Concerne :
les châtiments corporels applicables aux élèves de sexe féminin des classes de tous niveaux
Personnel
habilité à prononcer et à exécuter un châtiment corporel
Article
18 : Tous les membres, qu’ils soient masculins et féminins, du corps
professoral, du staff administratif et du personnel d’encadrement sont
habilités à décerner un châtiment corporel aux élèves et étudiantes susmentionnées.
Article
20 : La punition est administrée par le membre du personnel qui l’a
décernée. Il peut toutefois en déléguer l’exécution à un(e) collègue.
Article
21 : Les membres du personnel auxiliaire (personnel de cantine et
d’entretien) ne sont pas autorisés à décider ou à infliger une telle punition.
Ils sont cependant instamment invités à dénoncer immédiatement aux autorités
visées à l’article 18, toutes infractions qu’ils auraient constatés et
particulièrement les manquements aux règles de civilité, de respect et de
politesse.
Nature
des fautes susceptibles d’être réprimées par un châtiment corporel
Tout
cas d’indiscipline grave peut être sanctionné par un châtiment corporel.
Les
cas d’indisciplines plus légères mais répétées peuvent également faire l’objet
de semblable punition.
En
principe, l’échec scolaire ne peut être visé par ce genre de sanction sauf s’il
résulte manifestement d’un manque d’étude durable et volontaire. Dans ce cas,
le recours à un châtiment corporel peut être décidé, si la situation perdure
après un avertissement explicite.
Nature
des sanctions
Article
22 : Les châtiments corporels consistent en des fessées administrées à
main nue, exclusivement sur le fessier et le haut des cuisses. L’exécutant
choisira parmi les positions suivantes la plus adéquate :
Debout,
mains sur la tête ;
Debout,
mains aux chevilles ;
Courbée
sur une chaise ou un bureau ;
A
genoux, courbée sur une table basse ;
Etendue
en travers d’un accoudoir ;
Etendue
en travers des genoux de l’exécutant.
Temps
et lieux d’administration des sanctions
Article
23 : Les punitions sont infligées immédiatement ou peuvent être différées.
Elles peuvent être administrées en tous lieux de l’école. Si une punition est
décernée à l’extérieur de l’établissement (excursion, activité sportive, visite
de musée etc), son exécution sera reportée jusqu’à ce que l’élève ou
l’étudiante soit de retour dans l’enceinte de l’établissement. Par dérogation à
cette règle, en cas de visite dans un autre établissement scolaire (par exemple
lors des matchs inter-écoles), la sanction pourra être administrée en son sein.
Toutefois si le règlement disciplinaire de l’établissement visité ne prévoit
pas de châtiments corporels, cette exécution est subordonnée à l’accord de son
proviseur.
Sanctions
privées et sanctions publiques
Article
24 : Les châtiments corporels sont en principe exécutés en privé.
Toutefois, en fonction de la gravité de l’infraction et/ou afin de conférer une
valeur d’exemple à la sanction, il peut être décidé de donner à son exécution
un caractère public.
Une
punition est considérée comme publique quand elle est administrée en un lieu
accessible aux autres élèves (classe, couloirs, cours, plaine de sport, cantine
etc.) indépendamment de la présence effective ou non de témoins.
Elle
est par contre considérée comme privée, quand elle est infligée dans un local
normalement non accessible aux élèves (bureaux, salle des professeurs etc.)
La
circonstance que la porte de la pièce soit ouverte ou que les fenêtres ne
soient pas occultées et que dès lors la punition puisse être accidentellement
ou occasionnellement visible de l’extérieur n‘ôte pas à une punition son
caractère privé. Il en est de même lorsque d’autres personnes visées à
l’article 18 sont présentes.
Lorsqu’une
punition privée doit être infligée sans retard pendant un cours, elle peut être
administrée dans le couloir de la classe sans qu’elle soit pour autant
considérée comme publique, à condition qu’elle soit terminée (ou suspendue)
avant l’intercours.
Article
25 : Dans les cas visés à l’article 21, une punition administrée en
présence du membre du personnel auxiliaire qui a dénoncé l’infraction (ou qui
en a été la victime) n’est pas considérée comme publique.
Catégories
de sanctions
Article
26 : Les châtiments corporels de catégorie 1, dits ordinaires, sont infligés
en fonction de la gravité de la sanction, soit par-dessus l’uniforme, soit à
même la culotte. Dans ce dernier cas, la jupe ou la robe sera relevée ou le
pantalon abaissé. Toutefois, il peut être également requis d’ôter complètement
les vêtements susmentionnés.
Article
27 : Les châtiments corporels de catégorie 2, dits aggravés, sont infligés
à même la peau du fessier et des cuisses. En fonction de la gradation du
châtiment, outre la préparation prévue à l’article précédent, la culotte sera
abaissée ou devra être complètement ôtée.
Article
28 : A l’inverse des châtiments de catégorie 1 et 2 qui sont du ressort de
personnes visées à l’article 18, les
châtiments corporels de catégorie 3, dits extraordinaires, ne peuvent être
décidés que par le Conseil de discipline. Ils sont exécutés dans la grande
salle de réunion en présence de l’ensemble des élèves, du personnel et des
représentants de l’association des parents. L’élève punie entrera la dernière,
elle se sera préalablement dévêtue dans le hall d’entrée afin de se présenter
dans la salle de réunion en sous-vêtements. Cette tenue ne préjudicie cependant
pas de celle qui lui sera imposée durant le châtiment lui-même. Les sanctions
de catégorie 3 ne comportent pas de limitations à cet égard et peuvent aller
jusqu’à requérir la nudité complète de l’élève. La fessée peut être infligée à
main nue et/ou au moyen d’une paddle. Pour des raisons de sécurité, la paddle
ne peut toutefois être utilisée que sur la peau nue.
Punitions
prolongées
Article
29 : Quelle que soit leur catégorie, les châtiments corporels peuvent être
prolongés par une durée de deux heures maximum d’exposition, durant laquelle
l’élève punie sera tenue de rester immobile debout, à genoux ou dans la
position qui lui a été imposée pendant sa punition. Il pourra lui être ordonné
durant cette période de poser les mains sur la tête ou de les croiser dans le
dos. La tenue vestimentaire dans laquelle cette mise au piquet est effectuée
est laissée à la libre appréciation de l’exécutant mais ne peut, en aucun cas,
être plus sévère que celle de la punition elle-même.
Punitions
complémentaires
Article
30 : Quelle que soit leur catégorie, les châtiments corporels peuvent être
assortis d’une peine complémentaire consistant en l’obligation d’effectuer des
corvées au service de la communauté scolaire, durant une période continue de
maximum 4 heures ou intermittentes de maximum 8 heures. La tenue vestimentaire
dans laquelle ces services sont effectués est laissée à la libre appréciation
de l’autorité qui a décidé de la punition principale mais ne peut, en aucun
cas, être plus sévère que la tenue de celle-ci.
Ces corvées sont placées sous la conduite du responsable des services
auxiliaires concernés (chef de cantine ou manager des équipes d’entretien) ou
de son délégué.
Mesures
générales de protection
Article
31 : Les élèves et étudiants feront preuve de la plus grande courtoisie à
l’égard de leurs camarades punies publiquement et ce tout particulièrement
lorsqu’un châtiment corporel nécessite un déshabillage plus ou moins
conséquent. L’exposition aux regards n’autorise nullement des attitudes de
harcèlement, gestes ou propos déplacés. Aucun comportement de ce type ne sera
donc toléré, avant, durant ou après les punitions.
Il
est rappelé à cet égard que les appareils de téléphone et de photos sont
interdits d’utilisation dans l’enceinte de l’établissement. Tout élève surpris
à photographier ou à tenter de photographier une élève punie subira
immédiatement une sanction à tout le moins équivalente.
6 commentaires:
Que préférez vous ? la punie se déculotte elle même ou c'est le fesseur qui déculotte ?
Pour avoir vêcue cette situation se faire déculotter est très humiliant, c'est la honte. Etre debout mains sur la tête face à son fesseur pendant le déculottage c'est vraiment horrible. On ne peut s'empêcher de pleurer avant même d'avoir reçue la fessée...
Je ne préfère ni l'un ni l'autre, ça dépend de la situation. Mais il est vrai que j'aime déculotter de la façon que vous décrivez.
il n'y a rien sur la façon dont les punies doivent être habillées
Non, les élèves s'habillent comme ils veulent. Lorsque les filles sont punies, elles le sont avec leurs vêtements...
Bonjour, nous n'avons pas les Articles 1 à 17. vous est il possible de les publier ?
Non, il n'y a pas d'autres articles fantasmés qui sont susceptibles de nous intéresser sur ce blog...
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