Voici quelques histoires de fessées complètement fantasmées, du genre punitives, mais pas seulement...
mardi 22 février 2022
3ième Punition
Le cours de Maths se termine, tout le monde range ses affaires et commence à sortir. M. Briard se met à la porte pour saluer les élèves, quand Julie s'apprêtte à sortir, il l'interpelle :
- Julie, restez ici cinq minutes s'il vous plait...
Julie attend près de la porte se demandant ce qu'il lui veut. Une fois que tous les élèves sont sortis, il referme la porte.
- Bon Julie... Asseyez-vous !
- Je ne vais pas y aller par quatre chemins ! J'ai fait ma petite enquête sur les lettres d'insultes redigées l'année dernière...
M. Briard laisse volontairement un petit silence pour observer la réaction de Julie et sa mine déconfite ne laisse aucun doute sur sa culpabilité.
- Vous avez sans doute des choses à me dire sur cela ?
Incapable de parler, Julie fait non de la tête
- Nous savons tous les deux que c'est vous qui avez écris ces lettres...
- D'après quelle doit être la sanction pour ces faits ?
Julie baisse la tête comprenant le piège se refermer sur elle...
Elle sursaute et se met à pleurer quand M. Briard tape ses deux mains sur le bureau juste devant elle.
- Répondez ! Quelle punition vous sera ingligée si j'en parle au directeur ?
- La 5 !!!
Julie répond dans un sanglot, alors que M. Briard se calme.
- Bon, j'imagine que vous ne voulez pas que j'en parle au directeur, donc on va s'arranger entre nous ! Je vais vous punir moi-même...
Sans laisser le temps à Julie de répondre, il continue :
- Je vais vous donner une fessée immédiatement pour commencer. Et dans le courant de l'année, quand vous m'en donnerez l'occasion et je suis sûr que vous m'en donnerez l'occasion... je vous infligerai une fessée en classe, culotte baissée et devant tout le monde !
- Levez-vous !
- J'espère que vous vous rendez compte que je vous fais une fleur en ne vous dénonçant pas ?
Julie est perdue, elle ne sait plus quoi penser, elle se lève doucement sans vraiment se rendre compte de ce qui se passe. Elle reste les bras ballants quand M. briard s'approche d'elle et déboutonne son jeans. Il lui baisse et la plaque sur le bureau en lui tenant les mains dans le dos. Elle doit mettre son buste sur la table alors que M. Briard descend sa culotte au niveau de son jeans. Julie réalise qu'elle va être punie pour la première fois de sa vie. La honte l'envahit et elle éclate en sanglot tandis que le main de son profs s'abat violement sur ses fesses nues. La marque des doigts se dessine sur les fesses de Julie, une deuxième arrive aussitôt marquant l'autre fesse. M Briard ne lui lâche pas les mains et lui appuis sur son dos en même temps pour l'empêcher de bouger. Il continue la fessée alors que Julie ne retient plus ses cris. Il les claque sans retenue et sans s'arrêter jusqu'à ce qu'elles soient complètement rouge.
Quand il la lache Julie reste allongée sur la table en sanglotant. Elle ne bouge pas quand il descend son jean et sa culotte à ses chevilles. Il est obligé de la relever lui-même, tandis qu'elle continue de pleurer et vient porter ses mains à ses fesses brulantes.
Envahie par la douleur, Julie ne se rend pas compte que son pull est trop court pour cacher sa toison et M. Briard en profite.
- Il faudra peut-être montrer un peu plus de dignité quand je vais vous fesser devant vos camarades...
Julie comprend aussitôt en voyant le regard de M. Briard se porter sur le bas de son ventre et mets ses deux mains devant elle...
- Venez ici...
M. Briard la prend par le bras et l'entraine jusqu'à l'estrade..
- Allez montez, c'est là que vous serez punie, et je veux que vous en preniez conscience... Regardez la classe, quand ça arrivera toutes les chaises seront prises... Et vous, vous serez là... comme ça ! Avec votre culotte aux chevilles !
Julie se remet à sangloter en imaginant ça.
- Remontez votre culotte et sortez !
Julie ne se fait pas prier, elle remonte rapidement sa culotte et son jean et sort de la classe sans demander son reste.
Elle doit maintenant arriver à chaque cours la boule au ventre, en espérant que le punition ne soit pas donnée ce journ là...
mercredi 2 février 2022
2ieme Punition
Mademoiselle Vriehot est une jeune professeur de d'anglais fraichement diplômée. Elle est arrivée dans l'etablissement cette année et découvre avec horreur la discipline d'un tel institut. Elle qui est toujours allée dans le public, elle ne pouvait pas s'imaginer autant de sévèrité.
Son entrée dans la vie active est assez difficile, ses études lui ont couté très cher, et cet emploi lui permet de ne pas sombrer. Cependant avec son nouveau logement et les différentes dépenses c'est très compliqué financièrement.
La fin du premier mois approche et il va falloir payer le loyer alors qu'elle n'a plus un sous. Etant professeur principale de remplacement elle a la charge de la caisse de la coopérative de la classe. En voyant que le montant de la somme équivaut à son loyer, elle avait imaginer l'emprunter et la restitué quelques jours plus tard lorsqu'elle aurait sa paye. Mais elle s'est ravisée en essayant de trouver une autre solution.
Le propriétaire de son logement l'appela le jour même du paiement du loyer et le lendemain, la manaçant de l'expulser, si déjà le premier mois, elle ne pouvait pas payer.
N'ayant plus choix et se disant que ça faisait déjà quelques semaines que l'argent était là sans que personne ne s'en préoccupe, elle décide de prendre l'argent pour payer son loyer.
Ce que qu'elle n'avait pas prévu, c'est qu'une sortie scolaire serait organisée quelques jours plus tard et que la caisse allait être démandée.
Elle ne dit rien au début espérant trouver l'argent rapidement, mais sa paye n'allait arriver que dans dix jours, plus les jours passaient moins elle pouvait tenir, on allait lui demander des comptes. Elle décida de dire au directeur que la caisse a été volée.
Le directeur est entré dans une colère noire, en prometant de trouver l'élève coupable et d'être intransigeant concernant la punition.
Plusieurs jours sont passés sans qu'elle n'entande parler de cette histoire, elle se dit qu'elle s'en sortait bien, et que bientôt, elle allait pouvoir rembourser et trouver une excuse pour expliquer que l'argent avait été retrouvée.
Mais un matin avant sa première heure de cours, le directeur l'interpella :
- Mademoiselle Vriehot, à quelle heure finissez votre journée aujourd'hui ?
- Euhh... je termine à 16H30 Monsieur.
- D'accord, j'ai a vous parler, pouvez-vous me rejoindre à mon bureau à 16H30 ?
Mademoiselle Vriehot, s'inquiétait, bien que le directeur est resté très courtois, elle n'aimait pas être convoquée ainsi. Elle se dit que ça arrivait que le directeur demande une concertation avec certains profs sur divers sujets, et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Cependant, toute la journée, une boule au ventre ne la lacha pas.
Quand elle est entrée dans le bureau, elle constata aussitôt que l'attitude du directeur avait radicalement changé depuis le matin. L'air beaucoup plus sévère et sérieux prenant de la distance avec elle.
- Asseyez-vous Mademoiselle Vriehot !
- Alors, avez-vous résolu ce mystère concernant la caisse de la coopérative de votre classe ?
Sidonie devint blème, mais ne se décourageat pas :
- Euhh, non Monsieur pas encore, aucun élève ne se dénonce pour le moment malgré mon insistance...
- Ah... c'est un problème ça... Mais n'avez vous pas envisagé que ça puisse être une personne qui ne soit pas élève ?
Sidonie est surprise mais elle continue dans son mensonge :
- Non Monsieur... Mais ça m'étonnerait que le personnel puisse faire une telle chose.
- Vous avez sans doute raison. Il faut qu'on trouve très rapidement qui a fait ça! Si il y une chose qui me fait horreur ce sont les vols !! Et en plus il va bientôt falloir payer le voyage... Trouvez le coupable rapidement ! Et concernant la punition, ce sera une sanction de niveau 5 !
Sidonie quitte le bureau partiellement rassurée, en se disant qu'il était maintenant très urgent de trouver une solution
Le lendemain le directeur l'interpelle de nouveau en lui disant qu'il avait de nouvelles informations concernant le vol et lui redemande si elle avait trouver le coupable. Pretextant un rendez-vous, le directeur lui propose de la retrouver dans une heure en salle informatique.
Lorsqu'elle entre dans la salle, le directeur est installé à un ordinateur :
- Venez ici Mademoiselle Vriehot ! Bonne nouvelle nous avons retrouvé le coupable... Ou plutôt la coupable !
Sidonie s'approche en se demandant comment s'était possible alors que le directeur lance une vidéo. Elle doit se tenir à la chaise tellement ses jambes tremblent. On la voit très clairement déverouiller le placard et ouvrir la caisse. Puis compter les billets et mettre une somme dans son sac. Et après hésitation prendre le reste de la caisse et tout refermer correctement.
Elle ne dit rien, laissant son regard fixé sur l'écran bien que la vidéo soit arrêtée. Le directeur la laisse ainsi, silencieux un moment.
- Je vous ai laissé plusieurs occasions de dire la vérité ! Depuis le début, je sais que c'est vous... mais vous avez continué à nier, tout en prenant le risque qu'un élève soit inculpé et eventuellement puni à tord !!!
- Vous ne dites rien... ? De toutes façons aucune excuse n'est recevable...
Sidonie reste figée sur l'écran, elle sent une larme couler sur sa joue de honte.
- Quand rendez-vous l'argent ?
- Je... je ne sais pas... quand j'aurais ma paye.
- Très bien, je la retiendrai directement sur votre salaire !
- Et vous renvoyer serait trop simple... Pour le moment, je suis le seul à savoir que vous êtes une petite voleuse, ça ne va pas durer évidement, mais je préfère pour votre dignité et surtout votre légitimité que les élèves n'en sachent rien...
- Pour ce qui est de vos collègues c'est différent ! Je vous ai parlé d'une punition de niveau 5...
Sidonie n'a aucune réaction, elle reste sans bouger, les yeux toujours rivé sur cette image arrêtée ou on la voit.
- Déshabillez-vous !
Le directeur est resté très calme, même en annonçant cela, de la manière la plus naturelle possible.
- Déshabillez-vous ou je vous emmène de suite à la gendarmerie...
Les larmes tombent sur le clavier tandis que Sidonie déboutonne sa veste Sans se retourner, elle l'enlève ainsi que son débardeur. Puis fait glisser la fermeture de sa jupe et l'emjambe. Le directeur est toujours derrière elle, elle n'a pas dit un mot, lui non plus. Elle range ses vêtements et semble vouloir attendre ainsi.
- Vos sous-vêtements aussi !
Sidonie lève la tête vers le plafond de dépit, on l'entend renifler. Elle dégraphe son soutien-gorge et fait glisser sa culotte qu'elle emjambe à son tour. Bien que dos au directeur, elle cache ses seins en croisant ses bras devant sa poitrine.
Le directeur s'approche d'elle en se disant qu'il avait finalement de la chance de pouvoir punir une aussi belle jeune femme et compte bien en profitait jusqu'au bout.
- Vous comprenez qu'une punition de niveau 5 est impossible pour vous dans l'état où elle est notifiée dans le rêglement. Cependant, je vais d'ores et déjà vous infliger une fessée immédiatement. Et comme ce soir nous avons le conseil avec le corps enseignant, j'en profiterai pour les prévenir de vos méfaits.
Le directeur ne précise rien de plus et abat sa main fortement sur ses fesses lui déclanchant un cri de douleur. Elle n'a pas le temps de réaliser ce qui va lui être infligé. La douleur inonde la surface de ses fesses, elle reste debout, et maintient fermement le bord de la table en serrant les dents pour ne pas trop crier. Le directeur lui inflige une vingtaine de claques et s'arrête aussi brutalement qu'il a commencé.
Sidonie ne bouge pas, elle est tentée d'aller frotter ses fesses mais ne veut pas lui donner ce plaisir. Elle le voit prendre sa culotte qu'elle avait poser près du clavier.
- Je viendrais vous chercher tout à l'heure, restez ici en attendant ! ça vous permettra de réfléchir à votre comportement et à ce qui va vous arriver... Et je garde vos vêtements ! Si toutefois vous n'assumiez pas et que vous décidiez de partir, vous irez toute nue !
Sidonie se retoure lorsqu'il referme la porte. Elle s'assure que la salle est bien vide, va fermer les rideaux, verouille la porte et éclate en sanglots en s'assayant sur une chaise.
Elle reste ainsi pendant près de deux heures en se retournant tous les scénarios dans sa tête. Elle sursaute quand elle entend la porte s'enclencher. Son coeur s'affole, les yeux rivés sur la porte. Quand elle entend la clé s'inserer dans la serrure, elle comprend que c'est le directeur qui vient la chercher. Elle s'assoit sur une chaise et recroqueville sur elle-même en croisant ses jambes. Le directeur entre avec ses vêtements à la main, et lui jette à ses pieds.
- Vous avez une minute pour vous habiller ! C'est l'heure d'y aller, je vous attends dans la couloir...
Sidonie s'habille rapidement, rassurée de pouvoir remettre ses vêtements et sort.
- Il n'y a plus d'élève à cette heure là. Donc, vous allez adopter une position de punie... Vos mains posées au dessus de votre tête !
- Très bien, laissez les ici sans les redescendre avant que je ne vous le dise...
Sidonie avance, poussée par le directeur avec les mains au dessus de la tête. Mais quand elle sent l'arrière de sa jupe se lever, elle a le reflêxe de porter ses mains à ses fesses la retenir.
En un instant elle se retrouve sous le bras du directeur, penchée en avant avec la jupe sur le dos.
- Il va falloir que vous appreniez à obéir Mademoiselle Vriehot !!!
Tout en lui interdissant le moindre mouvement, le directeur passe sa culotte sous ses fesses...
- où des fessées vous n'avez pas fini d'en recevoir...
et il lui claque les fesses nues à trois reprises, puis la libère sans lui remettre sa culotte.
- Mains sur la tête et avancez !
Il la guide ainsi jusqu'à la salle de réunion et lui fait traverser la pièce pour l'emmener jusqu'au mur.
- Collez votre nez sur le mur, et ne bougez plus !
Sidonie obéit bien qu'elle se sente ridicule dans cette position, elle espère juste qu'il va la libérer avant que ses collègues n'arrivent. Il lui replace les mains et lui écarte les coudes puis il passe ses mains sous sa jupe et descend sa culotte jusqu'à ses chevilles.
Sidonie n'ose pas bouger mais comprend que sa culotte va rester là.
Le directeur s'en va et il n'y a plus un bruit dans la pièce. Elle n'ose pas se retourner pour voir si elle est seule. Puis quelques minutes plus tard elle entend les discutions de ses collègues qui s'apporchent de la salle. Son coeur s'affolent, sa gorge se noue, mais elle ne peut rien faire. Elle comprend qu'ils sont entrés dans la salle quand les conversations s'arrêtent nettes. Le direteur qui n'avait sans doute pas bougé depuis la début les invite à s'intaller. Tout le monde s'assoit en silence en s'échangeant des regards interrogateurs.
- Mademoiselle Vriehot ! Venez au centre des tables
Sidonie prend une grande inspiration et se donne du courage pour affronter les regards de ses collègues. Elle descend ses mains et se baisse pour remonter sa culotte. Mais le directeur l'arrête juste avant qu'elle ne la saisisse.
- Laissez votre culotte là où elle est ! Et remmettez tout de suite vos mains sur votre tête ! Je ne crois pas vous avoir autorisée à quitter cette position !
Sidonie sursaute et se retourne en replaçant ses mains. Livide, au bord des larmes, elle vient se mettre au milieu de ses collègues entre les tables. Enchevêtrée dans sa culotte elle avance à petits pas ce qui ne manque pas de faire sourire certains de ses collègues.
- Madames et Messieurs vous avez devant vous la coupable du vol de la copératives de la classe !
La honte fini d'envahir Sidonie et elle se met à pleurer en baissant la tête. Ses collègues sont sidirés en apprenant cela et en entendant le directeur expliquer comment elle a fait et comment elle a menti jsuqu'au bout.
- Nous verrons cela à la fin de la séance... Mademoiselle Vriehot ! Remontez votre culotte et allez vous assoir à votre place.
Sidonie se baisse aussitôt et remonte sa culotte. Elle est obligée de remonter un peu sa jupe en la remettant, laissant entrevoir ses bas. Puis va s'assoir sans regarder personne ?
Elle reste discrète durant toute la réunion, n'ayant pas l'envie ni le courage d'apporter son avis. Quand ça se termine, ses collègues rangent leurs affaires et commencent à se lever, mais le directuer intervient :
- Veuillez nous accorder encore quelques instants s'il vous plait... Mademoiselle Vriehot veuillez retourner au milieu !
Sidonie comprend tout de suite et implore le directeur :
- S'il vous plait Monsieur...
- Allez au milieu sans discuter !
Comme Sidonie continue à l'implorer, il se lève d'un bon et vient jusqu'à elle pour l'attrapper par le bras et la faire se lever puis la courbe sur la table en lui emprisonnant les mains dans le dos. Sidonie est incapable de bouger, elle ferme les yeux tandis qu'elle sent sa jupe remonter et ne peut retenir ses larmes. Elle s'attend à avoir la culotte descendue mais au lieu de ça, une claque lui arrive par dessus. Elle reçoit une fessée ainsi devant ses collègues avant qu'il ne la libère. Elle recouvre aussitôt ses fesses et se relève en essuyant ses joues.
Le directeur la reprend vigoureusement par le bras et l'emmêne jusqu'au coin.
- A genoux, les mains sur la tête !
Sidonie se met dans la position demandée alors que ses collègues quittent la pièce, il ne reste plus que le directeur, son adjoint, la secrétaire et l'agent comptable. Les membres de la direction font toujours un débreifing après la réunion.
Sidonie a l'impression que c'est interminable, elle a mal aux genoux et ses bras sont lourds. Elle peine à maintenir ses mains au dessus de sa tête, mais elle fait des efforts pour ne pas bouger.
Elle entend enfin que les discutions prennent fin, l'agent comptable et la secrétaire saluent le directeur et son adjoint et sortent. Le directeur continue à discuter avec son adjoint sans se préoccuper de Sidonie, mais au bout d'un moment l'adjoint en vient à son sujet :
- Que va-t-on faire d'elle ?
Sidonie sent la chaleur lui envahir le visage, elle fixe le mur en écoutant tout ce qu'ils disent d'elle. Le directeur dit qu'il a déjà commencé à la punir avant la réunion, qu'il ne dira rien aux élèves et qu'il veillera à ce qu'elle rembourse intégralement la somme qu'elle a volé. Il ajoute qu'il est très remonté contre elle et qu'il ne la lachera pas...
- Est-ce qu'elle a été assez punie ?
Le directeur n'hésite pas une seconde à répondre
- Bien sur que non, je l'ai punie rapidement, sur le coup, mais j'attendais la fin de la réunion pour la sanction... Mademoiselle Vriehot, venez ici !
Sidonie se lève deconfite et vient tête baissée vers le directeur et son adjoint. A peine arrivée, le directeur l'allonge sur la table et lui relève sa jupe sur son dos. Et cette fois-ci, il baisse sa culotte. Sidonie s'aggrippe au bord de la table tandis qu'une claque retentissante arrive sur ses fesses. Une deuxième lui arrache un cri, suivie d'une troisième qui la fait sursauter. Une déferlante s'abat sur ses fesses tandis qu'elle mort la manche de sa veste pour éviter de crier trop fort, mais elle ne peut s'empêcher de sangloter. Un brasier innonde ses fesses et s'arrête d'un cou.
- Debout !
Sidonie se leve chancelante en reniflant. Le directeur baisse sa jupe qui s'enroule autours de ses chevilles, il en profite pour descendre aussi sa culotte. Sidonie se cache avec ses mains. Mais le directeur lui enlève sa veste et attrappe le bas de son débardeur.
- Levez les bras !
Il passe son débardeur au dessus de sa tête et le jète par terre. Puis il la prend par les épaules pour le faire se retourner et dégraphe son soutien-gorge et la remet face à lui comme un pantin. Il descend ses bretelles pour libérer ses seins et jète le soutien avec son débardeur. Sidonie cache cette fois-ci sa poitrine alors que le directeur s'accroupie pour libérer ses chevilles de sa jupe et de sa culotte. Elle se retrouve devant le directeur et son adjoint avec pour seuls vêtements ses bas et ses chaussures. Il lui fait faire de nouveau un demi-tour pour contempler ses fesses.
- Pour ce qu'elle a fait ses fesses ne sont pas encore assez rouge.
L'adjoint acquiesse alors que le directeur s'assoit sur une chaise en entrainant Sidonie sur ses genoux. Elle reçoit une nouvelle fessée mais cette fois-ci impossible de se retenir de crier pour elle. Elle tombe à genoux au sol lorsqu'il la libère.
- On va la laisser reprendre un peu ses esprits, voulez-un café dans mon bureau, je continuerai la fessée après...
L'adjoint accepte volontier trop content d'assister à la punition de sa jeune collègue.
- Vous, prennez vos vêtements à la main, inutile de vous rabhiller pour le moment.
Sidonie en larmes regroupe ses vêtements et doit suivre les deux hommes dans les couloirs de l'établissement, toute nue. Elle prie pour qu'il n'y a plus personne, mais à cette heure là, il y a peu de chance.
Arrivés dans le bureau, le directeur lui arrache ses vêtements des mains et les jête sur une chaise. Comme il l'aurait fait à une élève, il lui attrappe l'oreille et la guide ainsi jusqu'au coin. Sidonie grimace et lui tient la main pour éviter qu'il ne tire trop fort. Il lui fait baisser la tête en la maintenant toujours pour qu'elle se mette à genoux.
- La fessée, c'est dans dix minutes !!!
Sidonie se demande comment elle va pouvoir supporter une nouvelle fessée. Ses fesses sont déjà tellement endolories qu'elle se dit qu'elle ne pourra plus s'assoir. Pendant le temps qu'elle est au coin, les deux hommes boivent leur café en échangeant des banalités.
Au bout de dix minutes, le directeur va chercher Sidonie pour la ramener à son bureau de la même façon qu'il a été la porter au coin. Quand il la lâche, elle reprend conscience qu'elle est nue, et cache son sexe et sa poitrine à l'adjoint qui est face à elle. Voyant cela, le directeur, lui attrappe les pognets et lui écarte les bras du corps.
- Ne vous cachez pas ! Si je vous ai mise nue, c'est pour vous punir, alors respectez votre punition !!
Sidonie reste prostrée en montrant tout.
- D'ailleurs, vous n'avez besoins d'aucun vêtements ! Déchaussez vous et enlever vos bas... Je vous veux sans rien du tout pour cette fessée !
Sidonie enlève ses talons et se baisse pour enlever ses bas, elle ne pleure plus, mais n'arrive pas à regarder le directeur et son adjoint. Elle est tellement gênée d'être ainsi devant eux. Elle aimerait pouvoir se cacher mais resiste à mettre ses mains. C'est le regard insistant de l'adjoint qui la gêne le plus allant de ses seins à sa toison soigneusement entretenue, mais laissant voir la naissance de ses lèvres.
- Allongez-vous sur le bureau... Sur le dos !
Sidonie s'assoit sur le bord et bascule en arrière en comprenant que le directeur veut l'humilier au maximum. A peine allonger il passe ses mains derrière ses genoux et remonte ses jambes à angle droit. Il la fait glisser pour que ses fesses soient dans le vide.
- tenez vos jambes derrière vos genoux !
Sidonie le fait en fixant le plafond, pleinement consciente de la vue qu'elle offre et appréhendant la suite.
Le directeur écarte ses genoux et force pour qu'elle replie encore plus ses jambes. Toute son intimité est ainsi exposés aux yeux du directeur et son adjoint. Non seulement son sexe largement ouvert, mais aussi son anus.
Il prend sa longue rêgle plate posée sur son bureau et l'abat sur ses cuisses déclanchant un cri de douleur de Sidonie. Il se concentre sur le milieu de ses cuisses. Sidonie bouge dans tous les sens tellement la douleur est vive. Mais il la maintient fermement pour ne pas qu'elle s'échappe. Elle crie, elle pleure et supplie d'arrêter. Le directeur ne retiens pas ses coups, ses cuisses passent rapidement du rouge et bleu, il s'arrête uniquement quand sa rêgle casse en deux. Il lache les jambes de Sidonie qui retombent d'un coup. Elle pleure dans ses mains en restant prostrée allongée sur le bureau, les jambes légèrement ouvertes. Le directeur lui tire sur le bras pour la remmetre debout, mais elle ne réagit toujours pas. Il regroupe ses vêtements et lui met dans le bras puis la pousse vers la sortie, la laisssant nue dans le couloir.
- Peu importe l'état de vos cuisses, demain je veux vous voir en jupe !!
Il referme la porte derrière lui, Sidonie tombe à genoux et continue de pleurer un long moment. Ce n'est que quand elle entend que l'adjoint va bientôt prendre congès du directeur qu'elle se relève pour aller s'habiller plus loin et quitte discrètement l'établissement.
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