Caroline n'a pas d'appétit, elle se contente d'avaler quelques bouchées. Plus les minutes passent, plus elle s'inquiète. Elle se demande comment va se passer la soirée, et surtout ce que lui réserve le directeur. Une boule se forme dans son ventre et ne la quitte plus. Elle se rend compte d'un coup qu'elle a très envie d'aller aux toilettes. Quand elle se lève le directeur ouvre brusquement la porte. Elle se rassoit aussitôt sur sa chaise, aussi bien pour se cacher que pour ne pas défaillir.
- C'est l'heure ! Vous allez me suivre...
Caroline constate qu'il tient dans ses mains sa jupe ce qui la rassure quelque peu? Elle s'empresse de la remettre quand il lui donne. En passant la porte, elle demande l'autorisation de se rendre aux toilettes, ce que le directeur lui refuse catégoriquement en précisant qu'elle aurait du prendre ses précautions avant. Caroline insiste en disant que c'est très urgent et qu'elle n'en a pas pour longtemps, mais le directeur lui coupe la parole
- Eh bien, j'espère pour vous que vous saurez contenir votre vessie pendant la prochaine heure et demi ! Sinon, vous vous ferez dessus devant tout le monde !
Caroline pâlit. Non seulement elle ne pourra pas aller aux toilettes, mais en une phrase, elle en a appris un peu plus sur sa punition. La durée, excessivement longue, mais aussi le fait qu'elle sera devant tout le monde. Sans doute les accompagnateurs et les élèves des deux établissements.
Elle s'en veut d'avoir été aussi idiote, d'avoir bu ainsi, de s'être fait prendre, de ne pas avoir penser à aller aux toilettes... Elle sent des larmes couler sur ses joues en suivant le directeur Il s'arrête devant la porte et pose sa main sur la clenche. Et se retourne vers Caroline :
- Mettez vos mains au dessus de votre tête ! .... Allez-y, faites le tout de suite... Et ne les descendez pas avant que je y autorise !!
Caroline sèche ses larmes et met ses mains au dessus de sa tête en essayant de se donner une contenance qui disparait à l'annonce du directeur :
- Bon alors voilà comment ça va se passer : Nous allons diffuser un documentaire sur les ravages de l'alcool durant cette veillée. Vous serez ainsi pleinement concernée et au centre de l'argumentaire.
Pendant la diffusion, vous attendrez patiemment sur le côté de l'écran, nous vous avons préparer un endroit où vous vous mettrez à genoux.
- Vous serez punie après le documentaire, il va de soi que ce sera en présence de tout le monde à titre d'exemple. Aussi bien les élèves de notre école que de l'autre école présente... Il me semble que la punition de ce matin, vous a déjà été profitable. Doubler cette peine n'en sera que mieux !!!
Caroline accuse de coup, elle ne se voit pas être punie ainsi. Ses jambes tremblent, quand le directeur ouvre la porte. Tous les regards convergent dans sa direction, elle ne peut supporter cela, et ses yeux pointent le bout de ses chaussures. Déjà devant son école, c'est compliqué pour elle, mais devant une autre école où elle ne connait personne et qui est réputée beaucoup moins sévère que la leur... Le simple fait, qu'elle soit en uniforme alors que tout le monde est habillée normalement la rabaisse énormément. Les ricanements de certains ainsi que les chuchotements lui rappelle encore plus qu'elle sera le centre d'intérêt de toute la veillée.
Le directeur la conduit jusqu'à la table placée pour elle, face au mur, à côté de l'écran. il l'invite à monter dessus pour s'y mettre à genoux. Lorsqu'elle prend cette position de pénitente, les ricanement s'intensifient et le directeur ne fait rien pour les arrêter. Au contraire, il replace lui même ses mains bien au dessus de sa tête, écarte ses coudes et l'invite à se tenir bien droite et à coller le bout de son nez sur le mur. Elle ne peut contenir ses larmes plus longtemps, mais s'efforce de garder la position.
Le directeur lance le documentaire tout en sachant que personne ne va vraiment s'y intéresser. Trop occupés à regarder Caroline et à se demander ce qui va se passer... Au bout de quelques minutes, Caroline n'a plus qu'une obsession : sa vessie qui va exploser. Plus elle y pense plus c'est pire. Elle sait que le directeur ne la laissera jamais sortir et elle se dit qu'elle ne tiendra jamais plus d'une heure ainsi.
Quand le documentaire arrive à son terme, le coeur de Caroline s'emballe, tandis que certains élèves se lèvent croyant que la veillée était finie. Le directeur éteint l'écran avant que quelqu'un sorte :
- Restez tous assis ! Vous avez vu un documentaire sur les méfaits de l'alcool et Caroline va maintenant subir les conséquences de ses abus d'hier...
- Je veux que vous soyez tous témoin de sa punition... Ainsi vous saurez qu'il est non seulement très dangereux de boire, mais aussi d'enfreindre les règles de notre établissement.
Tout le monde se rassoit calmement.
- Caroline venez ici ? Vous pouvez enlever vos mains...
Caroline arrive penaude, au bord des larmes. Incapable de lever la tête.
- J'ai été obligé d'infliger une fessée à cette jeune personne ce matin !
Les réactions sont diverses, certains sont surpris, d'autres moqueurs, mais personnes ne reste indifférent à cette annonce, et les chuchotements pour évoquer sa punition s'amplifient.
Le directeur fait taire tout le monde d'un coup :
- Et elle va en recevoir une autre ici même et devant vous !!
Cette fois-ci, Caroline ne peut plus contenir ses larmes.
- Tournez vous ! Et penchez vous en avant...
Caroline se retourne et se baisse légèrement en mettant ses mains sur ses genoux, en s'attendant au pire. Mais le directeur la laisse dans cette position si inconvenante.
- Ce matin, pour des raisons évidentes lorsque nous étions seuls, je vous ai donné votre fessée par dessus votre culotte...
En interrompant sa phrase, le directeur relève d'un coup la jupe de Caroline sur son dos. Caroline essaye de se relever mais une violante claques au milieu de ses fesses l'en dissuade.
- ... comme vous l'avez remarqué, nous ne sommes plus seuls... Il n'y a donc plus de raisons que vous gardiez cette protection !
Les réactions s'amplifient une nouvelles fois, et le directeur a plus de mal à revenir au silence. Caroline met plus de temps de comprendre et se relève une nouvelle fois pour supplier le directeur.
Une main ferme lui appuie sur le dos pour qu'elle se courbe à nouveau et deux grosses claques supplémentaires lui arrive.
Quand tout le monde redevient attentif, il continue :
- Je sais que vous allez avoir honte mais les claques sur vos fesses nues vous marqueront surement plus. Et je ne vais pas vous cacher que vous faire honte de la sorte fait aussi parti de la punition, je ne vais rien faire pour épargner votre pudeur !
Le directeur ponctue son annonce par une nouvelle grosse claque au milieu des fesses due Caroline.
- Allez-y ! Baissez votre culotte !
Caroline est incapable de faire ça, elle reste sans bouger, complètement paralysée.
- Bon, puisque vous êtes incapable de le faire...
Caroline éclate en sanglot, tandis que le directeur se saisit de son collant. Il lui passe sous ses fesses découvrant complètement sa culotte. Puis il prend l'élastique de sa culotte de ses deux mains et lui passe aussi sous ses fesses.
Caroline n'est pas complètement déculottée, mais elle a les fesses nues pour recevoir les claques. Le directeur lui en applique une vingtaine sans s'arrêter. Caroline essaie de se défaire de son emprise, mais il l'a maintien fermement.
Lorsqu'il la lâche, elle se presse de remonter sa culotte et son collant. Le directeur l'attrape par le bras pour la retournée devant l'assemblée. Elle ne cesse de pleurer, son maquillage commence à couler, elle ne peut lever la tête.
- ça s'était pour avoir quitter la résidence sans autorisation... Je vais maintenant vous punir pour avoir consommer de l'alcool à outrance ! Pour cela, ce sera sans votre jupe.... Vous êtes habitué vu que vous avez passé la journée comme ça... Et je ne veux pas que votre chemisier entrave l'application de votre punition, donc se sera également sans votre chemisier !!!
Caroline accuse le coup tandis que le directeur déboutonne les premiers boutons. Il lui enlève les pans de son chemisier coincés à l 'intérieur de sa jupe et défait le dernier. Il descend également la fermeture de sa jupe, celle-ci vient s'affaler autours de ses chevilles. Caroline se cache le visage, le directeur lui prend le bras, pour défaire une première manche et fait de même pour la deuxième.
Elle se retrouve en sous-vêtements face à un public terriblement silencieux.
Le directeur la penche de nouveau en avant. ce ne sont plus ses fesses qui sont présentées aux élèves mais son décolleté. Le directeur commence la fessée pour quelques claques, puis baisse d'un coup son collant et sa culotte jusqu'aux genoux. Et reprend avec vigueur sur ses fesses nues, il lui redonne une vingtaine de claques qui la retourne et la relève. Cette fois-ci Caroline n'a pas le temps de remonter sa culotte. Au contraire, le directeur lui attrape les poignets et lui pose ses mains au dessus de sa tête. Puis il termine de lui baisser complètement sa culotte jusqu'aux chevilles.
Les fesses de Caroline apparaissent au yeux de tous, uniformément rouge.
- Je vous laisse quelques instant pour reprendre vos esprits. Je vous punirai ensuite pour avoir mis à mal l'image de notre établissement...
Dans un silence lourd, entrecoupé par les sanglots de Caroline, elle reste de longues minutes debout, mains sur la tête, parfaitement droite.
Le directeur va chercher une chaise qu'il pose devant Caroline. Lorsque que le directeur passe devant elle, elle résiste a l'envie insoutenable de se cacher. Elle le regarde s'assoir devant elle :
- Je pense que vous êtes maintenant prête à être punie pour la plus grave de vos fautes. Venez vous allonger sur mes genoux...
Caroline hésite, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix, en prenant soin de ne pas se retrouver face à l'assemblée, elle vient se mettre sur les genoux du directeur. Il ajuste la position pour avoir ses fesses à porté de main. Ses pieds ne touchent plus le sol, lorsque le directeur débute la fessée.
La fessée est plus lente, le directeur frappe et admire le résultat à chaque claque. Elles sont plus fortes que lors de ses deux premières fessées. Caroline sursaute à chaque claque. Il lui en donne une dizaine ainsi sans rien dire. Le silence est de plomb entre chaque claque.
Il l'invite à se relever. Caroline prend soin de se mettre dos à l'assemblée et se penche pour attraper sa culotte.
- Non, non, non... Votre culotte est très bien où elle est... Laissez là en bas.
Dépitée, Caroline se relève.
- Toute nue !!
Caroline regarde le directeur sans comprendre pourquoi le directeur dit ça ainsi. Les élèves encore sous le choc de ce qui vient de se passer ne comprennent pas non plus. Le directeur reprend.
- Ne me regardez pas comme ça, Caroline. Vous avez très bien entendu, j'ai dit toute nue... ça vous apprendra à enfreindre les règles et à bafouer notre établissement... Je continuerai la punition lorsque vous serez toute nue. Et c'est vous qui allez enlever votre soutien-gorge...
Caroline ne bouge pas, mais même de dos on comprend qu'elle s'est remise à pleurer.
- J'ai tout mon temps, mais on va quand même établir des règles... disons 1 claques toutes les secondes 1 2 3 4...
Caroline comprend ce qui se passe, mais n'arrive pas à se résoudre à enlever son soutien-gorge, les chuchotement montent à nouveau dans les rangs. Le directeur annonce déjà 35 quand Caroline se se décide fébrilement à remonter ses mains vers l'attache de soutien-gorge...
- Retournez-vous avant ! 36 37 38...
Cette fois ce mains se portent à son visage, elle hésite encore. Puis dans un effort qui semble lui être surhumain elle fait demi-tour doucement, ses mains devant sa bouche semble retenir un cri de colère.
47 48 49... puis elle défait l'attache de son soutien gorge. 52 53 54 ! Le directeur arrête de compter lorsque son soutien gorge tombe par terre. Caroline se couvre du mieux qu'elle peut...
- 54 claques pour vous décider... Et bien, je pense que vos fesses vont garder une certaine couleurs pendant plusieurs jours... Mais vous y êtes enfin arriver ! Par contre, je ne vous dis fait mettre toute nue pour que vos bras vous cachent ! Posez vos mains sur votre tête !
Caroline doit se découvrir entièrement. Tête baissée, en pleurs contraste avec ses seins fièrement dressés. Son ventre plat et sa poitrine se lève au rythme de sa respiration rapide et angoissée. Plus bas, sa fine toison brune peine à cacher sa fente qui remonte assez haut. Et en bas de ses jambes, sa culotte et son collant négligemment enroulés rappellent qu'elle est punie.
Une grosse claque lui fait faire un pas en avant.
- Demain, on commencera votre journée avec vos 54 claques... Je vous la donnerez dans la salle de restaurant... devant tout le monde. Vous viendrez au petit-déjeuner toute nue !
- Vous pouvez vous rendre dans vos chambres... Caroline, restez comme ça pour le moment, vous partirez la dernière...