lundi 10 décembre 2012

Caroline, l'employée de banque

Caroline arrive comme d'habitude à huit heure trente, dans la banque où elle travaille depuis un an. Elle dit bonjour à ses collègues sans se douter que cette agréable matinée va très vite tourner au cauchemard pour elle.
Pourtant, elle n'a pas le temps de s'assoir à sa place que son directeur entre en furie dans la banque. Sans dire bonjour à personne, il pointe Caroline du doigt : 
- Mademoiselle H. dans mon bureau ! Tout de suite !
Caroline se lève et regarde ses collègue autours d'elle. Tous ont la tête dans leurs dossiers, et ne regardent pas Caroline s'enfermer dans le bureau. Le directeur est déjà assis, Caroline se dirige vers l'un des deux sièges face au bureau.
- Restez debout ! Je ne vais y aller par quatre chemins !
Le directeur lui tend un dossier, Caroline l'ouvre toute tremblante. Elle tourne les pages et constate avec horreur que son directeur à découvert le pot aux roses. Caroline pose son dossier sur le bureau, s'apprête à recevoir le ciel sur la tête, et essaye désespéremment de trouver une excuse.
- N'essayez pas de nier les faits, je sais maintenant de source sûre que vous avez détourné de l'argent à votre profit ! Caroline ne dit rien, malgré le silence du directeur, ses yeux restent fixés sur le dossier qu'elle vient de poser. Elle sait que le directeur n'a pas pu découvrir cela par hasard, et il ne sert à rien de mentir.
- Vous voilà dans un sale pétrain ! ... Quelle âge avez-vous ?
Sans détourner les yeux de son dossier Caroline répond qu'elle a 27 ans.
- 27 ans ! Et vous n'êtes pas assez mature pour encore faire des conneries comme ça ! Vous avez cru que ça ne se verrait pas ! Vous n'avez donc rien dans la tête... En tous cas, un séjour en maison d'arret, vous remettra les idées en place...
Caroline relève d'un coup les yeux vers le directeur en s'imaginant déjà en prison.
- J'ai deux propositions à vous faire... Le directeur se lève et commence à développer la première :
- Pous commencer, vous êtes licenciée, et si vous choisissez cette proposition, votre licenciement sera immédiat. Cependant vous ne rentrerez pas chez vous tout de suite, puisque j'appelerai les gendarmes qui viendront vous chercher et je porterai plainte. Bien sûr j'avertirai les clients que vous avez escroqués, et ils porteront eux-aussi plainte contre vous avec les conséquences que cela vous apportera. Et enfin, j'apellerai mon excellent ami journaliste qui fera un article sur vous dans le journal régionnal !!!
Le directeur traverse son bureau de long en large, les mains dans le dos, en observant un nouveau silence. Caroline essaye de prendre l'attitude la plus sereine possible, mais la rougeur de ses joues la trahissent.
- Et la deuxième solution, c'est quoi ?
- Si vous choisissez la deuxième, rien de ce que vous avez fait ne sortira de cette agence, je m'arrange pour que vos collègues ne disent rien non plus. Et pour les clients qui pourraient se rendre compte de vos méfaits, je vous couvre... Caroline ne dit rien, elle ne sait pas quelle sera la contrepartie de la clémence de son directeur, mais elle sait que ça lui demandera beaucoups d'efforts. Elle attend la suite avec impatience mêlée d'une certaine inquiétude. Son directeur fait les cent pas derrière elle, et brise le silence :
- Alors que choisissez-vous ?
Caroline hésite un moment puis se retourne :
- Ben, la deuxième... Mais...
- Mais quoi ? 
- Et après... On en reste là ?
Le directeur esquisse un léger sourire qui fait frémir Caroline, puis va s'assoir à son bureau.
- Mademoiselle H. Vous savez très bien que vous ne pouvez pas vous en sortir comme ça ! Je veux bien faire des efforts, mais il est normal que vous soyez punies... Alors si vous choisissez la deuxième solution, et je sais que vous choisirez cette solution car vous ne voulez pas avoir de problème avec la justice, je vais vous punir immédiatement !
Caroline de plus en plus inquiète, demande comment il compte faire. Le directeur s'assoit dans le fond de son siège et regarde Caroline droit dans les yeux :
- Remontez votre jupe au dessus de votre taille !
Après un petit moment de surprise, Caroline prend conscience de la situation :
- Mais vous êtes malade... Je... je ne vais m'offrir à vous, c'est du harcèlement...
- J'ai dit que j'allais vous punir, et pas autre chose... Maintenant soit vous relevez votre jupe où j'appelle la gendarmerie !!!
- Mais pour quoi faire ?... Vous voulez me foutre la honte de ma vie, en culotte devant vous ?
- Oui, vous n'avez pas tord, alors décidez-vous ?
- Ok, si il y a que ça, allez-y rincez-vous l'oeil !
Caroline attrappe le bas de sa jupe et la remonte de colère, puis la rabat rapidement.
Elle s'adresse sèchement au directeur.
- Voilà, ça vous a plu ?
- Alors pour commencer, vous baissez d'un ton. Si vous n'obéissez pas à mes ordres ou si vous me parlez encore une fois comme ça, c'est direction la gendarmerie !
Caroline baisse la tête.
- Maintenant, vous retirez votre jupe, puisque vous ne savez pas la garder en l'air !
Caroline se calme et implore le directeur du regard.
- D'accord, mais je n'enlève que ma jupe...
Caroline descend la fermeture tandis que le directeur passe derrière elle, puis elle la fait glisser. Ses fesses sont à peine découvertes qu'elle reçoit une violente claque au milieu des fesses. Caroline pousse un cri de surprise et lâche sa jupe qui s'enroule autours de ses chevilles.
- Avez-vous déjà reçu la fessée où cela va être votre grande première ?
Caroline reste bouche bée, incapable de prononcer la moindre mot. Elle réalise petit à petit la situation, son chef qui a vingt-cinq ans de plus qu'elle, va la punir comme une gamine. Jusqu'à présent elle le detestait au plus haut point, mais maintenant elle a de la haine pour lui.
- Courbez-vous sur mon bureau !
Caroline se penche doucement sur le bureau, ses fesses se tendent vers son chef, elle pose sa tête dans ses bras repliés et attend. La fessée commence, le directeur tape sur chacune de ses fesses et descend sur ses cuisses, là où Caroline n'est protégée que par son collant. Elle sert les dents pour ne pas crier, pourtant le directeur frappe de plus en plus fort. Ce qui inquiète Caroline, c'est le bruit des claques qui résonnent dans la pièce et que ses collègues peuvent entendre. Enfin le directeur arrête, Caroline se relève aussitôt et se frotte les fesses. Ses joues sont rouges, et ses yeux sont humides. Elle se baisse pour remonter sa jupe, mais le directeur lui dit de se relever immédiatement et de dégager sa jupe de ses pieds.
- Votre punition est loin d'être finie ! Venez par ici !
Le directeur attrape Caroline par le bras et la fait reculer de trois pas.
- Mains sur la tête !
Le directeur peut ainsi faire le tour de Caroline. Elle n'a jamais eu autant honte de sa vie. A cause de ses bras levés, son pull remonte au dessus de l'elastique de ses collants et son shorty se voit par transparence. Elle baisse les yeux quand son directeur se met devant elle, les mains sur les hanches et regarde en direction de sa culotte.
- Retournez sur mon bureau, nous allons continuez !
Caroline va se courber sur le bureau rassurée d'échapper à ses regards.
- Tenez l'autre extrémité du bureau et interdiction de lâcher sous aucun pretexte ! Le bureau est large, Caroline se met sur la pointe des pieds pour l'accrocher, et finalement quand elle l'attrappe, ses pieds ne touchent plus le sol. Le directeur sourit discrètement de la voir ainsi et avec le plus de détachement possible, il lui annonce :
- Maintenant, je vais baisser votre culotte...
Caroline se relève aussitôt et exprime son refus catégorique. Une grosse claque au milieu de ses fesses vient lui rappeler qui décide. Caroline se calme et baisse les yeux quand d'un regard sévère son directeur lui fait comprendre qu'elle n'a pas le choix. Elle essaye de détourner l'attention du directeur, en lui disant que c'est l'heure de l'ouverture de l'agence, mais cela se retourne contre elle.
- Vous avez raison, allez ouvrir la porte ! Et dites à vos collègue pourquoi vous êtes ainsi punie !
Caroline reste interloquée, tandis que le directeur ouvre la porte de son bureau. Deux collègues regardent machinalement et découvrent Caroline sans sa jupe.
- Dépêchez-vous, sinon, votre fessée, c'est dans l'agence que je vais vous la donner !
Malgré cette menace, Caroline ne réagit pas. Ce n'est que quand son directeur s'avance vers elle d'un pas décidé qu'elle sort de sa stupeur et dit au directeur qu'elle y va...
- Trop tard !
Le directeur l'attrappe par le bras et la sort de son bureau.
- Allez hop, fessée devant tout le monde dans l'agence !
Caroline se débat comme elle peut, ses autres collègues la découvrent dans cette tenue. La première chose qu'elle fait quand elle est emmenée dans l'agence, c'est de regarder si aucun client attend devant la porte vitrée. Heureusement pour elle, il n'y a personne.
- Calmez-vous Caroline ! Vous feriez mieux d'assumer votre punition et vous y soumettre sans réticence !
Le directeur explique à ses collaborateurs pourquoi elle est punie ainsi. Il sont tous outrés, et comprennent mieux la punition. Caroline se sent seule, et terriblement honteuse de ses actes. Elle s'est calmée et reste à côté du directeur, tête baissée, les mains mains croisées sous son ventre. Le directeur regarde sa montre puis se tourne vers Caroline :
- ça fait deux minutes que l'agence devrait être ouverte !!!
Caroline ne cherche pas à discuter davantage, elle profite qu'aucun client ne soit là et va ouvrir la porte. Tous ses collègues ont les yeux rivés sur ses fesses, elle se dépêche pour sortir de l'acceuil, mais le directeur ne compte pas la libérer tout de suite. Il y a deux fauteuils et une petite table, pour faire patienter les clients dans l'entrée. Le directeur va s'assoir sur l'un des deux fauteuils, tandis que Caroline retourne d'un pas décidé vers le bureau.
- Caroline, venez ici ! Vous avez oublié votre fessée !!!
Elle ne répond pas et passe devant le directeur, qui se lève d'un bond et l'attrape par le bras.
- Je vous en prie... Je reviens tout de suite, mais laissez-moi au moins remettre ma jupe...
- Pas questions ! Et croyez-moi, vous n'êtes pas prête de la remettre ! Et puis, de toute façon, elle ne vous servira à rien puisque je vais enlever votre culotte !
Caroline réalise aussitôt la situation et se débat pour échapper au directeur :
- Non, s'il vous plait ! Pas dans dans l'agence ! Pas devant tout le monde ! Je vous en prie... il va y avoir des clients !!
Le directeur ne prête pas attention à ce qu'elle dit et s'assoit dans le fauteuil tout en basculant Caroline sur ses genoux.
- Que vos collègues vous voient dans cette situation et assiste à votre punition, ne me gêne aucunement ! Et si des clients entrent, tans pis pour vous, vous leurs expliquerez vous même... Et maintenant, il est temps de découvrir vos fesses !!
Caroline se débat encore, mais n'arrive pas à se dégager de l'emprise de son directeur. Elle sent son collant glisser sur ses fesses puis sur ses jambes. Le directeurs descend l'élastique jusqu'à ses pieds puis attrape le voile qui est resté collé sous ses genoux et le fait glisser de sorte que ses collants soient complètement enroulés autours de ses chevilles. Caroline réalise que sa culotte va bientôt connaitre le même sort et tente encore de s'échapper.
- Non, s'il vous plait ! Pas ça... J'ai suffisement honte ! Pas ma culotte...
Le directeur attrappe l'elastique de son shorty et dénude d'un coup sec ses fesses, puis tout en le descendant le long de ses jambes en tirant de quelques centimètres de chaque côté, il lui dit :
- J'espère que vous avez honte ! C'est le but de cette punition ! Et ce n'est pas finit...
Quand son slip arrive à mi-cuisses, il commence la fessée. Caroline cesse de se débattre, ses yeux s'humidifient de honte. Ses fesses lui chauffent, mais l'humiliation qu'elle subie lui fait oublier la douleur. Lorsqu'elle relève la tête, elle s'apperçoit qu'un client entre dans le sas d'entrée. Caroline s'agite soudainement, mais il ne peut pas encore les voir. Un collègue de Caroline s'apprête à appuyer sur le bouton qui dévérouille la porte, mais le directeur lui dit d'attendre un instant. Il remonte le shorty de Caroline puis la relève :
- Ne vous inquiétez pas, vos fesses ne vont pas rester longtemps couvertes ! Mais pour l'instant vous allez servir ce client en collant !
La porte est dévérouillée avant que Caroline ne puisse réagir, elle réajuste son collant et se retrouve face au client. Incapable de prononcer un mot, après quelques secondes de surprise, elle fait demi-tour et s'enferme dans son bureau. Le client ne comprend rien et repart après avoir effectué un virement. Après quoi, le directeur arrive à ouvrir la porte. Caroline demande des excuses, mais le directeur lui coupe la parole :
- Sortez d'ici tout de suite !
Caroline passe devant le directeur et se retrouve une nouvelle fois devant ses collègues. D'un pas décidé le directeur la suit et d'un geste autoritaire, il attrape le bas de son pull et le remonte. Caroline se laisse faire et elle se retrouve en sous-vêtements dans l'agence. Elle ne sait pas ou se mettre, n'ose pas lever les yeux vers ses collègues.
- Contre le mur et vous baissez votre slip jusqu'à vos pieds !
L'ordre et sans appel, Caroline se colle contre le mur et descend son collant dans un premier temps puis fait glisser sa culotte qui tombe sur ses pieds.
- Mains sur la tête !
Caroline s'exécute sans pouvoir détacher son regard du sas d'entrée. La fessée reprend aussitôt. Le directeur passe son bras autours de ses hanches pour qu'elle se cambre un peu et frappe vigoureusement chaque fesse l'une après l'autre. Le haut de ses cuisses n'est pas épargné et rapidement le fessier et les cuisses de Caroline deviennent uniformément rouge. Sans arrêter la fessée le directeur lui ordonne de retirer son soutien-gorge. Jusqu'ici, Caroline avait réussit à contenir ses larmes, mais en faisant tomber son dernier vêtement, elle éclate en sanglot. Le directeur arrête la fessée :
- Allez, remontez votre culotte et ramassez vos vêtements !
Tout en grimaçant, Caroline remonte son shorty et ses collants puis ramasse ses affaires en se cachant les seins avec.
- Dans mon bureau. Vous déposez vos vêtements sur mon bureau, y compris votre slip et vous m'attendez toute nue. Caroline veut s'opposer à cette nouvelle sanction, mais le directeur ne lui laisse pas le temps de parler.
- Vous préférez peut-être vous déshabiller dans l'agence devant vos collègues ?
Caroline ne cherche pas à discuter d'avantage, elle ferme la porte et dépose ses vêtements avec sa jupe puis elle se déchausse et enlève son collant. Elle hésite avant de déposer son shorty sur le bureau, mais elle n'a pas le choix. Elle se demande ce qui va suivre, elle sait que derrière la porte ses collègues savent qu'elle attend le directeur complètement nue et rougit de honte. Quand elle entend la porte s'ouvrir, elle cache ses seins de son bras et son sexe d'une main, le directeur entre.
- Vous êtes très jolies ainsi, Caroline... Vos collègues seraient ravis de vous voir comme ça !
Le directeur s'assoit à son bureau et prend son téléphone :
- J'ai un coup de fil à passer, allez au coin en attendant !
Caroline se retourne et va vers le coin de la pièce, tandis qu'elle comprend que son directeur appelle le directeur régional :
- C'est bon, je l'ai punie... elle est dans mon bureau, là... oui, je pense qu'elle à bien compris....
Caroline devient rouge de honte et de colère, non seulement ses supérieurs étaient au courant de ses actes, mais eux-aussi savent comment elle a été punie...
- Oui, elle est toute nue... à non, je lui ai baissé sa culotte devant ses collègues, mais c'est tout... bon, je lui dit elle part de suite.
Le coeur de Caroline se met à accélérer, et elle ne put s'empêcher de tourner la tête vers son directeur pour lui lancer un regard interrogateur. Le directeur retire le shorty et le soutien du tas d'affaires de Caroline, et les range dans un tirroir, puis pose le reste sur la chaise face à son bureau.
- Vous êtes attendues au siège ! Une commission de nos dirigeants se réunit exclusivement pour vous... Ils veulent vous parler ! Vous avez avez une demi-heure pour aller la-bas !
Caroline devient blanche, elle revient vers ses vêtements, complètements abatue, mais sans oublier de se cacher.
- Pourquoi vous rangez mes sous-vêtements... je ne vais pas y aller sans !
- Vous viendrez les rechercher tout à l'heure. Pour le moment, vous n'en avez pas besoin ! Dépêchez-vous de vous habiller, ils vont vous attendre !
Caroline tourne le dos à son directeur pour s'habiller et quitte le bureau. Une demi-heure pour se rendre au siège, c'est juste. Elle court pour regagner sa voiture, puis, trop mal à l'aise, sans ses sous-vêtements, elle décide de s'arrêter au centre commercial. Elle prend le premier ensemble qu'elle trouve de sa taille et se rend aux caisses. Elle est obligée d'attendre car il y a plein de monde. Elle a l'impression que tout le monde remarque qu'elle n'a pas de culotte, ni de soutien et que ceux qu'elle tient dans ses mains vont bientôt la couvrir. Cela fait déjà vingt minutes qu'elle est partie au moment de payer. Elle court jusqu'aux toilettes, tout en défaisant l'emballage, pour les enfiler. Rassurée, elle reprend la route, mais arrive avec presque une heure de retard à cause de la circulation. Quand elle entre au siège, elle reconnait le directeur régionnal, il est visiblement impatient qu'elle arrive.
- Vous avez vu l'heure ! Dans votre cas, je me ferais un devoir d'être ponctuel !! Entrez dans cette salle... L'acceuil ne pouvait être plus froid, Caroline savait que cette journée qui avait si mal commencé allait continuer. Elle entre dans la salle et constate qu'une dizaine de personnes sont déjà assises, elle salue ces gens qu'elle ne connait pas. Personne ne se présente et elle comprend qu'ils sont des responsables de la banque pour laquelle elle travaille. Elle voit qu'il y a deux femmes, tous les autres sont des hommes de tous âges. Le directeur la suit et lui dit sêchement d'aller au centre des tables formant un U.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

vivement la suite

gerard.banchelin a dit…

vivement la suite en pourrait faire un film

pascfz a dit…

Bonjour Gérard,

Il n'y a pas de suite sur cette histoire. J'ai déjà mis en ligne les 3 épisodes...
Par contre, je serai ravi de voir le film de cette histoire, si quelqu'un voudrait le faire, je ne suis pas contre...