lundi 8 juin 2020

Voyage scolaire (petit-déjeuner)

Lorsque tous les élèves ont quitté la salle, Caroline est autorisée à remonter sa culotte et son collant. Le directeur ramasse ses vêtements et lui demande de le suivre.
Elle comprend qu'il ne l'emmène pas vers sa chambre, mais vers une autre chambre près de l'infirmerie. Elle se rassure en se disant qu'elle préfère être seule ce soir et ne pas affronter les commentaires et autres questions de ses copines de chambre.

Il l'invite à entrer en lui disant qu'il viendrait la chercher demain matin. Caroline passe la porte avec les bras croisé devant sa poitrine.

- On vous a fait venir un pyjama, il est sur le lit...

Caroline constate que quelqu'un a fouiller dans sa valise, car c'est bien le sien.

- Donnez moi vos vêtements !

Elle comprend qu'elle n'a pas le choix, elle doit se déshabiller devant lui. Elle se déchausse et enlève ses collants, puis baisse rapidement sa culotte et lui tends en cachant sa toison.

Le directeur lui prend sèchement et claque la porte derrière lui en sortant. Caroline enfile son pyjama et s'effondre en sanglots en s'allongeant sur le lit. Elle ne peut trouver le sommeil, elle angoisse sur ce qui va se passer le lendemain. La nuit lui parait durer un éternité, néanmoins elle arrive à s'endormir après 4 heure.

A 6 heure, elle se réveille en sursaut, quand elle entend frapper à la porte. Elle a à peine le temps d'émerger, que le directeur lui enlève les draps et lui ordonne de se lever. Il trouve qu'elle ne va pas assez vite, et la lève en la prenant par le bras. Puis il l'emmène, en la tenant toujours jusqu'à la douche

- Vous avez dix minutes pour prendre votre douche et vous préparer !

Caroline essaye émerger, elle regarde le directeur sortir, et constate qu'il n'y a pas de verrou à la porte. Après quelques secondes pour reprendre ses esprits , elle se dit qu'il faut mieux qu'elle se dépêche.
Elle prend sa douche et en sortant, elle constate qu'une serviette avait été posé, mais que son pyjama avait disparu. Elle commence à se sécher et sans prévenir, le directeur ouvre la porte.

- ça fait dix minutes ! Vous sécherez naturellement !

Il lui arrache la serviette des mains et la fait sortir dans le couloir. Complètement nue, elle doit avancer vers la salle de restaurant. Heureusement, personne n'est encore levé à cette heure là. Les couloirs sont vides. Mais ce n'est pas le cas, quand elle rentre dans la salle. Les profs sont déjà en train de déjeuner et le personnel de cuisine prépare le petit déjeuner. Elle cache aussitôt sa poitrine et sa toison de ses mains. Le directeur passe à côté d'elle et lui donne une grosse claque résonnante qui la fait avancer d'un pas et pousser un cri alertant tout le monde.

- Je vous demande de ne plus vous cacher, et ceci jusqu'au moment ou vous pourrez remettre un bout de tissu sur vous  !!! Et croyez moi, ce n'est pas pour tout de suite....

Le directeur la conduit jusqu'à une table au milieu du réfectoire. Elle doit s'y mettre à genoux dessus. Le directeur lui attrape les poignets et lui pose ses mains au-dessus de sa tête.

- Ne bougez pas !!!

Puis il va prendre son petit déjeuner avec les autres profs. Caroline angoisse de plus en plus, elle sait que ses camarades vont bientôt arriver. Le fait d'être exposée ainsi ainsi totalement nue lui fait presque oublier qu'elle va bientôt devoir subir ses 54 claques. Le directeur déjeune rapidement et part vers ses occupations sans jeter un deuil à Caroline. Il reviendra sans doute plus tard pour la punir. Les profs débarrassent leur table et partent accueillir les premiers élèves qui doivent bientôt arriver. Elle est presque seule dans cette grande salle vide, elle frissonne de froid ou de peur. Elle regarde vers les cuisines, tout le personnel est occupé. Elle ne réfléchit pas plus longtemps,  en désespoir, elle courre vers la porte de derrière. Il faut faire vite pour pouvoir échapper à la sanction. En premier trouver des vêtements sans croiser personne. Elle fait attention dans les couloirs, mais il lui est impossible de retourner jusqu'à sa chambre sans se faire prendre. Et le temps passe, ils vont bientôt s'apercevoir qu'elle n'est plus dans le réfectoire. Elle arrive devant la porte de la chambre de sa prof de français, et espère de la compassion de sa part. Elle entre sans réfléchir d'avantage.  La chambre est vide, elle entend l'eau couler sous la douche. Elle ouvre rapidement le placard, car elle suppose que sa prof fait la même taille qu'elle, celui-ci est vide. La prof a déjà fait sa valise pour le retour, car le voyage s'achève aujourd'hui et le bus part dans quelques heures. Elle n'a pas le temps d'ouvrir la valise, l'eau de la douche a été coupée, il ne lui reste que quelques secondes. Elle prend les vêtements que sa prof s'était préparé sur son lit, une paire de bottines dans l'entrée et elle quitte la chambre précipitamment.
Heureusement pour elle, personne n'est dans le couloir. Elle se met dans un coin pour enfiler à la hâte la culotte et le pull de sa prof puis court vers le mur qu'elle empruntait pour sortir le soir. Elle se sent libre de l'autre côté, même s'il ne faut pas traiter ici. Son objectif et de rejoindre la gare, sans passer par la route principale où ces profs pourraient la trouver facilement. Elle n'a pas non plus d'argent sur elle, donc elle doit se débrouiller en passant par des petits chemins. Toujours en culotte, elle court jusqu'à un petit bois ou elle s'arrête un instant pour s'habiller correctement. Le pull lui va, la culotte et la jupe aussi. Les bottines sont une taille au dessus mais ça fera l'affaire. Elle enfile aussi les bas, qu'elle a pris avec les vêtements et jète le soutien-gorge, car elle a vu qu'il serait trop petit.
Sa tenue n'est pas adaptée à la marche, mais faute de mieux, elle doit s'en satisfaire.

Elle marche longtemps sans savoir l'heure, elle commence à être fatiguée et à avoir faim. Elle sait que le bus doit être parti maintenant, et commence à avoir des doutes sur le fait de trouver la gare. Elle commence à comprendre qu'elle s'est perdue dans la montagne. Elle hésite à retourner à l'auberge et décide de s'arrêter pour réfléchir. Avec le manque de sommeil, elle s'endort finalement. Quand elle se réveille, elle sait qu'elle a dormi longtemps, le début de soirée arrive, elle commence à paniquer. Elle ne se voit pas passer la nuit dehors.
Elle tombe sur une maison et décide d'aller demander de l'aide.

Une femme lui ouvre la porte. Caroline lui raconte qu'elle s'est perdue dans la montagne et qu'elle cherche à rejoindre la gare et lui demande si elle peut l'emmener. La femme trouve l'attitude de Caroline bizarre et est surprise qu'elle n'est pas de blouson par ce temps. Elle décide tout de même de l'aider, mais l'invite à rentrer quelques instants pour se réchauffer et boire quelque chose de chaud avant de partir. Elle l'installe dans la cuisine et lui sert un thé.

- Mon mari ne va tarder à rentrer du travail, il va pouvoir vous accompagner jusqu'à la gare.

Quelques minutes plus tard, le mari rentre. Caroline le reconnait aussitôt, c'est un cuisinier de l'auberge. Elle pâlit en le voyant, elle sait qu'il la vu punie la veille, mais ne dit rien. Lui non plus, ne dit rien, mais Caroline sent qu'il la bien reconnue. Sa femme lui explique tout, et il ne fait pas de commentaires.

Il prétexte d'aller se changer, puis l'emmène dans sa voiture. Caroline ne parle pas, l'ambiance est pesante, il décide de rompre le silence :

- Votre directeur vous cherche partout...

Caroline n'a plus de doute, il l'a reconnu.

- Vous avez fait prendre du retard au départ, mais vos collègues sont finalement partis ! Tout a été désorganiser, votre directeur est extrêmement furieux...

Caroline reconnait l'entrée arrière de l'auberge, elle n'était finalement pas très loin, quelques centaines de mètres. Elle fond en larmes quand elle voit le directeur attendre à l'entrée du parking.

- Je suis désolée, mais je ne pouvais pas vous conduire à la gare, j'ai prévenu votre directeur tout à l'heure que je vous avais retrouvé, il m'a demandé de vous ramener.

Puis il baisse sa vitre car le directeur souhaite lui parler :

- Avez vous quelques instants ? Je vais avoir besoin de vous.

Il va sa garer et ils sortent de la voiture. Le regard que le directeur jète à Caroline lui fait froid dans le dos.

- Merci de m'accorder quelques minutes de votre temps, Monsieur. Quand je dois punir une élève comme je m'apprête à le faire avec cette jeune fille, il faut obligatoirement qu'il y ait un témoin. Suivez-moi.

Il partent tous les trois dans un bureau, le directeur ferme la porte derrière lui :

- Vous avez fait un sacré bazar Caroline !!

Caroline essaye de s'excuser mais le directeur la coupe sèchement :

- Je ne vous ai pas autorisé à parler, taisez vous et écoutez !

Caroline baisse la tête sachant que le directeur ne lui accordera aucune faveur.

- Pour commencer, votre petite escapade ne vous empêchera pas d'être punie. Tout le monde est reparti, mais nous organiserons cela à l'institut dès que nous seront revenu... Et dans les mêmes conditions : Devant tout le monde et bien sur toute nue !

Caroline écoute la sentence sans relever la tête.

- Je double le nombre de claques, on passera à 108 !!!

Caroline relève à peine cette dernière information, bien que cela sera très dur à supporter. Elle ne supporte pas l'idée d'être nue devant tout le monde.

- Concernant les vêtements que vous avez volé à votre professeur de français, elle tient absolument à récupérer ses chaussures, sa jupe et son haut ! Votre valise est repartie avec le bus, vous n'avez plus rien ici, je vais donc vous laisser les chaussures, vous y ferez très attention. Par contre, vous me donnez la jupe et le haut !

Caroline ne bouge pas, mais elle sursaute quand le directeur lève le ton :

- Enlevez la jupe et le haut !

Caroline n'a pas le choix, elle enlève sa jupe et son haut et cache ses seins du mieux qu'elle peut.

- Il me semble que vous avez volé son soutien-gorges aussi ?

Caroline trouve la force de dire qu'il était trop petit et qu'elle l'avait jeté.

- Bon nous verrons ça plus tard... En tout cas, les vêtements que vous avez sur vous seront les seuls que vous aurez jusqu'à notre retour...

- En attendant, je vais vous punir pour vous être enfuie, venez ici !

Caroline s'avance à petits en appréhendant la fessée qu'elle s'apprête à recevoir. Le directeur l'approche de lui en la tirant sèchement par le bras. Il va la fesser en la mettant sur ses genoux, mais avant, il lui baisse complètement sa culotte.

La déferlante s'abat sur ses fesses sans retenue. Caroline crie, la fessée n'a rien à voir avec celles qu'elle a reçu précédemment. Le cuisinier constate que ses fesses rougissent rapidement. La fessée n'est pas très longue mais très intense. Caroline sanglote et agite encore les jambes même quand le directeur a arrêter la fessée. Elle se relève avec difficultés oubliant dans un premier temps de remonter sa culotte. Elle le fait finalement en se calmant quelques secondes plus tard, tout en grimaçant et en étant secouée par les spasme de ses sanglots.

Le directeur la conduit vers le mur, et lui approche le visage jusqu'à ce que son nez touche la paroi.

- Les mains sur votre tête et ne bougez plus !!!

Caroline fait ce qu'il lui demande tandis qu'il baisse sa culotte.

- Dorénavant, pour vous le coin, ce sera déculottée !

Le directeur laisse Caroline ainsi pour raccompagner le cuisinier qui n'en demandait pas tant.
Elle ne sait pas combien de temps elle est restée ainsi. Mais sans doute plus d'une heure. Il fait nuit lorsqu'il vient la chercher et elle sursaute quand il allume la lumière. Si quelqu'un passe dehors à ce moment là, il ne peut que la voir. Il vient lui remonter sa culotte et la libère du coin.

- Vous avez de la chance, la directrice de l'école de cette semaine est contre les punitions publics. Vous allez donc manger en décalé des autres.

Caroline écoute sans réaction le directeur en se contentant de baisser la tête et de cacher sa poitrine.

- J'ai trouvé une location de voiture pour pouvoir rentrer demain matin, nous partirons tôt...
- Donnez moi vos vêtements qu'on puisse les laver pour demain matin...

Caroline hésite avant d'enlever ses bas. Elle comprend qu'elle devra rester toute nue jusqu'au départ. Envoler sa culotte lui demande un effort supplémentaire même si le directeur l'a déjà vue.
Elle se cache la poitrine et son sexe et se laisse conduire jusqu'à sa chambre ou le directeur l'enferme à double tours.












14 commentaires:

Anonyme a dit…

Plutôt sympa comme suite, même si je la trouve trop courte et assez frustrante ^^'

Anonyme a dit…

Si je comprends bien, elle va devoir voyager en petite culotte. J'imagine sa gêne lorsque le directeur devra s'arrêter pour prendre de l'essence

Anonyme a dit…

Je pense plutôt qu'elle est partie pour voyager sans ^^'

Anonyme a dit…

Mais non Anonyme 3. Caroline a dû rendre la jupe et le top volés à sa professeur de français. Elle a jeté le soutien gorge trop petit. Sa valise est déjà repartie avec le car. Par contre, le directeur lui a permis de garder sa culotte, ses bas et les chaussures. D'ailleurs, il lui dit : "En tout cas, les vêtements que vous avez sur vous seront les seuls que vous aurez jusqu'à notre retour..."
Donc je pense que pour faire le voyage du retour, elle pourra remettre sa culotte et ses bas qui ont été mis au lavage pour la nuit.
Mais nous verrons bien ce que notre auteur adoré imaginera.
Anonyme 2

Anonyme a dit…

Effectivement, mais ça serait moins sympa pour nous qu'elle puisse la garder...

pascfz a dit…

J'aime lire vos commentaires, merci beaucoup.
La suite est en cours d'écriture...

Anonyme a dit…

Chic alors ! Nous attendons avec impatience ce que vous allez imaginer.
Voyage du retour en petite culotte ou toute nue ?
Je crois que vous pouvez combiner les deux.
Voyager sur le siège avant à côté du directeur avec les seins à l'air, c'est déjà très humiliant. Imaginez quand ils vont traverser une ville, les feux rouges, les embouteillages. Peut-être même un policier étonné de la voir à moitié nue pourrait arrêter la voiture et demander des explications au directeur.
Mais si elle se rebelle encore en cours de voyage, il faudra bien qu'elle ôte sa culotte pour recevoir une nouvelle fessée ? Et tant pis, pour elle s'il y a des témoins. Par exemple, parce que le directeur souhaite qu'ils aillent prendre un café après avoir pris de l'essence.

Anonyme a dit…

la suite, la suite...

fessee a dit…

viiiiiite la suittttte lol

Anonyme a dit…

Dommage, cela me semble être laissé à l'abandon ��

Anonyme a dit…

j attends cette suite avec impatience d autant plus que c est la rentree scolaire

Anonyme a dit…

pas de nouvelles depuis???

Anonyme a dit…


"- Je vous demande de ne plus vous cacher, et ceci jusqu'au moment ou vous pourrez remettre un bout de tissu sur vous !!! Et croyez moi, ce n'est pas pour tout de suite...."

Quelle phrase exitante ! De quoi imaginer encore bien des situations humiliante.

On est impatient de connaître ce que vous allez imaginer pour le voyage du retour. Jusqu'ici, elle n'a dû exposer sa nudité que dans le cadre scolaire, je suppose qu'il en ira tout autrement pendant le voyage. Et franchement, elle l'aura bien mérité avec toutes ses rebélions et fuites.

fessee a dit…

plus de nouvelles de vos histoires depuis juin en esperant que vous allez bien j attends la suite avec impatince