Voici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...
jeudi 27 mars 2025
Julie la voleuse
Julie errait entre les rayons du magasin de vêtements, les yeux brillants d’excitation et les mains moites. Elle avait repéré cette robe noire, élégante et parfaitement coupée, dès son entrée. Son prix, exorbitant, la rendait inaccessible. Mais Julie avait un plan. Elle glissa discrètement la robe sous sa veste, son cœur battant la chamade. Elle se sentait invincible, comme si elle pouvait défier les règles sans conséquences.
Mais Marc, le vigile, l’observait depuis un moment. Son regard perçant ne la quittait pas, suivant chaque mouvement de ses mains, chaque hésitation dans son pas. Il avait vu la robe disparaître sous sa veste, et un sourire froid se dessina sur ses lèvres. Il attendit patiemment, laissant Julie s’enfoncer un peu plus dans son piège.
Au moment où elle s’approchait de la sortie, Marc surgit, rapide et silencieux comme un prédateur. Il la saisit fermement par le bras, sa poigne implacable. Julie sursauta, la robe glissant de sa veste pour tomber à ses pieds. La honte l’envahit instantanément, ses joues s’embrasèrent.
« Suivez-moi », ordonna Marc d’une voix sèche, sans émotion.
Il l’entraîna sans ménagement à travers le magasin, sous les regards curieux des autres clients. Julie sentait les larmes monter, son cœur battait à tout rompre. Elle avait honte, une honte brûlante qui lui tordait les entrailles. Elle essayait de se débattre, mais la poigne de Marc était de fer.
Ils arrivèrent dans un petit bureau, austère et sans fenêtre. Marc referma la porte derrière eux, isolant Julie dans cet espace étouffant. Elle se tenait là, tremblante, les yeux baissés, incapable de soutenir son regard.
« Vous savez ce que vous avez fait, n’est-ce pas ? » demanda Marc, sa voix glaciale.
Julie hocha la tête, les larmes coulant désormais librement sur ses joues. Elle murmura un « oui » à peine audible, sa voix brisée par la peur et la honte.
Marc s’assit derrière un bureau métallique, croisant les bras. Il la dévisagea longuement, comme s’il pesait ses options. Julie sentait son regard comme un poids, un jugement silencieux qui la broyait.
« Vous avez deux choix », dit-il enfin, sa voix calme mais ferme. « Soit j’appelle la police, et vous passez la nuit en garde à vue. Soit… vous acceptez une punition. Une punition sévère. »
Julie leva les yeux, surpris. Une punition ? Qu’est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Elle hésita, son esprit en ébullition. La police… la prison… ou une punition. Quelle punition ?
« Je… je ne comprends pas », bégaya-t-elle, sa voix tremblante.
Marc se leva, contournant le bureau pour se rapprocher d’elle. Il se planta devant elle, son regard intense et impitoyable.
« Vous allez recevoir une fessée », dit-il simplement. « Une fessée humiliante, publique. C’est le prix à payer pour votre erreur. »
Julie recula d’un pas, horrifiée. Une fessée ? Publique ? C’était impossible, insensé. Elle secoua la tête avec vigueur, les larmes redoublant.
« Non, non, je préfère la police ! Appelez la police, s’il vous plaît ! »
Marc haussa les épaules, un sourire narquois aux lèvres.
« Trop tard, mademoiselle. Vous avez fait votre choix. Maintenant, vous allez l’assumer. »
Il la saisit à nouveau par le bras, la traînant hors du bureau, hors du magasin. Julie se débattait, suppliant, mais Marc était implacable. Il la tira à travers les rues, sous les regards curieux des passants. Elle sentait les yeux des gens sur elle, leur jugement silencieux.
Marc l’emmena dans une ruelle étroite, à l’abri des regards directs, mais pas de l’humiliation. Il la plaça face à un mur, ses mains appuyées contre la brique froide.
« Enlève ta jupe », ordonna-t-il, sa voix autoritaire.
Julie hésita, mais le regard de Marc ne laissait aucune place à la négociation. Elle obéit, ses doigts tremblants dégrafant sa jupe. Elle la laissa tomber à ses pieds, se retrouvant en culotte et collants couleur chair.
« Et ton haut », ajouta Marc, impitoyable.
Julie obéit à nouveau, déboutonnant lentement sa blouse. Elle la laissa glisser le long de ses bras, révélant son soutien-gorge noir. Elle se sentait vulnérable, exposée, comme si elle était nue devant le monde entier.
Marc la saisit par le coude, la guidant à travers les rues. Julie marchait, docile, ses pieds nus sur le trottoir froid. Elle sentait les regards, les murmures, l’humiliation qui la consumait de l’intérieur.
Ils arrivèrent dans un parc, un espace ouvert où les gens se promenaient, riaient, vivaient leur vie. Marc la conduisit jusqu’à un banc, isolé sous un arbre.
« Penchez-vous », ordonna-t-il, sa voix sans émotion.
Julie obéit, se penchant en avant, ses mains appuyées sur le banc. Elle sentait le regard de Marc sur elle, son jugement, son pouvoir.
Il lui releva sa culotte, exposant ses fesses nues. Julie retint un cri, sa peau déjà rougie par l’anticipation. Marc leva la main, la faisant siffler dans l’air avant de la laisser s’abattre sur ses fesses.
Le coup fut sec, brutal. Julie poussa un cri étouffé, sa peau brûlant sous l’impact. Marc répéta le mouvement, sa main lourde et impitoyable. Les coups s’enchaînaient, une cadence régulière et douloureuse.
Julie pleurait maintenant, ses larmes mêlées à ses cris étouffés. Elle sentait les regards des passants, leur curiosité malsaine. Elle était exposée, humiliée, punie devant le monde entier.
Marc ne s’arrêta pas. Il continua, sa main implacable, jusqu’à ce que les fesses de Julie soient rouge vif, marquées par sa colère. Il lui baissa ensuite ses collants, les faisant glisser le long de ses jambes, révélant sa peau nue.
« Relevez-vous », ordonna-t-il enfin.
Julie se redressa, tremblante, ses mains couvrant ses fesses douloureuses. Elle était presque nue, ne portant plus que ses collants transparents. Marc la dévisagea, un sourire satisfait aux lèvres.
« Restez ici », dit-il simplement, avant de s’éloigner, la laissant seule, exposée, humiliée.
Julie se tenait là, dans le parc, sous les regards curieux des passants. Elle sentait la brûlure sur ses fesses, l’humiliation qui la consumait. Elle était prisonnière de cette punition, de cette exposition publique. Et alors que les larmes continuaient de couler, elle se demandait si elle pourrait un jour se remettre de cette expérience dégradante.
Julie restait là, recroquevillée derrière l’arbre, son corps tremblant sous le poids de l’humiliation. Son collant transparent ne laissait rien à l’imagination, et elle tentait désespérément de cacher ses seins et son intimité avec ses mains. Les regards des passants, bien que lointains, la transperçaient comme des lames. Elle se sentait nue, vulnérable, et le froid de la nuit ne faisait qu’accentuer son malaise. Sortir ainsi était impensable, mais rester ici l’était tout autant. Elle était piégée, prisonnière de sa propre honte.
Une heure passa, interminable. Chaque minute était une éternité, chaque bruit un rappel de sa situation. Puis, il revint. Marc, le vigile, apparut au bout du chemin, un sourire narquois aux lèvres. Son regard était froid, calculateur, comme s’il savourait chaque instant de son désarroi.
— Tu as eu le temps de réfléchir, j’imagine, dit-il d’une voix douce, presque moqueuse. Je peux te libérer de cette punition, mais à une condition : tu dois accepter tout ce que je vais te demander. Sans discuter.
Julie le fixa, les yeux emplis de larmes. Elle voulait refuser, crier, s’enfuir, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix. La menace de la police planait toujours, et elle ne pouvait pas risquer ça. D’une voix tremblante, elle hocha la tête.
— Bien, dit-il, satisfait. Suivez-moi.
Il l’entraîna hors du parc, vers une rue animée. Les lumières des boutiques et les rires des passants contrastaient violemment avec l’atmosphère pesante qui l’entourait. Marc s’arrêta au milieu de la foule, se tournant vers elle avec un regard impitoyable.
— Ta première tâche est simple, dit-il. Tu dois trouver quelqu’un pour te fesser. Ici. Devant tout le monde. Si tu refuses, je t’emmène au poste.
Julie sentit son estomac se nouer. C’était impossible. Elle ne pouvait pas faire ça. Mais Marc la poussait déjà vers la foule, son regard ne laissant aucune place à la négociation.
— Allez, dit-il. Trouve quelqu’un. Maintenant.
Les joues en feu, Julie s’avança, le cœur battant à tout rompre. Elle approcha un homme, puis un autre, suppliant, mais les refus s’enchaînaient. Chaque "non" était un coup de poignard, chaque regard curieux une nouvelle humiliation. Enfin, après ce qui lui sembla une éternité, un homme d’une quarantaine d’années, visiblement ivre, accepta.
— D’accord, marmonna-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Mais dépêche-toi.
Julie se tourna vers Marc, cherchant une issue, mais il hocha simplement la tête, comme pour l’encourager. Les larmes aux yeux, elle se positionna, les mains toujours pressées contre ses seins, et baissa son collant jusqu’aux genoux. L’homme leva la main et la fessée retentit, un bruit sec qui résonna dans la rue. La douleur fut vive, mais c’était la honte qui la consumait. Les passants s’étaient arrêtés, certains riant, d’autres filmant avec leurs téléphones. Elle voulait disparaître.
— C’est bon, dit Marc, satisfait. Prochaine étape.
La deuxième tâche était encore pire. Marc lui ordonna de trouver quelqu’un qu’elle devrait satisfaire sexuellement, selon les désirs de cette personne. Julie voulut refuser, mais la menace d’appeler la police la força à obéir. Elle erra dans la rue, approchant des hommes au hasard, suppliant, humiliée. Chaque refus était une torture, chaque regard un jugement. Enfin, un jeune homme, visiblement gêné mais curieux, accepta.
— Je ne veux pas te faire de mal, dit-il, la voix tremblante. Mais… je ne peux pas laisser passer ça.
Julie le suivit dans une ruelle sombre, le cœur lourd. Elle se laissa faire, mécanique, sans plaisir, sans désir. Chaque geste était une insulte à son corps, chaque toucher une violation. Elle ferma les yeux, essayant de se dissocier de ce qui se passait, mais l’humiliation était omniprésente. Quand ce fut terminé, elle remontz ses collants rapidement, les larmes coulant sur ses joues.
— Dernière épreuve, dit Marc, sans émotion. Tu vas te donner du plaisir. Ici. Devant tout le monde.
Julie le fixa, incrédule. C’était trop. Elle ne pouvait pas faire ça. Mais Marc la poussa vers le milieu de la rue, son regard impitoyable.
— Si tu refuses, tu sais ce qui t’attend, dit-il, froidement.
Les larmes aux yeux, Julie se positionna, les mains tremblantes. Elle baissa son collant, exposant son intimité à la foule. Les regards curieux, les rires, les commentaires vulgaires l’entouraient, mais elle essaya de les ignorer. Elle posa une main sur sa cuisse, puis sur son sexe, fermant les yeux pour se concentrer. Chaque mouvement était une torture, chaque sensation une insulte. Elle essaya de se convaincre que c’était juste un cauchemar, mais la réalité était bien trop présente.
Les minutes passèrent, interminables. Enfin, elle atteignit un orgasme, faible et mécanique, mais suffisant pour Marc.
— C’est terminé, dit-il, un sourire satisfait aux lèvres. Tu es libre.
Julie se rhabilla rapidement avec les vêtements que lui donne Marc, les mains tremblantes. Elle ne voulait qu’une chose : partir, oublier. Mais elle savait que cette nuit la hanterait à jamais. Marc la laissa s’éloigner, sans un mot, sans un regard. Elle marcha, les jambes lourdes, le cœur brisé. Chaque pas était un effort, chaque respiration une lutte.
Quand elle fut enfin seule, dans une rue déserte, elle s’effondra sur le trottoir, les larmes coulant librement. Son corps était marqué, son esprit brisé. Elle avait survécu, mais à quel prix ? L’humiliation, la douleur, la dégradation… tout cela la définissait maintenant. Elle était Julie, la voleuse punie, la femme humiliée. Et cette nuit, elle le savait, ne la quitterait jamais.
mercredi 5 février 2025
Juliette 7
Céline arrive un peu en avance. Quand elle se gare devant l'établissement, elle tremble comme une feuille. Elle prend quelques instants pour se donner du courage et voit un bus arriver.
Quand les premiers élèves sortent elle reconnait des camarades de classe de Juliette. Juliette est une des dernières à sortir. Céline met ses mains devant sa bouche pour réprimer un cri d'horreur lorsqu'elle constate que Juliette est toute nue. Un bras cache sa poitrine tandis que sa main droite tente désespérément de couvrir son sexe. Elle marche tête baissée vers l'entrée de l'établissement entourée de ses deux délégués de classe.
Céline met plusieurs minutes à rassembler ses esprits et quand elle voit 17H57 affiché sur sa voiture, elle se décide à y aller.
En entrant dans l'établissement, elle retrouve Juliette dans un coin debout face au mur, les mains sur la tête. Elle constate à la rougeur de ses fesses qu'elle a été punie il y a peu de temps.
Elle passe derrière elle en se faisant discrète. Juliette reste le nez contre le mur sans se préoccuper du monde qui passe tellement elle a honte.
Céline traverse le couloir et va toquer à la porte du bureau du directeur.
Le directeur vient lui ouvrir. Céline remarque aussitôt que l'adjoint du directeur est présent ainsi que le professeur de musique.
- Nous n'avons pas terminé, vous allez attendre un moment, je vous punirrai après.
Le ton impératif du directeur lui procure un frisson et ces propos la font rougir. Elle se sent comme une gamine qu'on reprimande.
- Venez avec moi...
Le directeur la prend par le bras sous l'aisselle comme il y a l'habitude de faire avec les cancres. Et la ramène vers le couloir au niveau de Juliette.
Il pousse Juliette un peu sur le côté et lui impose de collé son nez au mur. Elles s'échangent un regard furtif, et Céline baisse la tête, ne supportant pas les yeux rougis par les pleurs de Juliette.
Le directeur fait avancer Céline jusqu'à ce que son nez touche également le mur. Et malgré sa retissance il arrive à lui faire tenir les mains posées sur sa tête.
- Si vous bougez ou si je vous entends je descends votre culotte...
Céline n'en croit pas ses oreilles, il la menace alors qu'il y a du monde autours. Elle se sent si honteuse qu'elle ne dit rien. Les deux filles attendent, silencieuses. Les bureaux se vident petit à petit, élèves et membres du personnel passent derrière elles sans qu'elles ne bougent.
Du bout du couloir, c'est l'adjoint du directeur qui lui demande de venir.
Quand elle entre dans le bureau, elle constate que le professeur de musique est toujours là.
- Je pense qu'il est nécessaire que le professeur injurié par Juliette assiste à votre punition... Venez ici !
Céline s'approche, tremblante alors que le directeur se saisit du paddle qu'il avait déjà sorti.
- je vois que vous commencez enfin à obéir, vous vous êtes mise en jupe !
Le directeur vient face à elle.
- Retournez-vous !
Céline fait demi-tour.
- Levez haut l'arrière de votre jupe.
Un peu plus hésitante, Celine se saisit de l'ourler de sa jupe et la remonte pour découvrir sa culotte qu'elle a choisit exprès très couvrante. Elle porte aussi des bas noirs qui tranchent avec la blancheur de sa culotte.
Elle ferme les yeux alors qu'elle sent le directeur se mettre à côté d'elle. Puis une douleur iradie la surface de ses fesses. Son corps de tends de tout son long, elle lache sa jupe qui retombe sur ses fesses.
Le directeur pose le paddle et s'affaire sur sa jupe. Il la deboutonne et descend la fermeture puis l'accompagne jusqu'à ses pieds pour lui enlever.
- Posez vos mains au-dessus de votre tête ! ne vous avisez pas de les retirer !
Céline sert les dents, elle se sent ridicule en culotte devant ces trois hommes. Elle encaisse un coup puis un deuxième sans bouger. Au troisième un cri lui echappe et elle se contient pour ne pas enlever ses mains.
Le directeur prend son temps entre chaque coup. Elle avance d'un pas au quatrième coup et manque de tomber en avant. Autours de sa culotte ses fesses sont dejà bien rouges. Le directeur s'arrête après le cinquième et dit à Céline de baisser les bras.
Quand elle se retourne, ils voient des larmes couler sur ses joues.
Le directeur se met à la tutoyer comme si c'etait une élève :
- On va aller te conduire au coin, tu dois avoir besoin de souffler apres cette première série...
- Quand on viendra te chercher tu recevras une fessée de chacun de nous !
Céline se plaint que ce n'était pas prevu qu'elle soit fessée par plusieurs personnes, mais le directeur la fait taire en soulevant le paddle.
Lorsqu'elle baisse la tête, il s'approche d'elle et relève son pull pour lui enlever.
L'adjoint ouvre la porte et le directeur la fait sortir en sous-vêtements. Et l'accompagne vers Juliette qui n'a pas bougé.
Sur le trajet, il ouvre la porte du bureau du surveillant et lui dit de venir pour Juliette.
Céline soupire et baisse les yeux en mogreant qu'un quatrième homme la voit punie en sous-vêtements.
- Occupez vous de Juliette !!
Le surveillant prend le bras de Juliette. Il avait du avoir les instructions avant. Et la fait sortir dehors. Céline se demande où il peut bien l'emmener, mais ne demande rien.
Elle se contente d'aller au coin dans la même position que précédemment.
Le temps au coin lui semble durer un éternité. Elle baisse rapidement le bras pour lire l'heure sur sa montre et constate que ça fait plus d'un heure qu'elle est face au mur. Elle n'a vu personne passer. Même le surveillant n'est pas revenu. Juliette non plus.
Elle sursaute quand, quelques instants après, les trois hommes sortent du bureau.
Le directeur la sasit par le haut du bras en passant derrière elle, et l'entraine vers la porte. Celine sent le froid de l'extérieur, un frisson lui parcoure le corps. Elle marche dans la cour alors que les deux autres les suivent.
En passant près du réfectoire, elle espère que personne ne regarde dehors. Tous les internes sont en train de diner. Machinalement, elle parcours du regard l'interieur parfaitement éclairé et étouffe un cri quand elle voit Juliette debout sur une table au milieu du restaurant, avec les mains sur la tête, toute nue.
Elle suit les hommes en pensant que l'autre côté du refectoire est aussi vitré et qu'il donne sur la rue. Juliette doit être tout autant visible de l'extérieur de l'établissement.
Le directeur enclenche une porte et dit à Céline d'avancer près de lui avant de l'ouvrir, puis il la prend par le bras
- Tu dois être punie comme tous les élèves ! Donc se sera devant tout le monde.
Celine a peine le temps de comprendre que le directeur ouvre la porte et pousse Céline a l'intérieur.
Tout le monde se retourne quand elle entre dans la pièce. Elle met ces deux mains devant sa bouche pour retenir un cri. Le directeur la fait avancer, tout le monde la regarde en silence. Elle reconnaît une majorité des profs de Juliette mais il y a aussi des agents et M.Rousseau l'ouvrier d'entretien. En tout une dizaine de personnes. Une fois conduite au milieu de la pièce, c'est le prof de musique qui prend le relais. Sans autre avertissement, il la retourne et la penche en avant pour l'encerler avec son bras autour de sa taille, et lui emprissonne ses mains. Céline se debat quand il se saisit de sa culotte et crie pour qu'il ne le fasse pas. Mais il lui baisse en un mouvement exposant ses fesses a l'assemblée.
Une pluie de claques lui fait rapidement oublier la honte d'exposer ses fesses. celles-ci rougissent rapidement. Céline se débat mais c'est impossible de se dégager de l'emprise du professeur. Lorsqu'il la lache, elle à la présence d'esprit de remonter sa culotte en une fraction de seconde.
Le directeur adjoint ne la laisse pas souffler, elle le voit approcher avec le paddle dans les mains.
- Vos mains posées au-dessus de votre tête !
le ton est tellement impératif que Céline le fait aussitôt.
- Vous allez en recevoir 10 qui vont piquer ! J'irai jusqu'au bout même si vous êtes en larmes... Et dernière chose : si vos mains bougent de votre tête avant mon autorisation...
l'adjoint s'arrête exprès au milieu de sa phrase et passe ses pouces à l'interieur de sa culotte de chaque côté de sa taille.
- ... je double la mise !!!
Puis d'un coup, il descend sa culotte jusqu'à ses chevilles.
Tout le monde est derrière Céline, elle n'expose que ses fesses. Mais l'adjoint viens face à elle et la regarde dans les yeux avec un léger rictus et baisse son regard vers sa poitrine puis descend jusque sous son ventre tout en tapant le paddle dans sa main.
Céline baisse les yeux et resiste à cacher son sexe.
Il revient sur le côté et abat le paddle sur ses fesses. Céline crie et manque de trébucher à cause de sa culotte qui lui entrave les chevilles. Le deuxième suit aussitôt, puis le troisième. Les marques arrivent sur ses fesses. Achaque coup Céline crie plus fort. Il s'arrête à 5. Les mains de Céline se lèvent un instant puis revienne se mettre sur sa tête et tout le monde comprend qu'elle éclate en sanglots.
- Vous êtes à la moitié, redressez-vous !
Celine serre les dents sachant que le directeur adjoint sera intraitable.
Il prend son temps et au moment où elle s'y attend le moins elle sent la morsure du paddle sur ses cuisses.
L'adjoint pose le paddle par terre et fait glisser ses bas jusqu'à ses genoux puis s'apprête à sevir de nouveau. Celine baisse la tête, elle se sent ridicule avec sa culotte autour de ses chevilles et ses bas descendus négligemment. L'arrière de ses cuisses sont déjà bien rouge, mais c'est l'endroit que l'adjoint décide de frapper encore deux fois de suite.
Il réserve les deux derniers coups pour ses fesses déjà bien meurtries.
Puis il pose le paddle et l'attrappe par l'oreille pour l'approcher près coin en face d'eux. Il remonte sa culotte approximativement au milieu de ses fesses.
- Remettez un peu d'ordre à votre tenue...
Céline se retient de lui flanquer une gifle. Comme ci c'etait de sa faute d'être accoutrée ainsi !
Elle remet sa culotte correctement et remonte ses bas.
Le directeur remercie son adjoint et s'adresse a Céline :
- Je vais te fesser avec la culotte baissée tout à l'heure, mais pour le moment, tu vas rester un peu au coin sans bouger...
Puis il s'adresse au surveillant :
- Le dinner est terminé, où est Juliette ?
- Elle a été conduite en salle de veillée avec les autres...
- Vous lui avez redonné ses vêtements ?
- Non elle est toujours toute nue.
- Très bien ! laissez-la ainsi jusqu'à la fin de la punition de Céline.
Céline écoute la conversation sans pouvoir intervenir et espère que cela va bientôt se terminer pour toutes les deux.
Au bout de quelques minutes elle se rend compte au'elle est restée seule dans la pièce. Elle se retourne et ne sachant que faire, elle va s'assoir sur une chaise en grimaçant lorsqu'elle pose ses fesses.
Le directeur revient seul un moment après. Elle sursaute quand il rentre brusquement dans la pièce. Elle constate qu'il a dans ses mais sa jupe et son pull, qu'il jete sur la table en face d'elle.
- On va aller chercher Juliette, je ne peux pas t'emmener en sous-vêtements, remet ça !
Céline ne pert pas de temps à se rhabiller et suit le directeur. Lorsqu'ils arrivent dans la salle de veillée, elle remarque aussitôt Juliette assise sur une chaise, au milieu de la pièce. Les jambes croisées, les bras couvrant sa poitrine et la tête baissée. Autours d'elle les élèves internes vacquent a leurs occupations, certains faisant leurs leçons d'autres jouant à des jeux.
Le directeur indique à tout le monde de ranger leurs affaires et de rejoindre leur chambre.
En attendant que tout le monde sorte, il fait lever Juliette et lui enlève lui même les bras de sa poitrine.
Elle reste tête baissée, les bras le long du corps alors que les élèves s'activent aitours d'elle.
Avant de quitter la pièce, certains ne se gênent pas pour jeter un regard sur ses fesses en passant derrière elle. Et pour ceux qui sont face à elle, elle surprend en levant discrètement les yeux des regards glisser sur ses seins et descendre jusqu'à sa toison. Sans s'en rendre compte, elle rapproche ses mains devant son sexe et se tord nerveusement les doigts en cachant partiellement son sexe.
Quand la salle est vide, le surveillant arrive avec les vêtements de Juliette. Le directeur l'autorise à les remettre et lui demande d'attendre ici. Puis il s'adresse au surveillant.
- Tout le monde est arrivé ?
- Oui tout est prêt...
Céline blêmit en ce demandant ce que veut dire le directeur. Elle ne tarde pas à etre fixée :
- Tu vas me suivre pour être fessée. Je t'ai dit que les élèves ne pouvaient pas te voir déculottée, mais il peuvent entendre ta fessée. Donc tu vas la recevoir dans le hall. Les chambres étant très mal isolées, le bruits des claques et sûrement tes plaintes n'auront pas de mal à traverser les murs.
En sortant de la salle, ils croisent le père d'un camarade de Juliette que Céline connait un peu. Il fait parti des parents conseillés. Il salue le directeur et tend la main à Céline qui lui rend sa poignée de main.
- Bonjour madame, je ne vous felicite pas pour l'éducation que vous avez donné à votre fille...
Céline reste bouche bée, comment est-il au courant de ça. Elle les suit tête basse sans écouter ce qu'ils se disent, puis s'arrête d'un coup en comprenant ce qui se passe.
Elle reste pétrifiée, quand le directeur se retourne et vient l'attraper par le bras sous l'aiselle pour l'emmener. Elle traine des pieds pour ne pas aller dans le hall, mais le directeur la fait avancer de force.
Ce qu'elle redoutait apparaît devant ses yeux. Tout le monde se tait en les voyant arriver. En plus du personnel qui l'a déjà vu être punie, il y a d'autres parents d'élèves, dont le père de la meilleure amie de Juliette, qu'elle a deja reçu chez elle. Et des professeurs qu'elle a eu l'occasion de rencontrer aux différentes réunions.
Quelques élèves sortent encore des douches et navigent dans les couloirs. Le surveillant les fait entrer dans les chambres et ferme les portes en interdisant aux élèves de sortir.
Il y a une chaise au milieu du hall où le directeur traine Céline. Dans un silence pesant, il s'assoit sur la chaise et tire Celine par la bras pour qu'elle s'allonge sur ses genoux. On l'entend à peine lorsqu'elle se plaint. Le directeur insiste et elle se retrouve allongée les mains par terre, la tête a quelques centimètres du sol.
Le directeur abat sa main sur ses fesses par dessus sa jupe. Il prend son temps. Une claque après l'autre sur chaque fesse. Certains voient les grimaces de Céline à chaque coup qu'elle reçoit. Puis un léger : "nooon, pitié pas ça..." le directeur ne s'en préoccupe pas, il vient de relever sa jupe et la retourner sur son dos. Il continue sur sa culotte avec le même rythme. Le bruit résonne. Nul doute que les élèves entendent dans les chambres.
Celine s'agite quand le directeur attrape l'élastique se sa culotte, mais un maintien plus ferme l'empêche de bouger d'avantage. il degage ses fesses un minimum et continue sur ses fesses nues. Tous découvrent les stigmates de sa précédente punition.
Quand il la relache Céline n'attend pas de se relever pour remettre sa culotte en place, puis elle s'écarte du directeur tout en lissant sa jupe devant et derrière.
Le Directeur la ramène à lui et en tirant sèchement par la ceinture.
- Mains sur la tête ! Et retourne-toi !
Celine se met dos au directeur et celui-ci s'affaire sur sa jupe.
- Tu crois que tu peux remettre ta jupe sans autorisation...
Il defait le bouton et la fermeture.
- Tu as intérêt à obeir si tu ne veux pas te retrouver dans les chambres du dortoir...
Quand il descend la jupe, dans un réflexe, elle vient la retenir en l'attrapant par la ceinture. Elle reste pétrifiée, avec sa jupe descendu au noveau de ses bas. Incapable de la remonter puisque le directeur la retiens.
- Très bien ! Monsieur le surveillant. Cette jeune fille n'a pas compris, on va lui rapeller les règles...
- Allez me chercher les délégués de la promotion de Juliette et laisser la porte de la chambre ouverte !
Face à elle Céline voit quelques têtes se tourner vers elle quand le surveillant ouvre la porte du dortoir.
Le directeur termine de lui baisser sa jupe quand les deux délégués sortent.
Le yeux humident, elle se laisse retourner par le directeur face a lui.
- Ramasse ta jupe !
Céline se baisse pour la prendre et semble ne pas savoir quoi en faire. Le directeur lui prend des mains et se retourne pour la déposer sur le dossier de sa chaise.
- Remet tes mains sur ta tête !
Celine s'exécute dans un silence toujours pesant.
Le directeur la regarde sévèrement dans les yeux. Céline n'arrive pas à supporter son regard et lève les yeux au dessus de lui.
- Je vais baisser ta culotte !!!
Céline ferme les yeux pour retenir ses larmes.
- Arrange toi pour qu'elle ne tombe pas, si elle descend sur tes chevilles, je te l'enlève définitivement...
Celine résignée serre les cuisses et se crispe. Elle leve la tête vers le plafond quand le directeur approche ses mains de chaque côté de sa culotte. Des larmes de honte coulent sur ses joues.
Il passe ses pouces a l'intérieur et commence a descendre vers le bas. Il decouvre dans un premier temps ses fesses, que ceux placés derrière elle admirent sans retenue.
Puis baisse l'avant et laisse la culotte juste au-desus de l'élastique de ses bas. Malgré ses cuisses serrées fermement l'une contre l'autre, le directeur decouvre la fente de son sexe remontant assez haut et à peine recouvert d'un leger duvet de poils courts élégamment épilé.
Comme si cela ne suffisait pas à son humiliation, il lui impose de se retourner. Sa culotte tient à peine et dans son geste elle la sent descendre et dans un réflexe, la rattrape avec sa main. Le directeur se lève et vient lui prendre le poignet aussitôt. Elle comprend et vient remettre ses deux mains au-dessus de sa tête. Sa culotte est descendue d'un côté au-dessus d'un genoux et l'autre plus bas. Une violente claque surprise sur ses fesses, et le fragile maintient cède. Sa culotte vient d'enrouler au-dessus de ses chaussures. Il n'en faut pas plus pour que le directeur s'en saisisse et lui fasse lever les pieds pour lui enlever.
- Monsieur le surveillant, après sa fessée, vous l'emmenerez passer 10 minutes à genoux au milieu du dortoir des garçons. ça lui apprendra à obéir et à laisser ses mains posées au-dessus de sa tête.
Puis sans prévenir, il la courbe sous son bras et lui flanque une magistrale fessée. Rien à voir avec la première. Les claques pleuvent sur ses fesses qui rougissent en un instant. Celine crie et se débat, mais le directeur la maintient de sorte qu'elle ne peut esquiver les claques. L'assemblée l'entend maintenant pleurer et se plaindre. Ses pieds tapent le sol, elle supplie d'arreter. Ses jambes s'ouvrent parfois entre deux claques, laissant apparaître ses trésors.
Quand il s'arrête tous découvrent un visage baigner de larmes ou des fesses uniformément rouges.
Le directeur appelle le surveillant :
- Emmenez la et vous la surveillez. Qu'elle reste bien à genoux les mains sur la tête...
Celine panique quand il la tire vers la chambre :
- Non pas comme ça... s'il vous plait...
Le directeur ne lui prête pas attention et le surveillant continue de marcher en l'emmennant derrière lui.
- Juste ma culotte, s'il vous plait... juste ça !
Rien n'y fait, le surveillant passe la porte et allume la lumière du dortoir. De sa main libre, elle cache son sexe et semble pleurer toutes les larmes de son corps. Le surveillant la fait mettre à genoux, les mains sur la tête. Du hall on peut voir ses fesses rouges et tous les regards des élèves converger vers elle.
Quand elle ressort dix minutes plus tard, les yeux rougis et la tête baissée. Elle ne prend plus la peine de cacher son sexe.
Elle met plusieurs secondes pour constater que le hall s'est vidé, il ne reste plus que le directeur qui discute dans un coin avec l'agent d'entretien et deux parents d'élèves.
- Nous allons finir dans mon bureau...
Céline le suit, en regardant sa jupe et sa culotte qu'il tient dans sa main. Les autres la suivent, elle doit retraverser le couloirs et la cour les fesses nues. Elle n'ose rien dire lorsqu'ils entrent tous dans le bureau.
Une nouvelle fois le directeur considère Céline comme une élève. A peine entrée, il vient lui saisir l'oreille pour la trainer jusqu'à son bureau. Et la penche pour lui donner deux claques sur les fesses.
- Tu vas finir ta punition comme Juliette, il n'y a pas de raison...
Il la redresse aussitôt et la retourne face aux hommes qui finissent d'entrer dans le bureau. Et attrappe le bas de son pull.
- Allez hop toute nue !
Celine crie et croise ses bras devant sa poitrine pour empecher son pull de remonter. Le directeur insiste et lui claque les fesses en même temps. Il profite d'un instant ou elle vient protéger ses fesses avec ses mains pour lever son pull et le passer au dessus de sa poitrine puis de sa tête. Il finit de lui enlever et le jete par terre.
Céline se retrouve en soutien-gorge et bas devant l'agent d'entretien et les parents d'élèves. Elle plaque ses deux mains devant son sexe, tandis que le directeur lui enlève les bretelles de ses épaules et degrafe son soutien-gorge. Il passe devant elle et descend son sous-vêtement le long de ses bras pour decouvrir sa poitrine assez généreuse.
Céline ne peut soutenir le regard du directeur sur elle et baisse les yeux tandis qu'il defait son soutien-gorge de ses poignets. Il lui met lui-même les mains dans le dos pour l'exposer totalement nue hormis ses bas et ses chaussures.
Il lui faire demi-tour et elle comprend qu'il faut qu'elle aille se pencher sur le bureau.
Ses fesses sont marquées des différentes fessées qu'elle a reçu.
Le ditecteur la fait allonger complètement, sa poitrine sur le bureau. Avec ses jambes tendues, elle sait que son sexe est visible et elle met son visage dans ses mains en attendant la fessée.
Le directeur passe sur le côté et pose sa main sur ses fesses ce qui la fait frémir. Il prend son élan et claque fortement sa fesse droite. Il recommence sur la gauche. Puis recommence encore plus fort sur chaque fesse. Il est obligé d'appuyer avec sa main gauche sur son dos pour ne pas que Céline se relève. Et il continue la fessée avec sa main droite.
Céline ne retient plus ses larmes, elle se contortionne pour eviter les claques et proteger ses fesses, mais rien n'y fait, la main du directeur s'abat impitoyablement sur ses fesses. Ses jambes battent et s'écartent au gré des claques, oubliant toute pudeur.
Le directeur s'arrête un instant pour descendre ses bas jusqu'à ses chevilles puis reprend ses claques au niveau de ses cuisses juste au dessus de l'arrière de ses genoux. Céline crie de douleur, ses cuisses deviennent rapidement aussi rouges que ses fesses.
Puis il s'arrête aussi brusquement que lorsqu'il a commencé, laissant Céline affalée sur le bureau en sanglots.
- Relève toi et enlève tes bas !
Céline ne résiste plus. Elle se dechausse et enlève ses bas aussitôt.
- Mains sur la tête ! Et va au coin !
Céline va se mettre face au mur sans pouvoir s'arrêter de pleurer.
le directeur demande à l'agent d'entretien d'aller chercher Juliette et l'informer d'attendre Céline dans le hall.
Pendant ce temps, le directeur discute avec les deux parents d'élèves sans ce préoccuper de Céline. Même si ceux-ci jettent parfois un coup d'œil sur ses fesses rouges.
Lorsque l'agent revient, le directeur libère Céline du coin.
- Votre punitions est terminée, vous pouvez vous rhabiller !
Céline se retourne rouge de honte, elle a cessé de pleurer mais son maquillage a coulé. Elle prend les bas que lui tent le directeur et commence à les mettre devant tout le monde. Ils ne se genent pas pour la regarder dans le silence ce qui la gène au plus haut point. Il lui donne ensuite son soutien-gorge, elle préfère baisser les yeux quand elle le met, en constatnt que tous les yeux sont rivés vers sa fine toison qui ne peut cacher sa fente.
- Vu l'état de vos fesses, j'imagine que vous n'allez pas remettre votre culotte...
Céline préfère ne pas répondre et enfile sa jupe a la hâte. Puis ses chaussures et son pull.
Le directeur l'accompagne jusqu'au hall pour rejoindre Juliette et les laisse partir, non sans les prévenir qu'elles pourraient l'une et l'autre être à nouveau punie si cela s'avère nécessaire...
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