Le directeur s'assoit face à elle.
- Nous savons tous pourquoi vous êtes là et ce que vous avez fait, nous n'allons pas revenir dessus ! Par contre, pour ceux qui ne le savent pas, le directeur de l'agence de Caroline a déjà commencé sa punition... Caroline faites-nous voir le résultat, remontez votre jupe !
Prise au dépourvu, elle se retourne et commence à remonter le tissus de l'arrière de sa jupe.
- Non relevez toute votre jupe. Derrière et devant au dessus de la taille !
Transi de honte, Caroline montre à tous ses supérieurs sa culotte blanche récemment achetée.
- Je sais que vos sous-vêtements sont restés dans le bureau de votre directeur, comment m'expliquez-vous ça !
Caroline est obligée de dire la vérite tout en gardant sa jupe relevée.
- Pendant que l'on vous attendez, vous vous permettez d'aller faire vos courses... Cela ne va pas arranger votre cas !
Dépitée, elle laisse retomber sa jupe et se retourne, le visage rouge de honte.
- Vous aurez compris que si l'on s'est réunis aujourd'hui, c'est pour votre punition !
Caroline relève la tête et jète un regard agressif au directeur :
- J'ai déjà été punie ! ça suffit !
Le directeur se lève d'un bond et hausse le ton :
- On ne vous a pas demandé votre avis ! Ce que vous avez fait est intolérable ! Et si on estime que votre punition de ce matin n'est pas suffisante, cela nous regarde ! Alors maintenant, vous vous taisez et vous enlevez votre jupe et votre pull !
Caroline impressionnée par l'autorité du directeur, ne peut plus parler. Elle hésite de longues secondes avant de déboutonner sa jupe qui tombe à ses pieds. Et avant d'enlever son pull, elle constate que les fenêtres donnant sur l'extérieur permettent aux fumeur de la voir. Mais elle n'ose rien dire et se retrouve en sous-vêtements.
- Si vous nous auriez obéit, êtes vous consciente que, sans vos sous-vêtements vous seriez presque nue en ce moment ?
Tout en jetant un nouveau regard vers l'extérieur pour voir si personne ne l'a remarquée et pour faire prendre conscience au directeur qu'on peut les voir, elle fait un signe de la tête.
- Je sais que l'on peut vous voir de dehors, et c'est le cadet de mes soucis... Si vous êtes ainsi, aujourd'hui, vous pouvez vous en prendre qu'à vous-même ! Vous mériteriez même que l'on ouvre toutes les fenêtres pour que le bruit des claques que vous allez bientôt recevoir attirent les regards.
Caroline baisse la tête et comprend, même si elle s'en doutait que c'est une nouvelle fessée qu'elle va recevoir.
- Bon allez chercher une chaise ! Et mettez là au centre des tables que tout le monde voit vos fesses rougir...
Dans un silence pesant, Caroline emporte la première chaise qu'elle trouve. Le directeur se lève et rejoint lentement Caroline puis s'assoit sur la chaise. Il prend Caroline de chaque côté des hanches et la fait venir face à lui, entre ses cuisses. Il fait glisser délicatement son collant le long de ses jambes jusqu'à ses chaussures puis remonte jusqu'à l'élastique de sa culotte. Il place ses deux pouces dans sa culotte et joue avec l'élastique tout en affichant un léger sourire. Caroline est rouge de honte et surtout morte de peur, au bout de quelques instant, elle se décide à le supplier :
- Je vous en prie, pas ma culotte... Tout ce que vous voudrez mais n'abaissez pas ma culotte !
Le directeur retire ses mains et s'enfonce dans le fond de la chaise :
- Vous avez raison ! De toute façon, vous auriez du arriver nue je crois !... Je ne vais pas l'abaisser... Mais bon, la fessée c'est sur les fesses nues, obligatoirement... Alors vous allez l'enlevez vous-même !
Caroline n'a pas le temps de réagir, que le directeur lui fait faire un demi-tour et abaisse d'un coup sec les bretelles de son soutien-gorge :
- Et ça aussi je vais l'enlever, je ne vois pas pourquoi vos seins devraient rester cacher !
Il dégrafe le soutien qui tombe dans les mains de Caroline. N'osant pas se cacher les seins, elle reste les bras ballants, alors que les larmes lui montent aux yeux.
- Aller ! Dépêchez-vous ! Toute nue pour la fessée...
Caroline est tétanisée, ses mains arrivent à remonter jusqu'à ses seins, tandis que de petits reniflements annoncent un sanglot imminent. Le directeur se lève d'un bond et emmène Caroline vers une table tout près de la fenêtre :
- Très bien, puisque vous ne savez pas obéir, montez sur cette table !
Le ton est si impératif, que Caroline n'ose pas protester. Elle monte sur la table avec difficultés à cause de son collant qui entrave ses chevilles. Une fois debout, elle se rend compte de son exposition face au membres du conseil , mais elle s'aperçoit aussi, qu'elle devient le centre d'intérêt de l'extérieur.
- Les mains sur la tête !
Tout en posant ses mains sur sa tête, Caroline ne peut résister à jeter un oeil dehors et s'aperçoit qu'un groupe est en train de se former près de la fenêtre. Elle sent le directeur attraper sa cheville, il la déchausse et enlève son collant, puis fait la même chose pour son deuxième pied. Caroline ne peut résister à cette nouvelle humiliation et éclate en sanglots. Cela n'attendrit pas le directeur qui pose le collant sur la table et attrape chaque côté de sa culotte et tire immédiatement vers le bas. Caroline pousse un cri de protestation mais son slip quitte déjà ses pieds. Complètement nue au milieu de tout le monde, Caroline ne peut résister à s'accroupir et se cacher le visage dans ses mains. Le directeur se recule en tenant le slip de Caroline et la laisse ainsi sangloter quelques instants.
- Je vois que la punition est efficace, Caroline !
- Descendez de la table !
Caroline descend de la table tout en se cachant mais elle ne peut éviter de montrer un sein ou sa toison brune. Le directeur s'approche d'elle et pose son slip sur la table. Puis sèchement, il lui fait faire demi-tour et l'approche de la table, les cuisses collées sur le bord. Caroline comprend qu'elle va maintenant recevoir la fessée et se penche elle-même jusqu'à ce que ses seins rencontrent le métal froid de la table. Elle se prépare à recevoir les claques mais le directeur s'éloigne, Caroline relève la tête sans comprendre. Elle voit le directeur prendre son collant et le mettre en boule dans ses mains puis revenir vers elle.
- Finalement, je crois que vous avez reçu assez de fessées pour aujourd'hui ! Par contre si vous devez encore être sanctionnée, je donne l'autorisation à votre directeur d'agence, de vous la donner dans son bureau. Si il vous annonce cette punition, vous vous mettrez toute nue pour la recevoir. Et je lui conseillerai de faire venir vos collègues avant de vous déshabiller !!!
- Mais pour le moment, je vais vous punir autrement ! Mettez vos collants...
Et vos chaussures ! Caroline s'habille comme lui indique le directeur sans savoir sur quel terrain il veut l'emmener. Une fois ses chaussures remisent, elle doit se retourner. Elle cache ses seins avec ses bras croisés et laisse sa toison à la vue de ses supérieurs comme si son collant transparent diminuait la honte de ce qu'elle montre.
- Posez vos mains sur votre tête !
Caroline s'exécute, la honte d'être nue l'envahit une nouvelle fois, mais elle est amplifiée par le fait qu'elle se sent ridicule avec son collant.
- Vos collègues fumeurs meurent d'envie de vous voir de plus près ! Vous allez les satisfaire !!! Sans enlever vos mains de votre tête, et ainsi vêtue, vous allez sortir de la salle, traverser le hall d'acceuil, prendre la porte principale, traverser le parking et faire le tour du batiment pour les saluer un à un.
Caroline éclate en sanglot et enfuie son visage dans ses deux mains, alors que le directeur a déjà ouvert la porte de la salle. Caroline ne bouge pas et le directeur s'impatiente, il vient la chercher et la traine hors de la salle. D'un pas décidé, il la conduit vers la porte principal en la tenant par dessous l'aisselle. Les talons de Caroline claquent sur le sol ce qui attirent les regards, elle a du mal à suivre le directeur. Il s'arrête au niveau du petit salon d'attente entre la porte et le guichet d'acceuil et courbe Caroline par dessus le dossier d'un canapé. Elle enfuie sa tête dans le cuir pour cacher sa honte, ses mains agrippent chaque accoudoir, elle sait qu'elle va recevoir la fessée pour ne pas avoir obéit au directeur et s'y prépare.
Tout le monde a arrêté son activité et regarde vers Caroline, plus personne ne parle et le silence est pesant. Caroline sait qu'autours d'elle, il y a ses collègues et des partenaires de la société mais aussi de nombreux clients. Le directeur demande à appeler le chef des vigiles. Quand il arrive, il lui confie la tâche de fesser Caroline :
- Vous lui donnez la fessée de sa vie, je veux qu'elle soit exemplaire. Retirez-lui ses collants, elle n'a pas besoin d'avoir une protection ! Caroline ne peut s'empêcher de se retourner et découvre avec horreur qui est le chef des vigiles. C'est un lourdeau qu'elle a rencontré à plusieurs reprises lors de ses visites au siège. Il a essayé de la draguer mais elle le rejetait systématiquement, tout en le traitant comme un moins que rien, elle s'était même permis de lui dire devant ses collègues qu'il n'avait aucune chance et qu'elle était trop bien pour un mec comme lui. Il tenait maintenant sa revanche, et Caroline lisait dans ses yeux qu'il allait en profiter au maximum. En profiter pour la toucher, mais aussi en profiter pour l'humilier à son tour. Il ne pu s'empêcher d'esquisser un petit sourire en voyant la détresse de Caroline, puis se tourne vers le directeur :
- Mais qu'est-ce qu'elle a fait pour mérité une fessée toute nue devant tout le monde ?
Le directeur allait répondre, mais il préfère que Caroline le dise elle-même :
- Mademoiselle H., veuillez dire à tout le monde pourquoi je dois vous punir ainsi !
Caroline est déconcertée, elle commence son explication, d'une voix presque inaudible, la tête enfuie dans le fauteuil. Le vigile, de plus en plus à l'aise la reprend :
- Caroline ! Vu ta situation, tu devrais être plus polie ! Parle plus fort !
Caroline se force à parler plus fort mais le vigile la coupe de nouveau :
- Relève-toi et regarde les gens quand tu parle !
Au lieu de protester, Caroline se surprend à obéir parfaitement au vigile. Le directeur le laisse maitre de la situation. Elle avoue à tout le monde qu'elle a escroqué des clients, rouge de honte. Le vigile décide d'aller plus loin :
- J'imagine que tu dois bien regretter maintenant ! Tu dois avoir honte ! Dis nous ce que tu ressens ? Caroline se met à pleurer et assure qu'elle regrette profondément. Le vigile la force à parler encore plus et elle dit qu'elle n'a jamais eu autant honte de sa vie et qu'elle ne supportait plus d'être nue.
Le vigile s'approche alors lentement d'elle et délicatement, il fait rouler son collant sur ses hanches, il s'accroupie et dénude son sexe en le descendant jusqu'à mi-cuisses. Sa tête est à quelques centimètres des poils de Caroline, elle lève la tête vers le plafond pour ne pas voir le vigile profiter au maximum de sa détresse.
- Courbe-toi en avant pour la fessée, jambes tendues !
Caroline se penche en avant, alors que le vigile passe derrière elle et claque une première fois ses fesses. Caroline fait un pas en avant à chaque fois que la main du vigile s'abat sur ses fesses. Le vigile passe son bras autours des hanches de Caroline et continue la fessée en la maintenant fermement. Puis il fait des commentaires sur le spectacle qu'elle offre. Ses fesses virent rapidement au rouge vif, mais il continue jusqu'à ce que Caroline le supplie d'arrêter. Il la relâche et Caroline se relève et se frotte les fesses. Le vigile se tourne vers le directeur :
- Est-ce qu'elle mérite une plus grosse punition ?
Le directeur hésite un instant puis tout en faisant faire un demi-tour à Caroline pour constater l'état de ses fesses, il lui dit :
- Je pense que pour ses fesses, c'est bon. Mais je veux que quand elle quittera nos bureaux, tout le monde puisse constater la rougeur de ses cuisses en dessous de sa jupe...
Le vigil ne se fait pas prier :
- Enlève tes collants ! Caroline hésite ne sachant pas ce qu'ils allaient lui faire.
- De toute façon vous allez repartir sans, et vous n'allez pas remettre non plus votre slip et votre soutien-gorge !
Caroline fait tomber nerveusement ses talons et dans un silence pesant roule son collant en boule jusqu'à ses pieds et les laisse par terre. Une fois toute nue, elle se tourne vers le vigile, les doigts entrelacés devant sa toison, et attend la suite. Il l'attrape par le haut du bras et l'entraine vers un table au milieu du hall d'entrée.
- Assis-toi sur la table !
Caroline pose ses fesses, et monte, puis cache ses seins une fois assise. Le vigile pousse sur ses épaules afin qu'elle s'allonge sur le dos. Caroline abasourdie se laisse faire. Même quand le vigile attrape ses deux chevilles d'une main et commence à relever ses jambes.
- Tu vas maintenir tes jambes relevées, pendant que je m'occupe de tes cuisses !
Caroline reste un instant les cuisses en l'air, les jambes repliées en attendant sa nouvelle fessée.
- Attrape tes jambes derrière tes genoux !
Elle exécute l'ordre du vigile sans contester, mais il veut aller plus loin.
- Si je t'ai mise dans cette position là, ce n'est pas que pour te punir au niveau des cuisses !!! Assume la punition que tu mérite jusqu'au bout, même si tout le monde te regarde...
Caroline qui avait compris depuis qu'elle s'était assise sur cette table, ferme les yeux et aussitôt écarte largement ses jambes pour en finir. Le vigile s'approche et commence à claquer ses cuisses. Il frappe du bas des fesses jusqu'aux bas des cuisses, afin que ça jupe ne puisse pas couvrir toute les marques. Le directeur l'arrête quand les cuisses sont bien rouge.
- Arrêter, Caroline a reçu assez de claques maintenant ! Et cette position la punie largement plus qu'une fessée...
- Lâchez vos jambes Caroline ! Mais restez dans cette position ! Les jambes écartées et relevées !
Puis il donne l'ordre au vigile de rassembler la jupe et le pull de Caroline ainsi que ses chaussures.
Le vigile revient alors que Caroline n'a pas bougé, et que les activités de chacun reprennent presque normalement autours d'elle. Il pose ses vêtements à côté d'elle. Caroline croit pouvoir les remettre et laisse retomber ses jambes, mais aussitôt le directeur retient sa jambe au niveau du mollet.
- Non, non, non, Caroline ! Regardez tous ces clients... Dans le lot, il y en a sans doute certains que vous avez escroqué... Donc vous allez rester devant eux dans cette position un moment ! Puis le directeur attrape l'autre jambe de Caroline et les remonte tout en les maintenant largement écartées.
- Ne bougez pas de cette position, jusqu'à ce qu'on vous le dise ! Vous avez le droit de soulager vos jambes avec vos mains de temps en temps...
Caroline accuse le coup de cette nouvelle humiliation, et laisse échapper quelques larmes de honte. Des dizaines de nouveaux clients entrent dans le hall, et chacun découvre l'intimité largement exposée de Caroline. Après un long moment Caroline voit revenir le directeur. Il lui tend son pull :
- C'est bon, vous pouvez vous relever !
Caroline se lève et reprend son pull et l'enfile, tandis que le directeur lui présente sa jupe :
- Vous allez retourner à votre agence ! Vu que vos clients ne passent que rarement au siège et que finalement, c'est eux qui devraient être "récompensés" de votre malhonnêteté, vous allez rester tout l'après-midi dans l'agence près de la porte !
Caroline se dépêche de remettre sa jupe et ses chaussures sans écouter vraiment le directeur.
- Vous expliquerez à chaque client pourquoi vous êtes punie et ce que vous avez fait !
- Votre directeur d'agence vous attend pour déjeuner. Il est au courant, il vous expliquera la suite ! Caroline ne dit pas un mot, elle va chercher son sac et son manteau. Elle sait qu'il ne sert à rien de demander ses sous-vêtements et quitte le siège sans les reprendre.
Pendant le trajet, elle se demande comment elle va expliquer ce qu'elle a fait, aux clients, et surtout comment leurs avouer qu'elle est punie. Lorsqu'elle arrive à l'agence, son directeur l'attend, il l'emmène aussitôt manger. Sur le trajet il lui dit qu'il est au courant pour les sous-vêtements qu'elle a acheté en allant au siège, et lui conseille de ne pas avoir recommencer sur le retour. Caroline lui jure que non, mais il vérifie par lui même. Sans que Caroline ne s'y attende, il soulève l'arrière de sa jupe, Caroline étouffe un cri pour ne pas alerter les gens autours.
- Je pourrais vous demander de vérifier, pour votre soutien-gorge, mais on verra ça plus tard !
Ils entrent dans le restaurant, Caroline rouge de honte, est persuadée que des clients ont pu constater qu'elle ne porte pas de culotte. Pendant tout le repas, son directeur lui parle de sa punition et de ses sentiments, mais Caroline reste muette. Cela agace le directeur et en sortant du restaurant, il attrape Caroline par le bras, juste sous l'aisselle et marche rapidement vers l'agence. Caroline a du mal à le suivre avec ses talons, et est trainée derrière lui sous les regard médusés des passants. Les collègues de Caroline sont déjà là et voient arriver Caroline ainsi.
- Allez déposer votre manteau et votre sac dans votre bureau et revenez-ici !
Caroline revient tête baissée.
- On vous a expliqué ce qui va se passer cet après-midi ?
Caroline répond oui de la tête.
- Bon, alors, vous allez vous mettre là ! Le directeur place Caroline face à la porte, en la tenant par les épaules.
- Et maintenant, nous allons vérifier si vous portez un soutien-gorge !
Caroline lève les yeux au ciel d'agacement et relève d'un coup sec le bas de son pull au dessus de ses seins nus.
- Laissez-le comme ça !
Le directeur vient ajuster le pull, devant et derrière, afin que les seins de Caroline soient bien dégagés et que le pull ne retombe pas.
- Vous le laisserez ainsi jusqu'à ce soir !
Caroline veut contester mais son directeur ne lui laisse pas le temps :
- Le directeur ne vous a pas tout dit ce matin ! Mais vous allez être encore largement punie ! Vous allez relever votre jupe et ne pas la lâcher de l'après-midi !
Caroline reste bouche bée, et doucement, sachant qu'elle ne pourra rien faire pour empêcher cela, elle découvre ses fesses, et ses collègues derrière elle constate que les marques de la fessée ne se sont pas encore estompées. Son directeur remonte la ceinture de sa jupe et relève aussi l'avant de sa jupe, ainsi elle est dénudée jusqu'au dessus du nombril.
- C'est ainsi que vous tiendrez votre jupe !
Caroline retient sa jupe en hauteur, elle sait qu'elle ne pourra rien cacher et que cette position et sa tenue défaite sera encore pire que d'être toute nue. Elle n'a pas le temps de se préparer à cette situation, que déjà un de ses client entre dans l'agence. Surpris, il reste quelques secondes les yeux rivés sur le bas de son ventre. Caroline n'ose pas lever les yeux et résiste à la terrible envie de rabattre sa jupe, mais plaque une mains sur sa toison. Le directeur s'approche :
- Et bien, Caroline, vous voyez bien que Monsieur ne comprend pas, expliquez-lui pourquoi vous êtes punie !
Sans relever la tête, Caroline est obligée de tout dire dans les moindres détails. Le directeur s'approche du client à la fin de l'explication :
- Caroline vous savez très bien que Monsieur doit voir parfaitement votre intimité pendant votre punition, il ne sert à rien de la dissimuler !
Lentement Caroline découvre son sexe. Elle ne pourra plus jamais recevoir ce client sans penser à ce qu'il a vu. Pendant tout l'après-midi, Caroline n'a pas eu le droit de bouger et doit répéter la même chose à ses clients. Après la fermeture, le directeur sert un verre dans son bureau auquel Caroline et ses collègues sont conviées. Après un passage aux toilettes pour remettre un peu d'ordre à sa tenue, Caroline entre dans le bureau habillée, mais son directeur en décide autrement, il pose son verre et se dirige vers Caroline :
- Votre punition sera totalement finie après ce pot ! Mais pour le moment ce n'est pas le cas !
Caroline lève ses bras quand son directeur tire son pull vers le haut.
- Je vous laisse le soin d'enlever seule votre jupe !
Caroline se met nue une dernière fois. Tous les regards glissent sur son corps alors qu'elle doit s'approcher de ses collègues pour prendre le verre que lui tend son directeur. Elle l'avale aussitôt d'un trait et en réclame un autre pour tenter d'oublier cette horrible journée. Le directeur n'hésite pas à faire des commentaires sur ses seins et rougeur de ses fesses et de ses cuisses. Il ajoute qu'elle a du en faire rêver plus d'un pendant cette journée. Une de ses collègues pointe le sexe de Caroline du doigt et dit que pour son âge, elle pourrait être plus à la mode et que le triangle même épilé court, ça ne ce fait plus ! Caroline est obligée de se justifier, et dire que si elle était encore punie, elle serait mieux épilée.
Lorsque ses collègues partent, elle a déjà bu plusieurs verres et semble ne plus être gênée d'être toute nue devant son directeur. Elle s'assoit lourdement dans un fauteuil, et laisse ses jambes volontairement écartées. Complètement libérée, elle laisse sa main glisser le long de sa cuisse. Le directeur rassemble ses affaires, gêné par l'attitude de Caroline, il fait semblant de ne pas la voir. Mais est obligé de relever la tête quand Caroline ferme les yeux et bascule sa tête en arrière. Sa main se dirige lentement vers son sexe et commence à le caresser. Il lui demande d'arrêter et de se rhabiller, mais Caroline continue de plus bel, et commence à se masturber.
- Je n'ai jamais eu autant honte de ma vie ! Mais quand j'y repense, j'ai une terrible envie de faire ça, alors que je ne l'ai pas fait depuis des années !
Sous les yeux médusés de son directeur, Caroline se laisse aller à ce plaisir solitaire...
- Si vous voulez, dorénavant, je ne viendrai qu'en jupe sans rien en dessous...
Le directeur croit rêver en entendant Caroline parler ainsi, et comprend qu'elle n'est pas capable de revenir chez elle avec sa voiture. Il lui propose de la déposer. Caroline accepte tout en continuant de se caresser. Le directeur lui répond qu'il faut y aller et lui lance ses vêtements. Caroline s'arrête et prend sa culotte. Assise dans le fauteuil, elle semble hésiter avant de la remettre. Le coeur battant de plus en plus fort, elle s'apprête à dire quelque-chose mais n'ose pas. Puis elle rassemble ses vêtements et se lève pour remettre ses chaussures.
- Il fait nuit dehors !
Le directeur ne comprend pas pourquoi elle dit ça :
- Oui, dépêchez-vous, il est tard !
Caroline pose ses vêtements sur le bureau. Le directeur s'impatiente et ouvre la porte pour signifier à Caroline qu'il doit partir :
- Dépêchez-vous où vous vous débrouillez pour rentrer !
- Vous êtes garé où ?
Le directeur se demande pourquoi elle demande ça, mais répond qu'il est garé comme d'habitude, sur le parking situé à deux rues. Caroline prend son courage à deux mains, puis regarde le directeur dans les yeux :
- Je mérite d'être punie jusqu'au bout de la journée ! Ramenez-moi sans mes vêtements !
Caroline baisse les yeux honteuses de ce qu'elle vient de dire.
- Vous voulez aller dans la rue complètement nue et que je vous dépose chez vous comme ça ? Caroline fait un signe de tête, et quitte le bureau décidée. Le directeur hésite un instant, pris à son propre jeu, puis redevient autoritaire :
- Très bien, puisque c'est ainsi ! Sortez de l'agence et attendez-moi sur le trottoir !
Caroline regrette presque son choix, mais sort dehors. Eclairée par l'enseigne, en pleine rue, elle se sent encore plus nue que jamais. Le directeur ferme les bureaux et les lumières, Caroline est impatiente qu'il arrive. Il sort enfin, et attrape Caroline par le bras. Il la pousse devant elle, en direction de la voiture. Caroline ralentit quand elle voit un groupe de jeunes venir en face, mais le directeur ne se préoccupe pas d'eux. Sachant qu'elle va devoir passer juste à côté, Caroline se cache les seins et le sexe.
- Caroline, c'est vous qui avait voulu ça ! Alors, ne vous cachez pas !
Elle baisse la tête, quand les jeunes interloqués passent à côté d'eux. Elle monte aussitôt dans la voiture, dès que celle-ci est déverrouillée. Elle guide ensuite le directeur pour aller jusqu'à chez elle. Elle n'ose pas sortir seule de la voiture. Le directeur propose de la raccompagner à condition qu'elle lui offre un verre dans cette tenue. Ils sortent de la voiture, Caroline marche devant lui d'un pas rapide tout en cherchant ses clefs dans son sacs. Elle entre dans la maison sans que personne ne la voit. Elle lâche son sac, et va servir un verre à son directeur encore toute tremblante de ce qu'elle vient de faire. Le directeur ne perd pas sérieux et impressionne Caroline par son autorité.
- Montrez-moi votre garde robe, je vais vous dire comment vous habillez demain !
Caroline l'accompagne, et l'excitation retombée, elle se sent honteuse d'être nue et demande la permission de passer au moins une nuisette. Le directeur lui refuse catégoriquement et prend une jupe à carreaux dans la penderie.
- C'est votre jupe pour demain, avec ce chemisier blanc ! Vous ne mettrez rien en dessous, à part des bas que vous irez acheter avant de venir au bureau !
Caroline prépare ses vêtements sachant que les bas vont se voir avec cette jupe si courte, mais elle ne dit rien. Le directeur revient s'assoir dans le canapé pour finir son verre. Caroline s'assoit aussi et croise ses jambe ainsi que ses bras, ne sachant quoi dire. Encore troublée par cette journée, les sentiments se mélangent dans sa tête. Elle a honte comme jamais elle n'a eu honte, mais dans le bas de son ventre, c'est contradictoire. Elle n'attend plus qu'une chose, c'est que son directeur se décide à partir, pour aller s'allonger dans son lit et glisser sa main entre ses jambes jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il décide de se lever peu de temps après.
- Demain matin, dans mon bureau ! Je vérifierai votre tenue en détail...
Le directeur sort en claquant la porte. Caroline tombe aussitôt dans son lit en s'imaginant quelle serait sa prochaine punition, tout en espérant ne jamais la connaitre.
Caroline s'exécute, la honte d'être nue l'envahit une nouvelle fois, mais elle est amplifiée par le fait qu'elle se sent ridicule avec son collant.
- Vos collègues fumeurs meurent d'envie de vous voir de plus près ! Vous allez les satisfaire !!! Sans enlever vos mains de votre tête, et ainsi vêtue, vous allez sortir de la salle, traverser le hall d'acceuil, prendre la porte principale, traverser le parking et faire le tour du batiment pour les saluer un à un.
Caroline éclate en sanglot et enfuie son visage dans ses deux mains, alors que le directeur a déjà ouvert la porte de la salle. Caroline ne bouge pas et le directeur s'impatiente, il vient la chercher et la traine hors de la salle. D'un pas décidé, il la conduit vers la porte principal en la tenant par dessous l'aisselle. Les talons de Caroline claquent sur le sol ce qui attirent les regards, elle a du mal à suivre le directeur. Il s'arrête au niveau du petit salon d'attente entre la porte et le guichet d'acceuil et courbe Caroline par dessus le dossier d'un canapé. Elle enfuie sa tête dans le cuir pour cacher sa honte, ses mains agrippent chaque accoudoir, elle sait qu'elle va recevoir la fessée pour ne pas avoir obéit au directeur et s'y prépare.
Tout le monde a arrêté son activité et regarde vers Caroline, plus personne ne parle et le silence est pesant. Caroline sait qu'autours d'elle, il y a ses collègues et des partenaires de la société mais aussi de nombreux clients. Le directeur demande à appeler le chef des vigiles. Quand il arrive, il lui confie la tâche de fesser Caroline :
- Vous lui donnez la fessée de sa vie, je veux qu'elle soit exemplaire. Retirez-lui ses collants, elle n'a pas besoin d'avoir une protection ! Caroline ne peut s'empêcher de se retourner et découvre avec horreur qui est le chef des vigiles. C'est un lourdeau qu'elle a rencontré à plusieurs reprises lors de ses visites au siège. Il a essayé de la draguer mais elle le rejetait systématiquement, tout en le traitant comme un moins que rien, elle s'était même permis de lui dire devant ses collègues qu'il n'avait aucune chance et qu'elle était trop bien pour un mec comme lui. Il tenait maintenant sa revanche, et Caroline lisait dans ses yeux qu'il allait en profiter au maximum. En profiter pour la toucher, mais aussi en profiter pour l'humilier à son tour. Il ne pu s'empêcher d'esquisser un petit sourire en voyant la détresse de Caroline, puis se tourne vers le directeur :
- Mais qu'est-ce qu'elle a fait pour mérité une fessée toute nue devant tout le monde ?
Le directeur allait répondre, mais il préfère que Caroline le dise elle-même :
- Mademoiselle H., veuillez dire à tout le monde pourquoi je dois vous punir ainsi !
Caroline est déconcertée, elle commence son explication, d'une voix presque inaudible, la tête enfuie dans le fauteuil. Le vigile, de plus en plus à l'aise la reprend :
- Caroline ! Vu ta situation, tu devrais être plus polie ! Parle plus fort !
Caroline se force à parler plus fort mais le vigile la coupe de nouveau :
- Relève-toi et regarde les gens quand tu parle !
Au lieu de protester, Caroline se surprend à obéir parfaitement au vigile. Le directeur le laisse maitre de la situation. Elle avoue à tout le monde qu'elle a escroqué des clients, rouge de honte. Le vigile décide d'aller plus loin :
- J'imagine que tu dois bien regretter maintenant ! Tu dois avoir honte ! Dis nous ce que tu ressens ? Caroline se met à pleurer et assure qu'elle regrette profondément. Le vigile la force à parler encore plus et elle dit qu'elle n'a jamais eu autant honte de sa vie et qu'elle ne supportait plus d'être nue.
Le vigile s'approche alors lentement d'elle et délicatement, il fait rouler son collant sur ses hanches, il s'accroupie et dénude son sexe en le descendant jusqu'à mi-cuisses. Sa tête est à quelques centimètres des poils de Caroline, elle lève la tête vers le plafond pour ne pas voir le vigile profiter au maximum de sa détresse.
- Courbe-toi en avant pour la fessée, jambes tendues !
Caroline se penche en avant, alors que le vigile passe derrière elle et claque une première fois ses fesses. Caroline fait un pas en avant à chaque fois que la main du vigile s'abat sur ses fesses. Le vigile passe son bras autours des hanches de Caroline et continue la fessée en la maintenant fermement. Puis il fait des commentaires sur le spectacle qu'elle offre. Ses fesses virent rapidement au rouge vif, mais il continue jusqu'à ce que Caroline le supplie d'arrêter. Il la relâche et Caroline se relève et se frotte les fesses. Le vigile se tourne vers le directeur :
- Est-ce qu'elle mérite une plus grosse punition ?
Le directeur hésite un instant puis tout en faisant faire un demi-tour à Caroline pour constater l'état de ses fesses, il lui dit :
- Je pense que pour ses fesses, c'est bon. Mais je veux que quand elle quittera nos bureaux, tout le monde puisse constater la rougeur de ses cuisses en dessous de sa jupe...
Le vigil ne se fait pas prier :
- Enlève tes collants ! Caroline hésite ne sachant pas ce qu'ils allaient lui faire.
- De toute façon vous allez repartir sans, et vous n'allez pas remettre non plus votre slip et votre soutien-gorge !
Caroline fait tomber nerveusement ses talons et dans un silence pesant roule son collant en boule jusqu'à ses pieds et les laisse par terre. Une fois toute nue, elle se tourne vers le vigile, les doigts entrelacés devant sa toison, et attend la suite. Il l'attrape par le haut du bras et l'entraine vers un table au milieu du hall d'entrée.
- Assis-toi sur la table !
Caroline pose ses fesses, et monte, puis cache ses seins une fois assise. Le vigile pousse sur ses épaules afin qu'elle s'allonge sur le dos. Caroline abasourdie se laisse faire. Même quand le vigile attrape ses deux chevilles d'une main et commence à relever ses jambes.
- Tu vas maintenir tes jambes relevées, pendant que je m'occupe de tes cuisses !
Caroline reste un instant les cuisses en l'air, les jambes repliées en attendant sa nouvelle fessée.
- Attrape tes jambes derrière tes genoux !
Elle exécute l'ordre du vigile sans contester, mais il veut aller plus loin.
- Si je t'ai mise dans cette position là, ce n'est pas que pour te punir au niveau des cuisses !!! Assume la punition que tu mérite jusqu'au bout, même si tout le monde te regarde...
Caroline qui avait compris depuis qu'elle s'était assise sur cette table, ferme les yeux et aussitôt écarte largement ses jambes pour en finir. Le vigile s'approche et commence à claquer ses cuisses. Il frappe du bas des fesses jusqu'aux bas des cuisses, afin que ça jupe ne puisse pas couvrir toute les marques. Le directeur l'arrête quand les cuisses sont bien rouge.
- Arrêter, Caroline a reçu assez de claques maintenant ! Et cette position la punie largement plus qu'une fessée...
- Lâchez vos jambes Caroline ! Mais restez dans cette position ! Les jambes écartées et relevées !
Puis il donne l'ordre au vigile de rassembler la jupe et le pull de Caroline ainsi que ses chaussures.
Le vigile revient alors que Caroline n'a pas bougé, et que les activités de chacun reprennent presque normalement autours d'elle. Il pose ses vêtements à côté d'elle. Caroline croit pouvoir les remettre et laisse retomber ses jambes, mais aussitôt le directeur retient sa jambe au niveau du mollet.
- Non, non, non, Caroline ! Regardez tous ces clients... Dans le lot, il y en a sans doute certains que vous avez escroqué... Donc vous allez rester devant eux dans cette position un moment ! Puis le directeur attrape l'autre jambe de Caroline et les remonte tout en les maintenant largement écartées.
- Ne bougez pas de cette position, jusqu'à ce qu'on vous le dise ! Vous avez le droit de soulager vos jambes avec vos mains de temps en temps...
Caroline accuse le coup de cette nouvelle humiliation, et laisse échapper quelques larmes de honte. Des dizaines de nouveaux clients entrent dans le hall, et chacun découvre l'intimité largement exposée de Caroline. Après un long moment Caroline voit revenir le directeur. Il lui tend son pull :
- C'est bon, vous pouvez vous relever !
Caroline se lève et reprend son pull et l'enfile, tandis que le directeur lui présente sa jupe :
- Vous allez retourner à votre agence ! Vu que vos clients ne passent que rarement au siège et que finalement, c'est eux qui devraient être "récompensés" de votre malhonnêteté, vous allez rester tout l'après-midi dans l'agence près de la porte !
Caroline se dépêche de remettre sa jupe et ses chaussures sans écouter vraiment le directeur.
- Vous expliquerez à chaque client pourquoi vous êtes punie et ce que vous avez fait !
- Votre directeur d'agence vous attend pour déjeuner. Il est au courant, il vous expliquera la suite ! Caroline ne dit pas un mot, elle va chercher son sac et son manteau. Elle sait qu'il ne sert à rien de demander ses sous-vêtements et quitte le siège sans les reprendre.
Pendant le trajet, elle se demande comment elle va expliquer ce qu'elle a fait, aux clients, et surtout comment leurs avouer qu'elle est punie. Lorsqu'elle arrive à l'agence, son directeur l'attend, il l'emmène aussitôt manger. Sur le trajet il lui dit qu'il est au courant pour les sous-vêtements qu'elle a acheté en allant au siège, et lui conseille de ne pas avoir recommencer sur le retour. Caroline lui jure que non, mais il vérifie par lui même. Sans que Caroline ne s'y attende, il soulève l'arrière de sa jupe, Caroline étouffe un cri pour ne pas alerter les gens autours.
- Je pourrais vous demander de vérifier, pour votre soutien-gorge, mais on verra ça plus tard !
Ils entrent dans le restaurant, Caroline rouge de honte, est persuadée que des clients ont pu constater qu'elle ne porte pas de culotte. Pendant tout le repas, son directeur lui parle de sa punition et de ses sentiments, mais Caroline reste muette. Cela agace le directeur et en sortant du restaurant, il attrape Caroline par le bras, juste sous l'aisselle et marche rapidement vers l'agence. Caroline a du mal à le suivre avec ses talons, et est trainée derrière lui sous les regard médusés des passants. Les collègues de Caroline sont déjà là et voient arriver Caroline ainsi.
- Allez déposer votre manteau et votre sac dans votre bureau et revenez-ici !
Caroline revient tête baissée.
- On vous a expliqué ce qui va se passer cet après-midi ?
Caroline répond oui de la tête.
- Bon, alors, vous allez vous mettre là ! Le directeur place Caroline face à la porte, en la tenant par les épaules.
- Et maintenant, nous allons vérifier si vous portez un soutien-gorge !
Caroline lève les yeux au ciel d'agacement et relève d'un coup sec le bas de son pull au dessus de ses seins nus.
- Laissez-le comme ça !
Le directeur vient ajuster le pull, devant et derrière, afin que les seins de Caroline soient bien dégagés et que le pull ne retombe pas.
- Vous le laisserez ainsi jusqu'à ce soir !
Caroline veut contester mais son directeur ne lui laisse pas le temps :
- Le directeur ne vous a pas tout dit ce matin ! Mais vous allez être encore largement punie ! Vous allez relever votre jupe et ne pas la lâcher de l'après-midi !
Caroline reste bouche bée, et doucement, sachant qu'elle ne pourra rien faire pour empêcher cela, elle découvre ses fesses, et ses collègues derrière elle constate que les marques de la fessée ne se sont pas encore estompées. Son directeur remonte la ceinture de sa jupe et relève aussi l'avant de sa jupe, ainsi elle est dénudée jusqu'au dessus du nombril.
- C'est ainsi que vous tiendrez votre jupe !
Caroline retient sa jupe en hauteur, elle sait qu'elle ne pourra rien cacher et que cette position et sa tenue défaite sera encore pire que d'être toute nue. Elle n'a pas le temps de se préparer à cette situation, que déjà un de ses client entre dans l'agence. Surpris, il reste quelques secondes les yeux rivés sur le bas de son ventre. Caroline n'ose pas lever les yeux et résiste à la terrible envie de rabattre sa jupe, mais plaque une mains sur sa toison. Le directeur s'approche :
- Et bien, Caroline, vous voyez bien que Monsieur ne comprend pas, expliquez-lui pourquoi vous êtes punie !
Sans relever la tête, Caroline est obligée de tout dire dans les moindres détails. Le directeur s'approche du client à la fin de l'explication :
- Caroline vous savez très bien que Monsieur doit voir parfaitement votre intimité pendant votre punition, il ne sert à rien de la dissimuler !
Lentement Caroline découvre son sexe. Elle ne pourra plus jamais recevoir ce client sans penser à ce qu'il a vu. Pendant tout l'après-midi, Caroline n'a pas eu le droit de bouger et doit répéter la même chose à ses clients. Après la fermeture, le directeur sert un verre dans son bureau auquel Caroline et ses collègues sont conviées. Après un passage aux toilettes pour remettre un peu d'ordre à sa tenue, Caroline entre dans le bureau habillée, mais son directeur en décide autrement, il pose son verre et se dirige vers Caroline :
- Votre punition sera totalement finie après ce pot ! Mais pour le moment ce n'est pas le cas !
Caroline lève ses bras quand son directeur tire son pull vers le haut.
- Je vous laisse le soin d'enlever seule votre jupe !
Caroline se met nue une dernière fois. Tous les regards glissent sur son corps alors qu'elle doit s'approcher de ses collègues pour prendre le verre que lui tend son directeur. Elle l'avale aussitôt d'un trait et en réclame un autre pour tenter d'oublier cette horrible journée. Le directeur n'hésite pas à faire des commentaires sur ses seins et rougeur de ses fesses et de ses cuisses. Il ajoute qu'elle a du en faire rêver plus d'un pendant cette journée. Une de ses collègues pointe le sexe de Caroline du doigt et dit que pour son âge, elle pourrait être plus à la mode et que le triangle même épilé court, ça ne ce fait plus ! Caroline est obligée de se justifier, et dire que si elle était encore punie, elle serait mieux épilée.
Lorsque ses collègues partent, elle a déjà bu plusieurs verres et semble ne plus être gênée d'être toute nue devant son directeur. Elle s'assoit lourdement dans un fauteuil, et laisse ses jambes volontairement écartées. Complètement libérée, elle laisse sa main glisser le long de sa cuisse. Le directeur rassemble ses affaires, gêné par l'attitude de Caroline, il fait semblant de ne pas la voir. Mais est obligé de relever la tête quand Caroline ferme les yeux et bascule sa tête en arrière. Sa main se dirige lentement vers son sexe et commence à le caresser. Il lui demande d'arrêter et de se rhabiller, mais Caroline continue de plus bel, et commence à se masturber.
- Je n'ai jamais eu autant honte de ma vie ! Mais quand j'y repense, j'ai une terrible envie de faire ça, alors que je ne l'ai pas fait depuis des années !
Sous les yeux médusés de son directeur, Caroline se laisse aller à ce plaisir solitaire...
- Si vous voulez, dorénavant, je ne viendrai qu'en jupe sans rien en dessous...
Le directeur croit rêver en entendant Caroline parler ainsi, et comprend qu'elle n'est pas capable de revenir chez elle avec sa voiture. Il lui propose de la déposer. Caroline accepte tout en continuant de se caresser. Le directeur lui répond qu'il faut y aller et lui lance ses vêtements. Caroline s'arrête et prend sa culotte. Assise dans le fauteuil, elle semble hésiter avant de la remettre. Le coeur battant de plus en plus fort, elle s'apprête à dire quelque-chose mais n'ose pas. Puis elle rassemble ses vêtements et se lève pour remettre ses chaussures.
- Il fait nuit dehors !
Le directeur ne comprend pas pourquoi elle dit ça :
- Oui, dépêchez-vous, il est tard !
Caroline pose ses vêtements sur le bureau. Le directeur s'impatiente et ouvre la porte pour signifier à Caroline qu'il doit partir :
- Dépêchez-vous où vous vous débrouillez pour rentrer !
- Vous êtes garé où ?
Le directeur se demande pourquoi elle demande ça, mais répond qu'il est garé comme d'habitude, sur le parking situé à deux rues. Caroline prend son courage à deux mains, puis regarde le directeur dans les yeux :
- Je mérite d'être punie jusqu'au bout de la journée ! Ramenez-moi sans mes vêtements !
Caroline baisse les yeux honteuses de ce qu'elle vient de dire.
- Vous voulez aller dans la rue complètement nue et que je vous dépose chez vous comme ça ? Caroline fait un signe de tête, et quitte le bureau décidée. Le directeur hésite un instant, pris à son propre jeu, puis redevient autoritaire :
- Très bien, puisque c'est ainsi ! Sortez de l'agence et attendez-moi sur le trottoir !
Caroline regrette presque son choix, mais sort dehors. Eclairée par l'enseigne, en pleine rue, elle se sent encore plus nue que jamais. Le directeur ferme les bureaux et les lumières, Caroline est impatiente qu'il arrive. Il sort enfin, et attrape Caroline par le bras. Il la pousse devant elle, en direction de la voiture. Caroline ralentit quand elle voit un groupe de jeunes venir en face, mais le directeur ne se préoccupe pas d'eux. Sachant qu'elle va devoir passer juste à côté, Caroline se cache les seins et le sexe.
- Caroline, c'est vous qui avait voulu ça ! Alors, ne vous cachez pas !
Elle baisse la tête, quand les jeunes interloqués passent à côté d'eux. Elle monte aussitôt dans la voiture, dès que celle-ci est déverrouillée. Elle guide ensuite le directeur pour aller jusqu'à chez elle. Elle n'ose pas sortir seule de la voiture. Le directeur propose de la raccompagner à condition qu'elle lui offre un verre dans cette tenue. Ils sortent de la voiture, Caroline marche devant lui d'un pas rapide tout en cherchant ses clefs dans son sacs. Elle entre dans la maison sans que personne ne la voit. Elle lâche son sac, et va servir un verre à son directeur encore toute tremblante de ce qu'elle vient de faire. Le directeur ne perd pas sérieux et impressionne Caroline par son autorité.
- Montrez-moi votre garde robe, je vais vous dire comment vous habillez demain !
Caroline l'accompagne, et l'excitation retombée, elle se sent honteuse d'être nue et demande la permission de passer au moins une nuisette. Le directeur lui refuse catégoriquement et prend une jupe à carreaux dans la penderie.
- C'est votre jupe pour demain, avec ce chemisier blanc ! Vous ne mettrez rien en dessous, à part des bas que vous irez acheter avant de venir au bureau !
Caroline prépare ses vêtements sachant que les bas vont se voir avec cette jupe si courte, mais elle ne dit rien. Le directeur revient s'assoir dans le canapé pour finir son verre. Caroline s'assoit aussi et croise ses jambe ainsi que ses bras, ne sachant quoi dire. Encore troublée par cette journée, les sentiments se mélangent dans sa tête. Elle a honte comme jamais elle n'a eu honte, mais dans le bas de son ventre, c'est contradictoire. Elle n'attend plus qu'une chose, c'est que son directeur se décide à partir, pour aller s'allonger dans son lit et glisser sa main entre ses jambes jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il décide de se lever peu de temps après.
- Demain matin, dans mon bureau ! Je vérifierai votre tenue en détail...
Le directeur sort en claquant la porte. Caroline tombe aussitôt dans son lit en s'imaginant quelle serait sa prochaine punition, tout en espérant ne jamais la connaitre.