lundi 3 décembre 2012

Conseil de discipline

En sortant du conseil de discipline, Caroline se demandait comment elle pouvait en être arrivé là. Depuis des 
années qu'elle était dans cette école, elle ne s'était jamais imaginée être dans cette situation. Elle savait comme 
tous les élèves quelle était la punition pour les actes les plus graves, mais elle pensait qu'elle y aurait toujours 
échappé et s'en voulait terriblement.

Le conseil avait été unanime, une punition du vendredi lui été réservé. Elle savait trop bien ce qu'était une punition 
du vendredi pour y avoir si souvent assisté. Il lui restait deux jours à angoisser avant cette terrible épreuve.
Pourtant elle s'était préparée pour ne pas se faire prendre, elle s'était organisée depuis plusieurs semaines en prenant le 
moins de risque possible, tout devez bien fonctionner. Mais cette nuit là, elle n'avait pas prévu que le directeur 
n'arriverait pas à dormir. Et au moment où elle était installé au bureau, dans la salle des profs, pour changer les 
notes de son examen de fin de premier trimestre comptant pour son diplôme, le directeur avait ouvert la porte 
brusquement la prenant en flagrant délit.
Il avait été aussi surpris que Caroline dans un premier temps, ne comprenant pas pourquoi elle était ici. Mais en 
s'approchant, sa surprise se transforme en colère tandis que Caroline essaye maladroitement de ranger le dossier. 
Bien-sûr elle n'a pas pu nier longtemps.
Très en colère, il l'avait raccompagné jusqu'à sa chambre en la réprimandant et en la tenant par l'oreille tout en 
claquant ses fesses à travers sa chemise de nuit.

A part à sa meilleure amie, elle n'avait parlé à personne du conseil de discipline, trop honteuse d'elle. Celle-ci était 
compatissante même si elle lui dit qu'elle l'avait bien cherché. Caroline ne le savait que trop, elle regrettait 
amèrement son geste, mais c'était impossible de revenir en arrière.

Le vendredi matin, elle n'a pas besoin de son réveil, cela fait des heures qu'elle est éveillée, bien trop anxieuse pour 
dormir. Elle déjeune à peine, puis prend sa douche. Puis vient le moment du casse-tête pour s'habiller. Elle laisse 
tombé ses strings habituels pour une culotte noir opaque et couvrante. Elle hésite ensuite à enfiler des collants, qui 
lui permettrait d'avoir une couche de protection supplémentaire, mais finalement choisit des bas clairs pour être 
moins ridicule. Depuis qu'elle est dans cet établissement, une seule fille a été punie. Elle se rappelle du moment, où 
sa jupe a été relevée, et cette image lui fait horreur. Elle s'en veut de ne pas avoir acheté des collants noirs opaque, 
depuis deux jours, elle aurait du y penser et peste contre elle-même. Enfin elle prend sa jupe de l'établissement la 
plus ample, et son traditionnel chemisier blanc et sa veste noir obligatoires durant les cours.

Elle a la mine des mauvais jours en arrivant au lycée, heureusement son amie est là pour la réconforter. La matinée 
passe à une vite folle et déjà Caroline doit se diriger vers la salle de réunion.
Lorsqu'elle entre dans la salle plusieurs classes sont déjà installées, elle sait qu'elle doit se rendre à l'avant de la 
salle. Elle est rassurée de voir qu'elle n'est pas la seule à être punie ce jour là. Deux garçons qui sont déjà passés 
par là attendent de monter sur l'estrade. Caroline s'approche timidement tandis que le surveillant les conduit vers 
les trois chaises prévues pour eux.
Quand ils voient Caroline s'assoir à côté d'eux, les deux garçons sont surpris, mais n'ose pas lui adresser la parole, 
ce qui arrange Caroline. La salle est pleine quand le directeur appelle le premier puni. Celui-ci se lève péniblement, 
et se dirige vers la table. Presque habitué, il défait son jeans et reçoit une sévère fessée par dessus son caleçon, 
puis retourne à sa place. Caroline s'en veut d'avoir tant apprécié les punitions précédentes, aujourd'hui, bien qu'un 
de ses camarades soit en caleçon juste devant elle, elle y prête à peine attention. Le deuxième puni le suit et 
obtient la même punition.
Caroline voudrait disparaitre à ce moment, son compagnon d'infortune remet son pantalon et elle sait que ça va 
être à son tour, elle a l'impression que son coeur va sortir de sa poitrine. Contrairement à d'habitude, le directeur 
libère les deux garçons, avant de congédier Caroline, il précise tout de même aux deux garçons qu'ils seront collés 
deux heures dans son bureau à la fin de l'assemblée. Elle reste seule sur l'estrade avec le directeur.
Au lieu de dire à Caroline de venir s'installer, le directeur explique pourquoi Caroline est punie. Jamais il ne fait 
cela, mais cette fois-ci, il explique en détail, ce qu'elle a fait et comment il l'a surprise. Caroline est rouge de honte, 
tandis que le directeur annonce qu'il doit infliger une punition exceptionnelle, à la mesure de ce qu'a fait Caroline.

Tremblante comme une feuille, Caroline doit venir se coller à la table. Le directeur lui demande de retirer sa veste 
de l'établissement, il ajoute qu'elle ne mérite plus de la porter jusqu'à nouvel ordre. Elle se courbe ensuite sur la 
table, tandis que le directeur pose une strappe juste à côté de son visage. Caroline croit découvrir ce que le 
directeur entendait par punition exceptionnelle. 
Elle sert les dents en s'attendant à recevoir la strappe sur ses fesses.Elle pousse un cris quand elle sent sa jupe se 
relevé. ça y est le plus dur est fait se dit-elle. Sa culotte noire, ses bas, et ses cuisses nues sont totalement exposés 
à l'assemblée, elle ferme les yeux pour contenir sa honte, tandis que les premières claques arrivent sur ses fesses 
sans qu'elle ne s'en rende totalement compte.

Après avoir absorbé sa honte, elle sent de légers picotements sur ses fesses qui commencent à chauffer. Le 
directeur claque avec sa main sur chaque fesse chacune leur tour. Caroline réalise qu'il n'a pas prit la strappe 
finalement ce qui la rassure. Mais elle a l'impression qu'il est beaucoup plus dur avec elle, qu'il ne l'a été avec les 
deux garçons. 
La fessée est moins rapide, mais à chaque claque tout son corps est bousculé. Ses fesses commencent vraiment à 
lui faire mal, elle agrippe l'autre extrémité de la table pour contenir la douleur. A ce moment, elle ne se rend même 
plus compte qu'elle est en culotte devant tout son lycée, elle attend en contenant ses larmes que cette terrible 
fessée s'arrêtent enfin. Le visage de Caroline n'est plus que grimace à chaque claque.

Quand la fessée s'arrête, elle reprend son souffle puis commence à se relever, mais le directeur l'arrête en lui 
appuyant sur le dos, pour qu'elle plaque sa poitrine sur la table, puis il saisit la strappe. Elle écarquille les yeux, en 
le voyant prendre cet instrument, elle sait que ses fesses ne supporteront pas une autre correction. Pourtant la 
strappe s'élève et s'abat violemment au milieu de ses fesses. Caroline porte aussitôt ses mains dessus pour les 
frictionner, et se rend compte que sa jupe s'est rabattue lorsqu'elle a essayé de se relever, ce qui la rassure quelque 
peu.
- Enlevez vos mains, si vous ne voulez pas recevoir la strappe dessus !
Le directeur est si autoritaire que Caroline obéit avec précipitation. Un deuxième coup arrive sur sa jupe tout aussi 
violent.
Puis la crainte qu'avait Caroline se réalise, elle sent que sa culotte va bientôt être de nouveau le centre d'intérêt de 
toute la salle. Le directeur pose la strappe sur son dos et décolle Caroline de la table pour dégager sa jupe. Mais au 
lieu de la relever comment elle s'y attendait, il défait la fermeture et la laisse tomber autours de ses chevilles. Sans 
savoir, ce que le directeur lui réservait, Caroline croit être au comble de la honte.
- Je vous ai annoncé une punition exceptionnelle, nous y voilà...
Le directeur laisse passer un long silence pour que tout le monde soit attentif, ce qui fait son effet. Le coeur de 
Caroline bat à tout rompre, elle se demande ce que le directeur lui réserve. Toute l'assemblée est accrochée à la 
bouche du directeur, on entendrait une mouche voler.
- C'est une première dans l'établissement, mais vu la gravité de la situation, je suis obligé punir ainsi... Je suis 
obligé de baisser votre culotte pour la suite de la fessée !
Un brouhaha s'élève dans la salle, Caroline ne saisit pas tout de suite, elle n'ose pas y croire. Des chuchotements 
s'échangent entre les élèves se demandant si le directeur est bien sérieux. Après quelques instants des regards 
pétillent, impatient que la fessée recommence. Certains garçons se penchent pour mieux voir, d'autres se lèvent 
carrément dans le fond de la salle pour ne rien louper.
Caroline est toujours courbée sur la table, réalisant peu à peu qu'elle va être déculottée. incapable de faire le 
moindre mouvement, complètement tétanisée, elle reste courbée sur la table, alors que les pouces du directeur 
s'insère sous l'élastique de sa culotte. Il commence à baisser l'élastique, lorsque la moitié de ses fesses sont 
découvertes, Caroline essaye d'attraper son slip, mais une tape sèche sur sa main l'en dissuade. Le directeur 
descend lentement sa culotte, Caroline sent sa gorge se nouer. Elle serre les fesses trop consciente de ce qu'elle risque 
de montrer dans cette position. Il ne se contente pas de dénuder ses fesses, mais descend encore plus bas et 
s'arrête , pour laisser son slip au dessus de ses mollets.
Le directeur reprend sa strappe et s'écarte de Caroline. Le spectacle pour les élèves est irréel, avec sa jupe en 
corolle autours de ses pieds, sa culotte enroulée sous ses genoux, ses jambes tremblantes gainées de ses bas et 
ses fesses nue qui commencent à rosir, elle restera un moment l'image du fantasme pour beaucoup de ses 
camarades.

- Caroline, vous êtes collée à partir d'aujourd'hui et pour les quatre vendredi après-midi qui viennent. Vous 
repasserez tous vos examens, sous ma surveillance, dans mon bureau. Et lorsque vous ne serez pas en examen, 
vous passerez vos heures de colle, au coin face à mon bureau, les mains sur la tête ! Cela vous permettra de 
méditer sur vos actes impardonnables... Et vous constaterez que mon bureau est un vrai moulin, en effet je 
consacre le vendredi après-midi à mes rendez-vous ! être au piquet à votre âge, devant mes visiteurs sera une 
punition supplémentaire amplement méritée...

Caroline n'a pas le temps de s'apitoyer sur son sort, le directeur est revenu vers elle et a abattu sa strappe sur ses 
fesses sans aucune protection. Un deuxième coup arrive sur sa cuisse puis sur l'autre. Caroline ne se retient plus de 
crier, elle agrippe de toutes ses forces la table. Deux belles marques ses dessinent sur ses cuisses tandis que ses 
fesses sont rouge sur toute la surface. La déferlante continue, les fesses que Caroline gardait si serrées au début, 
s'écartent puis se resserrent au moment de l'impact sans se préoccuper de ce qu'elle offre. Si bien que quand le 
directeur termine la punition, ses jambes tendues sont légèrement écartées laissant apercevoir ses lèvres et sa 
vulve légèrement ouverte, ce que le directeur ne manque pas de faire remarquer.
- Veuillez garder une peu de dignité, Mademoiselle ! Vous n'êtes pas obligée d'offrir votre entrejambe à la vue de 
vos camarades...
En sanglot, elle se relève péniblement, privant les élèves de ce magnifique spectacle, rougissant si c'est encore 
possible après ce que vient de révéler le directeur.
Sans nul autre avertissement, le directeur vient poser un genoux juste derrière Caroline et termine de lui baisser sa 
culotte.
- Vos fesses nues resteront exposées pour la journée !
Le directeur attrape la cheville de Caroline pour lever son pied afin d'enlever sa jupe et sa culotte. Complètement 
hébétée par ce qui vient de se passer, Caroline se laisse faire, elle sèche ses larmes puis regarde le directeur plier 
soigneusement sa jupe et enrouler sa culotte dedans.
- Allez au fond de l'estrade, maintenant ! A genoux et les mains sur la tête !
En reprenant conscience de la réalité, morte de honte, Caroline va se mettre dans la position imposée.

Les élèves sont libérés, ils se lèvent dans un vacarme assourdissant, incapables de rester calme après ce qu'ils 
viennent de voir. Il sortent ensuite non sans jeter un dernier regard à la croupe de Caroline. Petit à petit, le calme 
revient, Caroline ne bouge pas, elle croit être restée seule avec le directeur.

- Vous me suivez dans mon bureau tous les trois !

Surprise, Caroline se retourne et ses mains quittent sa tête. Son sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle reconnait les 
deux autres garçons punis et prend conscience qu'ils sont eux-aussi collés. Voyant son hésitation, le directeur la 
rappelle à l'ordre :
-S'il faut que je vienne vous chercher, c'est une autre fessée qui vous attend dans mon bureau !!
La gorge sèche, Caroline supplie le directeur de lui redonner sa culotte, ce qui le fait sourire :
- Mademoiselle, je vous l'ai déjà dit, votre culotte est confisquée... Vous n'allez risquer de recevoir une autre fessée 
pour ça... Ces deux jeunes gens, voient déjà vos fesses et vous leur avait fait montrer bien plus, tout à l'heure ! 
Dépêchez-vous !

Les deux garçons comprennent que le directeur n'aura aucune pitié pour Caroline, et que leur colle, va se 
transformer en deux heures très agréables.
Péniblement, Caroline se lève et suit le directeur, tête baissée. Les deux garçons marchent derrière elle profitant au 
maximum du spectacle. Durant tout le trajet, elle n'enlève pas ses deux mains plaquées sur sa toison. En entrant 
dans le bureau, le directeur s'occupe des garçons. Il les installe à sa table de réunion et leur donne des exercices à 
faire. Pendant ce temps, Caroline attend patiemment, trois quart tournée, elle scrute le bureau, impressionnée par 
les dimensions de la pièce.
- A votre tour Caroline ! Pour vous, pas exercices, ni d'examen aujourd'hui... Juste une séance au piquet, pour vous 
faire réfléchir à vos méfaits !!! 
Le directeur va chercher un tabouret pliable qu'il installe au centre du bureau.
- Voilà, vous allez méditer ici, à genoux le temps que les garçons fassent leurs exercices...
Caroline ne voit pas comment elle va pouvoir tenir aussi longtemps sur un si petit tabouret. Déjà les dix minutes 
sur l'estrade lui ont paru durer une éternité, mais le directeur ne lui laisse pas le choix :
- Si vous posez un pied par terre, je me servirais du tabouret pour vous basculer sur mes genoux et vous donner la 
fessée devant vos deux compagnons de punition !
La simple idée de recevoir la fessée juste sous les yeux de ses deux gars, lui donne des frissons, et elle se dit 
qu'elle tiendra coûte que coûte.
Elle s'apprête à se mettre à genoux, en tournant le dos au bureau du directeur, et aussi aux deux garçons mais le 
directeur l'arrête.
- Un instant, s'il vous plait, je n'ai pas finit d'énoncer votre sanction...
Caroline comprend que la suite ne va pas lui plaire. Elle constate que les garçons derrière le directeur, ne sont pas à 
leurs exercice, mais plutôt pendus aux lèvres du directeur.
- Tout à l'heure, je vous ai dit que vous ne méritiez plus de porter l'uniforme de l'établissement, c'est pourquoi je 
vous ai fait enlever votre veste. Vu le monde dans l'assistance, je n'ai pas voulu faire de même pour votre chemisier à 
l'éfigie de l'établissement. Mais maintenant que nous somme en comité restreint, vous allez me le remettre !
Comme si cela ne suffisait pas d'avoir les fesses à l'air, il faut maintenant que Caroline enlève son chemisier. Elle 
bouillonne à l'intérieur, mais elle sait qu'elle n'aura pas le choix. Elle enlève ses boutons, de rage, elle manque d'en 
arracher un, puis tend sèchement le chemisier derrière elle.
Le directeur lui arrache des mains tout en lui assenant une sévère claque sur les fesses et en haussant le ton :
- Calmez-vous Caroline ! Si vous êtes punie ainsi, vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous ! Et si vous tenez tant 
à la recevoir votre fessée, dites-le tout de suite !!!...
Autant surprise par la claque que par la réaction du directeur, elle s'excuse platement tout en se frottant la fesse 
qui la brûle.
- Bon, à genoux maintenant !
Caroline s'installe et pose ses fesses sur ses talons. Le directeur la reprend aussitôt pour qu'elle lève les fesses. Elle 
doit rester juste sur ses genoux, les pieds dans le vide, bien droite ce qui ne la rassure pas pour la suite des 
événements. Elle ne croit pas pouvoir rester deux heures dans cette position si inconfortable.
- Quand à ça, ce n'était pas prévu, mais vu votre réaction, je ne pense pas que vous méritiez de le garder !
Caroline pose machinalement ses mains sur sa poitrine, tandis que le directeur dégrafe son soutien-gorge et lui 
enlève. C'en est trop pour Caroline qui éclate en sanglot, ce qui n'attendrit pas le directeur.
- Mains sur la tête et vous ne bouger plus !
Caroline s'exécute aussitôt, hormis ses bas et ses chaussures, elle est punie nue dans le bureau du directeur. Elle 
se rappelle soudain que quelqu'un peut entrer à tout moment et constate complètement désemparée qu'elle est 
juste face à la porte. Cette pensée la quitte, quand elle sent le tabouret sur lequel elle est, tourner vers la droite. 
Elle manque de tomber, et se rattrape à un meuble.
- Je veux vous avoir à l'oeil... et mettez vos mains sur la tête !
La première chose qu'elle remarque, ce sont les yeux écarquillés des deux garçons. Elle baisse la tête pour pleurer 
et se dit que sa punition et vraiment trop dur. Malgré l'envie de se couvrir de ses mains, elle les garde sur sa tête, 
laissant ses trois regards masculins la détailler.

Au bout d'une heure et quart, Caroline commence à gesticuler dans tous les sens. Ses genoux, lui font horriblement 
mal, elle ne sait plus comment se mettre. Ses grimaces en disent long, pourtant elle essaie de tenir encore. De 
temps en temps, elle enlève une main de sa tête, pour la porter à ses cuisses, puis la repose précipitamment sur la 
tête de peur que le directeur se fâche. Son attitude amuse les deux garçons, quant au directeur, il ne lui prête pas 
attention et reste sans pitié pour elle.
Après un long moment ainsi, n'y tenant plus elle pose un pied par terre sans vraiment le vouloir, comme si elle ne 
pouvait plus maitriser sa jambe. Elle lève aussitôt la tête vers le directeur et essaye de se remettre vite à genoux, 
mais finalement, c'est trop dur pour elle, elle se met debout, et lance un regard implorant vers le directeur.
- S'il vous plait... ne me donnez pas la fessée !
Le directeur se lève, Caroline tient à peine sur ses jambes, les larmes lui coulent sur les joues.
- Je ne pouvais plus tenir...
Le directeur s'approche et elle se voit déjà allongée sur ses genoux juste devant les deux garçons, mais au lieu de 
ça, le directeur ramasse le tabouret. Tremblante d'inquiétude, elle le regarde faire, les deux mains posées sur la 
toison.
- Une fessée serait bien sévère, vous avez eu le mérite de tenir un long moment en pénitence !
Le directeur la prend par les épaules et la conduit vers la table des garçons, ses cuisses viennent se coller à l'autre 
extrémité face aux garçons.
- Deux claques sur chaque fesse suffiront !
Caroline doit se courber jusqu'à ce que le bout de ses seins effleurent la surface de la table, à quelques centimètres 
des yeux des garçons Voyant le regard attirés des deux garçons, elle porte ses mains devant ses seins, tandis que 
le directeur lui administre deux bonnes claques sur une fesse, puis change de côté.
La douleur de la fessée précédente n'est pas longue à revenir.
Caroline ferme les yeux, tandis que le directeur s'occupe de se deux!ème fesse. Puis il la redresse en la tirant par 
les poignets.
- Bougez pas, vous allez finir votre pénitence ici, les mains dans le dos !
Caroline renifle et regarde le mur droit devant elle. Elle sait qu'à moins d'un mètre des garçons, elle ne peut rien 
cacher. Même son triangle de poils parfaitement épilé, est à la hauteur des garçons.
Pendant presque une demi-heure, leurs yeux font la navette entre leurs copies et le sexe de Caroline, qui malgré 
ses jambes serrées, ne peut cacher la naissance de sa fente, et ses lèvres sous sa toison.
Elle ne s'est jamais sentie si humiliée, et c'est un soulagement, quand le directeur libère les garçons qui quittent 
leur punition à regret.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour!

Histoire sympa. Le cadre scolaire est évidemment propice à l'imagination mais on a l'impression de tourner en rond... A quand Caroline à la plage, à la piscine, en soirée chez des amis, etc. ?

pascfz a dit…

Bonsoir,

Oui, je sais l'école est propice, et c'est surtout ce qui me plait, mais je peux comprendre que cela revient souvent à la même punition.
Quant à vos propositions, la soirée chez des amis me plait bien. Mais il me faut des idées n'hésitez pas à me dire ce qui vous plait...

Ah, au fait ne rester "anonyme", ce serait plus sympa pour échanger.

François a dit…

Merci. Enfin des récits de punitions en français, écrits d’une plume leste, avec toutes les émotions des jeunes punies et les détails piquants de leurs petites misères. J’ai bien aimé. Vos commentateurs suggèrent un changement de décor. Ils ont raison. On a parfois tendance à ressasser les mêmes fantasmes, mais le plaisir vient en explorant des variantes, et je ne doute pas que votre imagination placera ces demoiselles dans des nouvelles situations compromettantes, dont elles ne sortiront pas indemnes.

je vous soumets quelques pistes

Pourquoi pas la famille ? L’inceste nous gêne. Mais on peut imaginer une jeune fille envoyée chez des cousins dans une lointaine campagne. Vivent là une jeune fille un peu plus âgée que la visiteuse, une sœur plus jeune, un frère à peine adolescent, méchant et boutonneux. Les parents prodiguent les châtiments corporels, aux filles seulement , comble de l’injustice ; l’horrible garçon se rince l’œil, ricane, ajoute à l’embarras des punies. Des voisins sont convoqués. La visiteuse n’y échappera pas.

Vous pourrez aussi mettre en scène une riche famille, par exemple, en Allemagne ou en Angleterre, dans les années 1920-1930, moins pudibondes que l’ère victorienne, moins timides qu’aujourd’hui quand il s’agissait de manier la baguette ou la tawse. Une Gouvernante officiait, ou un vieux domestique ; et peu importait qui passait par là, invités ou serviteurs, ils avaient droit au spectacle d’une sévère raclée, ou d’une demoiselle bien moins arrogante, pleurnichante et nue dans son coin.

On peut concevoir des sociétés où les femmes sont soumises aux hommes (peut-être même existent-elles dans la réalité, mais il est politiquement correct de les inventer). Elles acceptent leur sort. Le mari conduit sa femme chez le patriarche, la mère y conduit sa fille, les corrections sont administrées avec vigueur, devant témoins, et l’harmonie du groupe est rétablie.

Je vous laisse ces fantasmes. Vous n’avez pas besoin de partager les miens pour que je prenne du plaisir aux vôtres.

François

pascfz a dit…

Merci pour votre commentaire François.
En effet, je vais changer de registre. J'imagine dans ma prochaine histoire, une jeune femme d'une trentaine d'année, qui n'a jamais reçu la fessée. Vos idées me serviront peut-être...