mardi 24 mai 2022

Quatrième punition

Comme tous les autres élèves Emilie avait pris connaissance du nouveau rêglement. Quand elle en parlait avec ses copines, elle disait comme elles et paraissait outrée des punitions qui pouvaient être infligées. Mais seule, une certaine curiosité l'envahissait, elle s'était surprise à relire plusieurs fois le rêglement avec un mélange de dégoût et d'envie. Alors qu'elle était en cours d'anglais, la pire matière pour elle, Melle Vriehot lui rend sa copie en lui disant : "comme d'habitude aucun travail pour vous, une vraie fénéante !" Emilie regarde sa note et en chuchottant lance un "connasse" entendu par ses voisins et la prof qui ne dit rien. A la fin du cours, Melle Vriehot, demande à Emilie de rester ainsi qu'au délégué de classe en ajoutant : "La connasse, veut que nous allions discuter de votre comportement chez M. le directeur !" Emilie blémit, mais ne repond rien. Elle suit son délégué et sa prof tout en sachant qu'elle va passer un sale moment. Le directeur les acceuille et écoute Melle Vriehot. En résumé elle lui dit : - Non seulement Emilie ne travaille pas du tout en anglais, mais aujourd'hui elle s'est permise de m'insulter devant tout le monde. Le directeur demande à Emilie ce qu'elle a dire, mais celle-ci se contente de baisser la tête. - Votre attitude Mademoiselle fait comprendre que vous n'avez rien à ajouter pour votre défense... C'est la première fois que vous allez être punie, je crois ? Emilie résignée fait oui de la tête. - Melle Vriehot quelle sanction voulez vous appliquer ? Le coeur d'Emilie s'emballe. - J'aimerai que l'attitude d'Emilie change, peut-être qu'un rappel à l'ordre suffira... Le directeur ne semble pas convaincu du laccisme de la professeur d'anglais. - Pour le travail dans votre matière j'espère bien que cette épisode fera prendre consience à Emilie de changer d'attitude, mais pour les insultes, je ne peux pas laisser passer ça... Emilie levez-vous et enlever votre jupe ! Emilie relève la tête en même temps que son délégué qui depuis le début est resté silencieux. Après un moment de surprise Emilie se lève et defait le bouton et la fermeture de sa jupe. Elle la laisse tombe et l'enjambe pour la poser sur sa chaise. Elle reste ainsi tête baissée, les mains jointes devant elle, face au directeur alors que sa prof et son délégué sont juste derrière. - Volià ce qui va se passer Medemoiselle ! A partir de maintenant et jusqu'à ce soir vous êtes punie pour avoir insulté votre professeur. Votre jupe restera ici toute la journée. Mettez vos mains sur votre tête. Emilie s'exécute laissant remonter son chemisier et son pull au dessus de l'elastique de ses collants. - Vous resterez ainsi les mains sur la tête jusqu'à la fin de votre prochain cour. Je crois que vous avez cours de Maths... Votre délégué va vous accompagner jusqu'à votre classe, en trversant la cour, ainsi tout l'etablisement saura que vous êtes punie. Et il vous mettra à côté du tableau à genoux le nez collé au mur. Emilie comprend que ce qu'elle redoutait avec un mélange d'envie aller lui arriver. - Avec Mademoiselle Vriehot, nous viendrons à la fin du cours pour vous punir... Sans en ajouter plus, il demande à tout le monde de sortir. Guillaume le délégué prend son rôle très au sérieux et attrappe Emilie par le bras pour l'inviter a sortir. Avant d'arriver dans la cour il la prévient : - Tu gardes bien tes mains sur la tête ! Si tu n'obéis pas, je dirais tout au directeur... A mon avis tu es déjà assez mal comme ça ! Je pense que tu ne vas pas garder ta culotte longtemps... Emilie voit les premiers élèves arriver en face d'elle. En plus de ce que vient de lui dire Guillaume, elle n'a plus du tout envie de cette punition, les larmes coulent sur ses joues mais elle essaie de rester digne. Ils traversent la cours sous les golibets des autres élèves et montent dans la classe. Emilie lui demande cinq minutes de repis alors qu'il allait la mettre au coin. Guillaume accepte en s'assayant sur le bors d'une table. Emilie redescent ses bras et sèche ses larmes. - Je ne pensais pas que ce serait aussi dur... je dois être ridicule comme ça ?? Guillaume lui souris pour la rassurer, et lui dit qu'elle a quand même exagéré et qu'elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même. Emilie baisse la tête et semble hésiter, puis se lance : - Tu... tu crois vraiment qu'ils vont me déculotter ? - Sincèrement, je suis pratiquement sur que oui. Tu as quand même insulté une prof !! Tu as même de la chance que ça se passe ici? Tu aurais pu avoir une niveau 4 ou même 5. Les larmes recommencent à couler, tandis que Guillaume se lève. - Bon il va falloir que tu ailles au coin maintenant... Emilie se rend d'elle même au coin, elle s'agenouille et remet ses mains sur sa tête, tandis que Guillaume va à sa place en attendant les autres élèves. - Il faut que ton nez touche le mur... Emilie avance ses genoux et approche sa tête du mur jusqu'à ce que son nez le touche, puis elle attend la boule au ventre. Après son passage dans la cour, ses camrades ne sont pas surpris de la trouver là, en entrant dans la salle. Le prof visiblement au courant de sa punition ne lui prête pas attention. Le cours lui parait durer une éternité, de temps en temps en entend des gloussements derrières elle signe que l'on parle de sa punition. Quans le directeur entre dans la classe, tout le monde se lève d'un coup. Emilie ne sachant pas quoi faire reste à genoux, mais elle sent son coeur s'emballer. - Emilie venez nous rejoindre ! Elle se lève... - Non, non ! Gardez vos mains sur votre tête ! Elle se retourne ainsi rouge de honte, d'être face à ses propres camarades de classe. - Enlevez votre pull et votre chemisier ! Et remettez les mains sur la tête ! Un grondement se fait entendre dans la salle, Emilie reste interloquée un moment puis passe son pull au dessus de sa tête. Elle essaie de reste digne, en enlevant les bouton de son chemisier, puis elle defait ses manches. Il semble qu'elle porte un débardeur moulant dessous. Ce qui est confirmer lorsqu'elle retire son chemisier. Celui-ci laisse deviner sa poitrine généreuse et remonte largement au dessus de son nombril laissant la vue de sa culotte. - Votre débardeur aussi ! Emilie rougit encore plus... - Mais... Je n'ai rien en desous... - Tans pis pour vous enlevez le ! Une nouveau grondement se fait entendre. Emilie hésite encore plus, mais n'a pas le choix, elle passe son débardeur au dessu de sa tête. Le directeur lui prend des mains et recupère son chemisier et son pull. - Voilà Mademoiselle votre tenue pour la journée.. Aussi bien pour assister au cours, que pour les pause, que vous passerez sous le préau au coin ! Il faut comprendre qu'insuslter un professeur est quelque chose de très grave et que l'on s'expose à une punition exemplaire ! Emilie n'arrive pas à contenir ses larmes qui coulent maintenant sur ses joues, les sentiments qu'elle ressentait à la lecture du rêglement ont totalement disparu et sont remplacé par la honte qu'elle éprouve en ce moment. Tout le monde a les yeux rivés sur elle, c'est une jolie fille, blonde les cheveux tombants sur ses épaules, assez fine, mais une poitrine assez imposante. Sa mine déconfite contraste avec ce qu'elle a dit précedement à la prof. Personne n'a compris sa réaction, elle qui est d'habitude très sage et très discrète. - Mademoiselle Vriehot va punir Emilie et je lui donnerai aussi une fessée ensuite... Guillaume apportez nous une chaise sur l'estrade... Guillaume esquisse un sourire rassurant à Emilie en déposant la chaise, mais celle-ci détourne le regard. Complètement paniquée elle voit sa prof d'anglais s'assoir sur la chaise et l'inciter à s'approcher. Elle s'allonge sur les genoux de sa prof, qui ne semble pas à l'aise non plus. Elle abat aussitôt sa main sur ses fesses maladroitement. Visiblement, c'est la première fois qu'elle donne une fessée. Ses claques ressemble plus a des tapettes et Emilie protégée par sa culotte et son collant ne doit pas sentir beaucoup la mains de sa prof. Elle lui donne ainsi une vingtaine de claques et l'invite à se relever. Le directeur prend la place de Mademoiselle Vriehot et bascule aussitôt Emilie sur ses genoux, elle a à peine le temps de s'installer que la fessée débute aussitôt. Rien a voir avec la fessée précédente. Les claques sont très appuyées, malgré la protection de sa culotte et ses collants Emilie gigote dans tous les sens. Après quelques claques Emilie sanglote et demande d'arrêter mais il lui emprisonne le bras et continue sans se préoccuper des cris d'Emilie. Quand il la relève Emilie se frotte frenetiquement les fesses. le directeur la place face au tableau et met ses mains au dessus de sa tête, puis baisse ses collant et sa culotte en même temps sous ses fesses et s'écarte laissant découvrir à toute la classe ses fesses rouge. - Je vous laisse une minute pour vous reprendre, ensuite vous aurez le droit à une deuxième série identique mais déculottée... Mademoiselle Vriehot a été bien trop gentille avec vous, je vais vous punir comme vous devez l'être. On entend plus un bruit dans la salle, il y a juste des échanges de ragrds, parfois graves, parfois complices entre les élèves. Juste les reniflements d'Emilie viennent perturber le silence? - Enlevez vos chaussures Emilie ! Emilie se déchausse, et laisse ses chaussures à côté d'elle, tandis que le directeur vient la chercher et la ramene à la chaise. Dans un reflèxe bien que le devant ne soit pas baissé, elle remonte l'avant de sa culotte et ses collants. - Enlevez vos collants Emilie ! Bien que cette mince protection ne soit pas très efficasse, Emilie est dépitée d'enlever ce nouveau vêtement. Elle remonte complètement sa culotte sur ses fesses et la tient pour dégager ses collants de sa taille puis les roule sur ses jambes pour finir de les enlever et en formant une boule. Le directeur lui fait remettre proprement pour les poser sur le dossier de la chaise. Puis il bascule Emilie sur ses genoux, et la remonte pour que ses pieds ne touchent plus le sol. Il l'avance encore pour que sa tête frole le sol, Emilie est obligé de poser ses mains à plat par terre pour ne pas basculer en avant. Le directeur l'emprisonne par la taille de son bras gauche et commencer à lui asséner une fessée avec la même vigeur que précédement par dessus sa culotte. Emilie pleure, crie et bat des jambes dès les premières claques. Sa position ne lui permet pas de sa protéger au risque de tomber en avant. Quand le directeur arrête elle continue de pleurer, ses cheveux trainent par terre et son collé à son visage. Elle s'agite encore plus lorsque le directeur tire sur sa culotte. il la descend le long de ses jambes jusqu'à ses pieds et finalement l'enlève complètement pour la lancer sur l'estrade. Malgré les protestations d'Emilie, la fessée reprend aussitôt avec encore plus de force. Ses fesses qui ne sont plus protégées rougissent encore plus. Emilie ne retiens plus ses cris, ses jambes battent en l'air. Elle essaie de se sortir de l'emprise du directeur mais celui-ci l'empoigne fermement. Au bout d'un eminute de fessée intense, elle arrive à mettre à un pied par terre et se lever, le directeur arrête la fessée et la relache. Emilie se frotte les fesses en pleurant toutes les larmes de son corps. Le directeur se lève et va ranger la chaise. - Mains sur la tête ! Emilie qui ne l'a surement pas entendu continue de se frotter les fesses. A son retour deux énormes claques sur ses fesses la fait à nouveau crier. - J'ai dis : mains sur la tête !! Emilie renifle et finis pas oébir - Allez au coin ! Emilie s'avance vers le mur à côté du tableau et colle son nez sur la mur. Le bout de ses seins effleurent le mur froid et un frisson lui parcoure tout le corps. Le directeur libère les élèves pour qu'ils sortent. Le temps que le classe vide, Emilie reste au coin sans bouger. Restez au coin, ça vous fera réfléchir, je viendrai vous chercher tout à l'heure... Au bout d'un moment Emilie se retourne pour être sûre qu'il n'a ait plus personne. En effet, les profs et le directeur sont sortis. Elle en profite pour descendre ses mains et se reculer du mur et analyser ce qui venait de ce passer. Elle n'avait jamais eu autant honte. Elle ne s'était jamais imaginée être toute nue devant sa classe. Cela lui fait prendre conscience qu'elle est encore nue, et cheche ses vêtements. Elle trouve sur le bureau du prof uniquement son débardeur ses collants et ses chaussures. Elle remet tout de même son débardeur, et attend d'avoir sa culotte pour remettre le reste. Elle va s'assoir à une place pensante et croise ses jambes. Une chaleur lui envahit le ventre malgré le fait qu'elle ait envie de pleurer. Elle hésite à glisser sa main entre ses cuisses mais du bruit dans le couloir lui fait renoncer. Quand le directeur entre, elle est assise à la place. - Qui vous a autorisée à sortir du coin et surtout à remettre votre débardeur ??!! Emilie baisse la tête et rougis. - Venez ici ! Elle se lève tout en plaquant ses mains à plat devant son sexe et s'avance vers le directeur. Il la fait approcher tout prêt de lui et la prend de chaque côté des épaule pour lui faire faire un demi-tour afin de constater l'état de ses fesses. - Vos fesses sont bien marquées, c'est ce que je souhaitais... Emilie sent encore la chaleur irradier l'ensembre de ses fesses. Une grosse claque sur chaque fesse n'arrange rien pour la douleur, elle sert les dents pour ne pas crier. Puis lève michinalement les bras, quand le directeur remonte son débardeur pour lui enlever. A nouveau toute nue, elle cache ses seins et son sexe. - Allez remettre vos collants ! Emilie s'écarte du directeur et prend ses collants sur le bureau et hésite sans oser demander... - Oui, oui... Je sais... Il n'y a pas votre culotte ! C'est fait exprès ! Avec vos collants clairs, vos fesses rouge continueront de se voir... mettez les ! Emilie obéis bien que la sensation du nylon directement sur ses fesses endolories ne lui plaise aucunement. - Mettez vos chaussures ! - Et puisque vous avez pris la liberté de remettre votre débardeur sans autorisation, je vais vous le confisquer un moment ! Lorsqu'elle se relève Emilie semble comprendre, elle met son visage dans ses mains et éclate en sanglots. - Vous allez m'emmener comme ça... c'est ça ? - Oui au refectoire, que tout le monde comprenne que je corrige sévèrement celui ou celle qui manque de respect aux enseignants ! Il vient attrapper Emilie par le bras et la serre sévèrement pour l'emmener dehors. - Et inutile de vous cacher, vos bras restent le long de votre corps ! Si je dois vous le rappeler une autre fois, vous resterez les mains sur la tête et je vous donnerai une fessée dans le refectoire avec les collants baissés ! Emilie baisse la tête et ne peut s'arrêter de pleurer. Sa respiration s'accèlere lorsqu'ils approchent de la cantine. Elle resiste pour ne pas mettre ses mains quand le directeur la pousse dans le refectoire. Tout le monde s'arrête de parler et regarde dans sa direction. Emilie ne bouge plus complètement tétanisée, presque défaillante. Sa poitrine monte et descend au rythme de son soufle court. Ses poings serrés le long de ses hanches resistent toujours à venir caché sa toison brune aucunement cachée par son collant. Elle a les jambes serrées mais chacun peut voir que la situation lui fait perdre le controle de sa vessie. Une petite marre se forme autours de ses chaussures ajoutant encore plus à sa honte. Le directeur la fait retourner pour que chacun puisse constater la rougeur de ses fesses. Puis il lui fait traverser la salle au milieu des tables pour la mettre au coin. Emilie est un peu rassurée de ne plus être face à ses camarades, mais elle sait que le reste de la journée encore être compliqué.

18 commentaires:

Anonyme a dit…

J’ adore vos histoires avec ses longues mises au coin mains sur la tête!!!

pascfz a dit…

Merci de votre commentaire

Anonyme a dit…

En fait c’ est une fantaisie/fetish très particulier pour moi, pour vous aussi??

pascfz a dit…

oui, pour moi aussi. Ce serait plus sympa si les commentaires ne seraient pas anonymes.

Anonyme a dit…

Je comprends mais je veux pas m’ identifier publiquement. Et un pseudonym, quelle est la différence? On peut correspondre par mail si vous voulez.

Anonyme a dit…

Depuis plus de 10 ans maintenant je dévore toutes vos histoires. Merci beaucoup pour votre travail. Déjà hâte de lire la prochaine..

David

Anonyme a dit…

Vivement une 5° punition

Mathilde a dit…

Très chouette histoire comme d'habitude avec vous. J'espère qu'elle aura une suite, la journée est loin d'être finie. Et puis, franchement, traiter sa prof de connasse, même en murmurant entre ses dents, cela mérite une longue journée d'humiliations. Et pourquoi pas lui imposer des corvées pour changer. Par exemple, ramasser les papiers dans la cour, ranger la bibliothèque, ou mieux servir ses camarades à la cantine et débarasser les tables.

Betty blues a dit…

Fantasmes ou vécu pour certaines personnes . Mes parents nous ont éduqués à la fessée... on n'était pas fiers.

Anonyme a dit…

c est bon de vous lire mais c est long d attendre la ou les suites j espere qu il y en aura encore des humiliations nues et fessees en public et surtout cette honte et l envie de ne pas etre vue par les autres j adore vos texte je suis fan vivement qu on en lises d autres

pascfz a dit…

Merci pour vos commentaires, une suite arrive prochainement.
Pour avoir un échange, plus sympa, il serait bien, que les commentaires ne soient plus anonymes

loloetnono2 a dit…

merci pour vos histoires que je lis avec passions j attends de lire encore et encore

fessee a dit…

je suis vos histoires depuis le début c est un peu long pour certaines et très court pour d autres le délai d attente pour lire vos histoires qui me passionnent j attends avec impatience les autres suites et autres histoires toute aussi folles les unes que les autres l imagination et vos histoires je les imaginent en visualisation c est bandant si je puis dire amicalement

Anonyme a dit…

oui, que l'attente est longue, parfois !

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Vos parents vous deculottaient pour vous mettre la fessée ?
Milky

Anonyme a dit…

Oui

Anonyme a dit…

un an sans suite, dur, dur !