vendredi 7 février 2020

Manifestation

Déjà toute la semaine dernière le lycée a été bloqué. Avec ces manifestations, personne n'a pu assister aux cours. Pendant tout le Week-end, les élèves ont reçu des des messages sur leurs portables et sur Facebook pour continuer le mouvement. Dès le lundi matin, malgré les interdictions, des élèves arrivent très tôt pour s'infiltrer dans le lycée et condamner les portes d'entrées.
Caroline et Cécile entrent elles aussi illégalemment dans le lycée. Caroline se rend aux toilettes avant de commencer leur action et Cécile la suit. Quand elles poussent la porte, elle découvrent le désastre. Les toilettes sont totalement ravagées. Tout a été cassé durant le week-end. Après un moment de surprise, Caroline veut tout de même aller aux toilettes, car, après, elles ne pourront pas y aller pendant un bon moment. Quand elle essaie de refermer la porte, un amat de gravas tombe en faisant un bruit épouvantable. Effrayée, elle s'enfuient des toilettes en courant et tombent nez à nez avec le surveillant du lycée. Il venait d'attraper un groupe d'élèves qui s'étaient infiltrés eux-aussi dans le lycée. Le surveillant constate les dégats dans les toilettes, et ne fait aucun commentaire. Caroline et Cécile essaie de se justifier et disent que ce ne sont pas elles, mais le surveillant leur conseille de les suivre sans aggraver leur cas.
Les élèves sont reconduits à l'extérieur du lycée. Caroline et Cécile préfèrent rentrer chez elles en attendant la suite.
Le soir même le lycée est débloqué et les cours peuvent reprendre normalement. Elles se font toutes petites, pendant la journée et n'entendent pas parler de cette histoire jusqu'au soir. Déjà, une entreprise vient faire les travaux de réparation des toilettes. En fin d'après-midi une circulaire est distribuée aux élèves. Elle demande que le conflit s'arrête et que les cours continuent d'être dispensés normalement. Un dernier paragraphe insiste sur les dégats qui ont eu lieu pendant les manifestations. Il précise que ceci sont intolérables et que les responsables seront sévèrement punis.
Les jours suivants, Caroline et Cécile s'apprêtent à devoir se défendre des dégats des toilettes, mais elles ne sont pas inquiétées. Elles se demandent même si ils avaient trouvés les coupables ou si le surveillant n'avait rien dit...
Mais le vendredi en début d'après-midi, le surveillant débarque en cours de Maths :
- Caroline et Cécile, le proviseur veut vous voire dans son bureau tout de suite !
Les deux filles se regardent puis se lèvent et enfilent leurs manteaux calement.
- Prennez vos affaires aussi !
Sur le chemin du bureau du proviseur, elles restent silencieuses, ne sachant pas comment se sortir de se pétrin. Quand elles entrent dans le bureau, elles constatent avec stupeur que deux policiers sont assis en face du proviseur.
- Posez vos sacs et vos manteaux !
Le ton du proviseur fait peur aux deux filles.
- Qu'est-ce qui vous a pris de saccager ces toilettes !
Cécile ose dire timidement qu'elles étaient déjà comme ça quand elles sont arrivées, ce qui met le proviseur se met encore plus en colère :
- Vous vous foutez de moi ! Le surveillant et un groupe d'élèves vous ont pris en flagrant-délit, et ils sont tous venus me le dire. Et la caméra vous filme en train de sortir des toilettes en courant ! Il vous faut d'autres preuves...
Les deux filles baissent la tête sans rien ajouter, elles savent bien que tout se retourne contre elles. Le directeur se calme.
- Il y a deux solutions. La première, est celle qui me plait le moins. Je porte plainte contre vous, et ces policiers vous emmenent au commissariat. Vous pouvez imaginer quelle sera la suite... La deuxième, est de régler ce problème en interne et pour ça il faut que vous soyez sévèrement punies !
- Pour commencer, vous avez vu que les travaux sont commencés dans les toilettes, mais les peintures ne seront pas faites... C'est vous qui les feraient pendant vos heures de permanence. Et il y a une autre punition !
- Alors, est-ce que je profite de la présence de ces messieux pour déposer plainte ?
Les deux filles se regardent et disent non de la tête.
- Très bien, alors nous allons vous punir de façon inédite et exemplaire ! Caroline venez ici !
Caroline s'avance, blanche comme un linge, vers le bureau du directeur. Il ouvre son tirroir et sort une strappe qu'il pose juste devant Caroline. Les deux filles regardent l'objet avec inquiétude. Le directeur laisse un léger silence tandis que les deux filles n'arrivent pas à détacher leurs regards de la strappe. Puis il se lève et la prend.
- Nous allons commencer par vos fesses Caroline ! Quand votre fessée sera finie, Cécile prendra votre place ! Courbez-vous sur le bureau !
Caroline obéit tandis que Cécile demande ques les policiers et le surveillant sortent, mais le directeur ne se préoccupe pas d'elle. Il appuie sur le dos de Caroline pour que son ventre touche la bureau et que ses fesses soient bien remontées. Sa jupe remonte sous ses fesses, et Caroline tire dessus et vérifie en passant la main sur ses fesses que sa culotte n'est pas découverte. Cécile insiste auprès du directeur en disant que c'est pas normal qu'il les punisse comme ça, en plus devant témoins, elle demande aux policiers d'intervenir, mais comprend rapidement qu'elle n'obtiendra rien d'eux. Et elle n'obtiendra pas non plus la clémence du directeur qui abbat la strappe sur les fesses de Caroline. Un léger sursaut et déjà le deuxième coup tombe, puis le troisième... Caroline sert les dents et essaie de contenir ses larmes de honte et de douleur.  Cinq coup lui sont appliqués, et elle se relève et frotte ses fesses en grimaçant.Le directeur reste derrière elle, la stappe à la main, Cécile sert les fesses sachant que son tour est proche. Mais le diecteur a prévu un autre programme pour Caroline :
- Voilà pour le début de votre punition Caroline ! Maintenant, nous allons réellement vous punir !
Inquiète Caroline, ne relève pas la tête, et attend la suite tout en sachant qu'elle allait être très dur pour elle. Le directeur laisse un long moment, pendant lequel elle imagine un tas de scénario dans sa tête, puis il brise le silence d'un ton très dur :
- Baissez votre culotte et relevez votre jupe !
Cécile étouffe un petit cri de surprise tandis que Caroline se retourne vers le directeur.
- Dépêchez-vous, nous allons continuer la fessée sur vos fesses nues !
Caroline lui jette un regard interrogateur...
- Ne faites pas votre mijorée, vous êtes faite comme tout le monde ! Vous allez nous montrer vos fesses, cela fait partie de votre punition et votre complice sera punie comme vous !
Caroline ne réagit pas tandis que Cécile lève le ton :
- Vous êtes fou ! Il est hors de question qu'on se déshabille devant vous !
Le directeur saisit Cécile par le bras et la courbe sur le bureau :
- Je ne pense pas que vous soyez en position de discuter Mademoiselle !
Puis il retourne Caroline :
- Vous aussi, courbez-vous sur le bureau !
Une fois que les filles sont en position pour recevoir la fessée, il prend la strappe et relève d'un coup sec la jupe de Caroline. Une culotte blanche apparait sous son collant couleur clair. Horrifiée, Caroline veut rabattre sa jupe, mais le proviseur attrappe ses mains et les emprisonne. Puis, il baisse son collant jusqu'aux genoux et appelle le surveillant :
- Déculottez aussi Cécile !
Tandis que les fesses de Caroline sont découvertes, Cécile se lève d'un bond pour protester. Mais personne ne l'écoute et le surveillant vient la plaquer contre le bureau. Cécile se débat et le surveillant n'arrive pas à la maitriser. Le directeur ajuste la culotte de Caroline et lui conseille de ne pas bouger. Le surveillant maintient Cécile courbée sur le bureau et lui serre les mains dans le dos, tandis que le directeur passe ses mains autour de la taille de Cécile pour déboutonner son jeans. Celui-ci ne tarde pas à être descendu sur ses chevilles et son string, qui ne couvre aucunement ses fesses, est impitoyablement baissé. Les cris de protestation de Cécile, se transforment rapidement en pleurs de honte. Elle est la première à recevoir la strappe. Le directeur ne la ménage pas. Caroline préfère tourner la tête, que de voir les grimace sur le visage de Cécile à chaque fois que la strappe s'abat sur ses fesses.
- Une dernière et vous pouvez remettre votre jeans...
Cécile ne pert pas une seconde, à peine le coup arrivé, elle cache ses fesses.
La fessée continue sur le même rythme sur les fesses de Caroline. Elle s'accroche au bureau et tente de ne pas crier pourtant ses fesses rougissent en quelques coups. A la fin de sa fessée, Caroline prend le temps de reprendre ses esprits et remonte doucement sa culotte sur ses fesses endolories, puis rabat sa jupe et ajuste son collant.
Cécile sèche ses larmes, tandis que le directeur ajoute encore quelques remontrances et prend rendez-vous avec elles pour les travaux de peinture, sur leur temps libre.
Puis il leur dit de rejoindre leurs camarades en salle de conférence pour la réunion. A la place de l'heure decours, une réunion avec tous les élèves et les professeurs a été organisé pour débattre des événements qui ont eu lieu.
Quand elles arrivent, tout le monde les regardent. Ils comprennent rapidement, en voyant leurs mines déconfites, que les deux filles ont été punies, mais elles se gardent bien de dire qu'elles ont été fessées.
Le directeur et les profs arrivent, le silence se fait, et il peut commencer une brève introduction. Puis, il semble chercher quelqu'un dans la salle. Son regard se pose sur les deux filles :
- Caroline et Cécile ! Levez-vous !
Rouge de honte, les deux filles se lèvent, tout le monde les regarde...
- Voici des perturbatrices, lors des manifestations ! Et ces demoiselles, ne se sont pas arrêtées là, elles ont aussi saccagé les toilettes comme vous le savez tous... Une punition était indispensable ! Et elles viennent de sortir de mon bureau, elles y ont été fessé sévèrement... et culotte baissée !
Quelques rires et gloussements moqueurs sortent des rangs. Les deux filles sont mal à l'aise et font tout pour éviter le regard de leurs camarades. Après un moment de silence, le directeur les appelle :
- Venez me rejoindre sur l'estrade mesdemoiselles !
Les deux filles sortent des rangs têtes baissées, elles marchent doucement vers l'estrade, tandis que les regards masculins se posent sur leurs fesses et imaginent la fessée qu'elles viennent de recevoir. La jupe courte de Caroline fait fantasmer pas mal de garçons quand elle monte l'escalier qui la mêne sur l'estrade et ils ne tardent pas à être satisfait. A peine montée sur l'estrade, le directeur attrappe Caroline par le bras et lève sa jupe au dessus de sa taille. Ses fesses moulées dans sa culotte apparaissent sous les yeux de ses camarades ravis.
- Mettez votre slip sur vos chevilles !
Le directeur libère le bras de Caroline et maintient l'arrière de sa jupe relevée. Sous les yeux ébaillis des élèves Caroline passe ses mains de chaque côté de ses hanches et commence à descendre sa culotte en même temps que son collant. Cécile s'affole et tente de convaincre son amie d'arrêter :
- Arrête Caro ! Il n'a pas le droit de faire ça...
Mais d'un geste, le directeur fait comprendre au surveillant de s'occuper d'elle. Malgré les cris et les débattements de Cécile, il la pousse hors de la scène, derrière le rideau. Caroline continue seule, elle descend complètement sa culotte comme lui a indiqué le directeur. Sans lacher sa jupe, il retourne une chaise au milieu de l'estrade et s'assoit dessus. Caroline se laisse faire quand il l'allonge sur ses genoux. Il prend le temps de l'ajuster pour que sa main tombe juste sur ses fesses et ne réagit pas aux chuchotements des élèves. Caroline pose ses mains par terre, et sa tête touche pratiquement le sol. Ses cheveux cachent son visage et elle ne fait rien pour les empêcher. Le directeur attrappe ses chevilles et enlève ses chaussures qui tombent bruyemment sur l'estrade, puis il fait glisser son slip enroulé dans ses collants, qu'il lache par terre.
Et après un long moment de silence, il s'adresse à Caroline :
- Etes-vous prête à recevoir la première fessée déculottée publique de cet établissement ?
Cela rappelle une fois de plus à Caroline, dans quelle horrible situation elle est. La main froide du directeur se pose sur les fesses de Caroline et un frisson lui parcourre le corps. Malgré la honte qui la submerge, elle se dit que c'est la première fois qu'un homme lui touche les fesses. Mais la première claque la ramenne à la réalité. Le directeur donne la fessée sur un rythme assez lent, mais les claques sont appuyées. Il n'hésite pas à frapper chaque fesse sur toute leur surface et celles-ci rougissent rapidement. Il n'épargne pas ses cuisses qui prennent de la couleur jusqu'en bas. L'intensité des claques est moins forte, et les regards se portent vers le rideau, ça s'agite derrière, on entend Cécile crier. Puis les pans du rideau s'écartent, et Cécile apparait poussée par le surveillant, qui lui tient les mains dans le dos. Elle se calme quand elle arrive au milieu de l'estrade. Ses vêtements lui ont été retiré. Elle n'a plus que son soutien, dont une des bretelles est descendue et son string. La vision de cette jolie blonde en petite tenue, plait aux nombreux garçons et il le font savoir bruyemment.
Pendant ce temps, Caroline se relève et frotte ses fesses avec le tissu de sa jupe et en la rabattant. Le directeur l'attrappe par l'oreille et l'emmêne au bord de l'estrade, juste devant le premier rang des élèves.
- A genoux, les mains sur la tête !
Caroline obéit sous les colibets des élèves, tandis qu'on peut lire dans les yeux de Cécile la panique qui la submerge, elle sait que son tour arrive. Le directeur se dirige vers elle.
- A vous maintenant, venez par ici !
Cécile tirée par le bras, suit le directeur jusqu'à la chaise, où il la  bascule sur les genoux sans ménagement. Une pluie de claque tombe sur ses fesses non protégée à cause de son string. Mais l'absence de protection n'empêche pas le directeur de faire glisser son string jusqu'en bas de ses jambes. Puis il continue la fessée, bien que ses fesses soient déjà bien rouge. Ses jambes battent en l'air et son string tombe sur l'estrade. Malgré la doulheur qui envahit toute la surface de ses fesses, toute l'attention de Cécile se porte sur le fait qu'elle est habillée de son seul soutien-gorge. Et sans arrêter la fessée, le directeur n'hésite pas à lui rapeller :
- Quand j'aurai estimé que la fessée sera suffisante, vous irez rejoindre votre amie et dire à vos camarades ce que vous ressentez !
La panique se lit dans les yeux de Cécile, quelques secondes après les claques cessent de tomber sur ses fesses.
- Relevez-vous et montrez vos fesses rouge à vos camarades !
Cécile se relève et attrappe aussitôt son string par terre, mais le directeur lui tend la main :
- Vous serez bien plus consciente de vos actes sans ce bout de tissu !
Cécile lève les yeux et déplie son string, tout en s'écartant du proviseur.
 - Mais oui ! Vous croyez que je vais rester comme ça... Vous pouvez toujours rêver !
Puis elle passe son string et remonte complètement.
Le directeur reste calme malgré la colère qui se lit dans ses yeux. Il laisse Cécile en plan au milieu de l'estrade et se dirige vers Caroline.
- Relevez-vous et donnez-moi votre jupe !
Sous les yeux médusés de Cécile qui ne comprend pas comment son amie peut faire une chose pareille avec autant de facilité, Caroline se lève sans protester et se met sur le côté pour faire glisser sa jupe et la donner au directeur. Il prend la jupe et baisse les yeux vers sa toison. Caroline se sent rougir et baisse la tête.
- Vous pouvez cacher votre intimité le temps que je m'occupe de votre copine, mais mettez-vous face à vos camarades !
Sans relever la tête, Caroline se présente à moitié nue, les deux mains collées côte à cote devant sa toison, les doigts tendus pour cacher le maximum. Le directeur la fait déplacer un peu sur le côté et tire Cécile au centre de l'estrade.
- Je tiens à vous précisez que je serais beaucoup moins complaisant avec vous, Mademoiselle !
- Pour commencer, une autre fessée ne vous fera pas de mal...
Puis il tourne la chaise et place Cécile derrière celle-ci.
- Courbez-vous au dessus du dossier et posez vos mains à plat sur la chaise !
Cécile ne va pas assez vite à son goût, et il l'attrape sous le bras sans ménagement pour qu'elle se bouge.
- Je vais enlever votre string de ne vous avisez pas de vous s'y opposer !
Cécile a les fesses tournées vers l'assemblée, alors que le directeur attrape le string de chaque côté. Avant de le descendre, il demande au surveillant de bien vouloir aller chercher la strappe dans son bureau. Puis aussitôt, il descend le string jusqu'à ses chevilles et lui retire complètement en faisant signe au surveillant de le prendre.
- Mettez-le sur mon bureau avec le reste de ses affaires, elle viendra jusqu'à mon bureau pour se rhabiller !
Cécile sursaute en entendant le directeur, mais elle reste en place et réajuste sa position, les jambes collées l'une contre l'autre.
Le directeur continue la réunion sans se préoccuper de Cécile, mais dès que le surveillant revient, il prend la strappe et s'approche de Cécile. Un premier coup arrive sur ses fesses, en laissant une marque rouge, puis un deuxième que Cécile essaye d'esquiver. La fessée continue jusqu'à ce que toute la surface de ses fesses soit uniformément rouge. Quand le directeur pose la strappe sur la chaise, Cécile se relève doucement et porte ses mais à ses fesses pour les frotter. On entend seulement le reniflement de Cécile, tandis que le directeur va porter à Caroline sa culotte et lui dit de la remettre pour regagner sa place. Elle comprend qu'elle est encore privée de sa jupe, mais traverse la salle la tête basse, contente d'échapper aux regards en s'asseyant à sa place.
- Quant à vous Cécile, vous allez rester sur l'estrade, à la vue de tout le monde jusqu'à la fin de la réunion !
Cécile laisse ses mains sur ses fesses comme si elle pouvait les protéger de tous les regards de la salle. Elle se sent d'autant plus nue, qu'elle est maintenant la seule à être punie.
- Tenez, Montez sur la chaise pour que l'on voit mieux vos fesses rougies ! Et posez vos mains sur votre tête !
Cécile reste plus d'une demi-heure debout sur sa chaise. Personne n'est réellement attentif, ses fesses attirent tous les regards. Parfois quelques têtes se tournent vers Caroline, qui baisse les yeux à chaque fois. Avant la fin de la réunion, elle doit se lever et traverser une nouvelle fois la salle pour retourner sur l'estrade.
- Vu le froid qu'il fait dehors, je vous autorise à remettre vos collants pour sortir. Par contre votre jupe vous sera inutile, je veux que tout le monde voit que vous êtes punie jusqu'à ce soir et vous assisterez à votre dernière heure de cours ainsi ! Après vous viendrez remettre votre jupe dans mon bureau...
Pendant que Caroline enfile ses collants, les élèves sortent de la salle. Caroline les suit en sachant qu'elle devra supporter les commentaires et les moqueries de ses camarades.
Quand elle arrive en classe, sa prof ne la laisse pas aller à sa place habituelle, elle la retient par le bras face à la classe le temps que tout le monde s'installe.
- Je pense que si Monsieur le directeur ne vous pas redonner votre jupe, c'est pour que vous soyez vue ! Alors vous allez rester debout pendant le cours, et face à tout le monde !

Pendant ce temps dans la salle de réunion, Cécile est toujours sur sa chaise. Le directeur discute avec un prof sans se préoccuper d'elle. Après quelques minutes, le prof s'excuse auprès du directeur et lui dit qu'il doit partir, car les garçons du techniques l'attendent pour son cours. Le directeur ne le retient pas plus longtemps et se tourne vers Cécile, et lui dit de descendre. Il l'aide en lui donnant la main et Cécile cache son sexe de l'autre.
- Ce prof vient de me donner une très bonne idée pour vous punir Cécile !
Cécile qui croyait que sa punition allait prendre fin, craque. Sans même savoir comment elle allait encore être punie, elle s'efondre en sanglot, ce qui n'émeut pas le directeur.
- Je comptais vous faire passer votre dernière heure au coin à l'administration, mais vous serez bien mieux dans la classe des techniques !!!
Cécile sans le sol se dérober sous ses pieds, mais le directeur l'attrappe sous le bras et la traine hors de la salle. Dans les couloirs de l'établissement seule, sa main gauche peut cacher son sexe, car le directeur tient son autre bras et marche d'un pas décidé. Cécile le supplie de ne pas l'emmener dans le batiment des techniques. Elle sait que dans cette annexes de l'établissement, il n'y a que des garçons. Elle n'a aucun contact avec ses gens là, puisque la majorité des élèves considère, comme elle, qu'ils ne méritent pas qu'on leur adresse la parole. Maintenant, il faut traverser la cours. Heureusement, elle est vide, mais elle imagine que les élèves installés près des fenêtre la voient de l'étage. Elle n'ose pas relever la tête pour vérifier et cache du mieux qu'elle peut sa toison. Plus le batiment approche, plus elle se rend compte que sa punition est inévitable, elle ne supplie plus le directeur qui, de toute façon, ne fait pas attention à elle, mais elle pleure sans pouvoir s'arrêter.
- Nous allons d'abors passer par mon bureau afin d'y déposer votre soutien-gorge.
Le ton du directeur est tellement banal, que Cécile ne peut y croire jusqu'à ce qu'elle se retrouve au milieu du bureau du directeur. Il attend visiblement qu'elle l'enlève, mais elle ne peut bouger, débout tête baissée, ses deux mains devant son sexe. Elle lève timidement les yeux vers le directeur, et le voit, les bras croisés, impatient, près à se facher. Mais aussitôt, elle baisse de nouveau la tête. Il bondit sur elle, l'agraphe de son soutien ne résiste pas longtemps aux mains du directeur, il abaisse d'un coup sec les bretelles.
- Vous allez vous décider à l'enlever maintenant ?
Cécile profite que le directeur soit toujours derrière elle pour enlever définitivement son soutien, puis cache aussitôt ses seins de son bras.
- Pour votre désobéissance, vous mériteriez de passer toute nue sur mes genoux devant les garçons ! ... Mais je vous laisse une dernière chance, avant la fessée devant tout le monde !
Ils sortent du bureau, Cécile suit le directeur dans le couloir, les portes sont ouvertes, mais elle préfère ne pas regarder à l'intérieur des bureaux. La secrétaire interompt le directeur pour lui demander quelque chose. Avant d'entrer dans le bureau, il colle Cécile contre le mur et lui impose de mettre ses mains sa tête en l'attendant. Cécile espère que personne n'entrera et la verra dans cette position. Les minutes lui parraissent durer une éternité, enfin il revient :
- J'en ai pour un petit moment ! Vous allez vous rendre dans la classe des technique toute seule, je viendrai vous y rejoindre tout à l'heure ! Je vous fait confiance, alors ne me décevez pas, où cela vous coûtera une autre punition ! Allez-y sans perdre de temps...
Cécile quitte le secrétariat et marche rapidement sur le chemin qui mêne au batiment des techniques. Quand elle entre dans le hall, elle croise un prof qui lui demande ce qu'elle fait là, ainsi. Morte de honte, elle doit tout lui dire y compris le fait qu'elle doit se rendre, toute nue, dans la classe des techniques. Il lui indique la troisième porte à gauche.
Cécile part en direction de la classe, elle sent le regard du prof se poser sur ses fesses. Avant de frapper à la porte, elle tourne la tête voit qu'il ne l'a pas quitté du regard. Sous sa main couvrant sa poitrine, elle sent son coeur battre à toute allure. Elle croit s'évanuir quand elle pose la main sur la poigné de porte, après que le prof ait dit d'entrer. Elle éclate en sanglot avant même d'entrer dans la classe. La surprise du prof et des élèves se magnifeste par un brouhara géant. Le prof comprend vite la situation et tente de calmer les élèves, tandis que Cécile reste plantée de profil, incapable de faire le moindre mouvement. Sa main gauche collée devant sa toison et sa main droite plaquée sur son sein gauche. Le directeur ne tarde pas à arriver.
- Alors Cécile, on ne vous a pas mise au coin ! C'est là que je croyais vous trouver... Avez-vous au moins expliquer à vos collègues pourquoi je suis obligé de vous emmener nue face à eux ?
Sans lever le regard, Cécile secoue la tête pour dire non.
- Alors, allez-y, mettez-vous face à tout le monde et expliquez !
Cécile fait un quart de tour et voit brièvement tous ces regards sur elle. Elle prend une grande inspiration pour ne pas s'éffondrer en sanglots et commence ses explications, mais le directeur la coupe aussitôt :
- Non, non, non Mademoiselle ! Losque l'on s'exprime devant un public, on se tient droite, on regarde les gens et on parle distinctement ! D'ailleurs, pour que tout le monde vous voit bien, montez le bureau du professeur !!
Cécile s'aide de la chaise pour monter sur le bureau en cachant l'essentiel de son intimité. Quelques larmes coulent sur ses joues quand elle commence à expliquer qu'elle est punie pour avoir saccager les toilettes durant les manifestations.
- Maintenant que vous êtes toute nue, face à ses jeunes hommes, j'espère que vous regrettez vos actes ?
Le directeur est obligé de lui reposer une seconde fois la question car Cécile ne lui répond pas. Finalement, elle préfère ne pas lui dire une fois de plus que ce n'est pas elle, et après quelques secondes de réflexion, elle avoue qu'elle regrette profondément.
- C'est déjà une bonne chose !... C'est bon vous pouvez descendre, je vais vous conduire au coin !
Cécile rejoint le directeur, il lui indique le coin à côté du tableau, face à la classe.
- Avez-vous déjà passé une heure, à genoux, au coin, les mains sur la tête et toute nue devant tout le monde ?
Tout en reniflant, Cécile fait non de la tête...
- Et bien c'est domage, c'est sûrement ainsi qu'on aurait du vous punir ! Après deux ou trois séance au coin, votre attitude aurait pu être améliorée... En tous cas, maintenant, il faut rattraper le retard, et ce n'est pas votre âge qui va m'en empêcher ! C'est la programme que je vous propose pour la prochaine heure. Allez vous mettre dans cette position, et réfléchissez aux conséquences de vos actes !!
Cécile n'a pas le choix, morte de honte, elle va se mettre dans cette position si humiliante, mais à peine installée, le directeur s'approche d'elle.
- Pas comme ça Cécile ! Je veux que vous assumiez votre punition et vos actes pleinement. Et vos fesses ont déjà été assez vu aujourd'hui ! Maintenant, c'est tout ce que vous avez caché que vous allez offrir... Retournez-vous face aux garçons et restez ainsi jusqu'à la fin du cours !
Cécile n'en croit pas ses oreilles, quand elle réalise la situation, elle s'effondre totalement. Ses bras tombent de sa tête et ses fesses se posent doucement sur ses talons. Ses mains viennent cacher son visage, mais ne peuvent cacher les pleurs qu'elle ne peut plus contenir.
- Dépêchez-vous Cécile ! Bien droite, les mains sur la tête !
Elle ne peut se résoudre à faire l'inévitable, mais le directeur insiste :
- Cécile ! Cherchez-vous vraiment à recevoir la fessée ?
Elle sait maintenant qu'elle n'a plus le choix. Elle se lève doucement et se retourne sans enlever les mains de son visage. Ses sanglots redoublent quand elle est face à la classe et un frisson lui parcourre le corps quand elle entend la réaction des garçons.
- J'ai dit à genoux Cécile ! Et arrêtez de cacher votre visage, vous devez assumer jusqu'au bout !
Le directeur doit lui donner deux petites claques pour qu'elle lève ses fesses et se remette droite et doit poser lui-même ses mains sur sa tête.
Pendant toute l'heure Cécile ne peut relever la tête. Elle sent les regards se poser sur sa jolie poitrine mais ce qui la gêne le plus, c'est d'exhiber son intimité recouvert d'un duvet de poils blonds qui ne peut cacher la fente de son sexe. Elle imagine les commentaires dont elle fait déjà l'objet dans la classe, mais aussi ceux qu'elle devra subir dans les jours suivants.
A la fin de l'heure, elle est autorisée à se relever. Elle ne sent plus ses genoux tellement ils lui font mal, elle ne peut résister de mettre ses mains devant elle pour cacher son sexe. Elle reste ainsi, près de la porte et doit saluer un à un chacun des élèves, puis elle est raccompagnée à l'administration. L'heure de la sortie a sonné, et elle préfère ne pas reconnaitre les élèves et les profs qu'elle croise sur le chemin. Arrivée à l'administration, elle va discrètement jusqu'à la porte du bureau du directeur et frappe. Mais elle constate que le directeur est absent et que le bureau est fermée. Elle attend un instant et se retourne face à la porte, quand elle entend quelqu'un arriver dans le couloir. C'est Caroline qui vient elle aussi récupérer sa jupe. La secrétaire la voit passer et lui dit d'entrer dans son bureau :
- Monsieur le directeur m'a laissé votre jupe et les vêtements de Cécile !
En entendant ça, Cécile se précipite elle aussi dans le bureau, malgré la présence de trois personnes et enfile avec hâte ses vêtements, pour quitter l'établissement le plus rapidement possible.