jeudi 2 mai 2013

Pas de Bac = Pension (2ème partie)


Caroline patiente, tête basse, les mains croisées l’une sur l’autre pour protéger son intimité. Monsieur Lefranc, le proviseur et son interlocuteur échangent des banalités sans lui prêter la moindre attention, jusqu’au moment où le directeur du restaurant en vient au but de sa visite :
- Nous avons une réception ce soir. J’aurais besoin d’élèves pour le service. Je suis venu avec ceux qui sont inscrits au rôle ce mois-ci, pour que tu m’en choisisses trois.
- Caroline est collée ce weekend. Elle est toute désignée. Elle sera à ta disposition pour faire la plonge des cuisiniers avant le service.
Il se tourne vers Caroline qui a relevé la tête et en insistant lourdement sur chaque mot :
- Elle sera la responsable du service à table ce soir. Je veux un service impeccable, sans l’ombre d’un reproche.
Monsieur Dutry, le directeur du restaurant renchérit :
-Puisque tu es collée, tu resteras aussi pour le rangement après le service et tu te débrouilleras seule pendant que les autres membres du personnel se restaureront.
- Il te faut donc encore deux autres élèves ?
- Oui j’en ai sept avec moi, tous des garçons mais il faut voir le planning. Je pense qu’il y en a plusieurs qui sont en retard d’heures.
Le proviseur va chercher le planning au secrétariat, en rentrant, il dit à Caroline de remettre sa jupe et il la place derrière son bureau face au mur. Il prend soin de poser ses mains au-dessus de sa tête puis il s’accroupit derrière elle et en lançant un clin d’œil à son collègue, il descend sa culotte et son collant, juste sous l’ourlet de la jupe.
A sa demande, Monsieur Dutry fait entrer les élèves. Caroline se mord les lèvres de dépit. Ses fesses ne sont plus visibles mais sa position de pénitente et ses sous-vêtements enroulés au-dessus de ses genoux sur ses cuisses suffisent à indiquer son statut. Elle voudrait savoir qui est derrière elle. Quand le proviseur demande deux volontaires, personne ne bronche. Il ajoute d’un air entendu que Caroline sera la responsable de l’équipe et aussitôt bizarrement tous les doigts se lèvent.
Les deux enseignants font leur choix et libèrent les cinq malchanceux. Ils interrogent ensuite les retenus sur leurs prestations précédentes. La discussion s’éternise et Caroline qui ne supporte plus sa position humiliante se met à se balancer d’un pied sur l’autre. Quand Monsieur Dutry quitte le bureau en emmenant ses deux camarades, elle n’a pas réussi à deviner leurs noms, impossible de coller un visage à ces voix.
En entendant la porte se refermer, elle se souvient brusquement que le proviseur lui a promis de lui donner la seconde partie de sa fessée lorsqu’ils seraient seuls et elle sent son cœur s’accélérer à cette perceptive aussi embarrassante que douloureuse. Elle n’entend pourtant plus aucun bruit et intriguée, elle finit par oser jeter un coup d’œil derrière elle. Elle est seule dans la pièce. Elle reste plus d’une demi-heure ainsi à attendre sans bouger puis n’y tenant plus, elle rajuste son slip et son collant mais pour faire bonne figure, elle replace tout de même ses mains sur sa tête. Un bon quart d’heure plus tard, elle sursaute en entendant la porte s’ouvrir :
- Eh bien, Caroline ! Il me semble que vous avez bien du mal à rester les fesses à l’air ! Qui vous a autorisée à vous rhabiller ? Je crois que je vais devoir sérieusement m’occuper de vous apprendre l’obéissance et la docilité.
Il s’approche derrière elle et comme il l’a fait précédemment, il déboucle sa ceinture et détache les boutons de sa jupe qui s’affaisse sur ses hanches. Un petit coup  tiré vers le bas et la voilà enroulée une nouvelle fois autour de ses pieds.
- Puisque vous tenez tant à vos sous-vêtements, je vais vous donner l’occasion de les montrer. Vous allez d’abord rester un peu en petite tenue avant que je vous déculotte pour vous fesser.
La saisissant aux épaules, il lui fait faire demi-tour et sans un mot, il entreprend de déboutonner son chemisier en commençant par les manches. Abasourdie, elle se laisse faire et il lui fait glisser délicatement son vêtement sur les épaules. Elle rougit quand le regard du proviseur s’attarde sur sa poitrine que met en évidence un pushing out assez sexy et ne sachant trop quelle contenance prendre, elle replace d’elle-même ses mains sur sa tête.
- Je vous laisse en sous-vêtements pour le moment, mais ce soir pour votre service vos fesses devront être à disposition. Avoir les fesses nues vous aidera à vous rappeler que vous risquez la fessée au moindre faux pas.
J’ai donné carte blanche à  Monsieur Dutry, si nécessaire, il pourra vous punir comme bon lui semblera. Donc ce soir, interdiction de porter un slip ou des collants. Par contre, vous mettrez des bas, vous en avez, n’est-ce pas ? Jupe noire et chemisier blanc de service bien sûr et . . .
Il fixe à nouveau les seins de la jeune fille.
- Et comme petit plus . . . ou plus exactement un petit moins, pour vous apprendre à  ne pas vous rhabiller sans autorisation, je pense que nous dispenserons cette jolie poitrine  de soutien-gorge.
Là, Caroline ne peut s’empêcher d’accuser le coup. Elle se promet bien sûr d’être parfaite pour ne pas donner le moindre prétexte à punition mais par contre elle sait qu’elle ne pourra rien pour éviter que l’on remarque sa nudité sous le fin tissu de son chemisier. Servir en sachant que tout le monde regarde ses tétons va être particulièrement déplaisant.
Le proviseur s’assoit à son bureau pour se remettre au travail, sans plus lui prêter attention. Elle reste debout derrière lui, la jupe toujours entravant ses chevilles, mal à l’aise d’être en soutien, collant et culotte dans ce bureau.
Une heure se passe sans qu’une parole ne soit échangée. Son cœur fait un bond, quand elle voit Monsieur Lefranc se lever et sortir. Il n’a pas refermé la porte. Elle prie pour que personne ne passe par le couloir. L’idée de se décaler pour ne plus être visible lui traverse l’esprit mais elle se dit qu’il veut peut-être mettre son obéissance à l’épreuve en la laissant exprès exposée à ceux qui emprunteraient le couloir et elle reste stoïquement en place.
Soudain, elle entend qu’il l‘appelle de loin. Le cœur battant, elle hésite. Que doit-elle faire ? Son chemisier et sa jupe sont restés sur le dossier d’une chaise. Doit-elle se rhabiller pour sortir dans le couloir ou y aller comme ça ou peut-être les emmener avec elle ?
Un nouvel appel au ton impérieux la convainc de se risquer dehors en petite tenue.
Elle aperçoit le proviseur sur le seuil d’un bureau au bout du couloir, il a l’air très énervé.
- Alors quoi, vous répondez quand on vous appelle ? Venez par ici tout de suite.
Elle parcourt le couloir, un nœud lui serre l’estomac, elle entre dans le bureau sans se rendre compte de suite de la présence de deux garçons.
- Je vous présente vos co-équipiers de ce soir.
Relevant la tête, elle découvre des camarades de sa classe, qui ne se gênent pas pour la détailler de la tête aux pieds. Surprise et choquée, elle recule mais se heurte au proviseur et s’excuse confusément.
- Je ne sais pas si ce soir vous serez punie par Monsieur Dutry. Cela ne dépendra que de vous. Mais si cela devait arriver, je ne tiens pas à ce que vos camarades en soient troublés au point de perturber leur service. Donc pas de chichis, autant briser les tabous tout de suite, ils vont assister à votre fessée. Venez ici.
Dans l’étroit bureau, il saisit Caroline aux épaules et la pousse entre les deux jeunes gens. Il s’assied sur une fesse sur une table et la courbe aussitôt sous son bras. Les claques atterrissent sur son collant, drues et bruyantes et malgré la honte qui la submerge déjà, elle n’a qu’une seule obsession : que son bourreau laisse sa petite culotte en place. Ses jambes flageolent quand il arrête la fessée et que ses doigts crochètent l’arrière de son collant. Mais seul celui-ci glisse entre ses jambes et la fessée reprend sur sa culotte. Après quelques claques, le proviseur la relâche et lui ordonne de retirer son collant :
- Comme je vous l’ai dit, ce soir pas de collant vous porterez des bas.
Tiens à ce propos, informez donc ces jeunes gens de ce que vous n’avez pas le droit non plus de porter ce soir.
Caroline le regarde interloquée puis on la voit respirer un bout coup avant de sortir très vite en rougissant qu’elle n’aura pas de culotte, ni de soutien-gorge. Cela ne suffit pas.
- Exact vous serez nue sous votre jupe et votre chemisier. Mais dites-nous aussi pourquoi je dois vous imposer cette tenue indécente.
- Je . .  je dois pouvoir être facilement fessée si je commets une erreur.
- Tout à fait, Caroline. Vous servirez les fesses nues . . . immédiatement accessibles et à disposition. Et seins nus également sous votre chemisier pour vous apprendre que l’on ne rechigne pas quand un de vos enseignants vous impose une exhibition punitive.
Caroline est penchée sur ses jambes nues, en train de relacer son bottillon, quand elle sent qu’une paume vient lui flatter familièrement la croupe. Elle frémit sous la caresse indiscrète mais ce qu’elle entend lui glace le sang :
- Puisque ce soir, cette mignonne petite culotte vous sera interdite et qu’il en sera de même pour ce soutien si sexy, autant vous y faire tout de suite. Enlevez-moi tout cela. Vous allez rester toute nue jusqu’à ce soir.
Caroline le regarde comme s’il venait de lui parler en serbo-croate, puis ses yeux vont vers l’un et l’autre de ses camarades et elle pique un fard épouvantable en voyant leurs airs attentifs et réjouis.
- Allons Caroline ne faites pas la mijaurée. Vous pouvez nous tourner le dos si cela vous aide. Moi, j’ai déjà contemplé à loisir vos admirables petites fesses et vos copains les ont aussi aperçues du couloir.
Et puis dites-vous bien que vous ne vous présenterez peut-être pas toujours seulement de dos.
Après un moment d’hébètement, Caroline parait reprendre le dessus. Elle sent bien qu’elle ne peut qu’obéir et profiter de l’offre de se montrer de dos, sinon ce sera pire. Les yeux scintillants de larmes, elle se retourne lentement et s’éloigne de quelques pas. Ses mains passent dans son dos et dégrafe son soutien mais aller plus loin semble au-dessus de ses forces et elle retient son soutien d’un bras croisé sur sa poitrine.
- Allons Caroline, soyez raisonnable, nous avons tous autre chose à faire qu’à attendre votre bon vouloir. Pensez à ce qui risque de vous arriver ce soir. Je connais suffisamment Monsieur Dutry pour me douter que s’il est obligé de vous fesser, il n’hésitera pas à remonter toute votre jupe au-dessus de votre ceinture . . . dans le meilleur des cas ! Il pourrait aussi bien décider de vous l’enlever complètement. Alors imaginez-vous en simple chemisier au milieu du restaurant, avec tout ce monde pour vous regarder !
Encore davantage perturbée par ce qu’elle entend et imagine, Caroline fixe le mur face à elle comme paralysée. A bout de patience, le proviseur se rapproche vivement et lui baisse d’un coup son slip sur les genoux Elle a poussé un cri de terreur et tente de rattraper son vêtement mais déjà le proviseur passe devant elle et achève de lui descendre la culotte sur les chevilles. Alors qu’elle tente de se couvrir d’une main, l’autre toujours occupée à retenir son soutien défait, il lui donne une claque sur les doigts et bataille un peu avant de réussir à lui mettre de force les deux bras le long du corps. Il baisse les yeux vers le bas de son ventre et prévient :
- Je compte jusqu’à cinq. Si à cinq, vous ne m’avez pas donné votre slip et votre soutien, je vous promets que ce petit triangle et vos autres trésors n’auront plus aucun secret pour les jeunes gens qui sont derrière vous.
Un . . . deux . . .
Caroline comprend parfaitement la menace et elle se hâte à faire glisser d’un mouvement d’épaules son soutien sur ses bras puis elle récupère sans trop se pencher sa petite culotte et tend le tout à Monsieur Lefranc.
Celui-ci croise les bras plutôt que de s’en emparer immédiatement, jouissant manifestement de la laisser quelques instants encore dans cette attitude d’offrande et de soumission, un bras levé vers lui.
- Vous voyez que ce n’est pas si compliqué de se mettre toute nue. Vous savez, j’en ai vu d’autres, toutes les jeunes filles de votre âge sont faites plus ou moins comme vous.
Il lui prend enfin les sous-vêtements qu’elle lui présente et en lui donnant une grande claque à travers les fesses :
- Allez, filez vous cacher dans mon bureau !
Caroline ne se le fait pas dire deux fois et en se couvrant du mieux qu’elle peut, elle se retourne, traverse la pièce en coup de vent en bousculant les garçons et s’enfuit se réfugier dans l’autre bureau.
Encore tremblante, elle s’adosse au mur près de la porte ouverte et essaye de rassembler ses esprits. C’est à ce moment qu’elle entend Monsieur Lefranc accompagner ses camarades dans le hall et leur donner ses instructions.
- Ramenez ses sous-vêtements dans sa chambre puisqu’elle n’en a plus besoin.
Elle serre les poings de rage en imaginant immédiatement ces deux gars ramenant triomphalement leurs trophées à leurs copains. Ils vont raconter tout ce qu’ils ont vu c’est sûr ! En se penchant prudemment, elle les aperçoit s’éloigner vers l’escalier, ils se poussent joyeusement du coude et l’un d’eux a déjà son long nez enfoui dans sa petite culotte. Mais elle se recule devant le proviseur qui entre en trombe en rappelant les garçons.
- Un instant, Messieurs.
Sans faire attention à Caroline qui se tasse contre une armoire, il va chercher sa jupe et son chemisier.
- Prenez cela aussi. Je préfère la laisser toute nue cet après-midi. Revenez la chercher ici à 18 heures. Vous choisirez dans son armoire une jupe et un chemisier de service. Des bas noirs aussi, elle en a des auto-fixant. Surtout pas des collants.
Il se tourne vers Caroline, invisible pour les garçons restés dans le hall.
- Votre armoire est fermée à clé, Caroline ?
Et comme elle fait non de la tête :
- C’est heureux pour vous, cela vous évitera d’accompagner ces jeunes gens pour leur remettre la clé.
Ni slip, ni soutien. Ah oui, important ! Pour le chemisier, choisissez ce que vous trouverez de plus léger, je me réjouis de voir l’effet de cette jolie poitrine libre sous un fin chemisier. Pour la jupe, pas trop droite de préférence, plutôt ample ce sera plus pratique.
Caroline n’arrive pas à croire qu’il les autorise à fouiller dans ses affaires. Ils vont sûrement s’y mettre toute la bande et vont se régaler à manipuler toutes ses petites culottes. Soudain, elle se sent défaillir. Elle vient de se rappeler du pire. C’est dans la pile de ses sous-vêtements qu’elle cache son petit jouet. Ils vont le trouver, cela ne fait aucun doute. Mais elle n’a pas le temps de s’apitoyer sur son sort, le proviseur a fermé la porte et s’est retourné vers elle qui se recroqueville et se couvre tant qu’elle peut.
- J’ai une folle envie de vous fesser comme je fessais mes élèves du temps où je donnais cours. Il m‘est arrivé quelque fois de devoir sévir durement et pour mater les plus rebelles devaient s’étendre sur mes genoux devant la classe.
Ceci dit, il s’installe à son fauteuil et invite du geste, Caroline à le rejoindre. Une nouvelle fois, il doit lui replacer les bras le long du corps.
- Vous savez que vous avez de la chance que je n’enseigne plus à présent. Vous auriez été l’élève la plus âgée que j’aurais fessée en classe. Au fond, c’est peut-être une idée que je devrais soumettre à vos professeurs. Vous vous voyez fesses nues devant vos camarades. Ou peut-être même entièrement nue comme aujourd’hui. Il m’arrivait aussi souvent d’envoyer les cancres au coin, à côté du tableau, tenant leurs jupes haut relevées et la culotte aux genoux, c’est sûrement ce qu’il vous faudrait.
Caroline visualise la scène. Elle en est horrifiée et machinalement, ses mains reviennent d’elles-mêmes couvrir sa toison.
Une nouvelle fois, avec une infinie patience et sans doute un infini plaisir, il est obligé de les écarter. Mais cette fois il lui maintient familièrement les mains dans les siennes.
- Soyez donc plus naturel devant moi. Vous êtes nue, c’est entendu. Je vous ai regardée et je vous regarderai encore alors inutile de vous couvrir sans cesse.
Il la contemple de bas en haut avec envie et ajoute d’un air gourmand :
- J’ai puni pas mal de jeunes filles tout au long de ma carrière mais je dois reconnaître que vous êtes particulièrement bien faite. Cela devrait vous rendre plus sûre de vous. Essayez donc de vous comporter avec davantage de spontanéité quand on vous met nue.
Vous savez le métier que vous avez choisi est forcément un rôle de représentation. Vous êtes jolie, bien éduquée, vous avez des atouts, Caroline et quand vous travaillerez dans un restaurant chic comme je vous le souhaite, bien de yeux suivront avec envie vos allées et venues. Bien sûr, vous serez moins exposée qu’à présent mais il n’empêche que vous devrez bien accepter d’être constamment en vedette. Alors prenez cette punition comme un exercice de maîtrise de soi qui pourra vous servir plus tard.
Ses yeux se fixent un moment sur son sexe puis remonte sur sa poitrine. Au comble de la gêne, Caroline détourne le regard. Elle fixe un point du mur et essaye de penser à autre chose mais c’est bien sûr impossible et son regard revient s’effaroucher de ce qu’il contemple.
Il lui relâche les mains.
- Croisez vos poignets dans votre dos et tâchez de les garder ainsi maintenant.
Elle obéit tandis que Monsieur Lefranc s’enfonce confortablement dans son fauteuil pour continuer tout à son aise son inspection. Caroline subit stoïquement ce supplice, tout ce qu’elle attend maintenant c’est qu’il la bascule sur ses genoux et qu’il en finisse. Une éternité se passe, le proviseur prend tout son temps pour graver dans sa mémoire ces seins juvéniles qui se soulèvent au rythme d’une respiration troublée, ils sont de la taille qu’il préfère, deux jolies pommes pas trop grosses mais qui doivent ravir la main d’un honnête homme, pense-t-il en s’amusant. Des tétons qui pointent avec arrogance. Un ventre bien plat. De longues jambes musclées. Ses épaules, ses clavicules très visibles, son cou, de fines attaches toutes en délicatesse. Souvent son regard revient sur la mine dépitée de sa victime : la pauvre ! comme elle ne peut cacher son embarras ! . . . et comme cette gêne est excitante !
Tout à son plaisir cruel, il décide de pousser encore un peu plus loin son avantage et se penche en avant vers son ventre. Le fin triangle de poils bruns au-dessus de son sexe ne cache rien de la forme de ses lèvres, sa fente est parfaitement dégagée, bien qu’elle serre frénétiquement les jambes l’une contre l’autre.
Effrayée, Caroline tente un pas en arrière quand il porte sa main à sa toison, mais il a prévu la manœuvre et la ramène à lui de son autre bras passé juste sous ses fesses. Ses doigts peignent négligemment la touffe de poils folâtres comme s’il voulait y mettre bon ordre.
- Je vois que vous vous épilez soigneusement jeune fille et je vous en félicite, c’est une saine habitude.
Elle tressaille de tout son corps, ses ongles viennent d’effleurer son pubis, à travers sa toison.
- Néanmoins je vais demander aux garçons d’apporter aussi votre rasoir.
Il la regarde pour mesurer l’effet de cette annonce sur son visage chaviré.
- Oui, vous comprenez, je ne sais pas si vous devrez être punie ce soir mais il vaut mieux prendre nos précautions. Cette touffe de poils si fins est fort esthétique mais elle n’est pas très hygiénique dans un restaurant ou en cuisine. Il vaut mieux enlever tout cela.
En parlant, il continue à lisser la petite flamme brune, comme s’il s’agissait de la chose la plus normale au monde.
- Ce sera vite fait, vous avez naturellement peu de pilosité. Mais on verra cela plus tard, allez, sur mes genoux à présent !
Et il la manœuvre pour la présenter contre sa cuisse puis lui laisse l’initiative. Sans protester, Caroline se penche, pose un instant une main hésitante à plat sur sa cuisse et s’allonge au travers de ses genoux. Il adore ce qu’il voit et ce qu’il sent : ce corps souple et chaud étalé à disposition de sa vue et de son toucher. Il a envie de resserrer encore le contact et prend soin d’emprisonner les poignets dans le dos, de passer une jambe entre ses cuisses et de la faire reculer, pressée contre cet appui. Sa science est précise, elle est immobilisée tout contre lui, incapable de bouger sans que ses mouvements ne lui procurent des sensations intimes. Il lui reste à stimuler ses soubresauts et pour cela il connait la bonne méthode. Une déferlante de claques s’abat sur le bas de ses fesses et parfois sur la partie tendre de la cuisse qu’elle expose. Le traitement est rapide, violent, sans répit. Très vite elle est en larmes, puis aux larmes succèdent les cris et les supplications, vient enfin le moment qu’il espérait des ruades en tous sens. Un vrai rodéo où il lui faut dompter sa pouliche. Il maintient fermement les poignets comme on tient les rênes d’un cheval sauvage, tantôt il avance son genou entre ses cuisses pour accentuer la pression sur la zone sensible qui s’agite et se frotte involontairement à sa jambe, tantôt il l’abaisse pour jouir d’une meilleure vue. Il ralentit alors le rythme et la force des claques, pour que la douleur n’annihile pas toute sensation. Les frappes deviennent symboliques mais inconsciente de ce qu’elle fait, elle continue pourtant à se débattre et son bassin se soulève à chaque coup. Les cris ont fait place à de petits gémissements. Une scène émouvante pour le regard et l’ouïe, une sensation incomparable au travers de la toile fine qui couvre sa cuisse. Mais il sait qu’il ne peut mener le jeu aussi loin qu’il le voudrait et à regret, il abandonne d’un coup ses assauts.
Quand il cesse et la relâche, elle se redresse épuisée et en sanglots. Elle se met illico à sautiller d’un pied sur l’autre en se tenant les fesses. Il s’amuse à la voir danser et tressauter ainsi sans plus de soucis de pudeur.

Elle reprend peu à peu conscience de sa situation et se calme. Leurs regards se croisent un instant et il la voit une nouvelle fois rougir délicieusement, toutefois elle n’esquisse pas le moindre geste pour se couvrir ou se détourner de lui et reste face à son fauteuil en se massant les fesses.
Il voudrait se lever à son tour mais il craint d’être ridicule tant il se sent dur et tendu.
- Pour l’instant, vous allez rester ici en attendant que les garçons vous apportent vos vêtements. Quand vous aurez fini de vous frotter le derrière, vous pourrez vous asseoir dans un des fauteuils du salon pour vous reposer, vous avez une longue journée devant vous. Profitez-en aussi pour revoir votre cours d’œnologie, vous trouverez un bon manuel sur cette table. Bon du reste, faites comme bon vous semblera mais j’ai du travail et je ne veux rien entendre.
Il fait pivoter son fauteuil pour se remettre à son dossier. Caroline s’est éloignée de quelques pas dans le petit salon mais restée debout, elle se contorsionne et se remonte les fesses pour en examiner les dégâts. De temps à autre, il lève la tête pour regarder ses massages et ses grimaces. Dommage, se dit-il, que je n’ai pas sous la main une crème apaisante, je lui aurais proposé « charitablement » des soins qu’elle n’aurait pas osé refuser. Il faudra que je pense à en acheter . . . pour la prochaine fois. Je l’aurais fait s’agenouiller sur le canapé, penchée sur le dossier et je serais assis à côté pour la soulager. Ou bien étendue, le ventre sur l’accoudoir. Ou peut-être penchée, les deux mains bien à plat sur la table basse. Et il fait l’inventaire des positions qui lui permettraient le massage le plus érotique. Au fond, c’est la première fois que je fesse une étudiante toute nue. En classe je me contentais la plupart du temps de leur relever la jupe ou d’abaisser leur jean. Parfois, il est vrai que je leur ai aussi baissé le slip. Tiens, il y a même eu cette petite Donatienne à qui j’avais imposé de monter sur l’estrade le bas du corps déjà entièrement nu, mais c’était exceptionnel et cette petite peste l’avait bien cherché. Charmante et impérissable vision ! Ces réflexions n’apaisent pas son érection. Il passe ainsi en revue les occasions qu’il a eu de sévir du temps où il était encore prof, se remémorant les visages apeurés, contrits ou choqués, les fessiers rougis, les petites culottes tendues et moulantes, les strings affriolants. Mais aucun de ses souvenirs ne parvient à surpasser les fesses rouges et les tétons durcis dont le voisinage à deux pas de lui l’ensorcèle.
Ce n’est que lorsqu’elle s’assied dans un fauteuil en lui tournant au trois quart le dos et s’empare du traité d’œnologie qu’il peut se remettre utilement à la lecture de son document.

4 commentaires:

fridd a dit…

Caroline doit être bien halée puisqu'elle passe une ou deux journées nue à chaque épisode.

Dommage pour elle, ça lui coûte quelques claques sur les cuisses et les fesses.

pascfz a dit…

Et oui ! Pauvre Caroline...

Anonyme a dit…

Une suite à cette belle histoire est-elle prévue ?

Anonyme a dit…

Y aurait-il un suite à cette histoire ? Au restaurent, par exemple. La réaction des clients qu'elle sert, une gaffe qu'elle serait amenée à faire = la fessée + servce les fesses nues devant tout le monde, voire, entièrement nue. Son humiliation extrême de devoir servir les clients en leur présentant ses seins nus et sa vulve bien épilée...