lundi 23 mars 2020

Voyage scolaire (journée)

Pendant le voyage scolaire Caroline et ses amis avaient trouvé une solution pour quitter discrètement l'hébergement sans que ça ne se sache le soir pour sortir.
Un peu de liberté n'était pas habituel, car l'école était très sévère et très stricte.
Ce soir là, ils s'étaient arrêtés dans un bar pour passer la soirée, et étaient restés un bon moment.
Ils étaient tous un peu éméchés. Guillaume est sorti fumer une cigarette lorsqu'ils voient le surveillant et deux de leurs profs s'approcher du bar. Il rentre avant qu'ils ne le voient et va prévenir ses amis un peu paniqué.
- Vite ! Sortez ! Voilà les profs... Ils arrivent par là !!!
- On sort par cette porte, il ne nous verront pas.
- Attendez Caro est aux toilettes...
- Pas le temps, ils arrivent ! viens !

Il retournent à l'hébergement inquiets pour leur copine
- Et Caro ? Comment elle va faire ?
- T'inquiète elle va trouver une solution...
- Mais elle n'est pas au courant qu'ils sont dans le bar.
- Il y a du monde, il ne la verront peut-être pas...
- Elle a pas mal bu quand même, j'espère qu'elle va être vigilante.

En effet, elle a pas mal bu, au point d'être malade dans les toilettes. Certains s'impatientent devant et frappent de moins en moins discrètement à la porte, eveillant la curiosité des clients.
Caroline ressort quelques minutes plus, le regard un peu dans le vague en insultant ceux qui s'impatientaient derrière la porte.
Elle cherche dans la salle ses amis, lorsqu'un forte poigne vient lui enserrer le bras pour l'entrainer dehors sans ménagement.

- Que fais-tu là, et tu as bu en plus !!

La vue du surveillant la tenant par le bras a eu un effet dessoûlant immédiat.
On verra ça demain, je te ramène...

Au réveil, le surveillant vient la voir :
- Le directeur est au courant, il arrive... Pas d'activités pour toi aujourd'hui. Tu mets ton uniforme de l'école et tu me suis pour le petit déjeuner.

Le surveillant l'installe seule à une table, elle ne peut échanger avec ses camarades. Le fait qu'elle soit avec son uniforme dénote des autres qui sont habillés en tenue classiques. Surtout par rapport aux élèves d'un autre établissement scolaire, qui eux n'ont même pas d'uniforme les jours de classe.
Tous ses demandent ce qu'elle a fait pour être punie ainsi, mais ils ne sont pas au bout de leur surprise.
Lorsqu'elle a fini de manger, le surveillant vient la chercher et la lève de sa chaise de la même façon qu'il l'avait sortie du bar, en la tenant par le bras. Corinne rougit d'être traitée ainsi, mais ne peut se libérer de son emprise.
- Le directeur viendra te chercher ici lorsqu'il arrivera. En attendant, tu vas rester ici comme il l'a décidé... Au coin avec les mains sur la tête !
Caroline se défend et refuse d'être humiliée ainsi.
Le surveillant ajoute plus bas, pour que elle seule entende :
- Il m'a dit aussi que si tu étais récalcitrante, il ne faudrait pas hésiter à te claquer les fesses.

Vu le monde dans la salle, il n'en faut pas plus pour convaincre Caroline d'obéir. Elle reste ainsi un long moment, jusqu'à ce que la salle soit complètement vide et silencieuse.
Puis elle entend un pas décidé s'approcher d'elle, elle comprend que c'est le directeur.
- Suivez-moi !

Sans autre forme de politesse, il repart déjà dans l'autre sens.
Caroline se lève et le suit avec une certaine appréhension jusqu'à un bureau ou il ferme la porte derrière eux, et va s'assoir sur la chaise derrière le bureau.

-Approchez vous !
- Ici !
Il lui montre le sol juste à côté de sa chaise.
Caroline s'approche tout prêt à coté de lui.
- Vu ce que vous avez fait, je ne veux aucun commentaire...
Il recule sa chaise et place Caroline face à lui, en la tenant par les hanches. Caroline frémit à cause de ce geste et se demande ce qui va se passer.

D'un coup sec, il attrape le bas de sa jupe et la remonte au milieu de son ventre. Caroline pousse un cri de surprise et essaye d'empêcher cela.
- Otez immédiatement vos mains de mes bras !
Caroline enlève ses mains et le directeur remonte encore plus haut.
- Tenez votre jupe comme ça !!! Je vous conseille de ne pas la laisser descendre d'un centimètre...
Honteuse Caroline laisse échapper quelques larmes, mais s'efforce de bien tenir sa jupe exhibant sa culotte à peine cachée par son collant couleur chair. Il la tourne d'un quart de tour et abat sa main ferme sur les fesses de Caroline. Surprise, elle laisse tomber sa jupe un instant mais la remonte aussitôt. Une deuxième arrive aussitôt et une troisième. Les larmes sont de plus en plus nombreuses sur les joues de Caroline. Elle en reçoit dix ainsi, et il la remet face à lui.
Caroline lève la tête vers le plafond et se contient de crier lorsqu'il passe ses doigts sous l'élastique de son collant. Il le baisse, complètement. En prenant soin de l'enrouler au maximum sur ses chevilles.
Puis il se lève et retourne Caroline vers le bureau, il la courbe complètement dessus et lui emprisonne ses poignets dans le dos. Ce n'est plus des claques lentes qu'elle reçoit mais une véritable fessée, rapide et appuyée. Autours de sa culotte ses fesses sont déjà bien rouge et la protection de sa culotte ne doit pas changer grand chose pour le reste. Le directeur claque une fesse après l'autre avec vigueur. Caroline est incapable de bouger malgré ses tentatives. Il la tient fermement. Elle se contente de pleurer, de crier et de le supplier d'arrêter.

Lorsqu'il arrête la fessée et la relâche, Caroline ne se relève pas aussitôt. Elle se frotte les fesses et continue de sangloter. Le directeur s'assoit sur sa chaise.

- Allez au coin vous calmer !! Je ne veux plus vous entendre...

Caroline se relève péniblement et essaye de contenir ses larmes tant bien que mal.

- Laissez votre collant descendu !

Elle va coin enchevêtrée dans son collant à petits pas.

- A genoux et les mains au dessus de votre tête !

Le directeur regarde un instant les fesses bien teintées de Caroline, puis la laisse seule une bonne demi-heure.

Lorsqu'il revient, Caroline n'a pas bougé, elle tourne juste la tête un instant pour vérifier que c'est bien le directeur. Elle a cessé de pleurer, le rougeur de ses fesses s'est un peu estompée. Le directeur la libère du coin.

- Vous pouvez remonter vos collants et venez vous assoir.

Caroline n'ose pas demandé sa jupe qui est posée face à elle sur le bureau. Elle s'assoit, croise ses jambes et met ses mains entre ses cuisses pour se cacher au maximum.

- Aujourd'hui vous allez rester là à faire des exercices. Après ce que vous avez fait il est hors de question de participer aux différentes activités organisées. ça vous permettra de réfléchir aux conséquences de votre comportement d'hier soir ! Et à l'image que vous avez donné de notre établissement...

- On vous apportera votre déjeuner et votre diner ici, vous avez le droit de sortir uniquement pour vous rendre aux toilettes.

- On viendra vous chercher pour la veillée dans la salle commune où une punition vous attend !

Caroline reste perplexe, elle prend les feuilles d'exercices que lui tend le directeur.

- Je garde votre jupe pour ne pas que vous soyez tentée d'aller vous promener...

Elle ne peut décrocher un mot. Quand le directeur ferme la porte derrière lui, elle éclate en sanglot. Elle se demande ce que le directeur veut dire concernant la punition pendant la veillée. Elle regrette de ne pas lui avoir demandé. Toute la journée elle ressasse cela dans sa tête, imaginant le pire.

Quand on lui apporte son plateau le midi, elle est rassurée de voir que c'est sa prof de français. Elle a moins honte d'être aussi peu vêtue devant une femme, surtout que celle-ci semble compatissante envers elle, elle la rassure un peu. Caroline en profite pour lui demander que ce soit elle qui lui apporte son repas du soir, ce qu'elle accepte.

Avant de partir, Caroline lui demande si elle sait en quoi consiste la punition de ce soir. Sa prof lui répond un peu gênée que non, mais elle comprend qu'elle lui ment et n'ose pas lui dire.

Quand elle doit se rendre aux toilettes, elle attend qu'il n'y ait plus de bruit dans le couloir et se dépêche de sortir. Elle ne croise personne les deux fois où elle doit sortir.

Lorsque sa prof de français lui apporte son repas du soir, elle se contente simplement de lui déposer sur le bureau et de lui dire de se dépêcher car le directeur n'allait pas tarder à venir la chercher...



5 commentaires:

La fessés fantasmé a dit…

Un peu court dommage, j'attends la suite...

Anonyme a dit…

oui, vivement la suite.
L'attente est dure pour Caroline, mais pas désagréable pour nous

Anonyme a dit…

Vivement la veillée ! Ca semble parti pour être très bien...

Anonyme a dit…

Toujours pas la veillée !

Anonyme a dit…

La veillée , la veillée