Voici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...
lundi 19 août 2024
Les trois punis
Le Directeur est vraiment furieux en entrant dans notre salle de classe. Même
notre professeur qui nous faisait cours semble impressionné. Il annonce que les
corrections de l’examen commun a tout l’établissement sont terminées et qu’il
apparait que 3 élèves ont triché. Les 3 copies de 3 élèves qui étaient assis à
côté les uns des autres présentent de grandes similarités, tant sur les bonnes
réponses que sur les erreurs. Il n’y a pas de doute possible. Le Directeur
annonce que ces 3 élèves doivent évidemment être punis. Puis il fait une pause,
regarde un peu chacun d’entre nous, laissant planer une ambiance très
inquiétante pour tout le monde. Je me souviens tout d’un coup que ma voisine
avait les yeux qui louchaient un peu sur ma copie, et si c’était moi ? Le regard
du Directeur me glace le sang, je sens mon ventre se serrer. Après quelques
minutes de silence pesante, le Directeur annonce que les 3 élèves en question
sont dans cette classe. Puis, d’une voix forte : - Je vais appeler les 3 élèves
punis, qui devront venir en silence me rejoindre sur l’estrade. Le Directeur
commence par appeler Hugo. Tout le monde se retourne vers lui. Hugo accuse le
coup, puis le lève lentement et vient sur l’estrade, la tête baissée. Je vois
Juliette et Caroline assises près de moi devenir blêmes, et je me souviens
qu’elles étaient assises près de Hugo le jour de l’examen, car on était rangé
par ordre alphabétique de nos noms de famille. Je commence à penser que les 2
autres noms que va prononcer le Directeur sont Juliette et Caroline. Et j’avoue
que ça me plairait bien. Je ne sais pas ce que le Directeur va inventer comme
punitions, mais depuis que les punitions corporelles ont été à nouveau
autorisées, j’étais bien impatient d’enfin pouvoir assister à ce type de
punition. Que ce soit le cas avec elles deux ce serait tellement excitant. Elles
sont toutes les deux assez timides et réservées, et je trouve que c’est encore
plus excitant de se dire qu’elles vont avoir la honte de leur vie. Bingo ! Quand
j’entend le Directeur appeler Caroline et Juliette, je sens mon sexe se durcir.
Je suis déjà en érection alors que la punition n’a même pas commencé. Je sens
que je vais adorer la suite du programme. Ce qui n’est pas le cas pour les deux
filles qui rejoignent Hugo lentement, en regardant leurs pieds. Le Directeur
leur demande de se mettre face à tout le monde, de mettre les mains sur leur
tête et de regarder devant eux. On sent que c’est déjà une épreuve pour eux 3.
Juliette est plutôt une bonne élève, je suppose que Caroline a copié sur elle
puis que Hugo a copié sur Caroline. Juliette va peut-être être moins punie que
les 2 autres, ce serait bien dommage, j’adorerais voir le Directeur lui mettre
une fessée devant toute la classe. Le Directeur balaie très rapidement mes
inquiétudes : - Je tiens à prévenir que copier sur son voisin est pour moi tout
aussi grave que de laisser son voisin regarder sa copie. Chacun est responsable
de sa copie et doit prendre soin de ne pas montrer ce qu’il écrit. Vous aurez
tous les 3 la même punition. Ou presque. Le Directeur ménage ses effets, en
faisant de longs silences. Je vois Juliette qui commence à pleurer, elle pensait
sans doute avoir une punition plus indulgente, vu qu’elle n’a sûrement pas
copier et elle comprend qu’elle va être punie comme les autres. Elle semble
terrorisée. Le Directeur poursuit : - Ce que je souhaite le plus, c’est que vous
preniez conscience de la gravité d’une telle faute. C’est pourquoi, nous allons
procéder de façon à ce que vous puissiez évaluer la gravité de vos fautes. En
fait, je vais vous donner une ardoise et un feutre à chacun, je vais vous poser
une question puis je vais vous laisser 5 min de réflexion avant de répondre sur
l’ardoise. Le Directeur joint le geste à la parole et leur donne à chacun
ardoise et feutre. Tout le monde est dubitatif. Je ne vois pas du tout où veut
en venir le Directeur, mais je suis sûr que je vais aimer. C’est délicieusement
intriguant. Les 3 punis semblent trouver ça beaucoup moins drôle. - Alors, vous
connaissez tous les 3 notre nouveau règlement de punition. Ma question va être
simple : « A votre avis, ce que vous avez fait mérite quel niveau de punition ?
» On entend un brouhaha dans la salle de classe. Tout le monde comprend que ce
sont les punis eux-mêmes qui vont en quelque sorte définir leur punition. C’est
très inattendu. Le Directeur ne laisse pas le temps aux punis de réaliser ce qui
se passe, puis ajoute : - Soyons clair, je veux que vous notiez la punition qui
vous semble la plus juste pour la faute commise. Et sachez que moi-même, j’ai
noté la punition que j’estime juste sur ce papier. Le Directeur nous montre un
papier plié qu’il sort de sa poche, puis l’y replace. - Donc, j’ai noté la
punition adaptée sur cette feuille. Si vous tombez juste, c’est que vous avez
bien évaluer la faute commise, ce qui est déjà un bon point, je serai donc plus
indulgent avec vous dans l’application de la punition, peut-être même que
j’abaisserai le niveau de la punition. En revanche, si vous sous-estimez la
faute commise en proposant une punition trop légère, j’augmenterai le niveau de
la punition, et je vous préviens tout de suite, je serai particulièrement
sévère. Ce que j’attends d’un élève puni c’est qu’il ait bien conscience qu’il
mérite une punition et qu’il l’accepte. Wahou ! Je ne sais pas si c’est de la
pédagogie ou de la perversion, mais j’adore ce jeu. J’essaie d’imaginer ce que
j’aurai écrit sur l’ardoise si j’étais à leur place, j’en suis incapable.
D’autant que le Directeur n’a pas dit ce qui se passait si on notait une
punition plus sévère que celle que lui a prévu. Donc la stratégie c’est
peut-être de noter la punition la plus sévère pour avoir son indulgence, mais
connaissant le Directeur, je n’en suis même pas sûr. De toute façon, je
Directeur ne laisse pas aux élèves punis trop de temps pour réfléchit, à peine
a-t-il fini sa phrase qu’il lance le chronomètre pour 5 min. Ils ont tous les 3
l’air en panique totale. Ils se regardent les uns les autres, ils n’osent pas
parler ni regarder le Directeur. Après quelques minutes, Hugo commence à écrire,
Juliette et Caroline prennent plus de temps, mais comme le Directeur les presse
en expliquant que si rien est écrit sur l’ardoise avant la fin des 5 min ils
finiront entièrement nus au milieu du réfectoire tous les midis de la semaine,
elles finissent par écrire quelque chose. Je vois qu’elles ont toutes les deux
les mains qui tremblent tellement qu’elles ont du mal à écrire, mais
visiblement, elles ont noté quelque chose. A la fin des 5 min, le Directeur
demande à Hugo de montrer son ardoise à toute la classe. Il retourne donc son
ardoise, et nous lisons tous « Punition niveau 2 ». C’est ensuite le tour de
Juliette, son ardoise montre « Punition niveau 1 », et enfin, l’ardoise de
Caroline dévoile « Punition niveau 3 ». Quel suspens ! Je ne sais pas qui a la
bonne réponse, ni ce qui va se passer, mais le fait qu’il y ait 3 différentes
punitions de notée nous promet une suite assez intéressante. Juliette a noté
niveau 1, si jamais le Directeur pense que cela vaut niveau 2, il a dit qu’il
serait particulièrement sévère. C’est peut-être elle qui va prendre la punition
la plus sévère. Je commence à fantasmer sur le fait de voir le Directeur lui
baisser sa culotte devant toute la classe. Ce serait un première pour moi. Je
n’ai jamais assisté à une punition corporelle, je n’ai jamais vu une fessée.
Alors une fessée déculottée, ce serait un spectacle que jamais je n’oublierai.
Et passer toute l’année dans la même classe que Juliette après ça, wahou ! Je ne
pourrai pas m’empêcher de la revoir recevant une fessée, ce serait si excitant.
Je suis dans mes pensées quand j’entends le Directeur reprendre : - Bien. Je
vois qu’un d’entre vous est assez conscient et lucide pour avoir noter la
punition la plus adaptée. Hugo, approchez-vous du bord de l’estrade. Hugo
s’approche, hésitant. Il a toujours les mains sur la tête. - Hugo,
rappelez-nous-en quoi consiste une punition Niveau 2. Le Directeur reprend Hugo
plusieurs fois en lui demandant de parler plus fort, et on entend enfin Hugo
répondre : - La punition niveau 2, c’est une fessée, pantalon entièrement
baissé, puis slip baissé sous les fesses. Donc, une fessée sur des fesses nues.
Puis une mise au coin les mains sur la tête face au mur, le slip toujours sous
les fesses. - Exact. C’est bien cette punition que j’ai moi-même noté sur ma
feuille. Là, je réalise que quoi qu’il arrive, nous devrions tous voir les
fesses nues de Juliette et de Caroline d’ici peu de temps. Mon sexe gonfle
encore un peu, je n’en peu plus d’excitation. Et que va-t-il se passer pour
Juliette qui a sous-estimé sa punition ? Est-ce qu’on va en voir plus ? La voir
de face culotte baisse est un spectacle que jamais je n’aurais imaginé pouvoir
voir un jour, surtout devant toute la classe. Je suis de plus en plus impatient
de découvrir la suite du programme. - Bien, alors allons-y Hugo. Baissez votre
pantalon. Je vois que Hugo prend sur lui, mais il n’a pas le choix. Et le
Directeur avait dit qu’il serait indulgent avec celui qui donnerai la bonne
réponse, il vaut mieux rester dans les bonnes grâces du Directeur et obéir. Hugo
s’exécute donc et nous voyons son pantalon tomber à ses pieds assez rapidement.
Le Directeur s’approche d’Hugo, le retourne dos à la classe puis pose une chaise
devant lui et lui demande de mettre les deux mains à plat sur la chaise. Hugo se
retrouve donc complétement penché en avant, les fesses bien en évidence devant
toute la classe. - Ecartez vos jambes pour plus de stabilité Hugo écarte les
jambes et sans prévenir, le Directeur passe derrière lui et lui baisse son slip
juste sous les fesses. Je pensais qu’Hugo y échapperait, vu que le Directeur
avait dit qu’il serait plus indulgent, mais non. - Comme promis, je serai moins
sévère. Je ne vous donnerai que 10 clacs au lieu de 20 Joignant le gestes à la
parole, le Directeur se met à claquer les fesses nues de Hugo. C’est hallucinant
! Je suis en train d’assister à ma première fessée déculottée en public, c’est
incroyable. Je n’en perds pas une miette, même si ce sont les fesses de Juliette
et de Caroline qui m’intéressent le plus. Mais j’avoue que je ne me priverai pas
de me moquer d’Hugo de de son petit cul blanc tout le reste de l’année. J’ai
vraiment envie de raconter ça dans les moindre détails à toutes les filles
qu’Hugo connait, ce sera tellement drôle. Je vais lui mettre la honte de sa vie.
Désormais je l’appellerai Monsieur cul nu ! Hugo a le droit de remonter son slip
à la fin de la punition, puis doit se retourner devant toute la classe, les
mains sur la tête. - Hugo, la suite de la punition est pour vous de rester au
coin, et normalement le slip baissé, jusqu’à la fin du cours. Mais puisque la
suite du cours va être particulier, vous allez vous mettre ici, devant la porte
et face à la classe. Vous gardez votre slip, mais aussi votre pantalon baissé,
et vos mains su la tête. Vous avez trouvé la bonne punition et vous avez été
obéissant et digne durant toute la punition, c’est donc ma façon d’être
indulgent avec vous - Merci Monsieur le Directeur, dit Hugo, en se plaçant comme
le Directeur l’a indiqué, ravi de comprendre qu’il va pouvoir assister aux
punitions des deux filles. Le Directeur se retourne vers Caroline : - Alors
Caroline, vous pensez mériter une punition niveau 3, c’est bien ça ? - Heu …
c’est ce que je j’ai noté … - Donc, c’est ce que vous pensez mériter, c’est ce
que je dis. C’est la punition qui vous semble adaptée pour ne plus recommencer
je suppose. Et comme je tiens absolument à ce que vous ne recommenciez pas, je
vais être bien obligé de vous infliger la punition que vous pensez mériter.
C’est important que vous receviez la punition qui vous remettra sur le droit
chemin. Et si vous demandez à être humiliée devant tous vos camarades de
classes, je ne peux pas m’y opposer. Oh, le Directeur insinue que c’est elle qui
demande une punition sévère, il est terrible ! Puis, le Directeur laisse
Caroline exprimer à haute voix devant toute la classe ce qu’est une punition
Niveau 3, ce qui est particulièrement excitant. Elle recommence plusieurs fois
car le Directeur trouve qu’elle n’est pas assez précise ou qu’elle ne parle pas
assez fort, puis on entend : - La punition niveau 3 est une fessée avec le bas
du corps entièrement nu. Une fessée sur des fesses nues. Puis une exposition
toute la journée dans la classe du professeur, donc devant toutes les
différentes classes qui vont se succéder, une partie du temps face au mur, et
une partie du temps dos au mur. Caroline est en larme quand elle dit tout ça.
Alors que moi j’exulte. Ça va être indescriptible. En plus le Directeur en
rajoute encore sur le fait que c’est son choix, que c’est elle qui demande. Elle
va avoir la réputation d’être la fille qui a demandé au Directeur de la foutre à
poil devant tout monde pendant une journée entière ! Et je vais bien faire
partie de ceux qui expliqueront que oui, le Directeur lui a demandé de choisir
sa punition et que c’est elle qui a demandé ! Ou alors …je commence à imaginer
que je pourrai rétablir la vérité et expliquer la fourberie du Directeur, si
Caroline veut bien me remontrer ses fesses en privé. Ça ce serait dingue ! Et je
suis sûr que ça pourrait marcher. - Caroline enlevez votre jupe et posez-la sur
le bureau de votre professeur. Caroline est beaucoup plus hésitante qu’Hugo,
mais elle fait ce que le Directeur lui demande. Quand je vois sa jupe tomber à
ses pieds et que je découvre sa petite culotte blanche je suis aux anges. Oh mon
Dieu. Une fille est en culotte dans la classe devant tout le monde. Il règne un
silence total, tout le monde a le souffle coupé. Elle remet ses mains sur la
tête et reste face à nous, avec son T-shirt un peu court et en culotte. C’est
magnifique. Le Directeur lui demande alors de se mettre dans la même position
qu’Hugo, et elle nous offre une vue terrible sur ses fesses bien moulées dans sa
culotte blanche. Le Directeur vient à côté d’elle, puis glisse ses mains dans
l’élastique de sa culotte. Caroline se mets à supplier le Directeur « Je vous en
prie, faites comme pour Hugo, ne m’enlevez pas complétement ma culotte,
laissez-la juste sous mes fesses, je vous en prie, ne l’enlevez pas, s’il vous
plait » - Taisez-vous ! Je ne veux rien entendre. Vous avez demandé une punition
niveau 3, c’est que vous souhaitez que je vous retire complétement votre
culotte, et je vous assure que vous ne reverrez votre culottes qu’en fin de
journée. SI vous êtes si honteuse, c’est que c’est bien la punition qu’il vous
faut . Avoir le bas du corps entièrement nu est en effet une punition
particulièrement humiliante, d’autant que ce sera devant votre classe, mais
aussi devant toutes les autres classes, mais je vous rappelle que c’est vous qui
avez sollicité cette humiliation. Puis, avec une très grande lenteur, il
commence à baisser la culotte de Caroline. Nous voyons ses fesses apparaitre
très lentement, c’est délicieux. Il marque un temps d’arrête lorsque la culotte
se retrouve juste sous ses fesses, puis se met accroupi pour pouvoir accompagner
la suite de son geste et baisser sa culotte jusqu’à ses pieds. Enfin, il lui
soulève un pieds, puis l’autre, lui enlève complétement et la place sur le
bureau avec la jupe de Caroline. - Caroline, il me semble vous avoir demandé de
vous mettre dans la même position qu’Hugo. Alors, j’attends. Caroline a en effet
les jambes complétement serrées, je suppose que le Directeur veut qu’elle écarte
les jambes. Déjà, cette position est terriblement impudique. Caroline n’a plus
de culotte et elle penchée en avant, nous offrant une vue incroyable sur ses
fesses. Mais si elle écarte les jambes, là, on va absolument tout voir ! Je
n’imagine même pas. - Caroline, vous jouez avec le feu en n’obéissant pas. La
même position qu’Hugo veut dire les jambes écartées. Vous allez recevoir 20
clacs, vous devez avoir une position stable. Allez ! Et si cela gène votre
pudeur, tant mieux, cela fait partie de la punition. Oui, bien sûr, je vous
assure que tous les garçons de cette salle se souviendront très longtemps de ce
qu’ils vont voir, mais c’est ainsi, allez ! Caroline écarte les jambes lentement
et j’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon jean. C’est absolument
terrible. On voit tout ! Je suis au deuxième rang, dans la colonne du milieu et
je ne donnerai ma place à personne, je suis tellement bien placé. De là ou je
suis, je vois ses lèvres entre-ouvertes entre ses jambes. Et ses fesses si
offertes. Je suis au bord de l’organisme. Si seulement je pouvais mettre ma main
dans mon slip. Le Directeur s’approche d’un coup et se met à lui infliger une
fessée monumentale. Il compte 20 clacs à haute voix et nous voyons les fesses de
Caroline devenir rouge. Elle finit par hurler à chaque clac, le Directeur n’y va
pas de main morte. Quand il a terminé, il demande à Caroline de se relever, de
remettre les mains sur sa tête et de se retourner face à tout le monde. Très
lentement, Caroline se retourne. Voir cette fille face à nous, avec le bas du
corps entièrement nu, voir son triangle de poils, et son visage, inondé de
larmes, les mains sur la tête, c’est une image qui restera gravé dans ma tête.
Le Directeur la laisse ainsi un long moment, puis lui demande de se placer à
côté d’Hugo, face à la classe. Le Directeur lui redit qu’elle restera à cette
place et dans cette tenue toute la journée. Elle sera autorisée à remettre sa
culotte pour aller au réfectoire, mais pas sa jupe. Le Directeur laisse un long
silence et tout le monde finit par se retourner vers Juliette, toujours sur
l’estrade. - Alors, mademoiselle, vous, vous pensez que tricher à un examen
n’est pas une faute si grave que ça. Vous pensez qu’une simple punition niveau 1
pourrait suffire. - Heu … c’est-à-dire … - C’est-à-dire rien du tout ! Vous
croyez vraiment que TRICHER n’est pas grave ! - Mais c’est juste que ce n’est
pas moi qui … Juliette est à peine audible quand elle parle, elle a la voix qui
tremble. - Alors vous n’avez toujours pas compris que laisser sa copie visible
est aussi grave que regarder la copie de son voisin ! Vous venez d’assister à la
punition bien sévère de votre camarade, et vous continuez à penser que vous,
vous ne méritez qu’une petite punition de rien du tout ? Vous savez quoi ? Vous
venez d’aggraver votre punition. Je pensais vous administrer la même punition
que Caroline, pour vous punir d’avoir sous-estimer la punition. Mais je vois que
cela ne suffira pas. Nous allons donc monter la punition d’un cran. Ou même de
plusieurs crans. Je n’aime pas qu’on se moque de moi, mademoiselle. Enlevez
immédiatement votre jupe et votre t-shirt ! Le Directeur est si ferme, que
Juliette se met à lui obéir immédiatement. Elle commence par enlever sa jupe,
puis son T-shirt et elle se retrouve en sous-vêtements devant tout la classe.
Contrairement à Caroline qui avait une culotte blanche, Juliette a des
sous-vêtement noir, c’est ultra sexy. Et la voir si pudique, si gênée, ça rend
la scène encore plus sexy. Elle pose sa jupe et son T-shirt sur le bureau tout
en essayant de se cacher avec ses mains. Mais bien vite, le Directeur lui
demande de se mettre face à nous les mains sur la tête et nous pouvons admirer
notre camarade de classe, vêtue uniquement d’une culotte et d’un soutien-gorge.
J’ai vraiment envie de sortir mon téléphone portable et de prendre des photos,
voir même un film complet, mais évidement c’est impossible. Quel dommage. Le
Directeur semble réfléchir, puis intervient. - Bien. Vous imaginez bien que vous
ne garderez pas votre culotte longtemps. Mais je voudrais vraiment que vous
compreniez que me désobéir ou me répondre durant une punition n’est pas une
bonne idée, alors, comme je le disais, la punition va monter d’un, ou plusieurs
crans. Alors dites moi Juliette, d’après vous, quel pourrait être la prochaine
étape de votre punition ? Je vous écoute. - Heu … Oh mon Dieu, il va la faire à
nouveau intervenir. Il veut que ce soit elle qui demande la suite. - Heu … quoi
? Vous avez compris j’espère qu’il faut me répondre quand je pose une question
mademoiselle. - Heu, oui. Je vais répondre. Heu … la prochaine étape est de me
mettre en position pour la fessée, je suppose. - Etes-vous sur ? Il y a une
autre étape avant ? Je dirai même 2 étapes. Allez, je vous écoute. - Heu … il
faudrait que je retire … ma culotte avant. - Oui, très bonne idée. - Quoi
d’autre ? - Heu … - Allez ! - Heu … il faudrait que je retire aussi mon
soutien-gorge … Juliette a de grosses larmes sur les joues quand elle dit ça. Le
Directeur surprend tout le monde, encore une fois : - Enlever votre
soutien-gorge ? Ah. Ce n’est pas à ça que je pensais. Je pensais que vous alliez
dire qu’après avoir retirer votre culotte il vous faudrait la poser sur le
bureau. Maintenant si vous demandez de montrer vos seins à tout le monde, je ne
vais pas m’y opposer. D’accord. Il est terrible. Il en profite pour accentuer
son humiliation et sa honte. J’adore son esprit. Je commence à vouloir faire
carrière comme professeur ou comme directeur, uniquement pour avoir le plaisir
de faire ce qu’il fait. Il est grandiose. - Donc Juliette vous souhaitez vous
mettre entièrement nue pour votre fessée. C’est d’accord. Mais moi, je voudrais
que vous compreniez à quel point vos camarades sont impactés à chaque fois que
quelqu’un triche à un examen. Quand un élève triche, il remonte dans le
classement, et les autres baissent dans le classement. Donc, un élève qui triche
est un élève qui empêche tous les autres d’être jugé à leur juste valeur. Donc,
je voudrais que les autres élèves participent à votre punition. Alors dites-moi,
comment pourraient il participer ? - Heu … en regardant … - Oui, mais encore.
Participer vraiment. Concrètement. - Heu … je ne sais pas … - Allons Juliette,
vous avez bien une idée. Vous voulez que nous allions tous dans la cours pour
voir si vous avez plus d’idée ? - Non ! Pas dans la cours, je vous en prie. Je …
heu … un élève pourrait me donner la fessée plutôt que vous, ce serait plus … -
Excellente idée ! Bien ! Alors maintenant, vous allez choisir 3 garçons dans la
classe, l’un pour vous retire votre culotte, un autre pour retire votre
soutien-gorge, je n’oublie pas que vous avez demander à montrer vos seins, et
enfin un dernier pour la fessée. Le Directeur force Juliette à choisir 3 garçons
et à leur demander bien distinctement de lui baisser sa culotte ou de la mettre
entièrement nue … C’est une épreuve terrible pour Juliette. Je ne suis
malheureusement pas choisi, mais assister au spectacle de voir des garçons de la
classe mettre Juliette toute nue est fascinant. C’est Julien qui commence par le
soutien-gorge. Il se met derrière elle pour le dégrafer, puis d’un geste
théâtral lui retire vivement, laissant ses 2 gros seins bondir hors de celui-ci.
Cette vision est époustouflante. Juliette pousse un cri et met sa main devant sa
poitrine. Puis, devant de regard noir du Directeur repose ses mains sur sa tête.
Enfin, elle demande à Eric de lui retirer sa culotte. Lui aussi se place
derrière elle et la baisse très lentement en tirant d’un côté, puis de l’autre,
jusqu’en bas. Elle est entièrement nue devant toute la classe. C’est dingue.
C’est Patrick qui aura le plaisir de lui infliger la fessée. Le Directeur place
la chaise face à la porte de la classe et demande à Patrick de s’assoir. Enfin,
il place Juliette sur ses genoux. Patrick a une fille entièrement nue sur ses
genoux. C’est dingue. Je ne comprends pas bien pourquoi, mais le Directeur a
placé Juliette la tête vers nous, du coup, on ne voit toujours pas ses fesses.
En revanche, comme elle a les cheveux très courts, nous voyons très bien son
buste. Elle est obligée de poser ses mains par terre et nous voyons ses seins
ballotter à chaque clac qu’elle reçoit. Je n’avais jamais vu des seins nus en
vrai, c’est un spectacle magique. Au bout de 10 clacs, le Directeur demande à
Juliette de se retourner, et Wahou ! Ça y est, nous avons une vue imprenable sur
ses fesses et paf ! Patrick repart pour 10 claques. Ses fesses sont déjà bien
rouges. Comme elle glisse, Patrick lui tient une jambe, ce qui a pour effet de
la mettre dans une position totalement impudique, nous offrant tous ses trésors
intimes. Je crois bien que Patrick fait exprès de bouger ses jambes à lui pour
qu’elle soit déséquilibrée. A chaque fois il aggripe sa jambe et la force
presque à mettre un pied à terre pour nous montrer son entrejambe. Je n’en perds
pas une miette. Il prend tout son temps pour armer sa main et la claquer,
faisant durer le spectacle, et la laissant entre chaque claque dans la position
la plus impudique possible. A la fin de la fessée, Juliette doit se présenter
face à la classe, les mains sur la tête. Le Directeur demande aux trois punis de
venir sur l’estrade, en position de puni. Puis, le Directeur demande à Hugo de
remettre son pantalon, et de retourner à sa place, sa punition est terminée. Il
indique que c’est maintenant la fin du cours et que tout le monde va continuer
sa journée comme d’habitude, sauf Caroline et Juliette qui vont rester dans
cette classe, tantôt face au mur, tantôt face à la classe. Les 2 filles accusent
le coup, mais savent qu’il est mieux de ne rien dire. Je sors de la classe à
regret, et je me demande bien si je vais pouvoir les revoir dans cette tenue
avant la fin de la journée. A l’heure du repas, nous avons le plaisir de
retrouver nos 2 punies au réfectoire. Elles ont toutes les 2 remis leur culotte,
mais Caroline n’a pas sa jupe, et Juliette porte uniquement sa culotte, nous
offrant ses magnifiques seins nus. Elles sont toutes les deux debout sur une
table, au milieu du réfectoire, les mains sur la tête. Tous les autres élèves
sont ébahis ! Encore une fois, je sors de la cantine avec regret. A 16h, pour
notre dernier cours de la journée, le Directeur est là avec les 2 filles. Il
nous explique qu’il n’y a plus de cours dans la salle où elles sont restées
toute l’après-midi, alors elles finiront la journée avec nous. Elles sont dans
la même tenue qu’au réfectoire. Le Directeur nous explique qu’elles vont
assister au cours normalement, mais dans leur tenue de punie. - Bien, donc
Caroline rendez-moi votre culotte, je ne vous l’ai rendu que pour passer dans
les couloirs. Caroline retire alors sa culotte. Juliette doit également se
remettre nue. Elles sont bien contentes de pouvoir s’assoir à leur place et de
se mettre un peu plus en retrait du regard des autres élèves. Mais ce n’est pas
comme ça que notre professeur d’anglais voit les choses. Durant toute l’heure il
les sollicite pour distribuer des documents à chaque élève ou pour venir
corriger des exercices au tableau. Nous profitons merveilleusement de leur corps
offerts durant cette dernière heure délicieuse. Je réalise à ce moment là, que
le Directeur ne nous a jamais montré ce qu'il avait écrit sur son papier. Avait
il écrit quelque chose où voulait humilier le plus possible les 3 élèves, et en
particulier les filles ? Je me le demande. Toujours est-il que cette punition
n'a pas fini de me faire fantasmer le soir dans mon lit ...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
Wahou ! quelle histoire : trop bien !
Certainement une de vos meilleures histoires. L'humiliation est bien évidemment un élément majeur de la discipline. La nudité plus ou moins importante de la coupable et la présence d'un grand nombre de témoins ne suffisent cependant pas. La participation active d'une punie à sa propre humiliation est un élément essentiel à la prise de conscience de ses fautes. Dans votre histoire, j'ai particulièrement apprécié que les deux jeunes filles aient à choisir elles-mêmes leur chatiment corporel et surtout que l'une d'entre-elle doivent désigner trois garçons pour la déshabiller et la punir. Un regret cependant : je pense que vous auriez pu mieux décrire ce moment qui a dû être tellement honteux pour elle.
Merci Maurine pour ce commentaire.
Mais ce texte n'est pas de moi. C'est une lectrice du blog qui l'a écrit et me l'a donné.
Je l'apprécie moi-même beaucoup.
Pascfz
Enregistrer un commentaire