mercredi 24 avril 2013

Fessée dans un magasin (1ère partie)


Avant d’entrer à l’unif, Caroline a décidé de gagner un peu d’argent pendant ses vacances. Quand sa mère lui parle de son étrange cousine qui cherche une jeune fille pour lui tenir compagnie pendant sa villégiature du mois d’août, elle pense avoir trouvé l’opportunité rêvée. Elle ne connaît pas ces parents éloignés mais on lui a quelquefois parlé de cette femme excentrique et un peu neurasthénique qui a épousé un riche industriel fortuné. Ils possèdent un magnifique manoir en bord de mer et elle pourra ainsi combiner vacances de rêve et boulot léger et bien payé. Sa mère s’occupe de tout et l’affaire est rondement conclue, Caroline passera tout le mois chez ses cousins, où elle sera nourrie et logée, elle recevra en plus une coquette somme en échange de quelques heures par jour à jouer au bridge avec sa tante ou à lui faire la lecture.
Sa mère lui recommande toutefois de bien se tenir et de se montrer d’une parfaite politesse dans ce milieu très bourgeois.
En débarquant du car, elle déchante en découvrant un minuscule village, triste à mourir, éloigné de tout, sans activités particulières mais heureusement adossé à une plage magnifique.
Elle n’a aucune peine à se faire indiquer la résidence de ses cousins que tout le monde semble connaître et respecter dans le village. Isolée sur la falaise, le manoir est effectivement impressionnant et elle est épatée en traversant le parc de voir toute un équipe de jardinier en plein travail. Un majordome en livrée la conduit jusqu’à sa tante qui la reçoit sur une terrasse dominant l’océan. L’accueil de Madame de Longchamps est plutôt réservé. Cette femme lui apparaît dès le premier abord autoritaire et antipathique. Sans s’inquiéter de savoir si elle a fait bon voyage et plutôt que de prendre des nouvelles des siens, elle lui précise d’emblée quelles seront ses charges et Caroline est un peu déçue et choquée d’être reçue plus comme une subordonnée que comme un membre de la famille.
Avant de laisser le majordome l’accompagner à sa chambre, elle lui précise que le dîner sera servi à 19 heures.
Sa chambre est magnifique, sa salle de bain ultra moderne et ses fenêtres s’ouvrent sur une vue époustouflante. Mais malgré tout ce luxe auquel elle n’est pas accoutumée, Caroline regrette son engagement et se dit que ce mois va être très long.
Le soir, dès qu’elle entre dans la salle à manger, Madame de Longchamps la réprimande parce qu’elle a cinq minutes de retard pour le dîner. Caroline explique qu'elle était au téléphone, mais sa tante lui réplique sèchement que ce n'est certes pas une raison valable et qu’elle ne supporte pas qu’on lui réplique.
Surprise, elle présente timidement ses excuses. Son oncle semble plus amène que sa femme. Un quadragénaire a l’air vif et décidé, tiré à quatre épingles et affichant un sourire de carnassier. Il embrasse gentiment sa « cousine » et l’on passe à table. Le maître de maison interroge Caroline sur ses études, ses loisirs et ses projets. Intimidée, elle tente de répondre au mieux mais les remarques et l’air coincé de sa tante plombe l’atmosphère. En observant de la jeune bonne qui effectue le service, Caroline perçoit à quel point la vie doit être pesante et disciplinée dans cette maison.
Les jours suivants, elle trouve un certain plaisir à explorer les lieux. Sa tante ne fait presque jamais appel à elle et elle s’étonne d’être aussi bien payée pour si peu. Elle passe de longues heures solitaire à se baigner ou à bronzer sur la plage. Mais
l'ambiance est pesante au manoir. Sa parente semble toujours tendue et mécontente. Le personnel redoute ses crises d’autorité et son mari la fuit en passant tout son temps sur son voilier. Un soir, il propose à sa cousine de l’accompagner le lendemain mais sa femme réagit avec une telle rage contenue que celle-ci préfère décliner prudemment l’invitation et qu’il n’insiste pas.  
A la plage, elle fait connaissance de quelques jeunes parisiens en villégiature. Ils logent dans l’unique hôtel et eux aussi trouvent que l’endroit est plouc à mort. Il n’y a qu’une seule rue commerçante dans la station et ils l’arpentent souvent en se moquant des devantures démodées. Ils ont repéré en particulier un bric à brac qui vend parmi les objets les plus hétéroclites, quelques fringues sans allure. Ils s’attardent dans les rayons, se montre les fringues les plus tartes et en essayent quelques unes, sous les regards courroucés de la propriétaire qui a bien compris qu’ils se moquent de sa boutique. Sur un coup de tête, Caroline chaparde un bracelet. Ce n’est même pas qu’elle en a vraiment envie mais elle veut simplement épater ses copains. Personne ne l’a vue et tout se passerait bien si ses amis restaient discrets. Mais leurs rires et leurs mimiques stupéfaites éveillent les soupçons de la commerçante qui s'approche. Elle ne met pas longtemps à repérer Caroline, trahie par la rougeur de ses joues.
- Je pense que tu as quelque chose qui m'appartient, jeune fille ! Repose-le tout de suite !
Au lieu de rendre le bracelet en s’excusant, Caroline s’affole et choisissant le mensonge, elle prétend n'avoir rien pris.
Devant la tournure des événements, ses amis sortent rapidement du magasin trop heureux que personne ne les retienne. Les touristes alertés par le ton indigné de la commerçante se tourne vers la jeune fille qui rougit de plus bel.
La dame insiste plusieurs fois, mais Caroline s'entête à nier.
Dans ce petit village, tout se sait et la vendeuse a identifié Caroline comme la jeune cousine des châtelains. Caroline sent son cœur se serrer quand l’autre lui dit qu'elle va téléphoner à Madame de Longchamp.
Il est trop tard pour reculer, déjà la vendeuse a pris le combiné et commence à s’entretenir avec sa tante. Elle n'entend pas ce qu'elle dit, elle pense un instant à s'enfuir, mais se ravise, ce serait un aveu et puis où irait-elle sans moyen de locomotion ?
Après avoir raccroché, sans lui donner d'autres explications, elle lui dit sèchement d'attendre près de la caisse et s’occupe de ses clients. Les gens passent à côté d'elle en lui jetant des regards accusateurs. Le feu aux tempes, elle baisse la tête en faisant semblant de ne pas entendre les réflexions de certains.
Moins de dix minutes se passent et elle voit arriver sa tante en furie, le téléphone à l'oreille, elle demande à son mari de la rejoindre tout de suite dans le magasin.
-Bonjour, Madame Lejeune. Je suis venue aussi vite que possible. Je suis affreusement désolée de cet incident honteux, je n’aurais jamais cru cela de cette petite.
Elle se plante devant Caroline et lui demande d’un ton agressif ce qu'elle fait. Terrifiée, Caroline n’imagine même pas avouer et elle ne peut que s’enferrer dans le mensonge.
- Mais je n'ai rien fait, Madame a cru que j'ai pris quelque chose, mais je n'ai rien volé, je vous jure... Ce sont les autres qui ont fait je ne sais pas quoi.
Elle est tellement convaincante, que la commerçante commence à douter, elle dit qu’elle veut bien la croire et propose que l’on en reste là.
Sa tante réplique qu’elle n’en croit rien, elle s'excuse de tout ce raffut dans son magasin, mais elle veut en avoir le cœur net. Madame Lejeune voyant que quelques clients les écoutent d’un air intéressé propose de passer dans la réserve, mais déjà la tante a arraché son sac des mains de Caroline et en fait l’inventaire sur le comptoir. Elle en sort une serviette de plage, de la crème solaire, des lunettes, mais aucun objet suspect. Caroline se félicite de ne pas avoir caché bêtement le bracelet dans son sac. A moitié rassurée, elle commet l’erreur d’insister sur le fait qu'elle n'a rien à se reprocher, ce que sa tante prend pour de l’arrogance et qui l’énerve encore davantage.
- Si ce que tu as volé n’est pas dans ton sac, c'est que tu l'as sur toi !
Sans ménagement, elle plonge ses mains dans les poches de sa robe de plage, ne trouve rien, tâte ses hanches. C’est alors que son mari arrive, il est un peu paniqué, et s’inquiète de ce que sa femme a encore imaginé. Celle-ci au bord de l’hystérie s’emballe :
- Figure-toi que ta cousine vole et elle s'entête à nier les faits...
Cette fois-ci, Caroline s'énerve :
- Mais arrêtez de dire que je suis une voleuse ! Vous êtes dingue ! D'ailleurs, vous m'avez fouillé et vous n’avez rien trouvé...
Sa tante la fusille du regard et lui décoche une gifle magistrale, devant des clients stupéfaits. Caroline se tient la joue, rouge de honte d'être traitée ainsi.
- Alors, il n'y a plus qu'une solution pour prouver que tu es vraiment innocente !
Elle saisit le bas de la robe de plage, la remonte complètement, et la lui ôte par le haut, malgré les cris de sa nièce. Caroline se retrouve en mini bikini, au beau milieu du magasin. Ce qui ne lui semblerait parfaitement naturel à la plage lui semble particulièrement embarrassant ici, sous la contrainte et face à tant de regards amusés et indiscrets. Elle voit que ses amis sont revenus et la regardent derrière la vitrine. Autour d’elle, tout le monde semble figé et curieux de voir ce qui va se passer. Mais en baissant la tête, elle comprend qu’elle n’a plus le choix : le bracelet dépasse de son slip . Honteuse comme jamais, elle demande pardon et passe sa main dans la ceinture de son maillot pour en sortir son larcin. Mais sa tante l'arrête d’une tape sur le bras :
- Non, non, non ! pas si vite... Ce serait trop facile. Je vais te donner une bonne leçon, espèce de voleuse. Crois-moi tu n'es pas prête de l'oublier. Car en plus d'être une voleuse, cela fait plus d’un quart d’heure que tu affirmes avec aplomb devant tous ces gens que tu n'as rien fait... Oui c'est ça, baisse la tête... j'espère que tu as honte ! Mais je te rassure, ce n'est rien à côté de ce qui t'attend !
Autour d’eux, l’évidence du vol suscite l’indignation, on se plaint de l’inconduite de la jeunesse, on approuve la fermeté de Madame de Longchamps, certains conseillent d’appeler la police, qu’on amène cette voleuse au poste en bikini, cela lui servira de leçon, on se dit prêt à témoigner, on fustige la faiblesse des parents et les mots de   « correction » et de « bonnes fessées » reviennent fréquemment.
Mais le silence revient d'un coup quand à la surprise générale, Madame de Longchamps attrape le slip de bain de Caroline et le baisse si rapidement que Caroline ne peut rien pour le retenir. Le bracelet tombe par terre et la tante s’accroupit pour dégager le maillot des pieds de la jeune fille. Comme celle-ci se débat et ne lui facilite pas la tâche, elle s’énerve et lui claque violemment les cuisses.
- Vas-tu te laisser faire ? Cela ne sert à rien, je te promets que tu vas rentrer à la maison sans ton slip puisque tu t’en sers pour dissimuler tes larcins.
Caroline se cache le bas du ventre du mieux qu’elle peut en suppliant, mais quand Madame Lejeune lui agrippe les bras pour venir à la rescousse de sa tante, elle finit par abandonner la lutte et lève docilement une jambe et puis l’autre. Des larmes lui coulent sur les joues et elle se tasse sur elle-même au comble de la gêne.
Sa tante se relève en agitant triomphalement sous son nez le petit maillot, avant de le jeter au fond du sac. Elle ramasse ensuite la robe la plie calmement et la range dans par-dessus. La serviette et les autres affaires de plage suivent encore le même chemin.
- Voilà tu n’en as plus besoin de tout cela et maintenant arrête de pleurnicher, et rend le bracelet à madame !
Mais Caroline semble paralysée et se tient coite les mains croisées, doigts tendus devant son pubis nu. Aussi excité par la situation que sa femme est furieuse, Monsieur de Longchamps attrape Caroline par le bras, la secoue et la force à se pencher pour ramasser l’objet à terre :
- Voilà maintenant tu te mets à genoux et tu t’excuses auprès de Madame.
En sanglotant, elle obéit et les rotules à terre, elle lève un visage baigné de larmes vers la commerçante impassible, lui tend le bracelet et balbutie des excuses.
La dame lui arrache son bien, elle sourit d’un air méprisant et regardant à la ronde, elle lâche à la cantonade :
- Je ne sais pas si ses parents l’ont déjà fessée mais si c’était ma fille, elle recevrait une solide correction, ici devant tout le monde.
Les clients se sont progressivement rapprochés et un murmure d’approbation parcoure le cercle.
- Cette jeune personne est sous ma responsabilité et c’est bien ce que j’ai l’intention de faire, Madame si vous n’y voyez pas d’inconvénient, s’empresse Monsieur de Longchamps, ravi de l’aubaine.
Et il passe sa main sous l’aisselle de la jeune fille pour la remettre debout. I l la retourne et la pousse ventre contre le comptoir, mais sa femme le retient :
- Attendez une seconde, cher, je n’ai pas fini avec elle, qui nous dit que cette petite peste n’a pas aussi caché quelque-chose dans son soutien-gorge !
Voyant où elle veut en venir, Caroline jure, en larmes, qu'elle n'a pris que ça.
- C’est cela jure et promets . . . comme tout à l’heure. Nous n'avons aucune raison de te faire confiance. Allez, donne-moi ton soutien, il ira rejoindre le reste dans le sac et tu rentreras toute nue. De toutes façons, après ce que tu as fait, une fessée toute nue est la moindre des choses.
Comme Caroline continue de supplier sa tante sans enlever son soutien-gorge, la commerçante passe derrière elle et lui défait le nœud et l'attache. Caroline maintient son soutien de son bras plaqué sur ses seins, mais sa tante le lui arrache des mains et le range posément dans le sac.
- Te voilà toute nue pour longtemps. Tu vas voir comment je traite les voleuses.
  

15 commentaires:

papyvictor34@yahoo.fr a dit…

cette jeune fille qui se comporte comme une gamine insolente merite une bonne correction les fesses à l'air. J'espere que la patronne va la coucher sur ses genoux et lui administrer une bonne fessée devant tout le monde comme une petite fille qui aurait fait une bétise, j'ai 58 ans et croyer moi si ma fille qui à 32ans aurait volé elle aurat reçu une sacrée déculloté devant tout le monde et à la maison sa mére lui aurait donné du martinet.

Anonyme a dit…

J'aime bien l'histoire, j'espère qu'il y aura une suite car il y a une histoire qui est restée sans suite, c'est dommage.

pascfz a dit…

Il faut être patient les suites viendront bientôt...

Anonyme a dit…

merci beaucoup j'ai beaucoup aimé pour la suite de la punition etre exposé a genou toute nue devant les domestiques de sa tante elle pourras aussi recevoir une autre fessée nue devant des invités de sa tante elle sera toute honteuse d'exibee ainsi toute son intimité

pascfz a dit…

Merci pour votre commentaire. Effectivement, la suite ressemblera à ce que vous décrivez. Caroline n'est pas prête de remettre sa culotte...

Anonyme a dit…

Bonjour Didier

Effectivement la fessée déculottée immédiate et devant tout le monde est nécessaire en cas de vol. C'est ce que vous auriez fait à votre fille, mais jusqu'à quel âge l'auriez-vous déculottée immédiatement dans le magasin ?

papyvictor34@yahoo.fr a dit…

j'ai fessé ma fille unique alors qu' elle avait 30ans, elle avait manqué de respect a sa mére et ca je ne les pas accepter, je les couché sur mes genoux je les decullotés et je peux vous garantir qu'elle à reçu une bonne fessée,elle s'en rappelle encore ensuite sa mére lui à mis une bonne correction au martinet.Ma fille sait que je ne plaisante pas avec le respect des parents ca ne la pas empéché de reussir ses études. si les parents été plus sévere avec leurs enfants il n'y aurait moins de probléme.

Anonyme a dit…

Tout à fait, mais là, j'imagine que c'était chez vous. Je voulais savoir jusqu'à quel âge l'auriez-vous fessée devant tout le monde ?

papyvictor34@yahoo.fr a dit…

pour repondre à ta question je pense que j'aurais fessé ma fille de 32 ans devant la patrone du magasin mais pas devant, tout le monde, j'aurai convenu de nous recevoir dans son bureau en apparter et je lui aurait dit de ne pas porter plainte mais quelle serai puni sevérement d'une bonne fessé décullotté devant elle comme une petite fille irresponsable et ensuite je l'aurais autorisé à lui donner une bonne correction en travers de ses genoux.Voila pour moi la seul éducation qu'il faut appliquer aux enfants qui ne respecte pas les régles. Cela n'empéche pas d'aimer ma fille et elle le sait. Sa maman est comme moi et je sait que même actuellement si elle lui répondais mal elle n'hésiterai pas à la coucher en travers de ses genoux pour lui mettre une bonne raclée.

Anonyme a dit…

A 32 ans, ça fait un peu tard pour l'éducation... Même pour une fessée juste devant la patronne, mais plus jeune une déculottée devant tout le monde l'aurait incité à ne plus jamais recommencer.

Anonyme a dit…

Fessée à 32 ans c'est effectivement un peu tard. Pour ma part j'en ai reçu des fessées fesses nues et publiquement aussi. je sais ce que ça fait d'être exposée devant un public.....

pascfz a dit…

Et bien, dites nous en plus sur ces fessée...

Anonyme a dit…

vivement la suite des des histoires en suspend. Merci

Anonyme a dit…

Nous n'avons pas eu la suite de cette histoire ? est elle en écriture ?

jean-philippe a dit…

Lorsque ma fille était au collège en classe de 4ème elle fréquentait une camarade qui l'entrainait à faire des actes répréhensibles
Un jour sa camarade l'emmena dans un magasin de musique et elles se firent prendre à voler un CD
Je reçus un appel téléphonique de la patronne du magasin pour régler le conflit
Je rejoignis ma fille rapidement et je payai le CD à la responsable qui me dit: "Monsieur, je passe l'éponge pour cette fois ci mais vous devriez mieux surveiller votre gamine car si à 13 ans elle vole un CD qu'est-ce que ce sera lorsqu'elle aura 18 ans
"Madame, pourriez vous m'apporter une chaise ?"
Oui bien sur mais pourquoi une chaise ? "
"Vous allez voir que je sais tenir ma fille lorsqu'elle commet une faute grave"
La responsable alla chercher une chaise et en plein magasin je saisis ma fille et m'assis sur la chaise je relevai sa jupe et baissai sa culotte devant la responsable et les clients prészents puis je la pris sur mes genoux et lui administrai une fessée magistrale dont elle se souviendra longtemps
Sa copine était déjà partie . Heureusement pour elle car elle aurait subi la meme punition
La responsable me félicita pour mon initiative et dit à ma fille qui pleurait à chaudes larmes
"Que cette fessée te serve de leçon jeune fille !"