Voici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...
jeudi 27 mars 2025
Julie la voleuse
Julie errait entre les rayons du magasin de vêtements, les yeux brillants d’excitation et les mains moites. Elle avait repéré cette robe noire, élégante et parfaitement coupée, dès son entrée. Son prix, exorbitant, la rendait inaccessible. Mais Julie avait un plan. Elle glissa discrètement la robe sous sa veste, son cœur battant la chamade. Elle se sentait invincible, comme si elle pouvait défier les règles sans conséquences.
Mais Marc, le vigile, l’observait depuis un moment. Son regard perçant ne la quittait pas, suivant chaque mouvement de ses mains, chaque hésitation dans son pas. Il avait vu la robe disparaître sous sa veste, et un sourire froid se dessina sur ses lèvres. Il attendit patiemment, laissant Julie s’enfoncer un peu plus dans son piège.
Au moment où elle s’approchait de la sortie, Marc surgit, rapide et silencieux comme un prédateur. Il la saisit fermement par le bras, sa poigne implacable. Julie sursauta, la robe glissant de sa veste pour tomber à ses pieds. La honte l’envahit instantanément, ses joues s’embrasèrent.
« Suivez-moi », ordonna Marc d’une voix sèche, sans émotion.
Il l’entraîna sans ménagement à travers le magasin, sous les regards curieux des autres clients. Julie sentait les larmes monter, son cœur battait à tout rompre. Elle avait honte, une honte brûlante qui lui tordait les entrailles. Elle essayait de se débattre, mais la poigne de Marc était de fer.
Ils arrivèrent dans un petit bureau, austère et sans fenêtre. Marc referma la porte derrière eux, isolant Julie dans cet espace étouffant. Elle se tenait là, tremblante, les yeux baissés, incapable de soutenir son regard.
« Vous savez ce que vous avez fait, n’est-ce pas ? » demanda Marc, sa voix glaciale.
Julie hocha la tête, les larmes coulant désormais librement sur ses joues. Elle murmura un « oui » à peine audible, sa voix brisée par la peur et la honte.
Marc s’assit derrière un bureau métallique, croisant les bras. Il la dévisagea longuement, comme s’il pesait ses options. Julie sentait son regard comme un poids, un jugement silencieux qui la broyait.
« Vous avez deux choix », dit-il enfin, sa voix calme mais ferme. « Soit j’appelle la police, et vous passez la nuit en garde à vue. Soit… vous acceptez une punition. Une punition sévère. »
Julie leva les yeux, surpris. Une punition ? Qu’est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Elle hésita, son esprit en ébullition. La police… la prison… ou une punition. Quelle punition ?
« Je… je ne comprends pas », bégaya-t-elle, sa voix tremblante.
Marc se leva, contournant le bureau pour se rapprocher d’elle. Il se planta devant elle, son regard intense et impitoyable.
« Vous allez recevoir une fessée », dit-il simplement. « Une fessée humiliante, publique. C’est le prix à payer pour votre erreur. »
Julie recula d’un pas, horrifiée. Une fessée ? Publique ? C’était impossible, insensé. Elle secoua la tête avec vigueur, les larmes redoublant.
« Non, non, je préfère la police ! Appelez la police, s’il vous plaît ! »
Marc haussa les épaules, un sourire narquois aux lèvres.
« Trop tard, mademoiselle. Vous avez fait votre choix. Maintenant, vous allez l’assumer. »
Il la saisit à nouveau par le bras, la traînant hors du bureau, hors du magasin. Julie se débattait, suppliant, mais Marc était implacable. Il la tira à travers les rues, sous les regards curieux des passants. Elle sentait les yeux des gens sur elle, leur jugement silencieux.
Marc l’emmena dans une ruelle étroite, à l’abri des regards directs, mais pas de l’humiliation. Il la plaça face à un mur, ses mains appuyées contre la brique froide.
« Enlève ta jupe », ordonna-t-il, sa voix autoritaire.
Julie hésita, mais le regard de Marc ne laissait aucune place à la négociation. Elle obéit, ses doigts tremblants dégrafant sa jupe. Elle la laissa tomber à ses pieds, se retrouvant en culotte et collants couleur chair.
« Et ton haut », ajouta Marc, impitoyable.
Julie obéit à nouveau, déboutonnant lentement sa blouse. Elle la laissa glisser le long de ses bras, révélant son soutien-gorge noir. Elle se sentait vulnérable, exposée, comme si elle était nue devant le monde entier.
Marc la saisit par le coude, la guidant à travers les rues. Julie marchait, docile, ses pieds nus sur le trottoir froid. Elle sentait les regards, les murmures, l’humiliation qui la consumait de l’intérieur.
Ils arrivèrent dans un parc, un espace ouvert où les gens se promenaient, riaient, vivaient leur vie. Marc la conduisit jusqu’à un banc, isolé sous un arbre.
« Penchez-vous », ordonna-t-il, sa voix sans émotion.
Julie obéit, se penchant en avant, ses mains appuyées sur le banc. Elle sentait le regard de Marc sur elle, son jugement, son pouvoir.
Il lui releva sa culotte, exposant ses fesses nues. Julie retint un cri, sa peau déjà rougie par l’anticipation. Marc leva la main, la faisant siffler dans l’air avant de la laisser s’abattre sur ses fesses.
Le coup fut sec, brutal. Julie poussa un cri étouffé, sa peau brûlant sous l’impact. Marc répéta le mouvement, sa main lourde et impitoyable. Les coups s’enchaînaient, une cadence régulière et douloureuse.
Julie pleurait maintenant, ses larmes mêlées à ses cris étouffés. Elle sentait les regards des passants, leur curiosité malsaine. Elle était exposée, humiliée, punie devant le monde entier.
Marc ne s’arrêta pas. Il continua, sa main implacable, jusqu’à ce que les fesses de Julie soient rouge vif, marquées par sa colère. Il lui baissa ensuite ses collants, les faisant glisser le long de ses jambes, révélant sa peau nue.
« Relevez-vous », ordonna-t-il enfin.
Julie se redressa, tremblante, ses mains couvrant ses fesses douloureuses. Elle était presque nue, ne portant plus que ses collants transparents. Marc la dévisagea, un sourire satisfait aux lèvres.
« Restez ici », dit-il simplement, avant de s’éloigner, la laissant seule, exposée, humiliée.
Julie se tenait là, dans le parc, sous les regards curieux des passants. Elle sentait la brûlure sur ses fesses, l’humiliation qui la consumait. Elle était prisonnière de cette punition, de cette exposition publique. Et alors que les larmes continuaient de couler, elle se demandait si elle pourrait un jour se remettre de cette expérience dégradante.
Julie restait là, recroquevillée derrière l’arbre, son corps tremblant sous le poids de l’humiliation. Son collant transparent ne laissait rien à l’imagination, et elle tentait désespérément de cacher ses seins et son intimité avec ses mains. Les regards des passants, bien que lointains, la transperçaient comme des lames. Elle se sentait nue, vulnérable, et le froid de la nuit ne faisait qu’accentuer son malaise. Sortir ainsi était impensable, mais rester ici l’était tout autant. Elle était piégée, prisonnière de sa propre honte.
Une heure passa, interminable. Chaque minute était une éternité, chaque bruit un rappel de sa situation. Puis, il revint. Marc, le vigile, apparut au bout du chemin, un sourire narquois aux lèvres. Son regard était froid, calculateur, comme s’il savourait chaque instant de son désarroi.
— Tu as eu le temps de réfléchir, j’imagine, dit-il d’une voix douce, presque moqueuse. Je peux te libérer de cette punition, mais à une condition : tu dois accepter tout ce que je vais te demander. Sans discuter.
Julie le fixa, les yeux emplis de larmes. Elle voulait refuser, crier, s’enfuir, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix. La menace de la police planait toujours, et elle ne pouvait pas risquer ça. D’une voix tremblante, elle hocha la tête.
— Bien, dit-il, satisfait. Suivez-moi.
Il l’entraîna hors du parc, vers une rue animée. Les lumières des boutiques et les rires des passants contrastaient violemment avec l’atmosphère pesante qui l’entourait. Marc s’arrêta au milieu de la foule, se tournant vers elle avec un regard impitoyable.
— Ta première tâche est simple, dit-il. Tu dois trouver quelqu’un pour te fesser. Ici. Devant tout le monde. Si tu refuses, je t’emmène au poste.
Julie sentit son estomac se nouer. C’était impossible. Elle ne pouvait pas faire ça. Mais Marc la poussait déjà vers la foule, son regard ne laissant aucune place à la négociation.
— Allez, dit-il. Trouve quelqu’un. Maintenant.
Les joues en feu, Julie s’avança, le cœur battant à tout rompre. Elle approcha un homme, puis un autre, suppliant, mais les refus s’enchaînaient. Chaque "non" était un coup de poignard, chaque regard curieux une nouvelle humiliation. Enfin, après ce qui lui sembla une éternité, un homme d’une quarantaine d’années, visiblement ivre, accepta.
— D’accord, marmonna-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Mais dépêche-toi.
Julie se tourna vers Marc, cherchant une issue, mais il hocha simplement la tête, comme pour l’encourager. Les larmes aux yeux, elle se positionna, les mains toujours pressées contre ses seins, et baissa son collant jusqu’aux genoux. L’homme leva la main et la fessée retentit, un bruit sec qui résonna dans la rue. La douleur fut vive, mais c’était la honte qui la consumait. Les passants s’étaient arrêtés, certains riant, d’autres filmant avec leurs téléphones. Elle voulait disparaître.
— C’est bon, dit Marc, satisfait. Prochaine étape.
La deuxième tâche était encore pire. Marc lui ordonna de trouver quelqu’un qu’elle devrait satisfaire sexuellement, selon les désirs de cette personne. Julie voulut refuser, mais la menace d’appeler la police la força à obéir. Elle erra dans la rue, approchant des hommes au hasard, suppliant, humiliée. Chaque refus était une torture, chaque regard un jugement. Enfin, un jeune homme, visiblement gêné mais curieux, accepta.
— Je ne veux pas te faire de mal, dit-il, la voix tremblante. Mais… je ne peux pas laisser passer ça.
Julie le suivit dans une ruelle sombre, le cœur lourd. Elle se laissa faire, mécanique, sans plaisir, sans désir. Chaque geste était une insulte à son corps, chaque toucher une violation. Elle ferma les yeux, essayant de se dissocier de ce qui se passait, mais l’humiliation était omniprésente. Quand ce fut terminé, elle remontz ses collants rapidement, les larmes coulant sur ses joues.
— Dernière épreuve, dit Marc, sans émotion. Tu vas te donner du plaisir. Ici. Devant tout le monde.
Julie le fixa, incrédule. C’était trop. Elle ne pouvait pas faire ça. Mais Marc la poussa vers le milieu de la rue, son regard impitoyable.
— Si tu refuses, tu sais ce qui t’attend, dit-il, froidement.
Les larmes aux yeux, Julie se positionna, les mains tremblantes. Elle baissa son collant, exposant son intimité à la foule. Les regards curieux, les rires, les commentaires vulgaires l’entouraient, mais elle essaya de les ignorer. Elle posa une main sur sa cuisse, puis sur son sexe, fermant les yeux pour se concentrer. Chaque mouvement était une torture, chaque sensation une insulte. Elle essaya de se convaincre que c’était juste un cauchemar, mais la réalité était bien trop présente.
Les minutes passèrent, interminables. Enfin, elle atteignit un orgasme, faible et mécanique, mais suffisant pour Marc.
— C’est terminé, dit-il, un sourire satisfait aux lèvres. Tu es libre.
Julie se rhabilla rapidement avec les vêtements que lui donne Marc, les mains tremblantes. Elle ne voulait qu’une chose : partir, oublier. Mais elle savait que cette nuit la hanterait à jamais. Marc la laissa s’éloigner, sans un mot, sans un regard. Elle marcha, les jambes lourdes, le cœur brisé. Chaque pas était un effort, chaque respiration une lutte.
Quand elle fut enfin seule, dans une rue déserte, elle s’effondra sur le trottoir, les larmes coulant librement. Son corps était marqué, son esprit brisé. Elle avait survécu, mais à quel prix ? L’humiliation, la douleur, la dégradation… tout cela la définissait maintenant. Elle était Julie, la voleuse punie, la femme humiliée. Et cette nuit, elle le savait, ne la quitterait jamais.
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1 commentaire:
Bravo
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