questionné pour connaitre ses motivations dans les moindres détails. Elle s'est libérée et confiée. De plus en plus en confiance, nous avons évoqué l'idée d'un rendez-vous où elle serait punie. Je l'attends sur le parking. Elle est pile a l'heure. Je reconnais la Clio grise, qui hésite à se garer dans un coin discret. La voiture s'immobilise, elle ne sait pas que je la vois. Il se passe quelques minutes avant qu'elle ne sorte. Elle regarde tout autours d'elle un peu effrayée. Puis même si je ne peux voir d'où je suis, je comprends qu'elle remonte sa jupe. Et elle pose ses mains au dessus de sa tête parfaitement obéissante à ce qu'on avait prévu. Elle regarde partout, autours, je ne laisse pas plus longtemps dans cet état de stress, et je vais me garer à côté. Dans ses yeux je lis la crainte et la libération en même temps. - Bonjour Caroline, vous pouvez baisser les bras et remettre votre jupe correctement. Nous avons convenu que je l'emmènerai sur le lieux de la punition en voiture. Je constate qu'elle s'est habillée comme on l'a évoqué : une jupe, un chemisier et un pull. Des collants transparents chair et des bottinnes. Je fais exprès de garder le silence et l'air strict pendant tout le trajet. Je la sens mal à l'aise, le silence est pesant, elle bouge sur le siège visiblement angoissée. Une fois arrivés, je sors rapidement de la voiture, pour en faire le tour, elle a à peine le temps d'ouvrir la porte. Je l'ouvre en grand et lui attrappe le haut du bras pour la faire sortir. Je la fais marcher devant moi, en la tenant fermement juste sous l'aisselle. Une nouvelle fois, je la vois regarder tout autours d'elle, paniquée. Nous entrons dans le bureau que j'avais prévu. - Nous sommes donc là pour remedier à toutes les punitions que vous n'avez pas eues à l'école. Etes-vous prête a être sévèrement punie ? Aucun son ne sort de sa bouche, mais un timide hochement de tête me signifie que oui. Je m'approche d'elle et la plie sous mon bras. Au dessus de sa jupe, elle reçoit la toute première fessée de sa vie. J'y vais gentillement, je lève tout de même sa jupe pour finir par dessus ses collants. Puis je la conduis au coin en lui tirant l'oreille. Elle doit se mettre à genoux bien droite avec les mains sur la tête. je la fais s'approcher du mur pour que son nez le touche. Elle m'a avoué dans nos échanges devoir rester longtemps au coin. Je lui interdis de bouger, et de ne surtout pas se retourner. Je quitte la pièce et reviens 40 minutes plus tard. Elle n'a pas bougé, je lui intime l'ordre de rester face au mur et demande explicitement aux personnes que je suis allé chercher de rentrer. A ces mots, je vois le corps tout entier de Caroline tressaillir. Je suis accompagné de cinq personnes, qui sont censés représenter les camarades de classes de Caroline. Dont deux étaient effectivement en classe avec elle quand elle etait jeune. - Caroline levez-vous et retournez-vous ! Et laissez vos mains sur votre tête ! j'avais caché à Caroline qui pouvait être présents, comme je n'ai pas dit à ses anciens camarades qui était la punie. Mais lorsqu'elle se retourne je comprends instantanément qu'ils se reconnaissent mutuellement. Le rouge monte aussitôt aux joues de Caroline. j'invite les "élèves" à s'assoir sur les chaises en prenant soin de positionner Ghislain et Olivier, ces deux anciens camarades au premier rang. Et je mets Caroline face a eux, en lui imposant de garder ses mains au-dessus de sa tête. - Alors Caroline ! Je vous laisse vous prensenter et dire ce que vous faites ici... Elle a du mal à s'exprimer, visiblement très perturbée. Je lui demande à plusieurs reprise de parler plus fort. Mais on comprend son nom, son âge, d'où elle vient... - Pourquoi êtes-vous là, Caroline ? Je sens que ma question la perturbe encore plus. Elle bagaye un peu, sans doute incapable de savoir par où commencer, je decide de lui couper la parole . - Bon, Caroline a sans doute trop honte de l'avouer, mais elle voulait être punie !!! Figurez-vous que depuis l'école elle fantasme sur les exhibitions, punitions et fessées. Au point même de se caresser en pensant à cela encore aujourd'hui mais déjà à l'époque. - D'ailleurs Caroline, vous avez sans doute reconnu les deux garçons qui étaient dans votre classe ? Une nouvelle fois Caroline hoche la tête. - Alors ne soyez pas si timide, vous qui avez tant rêvé d'etre punie devant eux, vous devriez être contente d'etre ici !!! Je vais d'ailleurs vous laisser quelques instants tout les trois pour vous rappeler des souvenirs, conciderez cela comme la pause. Je laisse Caroline honteuse avec ces deux anciens camarades pendant 10 minutes, puis je reviens avec le reste de l'assemblée. Quand nous revenons dans la salle,les joues de Caroline sont toujours aussi rouges. Elle semble tres gênée de parler avec ces anciens camarades. Avec l'aide d'un participant, je mets une table devant les chaise et je viens placer Caroline entre la table et le premier rang. - Tout le monde peut reprendre sa place... Caroline va recevoir sa fessée. Je dis ça le plus naturellement possible, comme si c'etait normal. Je vois la panique monter dans ses yeux et j'en profite. - Ben alors Caroline, vous semblez paniquée... C'est pourtant ce que vous voulez depuis longtemps... Allez, restez bien droite, regardez vos camarades et mettez vos mains sur la tête ! Elle est toute tremblante, et bien pâle d'un coup. Je lui donne une claque par dessus sa jupe puis une deuxième et je n'attends pas pour lui remonter l'arrière de sa jupe et continuer sur ses collants. Je la fesse lentement, je vois qu'elle regarde vers le fond de la salle. Je me montre plus sévère : - Regardez vos camarades pendant votre punition ! J'attends qu'elle baisse les yeux et baisse l'arrière de sa culotte en même temps que ses collants. L'avant de sa jupe cache sa culotte mais je continue la fessée sur ses fesses nues un moment. Puis je remets, sa culotte, ses collants et sa jupe en place. Je la pousse vers la table derrière elle et la force à s'asseoir dessus. Sa jupe courte remonte, elle est a hauteur des yeux des élèves, je la vois qui sert les cuisses. Ce geste de pudeur me fait sourire en imaginant la suite. - Caroline, dites nous dans quelle position vous étiez pour être punie lors de vos rêveries masturbatoires ? Je la vois aussitôt rougir à nouveau : - Euh... Comme vous venez de faire... Une nouvelle fois, je deviens plus sévère : - Vous savez que j'ai horreur des mensonges, ce n'est pas ce que vous m'avez dit lors de nos échanges de mails ! - Euh... Oui, mais en fait je n'aime pas trop... - Dites plutôt que vous avez trop honte de l'avouer... Allongez-vous sur le dos ! Quand elle le fait, j'attrape ses chevilles et relève ses jambes au-dessus de la table. Cette fois-ci tout le monde voit sa culotte et j'en profite pour lui écarter les jambes. - Voilà la position de fessée que Caroline imaginait lors de ses séances de punition ! Je la fait glisser au bord de la table et remonte sa jupe pour dégager complètement sa culotte. Et je lui claque les fesses deux fois, puis la relève aussitôt pour la remettre face a tout le monde. Ses joues sont encore cramoisies. Je ne sais pas si c'est à cause de ce que je viens d'avouer ou parce qu'elle a montré sa culotte. Je la vois d'ailleurs resdescendre sa jupe. - Puisque c'est votre position favorite, vous aurez le droit à une autre fessée comme ça tout a l'heure. Et sans culotte ! Mais pour le moment, vous allez vous mettre a genoux. Montez sur la table pour qu'on vous voit tous bien !! Et mettez vos mains sur votre tête ! Caroline monte sur la table face à tous le monde. Elle baisse aussitôt les yeux. - Vous êtes bien trop habillée pour une punie, je vais arranger ça... Je lui fais hausser les bras pour passer son pull, et je defais le chemisier de sa ceinture. Puis je déboutonne en la regardant, mais elle ne peut soutenir mon regard. Une fois tous les boutons defaits, j'attrape son bras pour deboutonner la manche et je repose sa main au-dessus de sa tête. Et je fais pareil pour l'autre manche. J'ecarte ensuite les pans de son chemisier pour offrir aux regards la vue sur son décolleté et son soutien-gorge noir. Puis je passe derrière elle et descends la fermeture de sa jupe, défais le bouton et je lui baisse aux genoux. Je la laisse 15 mns ainsi sans bouger, et je viens lui retirer son chemisier. j'en profite pour la faire descente de la table un instant pour lui enlever complètement sa jupe. Et je la fais remonter sur la table dans la même position de punie mais cette fois, en sous-vêtements. 15 mns supplémentaires comme ça, où je lui impose de soutenir les regards de ces camarades. Je sens bien que c'est compliqué pour elle, et je remarque surtout une grande gêne concernant les deux hommes qu'elle connaît. Je laisse ensuite tout le monde sortir pour la pause. A part Caroline que je m'apprête à emmener au coin. Mais elle me demande l'autorisation de se rendre aux toilettes. Je sors avec elle, en la poussant dans le dos. Je ne l'ai pas autorisée a enlever les mains de sa tête et elle passe devant tout le monde ainsi, je la dirige vers les toilettes des hommes. Ghislain est en train de se laver les mains quand nous arrivons. Elle s'arrête en le voyant, mais je la pousse pour entrer dans les toilettes face aux lavabos. Je sais que Ghislain peut nous voir dans le mirroir et je ne ferme pas la porte. Je vois Qu'elle commence a paniquer... - Non, non, gardez vos mains sur votre tête, c'est moi qui baisse votre culotte. Je sais qu'en parlant assez fort Ghislain comprendra tout. Je fais attention à bien baisser ses collants jusqu'aux chevilles et je fais pareil avec sa culotte. Puis je la positionne sur les toilettes et ressort aussitôt. - Ghislain, pouvez-vous la surveiller le temps que je me lave les mains ? Il se met aussitôt devant l'ouverture de porte et j'imagine ce qu'ils voit : Caroline, assise sur les toilettes, la culotte baissée, complètement désemparée. Je me retourne en demandant si elle a fait pipi. Ghislain répond que non, je vais moi aussi devant l'ouverture de la porte. - c'est la seule pause que vous aurez avant la fin de votre punition, je vous conseille de faire tout de suite... Elle doit faire un effort pour depasser ce blocage et nous entendons qu'elle est en train de se soulager. Au comble de la honte, elle n'ose pas bouger quand ça s'arrête. - Vous pouvez vous essuyer... Elle fait le minimum, prend un peu de papier et écarte ses jambes au minimumn pour s'essuyer et jeter le papier. Je viens la chercher pour la faire sortir des toilettes sans même lui remonter sa culotte. Et je la laisse debout devant les lavabos pour se laver les mains. Nous sommes derrière elle et avons une magnifique vue sur ses fesses nues. Elle n'ose pas levé la tête et regardé dans le miroir. Je repense soudain a nos échanges de mail : - Au fait Caroline, puisque que nous sommes aux toilettes avec Ghislain, dites-lui ce que vous avez souvent eu envie de faire dans les toilettes du collège... Caroline ne bouge pas pendant un instant. Elle sait très bien de quoi je parle. Elle relève la tête hésitante. - Je... enfin, non... - Retournez-vous ! Et remettez les mains sur la tête ! On vous écoute... Encore plus gênée, Caroline nous expose maintenant son côté pile. Et Ghislain découvre le sexe de son ancienne camarade brune, épilé court, laissant deviner tous les contours de sa féminité. Caroline fait un effort surhumain pour en parler... - Je ne l'ai jamais fais... Mais, ce n'est pas arrivé souvent... Mais j'ai eu parfois l'envie de me... toucher dans les toilettes... quand... on etait au collège. Satisfait, je me dirige vers elle pour remonter sa culotte. Et tout en faisant pareil pour ses collants, je demande à Ghislain ce que ça lui fait de voir sa copine de classe punie ainsi. - Je n'aurais jamais imaginé ça... Je suis très surpris que Caroline vous demande à être punie comme ça. J'avais le souvenir d'une fille très serieuse et studieuse, elle ne faisait jamais de bêtise, cependant j'aurai bien voulu voir M. Esteban lui baisser sa culotte en classe pour la fesser ! - Oui effectivement, elle m'a dit être très sage, mais elle se souvient vous avoir avoir laissé copier sur sa feuille à un contrôle et vous vous êtes fait attraper. Je vois Caroline palir à l'évocation de cette anecdote. - Sachez qu'elle a longtemps imaginé que vous auriez été punis. Et pour elle bien sûr ça aurait été une fessée déculottée et une mise au coin, punie pendant toute l'heure... Elle se voyait même toute nue pour ça !! Je prends Caroline sous l'aisselle et nous rentrons dans la salle. Tout le monde est déjà installés. Ghislain regagne sa place encore chamboulé par ce qu'il vient d'apprendre. J'installe entre Olivier et Ghislain une table où je place Caroline et je lui donne une feuille et un stylo. Puis je ditribue un devoir particulièrement compliqué en précisant que les reponses sont toutes dans le cours à apprendre pour aujourd'hui. Évidement, les autres, sont informés et ont les réponses. Je regarde Caroline et comprend qu'elle ne connait rien à tout ce que je demande. Elle sent le piège se refermer contre elle et commance à paniquer. Elle me regarde, regarde autours. Jete un œil sur les tables voisines et voit tout le monde ecrire... - Gare a ceux qui n'ont rien appris... et surout celle qui essaie de regarder les copies voisines !!! Caroline étant la seule femme, elle lève la tête d'un coup et devant mon regard sévère, s'affaire sur sa copie pour noter quelque-chose. Je ramasse les copies quelques minutes après. Et en silence, je les lis une part une. Je reste un moment sur celle de Caroline, en fronçant les sourcils. Puis je pose le paquet sur la table... - Caroline ! En plus d'essayer de copier sur vos voisins, vous n'avez rien appris !!! - Venez ici tout de suite !!! Elle me rejoint doucement. Je lui prends le bras et la retourne face a la salle. - Qu'est ce qui se passe quand on apprend pas ses leçons ?? Elle reste silencieuse incapable de répondre. Je lui donne une claque sur les fesses qui la fait avancer d'un pas et j'attends. Je vois ses yeux s'embrumer, et je lui donne une deuxième claque plus forte. Elle avance encore, et ça arrive enfin à sortir de sa bouche d'un coup... - Une fessée !!!... - Effectivement une fessée, mais vous allez nous préciser une fessée comment ? Elle hésite encore, mais quand je lève ma main, elle se decide à parler : - C'est une fessée sur les fesses nues.... devant tout le monde... Je sens que ça à été compliqué à dire, mais elle a enfin reussi. - Exactement, une fessée déculottée devant tout le monde ! Et c'est ce que vous allez avoir... Mais avant enlevez votre soutien-gorge ! Les bras lui en tombe, elle commence a se retourner, mais d'une main sur chacune de ses épaules je le remets face à tout le monde. - Sachez que c'est une épreuve pour Caroline, car elle est complexée par sa poitrine généreuse et vous allez bientôt voir que les années n'ont rien arrangé... Je la vois rougir de mes propos alors qu'elle passe ses mains dans son dos. Elle degraphe son soutien-gorge et je l'aide à l'enlever en baissant les bretelles et en lui libérant les seins. - Mettez vos mains sur la tête et allez faire le tour de la salle, passez par le milieu des rangs, ça vous apprendra à vouloir tricher... Caroline marche rouge de honte, personne n'en perd une miette, puis reviens vers moi. - Vos seins sur la table, les fesses tournées vers l'assemblée, dépêchez vous ! Elle se courbe sur la table visiblement rassurée de ne plus affronter les regards, mais elle se crispe a nouveau quand je passe mes mains sous l'élastique de ses collants, je lui baisse jusquaux genoux. Elle se tend encore quand mes pouces glissent dans sa culotte et je la descends également. Sans lui laisser le temps de s'habituer à la nudité, je lui claque les fesses une bone dizaine de fois juste pour que le rouge arrive. Puis sans la retourner je l'emmène face au mur et la mets à genoux avec les mains sur la tête. Je trouve un prétexte pour faire sortir l'assemblée et reste un instant avec Caroline. Sans bouger du coin, elle me dis que c'est dur et qu'elle a du mal à rester toute nue devant tout le monde. Je ne mui laisse pas le choix en lui disant que c'est elle qui a voulu tout ça... - Vous vouliez etre punie, fessée et ridicule devant tout le monde ! Donc maintenant, on va aller jusqu'au bout... - Je vais revenir avec tout le monde tout à l'heure... Pendant ce temps, vous allez enlever votre culotte et la poser sur le bureau de Ghislain. Vous gardez vos collants et vos chaussures. Vous vouliez être ridicule, vous allez l'etre croyez-moi ! Je ne lui laisse pas le temps de répondre, et quitte la pièce pour la laisser seule. Nous revenons 10mns plus tard et je constate dès en entrant que sa culotte n'est pas sur le bureau de Ghislain, cependant elle l'a posée sur ses autres vêtements, et elle s'est remise au coin les fesses parfaitement moulées dans son collant. - En plus d'etre une fénéante et une tricheuse, je constate que Caroline a beaucoup de mal avec la discipline... Elle est désobéissante et ça va lui jouer des tours... - Ghislain, allez chercher les sous-vêtements et votre ancienne camarade, elle n'en a plus besoin de la journée. Gardez-les avec vous... - Quant à vous Caroline, venez ici j'en ai pas fini avec vous... Elle se lève et cache son sexe d'une main et sa poitrine avec le deuxième bras. Je la laisse faire le temps d'installer une chaise et de la basculer sur mes genoux. Je lui donne une autre serie d'une dizaine de claques puis je la relève d'un coup. - Montez sur la table ! A quattre pattes afin qu'on vous voit de côté ! Quand elle est installée, ses seins pendent vers le bas. - Vous me l'aviez dit lors de nos échanges, mais effectivement, vous êtes vraiment ridicule ainsi, restez comme ça un moment. Après un bon quart d'heure d'échanges avec les participants je viens lui mettre un fessée. Je ne claque pas très fort, car avec le seul collant, je sais que les claques sont plus cinglantes. A cause des claques, elle n'a plus fait attention à sa position et en passant derrière elle, je vois, grâce à son collant transparent, ce que les autres n'ont pas encore découvert, et je me dis qu'il est largement temps. J'aide Caroline à descendre et la mets face a la salle, mais cette fois-ci je ne lui laisse pas le temps de se cacher, j'attrape ses poignets et je pose moi-même ses mains au-dessus de sa tête, laissant découvrir a tout le monde son corps presque nu. Puis je m'affaire derrière elle pour descendre ses collants jusqu'à ses chevilles. Enfin je l'aide a s'asseoir sur la table. -Nous arrivons au point d'orgue de votre punition Caroline ! Enlevez vos chaussures et vos collants, c'est toute nue que vous allez etre punie maintenant... Caroline est obligée, de levez une jambes et l'autre pour se dechausser montrant plus que ce qu'elle devrait et elle enlève ses collants. - Nous allons reprendre la première position de fessée... J'imagine que vous vous en souvenez car c'est votre préférée... Tout en lui disant cela je pousse sur ses épaules pour qu'elle s'allonge. - Maintenant, relevez les jambes ! Je l'aide un peu et lui écarte en même temps. Son intimité s'ouvre et je vois Caroline se cacher le visage. je passe sur le côté et ouvre ses jambes en grand. - Gardez les jambes écartées que tout le monde profite de votre intimité. Je vous assure qu'on voit tout... Je lui mets cinq claques ainsi, puis je l'aide à se retourner. Une fois à quatre pâte je la fais se cambrer au maximum et écarter ses cuisses. Et je lui donne cinq claques supplémentaires. Dans cette position même les personnes situees dans le fond peuvent profiter de son sexe ouvert et même d'avantage. Ses fesses sont rouge, elle doit avoir quelques picotements, mais je pense que la honte qu'elle ressent est bien pire. Je lui tiens la main pour qu'elle se remette debout. Avec tout ce qu'elle a montré, elle ne cherche plus a se cacher. Puis je l'accompagne jusqu'à la porte. - Vous allez dire à vos camarades au revoir et vous excuser d'avoir perturbé le cours. Un à un, ils passent devant elle, je sens qu'elle a beaucoup de mal a s'exprimer et à regarder Olivier dans les yeux. Quand il ne reste que Ghislain, je le retiens. - Pouvez restez un instant, Ghislain ? Caroline m'a beaucoup parlé de vous... Et elle aurait bien voulu se retrouver toute nue devant vous quand vous étiez au collège... Donc... Il ne s'oppose à rester bien au contraire... - Visiblement Caroline a toujours regretté de vous avoir laissé copié sur sa feuille lorsque vous etiez en cours ensemble et que vous vous etes fait pincer... Cet événement lui revient soudain en mémoire. - Enfin elle a surtout regretté de ne pas avoir été punie !!! Caroline rougis à l'évocation de ces souvenirs. - Je pense qu'il est temps de boucler la boucle... Caroline demandez à Ghislain de vous fesser ! Elle reste bouche bée,.et ne s'attendait visiblement pas à ça. - Euh, est-ce tu veux bien me... punir ? Ghislain ne demandait pas tant. Il accepte évidemment. Et s'assoit sur la chaise pour l'accueillir sur ses genoux. Je regarde la fessée qu'il lui donne et qui fait rougir instantanément d'avantage ses fesses. Caroline est obligée de le remercier apres la punition. Il précise que c'est bien agréable d'avoir revu Caroline trente ans plus tard. et qu'il ne pensait pas du tout ça de la fille sage qu'elle était. Nous nous retrouvons seuls avec Caroline. J'ai du travail, et je compte bien le faire maintenant. J'envoie Caroline au coin, sans vêtements, pendant ce temps. Je sais qu'elle voulait rester longtemps au coin pour expier ses fautes et je compte bien en profiter maintenant. Je prends tout mon temps et elle reste ainsi sans bouger et silencieuse pendant presque une heure. - Je vais vous ramener à votre voiture. Vous pouvez mettre ça... je luis donne ses chaussures, ses collants et son pull. - le reste vous sera inutile... je vous les enverrai en colis pour plus tard !! Elle insiste pour avoir sa jupe ce que je lui refuse catégoriquement. Rentrer ainsi accentuera sa punition, et je sais qu'elle a deux heures de route. Son pull ne lui cache pas les fesses et elle est obligée de tirer dessus devant pour cacher son sexe le temps de monter dans la voiture. Arrivés sur le parking où elle a laissé sa voiture, je me gare plus loin pour qu'elle y aille à pied. Elle m'implore une nouvelle fois sa jupe, mais cette fois-ci je me fâche : -si je vous entends encore, je vous mets toute nue et je vous donne une fessée sur le parking.. Elle arrête aussitôt et me dit merci de lui avoir offert cette punition et quitte la voiture. Elle court presque pour monter dans la sienne. Je vois ces fesses à travers son collant et je constate que je ne suis pas le seul. Elle démarre aussitôt et s'eloigne rapidement. Je ne suis pas sûr qu'elle resiste a mettre sa main a l'intérieur de son collant avant d'arriver chez elle, mais je lui demanderai...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Récits très excitant, un de mes fantasmes avec une femme et non une jeune fille. Quel honte de recevoir la fessée à son âge, surtout en public.