mardi 21 juin 2016

Excès de vitesse

Caroline prend ses fonctions dans sa nouvelle agence ce matin. Comme d'habitude, elle est en retard. Sur le trajet, elle accélère un peu plus. Elle ne peut pas se permettre d'être en retard dès le premier jour. Ses collègues et son chef avaient auparavant l'habitude, mais là elle en connait personne.
Son sang ne fait qu'un tour lorsqu'elle voit un gendarme dans le milieu de la route. Elle sait qu'elle roulait trop vite. Quelques kilomètres heure au dessus, mais en agglomération ça ne pardonne pas. Une amende et encore deux points de moins. Elle fait rapidement le calcule et se reproche de ne plus en avoir que quatre. Mais ce qui l'inquiète le plus, c'est que vingt minutes se sont passées, et maintenant, elle est largement en retard. Elle a entendu son téléphone sonner plusieurs fois, mais n' pas osé répondre.

En sortant de la voiture, elle court vers l'agence en écoutant ses deux messages. C'est son nouveau directeur qui lui demande des explications sur son retard. Le deuxième message est beaucoup moins courtois, elle se fait incendier de reproches. Elle coupe son portable, entre dans l'agence et découvre ses deux nouveaux collègues :
- Vous êtes Caroline ? Le directeur vous attend dans son bureau...

En plus de dix ans de carrière, elle n'a jamais pris un soufflante comme celle-là. Elle n'avait pas le temps d'en placer une. Elle avait du faire des efforts considérables pour ne pas se mettre à pleurer devant lui.
Lorsqu'elle ressort du bureau ses collègues baissent la tête. Elle s'enferme dans le sien, et tente de ses mettre au travail et d'oublier ce mauvais moment. Elle aurait préféré une meilleure entrée en matière pour son nouveau poste.

A midi, elle quitte le bureau pour rentrer chez elle. Comme à chaque fois, elle a un tas de choses à faire et lorsqu'elle regarde la pendule, il est déjà 13h10. Elle reprend à 13h30. Elle se fait chauffer un plat et mange sur le pouce pour repartir au travail. Dix minutes plus tard, elle prend ses clefs et son portable et constate avec horreur que l'heure affichée dessus annonce 13h40. La pendule s'est arrêtée, et elle ne s'en est pas rendu compte.

Elle démarre en trombe pour arriver le plus rapidement possible au bureau. Au même endroit que ce matin, un gendarme l'interpelle.
Elle est dépitée en ouvrant la fenêtre.
- Vous faites fort vous ! Deux fois dans la même journée...
Au bord des larmes, Caroline lui explique qu'elle est encore très en retard, que c'est sa première journée dans son nouveau travaille et que déjà ce matin, son chef l'a réprimandée fortement.
Le gendarme lui prend son permis et lui explique qu'il y a un retrait immédiat ainsi que 4 points de retirés. Caroline comprend que son permis est tout simplement annulé. Tout s'écroule, elle en a vraiment besoin pour travailler et dit au gendarme que ce n'est pas possible. Le gendarme lui dit de sortir de la voiture et part vérifier son permis. Caroline en profite pour appeler l'agence. Son collègue lui répond et lui dit que le chef n'est pas encore rentré. A moitié rassurée, elle raccroche et voit le gendarme revenir.
- Vous avez commis un délit de grand excès de vitesse en agglomération, j'imagine que vous connaissez les conséquences !
- De plus, j'ai vu que vous n'aviez plus de point sur votre permis...
Caroline s'appuie sur sa voiture pour ne pas défaillir et demande timidement si il peut oublier l'incident.
Le gendarme hausse le ton et demande si elle ne cherche pas à le corrompre. Caroline répond "non" de la tête et baisse les yeux sachant qu'elle n'obtiendra pas sa clémence.
- Vous finissez à quelle heure votre travail ?
- 18 heure !
- Bon, alors, j'ai quelque chose à vous proposez ! Je garde votre permis, et vous laisse repartir. Et après votre travail, vous vous présentez à la gendarmerie. Vous aurez quelques papiers à signer, puis en échange d'une bonne punition et quelques remontrances, je vous laisserez repartir avec votre permis et cet incident sera oublier.
Sans réfléchir d'avantage, Caroline accepte sans condition. Elle repart et lorsqu'elle arrive à son travail, elle constate avec soulagement que son chef n'est pas rentré. Elle se met vite au travail comme si de rien n'était.

A la fin de la journée, elle se rend à la gendarmerie avec une certaine appréhension. Quand elle se présente, une femme gendarme l'accueille dans un bureau et lui demande quelques signatures. Pressée par la gendarme, Caroline ne lit pas tout et signe. Elle lui demande son sac et lui dit d'éteindre son portable. Caroline pense à son mari et demande à l'appeler pour ne pas qu'il s'inquiète de son retard.
- ça ne sera pas très long, si vous faites tout ce qu'on vous dit !
La gendarme lui prend son portable des mains, elle range son sac et lui demande d'enlever sa veste.
Sans comprendre Caroline la retire et se laisse manipuler alors que la gendarme lui fait une palpation rapide. Ses mains lui sont tirées derrières le dos et elle sent le métal froid des menottes sur ses poignets. Caroline a un mouvement de protestation, mais déjà ses mains sont attachées.
- Désolée, c'est la procédure pour les garde à vue !
Caroline n'en croit pas ses oreilles, elle demande des explications mais n'obtient pas de réponses. La gendarme lui tient le bras et la conduit hors du bureau, elles traversent l'accueil tandis que Caroline baisse la tête, subjuguée par la honte. Lorsqu'elles s'arrêtent, elle relève la tête et constate que la gendarme ouvre une cellule à barreaux dans laquelle elle va être enfermée. Les menottes lui sont enlevées, la porte se referme derrière elle et la gendarme s'éloignent sans autres explications.
Caroline marche dans la petite cellule, il y a juste une petite banquette accolée au mur, les autres côtés sont fait de barreaux. Une autre cellule est accolée, juste séparées de barreaux, dans laquelle un homme, visiblement en état d'ébriété est enfermé. Dans le fond, c'est l'accueil de la gendarmerie où l'activité bat son plein.
Caroline s'assoit sur la banquette et prend sa tête dans ses mains. Elle reste de longues minutes ainsi n'osant croire ce qu'il lui arrive. Quand elle relève la tête, elle constate que l'homme à côté a soudainement pris conscience de sa présence, il est au barreaux en train de la regarder, ne comprenant visiblement pas pourquoi une jeune femme bcbg, peut être enfermée dans cette cellule.
Caroline détourne le regard, elle ne souhaite pas engager la conversation avec cet individu et ne répond pas quand il lui demande pourquoi elle est là. Après plusieurs tentatives, elle lui demande sèchement de la fermer et de l'oublier, ce à quoi il lui répond par des insultes.

Quand la gendarme revient vers elle, Caroline se lève d'un bond. Elle lui tend une lettre pliée en deux et lui dit de lire et de signer. Caroline s'empresse de la lire, elle pâlit en lisant chaque ligne. Le premier paragraphes est consacrés aux faits et à la sanction qui est normalement prévues. Le deuxième indique que tous les faits seront annulés et remplacés par l'acceptation et l'application immédiate de la  sanction citée en troisième partie.

La sanction prévoit un rappel des risques de la conduite dangereuse et un cours donné par un gendarme sur la conduite à adopter. Cette sanction sera appliquée immédiatement après la sanction principale.
Caroline n'en croit ses yeux, tout est clairement indiqué, si elle signe, elle accepte de recevoir une fessée par dessus ses sous vêtements, suivies de dix coups de strappe sur ses fesses nues. Il est aussi précisé que pour des raisons de pérennité des bienfaits de la sanction dans le temps, la fin de la punition sera donnée quand la contrevenante sera toute nue.

Prise de colère, elle déchire la lettre et profère des insultes en criant. Lorsqu'elle est calmée, elle s'assoit sur la banquette. la gendarme revient avec une nouvelle lettre.
- Je vous l'ai réimprimée ! C'est la dernière fois ! Si vous recommencez, on vous garde la nuit pour insulte à agent...
La gendarme la dépose sur le sol et tourne le dos. Caroline se lève d'un bond pour retenir la gendarme et espérer sa clémence.
- Je ne peux pas signer ça ! Vous avez lu ce qu'il y a dedans...
Sans se retourner, la gendarme lui répond :
- C'est moi qui l'ai écrit ! Vous faites ce que vous voulez, mais après ce que vous avez fait et dit, je vous conseille de signer...

Caroline relit la lettre une nouvelle fois et hésite un long moment. Dans le fond, elle constate que la gendarmerie ferme, quelques gendarmes se saluent et sortent, l'homme à côté s'est allongé sur la banquette. La gendarme qui l'a prise en charge s'apprête à sortir à son tour, Caroline l'interpelle pour la retenir.
- Dites-moi ce qu'il va se passer ?
- Tout est écrit dans la lettre, je peux rien vous dire de plus...
- Si je signe, c'est vous qui...
Caroline n'ose pas aller plus loin, mais la gendarme comprend.
- Non, mais si vous signez, je reste pour vous accompagner !

Caroline hésite encore et prend son courage à deux mains pour signer la papier. La gendarme emporte la lettre puis revient avec une chaise. Elle ouvre la cellule et la dépose au milieu. Caroline demande des explication, mais elle reste toujours aussi énigmatique et ressort de la cellule en silence.

Deux minutes plus tard, la gendarme revient accompagnée par les deux gendarmes qui l'ont arrêtée. Le premier se dirige vers la cellule d'à côté et frappe au barreau avec sa matraque pour le réveiller.
- La jeune femme à côté va être punie, vous préférez être transférer ou rester dans cette cellule ?
L'homme se relève sans comprendre totalement ce qui arrive et répond qu'il veut rester couché.
Caroline ne réalise pas tout de suite, ce n'est que quand les trois gendarmes entrent dans la cellule et referme la porte derrière eux qu'elle réalise.
- On ne va pas dans un bureau ?
- Non, vous ne sortez pas de la cellule avant la fin de votre punition !
- Ok, j'ai signé et j'accepte ce qu'il y a de notifié. Mademoiselle peut rester, je serai plus rassurée. Mais il n'y aura qu'un de vous deux pour la sanction, et pas ici et surtout pas de vent lui.
Caroline est surprise par tant d'autorité, tout est sorti d'un coup sans qu'elle en ait conscience. Mais son engouement est de courte durée.
- C'est ici, et en présence de nous quatre ! Sachez que si on vous punit ainsi, c'est justement pour que vous ayez honte...
Tout en finissant sa phrase, il frappe au barreaux pour s'adresser à l'homme à côté :
- Et vous, levez-vous et venez par ici c'est votre jour de chance...
Caroline voit l'homme arriver aux barreaux, tandis que le gendarme s'assoit sur la chaise et l'attrape par le bras.
- On va commencer doucement, par la fessée jupe relevée !
Caroline doit s'allonger en travers de ses genoux. Elle ferme les yeux lorsqu'elle sent sa jupe remonter le long de ses jambes. Le gendarme la retourne sur son dos en prenant tout son temps et en admirant ses fesses moulées dans une culotte en satin noir. il la replace sur ses genoux de façon à ce que ses pieds ne touchent plus le sol et que ses fesses soient remontées. Elle est obligée de poser ses mains par terre pour ne pas tomber en avant. Un frisson la traverse quand elle sent la main du gendarme se poser sur sa peau nue, entre sa culotte et la lisière de ses bas.
Puis la main se lève et vient s'écraser sur ses fesses. Le gendarme donne une claque sur chacune tour à tour. Les fesses sont protégées en parties par la culotte mais la zone mise à nue rougit très vite. Le gendarme s'applique justement à donner la fessée au niveau de l'élastique de sa culotte.
Caroline n'a pas rouvert les yeux, et reçoit sa fessée sans protestez, subjuguée par la honte d'être punie et par la fait d'avoir la jupe relevée devant tout ses gens.
- Je vais baisser votre culotte !
Caroline se prépare psychologiquement, tandis que le gendarme passe ses pouces sous l'élastique de chaque côté de sa taille. Il dénude ses fesses, Caroline a du mal à avaler sa salive. Il descend sa culotte, et tire plus sèchement dessus, car le devant reste coincé entre Caroline et ses cuisses. La gêne ne dure pas longtemps et il descend sa culotte au niveau de ses genoux.
La fessée reprend sur ses fesses nues, mais pas pour longtemps. Le gendarme relève Caroline, sa jupe retombe et sa culotte glisse jusqu'à ses chevilles.
- Débarrassez-vous de votre culotte et enlevez votre tee-shirt !
L'ordre et sans appel, Caroline lève un pied puis l'autre pour laisser sa culotte au sol puis hésite avant de passer son tee-shirt au dessus de sa tête. Elle se retrouve en soutien-gorge noir au milieu de la cellule.
Le gendarme se lève et lui indique la chaise.
- Posez vos coudes sur l'assise, jambes tendues et je ne veux pas vous voir bouger !
Caroline se met dans la position demandée. Aussitôt sa jupe lui est relevée sur le dos découvrant pleinement ses fesses serrées. Puis le gendarme se ravise et la rabat, il décide de lui baisser. Il descend la fermeture et la jupe tombe en corolle autours de ses chevilles.
Il pose sa main au creux de ses reins et lui assène une claque sèche. Tout le corps de Caroline se crispe et elle relève d'un coup la tête. Une autre claque arrive encore plus forte, puis une troisième. Caroline se retient de crier, mais elle ne peut contenir des petits gémissements.




vendredi 17 juin 2016

Vol d'alcool

Caroline est assise dans le couloir depuis déjà une demi-heure. Elle n'ose pas relever la tête, tellement elle a honte. Le vigile ne la quitte pas des yeux depuis qu'il la surprise. Juste à côté d'elle, son copain de lycée, lui semble plus calme, il doit être plus habitué. Elle se demande comment elle a pu se laissé embarquer par ce mec. Tout pour des bouteilles d'alcool, qu'ils avaient transvidées dans des bouteilles d'eau pour passer à la caisse...
Ses parents ont été mis au courant et sa mère ne devrait plus tarder. Elle sait qu'ils seront forcément furieux, mais surtout extrêmement déçus ce qui la fait culpabiliser encore plus. Elle sait aussi qu'elle sera punie très sévèrement.
Quand elle voit sa mère arriver au fond du couloir, elle se lève et veut se diriger vers elle, mais le vigile la retient. Sans aucune explication, elle s'approche d'elle et lui flanque deux gifles qui font monter aux yeux les larmes de Caroline.
Le vigile les prie d'entrer dans le bureau du directeur. Il les suit de près et avant de fermer la porte, il attrape le copain de Caroline et le force à entrer aussi pour le garder à l'oeil.
Aussitôt la mère de Caroline demande des excuses au directeur, elle s'assoit sur la chaise que lui présente le directeur et celui-ci lui relate les faits. Caroline, elle, doit rester debout, à côté et doit subir les regards accusateurs de sa mère pendant toute la durée du récit.
Quand le directeur a finit de lui raconter tout ce qui s'est passé, la mère de Caroline demande à nouveau des excuses au nom de sa fille et prie le directeur de croire qu'elle aura une sévère correction dès son retour à la maison. Le visage de Caroline s'empourpre ce que le directeur remarque aussitôt, et en profite pour demander plus de renseignement sur cette correction. La mère de Caroline hésite un instant, puis annonce clairement ce qu'elle envisage :
- Je crois qu'elle a mérité une bonne fessée ! ça fait quelques années qu'elle n'en a pas reçu, mais vu les faits cela me semble nécessaire...
Caroline met ses mains devant son visage tellement la honte l'envahit. De plus en plus intéressé, le directeur demande des explications :
- Est-ce que vous allez la déculotter ?
Une nouvelle fois, sa mère hésite, mais répond finalement que oui.
Le directeur n'est pas le seul à être intéressé, le vigile et le copain de Caroline s'intéressent de plus en plus à la conversation.
- Pourquoi attendriez-vous d'être rentrées ?
- Je ne pense pas que son attitude mérite d'attendre votre retour...
- J'ai un marché à vous proposer... Je devais appeler la police et porter plainte, mais je ne le fais pas si je suis sûr que votre fille est bien punie et surtout qu'elle ait bien compris le message...
- Mais pour cela, vous la punissez tout de suite !
Caroline regarde sa mère horrifiée et fait non de la tête.
- Nous oublions tout si elle reçoit la fessée de suite ?
Le directeur lui promet qu'il n'y aura pas de suite, tandis que Caroline supplie sa mère de ne pas accepter ce chantage...
Sans se préoccuper d'elle, elle essaie de négocier :
- Comme je vous l'ai dit, cela fait quelques années que Caroline n'a pas été punie ainsi... Les choses ont changé, c'est une jeune femme maintenant, donc pour sa pudeur je vais la fesser par dessus sa culotte.
- J'imagine qu'elle allait au coin après la fessée ?
- Oui bien sûr.
- Et elle y allait les fesses nues ?
La mère de Caroline acquiesça une nouvelle fois, tandis que Caroline ne supportait plus qu'on évoque ses punitions ainsi.
- Vous avez raison, votre fille est devenue une jeune femme, ses courbes sont magnifiques et devraient rester cachées en temps normal. Cependant je ne vois pas pourquoi la punition devrait être modifiée. Vous avez dit vous-même que si vous l'aviez punie chez vous, vous l'auriez déculottée. Elle ne mérite pas tant de considération, si vous la punissez ici c'est avec la culotte baissée.
- Je suis même certain, que d'exposer ses fesses sera un plus pour la punition. Et je vais même aller plus loin, nous allons profiter de son âge avancé pour lui donner une bonne leçon. En plus de la douleur sur ses fesses et la honte d'être punie ainsi devant tout le monde, elle va devoir assumer la honte de montrer ses charmes. Non seulement ses fesses nues puisque vous allez la déculotter, mais aussi sa toison qu'elle ne devra pas cacher.
- Ensuite, je la garderai l'après midi au coin, culotte baissée mais aussi avec les seins à l'air. Elle ne devra rien cacher, j'y veillerai personnellement. Quand à mes visiteurs, je me charge de leur expliquer pourquoi ses fesses sont si rouge !
Après un long moment d'hésitation, la mère de Caroline défait le ceinturon de son jeans...

Préparation de la boom

L'année scolaire était bientôt terminée. Les cours se faisaient plus rares, et les élèves avaient organisés une petite fête. Chacun apporterait quelque-chose pour la petite soirée qui devait se faire dans la parc voisin. Personne ne voulait s'occuper le l'alcool, car celui-ci était rigoureusement interdit dans l'établissement. C'est par tirage au sort que Manon, Cécile et Caroline ont été désignées.
Elles avait pris des sacs pour aller acheter ce qu'il faut sur leur heure libre. Avant de revenir au lycée, elles s'étaient arrêtées pour gouter quelques verres.
Elle n'en menaient pas large en entrant dans l'établissement. Il fallait pourtant juste aller les cacher dans un endroit sûr jusqu'au soir. Le coeur des filles fait un bond quand au bas d'un escalier, elles aperçoivent le directeur passer. Manon en loupe la dernière marche et s'étale de tout son long créant un vacarme à cause des bouteilles cassées. Cécile et Caroline deviennent livides, Manon, constate les dégâts. Le liquide coule de son sac et délivre une odeur qui ne laisse aucun doute sur sa nature. Déjà les pas ont redoublé dans le couloir, les filles se regardent sans bouger alors que le directeur arrive dans l'embrasure de la porte. Manon se relève et dit tout bas aux deux filles qu'elle est désolée et tente d'essorer sa robe maculée de whisky. Le directeur ouvre le sac et découvre les bouteilles. Sans rien dire, il prend le sac de Caroline et découvre encore deux autres bouteilles. Des larmes coulent sur les joues de Cécile quand il ouvre son sac. Elle imagine déjà quelle punition elle auront. Le directeur sort des bouteilles déjà entamées. Il rassemble toutes les bouteilles.
- Quand vous aurez nettoyer tout ça, je veux voir dans mon bureau !!!
Il s'en va avec ses bouteilles, puis revient sur ses pas :
- Manon, vous sentez le whisky à plein nez. Donnez-moi votre robe !
Manon cherche de l'aide auprès de ses amies, puis supplie le directeur de regard.
- Ne commencez pas comme ça ! Quand vous recevrez votre fessée vous n'aurez ni votre robe ni votre culotte, alors dépêchez-vous !
Manon essuie sa robe et discute sur le fait qu'elle ne sent rien et qu'elle ne va pas rester en sous-vêtements, mais le directeur excédé s'approche d'elle. Il l'attrape par le bras et commence à relever sa robe. Manon se débat et alors que sa robe est déjà au dessus de sa culotte, elle crie au directeur de la lâcher et qu'elle va l'enlever elle-même.
- Trop tard, je vous l'ai demandé une fois... La prochaine fois, vous obéirez aussitôt !
Il passe sa robe au dessus de sa tête, puis aussitôt baisse sa culotte sous ses fesses et lui donne quelques claques.
- Vous avez un quart d'heure pour tout nettoyer et après je vous veux toutes les trois dans mon bureau !
Dès le départ du directeur les filles s'organisent pour tout nettoyer, sauf Manon qui s'enferme dans les toilettes pour que personne ne la voit ainsi.  Caroline va chercher des serpillères et en dix minutes plus rien n'est visible. Elles attendent que le couloir soit vide pour faire sortir Manon puis se précipite vers le bureau du directeur.
En entrant, elles voient les deux bouteilles entamées posées sur le bureau. La colère du directeur n'est pas redescendue :
- En plus de faire entrer de l'alcool dans l'établissement, vous vous permettez d'en consommer pendant vos heures !
Manon se disculpe aussitôt en disant qu'elle n'a rien bu contrairement aux deux autres et qu'elle ne voulait pas aller dans la réserve de la cantine chercher des verres et du soda.
Le directeur se tourne vers Cécile et Caroline qui ne peuvent pas nier les faits. Elles ne comprennent pas pourquoi Manon a dit tout ça et regrette de l'avoir laissé aller dans les toilettes. Caroline lui jette un regard qui en dit long.
- Caroline ! C'est la deuxième fois que vous entrez par effraction dans une salle... J'en déduis que la première punition ne vous a pas suffit ! Nous réglerons ça plus tard ! Manon, comme vous êtes déjà presque en tenue, venez ici !
Le directeur s'installe sur une chaise et tape sur ses genoux. Manon a très bien compris et s'allonge en travers de ses genoux. Elle sursaute légèrement quand le directeur lui abaisse sa culotte, puis reçoit sa fessée sans protester. Quand celle-ci est terminée elle se relève et remonte sa culotte en quatrième vitesse.
- Vous pouvez regagner votre cours ! Votre robe est confisquée pour la journée ! Vous expliquez à votre prof de Maths pourquoi vous êtes punie et lui direz que Cécile va suivre. En attendant vous attendrez à côté du tableau face au mur, les mains sur la tête. Et vous baissez votre culotte sous vos fesses pour que tout le monde constate leur rougeur !
Le directeur ne lui laisse pas le temps de protester, Manon encaisse le coup alors que le directeur ouvre la porte et l'expédie dehors.
Il revient s'assoir sur sa chaise :
- A votre tour Cécile !
Cécile s'approche timidement, trop lentement pour le directeur qui la tire d'un coup sec par la manche. Une fois collée aux cuisses du directeur, elle reste pétrifiée, tête baissée, ce qui agace encore le directeur  :
- Nous allons considérer que c'est l'alcool qui vous met dans un tel état de béatitude ! Puisque vous incapable de faire quoi que ce soit, poser vos mains sur votre tête !
Le directeur prend les choses en mains. Il lui fait faire un demi-tour sans ménagement et défait rageusement le fermeture de sa jupe. Celle-ci s'enroule autours de ses chevilles alors que le directeur la remet face à lui.
Sachant ce qui va lui arriver Cécile lui dit timidement :
- Je suis en string, ce n'est pas la peine de le baisser !
Le directeur s'occupe de lui enlever sa jupe de ses pieds.
- J'ai bien vu que vous portez un string... Croyez-vous que le fait d'avoir les fesses sans protection suffise à votre punition ?
Il plie sa jupe et la pose sur son bureau.
- Tout comme Manon, votre jupe est confisquée jusqu'à ce soir.
Cécile devient blanche, elle ne se voit pas se promener toute la journée dans l'établissement avec ce minuscule bout de tissu.
- Non, s'il vous plait... Manon, a une culotte qui la couvre largement...
- Oui mais contrairement à vous, Manon n'a pas consommé d'alcool, il est normal qu'elle soit moins punie. Et puisque vous n'avez pas répondu à ma question, je vais le faire à votre place... Le fait que vous soyez en string ne change rien au fait que vous soyez déculottée !
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le string de Cécile est descendu et retiré de ses chevilles.
- Et je vais vous ôter le doute tout de suite : il est confisqué aussi jusqu'à ce soir !
Terrorisée, Cécile cherche à couvrir sa touffe de poils qu'elle n'a pas pris le temps d'épiler, mais déjà le directeur la bascule sur ses genoux. Elle reçoit la première fessée de sa vie, ses fesses rougissent en quelques claques. Caroline se mort la lèvre inférieur sachant que son tour allait arriver très bientôt.
Cécile se tord dans tous les sens pour éviter les claques, mais le directeur la maintien fermement. Chacune de ses fesses est vivement claquée tour à tour. Dès la dernière, Cécile se relève tout en cédant à la panique. Elle frotte ses fesses sans se préoccuper, dans un premier temps de ce qu'elle offre devant.
- Vous n'étiez pas sérieux... Je ne vais pas rester comme ça...
Pour toute réponse, le directeur range soigneusement, sa jupe et son string dans son tiroir.
- Pour commencer, vous allez passer votre fin de matinée de l'autre côté du tableau, les main sur la tête...
Le directeur baisse les yeux vers son triangle bouclé. Cécile rougit et plaque ses deux mains entre ses cuisses.
- ... et pour le reste de la journée, vous pourrez toujours vous cacher comme vous le faite en ce moment !
Cécile vivait son pire cauchemar. Les larmes qu'elle avait réussit à contenir jusqu'à présent jaillir de ses yeux, mais le directeur est sans pitié. Il passe à Caroline qui senti son coeur s'accélérer.
- Quand à vous Caroline, la première punition ne vous a pas suffit ? Vous souvenez-vous de ce que je vous ai dit à la fin de cette dernière, si je devais une nouvelle fois vous punir ?
Caroline n'a pas pu oublier, elle hoche la tête sans lever les yeux.
Le directeur lui pince le menton et la force à relever la tête
- Si vous n'avez pas perdu la parole, répétez-moi ce que je vous ai dit !
Caroline baisse les yeux et lui répond timidement :
- Que vous alliez me donner la fessée... Toute nue.
Tout à fait ! Montrer vos fesses et plus encore une première fois ne vous a pas suffit, nous allons donc renouveler la punition. Mais ce n'est pas tout, n'est-ce pas ?
Caroline n'a pas d'autre choix que de révéler l'intégralité de sa punition, elle relève la tête et veut croire à la clémence du directeur :
- Vous aviez dit que vous alliez me mettre à la cantine, mais...
Le directeur lui coupe la parole avant qu'elle ne se plaigne :
- Pas la peine de chercher des excuses, je vous avez prévenue, et c'est bien ainsi que vous allez être punie. Ce midi, vous m'attendrez à la table des punis, à genoux et les mains sur la tête. Je vous donnerez la fessée pendant le repas, ensuite vous irez en pénitence à la porte de sortie de la cantine !
Caroline accuse le coup, elle sait que tout le monde passe dans ce petit couloir avant la sortie de la cantine. Tous les élèves de l'établissement passeront à quelques centimètres d'elle.
- Maintenant, il est temps que vous regagniez votre cours. Caroline déshabillez-vous !
L'odre est tombé comme un couperet, Caroline ne s'attendait à ça.
- Quoi... pas maintenant...
- Si maintenant ! Et pour le reste de la journée !
Son regard embué croise celui de Cécile qui compatit. Elle commence par enlever son polo, puis défait son jeans. Une fois en sous-vêtements, elle hésite à dégrafer son soutien, mais devant le regard insistant du directeur, elle l'enlève et couvre ses seins et dans un dernier espoir tente de convaincre le directeur :
- Je peux rester en petite culotte, s'il vous plait... Je... Je vous promets que je l'enlèverai pour la fessée ! Mais je ne peux rester toute le journée comme ça ! Je vous en prie !
- J'ai dit toute nue !
Devant l'atitude inflexible du directeur, Caroline fond en larmes. Elle reste prostrée, ses deux mains devant ses seins.
- Faut-il que je vous l'enlève, Caroline !
Incapable de bouger, elle hoche la tête.
Le directeur ne se fait pas prier, il lui enlève sa culotte et range tous ses vêtements.

Pendant le trajet, le directeur tient les deux filles par les bras. Heureusement pour elles tous les élèves sont en cours et elles arrivent devant la porte de leur salle sans croiser quiconque. Quand le directeur frappe à la porte, Cécile tire nerveusement sur le bas de son tee-shirt, mais voyant qu'il sera trop court, elle met ses deux mains devant sa touffe. Caroline l'imite, et lorsque la porte s'ouvre, elle remonte son bras vers sa poitrine. Le directeur est obligé de pousser les deux filles dans le dos pour qu'elles entrent dans la classe. Des chuchotements se font entendre, des sourires s'échangent, les deux filles regardent leurs pieds, incapables de lever la tête. Le directeur constate que Manon est bien à côté du tableau, mais sa culotte couvre parfaitement ses fesses. Lorsqu'elle se tourne la tête pour voir les filles, elle croise le regard du directeur et s'empresse de se remettre face au mur et pose ses mains sur sa tête. Furieux, le directeur s'approche d'elle et lui fait faire un demi-tour :
- Vous non plus, vous ne savez pas obéir ! Je vous avais dit fesses nues !
Manon bredouille des excuses et prétend qu'elle a oublié.
- Et bien, la prochaine fois, vous n'oublierez pas !
Il attrape Manon par le bras et l'entraine dans une rangée au milieu des élèves. Sans lui lâcher le bras, il la courbe et avec sa main libre tire d'un côté puis de l'autre sa culotte. Celle-ci tombe à ses pieds et Manon reçoit une nouvelle fessée.