mardi 27 août 2024

Rendez-vous punition

Je recois sur ma boite mail, une prise de contact d'une femme de 45 ans que mes histoires hantent depuis plusieurs années. Elle est timide, un peu craintive, mais au fil de nos échanges de mail, elle m'avoue que l'idée d'etre punie l'attire. Elle n'a jamais reçu de punition, mais déjà depuis l'école, l'exhibition punition lui traversait souvent l'esprit. Au point de se caressait régulièrement en pensant à ça. Je l'ai beaucoup écouté et questionné pour connaitre ses motivations dans les moindres détails. Elle s'est libérée et confiée. De plus en plus en confiance, nous avons évoqué l'idée d'un rendez-vous où elle serait punie. Je l'attends sur le parking. Elle est pile a l'heure. Je reconnais la Clio grise, qui hésite à se garer dans un coin discret. La voiture s'immobilise, elle ne sait pas que je la vois. Il se passe quelques minutes avant qu'elle ne sorte. Elle regarde tout autours d'elle un peu effrayée. Puis même si je ne peux voir d'où je suis, je comprends qu'elle remonte sa jupe. Et elle pose ses mains au dessus de sa tête parfaitement obéissante à ce qu'on avait prévu. Elle regarde partout, autours, je ne laisse pas plus longtemps dans cet état de stress, et je vais me garer à côté. Dans ses yeux je lis la crainte et la libération en même temps. - Bonjour Caroline, vous pouvez baisser les bras et remettre votre jupe correctement. Nous avons convenu que je l'emmènerai sur le lieux de la punition en voiture. Je constate qu'elle s'est habillée comme on l'a évoqué : une jupe, un chemisier et un pull. Des collants transparents chair et des bottinnes. Je fais exprès de garder le silence et l'air strict pendant tout le trajet. Je la sens mal à l'aise, le silence est pesant, elle bouge sur le siège visiblement angoissée. Une fois arrivés, je sors rapidement de la voiture, pour en faire le tour, elle a à peine le temps d'ouvrir la porte. Je l'ouvre en grand et lui attrappe le haut du bras pour la faire sortir. Je la fais marcher devant moi, en la tenant fermement juste sous l'aisselle. Une nouvelle fois, je la vois regarder tout autours d'elle, paniquée. Nous entrons dans le bureau que j'avais prévu. - Nous sommes donc là pour remedier à toutes les punitions que vous n'avez pas eues à l'école. Etes-vous prête a être sévèrement punie ? Aucun son ne sort de sa bouche, mais un timide hochement de tête me signifie que oui. Je m'approche d'elle et la plie sous mon bras. Au dessus de sa jupe, elle reçoit la toute première fessée de sa vie. J'y vais gentillement, je lève tout de même sa jupe pour finir par dessus ses collants. Puis je la conduis au coin en lui tirant l'oreille. Elle doit se mettre à genoux bien droite avec les mains sur la tête. je la fais s'approcher du mur pour que son nez le touche. Elle m'a avoué dans nos échanges devoir rester longtemps au coin. Je lui interdis de bouger, et de ne surtout pas se retourner. Je quitte la pièce et reviens 40 minutes plus tard. Elle n'a pas bougé, je lui intime l'ordre de rester face au mur et demande explicitement aux personnes que je suis allé chercher de rentrer. A ces mots, je vois le corps tout entier de Caroline tressaillir. Je suis accompagné de cinq personnes, qui sont censés représenter les camarades de classes de Caroline. Dont deux étaient effectivement en classe avec elle quand elle etait jeune. - Caroline levez-vous et retournez-vous ! Et laissez vos mains sur votre tête ! j'avais caché à Caroline qui pouvait être présents, comme je n'ai pas dit à ses anciens camarades qui était la punie. Mais lorsqu'elle se retourne je comprends instantanément qu'ils se reconnaissent mutuellement. Le rouge monte aussitôt aux joues de Caroline. j'invite les "élèves" à s'assoir sur les chaises en prenant soin de positionner Ghislain et Olivier, ces deux anciens camarades au premier rang. Et je mets Caroline face a eux, en lui imposant de garder ses mains au-dessus de sa tête. - Alors Caroline ! Je vous laisse vous prensenter et dire ce que vous faites ici... Elle a du mal à s'exprimer, visiblement très perturbée. Je lui demande à plusieurs reprise de parler plus fort. Mais on comprend son nom, son âge, d'où elle vient... - Pourquoi êtes-vous là, Caroline ? Je sens que ma question la perturbe encore plus. Elle bagaye un peu, sans doute incapable de savoir par où commencer, je decide de lui couper la parole . - Bon, Caroline a sans doute trop honte de l'avouer, mais elle voulait être punie !!! Figurez-vous que depuis l'école elle fantasme sur les exhibitions, punitions et fessées. Au point même de se caresser en pensant à cela encore aujourd'hui mais déjà à l'époque. - D'ailleurs Caroline, vous avez sans doute reconnu les deux garçons qui étaient dans votre classe ? Une nouvelle fois Caroline hoche la tête. - Alors ne soyez pas si timide, vous qui avez tant rêvé d'etre punie devant eux, vous devriez être contente d'etre ici !!! Je vais d'ailleurs vous laisser quelques instants tout les trois pour vous rappeler des souvenirs, conciderez cela comme la pause. Je laisse Caroline honteuse avec ces deux anciens camarades pendant 10 minutes, puis je reviens avec le reste de l'assemblée. Quand nous revenons dans la salle,les joues de Caroline sont toujours aussi rouges. Elle semble tres gênée de parler avec ces anciens camarades. Avec l'aide d'un participant, je mets une table devant les chaise et je viens placer Caroline entre la table et le premier rang. - Tout le monde peut reprendre sa place... Caroline va recevoir sa fessée. Je dis ça le plus naturellement possible, comme si c'etait normal. Je vois la panique monter dans ses yeux et j'en profite. - Ben alors Caroline, vous semblez paniquée... C'est pourtant ce que vous voulez depuis longtemps... Allez, restez bien droite, regardez vos camarades et mettez vos mains sur la tête ! Elle est toute tremblante, et bien pâle d'un coup. Je lui donne une claque par dessus sa jupe puis une deuxième et je n'attends pas pour lui remonter l'arrière de sa jupe et continuer sur ses collants. Je la fesse lentement, je vois qu'elle regarde vers le fond de la salle. Je me montre plus sévère : - Regardez vos camarades pendant votre punition ! J'attends qu'elle baisse les yeux et baisse l'arrière de sa culotte en même temps que ses collants. L'avant de sa jupe cache sa culotte mais je continue la fessée sur ses fesses nues un moment. Puis je remets, sa culotte, ses collants et sa jupe en place. Je la pousse vers la table derrière elle et la force à s'asseoir dessus. Sa jupe courte remonte, elle est a hauteur des yeux des élèves, je la vois qui sert les cuisses. Ce geste de pudeur me fait sourire en imaginant la suite. - Caroline, dites nous dans quelle position vous étiez pour être punie lors de vos rêveries masturbatoires ? Je la vois aussitôt rougir à nouveau : - Euh... Comme vous venez de faire... Une nouvelle fois, je deviens plus sévère : - Vous savez que j'ai horreur des mensonges, ce n'est pas ce que vous m'avez dit lors de nos échanges de mails ! - Euh... Oui, mais en fait je n'aime pas trop... - Dites plutôt que vous avez trop honte de l'avouer... Allongez-vous sur le dos ! Quand elle le fait, j'attrape ses chevilles et relève ses jambes au-dessus de la table. Cette fois-ci tout le monde voit sa culotte et j'en profite pour lui écarter les jambes. - Voilà la position de fessée que Caroline imaginait lors de ses séances de punition ! Je la fait glisser au bord de la table et remonte sa jupe pour dégager complètement sa culotte. Et je lui claque les fesses deux fois, puis la relève aussitôt pour la remettre face a tout le monde. Ses joues sont encore cramoisies. Je ne sais pas si c'est à cause de ce que je viens d'avouer ou parce qu'elle a montré sa culotte. Je la vois d'ailleurs resdescendre sa jupe. - Puisque c'est votre position favorite, vous aurez le droit à une autre fessée comme ça tout a l'heure. Et sans culotte ! Mais pour le moment, vous allez vous mettre a genoux. Montez sur la table pour qu'on vous voit tous bien !! Et mettez vos mains sur votre tête ! Caroline monte sur la table face à tous le monde. Elle baisse aussitôt les yeux. - Vous êtes bien trop habillée pour une punie, je vais arranger ça... Je lui fais hausser les bras pour passer son pull, et je defais le chemisier de sa ceinture. Puis je déboutonne en la regardant, mais elle ne peut soutenir mon regard. Une fois tous les boutons defaits, j'attrape son bras pour deboutonner la manche et je repose sa main au-dessus de sa tête. Et je fais pareil pour l'autre manche. J'ecarte ensuite les pans de son chemisier pour offrir aux regards la vue sur son décolleté et son soutien-gorge noir. Puis je passe derrière elle et descends la fermeture de sa jupe, défais le bouton et je lui baisse aux genoux. Je la laisse 15 mns ainsi sans bouger, et je viens lui retirer son chemisier. j'en profite pour la faire descente de la table un instant pour lui enlever complètement sa jupe. Et je la fais remonter sur la table dans la même position de punie mais cette fois, en sous-vêtements. 15 mns supplémentaires comme ça, où je lui impose de soutenir les regards de ces camarades. Je sens bien que c'est compliqué pour elle, et je remarque surtout une grande gêne concernant les deux hommes qu'elle connaît. Je laisse ensuite tout le monde sortir pour la pause. A part Caroline que je m'apprête à emmener au coin. Mais elle me demande l'autorisation de se rendre aux toilettes. Je sors avec elle, en la poussant dans le dos. Je ne l'ai pas autorisée a enlever les mains de sa tête et elle passe devant tout le monde ainsi, je la dirige vers les toilettes des hommes. Ghislain est en train de se laver les mains quand nous arrivons. Elle s'arrête en le voyant, mais je la pousse pour entrer dans les toilettes face aux lavabos. Je sais que Ghislain peut nous voir dans le mirroir et je ne ferme pas la porte. Je vois Qu'elle commence a paniquer... - Non, non, gardez vos mains sur votre tête, c'est moi qui baisse votre culotte. Je sais qu'en parlant assez fort Ghislain comprendra tout. Je fais attention à bien baisser ses collants jusqu'aux chevilles et je fais pareil avec sa culotte. Puis je la positionne sur les toilettes et ressort aussitôt. - Ghislain, pouvez-vous la surveiller le temps que je me lave les mains ? Il se met aussitôt devant l'ouverture de porte et j'imagine ce qu'ils voit : Caroline, assise sur les toilettes, la culotte baissée, complètement désemparée. Je me retourne en demandant si elle a fait pipi. Ghislain répond que non, je vais moi aussi devant l'ouverture de la porte. - c'est la seule pause que vous aurez avant la fin de votre punition, je vous conseille de faire tout de suite... Elle doit faire un effort pour depasser ce blocage et nous entendons qu'elle est en train de se soulager. Au comble de la honte, elle n'ose pas bouger quand ça s'arrête. - Vous pouvez vous essuyer... Elle fait le minimum, prend un peu de papier et écarte ses jambes au minimumn pour s'essuyer et jeter le papier. Je viens la chercher pour la faire sortir des toilettes sans même lui remonter sa culotte. Et je la laisse debout devant les lavabos pour se laver les mains. Nous sommes derrière elle et avons une magnifique vue sur ses fesses nues. Elle n'ose pas levé la tête et regardé dans le miroir. Je repense soudain a nos échanges de mail : - Au fait Caroline, puisque que nous sommes aux toilettes avec Ghislain, dites-lui ce que vous avez souvent eu envie de faire dans les toilettes du collège... Caroline ne bouge pas pendant un instant. Elle sait très bien de quoi je parle. Elle relève la tête hésitante. - Je... enfin, non... - Retournez-vous ! Et remettez les mains sur la tête ! On vous écoute... Encore plus gênée, Caroline nous expose maintenant son côté pile. Et Ghislain découvre le sexe de son ancienne camarade brune, épilé court, laissant deviner tous les contours de sa féminité. Caroline fait un effort surhumain pour en parler... - Je ne l'ai jamais fais... Mais, ce n'est pas arrivé souvent... Mais j'ai eu parfois l'envie de me... toucher dans les toilettes... quand... on etait au collège. Satisfait, je me dirige vers elle pour remonter sa culotte. Et tout en faisant pareil pour ses collants, je demande à Ghislain ce que ça lui fait de voir sa copine de classe punie ainsi. - Je n'aurais jamais imaginé ça... Je suis très surpris que Caroline vous demande à être punie comme ça. J'avais le souvenir d'une fille très serieuse et studieuse, elle ne faisait jamais de bêtise, cependant j'aurai bien voulu voir M. Esteban lui baisser sa culotte en classe pour la fesser ! - Oui effectivement, elle m'a dit être très sage, mais elle se souvient vous avoir avoir laissé copier sur sa feuille à un contrôle et vous vous êtes fait attraper. Je vois Caroline palir à l'évocation de cette anecdote. - Sachez qu'elle a longtemps imaginé que vous auriez été punis. Et pour elle bien sûr ça aurait été une fessée déculottée et une mise au coin, punie pendant toute l'heure... Elle se voyait même toute nue pour ça !! Je prends Caroline sous l'aisselle et nous rentrons dans la salle. Tout le monde est déjà installés. Ghislain regagne sa place encore chamboulé par ce qu'il vient d'apprendre. J'installe entre Olivier et Ghislain une table où je place Caroline et je lui donne une feuille et un stylo. Puis je ditribue un devoir particulièrement compliqué en précisant que les reponses sont toutes dans le cours à apprendre pour aujourd'hui. Évidement, les autres, sont informés et ont les réponses. Je regarde Caroline et comprend qu'elle ne connait rien à tout ce que je demande. Elle sent le piège se refermer contre elle et commance à paniquer. Elle me regarde, regarde autours. Jete un œil sur les tables voisines et voit tout le monde ecrire... - Gare a ceux qui n'ont rien appris... et surout celle qui essaie de regarder les copies voisines !!! Caroline étant la seule femme, elle lève la tête d'un coup et devant mon regard sévère, s'affaire sur sa copie pour noter quelque-chose. Je ramasse les copies quelques minutes après. Et en silence, je les lis une part une. Je reste un moment sur celle de Caroline, en fronçant les sourcils. Puis je pose le paquet sur la table... - Caroline ! En plus d'essayer de copier sur vos voisins, vous n'avez rien appris !!! - Venez ici tout de suite !!! Elle me rejoint doucement. Je lui prends le bras et la retourne face a la salle. - Qu'est ce qui se passe quand on apprend pas ses leçons ?? Elle reste silencieuse incapable de répondre. Je lui donne une claque sur les fesses qui la fait avancer d'un pas et j'attends. Je vois ses yeux s'embrumer, et je lui donne une deuxième claque plus forte. Elle avance encore, et ça arrive enfin à sortir de sa bouche d'un coup... - Une fessée !!!... - Effectivement une fessée, mais vous allez nous préciser une fessée comment ? Elle hésite encore, mais quand je lève ma main, elle se decide à parler : - C'est une fessée sur les fesses nues.... devant tout le monde... Je sens que ça à été compliqué à dire, mais elle a enfin reussi. - Exactement, une fessée déculottée devant tout le monde ! Et c'est ce que vous allez avoir... Mais avant enlevez votre soutien-gorge ! Les bras lui en tombe, elle commence a se retourner, mais d'une main sur chacune de ses épaules je le remets face à tout le monde. - Sachez que c'est une épreuve pour Caroline, car elle est complexée par sa poitrine généreuse et vous allez bientôt voir que les années n'ont rien arrangé... Je la vois rougir de mes propos alors qu'elle passe ses mains dans son dos. Elle degraphe son soutien-gorge et je l'aide à l'enlever en baissant les bretelles et en lui libérant les seins. - Mettez vos mains sur la tête et allez faire le tour de la salle, passez par le milieu des rangs, ça vous apprendra à vouloir tricher... Caroline marche rouge de honte, personne n'en perd une miette, puis reviens vers moi. - Vos seins sur la table, les fesses tournées vers l'assemblée, dépêchez vous ! Elle se courbe sur la table visiblement rassurée de ne plus affronter les regards, mais elle se crispe a nouveau quand je passe mes mains sous l'élastique de ses collants, je lui baisse jusquaux genoux. Elle se tend encore quand mes pouces glissent dans sa culotte et je la descends également. Sans lui laisser le temps de s'habituer à la nudité, je lui claque les fesses une bone dizaine de fois juste pour que le rouge arrive. Puis sans la retourner je l'emmène face au mur et la mets à genoux avec les mains sur la tête. Je trouve un prétexte pour faire sortir l'assemblée et reste un instant avec Caroline. Sans bouger du coin, elle me dis que c'est dur et qu'elle a du mal à rester toute nue devant tout le monde. Je ne mui laisse pas le choix en lui disant que c'est elle qui a voulu tout ça... - Vous vouliez etre punie, fessée et ridicule devant tout le monde ! Donc maintenant, on va aller jusqu'au bout... - Je vais revenir avec tout le monde tout à l'heure... Pendant ce temps, vous allez enlever votre culotte et la poser sur le bureau de Ghislain. Vous gardez vos collants et vos chaussures. Vous vouliez être ridicule, vous allez l'etre croyez-moi ! Je ne lui laisse pas le temps de répondre, et quitte la pièce pour la laisser seule. Nous revenons 10mns plus tard et je constate dès en entrant que sa culotte n'est pas sur le bureau de Ghislain, cependant elle l'a posée sur ses autres vêtements, et elle s'est remise au coin les fesses parfaitement moulées dans son collant. - En plus d'etre une fénéante et une tricheuse, je constate que Caroline a beaucoup de mal avec la discipline... Elle est désobéissante et ça va lui jouer des tours... - Ghislain, allez chercher les sous-vêtements et votre ancienne camarade, elle n'en a plus besoin de la journée. Gardez-les avec vous... - Quant à vous Caroline, venez ici j'en ai pas fini avec vous... Elle se lève et cache son sexe d'une main et sa poitrine avec le deuxième bras. Je la laisse faire le temps d'installer une chaise et de la basculer sur mes genoux. Je lui donne une autre serie d'une dizaine de claques puis je la relève d'un coup. - Montez sur la table ! A quattre pattes afin qu'on vous voit de côté ! Quand elle est installée, ses seins pendent vers le bas. - Vous me l'aviez dit lors de nos échanges, mais effectivement, vous êtes vraiment ridicule ainsi, restez comme ça un moment. Après un bon quart d'heure d'échanges avec les participants je viens lui mettre un fessée. Je ne claque pas très fort, car avec le seul collant, je sais que les claques sont plus cinglantes. A cause des claques, elle n'a plus fait attention à sa position et en passant derrière elle, je vois, grâce à son collant transparent, ce que les autres n'ont pas encore découvert, et je me dis qu'il est largement temps. J'aide Caroline à descendre et la mets face a la salle, mais cette fois-ci je ne lui laisse pas le temps de se cacher, j'attrape ses poignets et je pose moi-même ses mains au-dessus de sa tête, laissant découvrir a tout le monde son corps presque nu. Puis je m'affaire derrière elle pour descendre ses collants jusqu'à ses chevilles. Enfin je l'aide a s'asseoir sur la table. -Nous arrivons au point d'orgue de votre punition Caroline ! Enlevez vos chaussures et vos collants, c'est toute nue que vous allez etre punie maintenant... Caroline est obligée, de levez une jambes et l'autre pour se dechausser montrant plus que ce qu'elle devrait et elle enlève ses collants. - Nous allons reprendre la première position de fessée... J'imagine que vous vous en souvenez car c'est votre préférée... Tout en lui disant cela je pousse sur ses épaules pour qu'elle s'allonge. - Maintenant, relevez les jambes ! Je l'aide un peu et lui écarte en même temps. Son intimité s'ouvre et je vois Caroline se cacher le visage. je passe sur le côté et ouvre ses jambes en grand. - Gardez les jambes écartées que tout le monde profite de votre intimité. Je vous assure qu'on voit tout... Je lui mets cinq claques ainsi, puis je l'aide à se retourner. Une fois à quatre pâte je la fais se cambrer au maximum et écarter ses cuisses. Et je lui donne cinq claques supplémentaires. Dans cette position même les personnes situees dans le fond peuvent profiter de son sexe ouvert et même d'avantage. Ses fesses sont rouge, elle doit avoir quelques picotements, mais je pense que la honte qu'elle ressent est bien pire. Je lui tiens la main pour qu'elle se remette debout. Avec tout ce qu'elle a montré, elle ne cherche plus a se cacher. Puis je l'accompagne jusqu'à la porte. - Vous allez dire à vos camarades au revoir et vous excuser d'avoir perturbé le cours. Un à un, ils passent devant elle, je sens qu'elle a beaucoup de mal a s'exprimer et à regarder Olivier dans les yeux. Quand il ne reste que Ghislain, je le retiens. - Pouvez restez un instant, Ghislain ? Caroline m'a beaucoup parlé de vous... Et elle aurait bien voulu se retrouver toute nue devant vous quand vous étiez au collège... Donc... Il ne s'oppose à rester bien au contraire... - Visiblement Caroline a toujours regretté de vous avoir laissé copié sur sa feuille lorsque vous etiez en cours ensemble et que vous vous etes fait pincer... Cet événement lui revient soudain en mémoire. - Enfin elle a surtout regretté de ne pas avoir été punie !!! Caroline rougis à l'évocation de ces souvenirs. - Je pense qu'il est temps de boucler la boucle... Caroline demandez à Ghislain de vous fesser ! Elle reste bouche bée,.et ne s'attendait visiblement pas à ça. - Euh, est-ce tu veux bien me... punir ? Ghislain ne demandait pas tant. Il accepte évidemment. Et s'assoit sur la chaise pour l'accueillir sur ses genoux. Je regarde la fessée qu'il lui donne et qui fait rougir instantanément d'avantage ses fesses. Caroline est obligée de le remercier apres la punition. Il précise que c'est bien agréable d'avoir revu Caroline trente ans plus tard. et qu'il ne pensait pas du tout ça de la fille sage qu'elle était. Nous nous retrouvons seuls avec Caroline. J'ai du travail, et je compte bien le faire maintenant. J'envoie Caroline au coin, sans vêtements, pendant ce temps. Je sais qu'elle voulait rester longtemps au coin pour expier ses fautes et je compte bien en profiter maintenant. Je prends tout mon temps et elle reste ainsi sans bouger et silencieuse pendant presque une heure. - Je vais vous ramener à votre voiture. Vous pouvez mettre ça... je luis donne ses chaussures, ses collants et son pull. - le reste vous sera inutile... je vous les enverrai en colis pour plus tard !! Elle insiste pour avoir sa jupe ce que je lui refuse catégoriquement. Rentrer ainsi accentuera sa punition, et je sais qu'elle a deux heures de route. Son pull ne lui cache pas les fesses et elle est obligée de tirer dessus devant pour cacher son sexe le temps de monter dans la voiture. Arrivés sur le parking où elle a laissé sa voiture, je me gare plus loin pour qu'elle y aille à pied. Elle m'implore une nouvelle fois sa jupe, mais cette fois-ci je me fâche : -si je vous entends encore, je vous mets toute nue et je vous donne une fessée sur le parking.. Elle arrête aussitôt et me dit merci de lui avoir offert cette punition et quitte la voiture. Elle court presque pour monter dans la sienne. Je vois ces fesses à travers son collant et je constate que je ne suis pas le seul. Elle démarre aussitôt et s'eloigne rapidement. Je ne suis pas sûr qu'elle resiste a mettre sa main a l'intérieur de son collant avant d'arriver chez elle, mais je lui demanderai...

lundi 19 août 2024

Juliette

Depuis qu'elle est arrivée dans cet établissement, Juliette ne s'y ait jamais faite. Un peu timide, elle n'a pas vraiment reussi à se faire de copines et encore moins de copains. N'osant pas trop aller vers les garcons. Sans être grosse, cette petite brune aux cheveux mi-longs est un peu rondelette. Pourtant très jolie, elle n'accepte pas son corps. Ce qui la hante le plus c'est le règlement, la sévérité et surtout les punitions dans l'école. Ce qu'elle a déjà vu la fait frémir et depuis qu'elle-même a été punie pendant un cours de Maths elle ne supporte plus de rester à l'école. C'etait pourtant une petite punition, mais elle en avait pleuré des jours. Le prof lui avait lever sa jupe pour lui donner deux claques par dessus sa culotte devant tout le monde. Depuis ça, elle pensait toujours que ce pourrait etre pire un jour et n'avait qu'une idée en tête : partir de cette école. Elle savait qu'un garçon a été renvoyé et se dit que ce serait une bonne solution si elle aussi serait renvoyée. Après une enquête assez discrète, elle apprend qu'il a été renvoyé pour avoir insulté un membre du personnel, sans trop de précision. Et se met en quête d'une solution radicale. L'idée lui vient quelques jours plus tard où elle décide d'insulter le prof de musique, et même si elle est aucunement raciste, elle se dit que l'insulter sur ses origines serait encore plus grave et qu'elle serait renvoyée immédiatement. Il ne lui reste plus qu'a écrire des propos racistes dans son cahier et proférer quelques injures raciales et se sera bon. Elle se force à mettre son plan a exécution, ça lui est contre-nature mais ça marche. Elle est aussitôt mise a pied pendant deux en vue de son exclusion. Elle rentre chez et n'a plus qu'à affronter la colère de sa mère, mais il faut bien en passer par là. Ce à quoi elle n'a pas pensé, c'est à la somme que sa mère a mis dans ces études et aux sacrifices qu'elle a fait pour la faire entrer dans cette école. Sans compter que sa mère aura beaucoup de difficulté à trouver une autre école aussi proche. Sa mère est folle, elle l'enguelle comme jamais, se retient de la frapper et la congedie dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, elle comprend que sa mère appelle l'école et va discrètement decrocher le combiné de l'étage. Sa mère parle avec le directeur, elle lui présente des excuses au nom de sa fille et lui demande d'être indulgent. Le directeur est catégorique, le comportement de Juliette ne donne droit a aucun traitement de complaisance même s'il reconnaît que les efforts financiers pour l'incrire ont été très consequents, mais qu'aucun remboursement n'aura lieu après le renvoi de Juliette. Sa mère insiste en invoquant qu'il y a des punitions dans le règlement intérieur, ce à quoi le directeur lui repond répond que les propos de Juliette dépassent les punitions qu'ils ont prevu au règlement. Sa mère insiste de nouveau, le directeur sent qu'elle au bord des larmes et accepte finalement de la rencontrer pour en parler. Juliette raccroche sans trop savoir ce qui ressortira de cette rencontre. Sa mère ne lui en parle pas du tout et n'évoque rien, meme pas la conversation avec le directeur. Le lendemain matin Juliette voit sa mere debarquer dans sa chambre, allumer la lumière et ouvrir la fenêtre en grand : - Debout, prépare-toi, on va à ton école! Juliette n'a pas le temps de demander ce qui se passe. Elle se prépare et monte dans la voiture en silence. Mais depuis que sa mère a évoqué l'école, une boule s'est forme dans son ventre, elle se sent tres mal. En arrivant, elle comprend qu'elles vont toutes les deux aller voir le directeur. Il les fait venir dans son bureau, salue sa mère, n'ayant aucune considération pour Juliette. Il lui serre la main, et l'invite à s'assoir devant son bureau. Puis en vient finalement à Juliette : -Toi je ne veux pas te voir ! Au coin à genoux face au mur, les mains sur la tête et tu ne bouges pas ! Juliette se dirige vers le mur a côté de la porte et obéit. Sa mère est très surprise d'autant de sévérité et de l'attitude de sa fille mais ne dit rien. Le directeur en vient aussitôt aux faits. - Je sais que c'est dur pour vous, mais je ne pas rester sans rien faire devant un comportement, tel que celui de votre fille... Sa mère écoute silencieuse elle aussi, impressionnée par la sévérité que degage cet homme. Juliette se sent de plus en plus mal, et commence à regretter d'avoir écrit toutes ces choses affreuses. - Hier vous m'avez parler des punitions que nous avons dans notre règlement... C'est que des choses sont prévues, mais là, ce q'a fait votre fille, ça depasse tout cela ! - Savez-vous Madame, quelle est la punition de niveau 5 ? La plus haute de notre règlement ? La mère de Juliette ne sait pas exactement, et préfère ne pas répondre en secouant timidement la tête. - Votre fille, elle le sait ! Eh bien la punition de niveau 5 est une fessée dans le refectoire, donc devant tout le monde, garcons et filles mélangés. Et la punition est donnée sans aucun vêtements ! D'ailleurs le ou la punie reste complètement nu après la punition ! La mère de Juliette reste silencieuse, Juliette elle tremble comme une feuille. Après un long silence, le directeur reprend : - Voyez-vous, Juliette mérite bien plus que ça ! Mais vous m'avez convaincu et je vais vous aider, je ne vais pas renvoyer Juliette ! Le visage de la mère de Juliette s'illumine enfin, libérée de tout ce poid et des soucis qui s'en vont d'un coup. - Vous êtes bien consciente que Juliette va être sévèrement punie ! - Oui, je sais, merci de votre indulgence et merci de ne pas la renvoyer. Tout s'écroule pour Juliette qui s'effondre en pleurs. Elle prend d'avantage conscience que sa mère de ce qui va se passer. Elle se prepare a se lever pour partir en remerciant encore le directeur, mais se fait rabrouer aussitôt : - Restez assise et toi Juliette tu viens ici ! Sa mère se rassoit vexée et gênée que le directeur lui parle ainsi. Juliette vient avec le visage baigné de larmes. - Enlève ton uniforme ! Elle se met à pleurer plus fort et regarde sa mère désespérée, mais celle-ci détourne le regard. Elle enlève sa veste, puis sa jupe et cache son visage dans ses mains trop honteuse d'etre en culotte devant le directeur. - Il n'y a pas l'écusson de l'école sur ton tee-shirt ??? - Alors enlève le aussi ! En sous-vêtements elle attend la suite... - Juliette n'est désormais plus digne de porter l'uniforme de l'école, et elle en sera privée jusqu'à la fin de l'année. cela vaut pour les cours, les entres-cours, le sports et les sorties scolaires !!!! Juliette tombe sur ses genoux, je joins ses deux mains devant elle comme si elle priait. - Non, s'il vous plaît, pas ça ! J'aurais trop honte... Le directeur ne se préoccupe pas de Juliette qui est au sol. - Nous sommes en février, elle pourra mettre des collants comme ceux d'aujourd'hui jusqu'aux beaux jours, ensuite elle en sera pivée. Mais ce sera uniquement des couleurs chairs et clairs qu'on puisse voir en transparence ! Juliette est complètement abattue au sol, le directeur la prend par le bras pour la relever d'un coup sec sans ménagement. - Voilà pour le grande lignes de sa punition, mais ce ne sera pas tout... ce qu'elle a fait est impardonnable et elle va payer le fait que j'accepte qu'elle reste dans l'école jusqu'à la fin de l'année. La mère de Juliette balbutie une politesse a peine audible, tellement elle est impressionnée par le directeur. Le directeur ne relève pas et continue sans lacher Juliette. - J'imagine que vous ne l'avez pas fessée pour ce qu'elle a fait ? Sa mère repond timidement que non. - Peut-être n'a-t-elle jamais reçu de fessée ? vu son comportement, ça ne m'étonnerait pas... c'est bien ça ? D'un signe de tête, elle repond que non. - Eh bien, ça va changer cette année, elle va en recevoir, et ça commence maintenant ! Juliette panique, et implore sa mère du regard et essayant de se defaire du directeur et en criant. - Calme toi ! Juliette continue de bouger dans tous les sens presque isterique, mais il la tient tres fermement. Le directeur lui dit une nouvelle fois de se calmer, mais rien ne change. Il se met a crier plus fort, en la traînant vers la porte. - Très bien ! alez hop, une première fessée devant tout le monde et culotte baissée en plus ! Il ouvre la porte et s'apprête à sortir. ça a le mérite de calmer Juliette d'un coup. Elle est en larmes quand il lui lache le bras, instinctivement, elle vient maintenir sa culotte de chaque côté. - Il te faut cette menace pour enfin te calmer !... Tu fais bien de mettre tes mains sur l'élastique de ta culotte, baisse la tout de suite ou je t'emmène devant tout le monde. Juliette regarde sa mère en pleurant comme pour lui demander de l'aide. Elle sort enfin de son silence. - Mais Juliette obeit enfin ! tu ne vas quand même pas prendre le risque de montrer tes fesses à tous tes copains !!! Juliette abandonne tout espoir d'aide de sa mère, et prend enfin conscience qu'elle risque d'etre déculottée devant tout le monde. Elle baisse l'arrière de sa culotte et de ses collants dévoilant les trois quart de ses fesses. Face à elle, le directeur ne peut pas voir ses fesses, il referme la porte et pousse Juliette jusqu'à la chaise où il s'assoit dessus. Et s'accoupie devant elle. Juliette pousse un cris et mets ses mains entres ses cuisses quand le directeur attrape ses collants et sa culotte et les descend complètement. - Quand je dis : baissez votre culotte, c'est que je veux la voir a vos chevilles, comme maintenant ! Est-ce bien clair ? Sans attendre de réponse, il lui enlève ses chaussures et fini d'enlever sa culotte qu'il défait du collant. Il laisse le collant et les chaussures par terre et va ramasser son uniforme dans une armoire. Puis reviens vers la mère de Juliette en lui tenant sa culotte qu'elle prend timidement sans comprendre. - Ramassez la, elle n'en a plus besoin...Et j'ai bien peur que vous n'ayez pas encore tout saisi Madame... Grace à votre intervention, Juliette ne va pas montrer ses fesses aujourd'hui a ses copains comme vous dites. Cependant, elle le fera ! Elle va recevoir des fessées cul nu y compris devant des garçons soyez-en certaine ! Juliette fond de nouveau en larmes, sa mère baisse les yeux sans rien répondre. - D'ailleurs si je vous ai fait ramasser sa culotte c'est pour une bonne raison ! Visiblement elle a du mal à obeir et je la sens particulièrement pudique. Donc pour son premier mois de punition, et on verra après comment on fera... elle a l'interdiction de mettre une culotte ! je tiens donc à ce que vous me la déposiez tout les matins en chaussures soutif et collants, rien de plus ! La mère de Juliette reste sans voix, elle sursaute quand le directeur l'interpelle : - Suis-je bien clair Madame ??! -Heu, oui Monsieur... - Très bien ! car je fais ça pour vous. Elle, elle ne le merite pas, je veux que vous soyez consciente que c'est uniquement pour vous que je le fais. Tout en disant cela, il prend Juliette par le haut du bras pour qu'elle se leve et il la bascule sur son bureau. - Maintenant, je vais lui donner ce que vous auriez faire depuis plusieurs années déjà... Puis il abat violemment sa main sur les fesses de Juliette qui se crispe et pousse un cri après la claque. Il lui donne dix claques ainsi qui font rougir les fesses instantanément. - met tes collants ! Juliette cache son sexe et se retourne pour remettre ses collants et ses chaussures. Pendant ce temps, le directeur prend congés de la mère de Juliette en lui précisant une nouvelle fois qu'il comptait sur sa coopération. Elle quitte le bureau encore chamboulée par la punition, sans regarder Juliette qui s'effondre à nouveau en sanglots. Il appelle le surveillant qui arrive quelques minutes plus tard. Juliette a toujours ses mains devant son sexe, tête baissée, elle ne leve pas les yeux quand le surveillant entre. Le directeur lui explique brievement le pourquoi de sa punition. Il s'arrête brusquement au milieu pour interpeller Juliette : - Juliette, enlevez vos mains ! Puis il reprend aussitôt, Juliette elle, ne peut lever la tête. Elle ecarte timdement ses mains quelques instants, tous en laissant ses doigts, qui se rouchent encore devant, puis inconsciemment remet ses deux mains presque l'une au dessus de l'autre devant elle. Quand il a terminé, il pose le regard sur Juliette qui pour la première fois relève la tête quand elle ressent que quelque chose ne va pas. - Décidément, tu as du mal a comprendre, toi !! Puis il fond sur elle, et vient baisser ses collants à ses chevilles. Juliette tremble comme une feuille. Il passe derrière elle et lui degraphe son soutien-gorge et descend les bretelles le long de de bras, et lui arrache en passant devant elle pour le donner au surveillant. Il revient vers elle et lui prend les deux poignets, pour lui écarter les bras du corps. - Il va falloir t'y habituer. Tout le monde va voir tout ca le temps que tu es punie, ca ne sert a rien de vouloir te cacher.... Juliette est décomposée, jamais un homme ne l'a vue toute nue alors deux en même temps... Elle se sent honteuse, ridicule, humiliée. - Emmenez-la à son cours, vous pourrez lui remettre son soutien-gorge avant de rentrer dans la classe. Et lui remonter ses collants. Mais pas avant ! - Quand à toi Juliette, c'est le dernier avertissement pour tes mains, si je les vois encore une fois devant tes poils, tu pourras oublier définitivement ton soutien-gorge ! Je veux que tu sois exemplaire pour ta première journée de punition. Tu vas assister à tes cours "normalement". Et aux inter-cours, tu descendra te mettre, dos au mur dans la cours, avec les mains sur la tête jusqu'à la fin de la pause. - Comme tu as musique en dernière heure, je vais en profiter pour intervenir pendant de ce cours pour te mettre une fessée devant tes camarades et le professeur que tu as insulté. déculottée bien sur, et en fonction de ta prestation du jour je verrai si je te laisse ton soutien-gorge ou non. - Allez, sort, je ne veux plus te voir pour le moment...

Les trois punis

Le Directeur est vraiment furieux en entrant dans notre salle de classe. Même notre professeur qui nous faisait cours semble impressionné. Il annonce que les corrections de l’examen commun a tout l’établissement sont terminées et qu’il apparait que 3 élèves ont triché. Les 3 copies de 3 élèves qui étaient assis à côté les uns des autres présentent de grandes similarités, tant sur les bonnes réponses que sur les erreurs. Il n’y a pas de doute possible. Le Directeur annonce que ces 3 élèves doivent évidemment être punis. Puis il fait une pause, regarde un peu chacun d’entre nous, laissant planer une ambiance très inquiétante pour tout le monde. Je me souviens tout d’un coup que ma voisine avait les yeux qui louchaient un peu sur ma copie, et si c’était moi ? Le regard du Directeur me glace le sang, je sens mon ventre se serrer. Après quelques minutes de silence pesante, le Directeur annonce que les 3 élèves en question sont dans cette classe. Puis, d’une voix forte : - Je vais appeler les 3 élèves punis, qui devront venir en silence me rejoindre sur l’estrade. Le Directeur commence par appeler Hugo. Tout le monde se retourne vers lui. Hugo accuse le coup, puis le lève lentement et vient sur l’estrade, la tête baissée. Je vois Juliette et Caroline assises près de moi devenir blêmes, et je me souviens qu’elles étaient assises près de Hugo le jour de l’examen, car on était rangé par ordre alphabétique de nos noms de famille. Je commence à penser que les 2 autres noms que va prononcer le Directeur sont Juliette et Caroline. Et j’avoue que ça me plairait bien. Je ne sais pas ce que le Directeur va inventer comme punitions, mais depuis que les punitions corporelles ont été à nouveau autorisées, j’étais bien impatient d’enfin pouvoir assister à ce type de punition. Que ce soit le cas avec elles deux ce serait tellement excitant. Elles sont toutes les deux assez timides et réservées, et je trouve que c’est encore plus excitant de se dire qu’elles vont avoir la honte de leur vie. Bingo ! Quand j’entend le Directeur appeler Caroline et Juliette, je sens mon sexe se durcir. Je suis déjà en érection alors que la punition n’a même pas commencé. Je sens que je vais adorer la suite du programme. Ce qui n’est pas le cas pour les deux filles qui rejoignent Hugo lentement, en regardant leurs pieds. Le Directeur leur demande de se mettre face à tout le monde, de mettre les mains sur leur tête et de regarder devant eux. On sent que c’est déjà une épreuve pour eux 3. Juliette est plutôt une bonne élève, je suppose que Caroline a copié sur elle puis que Hugo a copié sur Caroline. Juliette va peut-être être moins punie que les 2 autres, ce serait bien dommage, j’adorerais voir le Directeur lui mettre une fessée devant toute la classe. Le Directeur balaie très rapidement mes inquiétudes : - Je tiens à prévenir que copier sur son voisin est pour moi tout aussi grave que de laisser son voisin regarder sa copie. Chacun est responsable de sa copie et doit prendre soin de ne pas montrer ce qu’il écrit. Vous aurez tous les 3 la même punition. Ou presque. Le Directeur ménage ses effets, en faisant de longs silences. Je vois Juliette qui commence à pleurer, elle pensait sans doute avoir une punition plus indulgente, vu qu’elle n’a sûrement pas copier et elle comprend qu’elle va être punie comme les autres. Elle semble terrorisée. Le Directeur poursuit : - Ce que je souhaite le plus, c’est que vous preniez conscience de la gravité d’une telle faute. C’est pourquoi, nous allons procéder de façon à ce que vous puissiez évaluer la gravité de vos fautes. En fait, je vais vous donner une ardoise et un feutre à chacun, je vais vous poser une question puis je vais vous laisser 5 min de réflexion avant de répondre sur l’ardoise. Le Directeur joint le geste à la parole et leur donne à chacun ardoise et feutre. Tout le monde est dubitatif. Je ne vois pas du tout où veut en venir le Directeur, mais je suis sûr que je vais aimer. C’est délicieusement intriguant. Les 3 punis semblent trouver ça beaucoup moins drôle. - Alors, vous connaissez tous les 3 notre nouveau règlement de punition. Ma question va être simple : « A votre avis, ce que vous avez fait mérite quel niveau de punition ? » On entend un brouhaha dans la salle de classe. Tout le monde comprend que ce sont les punis eux-mêmes qui vont en quelque sorte définir leur punition. C’est très inattendu. Le Directeur ne laisse pas le temps aux punis de réaliser ce qui se passe, puis ajoute : - Soyons clair, je veux que vous notiez la punition qui vous semble la plus juste pour la faute commise. Et sachez que moi-même, j’ai noté la punition que j’estime juste sur ce papier. Le Directeur nous montre un papier plié qu’il sort de sa poche, puis l’y replace. - Donc, j’ai noté la punition adaptée sur cette feuille. Si vous tombez juste, c’est que vous avez bien évaluer la faute commise, ce qui est déjà un bon point, je serai donc plus indulgent avec vous dans l’application de la punition, peut-être même que j’abaisserai le niveau de la punition. En revanche, si vous sous-estimez la faute commise en proposant une punition trop légère, j’augmenterai le niveau de la punition, et je vous préviens tout de suite, je serai particulièrement sévère. Ce que j’attends d’un élève puni c’est qu’il ait bien conscience qu’il mérite une punition et qu’il l’accepte. Wahou ! Je ne sais pas si c’est de la pédagogie ou de la perversion, mais j’adore ce jeu. J’essaie d’imaginer ce que j’aurai écrit sur l’ardoise si j’étais à leur place, j’en suis incapable. D’autant que le Directeur n’a pas dit ce qui se passait si on notait une punition plus sévère que celle que lui a prévu. Donc la stratégie c’est peut-être de noter la punition la plus sévère pour avoir son indulgence, mais connaissant le Directeur, je n’en suis même pas sûr. De toute façon, je Directeur ne laisse pas aux élèves punis trop de temps pour réfléchit, à peine a-t-il fini sa phrase qu’il lance le chronomètre pour 5 min. Ils ont tous les 3 l’air en panique totale. Ils se regardent les uns les autres, ils n’osent pas parler ni regarder le Directeur. Après quelques minutes, Hugo commence à écrire, Juliette et Caroline prennent plus de temps, mais comme le Directeur les presse en expliquant que si rien est écrit sur l’ardoise avant la fin des 5 min ils finiront entièrement nus au milieu du réfectoire tous les midis de la semaine, elles finissent par écrire quelque chose. Je vois qu’elles ont toutes les deux les mains qui tremblent tellement qu’elles ont du mal à écrire, mais visiblement, elles ont noté quelque chose. A la fin des 5 min, le Directeur demande à Hugo de montrer son ardoise à toute la classe. Il retourne donc son ardoise, et nous lisons tous « Punition niveau 2 ». C’est ensuite le tour de Juliette, son ardoise montre « Punition niveau 1 », et enfin, l’ardoise de Caroline dévoile « Punition niveau 3 ». Quel suspens ! Je ne sais pas qui a la bonne réponse, ni ce qui va se passer, mais le fait qu’il y ait 3 différentes punitions de notée nous promet une suite assez intéressante. Juliette a noté niveau 1, si jamais le Directeur pense que cela vaut niveau 2, il a dit qu’il serait particulièrement sévère. C’est peut-être elle qui va prendre la punition la plus sévère. Je commence à fantasmer sur le fait de voir le Directeur lui baisser sa culotte devant toute la classe. Ce serait un première pour moi. Je n’ai jamais assisté à une punition corporelle, je n’ai jamais vu une fessée. Alors une fessée déculottée, ce serait un spectacle que jamais je n’oublierai. Et passer toute l’année dans la même classe que Juliette après ça, wahou ! Je ne pourrai pas m’empêcher de la revoir recevant une fessée, ce serait si excitant. Je suis dans mes pensées quand j’entends le Directeur reprendre : - Bien. Je vois qu’un d’entre vous est assez conscient et lucide pour avoir noter la punition la plus adaptée. Hugo, approchez-vous du bord de l’estrade. Hugo s’approche, hésitant. Il a toujours les mains sur la tête. - Hugo, rappelez-nous-en quoi consiste une punition Niveau 2. Le Directeur reprend Hugo plusieurs fois en lui demandant de parler plus fort, et on entend enfin Hugo répondre : - La punition niveau 2, c’est une fessée, pantalon entièrement baissé, puis slip baissé sous les fesses. Donc, une fessée sur des fesses nues. Puis une mise au coin les mains sur la tête face au mur, le slip toujours sous les fesses. - Exact. C’est bien cette punition que j’ai moi-même noté sur ma feuille. Là, je réalise que quoi qu’il arrive, nous devrions tous voir les fesses nues de Juliette et de Caroline d’ici peu de temps. Mon sexe gonfle encore un peu, je n’en peu plus d’excitation. Et que va-t-il se passer pour Juliette qui a sous-estimé sa punition ? Est-ce qu’on va en voir plus ? La voir de face culotte baisse est un spectacle que jamais je n’aurais imaginé pouvoir voir un jour, surtout devant toute la classe. Je suis de plus en plus impatient de découvrir la suite du programme. - Bien, alors allons-y Hugo. Baissez votre pantalon. Je vois que Hugo prend sur lui, mais il n’a pas le choix. Et le Directeur avait dit qu’il serait indulgent avec celui qui donnerai la bonne réponse, il vaut mieux rester dans les bonnes grâces du Directeur et obéir. Hugo s’exécute donc et nous voyons son pantalon tomber à ses pieds assez rapidement. Le Directeur s’approche d’Hugo, le retourne dos à la classe puis pose une chaise devant lui et lui demande de mettre les deux mains à plat sur la chaise. Hugo se retrouve donc complétement penché en avant, les fesses bien en évidence devant toute la classe. - Ecartez vos jambes pour plus de stabilité Hugo écarte les jambes et sans prévenir, le Directeur passe derrière lui et lui baisse son slip juste sous les fesses. Je pensais qu’Hugo y échapperait, vu que le Directeur avait dit qu’il serait plus indulgent, mais non. - Comme promis, je serai moins sévère. Je ne vous donnerai que 10 clacs au lieu de 20 Joignant le gestes à la parole, le Directeur se met à claquer les fesses nues de Hugo. C’est hallucinant ! Je suis en train d’assister à ma première fessée déculottée en public, c’est incroyable. Je n’en perds pas une miette, même si ce sont les fesses de Juliette et de Caroline qui m’intéressent le plus. Mais j’avoue que je ne me priverai pas de me moquer d’Hugo de de son petit cul blanc tout le reste de l’année. J’ai vraiment envie de raconter ça dans les moindre détails à toutes les filles qu’Hugo connait, ce sera tellement drôle. Je vais lui mettre la honte de sa vie. Désormais je l’appellerai Monsieur cul nu ! Hugo a le droit de remonter son slip à la fin de la punition, puis doit se retourner devant toute la classe, les mains sur la tête. - Hugo, la suite de la punition est pour vous de rester au coin, et normalement le slip baissé, jusqu’à la fin du cours. Mais puisque la suite du cours va être particulier, vous allez vous mettre ici, devant la porte et face à la classe. Vous gardez votre slip, mais aussi votre pantalon baissé, et vos mains su la tête. Vous avez trouvé la bonne punition et vous avez été obéissant et digne durant toute la punition, c’est donc ma façon d’être indulgent avec vous - Merci Monsieur le Directeur, dit Hugo, en se plaçant comme le Directeur l’a indiqué, ravi de comprendre qu’il va pouvoir assister aux punitions des deux filles. Le Directeur se retourne vers Caroline : - Alors Caroline, vous pensez mériter une punition niveau 3, c’est bien ça ? - Heu … c’est ce que je j’ai noté … - Donc, c’est ce que vous pensez mériter, c’est ce que je dis. C’est la punition qui vous semble adaptée pour ne plus recommencer je suppose. Et comme je tiens absolument à ce que vous ne recommenciez pas, je vais être bien obligé de vous infliger la punition que vous pensez mériter. C’est important que vous receviez la punition qui vous remettra sur le droit chemin. Et si vous demandez à être humiliée devant tous vos camarades de classes, je ne peux pas m’y opposer. Oh, le Directeur insinue que c’est elle qui demande une punition sévère, il est terrible ! Puis, le Directeur laisse Caroline exprimer à haute voix devant toute la classe ce qu’est une punition Niveau 3, ce qui est particulièrement excitant. Elle recommence plusieurs fois car le Directeur trouve qu’elle n’est pas assez précise ou qu’elle ne parle pas assez fort, puis on entend : - La punition niveau 3 est une fessée avec le bas du corps entièrement nu. Une fessée sur des fesses nues. Puis une exposition toute la journée dans la classe du professeur, donc devant toutes les différentes classes qui vont se succéder, une partie du temps face au mur, et une partie du temps dos au mur. Caroline est en larme quand elle dit tout ça. Alors que moi j’exulte. Ça va être indescriptible. En plus le Directeur en rajoute encore sur le fait que c’est son choix, que c’est elle qui demande. Elle va avoir la réputation d’être la fille qui a demandé au Directeur de la foutre à poil devant tout monde pendant une journée entière ! Et je vais bien faire partie de ceux qui expliqueront que oui, le Directeur lui a demandé de choisir sa punition et que c’est elle qui a demandé ! Ou alors …je commence à imaginer que je pourrai rétablir la vérité et expliquer la fourberie du Directeur, si Caroline veut bien me remontrer ses fesses en privé. Ça ce serait dingue ! Et je suis sûr que ça pourrait marcher. - Caroline enlevez votre jupe et posez-la sur le bureau de votre professeur. Caroline est beaucoup plus hésitante qu’Hugo, mais elle fait ce que le Directeur lui demande. Quand je vois sa jupe tomber à ses pieds et que je découvre sa petite culotte blanche je suis aux anges. Oh mon Dieu. Une fille est en culotte dans la classe devant tout le monde. Il règne un silence total, tout le monde a le souffle coupé. Elle remet ses mains sur la tête et reste face à nous, avec son T-shirt un peu court et en culotte. C’est magnifique. Le Directeur lui demande alors de se mettre dans la même position qu’Hugo, et elle nous offre une vue terrible sur ses fesses bien moulées dans sa culotte blanche. Le Directeur vient à côté d’elle, puis glisse ses mains dans l’élastique de sa culotte. Caroline se mets à supplier le Directeur « Je vous en prie, faites comme pour Hugo, ne m’enlevez pas complétement ma culotte, laissez-la juste sous mes fesses, je vous en prie, ne l’enlevez pas, s’il vous plait » - Taisez-vous ! Je ne veux rien entendre. Vous avez demandé une punition niveau 3, c’est que vous souhaitez que je vous retire complétement votre culotte, et je vous assure que vous ne reverrez votre culottes qu’en fin de journée. SI vous êtes si honteuse, c’est que c’est bien la punition qu’il vous faut . Avoir le bas du corps entièrement nu est en effet une punition particulièrement humiliante, d’autant que ce sera devant votre classe, mais aussi devant toutes les autres classes, mais je vous rappelle que c’est vous qui avez sollicité cette humiliation. Puis, avec une très grande lenteur, il commence à baisser la culotte de Caroline. Nous voyons ses fesses apparaitre très lentement, c’est délicieux. Il marque un temps d’arrête lorsque la culotte se retrouve juste sous ses fesses, puis se met accroupi pour pouvoir accompagner la suite de son geste et baisser sa culotte jusqu’à ses pieds. Enfin, il lui soulève un pieds, puis l’autre, lui enlève complétement et la place sur le bureau avec la jupe de Caroline. - Caroline, il me semble vous avoir demandé de vous mettre dans la même position qu’Hugo. Alors, j’attends. Caroline a en effet les jambes complétement serrées, je suppose que le Directeur veut qu’elle écarte les jambes. Déjà, cette position est terriblement impudique. Caroline n’a plus de culotte et elle penchée en avant, nous offrant une vue incroyable sur ses fesses. Mais si elle écarte les jambes, là, on va absolument tout voir ! Je n’imagine même pas. - Caroline, vous jouez avec le feu en n’obéissant pas. La même position qu’Hugo veut dire les jambes écartées. Vous allez recevoir 20 clacs, vous devez avoir une position stable. Allez ! Et si cela gène votre pudeur, tant mieux, cela fait partie de la punition. Oui, bien sûr, je vous assure que tous les garçons de cette salle se souviendront très longtemps de ce qu’ils vont voir, mais c’est ainsi, allez ! Caroline écarte les jambes lentement et j’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon jean. C’est absolument terrible. On voit tout ! Je suis au deuxième rang, dans la colonne du milieu et je ne donnerai ma place à personne, je suis tellement bien placé. De là ou je suis, je vois ses lèvres entre-ouvertes entre ses jambes. Et ses fesses si offertes. Je suis au bord de l’organisme. Si seulement je pouvais mettre ma main dans mon slip. Le Directeur s’approche d’un coup et se met à lui infliger une fessée monumentale. Il compte 20 clacs à haute voix et nous voyons les fesses de Caroline devenir rouge. Elle finit par hurler à chaque clac, le Directeur n’y va pas de main morte. Quand il a terminé, il demande à Caroline de se relever, de remettre les mains sur sa tête et de se retourner face à tout le monde. Très lentement, Caroline se retourne. Voir cette fille face à nous, avec le bas du corps entièrement nu, voir son triangle de poils, et son visage, inondé de larmes, les mains sur la tête, c’est une image qui restera gravé dans ma tête. Le Directeur la laisse ainsi un long moment, puis lui demande de se placer à côté d’Hugo, face à la classe. Le Directeur lui redit qu’elle restera à cette place et dans cette tenue toute la journée. Elle sera autorisée à remettre sa culotte pour aller au réfectoire, mais pas sa jupe. Le Directeur laisse un long silence et tout le monde finit par se retourner vers Juliette, toujours sur l’estrade. - Alors, mademoiselle, vous, vous pensez que tricher à un examen n’est pas une faute si grave que ça. Vous pensez qu’une simple punition niveau 1 pourrait suffire. - Heu … c’est-à-dire … - C’est-à-dire rien du tout ! Vous croyez vraiment que TRICHER n’est pas grave ! - Mais c’est juste que ce n’est pas moi qui … Juliette est à peine audible quand elle parle, elle a la voix qui tremble. - Alors vous n’avez toujours pas compris que laisser sa copie visible est aussi grave que regarder la copie de son voisin ! Vous venez d’assister à la punition bien sévère de votre camarade, et vous continuez à penser que vous, vous ne méritez qu’une petite punition de rien du tout ? Vous savez quoi ? Vous venez d’aggraver votre punition. Je pensais vous administrer la même punition que Caroline, pour vous punir d’avoir sous-estimer la punition. Mais je vois que cela ne suffira pas. Nous allons donc monter la punition d’un cran. Ou même de plusieurs crans. Je n’aime pas qu’on se moque de moi, mademoiselle. Enlevez immédiatement votre jupe et votre t-shirt ! Le Directeur est si ferme, que Juliette se met à lui obéir immédiatement. Elle commence par enlever sa jupe, puis son T-shirt et elle se retrouve en sous-vêtements devant tout la classe. Contrairement à Caroline qui avait une culotte blanche, Juliette a des sous-vêtement noir, c’est ultra sexy. Et la voir si pudique, si gênée, ça rend la scène encore plus sexy. Elle pose sa jupe et son T-shirt sur le bureau tout en essayant de se cacher avec ses mains. Mais bien vite, le Directeur lui demande de se mettre face à nous les mains sur la tête et nous pouvons admirer notre camarade de classe, vêtue uniquement d’une culotte et d’un soutien-gorge. J’ai vraiment envie de sortir mon téléphone portable et de prendre des photos, voir même un film complet, mais évidement c’est impossible. Quel dommage. Le Directeur semble réfléchir, puis intervient. - Bien. Vous imaginez bien que vous ne garderez pas votre culotte longtemps. Mais je voudrais vraiment que vous compreniez que me désobéir ou me répondre durant une punition n’est pas une bonne idée, alors, comme je le disais, la punition va monter d’un, ou plusieurs crans. Alors dites moi Juliette, d’après vous, quel pourrait être la prochaine étape de votre punition ? Je vous écoute. - Heu … Oh mon Dieu, il va la faire à nouveau intervenir. Il veut que ce soit elle qui demande la suite. - Heu … quoi ? Vous avez compris j’espère qu’il faut me répondre quand je pose une question mademoiselle. - Heu, oui. Je vais répondre. Heu … la prochaine étape est de me mettre en position pour la fessée, je suppose. - Etes-vous sur ? Il y a une autre étape avant ? Je dirai même 2 étapes. Allez, je vous écoute. - Heu … il faudrait que je retire … ma culotte avant. - Oui, très bonne idée. - Quoi d’autre ? - Heu … - Allez ! - Heu … il faudrait que je retire aussi mon soutien-gorge … Juliette a de grosses larmes sur les joues quand elle dit ça. Le Directeur surprend tout le monde, encore une fois : - Enlever votre soutien-gorge ? Ah. Ce n’est pas à ça que je pensais. Je pensais que vous alliez dire qu’après avoir retirer votre culotte il vous faudrait la poser sur le bureau. Maintenant si vous demandez de montrer vos seins à tout le monde, je ne vais pas m’y opposer. D’accord. Il est terrible. Il en profite pour accentuer son humiliation et sa honte. J’adore son esprit. Je commence à vouloir faire carrière comme professeur ou comme directeur, uniquement pour avoir le plaisir de faire ce qu’il fait. Il est grandiose. - Donc Juliette vous souhaitez vous mettre entièrement nue pour votre fessée. C’est d’accord. Mais moi, je voudrais que vous compreniez à quel point vos camarades sont impactés à chaque fois que quelqu’un triche à un examen. Quand un élève triche, il remonte dans le classement, et les autres baissent dans le classement. Donc, un élève qui triche est un élève qui empêche tous les autres d’être jugé à leur juste valeur. Donc, je voudrais que les autres élèves participent à votre punition. Alors dites-moi, comment pourraient il participer ? - Heu … en regardant … - Oui, mais encore. Participer vraiment. Concrètement. - Heu … je ne sais pas … - Allons Juliette, vous avez bien une idée. Vous voulez que nous allions tous dans la cours pour voir si vous avez plus d’idée ? - Non ! Pas dans la cours, je vous en prie. Je … heu … un élève pourrait me donner la fessée plutôt que vous, ce serait plus … - Excellente idée ! Bien ! Alors maintenant, vous allez choisir 3 garçons dans la classe, l’un pour vous retire votre culotte, un autre pour retire votre soutien-gorge, je n’oublie pas que vous avez demander à montrer vos seins, et enfin un dernier pour la fessée. Le Directeur force Juliette à choisir 3 garçons et à leur demander bien distinctement de lui baisser sa culotte ou de la mettre entièrement nue … C’est une épreuve terrible pour Juliette. Je ne suis malheureusement pas choisi, mais assister au spectacle de voir des garçons de la classe mettre Juliette toute nue est fascinant. C’est Julien qui commence par le soutien-gorge. Il se met derrière elle pour le dégrafer, puis d’un geste théâtral lui retire vivement, laissant ses 2 gros seins bondir hors de celui-ci. Cette vision est époustouflante. Juliette pousse un cri et met sa main devant sa poitrine. Puis, devant de regard noir du Directeur repose ses mains sur sa tête. Enfin, elle demande à Eric de lui retirer sa culotte. Lui aussi se place derrière elle et la baisse très lentement en tirant d’un côté, puis de l’autre, jusqu’en bas. Elle est entièrement nue devant toute la classe. C’est dingue. C’est Patrick qui aura le plaisir de lui infliger la fessée. Le Directeur place la chaise face à la porte de la classe et demande à Patrick de s’assoir. Enfin, il place Juliette sur ses genoux. Patrick a une fille entièrement nue sur ses genoux. C’est dingue. Je ne comprends pas bien pourquoi, mais le Directeur a placé Juliette la tête vers nous, du coup, on ne voit toujours pas ses fesses. En revanche, comme elle a les cheveux très courts, nous voyons très bien son buste. Elle est obligée de poser ses mains par terre et nous voyons ses seins ballotter à chaque clac qu’elle reçoit. Je n’avais jamais vu des seins nus en vrai, c’est un spectacle magique. Au bout de 10 clacs, le Directeur demande à Juliette de se retourner, et Wahou ! Ça y est, nous avons une vue imprenable sur ses fesses et paf ! Patrick repart pour 10 claques. Ses fesses sont déjà bien rouges. Comme elle glisse, Patrick lui tient une jambe, ce qui a pour effet de la mettre dans une position totalement impudique, nous offrant tous ses trésors intimes. Je crois bien que Patrick fait exprès de bouger ses jambes à lui pour qu’elle soit déséquilibrée. A chaque fois il aggripe sa jambe et la force presque à mettre un pied à terre pour nous montrer son entrejambe. Je n’en perds pas une miette. Il prend tout son temps pour armer sa main et la claquer, faisant durer le spectacle, et la laissant entre chaque claque dans la position la plus impudique possible. A la fin de la fessée, Juliette doit se présenter face à la classe, les mains sur la tête. Le Directeur demande aux trois punis de venir sur l’estrade, en position de puni. Puis, le Directeur demande à Hugo de remettre son pantalon, et de retourner à sa place, sa punition est terminée. Il indique que c’est maintenant la fin du cours et que tout le monde va continuer sa journée comme d’habitude, sauf Caroline et Juliette qui vont rester dans cette classe, tantôt face au mur, tantôt face à la classe. Les 2 filles accusent le coup, mais savent qu’il est mieux de ne rien dire. Je sors de la classe à regret, et je me demande bien si je vais pouvoir les revoir dans cette tenue avant la fin de la journée. A l’heure du repas, nous avons le plaisir de retrouver nos 2 punies au réfectoire. Elles ont toutes les 2 remis leur culotte, mais Caroline n’a pas sa jupe, et Juliette porte uniquement sa culotte, nous offrant ses magnifiques seins nus. Elles sont toutes les deux debout sur une table, au milieu du réfectoire, les mains sur la tête. Tous les autres élèves sont ébahis ! Encore une fois, je sors de la cantine avec regret. A 16h, pour notre dernier cours de la journée, le Directeur est là avec les 2 filles. Il nous explique qu’il n’y a plus de cours dans la salle où elles sont restées toute l’après-midi, alors elles finiront la journée avec nous. Elles sont dans la même tenue qu’au réfectoire. Le Directeur nous explique qu’elles vont assister au cours normalement, mais dans leur tenue de punie. - Bien, donc Caroline rendez-moi votre culotte, je ne vous l’ai rendu que pour passer dans les couloirs. Caroline retire alors sa culotte. Juliette doit également se remettre nue. Elles sont bien contentes de pouvoir s’assoir à leur place et de se mettre un peu plus en retrait du regard des autres élèves. Mais ce n’est pas comme ça que notre professeur d’anglais voit les choses. Durant toute l’heure il les sollicite pour distribuer des documents à chaque élève ou pour venir corriger des exercices au tableau. Nous profitons merveilleusement de leur corps offerts durant cette dernière heure délicieuse. Je réalise à ce moment là, que le Directeur ne nous a jamais montré ce qu'il avait écrit sur son papier. Avait il écrit quelque chose où voulait humilier le plus possible les 3 élèves, et en particulier les filles ? Je me le demande. Toujours est-il que cette punition n'a pas fini de me faire fantasmer le soir dans mon lit ...

dimanche 7 juillet 2024

Cinquième punition suite

Toute la matinée, Delphine est resteé dans le bureau du directeur. Elle a aidé à accomplir des taches, sans pour autant s'habituer à être toute nue,elle préfère tout de même être ici que dans l'établissement. Lorsque midi arrive, elle sait que sa punition est imminente. Elle essaye de penser à autre chose mais cela lui revient toujours en tête. - Nous irons d'ici 30 minutes ainsi tout le monde sera arrivé... Delphine encaisse ce que le directeur vient de lui dire sans répondre. Le téléphone sonne au moment où le directeur rassemble ses affaires pour partir. Le coeur de Delphine s'emballe et elle se retient de pleurer. Le directeur repond et la conversation s'éternise, il demande un instant a son interlocuteur pour s'adresser a Delphine. - Allez au réfectoire, et attendez que j'arrive ! Ah oui interdiction de vous assoir, vous attendez debout au milieu de la salle... Delphine hésite a quitter le bureau, ne sachant quoi faire, un peu perdue, elle coupe la parole au directeur qui a repris sa conversation : - Mais j'y vais toute nue... ? Ce qui aurait pu mettre le directeur en colère, le fait plutôt sourire. Il demande a nouveau a qon interculteur un instant sans lacher le combiné - Évidemment que vous y allez toute nue ! c'est le principe même de votre punition... Ah... et que les choses soient claires, vous ne cachez rien ! Ni vos seins, ni votre toison ! Delphine préfère sortir que de devoir encore pleurer devant lui. Du couloir elle entend le directeur parler d'elle au téléphone. Lorsqu'elle arrive dans le couloir,.la porte est ouverte. Certains élèves la voient de loin et elle entend déjà les premiers commentaires : oh regarde, elle est à poil. Elle est trop mal... Sans s'en rendre compte Delphine ralentit le pas, elle prend une grande inspiration et essuie ses joues en espérant ne pas craquer une nouvelle fois. Les rires fusent quand elle entre, quelques sifflés aussi se font entendre. Delphine baisse la tête et va au milieu du réfectoire. Sans lever la tête, elle croise ses pieds et met ses mains derrière son dos. Elle attend tremblante, dans brouhaha de la salle les plus proches voient quelques larmes couler sur ses joues. Puis tout le monde se tait quand le directeur entre. Le contraste est saisissant, même Delphine lève d'un coup sa tête. Elle voit le directeur s'avancer d'un pas décidé vers elle, le regard complètement dépité, elle que sa fessée est proche. Ses mains la trahissent quand elle les pose machinalement sur chacune de ses fesses. Le directeur demande a un élève de se lever pour liberer sa chaise. Et sans aucun autre avertissement, il va chercher Delphine et l'emmène vers la chaise en la tirant par l'oreille. Il s'assoie dessus et la bascule sur ces genoux. Certains élèves plus éloignés se lèvent pour mieux voir, tandis que la fessée commence. Delphine est comme résignée, elle serre de toute ses forces les barreaux de la chaise. Ses fesses rougissent rapidement. Quand la douleur devient insupportable, elle eclate en sanglot mais le directeur continue encore, a un rythme soutenu et avec des claques appuyées. Il s'arrête d'un coup et la relève aussi brusquement qu'il l'a allongée sur ses genoux. Delphine saute d'un pied sur l'autre pendant un instant en se frottant les fesses ce qui ne manque pas de faire rire toute l'assemblée. Le visage baigné de larmes, elle se laisse conduire jusqu'à la table. Le directeur la porte sans difficulté pour qu'elle soit dessus en lui disant : debout et mains sur la tête ! Delphine se fait une place au milieu des assiettes et reste le point de mire pendant toute la durée du déjeuner. Elle ne peut manger que quand tout le monde est sorti. Le restant de l'après midi se passe en colle dans le bureau du directeur. Quand la journée se termine, le directeur lui redonne ses vêtements en lui disant que pour le reste de la semaine il veut la voir uniquement avec cet uniforme si elle n'est pas nue. Puis il la libère. Delphine s'habille, le directeur lui demande de venir avec un maillot de bain le lendemain. Elle n'ose pas poser de question et quitte l'école. Elle arrive plus tôt le lendemain pour ne croiser personne. Le directeur lui demande d'attendre, M. Firmin viendra la chercher. Il lui prend son maillot des mains et lui fait faire demi-tour. - Montrez-moi vos fesses ! Delphine hesite un instant puis passe les mains sous sa jupe pour baisser sa culotte et ses collants et remonter sa jupe. - Elles sont moins rouges... mais je ne pense pas qu'elles resteront blanches longtemps ! Delphine se reculotte rouge de honte. M. Firmin arrive quelques minutes après. Il salue le directeur et prend le maillot que celui-ci lui tend. - Dommage que la punition ne puisse pas continuer a la piscine... - Nous avons échangé avec le responsable hier il y aura une solution. Delphine ne comprend pas tout de suite de quoi ils parlent, mais dans la voiture, elle reconnaît la route de la piscine et se dit qu'il doit y avoir un cours là bas. D'habitude, elle n'aime pas y aller mais là au moins tout le monde sera peu habillé et elle ne denotera pas. Le directeur la conduit directement dans le vestiaire des garçons, et lui donne son maillot et une serviette. Elle voit des garcons sortirent des cabines en maillot et se dirige aussi vers l'une d'elle. Mais le directeur la retiens : - Changez vous ici ! Delphine se met dans un coin, le plus possible à l'abris des regards et enleve ses chaussures, ses collants et sa culotte pour passer son maillot sous sa jupe. c'est plus délicat pour le haut, elle se met face au mur pour enlever ses vêtements et remonte son maillot complètement. M. Firmin, ramasse à mesure ses vêtements dans un sac. En sortant du vestiaire, elle va directement dans l'eau et s'ecarte volontairement du groupe. Il y a deux classes qui ont cours à la piscine ce matin et quelques usagers habitués à aller nager tôt. Quand tout le monde est dans l'eau, M. Firmin lui demande de sortir. Les élèves les voient discuter au bord de la piscine. Delphine semble de plus en plus affolée. Elle regarde tout autours en faisant des gestes et en montrant du doigt. Et elle pousse un cri qui alerte tout le monde quand le directeur la saisit par les bras et baisse son maillot en tirant les bretelles vers le bas. Elle reçoit une claques retentissante sur les fesses lorsque son maillot tombe au sol. Il lui enlève et demande aux autre de sortir pour écouter les consignes la laissant toute nue sur le bord. Delphine écoute à peine, trop occupée a s'appitoyer sur son sort. Mais elle leve la tête quand le directeur en vient à son sujet. - Comme vous le savez Delphine est punie. Lorsqu'elle sera avec nous elle restera toute nue, comme elle est en ce moment... Pour des raison d'hygiène, il est interdit de se baigner sans maillot. Le directeur vient vers elle et elle doit enjamber son maillot pour que le directeur lui remonte. Il s'arrête au niveau de sa taille et l'enroule sur son ventre. - ça suffira pour respecter les mesures d'hygiène. Quand vous serez dans l'eau, vous le mettrez ainsi. Mais dès que vous sortirez, vous l'enleverez aussitôt ! Si je constate que ce n'est pas fait aussitôt, ce sera la fessée ici même sans prendre la peine de retourner aux vestiaires. Est-ce bien clair ? Ses pensées sont confusent mais Delphine hoche la tête en reniflant. Tout le monde part a l'eau et Delphine doit nager et faire les exercices seins nus. Elle doit sortir avec le reste du groupe pour de nouvelles explications et se souvient de retirer son maillot et se fond dans le groupe. Elle est rassurée de retouner a l'eau assez rapidement. Quand vient la fin de la séance, elle se rend compte qu'il y a beaucoup plus de monde qu'au début. Surtout des usagers extérieurs à l'école. Elle s'approche au plus près de la porte des vestaire et sort de l'eau. Elle enlève aussitôt son maillot et compte entrer rapidement. Le directeur lui indique a nouveau le vestaire des garçons en lui prenant son maillot des mains. Un autre groupe est en train de se préparer et elle fait sensation en entrant. Le directeur lui donne sa serviette, elle se sèche dans un coin et s'enveloppe dedans en attendant. Le directeur s'est retiré et pratiquement tous les garçons sont prêts. Le directeur demande à tout le monde de sortir. Delphine doit suivre en serviette. Celle-ci n'est pas très grande mais elle a le merite de cacher sa poitrine et ses fesses. En serviette dans le hall, au milieu de tous ses gens habillés, la rend plus que mal a l'aise. C'est encore pire pour elle quand ils sortent sur le parking pour attendre le bus. Tout le monde monte mais le directeur retient Delphine. - La serviette appartient a la piscine, allez la redonner a l'acceuil. Delphine ne sais pas comment faire et retourne dans le hall. En pleurs, elle jete la serviette sur le comptoir et ressort presque en courant en passant a côté de la file des gens qui attendent à la caisse. Et elle monte dans le bus. Elle s'assoit sur une banquette vide et se recroqueville sur elle-même pour pleurer dans ses mains tandis que le bus part en direction de l'école. Tout le monde sort quand le bus arrive. Delphine doit suivre et traverser la rue pour entrer dans l'école. Toujours nue de le tête aux pieds, elle doit suivre le groupe pour aller en cours. Le directeur ne s'occupe plus d'elle de la journée, elle est un peu perdue. Elle va a la cantine, continue les cours l'après midi en essayant de fair abstraction des commentaires qui lui viennent aux oreilles. Le soir le directeur vient lui apporter ses vêtements à la sortie de l'école et lui demande de revenir le lendemain. Il y a un changement de programme et elle devra faire deux jours de suite a Saint-Joseph et la dernière journée au sein de son école. Elle s'habille rapidement et part sans demander son reste. Le soir elle essaye de se changer les idées mais ne comprend pas pourquoi elle doit etre absolument à son école le vendredi. Elle n'arrive pas a trouver le sommeil, se remémorant chaque instant de cette horrible journée et en pensant aux deux jours de punition qui lui reste a faire. Ce n'est que vers la fin de la nuit qu'elle s'endort et elle n'entend pas son réveil sonner. Elle se réveille enfin en milieu de matinée. Complètement paniquée, elle se rend compte que ca fait deux heures que les cours ont commencé. Elle s'habille en quatrième vitesse et cours jusqu'à l'ecole tout en sachant que le mal est fait. Elle est obligée de sonner, un surveillant vient lui ouvrir et lui ordonne d'aller au bureau du directeur. Delphine présente ses excuses, le directeur lui parait étonnamment calme. - Vous êtes collée ! Trois heures ce soir pour rattraper les cours de ce matin ! Et vu l'heure de votre arrivée, vous n'allez pas rejoindre vos camarades en plein milieu. Nous avons un groupe qui est parti our la visite d'un musée, vous en ferez parti. Je vais vous y conduire. Cet après midi votre directeur veut vous voir pour l'organisation de la journée de demain. A votre retour, vous vous rendrez a votre école. Et vous reviendrez ici, ensuite pour votre colle. Delphine baisse la tête, tandis que le directeur continue. - Ici, les récidivistes de retards reçoivent la fessée. Pour vous c'est bien sur la première fois, mais comme vous etes punie, ça aggrave votre cas... Venez ici ! Le directeur recule sa chaise tandis que Delphine s'approche résignée. Il la bascule sur ses genoux et relève sa jupe puis baisse en même temps son collant et sa culotte. Il lui inflige une fessée magistrale qui la fait fondre en sanglots dès les premières claques. Elle se relève en remettant sa culotte en place. - J'ai quelques dossiers a terminer avant de partir, allez m'attendre dans la cours, j'arrive... Delphine sort, et bien qu'elle soit habillée la présence d'une fille attire forcément l'attention des jeunes garçons. Elle ne répond pas certains osent l'aborder, et prétend de devoir aller aux toilettes. C'est le seul endroit calme qu'elle a trouvé pour se réfugier. Une dizaine de minutes plus tard, le directeur frappe a la porte et lui demande de sortir,.puis l'entraîne sous le préau. Sans nul autre avertissement, et malgré la présence de plusieurs groupes autours, il lui retire sa veste et appelle un élève pour lui donner. toujours sans parler, il deboutonne le haut de son chemisier, puis attrappe sa main pour defaire le bouton de sa manche. Le silence se fait de plus en plus présent, et les regards se tournent vers eux. Il fait pareil avec l'autre manche puis continue a deboutonner son chemiser. Delphine se met à pleurer lorsque qu'il enlève les pans de sa jupe, mais elle reste sans bouger, les yeux dans la vague et leq bras le long du corps alors qu'il lui retire son chemisier en passant derrière elle. Il donne le chemisier au garçon qui tient déjà la veste, et en profite pour degrapher son soutien-gorge qui vient rejoindre ses autres vêtements. Delphine met ses mains sur son visage quand il defait le bouton et la fermeture de sa jupe, celle-ci tombe immédiatement à ses pieds. - Enlevez vos chaussures ! Tout en reniflant, Delphine enjambe sa jupe et s'accroupit pour enlever les boucles de ses chaussures et les enlève. Le Directeur la relève sèchement en la prenant sous l'aiselle. Il baisse ses collants et les enlève. Il en profite pour rammasser sa jupe et la donner au garcons mais garde ses collants à la main. Delphine pousse un cri quand le directeur passe ses doigts sous l'élastique de sa culotte et se cache a nouveau le visage. Le directeur lui baisse et lui enlève complètement, il la met par dessus les vêtements et reprend la veste. Delphine est entièrement nue, tout le monde peut constater à la rougeur de ses fesses qu'elle a deja reçu une fessée aujourd'hui. - Allez deposer ses vêtements en salle des professeurs, quand à vous prenez vos chaussures et suivez moi ! Le directeur se dirige vers son bureau avec sa veste et ses collants. En entrant il lui jette dans les mains : - Ce sera suffisant pour vous protéger du froid... Delphine comprend qu'elle doit les mettre. Elle enfile ses collants et ferme sa veste puis remets ses chaussures. Quand elle sort du bureau, elle est consciente, que sa veste ne cache que la moitié de ses fesses. mais elle suit le directeur jusqu'au parking. Ils n'echangent pas un mot sur le trajet et Delphine a compris qu'il ira au musée ainsi, si peu vêtue et les fesses rouge. Elle doit faire un effort, pour sortir de la voiture est passer devant la file d'attente. Quelques sifflés en sortent, sans doute des gens aui n'ont pas compris qu'elle etait punie et qui apprécient de la voir si court vêtue. Le directeur lui indique l'accueil : - Quelque chose vous attend la-bas allez le demander ! Quelques instants plus tard Delphine revient avec une pancarte que le directeur lui met autours du coubet qui mentionne le nom de son ecole et l'inscription, "je suis punie". - Voilà, cela expliquera votre habillement sans choquer... Enlevez votre veste !! Le hall est bondé, les yeux de Delphine s'embrument, elle regarde tout autours d'elle sans bouger, complètement paniquée. - Peut-être préférez-vous aue je m'en charge et que par la même occasion je vous donne un nouvelle fessées devant tout le monde ?? Le directeur avait parlé assez fort pour que les gens les plus proches entendent. Delphine fait non de la tête et enlève le bouton de sa veste. Elle enlève finalement sa veste et la donne au directeur. - Mains posées au dessus de votre tête !! Comme si la pancarte ne suffisait pas, Delphine comprend qu'elle devra rester dans cette position de pénitente pendant la visite. Son collant largement transparent ne suffit pas au directeur il vient le descendre et le rouler au milieu de ses cuisses et la pousse vers la première salle. La visite dure plus de deux pendant lesquelles Delphine reste nue et les mains sur la tête. Les élèves prennent ensuite leur repas dans une salle à côté du hall et ont après une heure de temps libre. Delphine elle, doit manger rapidement, puis le directeur la met au coin dans le hall en mettant sa pancarte dans le dos. Elle doit rester à genoux les mains sur la tête pendant tout ce temps. Petit a petit, ses fesses retrouvent leur couleur normale. Ça ne la reconforte pas mais elle se dit que face au mur elle ne peut pas voir tous ses visiteurs et ces groupes d'autres établissements qui passent derrière elle. Le directeur vient la libérer en lui tendant sa veste pour partir. M. Firmin la conduit à son directeur. Quand ils entrent dans le bureau, celui-ci est surpris de la voir autant couverte. - Vous lui avez laissé sa veste ? Elle ne le merite pourtant pas ! - Oh ne vous inquietez pas ! Depuis deux jours elle est suffisamment punie... D'ailleurs elle est collée ce soir, pouvez-vous me la ramener quand vous aurez fini ? - Bien sûr... - Vous enlevez cette veste ! - Je vous la confie dès que possible. M.Firmin quitte le bureau alors que Delphine est une nouvelle fois en collants. Le directeur tourne autours d'elle, il baisse ses collants en passant derrière et les remonte. - Tiens vos fesses ne sont pas rouge... Vous n'avez pas reçu de fessée durant ces deux jours ? Delphine aurait préféré ne rien dire, mais elle est obligée de répondre sans préciser la cause : - M. Firmin m'a donné la fessée ce matin. - ah... et hier ? - non ! - Dommage, vous auriez mérité d'être fessée tous les jours cette semaine... mais on va rattraper le retard ! - Bon, demain matin vous viendrez ici en uniforme. Nous avons une présentation de l'établissement. Nous allons recevoir des furures élèves, des parents et des chefs d'entreprises intéressés par nos diplomés... Delphine écoute sans trop savoir où il veut en venir. - Vous ferez la visite et la présentation de notre école. Et comme il y aura un chapitre sur la discipline et les sanctions, qui est mieux placé que vous cette semaine ?? Il la laisse méditer un instant sur la journée de demain qui se prépare. Puis reviens sur la fessée qu'elle a recu le matin même. - J'imagine que vous avez été déculottée ? Delphine fait oui de la tête. - Et devant tout le ponde j'espère ? - euh, non... dans son bureau. - Il manque donc de sévérité ce M. Firmin... - 2 heures de retard mérité beaucoup plus... Delphine relève la tête vers lui en comprenant qu'il a été informé de son retard. - Qu'en pensez-vous ? Delphine ne sait quoi dire. Elle reste muette, et baisse la tête. - Pour moi en tout cas, c'est clair. ça mérite une fessée devant tout le monde... Le directeur lui prend la main pour qu'elle le suive dans le couloir. Il marche d'un pas décidé, Delphine a du mal à le suivre et traine derrière lui. - Quel niveau ? N'ayant pas de réponse, il s'arrête sans lui lacher la main. - Devant quel niveau méritez-vous de recevoir la fessée ? Delphine comprend et le supplie de ne pas aller dans une classe de première année. - Très bonne idée, ça leur fera prendre conscience de la discipline exercée ici ! Le directeur repart et s'arrête devant chaque salle pour lire sur le planning le cours du moment. Après quatre salle, il trouve ce qu'il veut et entre sans prevnir en tenant toujours Delphine par la main. - Je vous prie d'accepter mes excuses, mais je dois interrompre votre cours pour punir cette jeune fille... Delphine tremble comme une feuille. Elle n'arrive pas a s'habituer à la nudité, la honte l'envahit à nouveau accentué par le fait que les élèves devant elle sont beaucoup plus jeunes. Sans lui lâcher la main, le directeur lui fait faire un demi-tour et la penche en avant, puis lui emprisonne ses deux poignets au milieu de son dos. Il la fesse ensuite par dessus son collant. Lentement et sèchement. Delphine comprend rapidement que la présence du collant et encore pire que fesses nues. Il prend son temps entre chaque claque. En la maintenant plus fermement pour ne pas qu'elle bouge. Il prend suffisamment d'élan et choisi une fesses pour abattre sa main. Delphine crie à chaque claque, ses talons tapent le sol entre deux fessées. Elle en reçoit plus de vingt ainsi et il la remet face à tout le monde sans la lâcher les mains. Toujours emprisonnées dans le dos, il baisse ses collants. Il tire d'un côté puis de l'autre, passe sous ses genoux et descend encore une fois de chaque côté pour qu'ils soient enroulés juste au dessus de ses chaussures. Il la retourne à nouveau pour montrer ses fesses rougies. Pour les mettre en évidence, il la force à se pencher an avant. Les élèves au premier rang voient plus que ses fesses bien qu'elle garde ses jambes parfaitement serrées. Le directeur appuie encore sur son dos pour qu'elle se penche d'avantage. Delphine a envie de crier tellement elle trouve l'attitude du directeur pitoyable. Son dos est pratiquement a l'horizontale quand au momentoù elle s'y attend le moins, une nouvelle violente claque arrive sur ses fesses. Cette fois un cri sort de sa bouche et à la deuxième elle crie à nouveau mais c'est aussitôt étouffé par un sanglot sans retenue. detoutes les fessées qu'elle a reçu cette semaine celle-ci est de loin la plus forte. Le directeur continue, en laissant plusieurs secondes entre chaque claque. Le silence est pesant, juste entrecoupé par le bruit sec des claques et les pleurs non retenus de Delphine. Elle le supplie entre les claques d'arrêter, mais ce qu'elle dit est presque incompréhensible tellement elle pleure. Elle reçoit encore dix claques ainsi. Et quand le directeur lui lâche les mains, elle manque de tomber. Il la rattrappe en la prenant sous l'aisselle et la relève. Elle met plusieurs secondes à reprendre ses esprits. Puis se frotte les fesses et tente d'essuyer ses larmes mais qa coule sans doscontinuer sur ses joues. Le directeur l'accompagne en la tenant par le bras jusqu'à la porte. Elle sort avec ses collants à ses pieds. Elle semble ne pas se rendre compte que ca la gêne pour marcher. Le directeur les remonte lui même dans le couloir. Arrivés dans son bureau, le directeur lui laisse un moment de repis. Elle met plus d'une demi-heure à emerger de cette fessée. - Mettez votre veste, je vais vous raccompagner à Saint Joseph. Il y vont à pied mais Delphine n'a même plus la force de protester. M. Firmin constate immédiatement la couleur de ses fesses, rouges, avec des traces bleues. Il l'accompagne dans une salle de classe ou il y a un surveillant et trois garçons eux aussi doivent être collés. - Déshabillez-vous ! Même les collants vous vous mettez toute nue. Delphine le fait sans protester et va s'assoir a une table pour effectuer ses trois heures de colle. Totalement épuisée, elle s'endort tot le soir sans penser à sa dernière journée de punition. Quand elle se réveille, elle sent que ses fesses sont encore endolories et va constater dans le mirroir. Il y a encore quelques traces rouges mais c'est mieux. Elle enfile sont uniforme et conmmence à angoisser. Elle se demande comment va se passer cette dernière journée. Le directeur lui explique en arrivant. Et pendant près de deux heures, elle fait visiter l'établissement, explique les différents diplômes qui sont préparés. Il y a une trentaine de personnes qui lui pose des questions ou demande des précisions qu'elle peut apporter sans difficultés. Elle oublie un instant sa punition et passe finalement un bon moment. Delphine laisse le groupe au comptable tandis que le directeur lui dit de venir dans son bureau. Il l'invite a s'installer sur une chaise, et est presque surprise qu'il l'aurorise a garder son uniforme. - Tout a l'heure en fin de matinée, vous lirez au groupe un discours sur la discipline et les sanctions à l'école. Delphine commence à lire tandis que le directeur observe ses réactions. Il ne tarde pas à être satisfait, le rouge envahi ses joues. Lorsqu'elle a terminé, elle se demande comment elle pourra lire cela devant l'assemblée et surtout devant des gens avec qui elle a passé deux heures ce matin, qui sont loin de se douter de tout cela. Quand elle arrive dans la salle, tout le monde est déjà installés. Il y a le groupe de visiteurs, les délégués de classe, et le personnel enseignant. Elle sent qu'elle est toute rouge quand elle prend la parole. Le debut du discours se passe bien. puis vient le moment où c'est plus personnel, ele prend une grande inspiration et ne relève plus la tête : - Je suis moi-même punie cette semaine car j'ai commis une chose atroce... Les spectateurs semblent d'un coup plus intéressés. - Je me suis introduit dans l'école Saint Joseph... Elle doit dire dans le détail tout ce qu'elle a fait, puis en vient a sa punition. Sa voix devient à peine audible et le directeur est obligé de l'arrêter pour lui dire de parler plus fort. - Avec les responsable de cela nous avons été punis et nous avons tous reçu une fessée, plus ou moins sévère en fonction de notre participation à ces méfaits. Delphine, semble se recroqueviller pour continuer - Je suis la responsable de tout cela et je suis bien sûr sanctionnée d'avantage. je suis consciente que c'est pour m'améliorer et que ma punition est justifiée. J'ai reçu plusieurs fessées, aussi bien ici qu'à Saint Joseph. Il y a une certaine agitation dans la salle, Delphine s'arrête et en se retournant vers l'ecran, elle comprend pourquoi. Les noms et les photos de ceux qui ont participé aux changements de notes defilent sur l'écran. Puis on voit les trois filles alignées a genoux qous le préau dont une est déculottée. Puis le garçon nu a la cantine... Delphine panique elle ne se souvient pas avoir été prise en photo mais dans l'état où elle était, elle sait qu'elle n'etait pas toujours consciente de tout. Les autres photos défilent, les filles dans cours, les trois toutes à la cantine... Le directeur pose une nouvelle feuille sur son pupitre et lui dit de continuer. Delphine parcoure la feuille et implore le directeur du regard, mais celui-ci fronce les sourcils pour l'inciter à lire. - Ma présentation est terminée, et je vais devoir continuer ma... Delphine marque un temps d'arrêt comme si le mot n'arrivait pas à sortir de sa bouche. - punition ! Les larmes commencent a couler sur ses joues en lisant la suite. - Porter mon uniforme était exceptionnel ce matin, mais j'en suis privée. Le directeur monte sur l'estrade et vient mettre Delphine devant le pupitre. - effectivement c'etait exceptionnel, enlevez-le ! Delphine regarde le directeur comme si elle doutait de son sérieux. - Allez ! Enlevez votre uniforme ! En sous-vêtements ! Tout de suite... Delphine sait qu'il n'est sera pas autrement, elle défait sa veste, degraphe sa jupe etet l'enleve quand elle tombe a ses pieds. Puis déboutonne son chemisier. Sans lever la tête, elle l'élève. Elle se retrouve en culotte, soutien-gorge et collants transparents. Le directeur vient la chercher, pour la placer au bord de l'estrade. - Restez là un moment ! Et mettez mes mains au dessus de votre tête. -Et faite entrer les autres punis de la semaine. Le surveillant ouvre la porte et les onze autres punis entre les uns derrière les autres.Ils ont tous les mains posées au dessus de leur tête. Certaines pleurent deja en entrant, ils ont tous le regards baissé vers le sol. Les trois filles qui ont été au coin sous le préau sont en première. Les élèves arrivent comme ils ont été punis. Les deux premières filles sont habillées normalement, la troisième a l'arrière de sa jupe relevées et sa culotte descendue sous ses fesses. Jessica et sa copine qui ont été punie en classe marche sans leurs jupes. Suit le garçon de la cantine intégralement nu. Ensuite Emilie et Marion sont routes les deux en larme. Elle sont nues de la taille aux chevilles. Delphine comprend en voyant ses amis defiler que la punition est loin d'etre terminée. Céline, Amandine et Aurelie n'ont que leurs culottes. Tout le monde doit monter sur l'estrade à côté de Delphine, face a l'assemblée. Le directeur fait un court discours sur la discipline et les punitions que chacun a reçu cette semaine. Quand il explique que Céline, Amandine et Aurélie ont été fessées à la cantine, il precise qu'elles ont été déculottées et fait signe au surveillant qui passe derrière elles et baisse complètement la culotte de chacune. En voyant le garcon nu et ses trois copines avec leurs culottes aux chevilles Delphine n'a plus de doutes sur la sentence qui ne va pas tarder à tomber. D'ailleurs, le surveillant met une chaise au milieu de l'estrade et le directeur attrappe Delphine par le bras. - Je vous ai promis une fessée tous les jours... Venez recevoir celle d'aujourd'hui. Delphine se laisse conduire tête basse jusqu'à la chaise. Et doit s'allonger elle-même sur les genoux du directeur. Il commence à la fesser ainsi par dessus son collant. Elle encaisse les claques en fermant les yeux et en essayant de contenir ses larmes. Mais deja, les claques ravivent la douleur de la punition de la veille. Il la relève un moment et lui demande d'enlever ses chaussures. Quand c'est elle doit s'allonger une nouvelle fois. Elle se prepare a être déculottée mais le directeur continue par dessus mais avec des claques plus sèches. Puis il la relève à nouveau et va la placer face au mur à genoux. Il met ses mains l'une au dessus de l'autre au dessus de sa tête, lui remet le dos droit et avance sa tête pour que son nez touche le mur. - Vous recevez la fin de votre fessee cet après-midi... Puis il ordonne aux dix autres de venir au coin comme Delphine. Il en profite pour récupérer les culottes des trois filles, et ajuste la position de certains, en leur intimant l'ordre de ne pas bouger. La salle se vide seuls de surveillants reste pour vérifier qu'aucun ne bouge. Le temps leur paraît extrêmement long. Les genoux et leurs dos les font souffrir. Plusieurs demande à se lever un instant mais les surveillants sont intransigeants. Tout le monde reste ainsi pendant près de deux heures. Quand le directeur vient les liberer, ils ont du mal à se lever et mettent quelques instants pour partir. Delphine est restée seule face au mur et le directeur retient Céline, Amandine et Aurélie. Elle doivent toutes les trois se pencher sur une table, les fesses tournées vers l'assemblée. Ledirecteur passe devant elles avec une longue baguette a la main. Les filles panique en voyant ce long bout de bois souple. Aurelie est la première à la recevoir, elle crie et se relève en mettant ses mains sur ses fesses, puis eclate en sanglots tant la douleur irradie ses fesses. Ammandine et Céline recoive aussi chacune leur coup de baguettes et leurs fesses sont striees d'une belle marque rouge en plein milieu. Elle doivent retourner au coin tandis que le directeur appelle Delphine. Complètement apeurée par les visage grimaçants de ses copines quand elle les croise, elle s'approche tout doucement. Le directeur l'attrappe et la fait avancer plus vite et descend les bretelles de son soutien-gorge pour liberer ses seins puis il passe derrière elle pour lui enlever. Et tout en restant derrière elle, il passe les doigts sous ses collants et sa culotte et baisse le tout d'un coup. Delphine se cache le visage de honte. Elle se laisse enlever sa culotte et ses collants et doit mettre ses mains sur sa tête. Complément nue face a l'assemblée, elle ferme les yeux pour ne pas croiser les regards des gens avec qui elle a passer une partie de la matinée. Sans qu'elle ne s'y attende, un violent coup de baguette arrive sur ses fesses lui arrachant un déchirant cri de douleur. Le directeur fait siffler sa baguette et un deuxième coup arrive. Elle hurle cette fois-ci et éclate en sanglots. Le directeur ne s'appitoye pas et lui en donne trois supplémentaires. Elle tombe à genoux à la fin de sa punition, complètement épuisée. Le directeur la relève et lui accorde avec les trois filles un moment de repis, libres. Mais il leur indique de bien rester toutes nues. Les filles s'écartent pour reprendre leurs esprits, mais restent inquiètes pour la suite. Les visiteurs quittent l'école un peu plus tard. Le directeur les raccompagne puis revient vers le filles. - Vous arrivez au terme de votre punition Mesdemoiselles... Juste une dernière chose a faire ! Delphine vous en avez l'habitude maintenant, mais pour vous trois c'est autre chose... Le directeur laisse volontairement un temps sans rien dire pour que l'angoisse monte. - M. Firmin souhaite constater par lui même que les fesses des quatre principales punie sont bien marquée. Donc je vais vous emmener à Saint-Joseph. Et je vais vous y emmener toutes nues. Suivez-moi ! Même si Delphine est plus habituée, elle fond en larme en passant la grille de Saint-Joseph, comme les trois autres. La cours est pleine et le directeur leur a fait la recommandation de ne rien cacher. Chacune doit monter ses fesses zébrées avant de repartir.