dimanche 7 juillet 2024

Cinquième punition suite

Toute la matinée, Delphine est resteé dans le bureau du directeur. Elle a aidé à accomplir des taches, sans pour autant s'habituer à être toute nue,elle préfère tout de même être ici que dans l'établissement. Lorsque midi arrive, elle sait que sa punition est imminente. Elle essaye de penser à autre chose mais cela lui revient toujours en tête. - Nous irons d'ici 30 minutes ainsi tout le monde sera arrivé... Delphine encaisse ce que le directeur vient de lui dire sans répondre. Le téléphone sonne au moment où le directeur rassemble ses affaires pour partir. Le coeur de Delphine s'emballe et elle se retient de pleurer. Le directeur repond et la conversation s'éternise, il demande un instant a son interlocuteur pour s'adresser a Delphine. - Allez au réfectoire, et attendez que j'arrive ! Ah oui interdiction de vous assoir, vous attendez debout au milieu de la salle... Delphine hésite a quitter le bureau, ne sachant quoi faire, un peu perdue, elle coupe la parole au directeur qui a repris sa conversation : - Mais j'y vais toute nue... ? Ce qui aurait pu mettre le directeur en colère, le fait plutôt sourire. Il demande a nouveau a qon interculteur un instant sans lacher le combiné - Évidemment que vous y allez toute nue ! c'est le principe même de votre punition... Ah... et que les choses soient claires, vous ne cachez rien ! Ni vos seins, ni votre toison ! Delphine préfère sortir que de devoir encore pleurer devant lui. Du couloir elle entend le directeur parler d'elle au téléphone. Lorsqu'elle arrive dans le couloir,.la porte est ouverte. Certains élèves la voient de loin et elle entend déjà les premiers commentaires : oh regarde, elle est à poil. Elle est trop mal... Sans s'en rendre compte Delphine ralentit le pas, elle prend une grande inspiration et essuie ses joues en espérant ne pas craquer une nouvelle fois. Les rires fusent quand elle entre, quelques sifflés aussi se font entendre. Delphine baisse la tête et va au milieu du réfectoire. Sans lever la tête, elle croise ses pieds et met ses mains derrière son dos. Elle attend tremblante, dans brouhaha de la salle les plus proches voient quelques larmes couler sur ses joues. Puis tout le monde se tait quand le directeur entre. Le contraste est saisissant, même Delphine lève d'un coup sa tête. Elle voit le directeur s'avancer d'un pas décidé vers elle, le regard complètement dépité, elle que sa fessée est proche. Ses mains la trahissent quand elle les pose machinalement sur chacune de ses fesses. Le directeur demande a un élève de se lever pour liberer sa chaise. Et sans aucun autre avertissement, il va chercher Delphine et l'emmène vers la chaise en la tirant par l'oreille. Il s'assoie dessus et la bascule sur ces genoux. Certains élèves plus éloignés se lèvent pour mieux voir, tandis que la fessée commence. Delphine est comme résignée, elle serre de toute ses forces les barreaux de la chaise. Ses fesses rougissent rapidement. Quand la douleur devient insupportable, elle eclate en sanglot mais le directeur continue encore, a un rythme soutenu et avec des claques appuyées. Il s'arrête d'un coup et la relève aussi brusquement qu'il l'a allongée sur ses genoux. Delphine saute d'un pied sur l'autre pendant un instant en se frottant les fesses ce qui ne manque pas de faire rire toute l'assemblée. Le visage baigné de larmes, elle se laisse conduire jusqu'à la table. Le directeur la porte sans difficulté pour qu'elle soit dessus en lui disant : debout et mains sur la tête ! Delphine se fait une place au milieu des assiettes et reste le point de mire pendant toute la durée du déjeuner. Elle ne peut manger que quand tout le monde est sorti. Le restant de l'après midi se passe en colle dans le bureau du directeur. Quand la journée se termine, le directeur lui redonne ses vêtements en lui disant que pour le reste de la semaine il veut la voir uniquement avec cet uniforme si elle n'est pas nue. Puis il la libère. Delphine s'habille, le directeur lui demande de venir avec un maillot de bain le lendemain. Elle n'ose pas poser de question et quitte l'école. Elle arrive plus tôt le lendemain pour ne croiser personne. Le directeur lui demande d'attendre, M. Firmin viendra la chercher. Il lui prend son maillot des mains et lui fait faire demi-tour. - Montrez-moi vos fesses ! Delphine hesite un instant puis passe les mains sous sa jupe pour baisser sa culotte et ses collants et remonter sa jupe. - Elles sont moins rouges... mais je ne pense pas qu'elles resteront blanches longtemps ! Delphine se reculotte rouge de honte. M. Firmin arrive quelques minutes après. Il salue le directeur et prend le maillot que celui-ci lui tend. - Dommage que la punition ne puisse pas continuer a la piscine... - Nous avons échangé avec le responsable hier il y aura une solution. Delphine ne comprend pas tout de suite de quoi ils parlent, mais dans la voiture, elle reconnaît la route de la piscine et se dit qu'il doit y avoir un cours là bas. D'habitude, elle n'aime pas y aller mais là au moins tout le monde sera peu habillé et elle ne denotera pas. Le directeur la conduit directement dans le vestiaire des garçons, et lui donne son maillot et une serviette. Elle voit des garcons sortirent des cabines en maillot et se dirige aussi vers l'une d'elle. Mais le directeur la retiens : - Changez vous ici ! Delphine se met dans un coin, le plus possible à l'abris des regards et enleve ses chaussures, ses collants et sa culotte pour passer son maillot sous sa jupe. c'est plus délicat pour le haut, elle se met face au mur pour enlever ses vêtements et remonte son maillot complètement. M. Firmin, ramasse à mesure ses vêtements dans un sac. En sortant du vestiaire, elle va directement dans l'eau et s'ecarte volontairement du groupe. Il y a deux classes qui ont cours à la piscine ce matin et quelques usagers habitués à aller nager tôt. Quand tout le monde est dans l'eau, M. Firmin lui demande de sortir. Les élèves les voient discuter au bord de la piscine. Delphine semble de plus en plus affolée. Elle regarde tout autours en faisant des gestes et en montrant du doigt. Et elle pousse un cri qui alerte tout le monde quand le directeur la saisit par les bras et baisse son maillot en tirant les bretelles vers le bas. Elle reçoit une claques retentissante sur les fesses lorsque son maillot tombe au sol. Il lui enlève et demande aux autre de sortir pour écouter les consignes la laissant toute nue sur le bord. Delphine écoute à peine, trop occupée a s'appitoyer sur son sort. Mais elle leve la tête quand le directeur en vient à son sujet. - Comme vous le savez Delphine est punie. Lorsqu'elle sera avec nous elle restera toute nue, comme elle est en ce moment... Pour des raison d'hygiène, il est interdit de se baigner sans maillot. Le directeur vient vers elle et elle doit enjamber son maillot pour que le directeur lui remonte. Il s'arrête au niveau de sa taille et l'enroule sur son ventre. - ça suffira pour respecter les mesures d'hygiène. Quand vous serez dans l'eau, vous le mettrez ainsi. Mais dès que vous sortirez, vous l'enleverez aussitôt ! Si je constate que ce n'est pas fait aussitôt, ce sera la fessée ici même sans prendre la peine de retourner aux vestiaires. Est-ce bien clair ? Ses pensées sont confusent mais Delphine hoche la tête en reniflant. Tout le monde part a l'eau et Delphine doit nager et faire les exercices seins nus. Elle doit sortir avec le reste du groupe pour de nouvelles explications et se souvient de retirer son maillot et se fond dans le groupe. Elle est rassurée de retouner a l'eau assez rapidement. Quand vient la fin de la séance, elle se rend compte qu'il y a beaucoup plus de monde qu'au début. Surtout des usagers extérieurs à l'école. Elle s'approche au plus près de la porte des vestaire et sort de l'eau. Elle enlève aussitôt son maillot et compte entrer rapidement. Le directeur lui indique a nouveau le vestaire des garçons en lui prenant son maillot des mains. Un autre groupe est en train de se préparer et elle fait sensation en entrant. Le directeur lui donne sa serviette, elle se sèche dans un coin et s'enveloppe dedans en attendant. Le directeur s'est retiré et pratiquement tous les garçons sont prêts. Le directeur demande à tout le monde de sortir. Delphine doit suivre en serviette. Celle-ci n'est pas très grande mais elle a le merite de cacher sa poitrine et ses fesses. En serviette dans le hall, au milieu de tous ses gens habillés, la rend plus que mal a l'aise. C'est encore pire pour elle quand ils sortent sur le parking pour attendre le bus. Tout le monde monte mais le directeur retient Delphine. - La serviette appartient a la piscine, allez la redonner a l'acceuil. Delphine ne sais pas comment faire et retourne dans le hall. En pleurs, elle jete la serviette sur le comptoir et ressort presque en courant en passant a côté de la file des gens qui attendent à la caisse. Et elle monte dans le bus. Elle s'assoit sur une banquette vide et se recroqueville sur elle-même pour pleurer dans ses mains tandis que le bus part en direction de l'école. Tout le monde sort quand le bus arrive. Delphine doit suivre et traverser la rue pour entrer dans l'école. Toujours nue de le tête aux pieds, elle doit suivre le groupe pour aller en cours. Le directeur ne s'occupe plus d'elle de la journée, elle est un peu perdue. Elle va a la cantine, continue les cours l'après midi en essayant de fair abstraction des commentaires qui lui viennent aux oreilles. Le soir le directeur vient lui apporter ses vêtements à la sortie de l'école et lui demande de revenir le lendemain. Il y a un changement de programme et elle devra faire deux jours de suite a Saint-Joseph et la dernière journée au sein de son école. Elle s'habille rapidement et part sans demander son reste. Le soir elle essaye de se changer les idées mais ne comprend pas pourquoi elle doit etre absolument à son école le vendredi. Elle n'arrive pas a trouver le sommeil, se remémorant chaque instant de cette horrible journée et en pensant aux deux jours de punition qui lui reste a faire. Ce n'est que vers la fin de la nuit qu'elle s'endort et elle n'entend pas son réveil sonner. Elle se réveille enfin en milieu de matinée. Complètement paniquée, elle se rend compte que ca fait deux heures que les cours ont commencé. Elle s'habille en quatrième vitesse et cours jusqu'à l'ecole tout en sachant que le mal est fait. Elle est obligée de sonner, un surveillant vient lui ouvrir et lui ordonne d'aller au bureau du directeur. Delphine présente ses excuses, le directeur lui parait étonnamment calme. - Vous êtes collée ! Trois heures ce soir pour rattraper les cours de ce matin ! Et vu l'heure de votre arrivée, vous n'allez pas rejoindre vos camarades en plein milieu. Nous avons un groupe qui est parti our la visite d'un musée, vous en ferez parti. Je vais vous y conduire. Cet après midi votre directeur veut vous voir pour l'organisation de la journée de demain. A votre retour, vous vous rendrez a votre école. Et vous reviendrez ici, ensuite pour votre colle. Delphine baisse la tête, tandis que le directeur continue. - Ici, les récidivistes de retards reçoivent la fessée. Pour vous c'est bien sur la première fois, mais comme vous etes punie, ça aggrave votre cas... Venez ici ! Le directeur recule sa chaise tandis que Delphine s'approche résignée. Il la bascule sur ses genoux et relève sa jupe puis baisse en même temps son collant et sa culotte. Il lui inflige une fessée magistrale qui la fait fondre en sanglots dès les premières claques. Elle se relève en remettant sa culotte en place. - J'ai quelques dossiers a terminer avant de partir, allez m'attendre dans la cours, j'arrive... Delphine sort, et bien qu'elle soit habillée la présence d'une fille attire forcément l'attention des jeunes garçons. Elle ne répond pas certains osent l'aborder, et prétend de devoir aller aux toilettes. C'est le seul endroit calme qu'elle a trouvé pour se réfugier. Une dizaine de minutes plus tard, le directeur frappe a la porte et lui demande de sortir,.puis l'entraîne sous le préau. Sans nul autre avertissement, et malgré la présence de plusieurs groupes autours, il lui retire sa veste et appelle un élève pour lui donner. toujours sans parler, il deboutonne le haut de son chemisier, puis attrappe sa main pour defaire le bouton de sa manche. Le silence se fait de plus en plus présent, et les regards se tournent vers eux. Il fait pareil avec l'autre manche puis continue a deboutonner son chemiser. Delphine se met à pleurer lorsque qu'il enlève les pans de sa jupe, mais elle reste sans bouger, les yeux dans la vague et leq bras le long du corps alors qu'il lui retire son chemisier en passant derrière elle. Il donne le chemisier au garçon qui tient déjà la veste, et en profite pour degrapher son soutien-gorge qui vient rejoindre ses autres vêtements. Delphine met ses mains sur son visage quand il defait le bouton et la fermeture de sa jupe, celle-ci tombe immédiatement à ses pieds. - Enlevez vos chaussures ! Tout en reniflant, Delphine enjambe sa jupe et s'accroupit pour enlever les boucles de ses chaussures et les enlève. Le Directeur la relève sèchement en la prenant sous l'aiselle. Il baisse ses collants et les enlève. Il en profite pour rammasser sa jupe et la donner au garcons mais garde ses collants à la main. Delphine pousse un cri quand le directeur passe ses doigts sous l'élastique de sa culotte et se cache a nouveau le visage. Le directeur lui baisse et lui enlève complètement, il la met par dessus les vêtements et reprend la veste. Delphine est entièrement nue, tout le monde peut constater à la rougeur de ses fesses qu'elle a deja reçu une fessée aujourd'hui. - Allez deposer ses vêtements en salle des professeurs, quand à vous prenez vos chaussures et suivez moi ! Le directeur se dirige vers son bureau avec sa veste et ses collants. En entrant il lui jette dans les mains : - Ce sera suffisant pour vous protéger du froid... Delphine comprend qu'elle doit les mettre. Elle enfile ses collants et ferme sa veste puis remets ses chaussures. Quand elle sort du bureau, elle est consciente, que sa veste ne cache que la moitié de ses fesses. mais elle suit le directeur jusqu'au parking. Ils n'echangent pas un mot sur le trajet et Delphine a compris qu'il ira au musée ainsi, si peu vêtue et les fesses rouge. Elle doit faire un effort, pour sortir de la voiture est passer devant la file d'attente. Quelques sifflés en sortent, sans doute des gens aui n'ont pas compris qu'elle etait punie et qui apprécient de la voir si court vêtue. Le directeur lui indique l'accueil : - Quelque chose vous attend la-bas allez le demander ! Quelques instants plus tard Delphine revient avec une pancarte que le directeur lui met autours du coubet qui mentionne le nom de son ecole et l'inscription, "je suis punie". - Voilà, cela expliquera votre habillement sans choquer... Enlevez votre veste !! Le hall est bondé, les yeux de Delphine s'embrument, elle regarde tout autours d'elle sans bouger, complètement paniquée. - Peut-être préférez-vous aue je m'en charge et que par la même occasion je vous donne un nouvelle fessées devant tout le monde ?? Le directeur avait parlé assez fort pour que les gens les plus proches entendent. Delphine fait non de la tête et enlève le bouton de sa veste. Elle enlève finalement sa veste et la donne au directeur. - Mains posées au dessus de votre tête !! Comme si la pancarte ne suffisait pas, Delphine comprend qu'elle devra rester dans cette position de pénitente pendant la visite. Son collant largement transparent ne suffit pas au directeur il vient le descendre et le rouler au milieu de ses cuisses et la pousse vers la première salle. La visite dure plus de deux pendant lesquelles Delphine reste nue et les mains sur la tête. Les élèves prennent ensuite leur repas dans une salle à côté du hall et ont après une heure de temps libre. Delphine elle, doit manger rapidement, puis le directeur la met au coin dans le hall en mettant sa pancarte dans le dos. Elle doit rester à genoux les mains sur la tête pendant tout ce temps. Petit a petit, ses fesses retrouvent leur couleur normale. Ça ne la reconforte pas mais elle se dit que face au mur elle ne peut pas voir tous ses visiteurs et ces groupes d'autres établissements qui passent derrière elle. Le directeur vient la libérer en lui tendant sa veste pour partir. M. Firmin la conduit à son directeur. Quand ils entrent dans le bureau, celui-ci est surpris de la voir autant couverte. - Vous lui avez laissé sa veste ? Elle ne le merite pourtant pas ! - Oh ne vous inquietez pas ! Depuis deux jours elle est suffisamment punie... D'ailleurs elle est collée ce soir, pouvez-vous me la ramener quand vous aurez fini ? - Bien sûr... - Vous enlevez cette veste ! - Je vous la confie dès que possible. M.Firmin quitte le bureau alors que Delphine est une nouvelle fois en collants. Le directeur tourne autours d'elle, il baisse ses collants en passant derrière et les remonte. - Tiens vos fesses ne sont pas rouge... Vous n'avez pas reçu de fessée durant ces deux jours ? Delphine aurait préféré ne rien dire, mais elle est obligée de répondre sans préciser la cause : - M. Firmin m'a donné la fessée ce matin. - ah... et hier ? - non ! - Dommage, vous auriez mérité d'être fessée tous les jours cette semaine... mais on va rattraper le retard ! - Bon, demain matin vous viendrez ici en uniforme. Nous avons une présentation de l'établissement. Nous allons recevoir des furures élèves, des parents et des chefs d'entreprises intéressés par nos diplomés... Delphine écoute sans trop savoir où il veut en venir. - Vous ferez la visite et la présentation de notre école. Et comme il y aura un chapitre sur la discipline et les sanctions, qui est mieux placé que vous cette semaine ?? Il la laisse méditer un instant sur la journée de demain qui se prépare. Puis reviens sur la fessée qu'elle a recu le matin même. - J'imagine que vous avez été déculottée ? Delphine fait oui de la tête. - Et devant tout le ponde j'espère ? - euh, non... dans son bureau. - Il manque donc de sévérité ce M. Firmin... - 2 heures de retard mérité beaucoup plus... Delphine relève la tête vers lui en comprenant qu'il a été informé de son retard. - Qu'en pensez-vous ? Delphine ne sait quoi dire. Elle reste muette, et baisse la tête. - Pour moi en tout cas, c'est clair. ça mérite une fessée devant tout le monde... Le directeur lui prend la main pour qu'elle le suive dans le couloir. Il marche d'un pas décidé, Delphine a du mal à le suivre et traine derrière lui. - Quel niveau ? N'ayant pas de réponse, il s'arrête sans lui lacher la main. - Devant quel niveau méritez-vous de recevoir la fessée ? Delphine comprend et le supplie de ne pas aller dans une classe de première année. - Très bonne idée, ça leur fera prendre conscience de la discipline exercée ici ! Le directeur repart et s'arrête devant chaque salle pour lire sur le planning le cours du moment. Après quatre salle, il trouve ce qu'il veut et entre sans prevnir en tenant toujours Delphine par la main. - Je vous prie d'accepter mes excuses, mais je dois interrompre votre cours pour punir cette jeune fille... Delphine tremble comme une feuille. Elle n'arrive pas a s'habituer à la nudité, la honte l'envahit à nouveau accentué par le fait que les élèves devant elle sont beaucoup plus jeunes. Sans lui lâcher la main, le directeur lui fait faire un demi-tour et la penche en avant, puis lui emprisonne ses deux poignets au milieu de son dos. Il la fesse ensuite par dessus son collant. Lentement et sèchement. Delphine comprend rapidement que la présence du collant et encore pire que fesses nues. Il prend son temps entre chaque claque. En la maintenant plus fermement pour ne pas qu'elle bouge. Il prend suffisamment d'élan et choisi une fesses pour abattre sa main. Delphine crie à chaque claque, ses talons tapent le sol entre deux fessées. Elle en reçoit plus de vingt ainsi et il la remet face à tout le monde sans la lâcher les mains. Toujours emprisonnées dans le dos, il baisse ses collants. Il tire d'un côté puis de l'autre, passe sous ses genoux et descend encore une fois de chaque côté pour qu'ils soient enroulés juste au dessus de ses chaussures. Il la retourne à nouveau pour montrer ses fesses rougies. Pour les mettre en évidence, il la force à se pencher an avant. Les élèves au premier rang voient plus que ses fesses bien qu'elle garde ses jambes parfaitement serrées. Le directeur appuie encore sur son dos pour qu'elle se penche d'avantage. Delphine a envie de crier tellement elle trouve l'attitude du directeur pitoyable. Son dos est pratiquement a l'horizontale quand au momentoù elle s'y attend le moins, une nouvelle violente claque arrive sur ses fesses. Cette fois un cri sort de sa bouche et à la deuxième elle crie à nouveau mais c'est aussitôt étouffé par un sanglot sans retenue. detoutes les fessées qu'elle a reçu cette semaine celle-ci est de loin la plus forte. Le directeur continue, en laissant plusieurs secondes entre chaque claque. Le silence est pesant, juste entrecoupé par le bruit sec des claques et les pleurs non retenus de Delphine. Elle le supplie entre les claques d'arrêter, mais ce qu'elle dit est presque incompréhensible tellement elle pleure. Elle reçoit encore dix claques ainsi. Et quand le directeur lui lâche les mains, elle manque de tomber. Il la rattrappe en la prenant sous l'aisselle et la relève. Elle met plusieurs secondes à reprendre ses esprits. Puis se frotte les fesses et tente d'essuyer ses larmes mais qa coule sans doscontinuer sur ses joues. Le directeur l'accompagne en la tenant par le bras jusqu'à la porte. Elle sort avec ses collants à ses pieds. Elle semble ne pas se rendre compte que ca la gêne pour marcher. Le directeur les remonte lui même dans le couloir. Arrivés dans son bureau, le directeur lui laisse un moment de repis. Elle met plus d'une demi-heure à emerger de cette fessée. - Mettez votre veste, je vais vous raccompagner à Saint Joseph. Il y vont à pied mais Delphine n'a même plus la force de protester. M. Firmin constate immédiatement la couleur de ses fesses, rouges, avec des traces bleues. Il l'accompagne dans une salle de classe ou il y a un surveillant et trois garçons eux aussi doivent être collés. - Déshabillez-vous ! Même les collants vous vous mettez toute nue. Delphine le fait sans protester et va s'assoir a une table pour effectuer ses trois heures de colle. Totalement épuisée, elle s'endort tot le soir sans penser à sa dernière journée de punition. Quand elle se réveille, elle sent que ses fesses sont encore endolories et va constater dans le mirroir. Il y a encore quelques traces rouges mais c'est mieux. Elle enfile sont uniforme et conmmence à angoisser. Elle se demande comment va se passer cette dernière journée. Le directeur lui explique en arrivant. Et pendant près de deux heures, elle fait visiter l'établissement, explique les différents diplômes qui sont préparés. Il y a une trentaine de personnes qui lui pose des questions ou demande des précisions qu'elle peut apporter sans difficultés. Elle oublie un instant sa punition et passe finalement un bon moment. Delphine laisse le groupe au comptable tandis que le directeur lui dit de venir dans son bureau. Il l'invite a s'installer sur une chaise, et est presque surprise qu'il l'aurorise a garder son uniforme. - Tout a l'heure en fin de matinée, vous lirez au groupe un discours sur la discipline et les sanctions à l'école. Delphine commence à lire tandis que le directeur observe ses réactions. Il ne tarde pas à être satisfait, le rouge envahi ses joues. Lorsqu'elle a terminé, elle se demande comment elle pourra lire cela devant l'assemblée et surtout devant des gens avec qui elle a passé deux heures ce matin, qui sont loin de se douter de tout cela. Quand elle arrive dans la salle, tout le monde est déjà installés. Il y a le groupe de visiteurs, les délégués de classe, et le personnel enseignant. Elle sent qu'elle est toute rouge quand elle prend la parole. Le debut du discours se passe bien. puis vient le moment où c'est plus personnel, ele prend une grande inspiration et ne relève plus la tête : - Je suis moi-même punie cette semaine car j'ai commis une chose atroce... Les spectateurs semblent d'un coup plus intéressés. - Je me suis introduit dans l'école Saint Joseph... Elle doit dire dans le détail tout ce qu'elle a fait, puis en vient a sa punition. Sa voix devient à peine audible et le directeur est obligé de l'arrêter pour lui dire de parler plus fort. - Avec les responsable de cela nous avons été punis et nous avons tous reçu une fessée, plus ou moins sévère en fonction de notre participation à ces méfaits. Delphine, semble se recroqueviller pour continuer - Je suis la responsable de tout cela et je suis bien sûr sanctionnée d'avantage. je suis consciente que c'est pour m'améliorer et que ma punition est justifiée. J'ai reçu plusieurs fessées, aussi bien ici qu'à Saint Joseph. Il y a une certaine agitation dans la salle, Delphine s'arrête et en se retournant vers l'ecran, elle comprend pourquoi. Les noms et les photos de ceux qui ont participé aux changements de notes defilent sur l'écran. Puis on voit les trois filles alignées a genoux qous le préau dont une est déculottée. Puis le garçon nu a la cantine... Delphine panique elle ne se souvient pas avoir été prise en photo mais dans l'état où elle était, elle sait qu'elle n'etait pas toujours consciente de tout. Les autres photos défilent, les filles dans cours, les trois toutes à la cantine... Le directeur pose une nouvelle feuille sur son pupitre et lui dit de continuer. Delphine parcoure la feuille et implore le directeur du regard, mais celui-ci fronce les sourcils pour l'inciter à lire. - Ma présentation est terminée, et je vais devoir continuer ma... Delphine marque un temps d'arrêt comme si le mot n'arrivait pas à sortir de sa bouche. - punition ! Les larmes commencent a couler sur ses joues en lisant la suite. - Porter mon uniforme était exceptionnel ce matin, mais j'en suis privée. Le directeur monte sur l'estrade et vient mettre Delphine devant le pupitre. - effectivement c'etait exceptionnel, enlevez-le ! Delphine regarde le directeur comme si elle doutait de son sérieux. - Allez ! Enlevez votre uniforme ! En sous-vêtements ! Tout de suite... Delphine sait qu'il n'est sera pas autrement, elle défait sa veste, degraphe sa jupe etet l'enleve quand elle tombe a ses pieds. Puis déboutonne son chemisier. Sans lever la tête, elle l'élève. Elle se retrouve en culotte, soutien-gorge et collants transparents. Le directeur vient la chercher, pour la placer au bord de l'estrade. - Restez là un moment ! Et mettez mes mains au dessus de votre tête. -Et faite entrer les autres punis de la semaine. Le surveillant ouvre la porte et les onze autres punis entre les uns derrière les autres.Ils ont tous les mains posées au dessus de leur tête. Certaines pleurent deja en entrant, ils ont tous le regards baissé vers le sol. Les trois filles qui ont été au coin sous le préau sont en première. Les élèves arrivent comme ils ont été punis. Les deux premières filles sont habillées normalement, la troisième a l'arrière de sa jupe relevées et sa culotte descendue sous ses fesses. Jessica et sa copine qui ont été punie en classe marche sans leurs jupes. Suit le garçon de la cantine intégralement nu. Ensuite Emilie et Marion sont routes les deux en larme. Elle sont nues de la taille aux chevilles. Delphine comprend en voyant ses amis defiler que la punition est loin d'etre terminée. Céline, Amandine et Aurelie n'ont que leurs culottes. Tout le monde doit monter sur l'estrade à côté de Delphine, face a l'assemblée. Le directeur fait un court discours sur la discipline et les punitions que chacun a reçu cette semaine. Quand il explique que Céline, Amandine et Aurélie ont été fessées à la cantine, il precise qu'elles ont été déculottées et fait signe au surveillant qui passe derrière elles et baisse complètement la culotte de chacune. En voyant le garcon nu et ses trois copines avec leurs culottes aux chevilles Delphine n'a plus de doutes sur la sentence qui ne va pas tarder à tomber. D'ailleurs, le surveillant met une chaise au milieu de l'estrade et le directeur attrappe Delphine par le bras. - Je vous ai promis une fessée tous les jours... Venez recevoir celle d'aujourd'hui. Delphine se laisse conduire tête basse jusqu'à la chaise. Et doit s'allonger elle-même sur les genoux du directeur. Il commence à la fesser ainsi par dessus son collant. Elle encaisse les claques en fermant les yeux et en essayant de contenir ses larmes. Mais deja, les claques ravivent la douleur de la punition de la veille. Il la relève un moment et lui demande d'enlever ses chaussures. Quand c'est elle doit s'allonger une nouvelle fois. Elle se prepare a être déculottée mais le directeur continue par dessus mais avec des claques plus sèches. Puis il la relève à nouveau et va la placer face au mur à genoux. Il met ses mains l'une au dessus de l'autre au dessus de sa tête, lui remet le dos droit et avance sa tête pour que son nez touche le mur. - Vous recevez la fin de votre fessee cet après-midi... Puis il ordonne aux dix autres de venir au coin comme Delphine. Il en profite pour récupérer les culottes des trois filles, et ajuste la position de certains, en leur intimant l'ordre de ne pas bouger. La salle se vide seuls de surveillants reste pour vérifier qu'aucun ne bouge. Le temps leur paraît extrêmement long. Les genoux et leurs dos les font souffrir. Plusieurs demande à se lever un instant mais les surveillants sont intransigeants. Tout le monde reste ainsi pendant près de deux heures. Quand le directeur vient les liberer, ils ont du mal à se lever et mettent quelques instants pour partir. Delphine est restée seule face au mur et le directeur retient Céline, Amandine et Aurélie. Elle doivent toutes les trois se pencher sur une table, les fesses tournées vers l'assemblée. Ledirecteur passe devant elles avec une longue baguette a la main. Les filles panique en voyant ce long bout de bois souple. Aurelie est la première à la recevoir, elle crie et se relève en mettant ses mains sur ses fesses, puis eclate en sanglots tant la douleur irradie ses fesses. Ammandine et Céline recoive aussi chacune leur coup de baguettes et leurs fesses sont striees d'une belle marque rouge en plein milieu. Elle doivent retourner au coin tandis que le directeur appelle Delphine. Complètement apeurée par les visage grimaçants de ses copines quand elle les croise, elle s'approche tout doucement. Le directeur l'attrappe et la fait avancer plus vite et descend les bretelles de son soutien-gorge pour liberer ses seins puis il passe derrière elle pour lui enlever. Et tout en restant derrière elle, il passe les doigts sous ses collants et sa culotte et baisse le tout d'un coup. Delphine se cache le visage de honte. Elle se laisse enlever sa culotte et ses collants et doit mettre ses mains sur sa tête. Complément nue face a l'assemblée, elle ferme les yeux pour ne pas croiser les regards des gens avec qui elle a passer une partie de la matinée. Sans qu'elle ne s'y attende, un violent coup de baguette arrive sur ses fesses lui arrachant un déchirant cri de douleur. Le directeur fait siffler sa baguette et un deuxième coup arrive. Elle hurle cette fois-ci et éclate en sanglots. Le directeur ne s'appitoye pas et lui en donne trois supplémentaires. Elle tombe à genoux à la fin de sa punition, complètement épuisée. Le directeur la relève et lui accorde avec les trois filles un moment de repis, libres. Mais il leur indique de bien rester toutes nues. Les filles s'écartent pour reprendre leurs esprits, mais restent inquiètes pour la suite. Les visiteurs quittent l'école un peu plus tard. Le directeur les raccompagne puis revient vers le filles. - Vous arrivez au terme de votre punition Mesdemoiselles... Juste une dernière chose a faire ! Delphine vous en avez l'habitude maintenant, mais pour vous trois c'est autre chose... Le directeur laisse volontairement un temps sans rien dire pour que l'angoisse monte. - M. Firmin souhaite constater par lui même que les fesses des quatre principales punie sont bien marquée. Donc je vais vous emmener à Saint-Joseph. Et je vais vous y emmener toutes nues. Suivez-moi ! Même si Delphine est plus habituée, elle fond en larme en passant la grille de Saint-Joseph, comme les trois autres. La cours est pleine et le directeur leur a fait la recommandation de ne rien cacher. Chacune doit monter ses fesses zébrées avant de repartir.