M. Ducros, le professeur de Mathématiques passe dans les rangs et surveille les élèves pendant leur devoir.
Les mains dans le dos et sans s'arrêter de marcher, il brise d'un coup le silence :- Mademoiselle H., vous savez qu'il est interdit de tricher pendant les devoirs surtout si le devoir est officiel...
Les élèves lèvent tous leurs crayons et se tournent vers leur prof ou vers Caroline. N'ayant pas de réponse, le prof fait demi-tour et fixe Caroline dans les yeux. Elle rougit aussitôt et affirme qu'elle ne triche pas, sans conviction.
Caroline est une jolie jeune femme de presque vingt ans, brune, les cheveux coupés en dégradé. Plutôt bonne élève, très discrète et assez timide avec ses professeurs mais aussi avec ses camarades.
Le prof se dirige vers son bureau et s'assoit :
- Si vous me jurez que vous ne trichez pas, vous pouvez reprendre votre travail... Je vous fais confiance...
Le prof marque un temps d'arrêt. Caroline se remet au travail ainsi que les autres élèves. Il ajoute alors :
- Il vaudrait mieux pour vous, car d'après le rêglement intérieur, toute tricherie est sanctionnée par une fessée immédiate !
Caroline est la première à relever la tête, visiblement, elle n'avait jamais lu le rêglement et veut croire à une pure invention de M. Ducros. Il constate la mine étonnée de tous les élèves et esquisse un petit sourire et lit tout haut l'article concerné, puis ajoute :
- Rassurez-vous, puisque personne ne triche ici, vous n'avez aucune raison de vous inquiéter ! Remettez-vous au travail, il ne vous reste plus qu'une demi-heure...
Après quelques chuchottements, tout le monde reprend son travail normalement, sauf Caroline qui n'ose pas retirer les formules qu'elle a noté sur une feuille à l'intérieur de sa copie-double.
Elle essaye de se concentrer sur les exercices, mais elle sent que M. ducros ne la lâche pas des yeux. Elle lève quelques fois la tête dans sa direction, mais à chaque fois il la regarde, elle baisse aussitôt les yeux et sait qu'il l'a dans le colimateur.
Elle regarde dans sa direction une enième fois et M. Ducros finit par lui demander :
- Qu'avez-vous, Mademoiselle H., vous semblez inquiète... Auriez-vous quelques chose à vous reprochez ?
Elle hésite avant de répondre :
- Non Monsieur...
- Alors concentrez-vous !
Caroline continue, il ne reste plus que dix minutes, elle sent que M. Ducros est moins sur elle, et espère avoir le temps de retirer discrètement sa feuille, comme à chaque fois, quand M. Ducros va ramasser les copies. Elle est un peu rassurée quand M. Ducros entamme un dernier tour de salle. Arrivé à sa hauteur, il lui tape sur l'épaule, Caroline sent son coeur s'emballer.
- Allez à mon bureau avec votre copie !
Caroline se lève les jambes flageollantes, M. Ducros la suit de prêt et s'assoit à son bureau et tend la main pour qu'elle lui donne sa copie. Caroline tremble comme une feuille et est rouge pivoine. Tout le monde a arrêter de travailler et regarde M. Ducros ouvrir la copie-double et faire tomber la feuille de triche. Caroline baisse la tête, les deux mains jointes devant elle, les doigts entrelacés. Sans ajouter un mot, il range la feuille de triche dans son tirroir, puis déchire le devoir et le met à la poubelle. Puis il pose ses mains de chaque côté des épaules de Caroline, il lui fait faire un demi-tour pour qu'elle soit face à la classe.
- Il vous reste cinq minutes, dépêchez-vous de finir...
- Vous Mademoiselle H., vous restez ici, je m'occuperai de vos fesses tout à l'heure, quand tout le monde sera attentif !!! Et chez moi les punies mettent leurs mains sur leur tête !!!
M. Ducros attrappe les deux poignets de Caroline et dépose lui-même ses mains sur sa tête. Elle n'ose pas protester. Une bonne majorité a terminé son devoir et regarde Caroline. Son regard ne quitte pas le bout de ses pieds tellement elle a honte de ce qu'elle a fait, mais surtout de la façon dont elle est considérée.
M. Ducros annonce que le devoir est terminé, et commence a ramasser les copies aussitôt.
De plus en plus inquiète, Caroline relève la tête et voit M. Ducros revenir vers elle :
- Et bien, nous allons faire la correction de ce devoir tout de suite. Mademoiselle H., vu que vous n'avez pas pu finir ce devoir, vous allez le corrigez et en faire seule les explications au tableau !!!
Caroline descend les mains de sa tête et prend une craie puis attend sagement les questions que va lui poser le prof. Tous les garçons de la classe pensent qu'elle est vraiment craquante avec sa petite robe très courte au dessus d'un legging blanc et d'un pull moulant de la même couleur.
- A chaque erreur, vous aurez le droit à une fessée !
M. ducros marque une temps d'arrêt, et le plus naturellement possible, il lui dit :
- Avant de commencer, enlevez votre legging...
Malgré le ridicule de la situation, et quelques cris étouffés de cetaines filles surprises dans la classe, sans protester, Caroline va chercher l'elastique de son legging sous sa robe et le baisse complètement avant de l'enlever.
- Avez-vous un slip sous votre robe ?
Caroline regarde le prof surprise, puis cherche de l'aide du regard dans la salle, puis répond timidement que oui.
- Alors, enlevez-le !!!
Caroline fait de nouveau un tour de classe du regard puis rouge de honte, elle fait glisser son slip, puis le pose avec son legging.
- Sachez, Mademoiselle H., que pour une telle faute, j'aurais pu vous faire corriger le devoir, devant tout le monde sans aucun vêtements...
Caroline n'ose pas s'imaginer nue dans cette situation bien qu'elle soit très jolie. Elle qui est si pudique. Même l'été sur la plage, elle ne reste que très rarement en maillot, souvent, elle remet une petite robe par dessus quand elle se fait bronzer.
Déjà qu'elle se sent si nue, avec cette robe qui lui arrive juste sous les fesses, elle sait qu'au moindre mouvement ses fesses peuvent être vues. Même avec une culotte, elle n'aurait jamais mis cette robe sans legging... M. Ducros se rend compte du trouble profond de Caroline :
- Je vous ai accordé une faveur, Mademoiselle... Mais si vous avez un manque de politesse et ne savez pas dire merci, vous allez enlevez votre robe !!!
Effrayée, Caroline sa ratrappe aussitôt :
- Oh, non ! Monsieur. Merci.
- Très bien, mais c'est trop tard ! Je vais épargner de dévoiler à vos camarades ce que vous avez de plus intime, mais vous allez enlever voter pull, à la place !
Caroline reste plantée quelques seconde, ne sachant pas comment faire.
- Allez dans le couloir, si cela vous gêne trop de le faire ici !
Caroline quitte aussitôt la classe et laisse la porte ouverte suivant l'ordre du professeur. Elle pense à la fois où elle avait essayé cette robe dans sa chambre sans soutien-gorge. Le décolté était énorme et ses seins assez gros se voyaient beaucoup sur le côté. Elle s'était dit que jamais elle ne mettrait cette robe sans ce pull.
Elle regarde plusieurs fois, si il n'y a personne et abaisse ses brettelle, puis enlève rapidement son pull avant de remettre sa robe en place. Elle ne peut résister à se rendre aux toilettes, juste à côté, pour voir le résultat de sa punition avant de rentrer en classe. Elle constate avec stuppeur, que son décoletté est vraiment plongeant, la dentelle de son soutien dépasse largement au dessus de sa robe. Elle resserre les bretelles de sa robe, mais s'apperçoit que cela fait racourcir la robe encore de quelques centimètres et elle tombe en haut de ses cuisses. Elle s'apprête à les desserrer, mais elle sursaute quand elle entend M. Ducros l'appeler sêchement depuis le couloir. Caroline sort des toilettes précipitement :
- Qui vous a autorisé à vous rendre aux toilettes ?
M. Ducros ne lui laisse pas le temps de se justifier, il s'avance d'un pas décidé vers elle et l'attrappe par l'arrière de sa robe et la suit en la poussant le bras tendu. Cela a pour effet de remonter sa robe et Caroline se retrouve la moitié des fesses à l'air. Elle avance les mains sur les fesses tant pour les cacher, tant pour se protéger des claques qu'elle croit recevoir.
- Retournez en classe ! Et puisque vous avez désobéit, votre soutien-gorge ne vous sera plus utile... Enlevez-le devant tout le monde !
Heureusement, M. ducros la lâche avant d'entrer en classe, sinon, les élèves auraient pu admirer une partie de sa toison, ce qui est impensable pour Caroline. Complètement paniquée par la colère de son prof, elle dégraffe aussitôt son soutien et fait glisser ses brettelles, pour le dégager sur le côté. Elle pique de nouveau un fard en prenant conscience qu'elle n'a plus que sa fine robe sur les fesses.
- Face au tableau, mains sur la tête !
Caroline se retourne et obéit sans opposition.
- Je tiens à vous prévenir, tout de suite, Mademoiselle H., si une seule de vos mains quite votre tête sans mon autorisation, ce mince bout de tissu qui vous protège, vous sera aussitôt confisqué ! Est-ce bien claire ?
Caroline fait un signe de tête signalant qu'elle a bien compris.
- Très bien ! Alors voici votre punition !
Caroline étouffe un cri quand M. Ducros se saisit du bas de sa robe, elle se rappelle de l'avertissement de M. Ducros et ne bouge pas quand elle sent sa robe remonter. Ses fesses sont complètement exposées quand elle lache de petites larmes de honte. M. Ducros ne s'arrête pas là. La robe est très moulante au niveau de la taille mais il la remonte encore au dessus du ventre. Caroline le supplie de cacher ses fesses et fait de petits mouvements pour ralentir le travail de M. Ducros.
Le prof effleure chacun de ses tétons et le galbe de ses seins. De dos, sa robe est juste sous ses seins, le reste de son corps est totalement nue. Caroline se rapproche du tableau, ventre rencontre le métal froid du porte-craies et le bout de ses seins effleurent le tableau, ainsi elle se sent plus cachée. C'est sans compter sur le prof qui l'attrappe de chaque côté des hanches et la fait reculer de deux pas. Caroline se sent encore plus nue. M. Ducros n'hésite pas à ce mettre face à elle. Quand son regard glisse de son visage vers ses seins puis vers sa touffe, Caroline résiste au geste bien légitime de pudeur, et laisse ses mains sur sa tête au lieu de cacher son sexe.
- A présent je vais m'occuper de vos fesses jeune fille... Vous allez vous courber, votre dos doit être à l'horizontal, vous pourrez vous appuyez sur le tableau !!!
Caroline se penche en avant et aggrippe le repose craie, elle voit ses seins pointer vers le sol. Le prof se met sur son côté pour que son fessier soit vu de tous, et pose sa main gauche dans le creux de ses reins.
- Je veux que tout le monde vous entende compter les claques, vous allez recevoir vingt fessées...
Sans demander si Caroline est prête, et à peine sa phrase terminée, le prof abat sa main sur la fesse droite de Caroline.
Totalement surprise, Caroline pousse un cri et se relève pour se frotter la fesse. Amusé, le prof la regarde faire, puis quand Caroline comprend qu'elle n'aurait pas du se relever, il reprend son sérieux :
- Bon, puisque vous ne savez pas obéir et accepter la punition comme il se doit, on va changer de méthode !!! .... Vous allez recevoir la fessée la plus classique !
Le prof ca chercher sa chaise derrière son bureau et l'emmène au milieu de l'estrade.
- Aller ! Je ne vais pas être trop dur avec vous ! Vous pouvez abaissez votre robe pour venir vous allonger sur mes genoux.
Caroline ne perd pas une seconde et s'empresse de se couvrir, mais le directeur l'arrête :
- Stop, stop, stop !! Pas entièrement, gardez-la au dessus de taille, je vais vous fessez les fesses nue tout de même. Dépêchez-vous de venir ici !
Caroline s'allonge sur les cuisses de son professeur en appréhendant la fessée qu'elle va recevoir.
Les vingt claques promises arrivent sur les fesses de Caroline. Bien que rougissantes sur la fin, Caroline aurait cru que la fessée aurait été plus douloureuse. Finalement ce n'est rien en comparaison de la honte que procure cette punition.
Tout en abaissant sa robe, elle se relève rouge de honte.
- Reprenez vos affaire, et allez vous rhabiller dans les toilettes ! Et revenez me voir après !
Caroline rassemble ses vêtements et quitte la salle, tandis que les élèves sortent en pause.
Quelques minutes plus tard, Caroline frappe à la porte et entre. Son prof est à son bureau.
- Alors Caroline, dîtes-moi tout ! Est-ce que cette punition à été efficasse ! Où allez-vous tenter une nouvelle fois de tricher ?
Caroline répond, surprise et déstabillisée :
- Non... Je ne recommencerai jamais !
- Vous l'aviez mérité, n'est-ce pas ?
- Je... je ne pense pas avoir mérité une punition si sévère...
- Croyez-moi, je n'ai pas été sévère avec vous ! La fessée n'a pas été dure, bien que vous m'ayez menti la première fois que je vous ai surprise ! Toutefois cette fessée devant vos camarades était suffisante, mais maintenant qu'ils sont partis, je vais être plus sévère... Et quand ils reviendront, vous leur montrerez le résultat !
Le visage de Caroline se décompose :
- Oh non, s'il vous plait ! Punissez-moi comme vous voudrez, mais pas devant tout le monde !
- Vous aurez les fesses à l'air pendant le prochain cours, que ça vous plaise ou non ! Vous irez au coin le leging et votre culotte sur les chevilles et votre robe remontée... En attendant enlevez votre robe !
- Votre pull aussi !
Caroline se retrouve en soutien, visiblement gênée d'être une nouvelle fois exhibée.
- je vais m'occuper de vos fesses tout de suite, mais avant, enlevez votre soutien-gorge !
Voyant que Caroline est de plus en plus mal à l'aise, son professeur lui dit :
- Retournez-vous si c'est plus facile pour vous !
Caroline se retourne et enlève son soutien puis le pose à ses pieds. Elle entend son prof se lever et venir vers elle.
- Mettez vos mains sur votre tête !
Les claques arrivent sur les fesses de Caroline, il n'y a aucune comparaison à faire avec la fessée précédente. Caroline sent les picotements dès les premères claques, bien que ses fesses soient protégées par son legging.
Elle laisse ses mains sur sa tête et ferme les yeux quand M. Ducros s'arrête et baisse son legging jusqu'aux genoux.
M. Ducros ne se laisse pas attendrir par la vue de son slip en dentelle transparente qui moule ses fesses, il reprend la fessée de plus bel. Caroline oublie rapidement qu'elle est en slip devant son prof. Ce qui l'importe le plus, c'est la douleur qui envahit ses fesses. M. Ducros claque toute la surface et malgré le slip, il constate que les fesses de Caroline commencent à rougir et décide d'arrêter un instant.
- Voilà comment une fessée doit être donnée Mademoiselle H. !
Il attend quelques secondes tandis que Caroline descend ses mains pour frotter ses fesses.
- Bon ! Nous allons terminer votre punition avant que vos camarades ne reviennent ! J'imagine que vous souhaitez que la fin de votre fessée se déroule en privé ?
Caroline fait un signe de la tête, incapable de parler.
- Cependant si je vous reprends à tricher, et ceci dans n'importe quelle discipline, je n'attendrai pas la pause pour vous donner une sévère fessée !!!
- Comme c'est votre première fessée, je ne vais pas vous infliger la honte de descendre votre slip, vous allez le faire toute seule ! Mais la prochaine fois, devant vos camarades, c'est moi qui vous mettrez toute nue !!! J'espère que c'est bien clair ?
Caroline fait un nouveau signe de tête au bord des larmes.
- Très bien ! Alors baissez votre slip ! Mettez-le sur vos chevilles et remettez vos mains sur votre tête !
M. Ducros va chercher une chaise derrière son bureau et passe devant Caroline pour la poser face à elle. Pendant ce temps Caroline n'a pas bougé, elle descend juste ses mains et croise ses bras devant ses seins quand son prof passe devant elle.
- Alors Mademoiselle ! J'attends !
M. Ducros s'assoit face à elle et la regarde droit dans les yeux.
- Dépêchez-vous de descendre ce slip !
Caroline tremble comme une feuille, tandis que le professeur s'impatiente. D'une voix presque inaudible, Caroline lui répond :
- Je n'y arrive pas...
M. Ducros reste calme. Tellement calme que cela surprend Caroline.
- Très bien, puisque vous n'êtes pas capable d'accepter votre punition, nous verrons cela plus tard... Vous allez rester avec votre culotte ! Mais enlevez votre legging en attendant...
Caroline passe son legging sans defaire ses chaussures et le donne à son professeur.
- Je vais vous laisser le temps de méditer au coin ! ... Tenez allez ici, dans l'angle du mur et du placard !
Caroline se dirige vers le coin et se colle au maximum, ses épaules touchent le mur et le placard.
- Vous aimeriez peut-être connaitre la suite des évênements Mademoiselle H !
Caroline tourne la tête vers le prof et lui adresse un regard mêlé d'impatience et de tourments.
- Alors pour commencer, vous allez rester au coin en slip, malgré le retour de vos camarades et vous y resterez la prochaine heure ! Cela vous permettra d'accepter enfin votre punition et d'en tirer les conséquences !!
Le professeur n'observe aucune réaction, mais les larmes commencent à couler sur les joues de Caroline.
- Mais cela vous permettra aussi de vous préparez psychologiquement à la fessée que vous n'avez pas voulu accepter et que vous recevrez immanquablement à la fin du cours.
Cette fois-ci, M. Ducros entend les reniflements des pleurs, mais il continue sans pitié :
- Je vous précise pour que vous soyez consciente de la punition, que devant camarades, que vous le souhaitiez ou pas, votre slip sera enlevé !
Caroline accuse le coup en sanglotant, tandis que le prof se dirige vers la porte pour faire entrer les élèves. Elle ne peut supporter une telle punition.
- Attendez ! Je vous en prie n'abaissez pas ma culotte... Donnez-moi la fessée tout de suite, mais pas devant tout le monde...
- Vous aviez le choix tout à l'heure maintenant c'est trop tard !!!
Caroline hésite un instant puis après avoir pris une grande inspiration fait glisser sa culotte à ses pieds.
- ça y est, je suis toute nue, fessez-moi tout de suite...
M. Ducros se retourne et découvre Caroline cachant ses parties intimes honteusement.
- Donnez-moi votre culotte ?
Caroline se retourne pour dégager la culotte de ses pieds, M. Ducros la prend en passant à côté d'elle et la pause sur son bureau.
- Je suis heureux de consater que vous accepter enfin votre punition et je vous en félicite !
Caroline est morte de honte, complètement nue au milieu de sa classe devant son prof, terrifée à l'idée que la porte face à elle puisse s'ouvrir et que quelqu'un la découvre ainsi. Elle frémit de tout son corps quand le prof la prend par le bras. Il l'entraine vers le fond de la classe.
- Puisque vous avez fait un effort, je vais vous épargner la honte de rester au coin face à vos amis !
Caroline ne comprend pas et tente de cacher sa poitrine le mieux possible tandis que sa main droite ne quitte pas le bas de son ventre. Lentement, il la conduit jusqu'au mur du fond, seuls les talons de Caroline résonnent dans la pièce.
- Ici, vous serez moins exposée aux regards !
Avant que Caroline ne lui pose de questions, il la pousse contre le mur.
- A votre âge, je ne vais pas vous obliger à vous mettre à genoux ! Cependant si vous bougez pendant le cours, vous viendrez vous mettre à genoux sur l'estrade !... Collez-vous contre le mur et posez vos mains sur votre tête !
M. Ducros laisse Caroline au centre du mur du fond, malgré ses protestations auxquelles il ne répond pas. Elle demande à récupérer sa culotte alors que son prof se dirige vers la porte et ouvre aux élèves. Caroline se rapproche du mur comme pour mieux cacher sa nudité et les premiers élèves entrent et découvrent Caroline complètement nue, hormis ses chaussures, au fond de la classe. Un chahut se forme rapidement, tout le monde commente la punition de Caroline et l'état de ses fesses. L'excitation monte rapidement surtout auprès des élèves masculins. Le fait que Caroline soit encore plus nue que tout à l'heure, n'arrange pas les choses. Caroline est morte de honte, elle pleure, silencieuse en écoutant les commentaires des élèves les plus proches. Les élèves vont difficilement à leurs places, et une fois assis, ils sont pratiquement tous retournés.
M. Ducros veut rétablir un peu de calme, il traverse la salle pour rejoindre Caroline :
- Mademoiselle H. ! Voulez-vous aller sur l'estrade à genoux ?
Caroline crie un "non" qui vient du fond de son coeur.
- Alors mettez immédiatement vos mains sur votre tête !!!
M. Ducros ajoute à son ordre une claque sur chaque fesse de Caroline. Elle s'empresse de poser ses mains sur sa tête, ce qui ajoute une touche encore plus humiliante à sa position.
- Et maintenant, ne bougez plus jusqu'à votre fessée !!!
Caroline n'a aucune envie de bouger, elle attend sagement la fin de cours. Elle se doute que certains de ses camarades se retournent souvent sur ses fesses mais préfère ne pas les voir.
Les choses s'animent pendant le cours lorsque le prof surprend une élève en train de faire un exercice d'anglais au lieu de l'écouter :
- Mademoiselle au fond ! Que faites-vous ?
Surprise, Marion lève la tête et assure qu'elle ne fait rien.
- Je vous voie en train d'écrire, et vous me dites que vous ne faites rien ???
Marion est obligée d'avouer qu'elle n'a pas fait ses exercices pour le cours suivant et qu'elle les recopie sur sa voisine.
- Alors, non seulement, vous ne faites pas votre travail, vous n'écoutez pas mon cours et en plus vous vous permettez de recopier les exercices sur votre voisine... Levez-vous, Mademoiselle !
Rouge de honte, Marion recule sa chaise et se lève, tandis que M. Ducros vient vers elle.
- Pile le jour où une de vos camarades est punie et attend sa fessée complètement nue au font de la classe ! Vous n'avez peur de rien vous ? L'exemple de Caroline ne vous a pas suffit ? Vous voulez prendre sa place ?
Marion rougit à mesure que le prof hausse le ton.
- Vous aussi vous voulez que je baisse votre jean's et votre culotte sur l'estrade ? Et vous voulez recevoir la fessée ?
Sans relever la tête Marion dit non, elle dit qu'elle est désolée, qu'elle ne le refera plus...
- Rangez votre bureau !
Marion ramasse rapidement ses affaires dans son sac, tandis que M. Ducros se calme. Un fois le bureau vide, M. Ducros la courbe dessus.
La panique envahit immédiatement Marion, qui croit que son jean's va bientôt descendre, mais elle reçoit quelques claques par dessus. Elle n'a pas eu le temps de sentir ses fesses chauffer, mais a reçu un bel avertissement et une énorme honte.
Elle reprend ensuite sa place rouge comme une pivoine, et M. Ducros retourne à son cours. Tout le monde reste sage, même Caroline n'a pas osé se retourner de peur que le prof la voit. Elle sait que le cours est bientôt terminé, son coeur s'emballe à cette idée, elle sait qu'elle ne va pas tarder à être fessée.
Puis la sonnerie retentit, les élèves rangent immédiatement leurs affaires et tous jettent en dernier regards vers Caroline qui ne bouge pas. Avant que le dernier élève quitte la salle, M. Ducros lui demande avec qui est le dernier cours. Après avoir obtenu ce renseignement, il lui dit de transmettre au professeur que Caroline ne participera pas à son cours car elle restait avec lui.
Caroline est dépitée en entendant ce que le prof dit. Encore une heure à passer avec lui. Cela faisait à peine quelques secondes que l'élève était parti que quelqu'un frappe à la porte. M. Ducros dit d'entrer. Caroline comprend que c'est le cours suivant. Impossible pour elle de bouger, elle ne peut qu'appeler M. Ducros qui reste sourd. La classe se rempli petit à petit dans un brouhaha de commentaires mêlés d'excitation et d'incompréhension. M. Ducros est obligé de taper avec sa rêgle en bois sur son bureau pour ramener le silence. Après quelques secondes, il n'y a presque plus de bruits dans la salle.
- Mademoiselle H, vous venez sur l'estrade !
Cette ordre résonne dans la tête de Caroline ! Ses jambes tremblent, elle est sûre qu'elles ne vont pas la tenir. Elle est tellement préoccupée à imaginer comment elle va traverser la salle qu'elle n'entend pas frapper à la porte.
M. Ducros ouvre et découvre Marion, accompagné d'un délégué de la classe. Marion a la mine déconfite, elle semble être au bord des larmes. Le garçon s'empresse de dire pourquoi il l'emmêne ici, avec un attitude si joyeuse qu'il a du mal à la contenir.
- Notre prof d'anglais a découvert que Marion n'a pas fait ses exercices, et il a été mis au courant qu'elle a essayé de les faire ici, et il a appris, à la pause, la punition de Caroline. Il est sûr aussi qu'elle a recopié le dernier devoir sur sa voisine... Et il m'a dit de vous dire, que tout cela mérite une punition comme celle de Caroline...
Marion éclate en sanglot quand M. Ducros l'attrappe par le bras au niveau du coude, avant même que le délégué ait finit son explication.
- Et bien, Mademoiselle S., on peut considérer que votre précédente fessée, était un échauffement ! Vous allez comprendre maintenant ce qu'est une fessée, les fesses nues !!!
M. Ducros fait un rapide discours sur les conséquences de la triche, et surtout sur les punitions auxquelles s'exposent les tricheurs. Il prend l'exemple des deux jeunes femmes qui sont punies aujourd'hui et ajoute qu'à leurs âges, il aurait fallu qu'elles comprennent cela depuis longtemps. Car pour Caroline et Marion, se sont des gamins qui sont dans la salle, tout juste arrivés en première année de leur lycée et ceci est encore plus humiliant pour elles.
Surtout pour Marion qui sent sa punition de plus en plus proche. Et quand M. Ducros finit son discours et se tourne vers elle, elle mouille son jean's. Une oréole apparait rapidement entre ses cuisses et descend presque jusqu'à ses pieds. Des réactions de stupéfaction apparaissent dans la classe. Le prof aussi se moque d'elle :
- Que vous arrive-t-il Mademoiselle S., la honte d'une fessée déculottée n'était pas suffisante ? ... Je ne vois pas d'autre choix que de quitter les vêtements que vous avez mouillés !
Joingnant le geste à la parole, il s'assoit sur une chaise et place Marion face à lui. Seul le reniflement des pleurs de Marion s'entendent dans la classe. Même Caroline, sachant qu'elle n'est plus le centre d'intérêt, se retourne afin de voir ce que fait le prof. Il déboutonne le jean's de Marion et essaye de le faire glisser le long de ses jambes, mais le pantalon mouillé et serré lui crée des difficultés à le descendre jusqu'à ses chevilles. Marion semble résignée à se faire déculotter car elle laisse ses bras le lond de son corps quand M. Ducros attrappe son string. Elle n'a aucune autre réaction à part mettre sa tête en arrière et regarder vers le plafond, quand son string rejoint son pantalon.
- Je vous laisse le soin de vos débarasser de vos vêtements mouiller ! Caroline vous prêtera sa robe pour le reste de la journée...
Cette solution n'arrange pas les deux filles. Tant pour Marion qui va passer le reste de la jounée avec une robe extrêmement courte et sans slip, ni pour Caroline qui s'imagine déjà habillée de façon ridicule avec un pull et un legging moullant à souhait et un peu transparent au niveau de sa culotte.
Marion laisse ses vêtements humides par terre.
- Je vais vous fesser quand vos jambes seront sêches, je ne tiens à ce que vous salissiez mon pantalon ! De toute façon, je m'aprétais à fesser Caroline ! Attendez ici, les mains sur la tête et à genoux !
Marion est face au tableau et commence à se baisser.
- Non, non, non ! Face aux élèves !
Morte de honte, Marion se retourne et fait découvrir à la classe son sexe recouvert d'une fine couche de poils blonds encore humides. Au comble de la honte, elle se met dans la position indiquée par M. Ducros.
- Caroline venez sur mes genoux !
Le coeur de Caroline s'emballe de nouveau. Elle prend une grande inspiration et se retourne en cachant sa poitrine et sa toison. Elle ne regarde personne et fixe le tableau tout en marchant. Avant de monter sur l'estrade, elle adresse un regard compatissant à Marion. M. Ducros se lève et la saisit par le bras.
- Vous savez Caroline, si je vous ai mise nue, c'est pour que la punition soit plus sévère ! Et pour que la honte de montrer certaines parties de votre corps augmente la punition ! ... Donc votre bras devant vos seins me semble inutile !
Caroline dévoile sa poitrine. Les yeux glissent sans gêne sur ses seins. Pour beaucoups, c'est la première fois qu'ils découvrent les seins d'une femme. Caroline est d'autant plus gênée, être punie ainsi devant des jeunes alors qu'elle est déjà adulte. Elle pose sa mains par dessus la première qui cache son sexe.
- Caroline si je vous ai dit de montrer vos seins, ce n'est pas pour cacher le reste ! Vous allez aller au bout de votre punition et nous exhiber ce que vous avez de plus intime !!! Enlevez vos mains !
Le visage de Caroline se décompose, mais tout doucement elle écarte ses mains de son corps tout en serrant les poings très forts. Sa toison brune finement taillé en triangle cache son sexe. M. Ducros ne laisse pas le temps aux élèves d'apprécier le spectacle, il bascule Caroline sur ses genoux. Caroline pose ses mains par terre pour ne pas tomber en avant, ses cheveux effleurent l'estrade et ses fesses et ses jambes sont relevées. M. Ducros lui encercle les jambes et l'avance encore un peu en avant, ainsi elle ne peut protéger ses fesses. Les claques brisent le silence. M. Ducros a décidé d'être aussi sévève qu'en privé. Les fesses de Caroline rougissent rapidement, elle essaye d'éviter les claques en se dandinant sur les genoux du prof, mais sa main s'abat sans pitié une bonne vingtaine de fois sur chaque fesse.
Quand elle se relève, M. Ducros la met un instant dos à la classe. Elle frotte ses fesses rougies, sous les yeux ronds des élèves abasourdis. Caroline demande timidement l'autorisation de s'habiller.
- Juste après la fessée de votre amie... Pour le moment, vous allez rester nue face aux élèves... Allez-y, tournez-vous et mettez vos mains sur votre tête !
Quand Caroline se retourne, elle croise le regard de son délégué de classe. Elle avait oublié qu'il était resté là depuis qu'il avait emmené Marion. Caroline rougit encore quand elle sent son regard plein d'envie glisser sur son corps sans retenue. Mais rapidement l'attention se porte sur Marion.
- Mademoiselle S., c'est votre tour ! Venez vous installer pour votre fessée...
Marion se lève et s'allonge sur les genoux de son prof. M. Ducros est beaucoups moins sévère avec elle, quelques claques sur ses fesses et elle est déjà debout. M. Ducros va chercher la robe de Caroline et dit à Marion qu'il est temps de regagner son cours. Il attrappe Marion par le bras et la conduit hors de la classe. Caroline voit sa robe et Marion partir. Elle se sent terriblement seule quand le prof ferme la porte derrière le délégue de classe. Les chuchotements des élèves se font entendre aussitôt. Malgré l'envie qui la pousse à se cacher ou à reprendre ses vêtement, elle reste les mains sur la tête, sans répliquer aux différentes moqueries et commentaires des gamins face à elle. Après quelques secondes, M. Ducros revient en classe, avec à la main, le chemisier et le soutien de Marion. Tout le monde comprend qu'elle passera le reste de la journée, avec juste la mini-robe de Caroline. M. Ducros va poser ses affaire sur son bureau et revient avec le legging et le pull de Caroline.
- C'est bon Caroline, vous pouvez baisser les bras !
- Alors dites-moi, si cette punition vous a fait comprendre que tricher n'est pas bon pour vos études ?
Caroline ne tarde pas à répondre qu'elle a bien compris, et ajoute qu'elle ne recommencera jamais, tout en regardant les vêtements qu'elle aimerai bien remettre et en cachant pudiquement ses seins. M. Ducros la pousse dans le dos jusqu'à ce que ses cuisses touchent la table du premier rang et la prend en exemple.
- Vous qui êtes en première année, vous savez maintenant ce qui risque de vous arriver en cas de tricherie ! Et vous comprenez, grâce à Caroline, que peu importe l'âge de l'élève, si la fessée doit être donnée, elle est donnée sans exception. C'est vrai que jusqu'à présent les filles étaient relativement épargnées, et certaines, peut-être que c'était le cas de Caroline, se croyaient à l'abris de ce genre de punition. Mais vous voyez qu'il n'y a pas de favoritisme, Caroline a été fessée devant sa classe et mise toute nue devant vous, malgré la présence de garçons à chaque fois. Alors, faites vos études dans le droit chemin...
- Je vais vous donner seulement votre legging et votre pull ! Vous viendrez à la fin de la dernière heure avec Mademoiselle S. pour reprendre vos affaires et remettre vos sous-vêtements. En attendant, vous allez passer la journée comme ça. Cette habillement fera remarquer aux autres élèves que vous êtes la punie de la journée !
- Allez-y, vous pouvez retouner en cours...
Caroline ne perd pas une minute pour remettre ses vêtements et quitter la classe.
2 commentaires:
Bonjour !
J'avais lu vos histoires sur un site aujourd'hui disparu et je suis heureux de les retrouver aujourd'hui sur votre blog.
J'attends avec impatience de nouvelles aventures de la pauvre Caroline. Si j'ai un peu de temps, je vous soumettrai celle qui me trotte dans la tête depuis un petit moment
Bonne continuation...
N'hésitez surtout pas à me donner vos idées, j'essayerai de m'en servir...
Effectivement, je publirai prochainement d'autres histoires de Caroline, mais pas seulement...
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