mardi 1 octobre 2024

Juliette 2

Juliette sort du bureau accompagnée du surveillant. Il la laisse nue avec les collants aux chevilles. - Je te suis, va vers ta classe ! Juliette marche à petits pas en priant pour ne croiser personne. Heureusement a cette heure là tout le monde est en cours, et les couloirs sont vides. Il doivent tout de même traverser la cour de récréation et Juliette pense a ceux qui peuvent regarder dehors, elle essaie d'accélérer le pas. En approchant de sa classe, le surveillant l'entend renifler. Et elle s'effondre en sanglots devant la porte. Il lui remonte son collant et Juliette lui reprend son soutien-gorge des mains pour le remettre. Le surveillant la laisse faire et regarde vers le bas de son ventre. - Tu peux te cacher, je ne dirais rien au directeur... Juliette plaque aussitôt ses deux mains devant son sexe. Quans il la fait entrer dans sa classe, les élèves s'exclament de surprise en la voyant. Elle va directement à sa place, croise les jambes et de cahe le visage dans ses mains. Le surveillant explique pourquoi Juliette est comme ça et quitte la classe. Juliette essaye de fuir les regards qui se portent sur elle. On l'entend parfois renifler, mais sa prof ne lui prête pas plus attention que ça. Pendant les deux heures de cours elle réfléchis à trouver une solution. Elle sent qu'elle est incapable d'aller dans la cours. Quand le cours se termine, elle attend que tout le monde se lève et sorte. Ça prend du temps, la prof est obligée de faire sortir les élèves comprenant bien qu'ils restent exagérément longtemps pour voir Juliette. Elle vient la voir quand elles se retrouvent seules. Juliette eclate en sanglots en lui disant qu'elle ne peux pas aller dans la cours comme ça. Compatisente mais sans lui proposer de solution miracle sa prof lui dit : - Je vais aller voir dans le couloir si il n'y a plus personne, mais il va falloir que tu sortes, tu ne peux pas rester là... Lorsqu'elle lui fait signe, Juliette part sans savoir ou aller puis en passant devant la porte des toilettes réservées aux professeurs, elle entre et s'enferme dedans. La sonnerie indique que les cours reprennent. Incapable de bouger elle reste enfermée. A plusieurs reprises, son coeur fait un bon, quand quelqu'un essaie d'ouvrir la porte. Elle ne peux rester la toute la journée mais quoi faire d'autre... Elle entend encore du bruit derrière la porte, mais personne ne l'enclanche. Puis avec effroi, elle voit le verrou se tourner et la porte s'ouvrir de l'extérieur. - Ah, tu es là ! Ça fait un moment que je te cherche... Le directeur est très énervé contre toi ! C'est la dernière personne qu'aurait voulu voir Juliette. M. Rousseau, l'ouvrier d'entretien de l'école. Aucune fille n'aurait voulu se retrouver seule avec lui. Il l'a fait sortir, et l'emmène à grandes enjambées en la tenant par le poignet. Lorsqu'ils arrivent dans le couloir de la direction, le directeur sort de son bureau. - Ah, vous avez retrouvé cette petite peste... Je n'ai pas le temps de m'en occuper, je dois partir... Gardez-la à l'oeil, qu'elle ne tente pas de se cacher à nouveau... je reviens tout à l'heure ! En attendant, vous en êtes responsable. M. Rousseau n'en demandait pas tant. Il l'emmène à son atelier dans le sous-sol. Il ferme la porte et met la clé dans sa poche. - Je suis sûr que tu vas rester là comme ça... Puis, profitant de son rôle de responsable. Il s'approche et la prend par le bras pour lui faire faire demi-tour et regarder ses fesses. - Tu as déjà du recevoir la fessée aujourd'hui... Juliette reste silencieuse, et garde ses mains devant son sexe quand il la retourne face à lui. - En attendant, tu vas m'aider... Il va chercher un pinceau et un pot de peinture. - Tu vas peindre ces planches... - Déshabille toi pour ne pas de tâcher ! Juliette reste bouche bée... comment peut-elle se tâcher avec si peu de vêtements. - Allons !! dépêches toi ! met-toi toute nue. M. Rousseau attend, en tapant ses doigts sur son établi en signe d'impatience. Juliette reste immobile, et le regarde sans savoir quoi faire. Puis quand il avance vers elle, elle s'accroupit subitement pour defaire ses chaussures. - La prochaine fois que tu me fais attendre, c'est la fessée !!! Juliette enlève ses chaussures et se lève pour degrapher son soutien-gorge. devoilant par la même occasion sa toison a travers son collant. M. Rousseau lui prend des mains et l'accroche à un clou. - Ton collant dépêche-toi ! Juliette le retire et cache sa poitrine et sa toison à l'aide de ses bras. Puis elle se met aussitôt au travail ce qui lui permet de tourner le dos à l'argent d'entretien. Elle s'applique en sentant les regards persistants sur ses fesses. Ça lui parait durer une éternité. Par deux fois, M. Rousseau vient verifier son travail, et a chaque fois elle se colle à l'établi et croise ses bras devant sa poitrine tellement elle a honte. Peu avant midi, on frappe à la porte. M. Rousseau va ouvrir alors que le cœur de Juliette s'accélère. Elle reconnaît la voix du directeur qui entre précipitamment et se dirige vers elle... - Ah vous l'avez mise toute nue... En passant il prend son soutif et ses collants. Et les tend à M. Rousseau. - Allez déposer tout ça sur mon bureau, avec ses chaussures... Puis il attrape Juliette par le bras. - Elle restera toute nue pour sa punition ! Juliette éclate en sanglots lorsqu'ils sortent de l'atelier. Le directeur la tiens toujours et avance dans les couloirs. La sonnerie retentit et Juliette constate avec horreur que les portes commencent à s'ouvrir et déversent le flot des élèves dans le couloir. De sa main libre elle se cache le visage de honte, alors que le directeur continue d'avancer en se fraillant un chemin entre les élèves. Il va directement au réfectoire et s'arrête à l'entrée. Là où les eleves entrent pour scanner leurs cartes de restaurant. - Tu restes ici jusqu'à ce que tous les élèves soit à table ! Il la met face à la porte et lui impose de mettre ses mains sur sa tête. - Quand le dernier élève sera passé, tu viendra me rejoindre et je vais te donner une fessée devant tout le monde... Le directeur repart aussitôt la laissant totalement nue, le visage baigné de larmes alors que les premiers élèves passent la porte.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Merci pour cette suite !! Un troisième "Juliette" serait vraiment top !!