vendredi 18 octobre 2019

la gazette 6

Le lendemain matin, Caroline arrive un peu plus tôt pour se rendre dans le bureau du directeur. Comme prévu, il lui fait retirer son haut et sa jupe. Caroline le fait, tandis que le directeur rougit de colère.
Sous son haut elle a mis une brassière en coton et sous sa jupe un collant opaque qui ressemble plus à un leggings. Elle ressemble plus à quelqu'un qui va faire du sport qu'à une élève punie en sous-vêtements.

- Vous vous moquez de moi Caroline ?

Le directeur se rue sur Caroline, sans qu'elle n'ait le temps de bouger.

- ça c'est pour vous apprendre à vous vous manquer de moi...

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le directeur s'assoit sur une chaise et bascule Caroline sur ses genoux. Sa culotte et son collant lui sont descendu d'un coup, ensemble. Et les claques arrivent sur ses fesses avec une cadence infernale. Cette fessée n'a rien à voir avec celle que le directeur lui a donné précédemment. Les claques sont plus dures, elles lui arrachent les larmes dès le début. En à peine une minute, Caroline doit encaisser une centaine de claques. Ses fesses et la haut de ses cuisses sont bien rouge, elle se les frotte en se relevant tout en sautant d'un pied sur l'autre, sans se soucier de sa culotte baissée.

Le directeur ne lui laisse pas le temps de s'en remettre, il lui attrape l'oreille et la dirige vers la sortie alors qu'elle est encore secouée par les sanglots. Caroline suit le directeur qui l'emmène d'un pas décidé. Tout en marchant, elle essaie de se libérer du bras du directeur qui lui tient toujours l'oreille, et remonte tant bien que mal sa culotte. Il l'emmène ainsi jusqu'au préau, quelques élèves sont déjà là, mais la majorité va arriver dans quelques minutes.

- Mettez vous face au mur jusqu'à la sonnerie !

Cette fois-ci, Caroline n'a pas le choix d'être beaucoup plus visible que le coin qu'elle avait choisi la veille. Le directeur lui prend les poignets et lui plaque ses deux mains au dessus de sa tête.

- Non... non pas ça s'il vous plait !!!

Le cri de désespoir de Caroline alerte les élèves qui ne l'avaient pas encore vu, mais n'attendris pas le directeur. Il baisse dans un premier ses collants puis sa culotte. Il s'applique pour que les deux soient complètement descendus sur ses chevilles.

- Voilà ! Fesses à l'air devant tout le monde ! Se sera votre position et votre tenue pendant les pauses aujourd'hui. Je veux que vous veniez ici et que vous baissiez votre culotte à chaque fois ainsi, c'est bien compris ??

Alors que le directeur s'éloigne, certains élèves se rapprochent de Caroline. Elle se rapproche du mur et essaye de faire abstraction des gens qui sont derrière elle.
Dès que la sonnerie retentit, elle remonte à la hâte sa culotte et se dirige vers son cours.

A la pause, elle n'est pas pressée de retourner sous le préau, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle s'y rend péniblement, et en arrivant elle se dit que finalement, elle aurait du se dépêcher vu le monde déjà présent. Elle retourne jusqu'à sa place en se demandant si elle sera capable de se déculotter devant tout le monde. Mais à peine arrivée, elle descend ses collants et sa culotte sous ses fesses et pose ses mains au dessus de sa tête, en priant pour que les vingt minutes passent le plus vote possible.
Certains constatent que ses fesses sont beaucoup moins rouge que le matin, ce qui lui vaut des commentaires du style : il lui faudrait une autre fessée, pour que ses fesses retrouvent leur couleur...

Le midi alors qu'elle est seule à sa table, le directeur vient la voir :

- Lorsque vous aurez terminé votre repas, vous viendrez me voir...

Caroline se demande ce qu'il lui veut encore, mais doit se résoudre à le retrouver à sa table après son dessert.
Il se lève quand il la voit arriver, et prend un tabouret, qu'il met au bord de l'estrade qui surplombe la salle de restaurant des élèves.

Mettez-vous à genoux dessus ! Les fesses tournées vers vos camarades.

Caroline s'agenouille sur le tabouret, ses pieds étant dans le vide, elle sait que cette position sera très inconfortable pour elle. Et elle sait aussi qu'elle devra y rester jusqu'à la reprise des cours dans presque une heure. Sans que le directeur ne lui dise, elle pose toute seule ses mains au dessus de sa tête, comme si cette position était maintenant naturelle. Face à elle, il y a la table des professeurs. Elle baisse les yeux après avoir croisé le regard de son prof de Maths.
Le directeur ajuste sa position, pour qu'elle soit bien droite en appuyant sur son dos et en tirant en arrière ses épaules.
Caroline ferme les yeux ce qui n'empêche pas ses larmes de s'échapper, quand elle sent les pouces du directeur s'insérer sous l'élastique de son collant. Il lui baisse jusqu'en bas des cuisses, sa culotte suis le même chemin aussitôt, et elle se retrouve le bas du ventre nu face aux professeurs.

Elle doit rester ainsi sans bouger, le temps lui parait interminable, elle n'a de réconfort que de sa prof de sport, qui lui souhaite bon courage en passant à côté d'elle après avoir quitter la table. Les autres ont l'air satisfait de sa punition.

A la fin de la journée, elle retrouve le directeur dans son bureau pour remettre ses vêtements.

- Vu votre tenue d'aujourd'hui, vous aurez une journée supplémentaire de punition demain. J'attends de vous une tenue plus adaptée à votre punition ! Une tenue qui me fera prendre conscience que vous avez compris pourquoi vous êtes punie et que vous l'acceptez...
A demain, 8H !

Caroline quitte le bureau tout en sachant qu'une autre longue journée l'attend le lendemain.






jeudi 10 octobre 2019

La gazette 5

Dès que la première claques s'abat sur ses fesses Caroline et les élèves comprennent que le professeur  ne va pas retenir sa main. Le bruit résonne dans la classe. Au bout de la troisième claque Caroline crie, elle a du mal à tenir en place. Elle plie les genoux entre chaque claque, puis essaye tant bien que mal de se remettre en position pour la prochaine. Le professeur prend son temps pour appliquer les claques. Ses fesses sont bien rouge autours de sa culotte.
Lorsqu'il arrête Caroline est en sanglots. Elle se redresse doucement, alors que le prof autorise les élèves à sortir de la classe. Personne n'est pressé de partir, la classe met du temps à se vider. Caroline renifle, ses mains cachent son visage. Le prof referme la porte après le dernier élève et revient vers la chaise pour s'assoir dessus.

- Tu as de la chance que je ne t'ai pas baissé ta culotte devant tout le monde ! Tu le méritais amplement !

Il attrape Caroline par le bras et la force à se mettre sur ses genoux. Il lui donne une claque par dessus sa culotte ce qui la fait sursauter. Puis il glisse l'élastique sous ses fesses, il y a une différence de couleur entre la partie protégée par sa culotte et le reste de ses fesses.
Le prof s'applique à uniformiser sur toute la surface, il lui bloque les mains dans le dos et lui donne la fessée. Beaucoup plus rapide que précédemment, mais avec autant de vigueur. Caroline crie, se débat sans pouvoir s'échapper, ses fesses lui brulent mais elle ne peut éviter la déferlante. Elle reçoit une cinquantaine de claques en peu de temps. Ses jambes la tiennent à peine lorsque le professeur la relève. Il lui fait demi tour pour constater la rougeur, Caroline ne peut s'arrêter de pleurer. Il descend sa culotte plus bas à mi cuisses.

- Va au coin, mains sur la tête pour te reprendre !

Elle reste au coin quelques minutes, le temps de s'arrêter de pleurer, elle a l'interdiction de se frotter les fesses malgré les picotements.

- Remonte ta culotte, mais laisse tes collants comme ça ! Je vais te conduire à la cantine et je ne veux pas que ton collant cache tes fesses rouge. Tout le monde doit voir que tu as reçu une bonne fessée.

Le prof l'emmène jusqu'à la cantine, avant d'entrer, il réajuste son collant. Il l'enroule juste sous sa culotte. Caroline ne peut contenir ses larmes en entrant. Elle sait que toute la journée, elle devra affronter les regards sur elle comme ceux qu'elle a en ce moment...

mardi 8 octobre 2019

La gazette 4

A chaque passage de porte, Caroline appréhende. Quelqu'un pourrait se trouvait derrière. Plus ils s'approchent de sa salle de classe, plus son coeur s'affole. Arrivés devant la porte Caroline le retient d'ouvrir.

- S'il vous plait, je vous en prie... Ne me faites pas entrer !!

- Mais je n'ai pas le choix Caroline... Et puis il faut assumer vos actes. Et rappelez vous de ce que vous a dit le directeur. A votre place je ferais ce qu'on me demande sans discuter, sinon ce sera pire pour vous.

Le surveillant s'apprête à enclencher la porte.

- Souvenez-vous de ce que le directeur vous a dit. J'imagine que vous ne souhaitez pas vous promener les fesses à l'air...

Il ouvre la porte, tout le monde se lève lorsqu'il entre.

- Caroline, allez vous assoir à votre place.

Caroline entre rouge de honte, elle ne peut retenir ses larmes en passant dans les rangs. Tous sont surpris de la voir ainsi. Quelques sourires s'affichent sur les lèvres des garçons, certaines filles paraissent choquées. Caroline se cache le visage après s'être assise à sa place. le surveillant échange quelques mots avec la prof et sort de la classe. Le cours reprend presque normalement, même si les regards se dirigent souvent vers Caroline.

A la fin du cours, Caroline n'est pas pressée de sortir, elle rassemble ses affaires et sort quand la classe est vide. Mais dans le couloir il y a du monde, certains sont même restés à attendre. Elle passe en regardant le sol, sans prêter attention aux commentaires et en essayant de ne pas avoir de réaction lorsque qu'une mains effleure ses fesses. Elle croise le surveillant qui lui rappelle d'aller sous le préau. Comme si elle aurait pu oublier. Elle s'y rend en priant pour que la pause passe le plus vite possible.
Elle choisit le coin le plus à l'abris des regards, entre deux armoires de casiers et s'y installe comme le directeur lui a dit.
A la sonnerie elle se lève, pour retourner en cours, ses yeux sont embuées par ce qu'elle a entendu derrière elle.

Elle sait qu'elle va devoir affronter le prof de Maths, pendant deux heures. Elle se demande comment il va réagir maintenant qu'il sait que c'est elle qui a écrit ça. Elle a honte d'elle même. En montant les escalier, elle constate que le prof de Maths est accompagné du directeur et il se dirigent vers la classe.
Caroline entre et commence à se diriger vers sa place.

- Caroline ! Venez ici !

Elle se retourne le coeur battant et va les rejoindre sur l'estrade. le directeur attend patiemment que tout le monde s'installe et que le silence se face. Puis sans rien dire, il ouvre le tableau. Caroline le regarde et ses joues s'empourprent quand elle voit ce qu'il y a d'écris dessus.

- Voilà ce que votre chère camarade a écrit sur votre professeur de Mathématiques...
- Caroline, lisez votre ouvre à haute voix !

Caroline commence à lire timidement.

- Plus fort !!

Elle hausse la voix, et au fur et à mesure de sa lecture, elle a de plus en plus de mal à lire. Elle finit son récit en larmes.

- Oui, vous pouvez être fière de vous Mademoiselle... Effacez vos cochonneries !!!

Tandis qu'elle s'empresse de passer l'éponge sur le tableau, le directeur va chercher une chaise qu'il installe au centre de l'estrade face au tableau.

C'est ici que vous suivrez le cours ! Votre professeur s'occupera de vous à la fin du cours pour l'avoir offensé...

Le prof accompagne le directeur et referme la porte sèchement derrière lui.

- Asseyez-vous, Caroline !

Le ton est sans appel, Caroline s'assoit sur sa chaise. Tout le monde comprend que le prof n'est pas d'humeur.

- Bien droite !

Caroline se redresse visiblement assez impressionnée par l'attitude du prof.

- Pose tes deux mains au dessus de ta tête !!

Caroline hésite un cours instant et fait ce que le prof lui impose. Elle se sent rougir d'être ainsi devant tout le monde, heureusement personne ne la voit de face et elle ne peut voir personne ce qui lui va bien.

- Je te préviens que si tu bouges d'un millimètre, tu auras affaire à moi !!!

Le ton est sans appel, pendant tout le cours Caroline reste bien droite et ne bouge pas. Le cours lui parait interminable, ses bras la font souffrir, elle a mal au dos mais elle résiste le plus possible. Le prof termine la correction d'un exercice et arrête son cours dix minutes avant la fin.

- Vous pouvez tous ranger vos affaires, le cours est terminé pour aujourd'hui, mais restez à vos places. Toi Caroline debout ! Et garde tes mains sur ta tête.

Caroline se lève sans se retourner.

-Vu ton attitude à mon égard, le directeur m'a laissé le soin de te punir !! Passe derrière la chaise...

Tandis que Caroline recule à petits pas pour se mettre derrière le dossier de la chaise, le prof continue :

- Le directeur m'a dit que tu as déjà reçu une fessée ce matin, c'est bien ça Caroline ?

Au comble de la honte Caroline doit avouer qu'elle a bien été punie ainsi.

- J'ai trouvé que c'était une excellente punition et je vais t'en donner une autre maintenant ! Voilà ce qui va se passer, la première sera sur ta culotte devant tes camarades et quand tout le monde sera sorti, je vais t'en donner une deuxième sur tes fesses nues, pour que tu la sentes bien passer !

Caroline fond en larmes alors que la classe réalise petit à petit ce qui va se passer. Des chuchotement s'élèvent, des sourires s'échangent, certains élèves restent perplexe ne réalisant pas complètement.

- Baisse tes collants Caroline !

Sans réfléchir d'avantage, elle passe l'élastique de ses collants sous ses fesses alors que le prof s'approche d'elle. Il lui baisse d'avantage pour qu'il arrive au niveau de ses genoux.