Ce n'est qu’au cours du premier trimestre de l’année suivante, que l’on se rendit compte de ce qu’impliquait réellement le nouveau règlement disciplinaire. Voici comment.
Caroline avait accumulé du retard dans ses travaux de chimie. Elle devait présenter une expérience pour son examen à la fin du mois, mais avait accumulé un retard considérable dans ses travaux. Comme elle n’osait pas dire à Monsieur Delizée, son prof qu'elle était en retard, elle décida d'aller travailler seule au labo pendant ses heures libres.
Ce professeur ayant un jour laissé trainer une clé de son local et elle réussit à la dérober discrètement à la fin du cours.
Elle sait parfaitement qu'il est interdit aux élèves de pénétrer seuls dans les classes, et d’autant plus si elles contiennent comme le labo des produits dangereux, mais la fin justifiant les moyens, elle ose braver l'interdiction et pendant la pause de midi, elle s’enferme à double tour dans la salle de chimie.
Le plus dur est réussi, pense-t-elle en cherchant dans la réserve les produits dont elle a besoin. Maladroite, elle trébuche sur l’escabelle, elle se rattrape à une étagère mais des flacons se brisent au sol, répandant des produits à l’odeur épouvantable. Le cœur battant à tout rompre, elle se hâte d’éponger et de ranger le désordre sur l’étagère en espérant encore que personne n'a entendu et que rien ne se remarquera.
Elle emmène ensuite ses produits dans la classe, s'installe et commence assidûment son travail.
Elle est concentrée sur son expérience, quand elle entend la porte de la classe s'enclencher. Son sang ne fait qu'un tour, on tambourine à la porte en criant d'ouvrir. Elle reste interloquée un moment, elle est coincée, elle ne peut sortir par aucune autre issue. Elle entend une clef s'insérer dans la serrure, mais celle qu’elle a laissée à l'intérieur l'empêche de l'ouvrir. On insiste de l'autre côté en frappant de plus en plus fort. Prise de panique, elle se hâte de ranger son matériel, ne sachant plus quoi faire d'autre et devant l'insistance de celui qui veut entrer, elle décide d'aller ouvrir, mais n'en a pas le temps. Un surveillant défonce la porte et entre en furie, aussitôt suivi du professeur de chimie. Caroline tente d'expliquer pourquoi elle est là, mais ils ne l'écoutent pas et courent vers l'arrière salle. Caroline comprend ce qui se passe quand elle voit qu’une fine fumée s’échappe de la fenêtre de la réserve qu’elle a laissé ouverte pour dissiper les odeurs. Stupidement plantée au milieu de la classe, elle voit les deux hommes s’activer à maîtriser un début d’incendie dans les étagères. Complètement hébétée, elle doit s'assoir sur une chaise lorsqu'elle prend conscience de la catastrophe.
Bientôt le danger est écarté mais son prof se tient le poignet douloureusement mordu par un acide. Il ne l’enguirlande pas mais elle se sent mal quand il hoche la tête, les dents serrées en la fusillant du regard.
Un quart d'heure plus tard, elle est assise face au bureau du directeur et doit s'expliquer. Encore sous le choc, elle essaye d'être la plus honnête possible, elle ne cache rien. Elle dit pour la clef, pour les flacons qu'elle a cassés et qui sont sûrement à l'origine de l'incendie, pour ses travaux en retard... Le directeur prend des notes, demande parfois une précision mais ne réagit pas plus.
Caroline préférerait qu'il se fâche, qu’il la punisse, elle sait qu'elle est en tort sur toute la ligne et le manque de réaction du directeur la désoriente. A peine lui reproche-t-il pour conclure leur entretien de ne pas avoir immédiatement ouvert la porte.
Les jours suivants sont pénibles, elle s'en veut et sent le malaise autour d’elle. Elle doit affronter les commentaires de certains profs en début de cours. Les cours de chimie sont annulés jusqu'à nouvel ordre et des camarades qui, comme elle, sont en retard lui en veulent. Elle doit aussi supporter les railleries. "T'es mal" ou alors "je n'aimerais pas être à ta place" est ce qu’on lui réplique quand elle explique qu’elle n’a pas été punie.
Pourtant les deux derniers jours de la semaine se passent sans qu'on ne lui reproche rien d'autre.
Le lundi suivant, le surveillant l'attend à l'entrée du lycée. Il lui annonce que le directeur veut la voir et l'attend dans son bureau. Une boule se forme dans son ventre, elle va frapper à la porte du directeur qui la fait aussitôt d'entrer.
L'accueil qu'il lui réserve est poli, mais le ton est largement plus sévère que la semaine précédente. Cette-fois ci, il ne la laisse pas parler et prend les choses en main.
- Bonjour, Mademoiselle, asseyez-vous ! J'ai à vous parler des événements de la semaine dernière.
Caroline présente une nouvelle fois ses excuses et tente de se justifier, mais d’un geste impatient, il lui intime de se taire.
- Le temps n’est plus ni aux justifications, ni aux excuses, ce qui est fait est fait, Mademoiselle ! Si je vous ai fait venir, ce n'est pas pour évaluer votre degré de responsabilité, vous êtes totalement responsable.
Dois-je encore vous rappeler ce que vous avez fait ?
-vous avez volé la clef d’un local dangereux ;
-vous êtes entrée seule dans une classe ce qui est interdit ;
-le prétexte que vous étiez en retard dans vos travaux n’est pas une excuse mais une circonstance aggravante. Nous attendons de nos étudiants qu’ils travaillent régulièrement et respectent les délais raisonnables qu’on leur assigne pour rendre leurs travaux ;
-vous n'avez pas respecté les consignes de sécurité, ce qui a entrainé un incendie et des dégâts matériels important ;
-et surtout, au lieu d’assumer, vous n'avez pas ouvert aussitôt la porte quand les secours sont arrivés, ce qui a encore aggravé les dégâts.
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
- Non, Monsieur.
Elle baisse la tête sachant très bien que tout ce qui lui reproché est justifié.
- Avez-vous conscience qu’outre le fait que vous ayez esquinté la salle de chimie, vous vous êtes mise en danger, et pire encore, vous avez mis en danger tout l'établissement ?
Caroline hoche la tête en signe d'approbation et ajoute une nouvelle fois qu'elle est désolée.
- Vous comprendrez que devant tant d'écarts de votre part, nous ne pouvions laisser votre cas
impuni.
Il se tait un instant et regarde Caroline qui se tord les mains en comprenant que l’instant crucial est enfin arrivé.
-J’ai réuni le conseil de discipline, seul organe compétent pour statuer dans des cas d’une telle gravité. Il a été décidé à l'unanimité de vous sanctionner par une punition corporelle publique de catégorie 3.
Caroline relève la tête, les yeux légèrement embués, alors que le directeur continue :
- Nous avons estimé que vous aviez mérité que vos camarades assistent à votre punition. Ce sera une humiliation supplémentaire pour vous et un exemple salutaire pour tous. Vous serez punie ce vendredi, dans la grande salle de réunion, conformément à l'article 28 du règlement disciplinaire. Le matin vous serez dispensée des cours pour pouvoir vous préparer et vous vous présenterez à 14 heures précise et suivrez mes indications.
Plus le directeur avance dans ses explications, plus les larmes coulent sur les joues de Caroline.
- Vous recevrez une sévère fessée de la part de votre professeur de chimie mais ce ne sera encore que le début de votre punition. La sanction principale, c’est moi-même qui vous l’infligerai : vingt coups de paddle. C’est la sanction maximale.
Caroline accuse le coup. Le directeur lui demande si elle a des questions, mais elle est trop chamboulée pour ça.
Le directeur la libère et elle retourne en cours. Elle se garde bien de parler à ses amis de son entretien avec le directeur.
Les jours passent, le directeur et les professeurs n'ébruitent rien, si bien que personne ne l’embête plus. Elle appréhende le vendredi qui arrive à grand pas. Elle relit des dizaines de fois de règlement, se demandant comment va se dérouler la punition. A plusieurs reprises, elle hésite à s’adresser au directeur pour lui demander à quoi elle doit s’attendre, mais elle n'en a pas le courage. Elle se passe et se repasse dans la tête tous les scénarios pour se préparer au pire. Elle s’imagine dans toutes les tenues, jupe retroussée, culotte baissée ou même carrément ôtée, devant montrer ses fesses nues à ses camarades. Dans sa chambre, elle prend des positions de pénitente devant son armoire à glace en se tordant pour essayer de se rendre compte de ce que l’on peut voir dans son dos. Si elle est penchée en avant, elle se rend compte qu’elle est ainsi faite que l’on voit tout même si elle serre ses jambes. S’il lui baisse sa culotte, il faut absolument qu’elle reste droite pour supporter la paddle. Un cauchemar la réveille quelquefois, il est toujours le même : elle est fessée toute nue sur les genoux du directeur. En sueur, elle tente de se persuader que ce n’est qu’un mauvais rêve mais toujours la terrible phrase de l’article 28 tourne dans sa tête et la tient éveillée : « les sanctions de catégorie 3 peuvent aller jusqu’à requérir la nudité complète de l’élève. » La nudité complète ! Toute nue ! Non, ce n’est sûrement pas possible lorsqu’une punition est publique comme ce sera son cas !
Lorsqu’arrive 14 heures le vendredi, elle est désemparée et ne se sent absolument pas prête à affronter le regard des autres quelle que soit la punition qui lui est destinée.
En entrant dans le lycée, elle se rend compte que les cours sont vides et l’établissement, désert et silencieux ; ces camarades sont probablement déjà réunis dans la salle à l’attendre. Un peu perdue, elle ne sait pas où aller. C'est le surveillant qui vient à sa rencontre et la conduit dans le hall qui sert de vestiaire à la grande salle. Le directeur et son professeur de chimie l’y attendent.
Caroline tremble comme une feuille et le visage fermé des deux hommes n’est pas là pour la rassurer.
- Enlevez votre veste !
Elle déboutonne sa veste avec difficulté tant ses doigts sont gourds, elle la donne au professeur de chimie qui tend la main et l’accroche à une patère au-dessus de manteaux.
Sur le même ton, le directeur poursuit :
- La jupe à présent !
Caroline s'est préparée à tous les scénarios, même à être déculottée, mais maintenant qu’il faut y passer, cela lui semble impossible. Elle a mis cette jupe en se disant que si elle était relevée et sa culotte baissée, le pan avant cacherait l'essentiel.
Elle a même passé des collants, malgré le temps chaud de cet automne, pour protéger ses fesses des regards si on ne la déculotte pas.
- Enlever ma jupe... non... mais pourquoi ? Ce ne sera pas nécessaire de l'enlever pour la fessée... Je veux dire vous pouvez la relever…
- Si, si ! Vous devez l'enlever. Le conseil a décidé de vous faire entrer dans la salle en culotte. C’est d’ailleurs ce que prévoit l’article 28 : l’élève punie se présente en sous-vêtements. C’est une façon de souligner son statut honteux dès avant la punition.
Comme c’est la première fois, je vous laisse votre chemisier et ne vous tracassez pas, Monsieur Delizée vous baissera aussi votre culotte mais il ne le fera qu’au moment de la fessée. Vous serez couchée sur ses genoux et il ne l’ôtera pas complètement. Vous pourrez la remonter dès que je vous aurai donné le dernier coup de paddle.
Son sort est donc fixé, la seule chose qu’elle retient c’est qu’elle va se retrouver fesses nues dans la salle. Même si ce n'était pas envisageable autrement, elle n'est pas prête pour être déculottée et continue stupidement à plaider :
- S'il vous plait, Monsieur, laissez-moi ma jupe... J'ai mis des collants... Je ne vais pas me montrer en collant devant tout le monde... Et pour la fessée, je vous en prie ne me baissez pas la culotte...
- Ne dites pas de sottises, Caroline ! Vous savez très bien que l’article 28 exige que la paddle soit donné sur les fesses nues, ne fut-ce que pour des raisons de sécurité. Vous connaissez le règlement et vous avez eu tout le temps de vous faire à cette idée. De toute façon, votre punition n'est pas négociable ! Arrêtez de vous plaindre et donnez-moi cette jupe, elle reste ici et vous la récupèrerez dès la fin de votre punition !
Ne sachant plus que faire, Caroline regarde autour d'elle. Devant eux, la double porte de la salle est ouverte, il en sort le grondement effrayant de dizaines de voix mêlées. Derrière elle, la cour, la liberté. Affolée, sans réfléchir, elle se retourne et s'enfuit en courant. Le surveillant se lance aussitôt à sa poursuite.
Le directeur sourit à son collègue, les portes de l’établissement sont bouclées, elle n’ira pas bien loin. Dans la salle, cela commence à s’agiter, il est temps d’aller informer les élèves des raisons de cette réunion. Il monte sur la scène, accompagné de Monsieur Delizée
- Nous sommes réunis pour appliquer pour la première fois depuis l’entrée en vigueur de notre nouveau règlement, une punition de catégorie 3. Vous savez qu'une de vos camarades, Caroline H, a causé des dégâts dans la salle de chimie et qu'elle a enfreint gravement plusieurs règles. Nous avons donc décidé de la punir devant vous. Elle recevra d’abord une fessée de Monsieur Delizée et ensuite 20 coups de paddle sur ses fesses nues...
Mais au lieu d'accepter sa punition avec dignité, elle a préféré s'enfuir...
Un brouhaha succède à la révélation de l’objet de la convocation. On s’attendait à ce que Caroline soit sévèrement punie mais beaucoup croyait que c’était déjà fait, il y en a peu qui espéraient être les témoins de sa sanction. Ce sont les mots « fesses nues » qui suscitent bien sûr le plus de commentaires chez les filles comme chez les garçons. Cela semble incroyable mais ils vont vraiment voir la jolie Caro se faire corriger, culotte baissée.
La porte s'ouvre à ce moment et le surveillant fait traverser à Caroline toute la salle. Elle essaye de freiner mais il la pousse devant lui en maintenant ses bras coincés derrière son dos.
- Ah voilà, notre punie ! Merci, Monsieur Marchal de nous l’avoir rattrapée. J’espère qu’elle ne vous a pas donné trop de mal. Sa tentative de fuite, pour échapper au règlement aura des conséquences directes sur sa punition...
Le surveillant la fait grimper les marches et l'accompagne juste à côté du directeur sans lui lâcher les bras, car elle se débat encore.
- Cette jeune fille s’est enfuie quand nous lui avons demandé d’enlever sa jupe. Figurez-vous qu’elle était gênée de se montrer en collants devant vous... Il est vrai que par cette température mettre des collants est une étrange idée!Voyons cela.
Caroline pousse un cri quand il relève haut l'avant de sa jupe. En maintenant la jupe levée, il se met de côté pour ne pas gêner la vue. Un collant de couleur clair et sans motifs focalise les premiers regards mais on est fasciné par la petite culotte bleue qui apparaît en transparence, les pans du chemisier ajoute une touche à l’érotisme de l’exhibition.
- Je veux que vous compreniez tous ceci : lorsque vous êtes punis, vous avez tout intérêt à accepter votre punition sans essayer de vous y opposer... Cette demoiselle va d’ailleurs vous en faire la démonstration.
Il lâche la jupe et se tourne à nouveau vers Caroline et on le voit s’affairer quelques instants à sa taille. Tout excités les garçons remarquent que la jupe s’affaisse quelque peu sur les hanches. Le directeur tire dessus des deux mains et elle s'abat à ses chevilles, tandis qu’elle pousse un cri vibrant, qui contraste avec le silence de la salle.
- La rébellion de cette jeune fille mérite une sanction supplémentaire. Comme le châtiment corporel qu’elle va recevoir est déjà le maximum autorisé, nous allons devoir la punir autrement. Elle n’aurait dû vous faire voir que ses fesses, mais sa tentative de fuite lui vaudra de vous faire découvrir bien davantage.
Joignant le geste à ses paroles, il fait déplacer le surveillant pour qu’il présente Caroline de profil à la salle et commence à s’attaquer sous son menton à la boutonnière qui ferme jusqu'au cou son chemisier très strict. Elle se débat comme elle peut mais avec ses bras emprisonnés dans son dos, elle ne peut l’empêcher de déboutonner jusqu’au dernier, la dizaine de petits boutons. Il fixe Caroline dans les yeux avant d’écarter largement les pans de son chemisier. Il dénude ensuite ses épaules en rabaissant son chemisier dans son dos. Chacun voit son soutien. Il est assorti à la culotte et met en évidence une jolie poitrine qui se soulève au rythme d’une respiration haletante. Sans un mot, le directeur se penche par-dessus son épaule, ses mains plonge dans son dos. La salle regarde fascinée Caroline tressaillir, la bouche ouverte sur un cri muet quand son soutien-gorge se laisse aller. Le surveillant la relâche pour déboutonner ses manches longues et les lui passer hors des bras. Elle se laisse faire hébétée ou matée et tend même les bras pour aider le directeur à lui ôter son soutien-gorge. Topless, elle s'empresse pourtant de mettre ses mains en coquille devant ses seins.
- Voilà, Mademoiselle ! Vous qui ne vouliez pas vous montrer en collant, c'est chose faite maintenant ! Vous voici en collant et seulement en collant. Mais rassurez-vous, vous n'allez pas les garder longtemps. Pas davantage que votre culotte d'ailleurs puisque vous allez être punie complètement nue.
Le prof de chimie prépare une chaise, en veillant à la tourner de trois quart face à l'assemblée. Il s'assoit dessus et le directeur lui amène Caroline. Sans autre avertissement, il la bascule sur ses genoux et passe en un seul geste l'élastique de ses collants et de sa culotte sous ses fesses. Certains sont déçus, on ne l’a pas mise nue et les sous-vêtements continue à couvrir son pubis. Mais la fessée qui s’abat étonne et fascine. Elle est sévère, bruyante, longue et sans répit, une impressionnante déferlante. Caroline contient ses larmes, essaye de ne pas trop remuer. Ses deux mains sont posées par terre, ses fesses sont tournées vers l'assemblée et rougissent à vue d'œil.
Le prof termine sa fessée aussi abruptement qu’il l’a commencée, il prend soin de remonter la culotte et remettre bien en place le collant. Caroline se relève et frotte ses fesses par dessus ses sous-vêtements, le prof la laisse faire et va ranger la chaise, la laissant seule dos à la salle.
Elle sursaute quand le directeur l’appelle. Elle se retourne et le voit qui l’attend à l’avant de la scène, bras croisés, une strappe à la main. Elle avait oublié la seconde partie et pensait en avoir fini. Couvrant à nouveau sa poitrine, elle le rejoint à tous petits pas. Il la saisit aux épaules et l’oblige à se présenter côté pile à son public. Instinctivement ses deux mains se posent sur ses fesses comme si elles pouvaient les protéger.
Un coup cinglant atterri sur le haut de sa cuisse, juste sous sa main.
- Laissez vos fesses tranquilles ! Vous les frotterez bien assez dans quelques minutes. En attendant posez plutôt vos mains au-dessus de votre tête, avant de nous faire face. Je suis sûr qu’il y a ici bien des jeunes gens qui brûlent du désir de contempler vos seins.
Caroline rassemble tout son courage et se retourne, mais au lieu de poser ses mains sur sa tête, elle couvre sa poitrine avec ses bras. Le directeur soupire et dit simplement :
- Comme vous voulez.
Il passe derrière elle et s'accroupit. La pauvre sursaute lorsqu'il passe ses pouces à l'intérieur de son collant. Les premières larmes commencent à couler sur ses joues tandis que son collant descend et vient emprisonner ses chevilles. Le directeur se relève et donne un coup de strappe si fort sur la culotte de Caroline, qu'elle avance d'un pas en avant.
- Si je vous ai mis seins nus, c'est que cela fait partie de la punition et si je vous ai demandé de mettre vos mains au dessus de votre tête, c’est pour que vous vous montriez à vos camarades. C’est ça le principe d’une punition publique, vous devez accepter de subir les regards sans chercher à dissimuler ce que l’on a mis à nu.
La strappe s'abat à nouveau sur sa culotte.
- Je vous ai promis 20 coups sur vos fesses nues... Vous allez les compter à haute voix. Je
veux que l’on vous entende jusqu’au fond de la salle.
Caroline a toujours ses mains devant ses seins quand un troisième coup arrive. Elle crie entre deux sanglots :
- Un.
- Non, Mademoiselle. Celui-ci ne compte pas. J’ai dit vingt coups sur vos fesses nues. Tant que vous n’êtes pas toute nue, cela ne compte pas.
Le directeur semble frapper de plus en plus fort et au quatrième coup, Caroline pousse un cri en se protégeant machinalement les fesses des deux mains, offrant par la même occasion sa poitrine à la vue de ses camarades. Le directeur soupire :
- Enfin, on dirait que vous avez compris !
Et il lui pose lui-même ses mains au dessus de sa tête. Caroline n'ose pas désobéir et baisse la tête.
- Très bien ! Maintenant, je vais baisser votre culotte et vous allez sagement me laisser vous dénuder. Nous reprendrons votre punition lorsque vos camarades vous auront contemplée à leur aise dans le plus simple appareil.
Comme il l'a fait pour son collant, le directeur s'accroupit derrière Caroline. Elle panique en comprenant comment il va la déculotter. Elle éclate en sanglot quand le directeur se saisit de l'élastique de sa culotte. Ses mains quittent sa tête et viennent cacher son visage, tandis que sa culotte glisse lentement le long de ses jambes pour rejoindre son collant autour de ses chevilles.
L’un et l’autre sont dégagés de ses pieds. Le directeur se relève et tranquillement démêle les deux vêtements pendant que chacun profite de l’incroyable vue de la nudité frontale de leur camarade. Quand il juge que chacun a pu se rincer l’œil à suffisance, il lui saisit doucement les poignets, dégage un visage hagard, relève une mèche qui lui cache les yeux et place ses mains derrière sa nuque. Il retourne derrière elle, rectifie encore la position de ses coudes pour les ramener en arrière et abat la strappe sur ses fesses. Caroline est secouée par les sanglots mais il attend entre chaque coup qu’elle l’ait compté. La strappe arrive sur ses fesses a un rythme régulier. Elle est parfois obligée d'avancer d'un pas pour ne pas basculer en avant. Comme elle est tout près du bord de l’estrade, il la fait reculer après chaque bond en avant. Pour les cinq derniers coups, des cris remplacent les pleurs. Les yeux fermés, elle subit sa correction jusqu'au vingtième coup.
Le directeur fait faire un demi-tour à Caroline et la bascule en avant. Une main pressée sur son ventre, l’autre sur sa nuque, il la cambre pour qu’elle présente ses fesses en l’air. Toute à sa douleur, elle ne prend pas tout de suite conscience que la position qu’il lui impose, est pire que celle qu’elle craignait tellement. Jamais elle n’aurait imaginé que l’on puisse ressentir une telle honte.
- Regardez ces fesses rougies, que cela vous serve de leçons ! Chacune d'entre vous pourrait demain se retrouver à la place de cette demoiselle, que ce soit clair ! Et pour celles qui en doutaient encore, vous savez maintenant que votre pudeur ne sera pas épargnée, votre culotte peut être baissée, même devant tout le monde !
Caroline se laisse manipuler comme un pantin, il lui croise les poignets dans le dos et s’en empare, elle obéit même quand il la sollicite du genou pour qu’elle écarte davantage ses jambes, il la maintient ainsi un moment puis la redresse et la remet face à la salle. Tête basse, elle garde ses mains libérées dans son dos. Elle se sent complètement plongée dans sa honte, entièrement docile, incapable de volonté propre. L'assemblée reste silencieuse, les garçons profitent de l'instant, tandis que les filles réfléchissent aux derniers avertissements du directeur et s'imaginent avec horreur à la place de Caroline. Emilie elle, incapable de gérer son trouble, s’agite de moins en moins discrètement sur sa chaise, croisant et décroisant les jambes pour que son jeans serré vienne presser son entre-jambe. Elle contient l'envie presque irrésistible de plonger sa main dans son pantalon, elle sait qu'elle ne pourra se soulager que lorsqu’ils seront sortis et elles pensent que c’est aussi ce que feront beaucoup de ses camarades et pas seulement les garçons.
Le directeur met encore Caroline en garde.
- Ceci était votre première punition de catégorie 3. Si je dois à nouveau sévir, il n’y aura pas de demi-mesure. Ce sera au minimum dix coups de paddle et sans aucun vêtement. Mais cette fois j’ajouterai une mise au piquet devant l’entrée de la cantine et toute nue aussi.
Après avoir laissé chacun et surtout chacune peser ses paroles, il décrète que la punition est terminée et demande que l’on quitte la salle dans l’ordre.
Caroline est autorisée à se rhabiller.
Alors que les premiers élèves quittent la salle, elle remonte sa culotte et son collant. Le directeur ramasse soutien et chemisier et les lui tend en lui disant d’aller dehors les remettre avec le reste. Elle préfèrerait attendre que tout le monde soit sorti mais est bien obligée de se mêler au flot de ses camarades sortants en serrant son chemisier contre sa poitrine.
Dans le couloir, elle se hâte à se revêtir tandis que l’on traîne autour d’elle pour la voir une dernière fois.