lundi 19 août 2024

Juliette

Depuis qu'elle est arrivée dans cet établissement, Juliette ne s'y ait jamais faite. Un peu timide, elle n'a pas vraiment reussi à se faire de copines et encore moins de copains. N'osant pas trop aller vers les garcons. Sans être grosse, cette petite brune aux cheveux mi-longs est un peu rondelette. Pourtant très jolie, elle n'accepte pas son corps. Ce qui la hante le plus c'est le règlement, la sévérité et surtout les punitions dans l'école. Ce qu'elle a déjà vu la fait frémir et depuis qu'elle-même a été punie pendant un cours de Maths elle ne supporte plus de rester à l'école. C'etait pourtant une petite punition, mais elle en avait pleuré des jours. Le prof lui avait lever sa jupe pour lui donner deux claques par dessus sa culotte devant tout le monde. Depuis ça, elle pensait toujours que ce pourrait etre pire un jour et n'avait qu'une idée en tête : partir de cette école. Elle savait qu'un garçon a été renvoyé et se dit que ce serait une bonne solution si elle aussi serait renvoyée. Après une enquête assez discrète, elle apprend qu'il a été renvoyé pour avoir insulté un membre du personnel, sans trop de précision. Et se met en quête d'une solution radicale. L'idée lui vient quelques jours plus tard où elle décide d'insulter le prof de musique, et même si elle est aucunement raciste, elle se dit que l'insulter sur ses origines serait encore plus grave et qu'elle serait renvoyée immédiatement. Il ne lui reste plus qu'a écrire des propos racistes dans son cahier et proférer quelques injures raciales et se sera bon. Elle se force à mettre son plan a exécution, ça lui est contre-nature mais ça marche. Elle est aussitôt mise a pied pendant deux en vue de son exclusion. Elle rentre chez et n'a plus qu'à affronter la colère de sa mère, mais il faut bien en passer par là. Ce à quoi elle n'a pas pensé, c'est à la somme que sa mère a mis dans ces études et aux sacrifices qu'elle a fait pour la faire entrer dans cette école. Sans compter que sa mère aura beaucoup de difficulté à trouver une autre école aussi proche. Sa mère est folle, elle l'enguelle comme jamais, se retient de la frapper et la congedie dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, elle comprend que sa mère appelle l'école et va discrètement decrocher le combiné de l'étage. Sa mère parle avec le directeur, elle lui présente des excuses au nom de sa fille et lui demande d'être indulgent. Le directeur est catégorique, le comportement de Juliette ne donne droit a aucun traitement de complaisance même s'il reconnaît que les efforts financiers pour l'incrire ont été très consequents, mais qu'aucun remboursement n'aura lieu après le renvoi de Juliette. Sa mère insiste en invoquant qu'il y a des punitions dans le règlement intérieur, ce à quoi le directeur lui repond répond que les propos de Juliette dépassent les punitions qu'ils ont prevu au règlement. Sa mère insiste de nouveau, le directeur sent qu'elle au bord des larmes et accepte finalement de la rencontrer pour en parler. Juliette raccroche sans trop savoir ce qui ressortira de cette rencontre. Sa mère ne lui en parle pas du tout et n'évoque rien, meme pas la conversation avec le directeur. Le lendemain matin Juliette voit sa mere debarquer dans sa chambre, allumer la lumière et ouvrir la fenêtre en grand : - Debout, prépare-toi, on va à ton école! Juliette n'a pas le temps de demander ce qui se passe. Elle se prépare et monte dans la voiture en silence. Mais depuis que sa mère a évoqué l'école, une boule s'est forme dans son ventre, elle se sent tres mal. En arrivant, elle comprend qu'elles vont toutes les deux aller voir le directeur. Il les fait venir dans son bureau, salue sa mère, n'ayant aucune considération pour Juliette. Il lui serre la main, et l'invite à s'assoir devant son bureau. Puis en vient finalement à Juliette : -Toi je ne veux pas te voir ! Au coin à genoux face au mur, les mains sur la tête et tu ne bouges pas ! Juliette se dirige vers le mur a côté de la porte et obéit. Sa mère est très surprise d'autant de sévérité et de l'attitude de sa fille mais ne dit rien. Le directeur en vient aussitôt aux faits. - Je sais que c'est dur pour vous, mais je ne pas rester sans rien faire devant un comportement, tel que celui de votre fille... Sa mère écoute silencieuse elle aussi, impressionnée par la sévérité que degage cet homme. Juliette se sent de plus en plus mal, et commence à regretter d'avoir écrit toutes ces choses affreuses. - Hier vous m'avez parler des punitions que nous avons dans notre règlement... C'est que des choses sont prévues, mais là, ce q'a fait votre fille, ça depasse tout cela ! - Savez-vous Madame, quelle est la punition de niveau 5 ? La plus haute de notre règlement ? La mère de Juliette ne sait pas exactement, et préfère ne pas répondre en secouant timidement la tête. - Votre fille, elle le sait ! Eh bien la punition de niveau 5 est une fessée dans le refectoire, donc devant tout le monde, garcons et filles mélangés. Et la punition est donnée sans aucun vêtements ! D'ailleurs le ou la punie reste complètement nu après la punition ! La mère de Juliette reste silencieuse, Juliette elle tremble comme une feuille. Après un long silence, le directeur reprend : - Voyez-vous, Juliette mérite bien plus que ça ! Mais vous m'avez convaincu et je vais vous aider, je ne vais pas renvoyer Juliette ! Le visage de la mère de Juliette s'illumine enfin, libérée de tout ce poid et des soucis qui s'en vont d'un coup. - Vous êtes bien consciente que Juliette va être sévèrement punie ! - Oui, je sais, merci de votre indulgence et merci de ne pas la renvoyer. Tout s'écroule pour Juliette qui s'effondre en pleurs. Elle prend d'avantage conscience que sa mère de ce qui va se passer. Elle se prepare a se lever pour partir en remerciant encore le directeur, mais se fait rabrouer aussitôt : - Restez assise et toi Juliette tu viens ici ! Sa mère se rassoit vexée et gênée que le directeur lui parle ainsi. Juliette vient avec le visage baigné de larmes. - Enlève ton uniforme ! Elle se met à pleurer plus fort et regarde sa mère désespérée, mais celle-ci détourne le regard. Elle enlève sa veste, puis sa jupe et cache son visage dans ses mains trop honteuse d'etre en culotte devant le directeur. - Il n'y a pas l'écusson de l'école sur ton tee-shirt ??? - Alors enlève le aussi ! En sous-vêtements elle attend la suite... - Juliette n'est désormais plus digne de porter l'uniforme de l'école, et elle en sera privée jusqu'à la fin de l'année. cela vaut pour les cours, les entres-cours, le sports et les sorties scolaires !!!! Juliette tombe sur ses genoux, je joins ses deux mains devant elle comme si elle priait. - Non, s'il vous plaît, pas ça ! J'aurais trop honte... Le directeur ne se préoccupe pas de Juliette qui est au sol. - Nous sommes en février, elle pourra mettre des collants comme ceux d'aujourd'hui jusqu'aux beaux jours, ensuite elle en sera pivée. Mais ce sera uniquement des couleurs chairs et clairs qu'on puisse voir en transparence ! Juliette est complètement abattue au sol, le directeur la prend par le bras pour la relever d'un coup sec sans ménagement. - Voilà pour le grande lignes de sa punition, mais ce ne sera pas tout... ce qu'elle a fait est impardonnable et elle va payer le fait que j'accepte qu'elle reste dans l'école jusqu'à la fin de l'année. La mère de Juliette balbutie une politesse a peine audible, tellement elle est impressionnée par le directeur. Le directeur ne relève pas et continue sans lacher Juliette. - J'imagine que vous ne l'avez pas fessée pour ce qu'elle a fait ? Sa mère repond timidement que non. - Peut-être n'a-t-elle jamais reçu de fessée ? vu son comportement, ça ne m'étonnerait pas... c'est bien ça ? D'un signe de tête, elle repond que non. - Eh bien, ça va changer cette année, elle va en recevoir, et ça commence maintenant ! Juliette panique, et implore sa mère du regard et essayant de se defaire du directeur et en criant. - Calme toi ! Juliette continue de bouger dans tous les sens presque isterique, mais il la tient tres fermement. Le directeur lui dit une nouvelle fois de se calmer, mais rien ne change. Il se met a crier plus fort, en la traînant vers la porte. - Très bien ! alez hop, une première fessée devant tout le monde et culotte baissée en plus ! Il ouvre la porte et s'apprête à sortir. ça a le mérite de calmer Juliette d'un coup. Elle est en larmes quand il lui lache le bras, instinctivement, elle vient maintenir sa culotte de chaque côté. - Il te faut cette menace pour enfin te calmer !... Tu fais bien de mettre tes mains sur l'élastique de ta culotte, baisse la tout de suite ou je t'emmène devant tout le monde. Juliette regarde sa mère en pleurant comme pour lui demander de l'aide. Elle sort enfin de son silence. - Mais Juliette obeit enfin ! tu ne vas quand même pas prendre le risque de montrer tes fesses à tous tes copains !!! Juliette abandonne tout espoir d'aide de sa mère, et prend enfin conscience qu'elle risque d'etre déculottée devant tout le monde. Elle baisse l'arrière de sa culotte et de ses collants dévoilant les trois quart de ses fesses. Face à elle, le directeur ne peut pas voir ses fesses, il referme la porte et pousse Juliette jusqu'à la chaise où il s'assoit dessus. Et s'accoupie devant elle. Juliette pousse un cris et mets ses mains entres ses cuisses quand le directeur attrape ses collants et sa culotte et les descend complètement. - Quand je dis : baissez votre culotte, c'est que je veux la voir a vos chevilles, comme maintenant ! Est-ce bien clair ? Sans attendre de réponse, il lui enlève ses chaussures et fini d'enlever sa culotte qu'il défait du collant. Il laisse le collant et les chaussures par terre et va ramasser son uniforme dans une armoire. Puis reviens vers la mère de Juliette en lui tenant sa culotte qu'elle prend timidement sans comprendre. - Ramassez la, elle n'en a plus besoin...Et j'ai bien peur que vous n'ayez pas encore tout saisi Madame... Grace à votre intervention, Juliette ne va pas montrer ses fesses aujourd'hui a ses copains comme vous dites. Cependant, elle le fera ! Elle va recevoir des fessées cul nu y compris devant des garçons soyez-en certaine ! Juliette fond de nouveau en larmes, sa mère baisse les yeux sans rien répondre. - D'ailleurs si je vous ai fait ramasser sa culotte c'est pour une bonne raison ! Visiblement elle a du mal à obeir et je la sens particulièrement pudique. Donc pour son premier mois de punition, et on verra après comment on fera... elle a l'interdiction de mettre une culotte ! je tiens donc à ce que vous me la déposiez tout les matins en chaussures soutif et collants, rien de plus ! La mère de Juliette reste sans voix, elle sursaute quand le directeur l'interpelle : - Suis-je bien clair Madame ??! -Heu, oui Monsieur... - Très bien ! car je fais ça pour vous. Elle, elle ne le merite pas, je veux que vous soyez consciente que c'est uniquement pour vous que je le fais. Tout en disant cela, il prend Juliette par le haut du bras pour qu'elle se leve et il la bascule sur son bureau. - Maintenant, je vais lui donner ce que vous auriez faire depuis plusieurs années déjà... Puis il abat violemment sa main sur les fesses de Juliette qui se crispe et pousse un cri après la claque. Il lui donne dix claques ainsi qui font rougir les fesses instantanément. - met tes collants ! Juliette cache son sexe et se retourne pour remettre ses collants et ses chaussures. Pendant ce temps, le directeur prend congés de la mère de Juliette en lui précisant une nouvelle fois qu'il comptait sur sa coopération. Elle quitte le bureau encore chamboulée par la punition, sans regarder Juliette qui s'effondre à nouveau en sanglots. Il appelle le surveillant qui arrive quelques minutes plus tard. Juliette a toujours ses mains devant son sexe, tête baissée, elle ne leve pas les yeux quand le surveillant entre. Le directeur lui explique brievement le pourquoi de sa punition. Il s'arrête brusquement au milieu pour interpeller Juliette : - Juliette, enlevez vos mains ! Puis il reprend aussitôt, Juliette elle, ne peut lever la tête. Elle ecarte timdement ses mains quelques instants, tous en laissant ses doigts, qui se rouchent encore devant, puis inconsciemment remet ses deux mains presque l'une au dessus de l'autre devant elle. Quand il a terminé, il pose le regard sur Juliette qui pour la première fois relève la tête quand elle ressent que quelque chose ne va pas. - Décidément, tu as du mal a comprendre, toi !! Puis il fond sur elle, et vient baisser ses collants à ses chevilles. Juliette tremble comme une feuille. Il passe derrière elle et lui degraphe son soutien-gorge et descend les bretelles le long de de bras, et lui arrache en passant devant elle pour le donner au surveillant. Il revient vers elle et lui prend les deux poignets, pour lui écarter les bras du corps. - Il va falloir t'y habituer. Tout le monde va voir tout ca le temps que tu es punie, ca ne sert a rien de vouloir te cacher.... Juliette est décomposée, jamais un homme ne l'a vue toute nue alors deux en même temps... Elle se sent honteuse, ridicule, humiliée. - Emmenez-la à son cours, vous pourrez lui remettre son soutien-gorge avant de rentrer dans la classe. Et lui remonter ses collants. Mais pas avant ! - Quand à toi Juliette, c'est le dernier avertissement pour tes mains, si je les vois encore une fois devant tes poils, tu pourras oublier définitivement ton soutien-gorge ! Je veux que tu sois exemplaire pour ta première journée de punition. Tu vas assister à tes cours "normalement". Et aux inter-cours, tu descendra te mettre, dos au mur dans la cours, avec les mains sur la tête jusqu'à la fin de la pause. - Comme tu as musique en dernière heure, je vais en profiter pour intervenir pendant de ce cours pour te mettre une fessée devant tes camarades et le professeur que tu as insulté. déculottée bien sur, et en fonction de ta prestation du jour je verrai si je te laisse ton soutien-gorge ou non. - Allez, sort, je ne veux plus te voir pour le moment...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci et very promising! ;) S.

Clochette a dit…

Merci pour cette nouvelle histoire

Anonyme a dit…

J'ai hâte de lire la suite, une fidèle lectrice ravie de votre retour

Pascfz a dit…

Merci de votre, commentaire, une suite est en cours.

Anonyme a dit…

Merci pour cette nouvelle histoire, on espère une suite !!