jeudi 28 janvier 2021

Voyage scolaire (Jour de punition)

Caroline tente de reprendre ses esprits avant de retourner à l'internat. Elle sèche ses joues et s'essuie les yeux. Elle veut être seule, ne pas en parler, même à ses copines. Elle ne va pas au petit déjeuner, elle préfère retourner dans sa chambre. Elle s'arrête devant un mirroir. Avec le choc de ce qu'elle a eu, elle n'a pas prêté attention à ses sous-vêtements. Elle se sent ridicule en se ragardant dans le mirroir. Son ensemble est dépareillé, une culotte noire légèrement ajourée et un soutien-gorge blanc tout simple. Son collant chair, remonte au milieu de son ventre et ne cache rien de sa culotte. Elle s'effrondre à genoux devant la glace pour pleurer. Lorsqu'elle entend du bruit elle va se réfugier dans une douche et attend que tout le monde parte. Elle en profite pour vérifier si elle est présentable en tirant le devant de sa culotte. Il faut qu'elle aille en cours. Quand elle arrive en classe, ses copines ne lui posent pas de questions quant à son absence du matin. D'un simple regard, elles ont compris. Caroline ne peut se concentrer elle n'écoute rien des quatres heures de cours de la matinée. Plus l'heure du midi approche, plus elle se sent mal. A la fin de la dernière heure, elle met du temps à ranger ses affaires. Elle se demande encore si elle peut échapper à sa punition, mais ne trouve aucune solution. Ses copines sont parties, la laissant seule, pourtant à ce moment là, elle aurait bien voulu avoir un peu de réconfort. Le prof est obligé de la mettre dehors, pour fermer la classe. Elle traine dans les couloirs perdue dans ses pensées. Elle comprend que ne pas aller à la cantine ne changera rien. Au contraire, ce serait peut-être même pire pour elle et se resout à y aller. Quand elle entre dans le refectoire tout le monde se retourne comme les autres midis, mais aujourd'hui Caroline sait qu'il y a quelque chose en plus et ça la fait frissonner. Elle regarde à la table des professeurs, mais ne voit pas le directeur. La gorge nouée, elle va s'assoir à la table de ses copines, l'une d'elle lui passe la main dans le dos pour la réconforter, une autre lui dit d'être forte, mais c'est trop pour Caroline qui s'effondre une nouvelle fois en sanglots, attirant de ce fait encore plus les regards des autres tables. Elle ne peut rien avaler, les battements de son coeur s'accélèrent de plus en plus. Elle croit faire un malaise quand elle voit le directeur arriver. Il lui jète un regard en passant et va s'assoir à sa place. A sa table personne n'ose parler. Quand les premiers élèves qui ont fini de manger se lèvent pour sortir, le directeur recule sa chaise et se tourne vers la cantine : - Aujourd'hui quand vous avez fini de manger, vous ne sortez pas ! Vous débarasser juste votre plateau et vous retournez vous assoir à votre place... Les élèves qui étaient prêt de la porte retournent à leurs place. Les yeux toujours embués, Caroline regarde le directeur se rassoir et continuer de manger. Elle comprend fataliste qu'elle n'y échapperait pas, et que c'était maintenant iminent. Alors que tout le monde débarasse son plateau autourd d'elle, elle ne bouge pas de sa place. Les coudes posés sur la table et le visage enfouie dans ses mains. C'est une de ses copines qui lui enlève son plateau. Avant qu'elle ne le jète, le direteur lui prend des mains. - Caroline mangera plus tard, laissez le moi... Il le pose sur une table et se dirige vers Caroline. D'un coup la salle divient silencieuse. - Levez vous Caroline ! Caroline lève les yeux vers le directeur, l'implorant du regard, mais celui-ci reste impassible. Doucement, elle se lève, ses jambes la tiennent à peine. Sans autre avertissement le directeur la couche sur la table. Il l'avance de sorte que ses pieds quittent le sol, et aussitôt une première claque tombe violement par dessus ses collants. Il n'en faut pas plus pour Caroline pour qu'elle éclate en sanglots. Une deuxième et une troisième suivent. Puis le directeur la déculotte. C'est la stupafaction dans le refectoire. Certains se lèvent discrètement pour mieux voir, d'autres chuchotent en ayant des regards complices. Sa culotte et son collant son passé juste sous ses fesses et tout le monde constate que déjà elles sont rouge malgré les trois claques. Trois suplémentaires ajoute de la couleur à son fessier et font tordre Caroline sur la table. Le direteur lui prend le bras et l'incite à se lever. Il l'écarte de la table. Ses fesses sont bien rouge, devant sa culotte est un peu descendue mais cache encore l'esentiel. De sa main libre, Caroline frotte ses fesses. Le directeur la lache et prend ses poignets et pose ses mains au dessus de sa tête, puis il baisse son collant. Il s'y reprend en plusieurs fois pour le descendre complètement à ses chevilles. Puis en se relevant, il lui claque les fesses. Doucement, en prenant son temps entre chaque claque. Caroline ferme les yeux, les grimaces sur son visage à chaque claque temoignent de la force qu'emploie le directeur pour la punir. Les larmes coulent sur ses joues, elle serre les dents pour ne pas crier, mais bouge les jambes malgré elle à chaque nouvelle claque. Si bien que le devant de sa culotte descend sans qu'elle ne s'en rende compte. Ceux qui sont face à elle voient la haut de son pubis et une légère touffe de poils. Quand le directeur arrête, il lui remonte lui-même complètement sa culotte. - Enlevez vos collants !! L'odre est sans appel, Caroline s'accroupit pour enlever ses chaussures et enlever ses collants qui lui entravent les chevilles. Elle se relève, tandis que le directeur pose une chaise au milieu des tables, elle le regarde faire tremblante comme une feuille. - votre culotte ou votre soutien-gorge ? Tout le monde est surpris par ce que vient de dire le directeur, certains s'exclaffent, d'autres ont du mal à y croire. Caroline reste pétrifiée et silencieuse. Le directeur s'assoit sur la chaise : - Venez ici ! Caroline approche à petits pas, jusqu'à ce que le directeur puisse lui prendre le bras et la coucher sur ses genoux. - Vous le saviez très bien Caroline ! Ce n'est pas une surprise : J'ai dis toute nue pour la punition... Et puisque vous ne savez pas prendre une décision... Le directeur baisse sa culotte, il tire de chaque côté pour la faire descendre jusqu'en bas et lui retire de ses chevilles. Après ça, il lui donne une fessée. Une vraie fessée. Il lui emprissonne les mains dans son dos et claque ses fesses l'une après l'autre à un rythme effrainé. Cette fois-ci Caroline ne peut plus se contenir, elle pleure, elle crie, elle bat des jambes et essaye de se défaire de son emprise. Ceux qui sont derrière elle ne loupe rien de ce qu'elle offre. Ses fesses sont d'un rouge vif, limite bleues quand le directeur arrête la fessée. Caroline reprend son souffle et pleure bruyament. - relève-toi et enlève ton soutien-gorge ! Le directeur a dit ça naturellement come si c'était une banalité. Caroline se lève doucement en tentant de reprendre son calme, mais les fremissement de son corps la traillissent. Elle les mains dans son dos pour retirer l'attache de son soutien-gorge et baisse ses brettelles. Elle reste un instant debout totalement dépitée, tête baissée, les bras le long du corps en tenant son soutien-gorge à la main. Le directeur vient lui reprendre et lui pose ses mains au dessus de sa tête. - Voilà, tu restes comme ça le temps que tout le monde sorte. Au comble de la honte, Caroline trouve la force d'arrêter de pleurer. La salle met du temps à se vider. Certains profitent jusqu'au dernier moement de l'exhibition de Caroline. Le directeur ramasse ses collants, sa culotte et son soutien-gorge et part avec. - Je vous laisse déjeuner, venez me voir quand vous aurez terminé... Caroline se retrouve seule à table dans cette immense pièce. Elle est encore secouée par les sanglots. Elle tente de se calmer, mais dès qu'elle repense à la situation elle s'effrondre de nouveau. Elle ne mange presque rien, elle a surtout très froid. Quand elle a fini, elle met ses chaussures et va débarasser son plateau. Normalement tout le monde est en cours à cette heure ci. Elle sort en se faisant la plus discrète possible. Avant qu'elle frappe à la porte, la secrétaire lui dit que le directeur est en entretien et lui dit de s'assoir sur la chaise près de la porte. Elle s'assoit en espérant que personne ne vienne. Elle croise les jambes et s'enfonce dans la chaise. Elle croise les bras aussi devant sa poitrine. Elle se demande qui peut être dans son bureau et se recroqueville sur elle-même en sachant qu'il la verra en sortant du bureau. Elle lève la tête en entendant la porte s'ouvrir et rougit jusqu'aux oreilles en reconnaissant le père d'une copine. Il lui fait simplement un petit signe en partant auquel Caroline répond à peine. Le directeur la fait entrer et ferme la porte derrière elle : - J'imagine que vous n'êtes pas en état de suivre vos cours cet après-midi... Machinalement, Caroline prend la main que le directeur lui tend. Il la fait tourner sur elle-même pour constater l'état de ses fesses. Petit à petit, elles reprennent leur couleur naturelle mais les marques sont encore bien présentes. - Vous allez rester ici une heure. Allez au coin la bas ! Caroline pense à recupérer sa culotte mais n'ose pas demander sachant que le directeur ne lui autoriserait pas. Elle se met à genoux avec les mains sur la tête comme lui indique le directeur. Elle se met face au mur en espérant que personne n'entre dans le bureau. Heureusement pour elle personne ne vient voir le directeur. Une heure plus tard, le directeur l'autorise à se lever. Ses bras et ses genoux lui font mal. Lorsqu'elle se retourne, elle voit son maillot de bain sur le dossier de la chaise. - Je crois que vous avez sport cet après midi... Dépêchez vous de la mettre vous allez être en retard. - Vous le garderez jusqu'à ce soir... Caroline met son maillot et quitte le bureau. Elle a très froid en sortant et elle se sent ridicule ainsi dans la rue pour rejoindre la gymnase. Elle court jusqu'à l'entrée. Elle doit affronter les regards tantôt compatissant tantôt moqueurs. Après la séance de Baskett, elle va refugier dans sa chambre sans attendre que les autres se changent. Quand le soir arrive elle va chercher son pyjama chez le directeur. Même si ça reste toujours difficile, lorsqu'elle arrive, elle enlève son maillot de bain et attend dans l'entrée que le directeur lui donne son pyjama. Il arrive quelques instants plus tard et lui tend. Caroline le met rapidement pour se couvrir. - Demain se sera votre dernière journée de punition ! Pour cloturer la semaine, j'ai prévu que vous passiez les 10 premières minutes de chacun de vos cours à genoux sur l'estrade face au mur, avec les mains posées sur votre tête. Vos profs sont au courant... Caroline accuse de coup de cette nouvelle punition et quitte le directeur. Le lendemain matin elle se présente à son bureau. - Vous voici arrivée à votre dernière journée de punition, j'espère qu'après ça votre comportement ne sera plus jamais aussi detestable ! Enlevez votre pyjama... Caroline se retrouve une nouvelle fois toute nue dans le bureau. D'habitude ses sous-vêtements son prêts, mais là le directeur n'a rien sorti. - Comme je vous le disais hier, j'ai décidé de vous faire subir 10 minutes de coin au début de chaque cours... Vous n'attendrez pas qu'on vous le demande, dès votre arrivée en classe, vous irez vous même vous installer face au mur. Est-ce bien clair ? Caroline fait oui de la tête. - Dois-je vous rapeller comment vous devreez vous y mettre ? Cette fois-ci Caroline fait non de la tête. - Vous avez perdu votre langue ? Alors comment ? - Je dois me mettre à genoux et mettre mes mains sur me tête. - Oui c'est ça, parfait, vous avez bien retenu... J'avais pensé au premier abors que ce moment de pénitence, vous soit ingligé déculottée. Mais finalement, j'ai changé d'avis... Le directeur sort de son tirroir un collant couleur chair. - J'ai décidé que pour votre dernière journée de punition, vous la passerez directement sans culotte ! Enfiler votre collant ! Caroline n'ose rien dire, elle s'effondre en larmes en sortant du bureau et va rejoindre sa salle de cours. Elle est la première pour ne croiser personnes. Elle pose ses affaire sur son bureau et suit les recommandations que le directeur lui a indoqué avant de sortir. Elle defait son soutien-gorge et le pose sur le dossier de sa chaise et va sur l'estrade Avant de s'agenouiller, elle baisse son collant jusqu'à ses chevilles et s'installe. Les premiers ne vont pas tarder à entrer. Quant à Caroline, elle se prépare à vivre une nouvelle journée difficile.

19 commentaires:

Anonyme a dit…

Alors là... J'avoue qu'il y a une nette amélioration !
Un réel plaisir à lire, tant au niveau de l'histoire, que de l'écriture.
Même si mon esprit tordu imagine bien pire... X)
Félicitations, et merci pour ce récit !

Elena a dit…

Bonjour,
Bravo pour cette suite. J'adore !
Amitiés.

Anonyme a dit…

il y a du texte on se plonge dans l histoire je dis bravo et encore bravo vivement les prochaines parutions

pascfz a dit…

Merci pour vos commentaires, ça me donne envie d'écrire d'autres histoires !

Anonyme a dit…

c est clair un bon talent d écrivain apres y a des histoires anciennes non finies si ca peut t inspirer
comme annonce de la punition ou autres mais bon j attendrais avec impatiences d autres de vos textes et chapeau pour ces travaux

Anonyme a dit…

la suite ou les suites vite lol

Anonyme a dit…

y a plus rien???

Anonyme a dit…

ou es tu? es ce que tu vas bien? on a plus de niews de toi Pacfz ;-)

Anonyme a dit…

4 mois sans nouvelles??

Anonyme a dit…

Je suis tellement en "manque" de ces histoires que je me tâte à écrire la suite de certaines déjà publiées ^^'

Anonyme a dit…

fin mai tjrs rien?

Anonyme a dit…

fin mai tjrs rien? si quelqu un d autre a ecrit des suites ou autres dites le moi je suis interesse merci

Rafrafi a dit…



Salut, j'aime beaucoup ton blog et tes histoires de fessées, je t'ai ajouter dans ma liste de favoris sur le mien :

https://bdsm-female-prison.blogspot.com

Anonyme a dit…

salut on a plus de nouvelles?

Anonyme a dit…

Et bien ! C'est pas mal écrit. Si on ne regarde pas les fautes d'orthographe et de syntaxe. Y a du boulot !

Anonyme a dit…

Bonjour
J'aime beaucoup vos textes, merci à vous pour votre écriture
J'en ai écrit un que j'aimerais partager avec vous. Comment puis-je vous le transmettre ?
Merci et bonne journée

pascfz a dit…

Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Vous pouvez le transmettre ici, si vous voulez.
Bonne journée

Anonyme a dit…

salut pacfz ca fait un bail comment ca va ? pas de nouvelles depuis du nouveau?? y aura t il encore des publications ??

Anonyme a dit…

superbes histoires encore et encore please